Sahara marocain: Les Etats-Unis réitèrent leur soutien au plan d’autonomie

La secrétaire d’Etat adjointe américaine chargée des organisations internationales, Michele Sison, a réitéré, mercredi à Rabat, le soutien des Etats-Unis au plan marocain d’autonomie comme solution sérieuse, crédible et réaliste au différend autour du Sahara.

“Les États-Unis continuent de considérer le plan d’autonomie présenté par le Maroc comme sérieux, crédible et réaliste”, a indiqué Sison lors d’un point de presse à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita.

“La priorité des États-Unis est de soutenir un processus crédible menant… à une solution digne et durable au conflit du Sahara, qui bénéficie du soutien de la communauté internationale”, a poursuivi la responsable américaine.

Cette rencontre a également porté sur le soutien continu des États-Unis à Staffan de Mistura dans son rôle d’envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara, a-t-elle fait savoir.

“Nous avons discuté de notre ferme soutien aux efforts de maintien de la paix de la MINURSO et de son importance pour préserver les conditions du processus de paix sous l’égide de l’ONU”, a, par ailleurs, affirmé Sison.

www.panorapost.com




«Le Maroc et les États-Unis, passé et présent», thème d’un colloque international du 25 au 27 janvier à Rabat

« Le Maroc et les Etats Unis, passé et présent », est le thème d’un colloque international, organisé du 25 au 27 janvier à Rabat, à l’initiative de l’Institut Royal pour la recherche sur l’histoire du Maroc.

Ce colloque se veut « une contribution à une connaissance approfondie des relations historiques et présentes existant entre le Maroc et les Etats-Unis », indique un communiqué de l’Académie du Royaume du Maroc.

Cette rencontre scientifique sera marquée par la participation d’une pléiade d’universitaires marocains, américains et français ayant consacré des recherches aux relations maroco-américaines, précise le communiqué.

« L’approche de ce colloque, qui représente une contribution à une connaissance approfondie des relations historiques et présentes existant entre le Maroc et les Etats -Unis, est pluridisciplinaire, incluant l’histoire, l’anthropologie, les sciences politiques, la littérature, la musicologie et d’autres sciences humaines et sociales », ajoute la même source. La conférence inaugurale sera donnée par Mohammed Kenbib, directeur de l’Institut Royal pour la Recherche sur l’Histoire du Maroc, ce mercredi à 17h à l’Académie du Royaume du Maroc.

https://www.barlamane.com




Sahara: Le rappel à l’ordre de Michele Sisson depuis Alger

En Algérie, la sous-secrétaire d’État américaine aux affaires des organisations internationales, Michele Sisson, a rappelé la position de principe des Etats-Unis sur la question du Sahara. L’Algérie qui habituellement saute au plafond dès que les déclarations ne correspondent pas à son narratif, n’a pas pu réagir face à la première puissance mondiale.

La deuxième responsable la plus influente aux Affaires Etrangères aux Etats-Unis, a affiché la position claire des Etats-Unis sur le dossier du Sahara depuis Alger, en soutenant une solution politique et durable acceptée par les parties au conflit, et en approuvant le processus de paix dirigé par l’ONU.

Ces déclarations dérangent au plus haut point en Algérie, pays qui continue de s’accrocher à l’option du référendum et qui ne souhaite pas de solution de politique.

L’Algérie s’est aussi hissée contre le processus de paix de l’ONU en refusant de prendre part au processus des tables rondes entre les quatre parties.

Michelle Sisson a également affirmé que les Etats-Unis, soutiennent les efforts de l’Envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies, Staffan de Mistura, pour faire accepter une solution permanente et faciliter une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable.

« L’administration Biden axe sur le soutien à un processus crédible sous la conduite de Staffan de Mistura », a-t-elle déclaré, selon des sources de presse, durant sa rencontre avec des responsables algériens et le ministre algérien des Affaires Etrangères, Ramtane Lamamra.

Encore une fois, avec cette affirmation des Etats-Unis, c’est un contrepoids à la position exprimée par l’Algérie en refusant la dernière résolution du Conseil de sécurité et en refusant de reprendre le processus des tables rondes censé être dirigé par Staffan de Mistura.

«Une solution politique est importante pour promouvoir un avenir pacifique et prospère pour le peuple du Sahara occidental et de la région», a affirmé la responsable américaine.

« Nous soutenons fermement la mission de maintien de la paix de la MINURSO et apprécions les contributions de la MINURSO au maintien des conditions nécessaires pour faire avancer le processus de paix dirigé par l’ONU en mettant l’accent sur une solution durable au Sahara occidental », a-t-elle ajouté.

Selon elle, l’administration de Joe Biden se concentre sur le soutien d’un processus politique crédible sous la direction de Staffan de Mistura pour une solution permanente.

Au Maroc ce mercredi, Michelle Sisson a rencontré le ministre des Affaires Etrangères, Nasser Bourita, et a réaffirmé la même position exprimée en Algérie, tout en allant plus loin, en continuant de considérer le plan d’autonomie comme la solution qui renferme les prérequis pour la résolution permanente du dossier.

« La priorité des États-Unis est de soutenir un processus crédible menant à une solution digne et durable au conflit du Sahara, qui bénéficie du soutien de la communauté internationale », a-t-elle fait savoir.

« Les États-Unis continuent de considérer le plan d’autonomie présenté par le Maroc comme sérieux, crédible et réaliste », a-t-elle indiqué à ce sujet lors d’un point de presse à l’issue de ses entretiens avec Nasser Bourita.

https://fr.hespress.com




Maroc / Parlement Européen : les réactions continuent

Le Gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, a supervisé, mercredi 27 janvier 2023, l’opération de démolition des constructions anarchiques sur la baie de Ngaliema. Il était accompagné du patron de la police ville de Kinshasa, le général Sylvano Kasongo, ainsi que du Commandant de la 14ème région militaire.

Sur instruction du Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi, le Gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka a dirigé cette opération à bord des engins de l’hôtel de ville, consistant en la démolition des constructions anarchiques sur la baie de Ngaliema tout au long du fleuve Congo afin de faire respecter les normes urbanistiques.

” L’opération va se poursuivre jusqu’à la fin de la semaine, j’avoue ma satisfaction sur le fait de bénéficier du soutien de la population et des mamans maraîchères en particulier. J’invite la police à veiller sur l’effectivité du déroulement de cette opération”, a déclaré le gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka. Par ailleurs, l’autorité urbaine a interpellé les chefs coutumiers qui n’arrêtent pas de vendre des terres aux paisibles citoyens.

“Nul n’est censé ignorer la loi, la population doit retenir que les chefs coutumiers n’ont aucun droit pour vendre des espaces et des terres dans la ville de Kinshasa.  Le droit coutumier ne s’exerce pas ici à Kinshasa. Les chefs coutumiers, ici, ont le rôle des vigiles. C’est-à-dire, surveiller, sécuriser pour éviter que n’importe qui vienne occuper des espaces”, a interpellé le patron de la ville de Kinshasa, avant de rassurer qu’il fera le suivi de cette opération lui-même durant cette semaine sur cet espace.

“Dérives juridiques”, “ingérence” et “agressions”, tels ont été les mots des parlementaires marocains, en réaction à la résolution “non-contraignante” du Parlement européen contre le Maroc.

Portant  sur une prétendue transgression des droits de l’homme dans le traitement d’affaires juridiques nationales, les dénonciations sont nombreuses à Rabat. Pour rappel, les trois affaires judiciaires visées par la résolution du PE concernent, entre autres, des condamnations pour agressions sexuelles et viols.

Dans son intervention, Neila Tazi, du groupe de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM), a exprimé son indignation et son rejet catégorique de la résolution du PE, notant qu’il s’agit en l’espèce “d’une attaque directe contre toutes les institutions marocaines et contre une justice marocaine indépendante”.

“Le Parlement européen a commis une faute grave à l’égard d’un partenaire majeur et stratégique et ce, en s’attaquant au Royaume au lieu de défendre les droits d’une femme victime de viol”, a t-elle martelé, avant de faire remarquer que dans une période où les crimes de viols sont dénoncés avec véhémence en Europe, on constate que les femmes marocaines et africaine seraient, elles, privées de procès équitables.

https://maroc-diplomatique.net




Saint-Coran déchiré à La Haye : Le Maroc condamne dans les termes les plus forts un acte provoquant (Ministère des AE)

Le Royaume du Maroc condamne dans les termes les plus forts les agissements d’un extrémiste qui a déchiré un exemplaire du Saint-Coran à La Haye, aux Pays-Bas, a affirmé mercredi le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.

Le Royaume “dénonce ce nouvel acte provoquant qui heurte les symboles sacrés et les sentiments de plus d’un milliard de musulmans”, souligne le ministère dans un communiqué.

“Tout en rappelant les valeurs de tolérance et de coexistence et le respect des symboles sacrés, le Royaume du Maroc souligne la nécessité d’appliquer la loi et d’agir avec fermeté pour prévenir toute atteinte aux religions et aux sentiments de leurs adeptes”, ajoute la même source.

https://www.medi1news.com




LA DÉDICACE DE L’ ANNEE AVEC LE PASTEUR FRANÇOIS MUTOMBO VH/ JEUDI 26 JAN 2023




Polémique autour des avantages de Joseph Kabila : Marie Olive Lembe Kabila brise le silence et attaque Nicolas Kazadi

Plus de quatre années durant, la pullule amère contre Joseph Kabila semble être difficile à avaler. Plusieurs langues malveillantes ont dit à tort et spéculé sur les avantages constitutionnels de Joseph Kabila Kabange, ancien Chef de l’Etat, actuellement sénateur à vie. Il y va dans tous les sens au point de faire avaler aux Congolais par l’entremise de l’UDPS cette pullule amère que, Joseph Kabila Kabange toucherait 680.000 dollars le mois.

Depuis, aucun document n’atteste ce paiement dans et pour le compte Joseph Kabila. Aucune pièce n’a été prouvée à la face du monde. Curieusement, dans un entretien sur les ondes de la Radio Top Congo, Nicolas Kazadi Kadima, ministre des Finances annonce que désormais, le Chef de l’Etat Felix Antoine Tshilombo Tshisekedi touche 17.000 dollars et que l’ancien Chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange ne touchera plus 680.000 dollars américains le mois. Désormais, le Sénateur Joseph Kabila touchera 75% du salaire de l’actuel Chef de l’Etat, soit 12.000 dollars le mois.

Ces propos n’ont pas laissé indifférent un congolais rationnel. Depuis, le débat s’est invité dans les états-majors des partis politiques que sur les plateaux de chaînes de télévision.

Pour les tenants de la thèse mensongère : c’est bien. Désormais Kabila aura ses 12.000 dollars. Tandis que les hommes réfléchis n’ont pas tardé de qualifier de propos mensongers et diffamatoires. Comment peut-on réduire de 680.000 dollars à 12.000 dollars ? S’interrogent les observateurs et analystes de questions financières et monétaires. Impossible de réduire à ce point. La réalité ce que le ministre des Finances a menti sur toute la ligne.  Joseph Kabila Kabange n’a jamais touché 680.000 dollars, clame Marie Olive Lembe Kabila. J’exige la preuve, un document signé par mon mari qu’il a perçu ce montant. C’est un mensonge cousu de toutes pièces pour justifier leur mégestion. Je cherche cet argent depuis 2020 jusqu’à ce jour et qu’on me brandisse la seule preuve d’un document signé par mon mari ou d’un numéro du compte bancaire dans lequel serait versé cet argent.

Si jamais mon mari touchait cet argent, je serais heureuse de réaliser les œuvres humanitaires en faveur de nos compatriotes. Savez-vous ce que je peux faire avec cet argent si réellement mon mari toucherait ces 680.000 dollars ?

Désormais, je me mets en quête de cet argent et le ministre des Finances doit me dire à qui il payait cet argent dont nous n’avons jamais reçu.

Déclarer et mentir aux vues et su de tout le monde que Joseph Kabila Kabange toucherait ces 680.000 dollars est très facile. Cependant, prouver à la face du monde avec preuve de payer, c’est une autre chose. Et, Marie Olive Lembe Kabila n’attend pas baisser les bras. C’est un droit constitutionnel de mon mari. Nicolas Kazadi doit me donner cet argent depuis 2020 à ce jour, soit 680.000 dollars multipliés par 36 mois, soient 24.480.000 dollars. Nous disons vingt-quatre millions quatre cents quatre-vingt mille dollars que l’Etat congolais doit au mari de Marie Olive Lembe Kabila.

C’est au cours de la cérémonie d’échange des vœux au Centre Hospitalier Initiative Plus (CHIP) que l’épouse de Joseph Kabila Kabange a tenu à éclairer l’opinion tant nationale et internationale sur les mensonges du ministre des Finances Nicolas Kazadi, mais également briser le silence sur cette épineuse question qui a noirci innocemment Joseph Kabila Kabange dans l’opinion congolaise. Désormais, Nicolas Kazadi doit prouver à la face du monde, documents à l’appui de ces avantages constitutionnels de Joseph Kabila Kabange qui, en réalité ne les a jamais touchés.

Mon mari Joseph Kabila n’est pas un fond de commerce pour justifier l’incompétence dans la gestion de la République. Vous allez me donner cet argent qui a terni l’image de mon mari, menace Marie Olive Lembe Kabila.

Au cours de cette même cérémonie, Marie Olive Lembe Kabila a dénoncé et condamné tous ceux qui ont travaillé dans l’ombre pour séparer son mari à l’actuel chef de l’Etat Felix Antoine Tshilombo, sans tenir compte de conséquences de cette rupture. Malheureusement Félix Antoine Tshilombo a mordu à l’hameçon. Ces hommes qui ont joué ce sale jeu avaient des agendas cachés contre la République et aujourd’hui, la situation sécuritaire à l’Est de la République est malsaine.

Dans la foulée, Marie Olive Lembe Kabila prêche l’amour patriotique, l’auto-prise en charge, sans lesquels nous ne serons jamais respecté. Sans la paix, il n’y a pas de développement ; sans la paix, il n’y a pas l’amour du pays, a-t-elle conclu, peu avant de souhaiter et présenter ses vœux les meilleurs à tous nos compatriotes se trouvant dans les zones de turbulences.

Pius Romain Rolland




Muanda : Tony Mwaba ordonne des mesures disciplinaires contre le préfet de l’école Banza

Faire des visites surprises pour s’enquérir de la réalité des écoles, la nouvelle religion du Ministre de l’Enseignement Primaire Secondaire et Technique, le Professeur Tony Mwaba.  C’est ce qui justifie sa descente dans la ville côtière de Muanda, sans s’accorder le repos après une long périple parcouru de Kinshasa à Boma, dans la Province du Kongo-Central, ce mercredi 25 janvier 2023.

Sur place, indique notre source, la religion du professeur Tony Mwaba Kazadi a été de mise : écoles publiques comme privées ont subi la surprise parfois désagréable pour certaines.

Le cas probant est celui de l’école Banza, un établissement public où est organisé plusieurs options dont la Pêche, visiblement la seule dans la ville. A l’entrée du ministre, direction la salle qui abrite la 4ème des humanités. Le constat est amer : la salle n’a ni pavement et moins encore une toiture appropriée. L’enseignant est absent et les élèves sans matériels didactiques. Ce constat est général comme en témoignent les avis des Inspecteurs dans les différents rapports.

Sur le champ, le ministre a instruit Mme le Secrétaire général, également de la partie, ainsi que les responsables locaux pour des mesures disciplinaires contre le préfet de ladite école.

Après Banza, direction cette fois, le Groupe Scolaire Horizon, une école privée dans le territoire de Muanda, même Province additionnelle. A son entrée, le ministre Tony Mwaba a vite remarqué l’absence du drapeau. Sur le champ, il a vite interpellé le responsable de l’école pour faire respecter sa décision rendant obligatoire le salut au drapeau ainsi que l’exécution de l’hymne national dans tous les établissements scolaires.

Contrairement à Banza, ici le constat est plutôt favorable. Les bâtiments ainsi que les latrines ont attiré l’attention du Ministre qui a salué leur viabilité.

 Troisième étape, l’EP GS COM, ex Athénée Royal. Ce vaste Complexe de plus de 17 salles de classe et chambres d’internement fait partie des écoles mythiques de la Province construite par le colon belge dont la gestion a été cédée à l’Eglise catholique. Après une visite guidée, le ministre Tony Mwaba s’est dit satisfait de la qualité de l’enseignement dispensé dans cet établissement de référence et en a profité pour signer dans le livre d’or.

La visite s’est clôturée à l’EP Nsumbu Mankumbu, école salutiste qui se trouve dans un état déplorable.

Ayant reçu le cri d’alarme des autorités de ladite école, le n°1 de l’EPST a rappelé aux gestionnaires la responsabilité de l’église et celle de la Province dans la viabilisation de cette école. Rigoureux au sujet du respect des conditions d’apprentissage des élèves, le Ministre a lancé un ultimatum aux gestionnaires pour une réhabilitation dans le délai au risque de subir la rigueur de la loi avec comme conséquence le retrait de la liste de mécanisation pour non viabilité.

Après sa tournée, le professeur Tony Mwaba a regagné sa résidence à Boma en vue de préparer la grande rencontre avec tous les inspecteurs scolaires prévue ce vendredi 27 janvier à Boma avec comme orientation la réactivation de la trilogie inspectorale, gage du redressement de la qualité de l’enseignement.




Enrôlement des électeurs au Kasaï : Me Crispin Mukendi appelle la population à répondre massivement au rendez-vous

Dans un message à ses électeurs, le matin du lancement de l’opération d’enrôlement et d’identification des électeurs au Kasaï, Me Crispin Mukendi Bukasa, haut cadre du parti politique Union pour la démocratie et le progrès social “Udps” Tshisekedi appelle toutes les couches de la population à se faire enrôler massivement pour obtenir plus de sièges au parlement, mais surtout pour donner un deuxième mandat au chef de l’Etat Félix Tshisekedi Tshilombo.

« Chers frères et sœurs du Kasaï, allons-nous faire enrôler massivement dans les bureaux placés par la Commission nationale électorale indépendante “Ceni”. Car avec beaucoup d’enrôlés, nous aurons la facilité de donner un deuxième mandat à notre chef de l’Etat Félix Tshisekedi. Mais aussi, nous allons avoir plus de sièges au parlement. Mais n’oubliez pas que vous avez aussi la force de faire partir tout élu qui n’a pas bien travaillé lors du scrutin, alors il faut d’abord obtenir une carte pour être éligible aux élections prévues d’ici décembre de cette année », a déclaré le conseiller du chef de l’Etat en charge des Mines et Energies du reste notable de l’espace Grand Kasaï.

Soulignons que cette opération concerne plusieurs provinces de l’espace Grand Kasaï et va durer 1 mois conformément au calendrier de la Ceni.

En entendant son arrivée pour se faire enrôler, Me Crispin Mukendi encourage les jeunes, les femmes, les hommes et toutes personnes éligibles à l’enrôlement de ne pas tarder pour obtenir une carte d’électeur qui du reste est un droit pour tout citoyen congolais.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




Patricia Nseya lance l’opération d’identification et d’enrôlement d’Afrique du Sud

Le Rapporteur de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), Patricia Nseya a, au nom du Président Denis Kadima, lancé mercredi 25 janvier 2023 à Pretoria en Afrique du Sud, l’opération d’identification et d’enrôlement des Congolais vivant au pays de Nelson Mandela.

Sur place, le constat est largement positif au regard de l’engouement constaté en ce jour de lancement, plusieurs Congolais se présentent munis de leurs pièces exigées par la CENI pour se faire enrôler. Tout se passe sous une ambiance bon enfant en présence de l’envoyée du Président Denis Kadima.

Dans son mot de circonstance, l’Ambassadeur congolais en Afrique du Sud, Fidèle Mulaja a appelé tous les compatriotes de l’Afrique du sud à venir se faire enrôler massivement à l’Ambassade de la RDC à Pretoria, seul lieu indiqué pour cette opération dans toute l’Afrique du sud pour une durée de 30 jours. Il a estimé que c’est un honneur pour lui que le pays où il représente les intérêts congolais soit parmi les 5 premiers choisis par la Centrale Electorale pour cette phase pilote.

Patricia Nseya a rassuré tous les Congolais de l’Afrique du sud que tout est mis en œuvre pour que l’enrôlement se déroule normalement et que chaque Congolais vivant en Afrique du Sud qui justifie de sa nationalité obtienne sa carte d’électeur qui fera office de carte d’identité jusqu’à la délivrance de la carte pour citoyen par l’ONIP.

Dans la file d’attente très longue pour une première journée, Patricia Nseya a échangé avec les requérants présents qui avaient plusieurs préoccupations au sujet de l’identification et l’enrôlement des Congolais de l’Afrique du sud principalement sur les pièces à présenter pour se faire enrôler et les conditions légales.