Quand l’Udps se fabrique des ennemis
La parole du Président de la République n’est jamais un évangile, encore moins une loi opposable à tout le monde. Le Président des mutins putschistes révolutionnaires de Kisantu sait très bien que sa signature est déjà frappée de défaut de qualité d’engager l’UDPS/Tshisekedi devant la Cour Constitutionnelle, la CENI et devant les Cours d’Appels de la République Démocratique du Congo.
Les éventuels candidats aux différents scrutins électoraux dont au premier chef le Président de la République que les mutins putschistes révolutionnaires de Kisantu voudraient présenter comme candidat de l’Udps /Tshisekedi, qu’ils ne reconnaissent pas ni les statuts ni les autres textes réglementaires du Parti, ne se laissera tomber dans le piège.
Quelle aubaine pour les adversaires politiques à qui des armes infaillibles de haute précision sont offertes pour attaquer et vous détruire. Ils ne sont pas dupes de votre forteresse de défense installée. Devant la puissance de feu conjuguée, elle va céder certainement.
Rappelez-vous les paroles prophétiques du Professeur Banyaku !
Messieurs les mutins putschistes révolutionnaires, votre montage est bâti sur la fraude, c’est du vent, du sable mouvant, c’est du bidon !
Revenez à la raison, l’ivresse du pouvoir vous perdra.
Constatez avec nous que rien ne va à la cour du roi Petaud, un mal qui gangrène la société, la corruption puisqu’il faut l’appeler par son nom frappe tous les dignitaires de la cour royale. Tous comme la Covid-19 n’en meurent pas. Des espions-traîtres y ont été dénichés bien longtemps après, ces intouchables tigres et léopards plusieurs années nourris et entretenus aux petits oignons aux frais du roi et du peuple ! Les lamentations populaires ont été entendues, mais le mal est fait.
Messieurs les mutins putschistes révolutionnaires votre forfaiture est vouée à l’échec, la force est à la loi, la loi de la force ne vous réussira pas.
Nous les forces vives Tshisekedistes, sages aînés du parti, nous vous convions au dialogue aux tours des textes.
Dr Tambwe Mbuyi, Cadre du parti.
Black Power Évolution
Je ne suis derrière personne et contre personne.
Je suis de l’UDPS. Et je vais réélire Fatshi.
Mais, l’unité n’est pas égale à la soumission.
Il faut que Fatshi, s’il veut conserver son pouvoir, demande à Kabuya de payer le personnel du parti. De cesser de faire arrêter les combattants. Il faut l’instruire à faire du bien. A couper court avec le monnayage des postes…
Votre manière de chercher l’unité est comme si vous imposez tout le monde au Tosa obika.
L’unité ce que tout le monde soit bien servi.
On a besoin d’une réconciliation sincère et non de façade.
Kabuya viole les textes, mais pourquoi la haute hiérarchie le laisse faire ?
Nous devons toujours applaudir.
Soyez francs, à Kisantu, quels sont les pouvoirs bien énumérés qu’on a donnés à Kabuya ?
Est – ce les pouvoirs de nommer les Fédéraux ? Montrez – nous où les 2 résolutions prises à Kisantu donnent ce pouvoir au SG ?
Dernièrement, nous avons écrit et insisté sur l’unité pour donner à Fatshi la majorité parlementaire. C’est la nomination du Fédéral de Banza Ngungu qui est la goutte qui a débordé la vase.
Que chacun recherche la paix. Ne nous demandez pas de faire des concessions pareilles.
Dans la réconciliation, il doit y avoir aussi le respect des textes.
Donc, pour avoir la majorité au parlement, nous devons accepter de nous jeter dans la boue.
Cessons de nous irriter mutuellement. Éviter ce qui blesse l’autre.
Pour vous, unité c’est accepter des bêtises comme Tosa obika et non plus le peuple d’abord.
Voici 4 ans nous sommes toujours au chômage. Mais le parti ne peut pas demander à Fatshi d’associer les combattants dans la résolution de la question de l’Est. Il faut recruter dans les services sécurité.
La politique c’est l’intérêt. Les combattants ont aussi droit au partage du butin.
Tout travail mérite un salaire. A ce rythme, beaucoup sont déçus. Il est temps que la haute hiérarchie pense à nous. Certains applaudissent parce qu’ils ont du travail. Et nous.
Nous finirons par nous radicaliser. Advienne que pourra.
Le black Kaïser
Incendié au mois de décembre passé : Wenze ya Imbwa en voie de reprendre ses activités
Contrairement au vouloir de la population environnante, le marché Citas, communément appelé ” Wenze ya Imbwa” commence à reprendre ses activités petit à petit, après un moment de silence dû à l’incendie électrique qui avait provoqué la perte de plusieurs biens dans la nuit du jeudi au vendredi 30 décembre 2022 au quartier Cimanga, dans la commune de Barumbu.
Il s’observe dans ce site commercial une présence timide des vendeuses de pains, du café, de boutiques, de restaurants et d’autres quincailleries en pleine reconstitution, alors que la population environnante souhaite l’interdiction de ce petit marché qui perturbe selon elle, la circulation dans ce coin de la capitale et ne répondant pas aux critères du marché.
Aucun mort n’avait été enregistré dans cet incident, comme avait affirmé une maman vendeuse de farine, victime de perte et surprise par le feu au moulin. Elle s’était exprimée, disant : « nous avons fait beaucoup de temps sans courant, comme c’était rétabli, nous étions venues pour moudre les maïs. Le courant s’est soudainement explosé et rien n’a été sauvé là », parce que le feu était difficile à maîtriser et la fumée s’était rependue partout.
Il faudrait attendre le service anti incendie, lequel arrive malheureusement en retard, tous étaient déjà réduit en cendres”, a-t-elle dit.
Touchée de l’incendie, la population environnante plaide pour la non restauration de ce site qui ne répond pas aux critères du marché. “Nous demandons au gouverneur de la ville, Gentiny Ngobila de ne plus autoriser le fonctionnement de ce marché, car il ne répond pas aux critères appropriés”, souhaite la population.
Il est à noter que “wenze ya imbwa” au quartier Cimanga dans la commune de Barumbu n’a aucun bâtiment construit en matériaux durables. Il ne constitue que des tôles et des planches allergiques au feu. Et d’ajouter qu’après cet incendie, le marché est en train d’être reconstruit de la même manière.
Jean-Luc Lukanda
Prolongation de l’enrôlement des électeurs : La CIME salue le sens de responsabilité du management de la CENI
La Commission d’Intégrité et Médiation Electorales (CIME), à travers son président, l’Imam Moussa Rachid, salue la décision nº 001/CENI/AP/2023 de la CENI, du dimanche 22 janvier 2023, accordant une prolongation de 25 jours à l’opération de la Révision du Fichier Electoral dans la première Aire Opérationnelle.
Dans un communiqué partagé aux médias, la CIME apprécie à juste titre le sens de responsabilité et du devoir dont a fait montre le Management de la CENI en prenant cette décision lucide et courageuse qui permet la poursuite du processus électoral.
La CIME exhorte la population, de manière générale, à ne plus attendre la dernière minute, mais plutôt à se saisir de l’opportunité de cette prolongation accordée par la CENI pour aller se faire enrôler massivement, car ceci leur donne droit non seulement à être d’électeur et éligible, mais aussi à l’acquisition d’une carte nationale d’identité délivrée par l’Office National d’Identification de la Population (ONIP).
Kailo : Un enfant de 14 ans trouvé pendu dans sa chambre !
Un fait macabre s’est passé le dimanche soir à Kailo Centre, chef-lieu du territoire qui porte le même nom. En effet, un enfant de 14 ans a été retrouvé pendu dans sa chambre. Fort malheureusement, sa marâtre a préférée de le délier de sa corde de crime avant de faire appel à la police et l’enterrement s’en suivra quelques temps après.
Aucune enquête n’a été menée pour connaitre l’origine de ce meurtre et les autorités territoriales ne se préoccupent guère. Informé à ce sujet, le commissaire près le Gouverneur en charge de l’Intérieur et sécurité, Me Marcel Lemba-Lemba, promet d’envoyer une équipe dans les heures qui viennent pour mener une enquête approfondie.
Il nous revient que le territoire de Kailo n’a pas un Sous Commissaire dans la commune, mais plutôt une infanterie qui dirige la juridiction de la PNC. D’autres détails dans nos prochaines éditions.
Ituri : Les FARC libèrent 26 congolais retenus en captivité à Samaliko
C’est à Samaliko, dans la chefferie de Babilo Babombi, territoire de Mambasa, dans la province de l’Ituri, où les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), ont réussi à tuer, le weekend dernier, six rebelles des ADF et ont permis la libération de vingt-six personnes qui étaient retenues en captivité depuis plusieurs jours, a affirmé le porte-parole de la FARDC, Jules Ngongo, ce lundi 23 janvier.
Dans ses dires, le communicateur Jules Ngongo a éclairé l’opinion publique en ces termes : « Dans le territoire de Mambasa, votre armée a mené les opérations contre les ADF. Et après les combats, six ADF ont été neutralisés et des armes de guerre ont été saisies. Lors de ces opérations les forces armées ont récupéré les paisibles populations qui étaient dans l’ombre de la mort aux mains des ADF. Et donc, plus de vingt-six personnes ont été libérées et aujourd’hui, ces compatriotes circulent librement », a fait savoir le porte-parole de l’armée congolaise.
Sur instruction du gouverneur de la province de l’Ituri, le Général Johnny Luboya, l’armée a lancé depuis samedi, les opérations de traque contre les groupes armés locaux et étrangers qui sèment la terreur dans l’ensemble de l’Ituri.
Jean-Luc Lukanda
Les Cyclistes/filles demeurent sans prime malgré les exploits réalisés
Les braves Léopards/filles ont brillé de mille feux à la 1ère et 2è édition du Tour cycliste international féminin du Burundi en 2021 et 2022. Par équipe, elles avaient terminé respectivement 4è et 2è. En individuel, Okito Hélène termina 3è et 2è. Ce qui est dommage, ces braves filles n’ont rien perçu à ce jour du trésor public. Même pas un franc congolais.
Pourquoi la gente féminine est négligée, marginalisée et l’on lui accorde peu d’attention ?
Dans la majeure partie de cas, dans les délégations sportives, on y amène souvent que très peu de filles. Mais là où nous perdons notre latin, c’est dans le football dames. Si on donne tout pour le football masculin, les filles sont négligées. Et parfois chassées de leur hôtel et ratent le voyage comme ce fut le cas en 2022.
Que dire de plus ?
D’ailleurs, au terme de la loi sportive depuis sa promulgation, toutes les disciplines sont mises sur le même pied d’égalité. Il ne peut plus avoir d’un côté les privilégiés et de l’autre côté, des laisser pour compte. Le ministère des Finances à dire vrai devra bannir la discrimination, le favoritisme et l’injustice. Si aujourd’hui, 24 disciplines ont la délégation de pouvoir, il faudra que toutes signent des contrats d’objectif. Le financement pourra dépendre des performances. C’est une option que l’on peut prendre. Le sport congolais n’a pas besoin de la discrimination. Cette journée nationale du sport devra être une journée de méditation pour repenser à tous ces problèmes. Le sport congolais ira mieux.
Antoine Bolia
Combats Libres : La Rdc déjà au diapason international et va abriter un championnat mondial
La Fédération Congolaise des Combats Libres et arts martiaux modernes ‘’FCCL’’ que préside Me Rodrigue Masuama a entrepris des efforts louables avec ses propres moyens. La FCCL dispose des matériels et équipements modernes appropriés (Ring et cage). Elle a eu à organiser le championnat d’Afrique central et s’apprête à organiser le championnat du monde au pays. Jusque-là, cette fédération ne bénéficie pas du concours et du soutien du gouvernement congolais.
Antoine Bolia
Judo : les sacrifices consentis par la Conaju sans bénéficier de l’apport du Trésor public
Au bord de l’abime, le judo congolais doit la vie à l’avènement de la Coordination Nationale des Activités du Judo en RDC ‘’Conaju’’. En six mois d’existence et sans l’aide du gouvernement congolais, la Conaju sous le leadership du coordonnateur Nico Liyanza a mené des actions à impact visible : formation des cadres (administratifs, coachs et arbitres), acquisition des matériels (tatamis et judogis), acquisition d’un siège administratif, organisation du tournoi de la sélection des léopards d’abord au niveau des ligues ensuite phase finale à Kinshasa. Avec des moyens propres, les Léopards ont pris part à l’Open international de Dakar, au Sénégal et à l’Open International de Yaoundé, au Cameroun. Et ici, l’on doit souligner que pour la 1ère fois de l’histoire un athlète congolais de pure souche a glané la médaille d’or. Il s’agit de Daso Kisoka dans la catégorie -60 kg/messieurs tandis que Chanceline Nsona avait glané la médaille de bronze dans la catégorie -78 kg/dames. Et ces deux jeunes judokas n’ont reçu aucune prime de l’état congolais.
Antoine Bolia