Présidentielle 2023 : Tshisekedi plébiscité devant Fayulu, Muzito, Matata et Katumbi

Parmi les candidats à la présidentielle devant se dérouler en décembre 2023, les Congolais interrogés par le sondage Echos d’opinion plébiscitent Félix Tshisekedi avec 60%, suivi de Martin Fayulu (25%), Adolphe Muzito (21%), Matata Ponyo (20%), Moise Katumbi (19%).

L’année 2022 s’est effacée dans la nuit des mémoires, avec son lot d’événements qui l’auront marqué durant son parcours. Tandis que l’année 2023 qui débute son cheminement, connaîtra vers sa fin, l’organisation notamment de l’élection présidentielle. L’actuel chef de l’Etat, qui termine son premier quinquennat à la tête du pays, devra se battre face à des adversaires coriaces pour obtenir un second mandat.

Dans cet ordre d’idées, les Congolais vont se prononcer en tenant compte du bilan du président de la République en fonction, de candidats qui ont déjà eu à gérer le pays à quelques postes de responsabilité, et des propositions de ceux qui briguent la magistrature suprême.

Pour cette raison, l’Institut de sondage Echos d’opinion a interrogé du 10 décembre 2022 au 9 janvier 2023, un échantillon de 1000 personnes, âgées de 18 ans et plus représentatives de toutes les provinces. Voici les résultats dudit sondage :

  1. Félix Tshisekedi (60%)

Arrivé au pouvoir avec la ferme volonté de tout mettre en œuvre pour redresser le pays, Félix Tshisekedi a lancé d’importants travaux dans tous les secteurs. Un certain 24 janvier 2019, le nouveau chef de l’Etat faisait entrer le pays dans une nouvelle ère pleine de promesses et d’heureuses perspectives. Félix Tshisekedi incarnait l’espoir du peuple congolais. Au nombre de ses réalisations, l’on mentionne, sans hésiter le moins du monde, l’ouverture politique basée sur sa vision d’un Etat de droit pour protéger les libertés individuelles et la pluralité des opinions conformément à la Constitution ; les travaux de grande envergure destinés à reconstruire les infrastructures routières sur l’ensemble du territoire national, la gratuité de l’enseignement inscrite à l’article 44 de la Constitution depuis son adoption en 2006, relevé avec panache, la construction de nouvelles écoles pour faire face au surpeuplement des classes, la réhabilitation des infrastructures aéroportuaires, dotation de  la société nationale aérienne Congo Airways de sept avions supplémentaires, lutte contre la corruption et d’autres antivaleurs qui ont longtemps gangréné l’Etat, la protection de l’intégrité du territoire national,  amélioration des conditions de vie de soldats, policiers et des fonctionnaires de l’Administration publique, la reprise de la coopération avec les partenaires traditionnels ainsi que les institutions de Bretton Woods,  la stabilisation du cadre macroéconomique, etc. C’est donc fort de ce bilan largement positif que le chef de l’Etat entend briguer un second mandat en décembre 2023 afin de parachever les actions destinées à hisser la RDC au rang de pays émergents du monde.

  1. Martin Fayulu (25%)

L’ancien candidat malheureux à la présidentielle de 2018 veut tenter ses chances en décembre 2023. Cependant, ayant tourné le dos à deux autres leaders importants, à savoir Moise Katumbi et Jean-Pierre Bemba qui avaient porté sa candidature à bras le corps, il lui sera difficile de percer au sein de l’opinion. En dépit de ses promesses de faire entrer 126 milliards de dollars et 20 millions d’emplois sur cinq ans, et de faire passer le budget annuel du pays de cinq milliards de dollars annuels actuellement à 16 à l’horizon 2023.

  1. Adolphe Muzito (21%) 

Cet ancien Premier ministre n’avait pas réussi ses missions qui consistaient à mettre fin à la guerre à l`Est de la RDC et d’assurer la paix à travers tout le pays, de stabiliser le cadre macroéconomique et enfin de relancer les travaux de la reconstruction nationale.

  1. Matata Ponyo (20%)

Le bilan de cet ancien Premier a toujours été jugé globalement négatif. Les populations interrogées retiennent de cinq ans du gouvernement Matata qu’au lieu de la croissance promise, c’est le contraire sur le plan économique et social. Il y a eu dépréciation de la situation de la vie des Congolais et dépréciation monétaire. Matata Ponyo n’avait donc pas apporté de solutions concrètes à la situation sécuritaire dans l’Est du pays. De même, pendant son mandat à la Primature, les libertés fondamentales ont été bafouées et violées.

  1. Jean-Claude Baende (20%)

Investi il y a quelques jours par son parti l’Alliance des Démocrates Humanistes (ADH), l’ancien gouverneur de l’ex Grand Equateur a choisi son fief pour l’annoncer officiellement.  Cependant, les Congolais interrogés estiment que cette personnalité qui était sortie par la petite porte de son mandat de gouverneur, n’a aucune chance de diriger un grand pays comme la RDC. Il traine une bien mauvaise réputation à cause des faits et gestes posés durant son mandat.

  1. Lisanga Bonganga (20%)

La Dynamique pour une sortie de crise (DYSOC) avait déjà annoncé la désignation de son Coordonnateur national, Jean-Pierre Lisanga Bonganga, comme son candidat à l’élection présidentielle de 2023.

« La DYSOC annonce solennellement la candidature de son coordonnateur, président du parti politique, Convention Chrétienne pour la Démocratie, chrétien catholique convaincu et pratiquant, Jean-Pierre Lisanga à l’élection présidentielle de 2023. Mais, la population le qualifie de non constant dans sa carrière politique. Elle ne lui fait donc pas du tout confiance.

  1. Delly Sesanga (20%)

Le président national du parti Envol avait aussi annoncé ses ambitions présidentielles pour 2023. En 2023, Envol ne sera derrière personne, il ne suivra aucun parti. Envol va s’assumer comme parti politique aux élections de 2023. Cependant, la population congolaise estime que ce leader politique n’a aucune envergure capable de le propulser sur le devant de la scène.

  1. Moise Katumbi (19%)

Le mandat du gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, est «un échec par rapport à l’espoir qu’il a suscité», indique-t-on dans plusieurs milieux contactés. Il lui est reproché notamment d’avoir abandonné les hôpitaux de l’Etat et laissé faire la pollution de l’environnement par les sociétés minières. Dans le Grand Katanga, l’on va jusqu’à préciser que sous son mandat, aucun hôpital de l’Etat n’avait un scanner médical. Selon eux, son gouvernement provincial exigeait aux sociétés minières des dons à titre de participation aux travaux des routes, bien que la gestion de ces sociétés ne soit pas transparente. Cette pratique avait conduit au non-respect du code minier en vigueur en RDC.

Au plan politique, Moïse Katumbi était accusé d’avoir manqué de rassembler les Katangais et de servir de l’arbre à palabre. L’affaire de Katangais originaires et non originaires est un tabou qui ne favorise pas le développement à la base.

Echos d’opinion




Kingabwa : Muabilu s’enrôle et vante le professionnalisme de l’équipe Kadima

C’est un acte à la fois symbolique et patriotique. Pius Muabilu détient désormais sa carte d’électeur. Le leader du Congrès National Congolais s’est fait enrôler ce dimanche au centre de l’école Saint François de Sales, au quartier Kingabwa, dans la commune de Limete à Kinshasa.

Le numéro un du CNC s’est fait accompagner des membres de sa famille et d’une foule immense de militantes et militants de son parti. L’occasion pour l’élu du Mont Amba de vanter le professionnalisme de l’équipe Kadima dont il juge bonne la qualité du travail.

Tout ceci est la conséquence positive du leadership du Président de la République qui tient à la consolidation de notre Démocratie à travers un processus électoral transparent et crédible, a dit l’Empereur du Mont Amba. Et d’ajouter, les moyens déjà mis à la disposition de la CENI sont une preuve de la détermination du chef de l’Etat à amener chaque citoyen à exercer son droit civique.

Pius Muabilu a appelé par ailleurs les Congolais à l’amour de la patrie, avant de les exhorter à se faire enrôler massivement. Trop attaché à l’éducation, le Républicain Muabilu a profité de l’occasion pour visiter différentes salles de classe  de cette école dont il a financé les travaux de réhabilitation.




CHAN : le Club des Avocats au Maroc va saisir la commission de Discipline de la FIFA

Lors de l’ouverture du championnat d’Afrique des Nations (CHAN) vendredi soir, un responsable politique sud-africain connu pour son opposition au Royaume a été invité par la Fédération algérienne de Football à prononcer un discours d’ouverture. Zwelivelile Mandela, petit-fils de Nelson Mandela, a appelé à la guerre contre le Maroc pour « libérer le Sahara occidental de l’injustice ».

Les supporters algériens ont scandé des cris racistes injurieux et haineux envers le Maroc et les marocains.

Le Club des Avocats au Maroc a décidé de saisir la commission de Discipline de La FIFA, en effet Me Mourad Elajouti président du des Avocats au Maroc explique que son association à la qualité pour agir puisque l’article 52 al 2 du code disciplinaire de la FIFA dispose que :

« Toute personne ou autorité peut porter à la connaissance des organes juridictionnels de la FIFA les comportements qu’elle juge contraires à la réglementation de la FIFA. Ces allégations doivent être faites par écrit. »

Me Mourad Elajouti met en exergue que « La promotion ou l’annonce de messages politiques ou religieux, ou de toute action politique ou religieuse dans l’enceinte ou à proximité immédiate du stade et par quelque moyen que ce soit, est strictement interdite avant, pendant et après les matches. » selon l’article 60 du Règlement de La FIFA sur la sûreté et la sécurité des stades.

L’alinéa 2 du même article dispose que L’organisateur de l’événement doit s’assurer, en coopération avec les autorités de sécurité locales, que les supporters n’agissent pas de manière provocatrice ou agressive dans l’enceinte ou à proximité immédiate du stade. Sont donc notamment interdits : les provocations verbales et les comportements racistes, slogans provocateurs ou agressifs. »

L’avocat précise que la Fédération Algérienne de Football risque l’exclusion par la FIFA , Les slogans racistes et injurieux des supporters algériens dénigrant les Marocains ainsi que la décision des autorités algériennes de priver l’avion des joueurs marocains d’autorisation pour atterrir constituent un comportement discriminatoire sanctionné très sévèrement par les statuts du FIFA . En effet l’article 4 des statuts du FIFA édition 2022 disposent que

« Toute discrimination d’un pays, d’un individu ou d’un groupe de personnes pour des raisons de couleur de peau, d’origine ethnique, géographique ou sociale…, de conceptions politiques ou pour toute autre raison est expressément interdite, sous peine de suspension ou d’exclusion. »

Le mémoire du Club des Avocats au Maroc a mentionné également l’article 22 du Code d’éthique du FIFA qui dispose que « Les personnes auxquelles s’applique le présent code ne doivent en aucun cas porter atteinte à la dignité ou à l’intégrité d’un pays, d’une personne ou d’un groupe de personnes en le ou la rabaissant, discriminant ou dénigrant, par leurs paroles ou leurs actions en raison – notamment – de la couleur de peau, de l’origine ethnique ou de quelque autre motif. »

Selon le recours introduit par le club des avocats La Fédération Algérienne de Football est entièrement responsable de ces agissements des supporters et du discours politique prononcé par les invités de la cérémonie d’ouverture

L’article 16 du code disciplinaire de la FIFA dispose que « les associations hôtes sont chargés du maintien de l’ordre et de la sécurité avant, pendant et après les matches dans le stade et ses abords.

Les associations et clubs seront tenus responsables du comportement inapproprié de leurs supporters et pourront faire l’objet de mesures disciplinaires notamment tout gestes, mots, objets ou tout autre moyen pour transmettre un message inadapté à un événement sportif, à savoir les messages de nature politique, idéologique, religieuse ou offensante ;

L’avocat casablancais précise que Le règlement du FIFA sur la sûreté et la sécurité des stades condamne toute action provocatrice et agressive et tout discours de racisme » l’article 60 Al 2 dispose que L’organisateur de l’événement doit s’assurer, en coopération avec les autorités de sécurité locales, que les supporters n’agissent pas de manière provocatrice ou agressive dans l’enceinte ou à proximité immédiate du stade. Sont donc notamment interdits : les provocations verbales inacceptables ou les agressions envers les joueurs, les officiels de match ou les supporters de l’équipe adverse, les comportements racistes, les banderoles et drapeaux où figurent des slogans provocateurs ou agressifs.

Me Mourad Elajouti indique que dans le cas où de telles provocations surviennent, l’organisateur de l’événement et/ou les forces de sécurité sont tenus d’intervenir immédiatement. Les stadiers doivent signaler à la police tout acte grave de mauvaise conduite, y compris les insultes racistes, de manière à faire expulser du stade tout fauteur de trouble. Ce qui n’a pas été observé par les autorités algériennes qui ont encouragé ces agissements exécrables.

Le Club des Avocats au Maroc dénonce le comportement odieux et répugnant du mercenaire et Pseudo-pétitionnaire Sud-Africain payé pour faire l’apologie de la haine et du terrorisme.




Lors d’une conférence par visio-conférence : Julien Paluku invite les hommes d’affaires indiens à venir investir dans les Zones économiques

  1. Julien Paluku, ministre de l’Industrie invite les investisseurs indiens de venir travailler en République Démocratique du Congo pour ainsi appuyer son pays dans la mise en œuvre de son plan Directeur d’Industrialisation chiffré à 58,4 milliards de dollars américains et qui augure la transformation locale de ses ressources naturelles.

Ces hommes d’affaires indiens sont également appelés de venir s’installer dans les Zones économiques spéciales pour bénéficier des avantages fiscaux, parafiscaux et douaniers qu’offrent celles-ci et d’appuyer l’Etat congolais dans l’exécution du projet panafricain de développement d’une chaîne de valeur régionale.

Julien Paluku Kahongya a lancé cet appel du Gouvernement congolais au cours de la conférence sur le développement des synergies sud focalisée sur plusieurs domaines dont l’industrie, le commerce, la technologie, le tourisme et la santé. Cette conférence a été organisée ce vendredi par visio-conférence par le ministère indien du Commerce et de l’Industrie.

« La Rdc s’est engagée dans la création de la chaine de valeur autour des batteries électriques. Nous avons ce qu’il faut, à savoir le cobalt, le nickel et le manganèse et nous sommes le pays solution dans cette transition énergétique et écologique qui fait aujourd’hui l’actualité dans le monde. Voilà pourquoi nous invitons tous ceux qui sont intéressés par la panoplie des projets et contenus dans le plan directeur de la Rdc, de venir dans notre pays, parce que ce plan directeur est déjà chiffré à hauteur de 58.4 milliards de dollars, ce qui intéresserait plus de partenaires dans plusieurs domaines », a expliqué le ministre congolais de l’Industrie.

A l’issue cette conférence, le ministre indien du Commerce et de l’Industrie a rassuré que son pays va consolider le partage de son expertise en développement avec les pays africains.

Signalons que le ministre congolais de l’Industrie était entouré du Directeur de Cabinet du ministre du Commerce Extérieur, représentant le ministre Jean-Lucien Bussa, mais aussi des experts de son cabinet.




Après le Boulevard du 30 juin et Kintambo Magasin, l’opération coup de poing va-t-il s’arrêter ?

M.Gentiny Ngobila, gouverneur de la ville de Kinshasa est plus que déterminé à redonner à Kinshasa sa plus belle robe d’antan. Après le boulevard Lumumba, le premier citoyen de la ville de Kinshasa était, vendredi 13 janvier dès 4 heures du matin, au rond-point Kintambo Magasin pour suivre de près l’opération coup de poing lancée depuis lundi passé.

A l’étape de Kintambo Magasin, cette opération était axée essentiellement sur la libération de la voie publique, l’évacuation des épaves des véhicules, des kiosques, des immondices, des garages pirates, des marchés pirates qui obstruent les grandes artères principales. Sur place, accompagné de son vice-gouverneur Gérard Mulumba, ainsi que l’équipe de la police, le gouverneur Gentiny Ngobila a ordonné l’organisation des parkings, tout en décidant de transformer certaines avenues en sens unique.

« Aujourd’hui, la circulation est fluidifiée ici et nous espérons que ça va demeurer ainsi», a-t-il déclaré, avant d’indiquer que ce n’est pas la première fois que cette opération est effectuée ici à Kitambo magasin , il y a eu de difficultés par manque du soutien de la part de la police. “Mais cette fois-ci, la police est présente à côté des autorités pour accompagner et pérenniser cette action. Environ mille policiers sont sur terrain pour s’assurer de la pérennisation de ces opérations”, a renseigné le gouverneur Gentiny Ngobila.

Selon l’autorité urbaine, avant son avènement à la tête de Kinshasa, la ville était inscrite parmi les 25 villes les plus sales du monde, mais aujourd’hui, Kinshasa n’est plus citée grâce aux efforts fournis. Un motif de fierté pour l’homme de Kinshasa bopeto. Par ailleurs, Gentiny Ngobila ne dort pas sur ses lauriers. Il a signifié que les efforts sont en train d’être faits bien que beaucoup reste à faire.

Cette opération coup de poing va s’étendre à travers toute la ville de Kinshasa dans le souci d’offrir à la population Kinoise un environnement sain.




F. Tshisekedi condamne l’attentat terroriste perpétré à Kasindi (Nord-Kivu)

Le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, condamne avec la plus grande fermeté l’attentat terroriste perpétré, ce dimanche 15 Janvier 2023, dans une paroisse pentecôtiste dans la cité de Kasindi (Nord-Kivu), lequel a fait des dizaines de morts et de blessés.

Très attristé par ce crime odieux, le Père de la nation, présente ses condoléances les plus émues aux familles éplorées, rassurant que les coupables seront poursuivis, arrêtés, jugés et sévèrement punis.




Tshisekedi échange avec Antony Blinken

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, s’est entretenu au téléphone, ce Samedi 14 Janvier 2023, en fin de journée, avec le Secrétaire d’Etat Anthony Blinken.

Les échanges ont porté sur la situation de l’Est à la veille de l’échéance de l’ultimatum du 15 Janvier 2023 pour le retrait, sans conditions, du M23 soutenu par le Rwanda des positions occupées.

Les États-Unis ont promis de continuer à multiplier les efforts pour faire respecter la feuille de route de Luanda ainsi que le processus de Nairobi.

Les États-Unis ont réitéré qu’ils ne sont pas d’accord avec le soutien du Rwanda au M23.




Des sénateurs US soulignent le leadership régional continu du Maroc en faveur de la paix

Une délégation du Congrès américain, composée de sept membres représentant les partis démocrate et républicain, a mis en exergue, vendredi à Rabat, le leadership régional continu du Royaume en Afrique du Nord et à travers l’Afrique, en faveur de la paix, sous la vision éclairée de SM le Roi Mohammed VI.

 “Notre intérêt dans les jours à venir est de continuer à travailler pour la paix dans cette région, étant donné le leadership continu du Maroc en Afrique du Nord et à travers l’Afrique dans son ensemble”, a déclaré le sénateur républicain de l’Oklahoma, James Lankford, à l’issue des entretiens de la délégation US avec le ministre des affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita.

M.Lankford s’est également félicité de l’amitié qui lie le Maroc aux Etats-Unis d’Amérique qui date de plus de deux siècles, soulignant la volonté de son pays de raffermir encore davantage ces liens dans les prochaines années.

 Dans la même veine, le sénateur a indiqué que la visite de la délégation lui permettra de mieux s’informer et de rencontrer des responsables marocains pour développer une amitié “à très long terme”.

 De son côté, la sénatrice démocrate du Nevada, Jacky Rosen, a déclaré que le but de cette visite est d’examiner les moyens susceptibles de renforcer la paix et la prospérité dans la région avec l’aide du Maroc, exprimant la volonté des Etats-Unis d’approfondir et de consolider le partenariat avec le Royaume.

 La délégation du Congrès américain s’était entretenue, vendredi, avec le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, au sujet des relations distinguées unissant le Maroc et les Etats-Unis fondées sur un partenariat fort, ambitieux et diversifié.




Infrastructures : La commission d’audit de l’exécution du PDL-145 territoires à pied d’œuvre à Kabinda

Conduite par le chef d’Antenne du bureau central de contrôle “BCCO”, le professeur Ngindu Kalala, cette commission chargée de faire l’audit comptable et technique sur les infrastructures construites dans le cadre du programme de développement local de 145 territoires qui séjourne déjà dans la province de Lomami,  a été reçue par le Gouverneur de province Nathan Ilunga Numbi.

Pour le professeur Ngindu Kalala, il était dans leur devoir de présenter des civilités à l’autorité provinciale et lui dire l’ultime objectif principal de leur mission dans ce coin de la RDC.

« Il vont faire un travail d’audit. Audit comptable et technique sur toutes les infrastructures que nous avons déjà commencées dans la province de Lomami dans le cadre du PDL 145 territoires. Il y a déjà 24 infrastructures qui sont en construction dont 12 à Ngandajika et 12 à Luilu. Ils vont auditer pour se rendre compte du niveau d’exécution des travaux et voir si l’argent qui a été décaissé respecte le niveau d’exécution des travaux », a expliqué le professeur Ngindu Kalala.

À l’en croire, la délégation   venue de Kinshasa pour faire l’audit des travaux exécutés jusqu’ici dans deux territoires dont Ngandajika et Luilu, qui est composée d’un Chef de projet, un auditeur et deux ingénieurs. Le professeur Ngindu Kalala a par la même occasion révélé que l’ingénieur qui sera dans le territoire de Ngandajika, procédera en même temps au prélèvement des données cartographiques sur les routes qui seront construites prochainement pour le désenclavement de la province et l’interconnexion entre les centres de production et de négoce.

Au sujet des territoires de Kamiji, Lubao et Kabinda qui n’ont pas encore jusqu’ici bénéficié le début des travaux, le Chef d’antenne BCECO, maître d’ouvrage délégué du PDL 145 territoires à Lomami, a indiqué que d’ici la fin du mois de janvier, les travaux seront lancés dans les trois autres territoires. A noter que les travaux qui seront lancé dans ces 3 entités seront exécutés par les petites et moyennes entreprises et non les agences locales d’exécution comme dans les deux autres territoires.




CENI : Les Centres d’inscription seront ouverts au public les lundi 16 et mardi 17 janvier 2023

Conformément à son communiqué de presse du 03 Janvier 2023, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) porte à la connaissance de l’opinion publique que les Centres d’inscription seront ouverts au public les lundi 16 et mardi 17 Janvier 2023, de 7h00 à 17h00, heures locales, sur l’ensemble des 10 provinces de la première Aire Opérationnelle (AO1).

Dans un communiqué signé par le Rapporteur Mme Patricia Nseya Mulela, la CENI invite les requérants remplissant les conditions exigées à se rendre aux Centres d’inscription de leurs ressorts.

Par ailleurs, la CENI rappelle, à nouveau, aux Membres des Centres d’inscription le respect strict des procédures d’enrôlement, notamment le remplissage du formulaire F01, la priorité accordée aux personnes vulnérables, la présence de trois témoins pour tout candidat électeur ne disposant d’aucune pièce exigée et la gratuité d’accès aux Centres d’inscription.