La RDC attend de la Chine un accompagnement pour booster l’enseignement technique et professionnel (Jean-Pierre Kazemudru, Vice-ministre de l’éducation nationale)

La République Démocratique du Congo a pris une part active lors de la conférence mondiale sur le développement de l’enseignement professionnel et technique qui s’est tenue du 20 au 22 Novembre à Tianjin en Chine.

La délégation gouvernementale composée du ministre de la formation professionnelle et du vice-ministre de l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté a profité de son séjour pour mobiliser les partenaires, dont la mairie de la ville de Tianjin, ville pilote pour le nouveau modèle de réforme du système de l’enseignement professionnel et technique moderne.

Interrogé à la clôture de cette conférence par votre média, Jean-Pierre Kazemudru, vice-ministre de l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté a indiqué que la RDC attend un accompagnement de la Chine pour booster l’enseignement technique et professionnel.

“Nous comme ministère de l’éducation nationale, nous donnons un enseignement classique. Nous voulons former les cadres de demain qui peuvent être orientés dans divers domaines. Et pour ce cas de figure, in accent particulier doit être mis sur la formation des techniciens que nous appelons enseignement technique et professionnel dans notre sous-secteur de l’enseignement ” a-t-il noté.

Revenant sur le faible volume de la coopération entre la Chine et la RDC dans le domaine de l’éducation nationale, Jean-Pierre Kazemudru dit avoir fait part à la vice maire de Tianjin, le souci de son pays de voir le pays de Xi Jinping, profiter de l’opportunité afin d’accroître ses actions et sa présence dans le sous-secteur de l’éducation nationale.

“Mon pays la République Démocratique du Congo, a signé plusieurs accords avec la Chine mais dans notre sous-secteur de l’éducation nationale, nous n’avons pas encore vu quelque chose de concret. J’ai même terminé par dire que les actes valent mieux que les intentions et les conventions ou le consensus. C’est la meilleure occasion de passer à l’acte ” a déclaré le vice-ministre de l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté.

Derick Katola depuis la ville de Tianjin




RPDC: les lois destinées au mieux-être du Peuple

En République Populaire Démocratique de Corée (sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:

  • militaire consacrée à défendre, avec sûreté, non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts, son honneur mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
  • politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée notamment avec la gratuité du logement, de l’enseignement et du traitement médical, sous le grand Bienfaiteur KIM JONG UN, sosie politique des Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, NDLR),

nombre de lois ont été instituées, révisées et amendées, ces dernières années, en faveur du mieux-être du Peuple:

  • la Loi sur les Produits Pharmaceutiques adoptée en août 2022 pour insister que lesdits produits soient utilisés, entièrement, pour la protection et l’amélioration de la santé du Peuple
  • la Loi sur la Santé Publique et la Loi sur les Soins Médicaux révisées et amendées en 2023: la Loi sur la Santé Publique stipule que l’Etat considère comme tâche importante de ses activités de prendre des mesures préalables pour que le Peuple ne tombe pas malade et qu’il s’investit en priorité dans la prophylaxie
  • la Loi sur la Protection des Droits des Handicapés adoptée en septembre 2023 de sorte que ceux-ci puissent bénéficier de meilleures conditions de travail et de vie
  • la Loi sur l’Entretien des Logements adoptée en octobre 2023 ayant pour mission de contribuer à l’assurance de l’environnement et des conditions nécessaires à une vie stable et hautement civilisée du Peuple
  • la Loi sur le Développement du Milieu Rural Socialiste adoptée en septembre 2022 avec, surtout, l’Article 6 qui stipule que l’Etat veille à aménager les villages ruraux en eldorados socialistes afin qu’ils soient irréprochables à tous les points de vue et même dans un avenir lointain
  • la Loi sur le Développement des Villes et Arrondissements, la Loi sur le Reboisement et la Loi sur le Ravitaillement Publique en Vivres ainsi que d’autres sont instituées ou révisées et amendées, contribuant à promouvoir l’édification du socialisme et à améliorer le standard de la vie du Peuple.




À Bunia, Judith Suminwa fait le point sur les avancées réalisées

Depuis l’après-midi de ce samedi 23 novembre 2024, la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka est en visite officielle à Bunia, en Ituri, entourée de quelques membres de son Gouvernement, des députés et sénateurs, afin d’évaluer l’état de siège instauré dans la province. Une arrivée accueillie avec ferveur par un peuple enthousiaste ; ce qui démontre toute l’importance de cette mission.

Une participation citoyenne au cœur des préoccupations

Dès son arrivée à l’aéroport national de Bunia, la Cheffe du Gouvernement a été accueillie par une foule en liesse, des Ituriens de tout bord se rassemblant pour exprimer leur soutien. Judith Suminwa, fidèle à son image de leader participatif, a affirmé son engagement envers la population. « À la suite de l’ordonnance signée l’année dernière sur les mesures d’atténuation et la requalification de l’état de siège, le Président de la République nous a chargés d’évaluer la situation actuelle pour déterminer si nous devons maintenir le statu quo ou apporter des changements nécessaires », a-t-elle déclaré avec détermination.

Un bilan flatteur en collaboration avec les forces vives de la région

La Première Ministre a annoncé qu’un processus d’analyse des réussites et des faiblesses de l’administration militaire serait entrepris, intégrant la voix des forces vives de l’Ituri dans les discussions. Ce bilan met en avant des résultats positifs, notamment la neutralisation du groupe armé terroriste CODECO grâce à la gouvernance militaire ; ce qui contribue à un climat de sécurité ressenti par la population.

De plus, Judith Suminwa a souligné de grands progrès visibles en termes d’infrastructures routières et d’autres bâtiments publics construits grâce à l’état de siège. La reprise des activités économiques est également un point fort, avec de nombreux citoyens témoignant de leur sentiment de sécurité renforcé.

Après une réunion constructive avec Johnny Luboya, Gouverneur militaire de la province, Judith Suminwa a réitéré sa promesse de transparence et de collaboration lors de la clôture de sa mission. Ce rapport, qui sera soumis au Président Félix Antoine Tshisekedi, comprendra des recommandations précises, appelées à assouplir les mesures fiscales et à renforcer davantage la sécurité dans la province.




Coopération Maroc / Espagne : Démantèlement d’une cellule terroriste affiliée à “Daech”

Dans le cadre des opérations sécuritaires conjointes entre le Maroc et l’Espagne, le Bureau Central d’Investigations Judiciaires (BCIJ) relevant de la Direction Générale de la Surveillance du Territoire (DGST) et le Commissariat général des renseignements de la Police espagnole ont procédé, vendredi dernier, au démantelement d’une cellule terroriste affiliée à l’organisation “Daech” au Sahel, constituée de 9 membres, dont 3 s’activaient a Tétouan et F’nideg et 6 autres a Madrid, Ibiza et Sebta.

Les enquêtes préliminaires réalisées ont montré que les mis en causes, dont des anciens détenus dans des affaires de terrorisme en Espagne, étaient imprégnés de la pensée de “Daech” et tenaient des réunions à Sebta et Tétouan, dans le cadre de la planification et la coordination visant à commettre des actes terroristes au nom de l’Etat islamique avant de rejoindre les rangs de la branche de cette organisation terroriste dans la région subsaharienne du Sahel. En outre, Les perquisitions effectuées aux domiciles des mis en cause ont permis la saisie d’armes blanches et de matériel informatique, qui seront soumis à l’expertise numérique nécessaire.

Cette opération conjointe, note un communiqué du BCIJ, s’inscrit dans le cadre de la coordination sécuritaire continue et distinguée entre les services marocains et espagnols et vise à lutter contre les différentes formes du crime transnational.




Sahara marocain: les Etats-Unis réaffirment leur soutien à  l’initiative marocaine d’autonomie

Les Etats-Unis réaffirment leur soutien à l’initiative marocaine d’autonomie en tant que solution sérieuse, crédible et réaliste à la question du Sahara marocain, a indiqué, vendredi dernier à Rabat, la Secrétaire dEtat adjointe américaine aux Affaires du Proche-Orient, Barbara Leaf.

Washington continue de soutenir l’Envoyé personnel du Secrétaire Général de l’ONU pour le Sahara, Staffan De Mistura, dans ses efforts visant à faire avancer les négociations en vue d’une solution politique mutuellement acceptable, a-t-elle ajouté lors dun point de presse à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita.

En outre, le soutien des Etats-Unis à l’initiative marocaine d’autonomie est un signe fort de leur engagement en faveur d’une résolution pacifique et constructive de ce conflit artificiellement créé. Cette position est en phase avec les efforts internationaux entrepris par les Etas-Unis pour promouvoir la stabilité et la coopération dans la ré

gion.




Ainsi va mon pays : Un escroc se fait passer pour un député, DG, prophète, sénateur !

Le pays se réveille comme dans une surprise de constater qu’un Jeune homme du nom d’Israël Bongo s’est fait passer pour un député, sénateur, entrepreneur et même prophète au point de se poser en photo avec le Chef de l’Etat.

Cette affaire qui défraie la chronique doit interpeller les bonnes consciences et surtout toute la communauté au lieu de vociférer sur le jeune homme.

De toutes ces activités dont il passe pour un escroc, il est démontré que ces sont des activités qui drainent de l’argent sans un effort spécial. Ce garçon ne peut pas se passer pour un médecin, un enseignant ou un fonctionnaire.

Cette situation montre que le pays va mal dans le partage de revenu. Il y a de faux députés, de faux pasteurs, prophètes et de faux contrats car c’est seulement ceux qui sont dans le mensonge qui semblent avoir l’oreille des autorités et sont protégés.

Si son cas est dramatique, personne ne parle du cas de Milvests, un opérateur étranger qui est venu en RDC profitant de contrats de millions de dollars sans disposer ni de société en RDC encore moins de capitaux propres. Aucun dollar n’a été amené. Mais personne n’arrête Milvests ni n’interpelle cet escroc. Il passe pour un homme sérieux. C’est le pays dans sa conception de partage de richesses nationales qui complique les choses.

Aucun homme sérieux ne peut se hasarder à faire une telle activité.

Il y a au moins une leçon claire et simple. On a rendu rentables les activités qui n’attirent pas l’intelligence mais l’escroquerie. Pasteur, prophète, politicien, entrepreneur- contractant, sont ceux qui sont écoutés. Associer à l’impunité, l’escroquerie et la tricherie semblent bien se porter en RDC.

Comment vont réagir les politiciens, la justice ou le Gouvernement face à cette affaire ?

Ce jeune homme relance le conflit de la redistribution du revenu national et de l’escroquerie sociale. Il est évident que si la politique a pris le peuple en otage, l’église aussi n’est pas restée en marge. Si les taxes, impôts, redevances et droits sont détournés de leurs raisons utiles à savoir la reconstruction du pays pour devenir les salaires de politiciens, il n’en est pas moins des offrandes et dîmes qui sont devenues de salaires de pasteurs. Il suffit d’ouvrir une église pour se frotter les mains ou de créer un parti politique pour assurer le lendemain de sa famille.

Voilà ce que ce jeune homme a montré comme problèmes dans ce pays. Qui comprendra pour apporter les vraies réponses ?

Wait and see.




Déclaration de l’opposition contre la révision constitutionnelle : Atundu dénonce une démarche dont la finalité est la tenue d’un dialogue politique 

L’ambassadeur André-Alain Atundu est celui qui connaît bien la Kabilie et tout ce qu’il parle, doit être pris en compte. Dans une tribune, il explique que la déclaration de l’opposition, mieux du Bloc des Personnalités contre le changement de la Constitution esquive à dessein et ostensiblement la problématique du changement de la Constitution pour s’adonner à cœur joie et sans remords à gargariser un maigre public acquis d’avance par des propos émotionnels de nature messianique, loin des appréhensions et des inquiétudes des Congolais sur l’efficacité réelle de la Constitution en vigueur à garantir leur survie et leur existence en tant qu’Etat et Nation, au regard de l’amère expérience encore vivante des relations avec le Rwanda. Heureusement, pense-t-il que le Peuple congolais n’est pas dupe de ce manège attrape-nigauds dont la finalité est la tenue d’un dialogue politique avec l’intime conviction d’en sortir avec quelques maroquins dans le cadre d’un Accord de gouvernance.

 

EN TOUTE VERITE…

 

C’est avec un brin d’effarement que j’ai suivi la Déclaration commune du bloc des Personnalités contre le changement voire l’idée même du changement de la Constitution, telle que lue par le Secrétaire Général du PPRD, Monsieur SHADARI, Porte-parole de circonstance, et ce, à coup de menaces feutrées et de chantage à peine voilé.

 

Cette déclaration sulfureuse et tangente, faite au nom d’un Front Commun fragile et précaire, esquive à dessein et ostensiblement la problématique du changement de la Constitution pour s’adonner à cœur joie et sans remords à gargariser un maigre public acquis d’avance par des propos émotionnel de nature messianique, loin des appréhensions et des inquiétudes des Congolais sur l’efficacité réelle de la Constitution en vigueur à garantir leur survie et leur existence en tant qu’Etat et Nation, au regard de l’amère expérience encore vivante des relations avec le Rwanda.

 

Ce discours pompeux n’est qu’un coup d’épée dans l’eau pour tenter de modifier en vain le rapport de force issu des dernières élections présidentielles, en faveur de ce regroupement de quelques opposants, par ailleurs, anciens candidats battus à l’élection présidentielle avec un résultat rikiki et risible.

Car à la vérité et pour l’histoire, il faudrait rappeler que tout ce beau monde ne représente que moins de 30 %, tandis que TSHISEKEDI, à Lui Tout Seul, représente plus de 70 %, avec en prime la légitimité et la légalité pour vouloir et agir au nom du Peuple.

 

Heureusement le Peuple congolais n’est pas dupe de ce manège attrape-nigauds dont la finalité est la tenue d’un dialogue politique avec l’intime conviction d’en sortir avec quelques maroquins dans le cadre d’un Accord de gouvernance.

 

Tout au plus, pourrait-on s’étonner qu’ils n’aient pas employé autant d’ardeur et de vigueur pour se mobiliser contre le Rwanda, coupable du massacre de nos citoyens et du pillage de nos ressources.

Complicité ou culpabilité… !

 

 

Fait à Kinshasa, le 22 Novembre 2024

 

 

Ambassadeur André-Alain ATUNDU LIONGO

Présid

ent National de CDR

 

 

 

 

 




CONSULTATIONS SUR LE CADRE DE CONFORMITÉ AUX DROITS DE L’HOMME ET AU DROIT INTERNATIONAL HUMANITAIRE DE LA MISSION DE LA COMMUNAUTÉ DE DÉVELOPPEMENT DE L’AFRIQUE AUSTRALE (SADC) EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO (SAMI RDC)




16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre: Bruno Lemarquis condamne le silence face aux actes de violence contre des femmes et des filles 

Mbote, Jambo, Bonjour

Aujourd’hui est un jour spécial. Le 25 novembre est le début des 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre. Malheureusement, selon les statistiques de 2023, toutes les 10 minutes, dans le monde, une femme est intentionnellement tuée par son partenaire ou par un membre de sa famille. C’est une réalité inacceptable !

Le Système des Nations Unies en République Démocratique du Congo joint sa voix à celle de la communauté mondiale pour dénoncer ces violences basées sur le genre. Cette année, nous tenons à éveiller l’attention de tous et toutes sur un fléau alarmant : le Féminicide.

Le féminicide désigne les meurtres liés au genre. C’est un problème universel et la manifestation la plus brutale, visible et extrême de la violence que subissent les femmes et les filles, commis la plupart du temps au sein de la sphère familiale. Il est souvent précédé de violences répétées à la maison sous la forme de violences verbales, physiques, de contrôle et d’isolement, ainsi que d’agressions graves ciblant les femmes et les filles.

Aucun pays n’est épargné, et la RDC non plus !

Ici en RDC, depuis plusieurs décennies, de terribles violences sexuelles sont utilisées comme arme de guerre, principalement dans l’Est du pays en lien avec les conflits, et ou les corps des femmes et des filles sont utilisés comme champ de bataille. Ceci a un profond impact sur les individus et sur les communautés. Les chiffres donnent le vertige, et les témoignages sont glaçants et nous ne devons pas nous y habituer. La pratique du silence face aux actes de violence contre les femmes et les filles doit être combattue. Beaucoup d’efforts sont faits en RDC pour lutter contre ce fléau, mais tellement reste à faire en termes de prévention, d’éducation, de réponse multisectorielle, d’appui aux victimes et de lutte contre l’impunité.

Voilà pourquoi les Nations Unies ont mis en place l’initiative Tous UNiS pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes d’ici à 2030. Nous sommes, donc, toutes et tous invités à unir nos forces pour mettre fin à ces violences à l’égard des femmes et des filles et dans tous les domaines de la société, aussi bien dans la cellule familiale qu’au travail ou en milieu public.

Les 16 jours d’activisme que nous entamons aujourd’hui sont une occasion de renouveler nos engagements et de demander aux décideurs de rendre des comptes et d’agir.




Une équipe d’experts internationaux en visite en Rdc du 20 novembre au 4 décembre 2024

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) a l’honneur d’annoncer la visite prochaine de Mme Marie-Thérèse Keita-Bocoum et M. Bessolé René Bagoro, respectivement Présidente et Membre de l’Equipe d’experts internationaux en République démocratique du Congo (RDC), prévue du 24 novembre au 4 décembre 2024.

Selon un communiqué de presse publié à cet effet, cette mission fait suite au renouvellement du mandat de l’équipe par le Conseil des droits de l’homme à travers la résolution 57/34 adoptée le 11 octobre dernier et a pour objet d’échanger avec les parties prenantes sur les recommandations du dernier rapport des experts (A/HRC/57/81) présenté lors du dialogue interactif renforcé. Cette mission permettra également de discuter des perspectives à venir et de la poursuite des appuis concrets de l’Equipe d’experts internationaux au Gouvernement notamment dans le domaine de la lutte contre l’impunité et la mise en œuvre d’un processus de justice transitionnelle.

Durant cette visite, l’Équipe d’experts à l’intention de rencontrer des membres du gouvernement, des représentants du corps diplomatique, d’ONG internationales et nationales, des institutions nationales, de la société civile, du système des Nations unies et des personnalités concernées par le mandat.

Le HCDH exprime sa gratitude à la Mission d’observation permanente de la République Démocratique du Congo auprès de l’Office des Nations Unies et des autres organisations internationales à Genève pour avoir facilité l’organisation de cette visite