Le Fondateur Kapita Shabangi encourage le Collectif pour son plan de réunification de l’UDPS

L’Honorable Paul-Gabriel Kapita Shabangi, l’un des Treize Parlementaires signataires de la lettre de 52 pages envoyée au Président Mobutu et Membre Fondateur de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), a vite réagi à la lecture du communiqué de presse du Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI rejetant le schéma de réunification présenté par le Secrétaire Général Augustin Kabuya Tshilumba.

Dans un message adressé au Collectif ce samedi 28 Janvier 2023 dernier, le Fondateur Kapita Shabangi a écrit ce qui suit : “La position du Collectif constitue en soi une logique rationnelle. De ce fait ininterchangeable”.

Et de poursuivre : “De grâce, ne lâchez pas prise. Pareille prise de position relèvera l’UDPS de ses cendres”.

Il a conclu par encourager les Membres du Collectif : “Mes salutations vibrantes à tous les Compagnons membres de cette dynamique politique, digne de respect”.

Ce message d’encouragement est une preuve irréfutable selon laquelle la majorité des membres de la grande famille de l’UDPS apprécie positivement le travail qu’abat le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI en faveur de la réunification de l’UDPS à travers le projet du Conclave de l’unité.

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/Cp




Les militants de l’Alliance pour le Changement seront bientôt dans les rues pour exiger la libération de Jean-Marc Kabund

A l’Alliance pour le Changement, les voix continuent à s’élever pour fustiger l’arrestation de l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale, Jean-Marc Kabund A Kabund qu’on qualifie du côté de Ach d’une détention injuste.

Dans une interview accordée au quotidienrdc.com, le dimanche 29 janvier 2023, le président intérimaire de la Ligue des jeunes de l’Alliance pour le Changement (Ach), parti cher au député national Jean-Marc Kabund A Kabund, Boaz Muamba qui qualifie l’arrestation de son leader d’un règlement de compte politique suite à ses dénonciations sur les détournements et la mauvaise gouvernance du régime en place, annonce en même temps la tenue dans les prochains jours d’une grande marche pacifique à travers le pays qui aura pour objectif principal, exiger la libération sans condition de l’Autorité morale de l’Alliance pour le Changement détenu à Kinshasa dans la prison centrale de Makala depuis 6 mois.

Il profite également de l’occasion pour appeler la jeunesse de ce parti de l’opposition à se préparer déjà pour une participation active à cette grande manifestation qui s’inscrit dans le cadre de saluer la lutte de leur leader pour un Congo nouveau.

Abordant la question du bilan de l’Udps à la tête du pays 4 ans après, le président intérimaire de la ligue des jeunes de l’Alliance pour le Changement (Ach) Boaz Muamba dresse un bilan largement négatif du régime en place et invite le peuple congolais à sanctionner les dirigeants actuels aux échéances électorales prochaines.

Osée Kalombo




L’OCC et la Société Plantations et Huileries du Congo signent un accord de partenariat

A en croire le Directeur général de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), le Dr Etienne Tshimanga, cet accord de partenariat a pour objectif de fixer les critères et la procédure de contrôle par l’Office Congolais de Contrôle, de l’huile de palme et de l’huile palmiste produites par les Plantations et Huileries du Congo et de définir le taux et les modalités de rémunération des prestations de l’OCC.

La salle de réunion de l’Office Congolais de Contrôle (OCC) a abrité, le vendredi 28 janvier dernier la signature d’un accord de partenariat entre cette structure étatique et la Société Plantations et Huileries du Congo. Si l’OCC était représenté par son DG et la DGA, Dr Etienne Tshimanga et Christelle Muabilu, Mme Monique Giskess a représenté PHC.

Dans son mot, le Dr Etienne Tshimanga s’est dit heureux de cette cérémonie de signature de convention de partenariat liant l’Office Congolais de Contrôle et la Société Plantations et Huileries du Congo.

« Cet accord de partenariat auquel nous sommes conviés, a pour objectif de fixer les critères et la procédure de contrôle par l’Office Congolais de Contrôle, de l’huile de palme et de l’huile palmiste produites par les Plantations et Huileries du Congo et de définir le taux et les modalités de rémunération des prestations de l’OCC », indique-t-il.

Il a expliqué que la mise en œuvre de cet accord devra permettre d’une part, à l’Office Congolais de Contrôle, de remplir sa mission relative au contrôle légal des produits fabriqués localement et à l’inspection des usines de PHC; et d’autre part, la Plantations et Huileries du Congo, de réaliser de vos objectifs entre autre celui lié à l’amélioration continu compétitive sur le plan national qu’international en gagnant les plus des parts de marche de la qualité de vos produits afin d’être de nourris l’espoir de voir la signature, ce jour, de ce protocole d’accord apporter une impulsion nouvelle au dynamisme de partenariat entre le P.H.C et O.CC et compte sur votre esprit de collaboration pour faciliter Office Congolais de Contrôle l’accomplissement paisible de son obligation légale et réglementaire.

Le Dg de l’OCC a terminé par remercier la Directrice de PHC pour la forte implication de ses services dans toutes les séances d’harmonisation de vues et d’adoption de cet accord. « Je vous remercie également pour avoir bien voulu vous engager avec nous dans cette grande expérience de relation de partenariat formel. Je demeure convaincu que la Société Plantations et Huileries du Congo pourra toujours compter sur l’appui et l’accompagnement de nos services dans la mise en œuvre effective de cet accord », termine-t-il.

PHC soulagé

Pour sa part, Mme Monique Giskess, Directrice générale des Plantations et Huileries du Congo a expliqué à la presse que les plantations sont situées sur trois provinces de la Rdc : Tshopo, Mongala et l’Equateur. « Nous produisons 60.000 tonnes d’huiles par an (2022). Nous sommes ici au sein du siège social de l’OCC dans le cadre de la signature d’un partenariat qui souscrit la collaboration et le mode de travail, le mode opératoire sur la manière dont l’OCC va pouvoir contrôler la qualité de nos produits, mais aussi de nos machines, implantations sur nos sites », dit-elle.

Ce qui est très important, selon elle, c’est qu’à partir d’aujourd’hui, le cadre de travail est bien souscrit. PPH va se rassurer de la qualité de ses produits, mais également la conformité des machines qui sont sur ces sites. Le point le plus important, c’est le mode de facturation qui est normalisé, qui est conforme au code de l’OCC, qui n’est plus en peu désordonné. « Nous avons souscrit à une tarification qui est unique et qui comprend toutes les tarifications de l’OCC qui correspondent aux Grandes entreprises qui nous permet de faciliter le travail », soutient-elle.




Problématique de la gestion des déchets : Eve Bazaiba rassure que toutes les recommandations seront appliquées

C’est le Secrétaire général à l’Environnement et développement durable qui a clôturé, au nom de la VPM Eve Bazaiba, l’atelier sur la problématique de la gestion des déchets en République Démocratique du Congo. Cet atelier qui a connu la participation des ministres en charge de l’Environnement de quelques provinces et des bourgmestres de la ville province de Kinshasa, a été organisé du 26 au 28 janvier 2023 par le ministère de l’Environnement et Développement Durable dans l’objectif d’améliorer le cadre de vie de la population congolaise. Plusieurs représentants des institutions publiques, des bailleurs de fonds, du secteur privé ainsi que des ONG internationales et nationales, ont pris part à ces assises.

Il nous revient que durant les trois jours de l’atelier, les acteurs du secteur de l’assainissement ont échangé sur les différents problèmes de la gestion des déchets en Rdc. Pour ce faire, il a été organisé les présentations sur la problématique de la gestion des déchets et sur les différentes activités de collecte et de valorisation des déchets réalisées par le secteur privé. En plus, quelques expériences de gestion efficaces des déchets en Tunisie et en Côte d’Ivoire ont été présentées.

Allocution de Son Excellence Madame le Vice- Premier Ministre, Ministre de l’Environnement et Développement Durable à l’occasion de la cérémonie de clôture de l’Atelier sur la problématique de la gestion des déchets en République Démocratique du Congo.

« Au terme de ces trois jours d’Atelier de réflexion sur la problématique de la gestion des déchets en République Démocratique du Congo, je tiens à remercier tous les participants pour l’assiduité, la disponibilité et l’apport don vous avez fait montre lors de différents travaux de groupe et en plénière », a indiqué le Secrétaire général qui lisait le discours de la VPM à l’Environnement.

« C’est du choc des idées que jailli la lumière », dit-on ! Bien que les groupes de travail n’ont pas totalement fini les travaux, la VPM a tenu quand même à rassurer que toutes les recommandations formulées au cours de ces travaux seront mises en œuvre pour nous permettre d’atteindre les objectifs assignés à l’issu de ces travaux.

Par ailleurs, nous le savons bien, qu’un seul doit ne peut pas nettoyer la figure, raison pour laquelle votre participation à ces travaux est d’une importance capitale et j’ose croire, qu’ensemble nous allons améliorer la situation de la gestion des déchets dans notre pays. Aussi l’apport de vos services respectifs permettra au Gouvernement d’atteindre les cibles des Objectifs de Développement Durable à l’horizon 2030.

Les mauvaises habitudes ou incivisme favorisent les déchets

Dans son discours, la VPM a rappelé que dans son allocution d’ouverture, elle a mentionné que l’assainissement du milieu fait partie de mes priorités. C’est pourquoi, elle a témoigné sa disponibilité pour accompagner tous les acteurs qui travaillent sur cette question à tous les niveaux du processus de gestion des déchets.

« Au regard des résultats issus de ces travaux, nous avons maintenant une idée claire sur les actions prioritaires qui seront réalisées aux niveaux stratégiques et opérationnels du secteur de l’assainissement en général et de la gestion des déchets en particulier », pense-t-elle.

Pour elle, cette étape n’est que la première au vu de la gravité de la situation d’insalubrité dans nos milieux de vie, il faudra donc que chaque acteur affute ses armes pour qu’ensemble nous arrivions effectivement à éradiquer ce mal qui gangrène notre environnement.

C’est ainsi qu’elle a rappelé que, pendant les échanges, nous avons relevé et compris que la mauvaise gestion des déchets incombe en premier lieu aux mauvaises habitudes ou incivisme de nos populations. « Je vous exhorte donc à devenir des acteurs responsables au premier plan de la sensibilisation afin d’insuffler le changement de comportement et d’attitude au sein de la population congolaise. Je saisi ce moment pour faire appel aux partenaires techniques et financiers d’accompagner le Ministère de l’Environnement et Développement Durable à l’opérationnalisation de la feuille de route du processus d’amélioration de la gestion des déchets en République Démocratique du Congo », termine-t-elle.




Justice : Jean-Marc Kabund est toujours en prison

Contrairement à ce que la toile a annoncé le weekend sur une probable libération de l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale, Jean-Marc Kabund est toujours dans sa cellule à la prison centrale de Makala.

A travers une matinée politique organisée ce dimanche 29 janvier 2023 au siège du parti Alliance pour le Changement (Ach) à la 11ème rue Limete, le Secrétaire général de ce parti politique cher à Jean-Marc Kabund a démenti toutes les informations faisant état d’une probable liberté provisoire accordée à leur leader. Billy Mutono qui a fustigé la détention de Jean-Marc Kabund, qu’il qualifie d’illégale, est revenu sur toutes les circonstances qui ont caractérisée cette détention et aussi toutes les procédures judiciaires qui selon lui ont été entachée des plusieurs irrégularités.

Pour ce haut cadre de l’Ach son leader est toujours dans l’attente de la décision de la Cour Constitutionnelle sur sa requête en interprétation de constitutionnalité sur les irrégularités qui ont entachée la procédure de l’arrestation de leur leader qui jouissait encore de ces immunités parlementaires et aussi de l’exécution de l’arrêt du parquet près la Cour de Cassation sur la mesure d’assignation à résidence surveillée.

Devant les militantes et militants de l’Alliance pour le changement le Secrétaire général de Ach a appelé les militantes et militants de ce parti de l’opposition à rester prêts et sereins et surtout optimistes en attendant la libération prochaine de leur leader, avant de préciser que si Jean-Marc Kabund n’est pas libre dans les jours qui suivent, l’Alliance pour le Changement amorcera les actions des grandes envergures à travers la République pour exiger sa libération sans condition, a-t-il dit.




« Détruisez cette église : Le Royaume de Dieu apparaitra », nouveau livre de l’Abbé Arthur Lubwika

« Détruisez cette église : le royaume de Dieu apparaitra », c’est le nouveau livre de l’Abbé Arthur Lubwika. A en croire une synthèse publiée dans le site internet morebooks.shop, ce titre provocateur, où l’auteur suggère un paradigme moderne de la vie chrétienne, semble être tout un projet de vie et un appel à l’engagement pour l’avènement du Royaume de Dieu. « L’énoncé est provocateur, parce qu’il peut ébranler la foi de ceux qui se font une certaine idée d’un salut impossible en dehors de l’Eglise instituée ; c’est un projet de vie pour ceux qui considèrent que l’institution-Eglise n’est pas à confondre avec le Royaume de Dieu et que le chemin est encore long vers l’établissement de ce dernier », indique le même site, qui ajoute qu’en plus, le titre semble une exhortation au combat contre les illusions et les fausses certitudes sur l’idée et la réalité même du Royaume de Dieu. Ci-dessous, l’intégralité de l’interview réalisée par lequotidienrdc.com

Pourquoi ce titre ? Est-ce qu’une façon pour vous de vous défouler ?

Je commence par vous remercier de l’intérêt que vous portez sur ma récente publication. Et je passe avec plaisir et empressement à répondre à vos très intéressantes préoccupations.

Ce livre relève du domaine de la théologie. Et dans toute théologie contextuelle, on parle toujours de quelque part. Loin de m’arrêter aux considérations psychologiques préconscientes qui sous-tendent votre question, je voudrais tout droit préciser que ce titre s’enracine dans la tradition judéo-chrétienne, donc dans la Bible, qui développe notamment la thématique de la destruction et de la restauration des organisations institutionnelles du peuple de Dieu en marche vers la plénitude de son Royaume. Pour le cas d’espèce, je me suis inspiré des enseignements de Jésus lorsqu’il fut confronté aux comportements et pratiques des chefs religieux de son temps qui en étaient arrivés à détourner le sens premier du Temple en faveur de leurs propres intérêts politico-économiques (cf. Jean 2,13-22) ou à chercher à pérenniser un culte spirituel subordonné aux institutions religieuses immanentes dont ils étaient pour ainsi dire tenanciers incontestés (cf. Jean 4,19-24). Je me suis également inspiré du dénouement du concile de Jérusalem à propos du conflit issu du trafic d’influence visant la soumission politico-religieuse des uns aux autres au sein du même peuple de Dieu (cf. Actes 15,15-18 ; lire aussi Amos 9,11 et suiv.). Aujourd’hui encore, la dynamique de la « destruction-restauration » demeure pertinente pour quiconque milite en faveur du changement de paradigme dans la logique évangélique du Royaume de Dieu. Car, comme l’énonce cette célèbre citation d’Alfred Loisy que je partage pleinement, « Jésus annonçait le Royaume, et c’est l’Eglise qui est venue » !

Vous visez quelle église ? Catholique ou de Réveil ?

De bout en bout, dans ce livre, je parle de toute institution-Eglise qui est venue et s’est installée en lieu et place du Royaume de Dieu. Il suffit de lire attentivement la gestion et les pratiques des Eglises chrétiennes aujourd’hui à la lumière de l’Evangile, tel que je viens de le stigmatiser dans les éléments de réponses à la première question, pour comprendre de quelle(s) institution(s) ecclésiale(s) je parle.

Vous parlez de l’église épouse du Christ qui doit être détruite ? Que pensera alors l’époux ?

D’abord une précision de taille : je ne donne pas un ordre, mais je fais une exhortation. Qu’à cela ne tienne ! La théologie paulinienne de « l’église épouse du Christ » n’autorise personne à se substituer à Christ et à imposer en conséquence sa loi sur les membres de ladite Eglise, ainsi que le feraient les chefs des nations païennes (cf. Luc 22,24-27). Par exemple, quand le Grand Prêtre et sa curie se sont mis à profaner le Temple, Jésus s’est directement – et avec violence en contexte – inscrit en faux contre ces pratiques, indiquant symboliquement à ses disciples la voie d’un paradigme nouveau. Non ! Jésus ne s’oppose pas à celui qui vise la restauration de la véritable adoration : « Qui n’est pas contre nous est pour nous » (Marc 9,38-41 ; Luc 9,49-50).

Comment est subdivisé le livre ?

Outre les péritextes, le livre est subdivisé en quatre principaux chapitres, allant du constat de la présence de l’institution-Eglise et de la persistance du trinôme « Eglise-Hadès-Royaume », à l’appel à l’urgence de la redécouverte de l’Evangile du Royaume, avant de chuter sur la pertinence de la communion des disciples du Royaume.

Quelles sont les réactions que vous avez déjà eues depuis sa parution ?

Le livre vient de paraitre ce 14 janvier 2023, à telle enseigne que les lecteurs intéressés qui ont passé des commandes à l’éditeur n’ont pas encore reçu le livre imprimé. Les réactions à chaud sont faites, comme le résume votre questionnaire, de curiosité autour du titre lui-même, d’encouragements à continuer sur la voie prophétique et de suggestions quant à publier dans les maisons d’éditions locales et nationales de façon à produire des œuvres accessibles à notre peuple quant à son pouvoir d’achat et à la disponibilité des exemplaires.

 




La CAF annonce une augmentation de 60% de la dotation financière du CHAN

La Confédération Africaine de Football (CAF) annonce une augmentation significative de 60% de la cagnotte du vainqueur du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) TotalEnergies Algérie 2022.

Le vainqueur de la 7e édition du tournoi sera connu à l’issue de la finale prévue le 4 février 2023 au stade Nelson Mandela d’Alger.

La décision, qui a été confirmée par le Président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, est conforme à la stratégie de la CAF visant à accroître la valeur commerciale des compétitions africaines.

Cette année, le vainqueur du trophée recevra la somme de 2 millions de dollars, contre 1 250 000 dollars pour le précédent champion il y a deux ans.

Le montant total des prix alloués pour le tournoi a été porté à 7 900 000 USD, contre 5 450 000 USD au total pour les pays ayant participé à l’édition précédente.

Le finaliste recevra 800 000 dollars, tandis que les équipes classées troisième et quatrième recevront 500 000 dollars chacune.

Les quarts-de-finalistes malheureux recevront 400 000 dollars chacun, tandis que les deux pays qui termineront deuxièmes dans les groupes de trois équipes gagneront 300 000 dollars chacun, soit le même montant que les pays classés troisièmes dans les groupes de quatre équipes.

Les équipes les moins bien placées de tous les groupes recevront 200 000 dollars chacune. Le CHAN TotalEnergies Algérie 2022 qui a débuté le 13 janvier dernier se poursuit jusqu’au 4 février en Algérie.




Ngaliema : les membres d’un centre d’inscription mis aux arrêts pour avoir enrôlé dans une résidence privée

Le monitoring de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) signale un fait saillant dans l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs (RFE) dans la commune de Ngaliema, lundi 23 janvier 2023.

En effet, le Président du centre d’inscription (PCI) s’est permis de déplacer sans l’autorisation préalable de la hiérarchie de la CENI, le kit d’enrôlement dans une résidence privée. Saisie de ce fait, la hiérarchie de la CENI envoie le jour suivant ses Experts et la police sur place pour s’enquérir de la situation.  Après vérification , il s’est avéré que le Centre d’inscription (CI) en question, numéro 1003029  n’avait pas ouvert le lundi 23 janvier, avec en appui les témoignages de certains requérants, car le lundi le CI est fermé au public pour permettre aux membres du Centre d’inscription (MCI) de finaliser les tâches administratives de la semaine pendant que, la fiche hebdomadaire de présence des Membres du CI avait été signée par le PCI, PI et OPS.

Les Experts vérifient le kit d’enrôlement et trouvent, la présence des 51 électeurs enrôlés lundi 23 janvier,  et dont les fiches  d’inscription (FO1) sont introuvables.

Selon l’article 22 de la loi portant identification et enrôlement des électeurs en RDC, les CI sont installés dans les écoles ainsi que les autres lieux publics ou privés connus de la population, réquisitionnés ou mis gratuitement à la disposition de la Commission électorale nationale indépendante pendant toute la durée des opérations.

En vue de préserver et de crédibiliser le processus en cours, la hiérarchie de la CENI a révoqué et mis à la disposition de la justice les 3 membres du CI pour non-respect de la loi et procédures d’identification et enrôlement des électeurs. La Centrale Électorale a ainsi décidé la délocalisation de ce CI vers un autre lieu. Un geste salué par les habitants de Ngaliema, parce que visant à décourager les potentielles brebis galeuses. La CENI appelle ainsi la population à dénoncer tout acte contraire à la loi électorale d’où qu’il se produise.




L’UNICEF exige la libération immédiate et inconditionnelle de 13 enfants enlevés à Butembo

L’UNICEF a demandé la libération immédiate et inconditionnelle d’au moins 13 enfants qui auraient été enlevés cette semaine au cours d’une nuit de violence près de la ville de Butembo, dans la province du Nord-Kivu, en République démocratique du Congo.

Les 11 garçons et les deux filles – âgés de 12 à 14 ans – auraient été enlevés lors d’une attaque armée dans la nuit du 22 janvier 2023 dans le village de Makungwe, à environ 26 km à l’est de Butembo. Au moins 24 personnes ont été tuées, dont une jeune fille de 13 ans et cinq femmes.

L’UNICEF qui condamne cet enlèvement est préoccupé par le fait que les enfants enlevés soient traités de manière inhumaine et demande qu’ils soient immédiatement libérés.

Le principe selon lequel les enfants n’ont pas leur place dans les conflits armés et doivent être à l’abri de la violence et des enlèvements est inscrit dans le droit international tel que la Convention relative aux droits de l’enfant et constitue une violation grave des droits de l’enfant en situation de conflit armé.

Suite à cette attaque, plusieurs maisons ont été brulées et saccagées, obligeant des dizaines d’habitants de ce village à fuir vers Butembo.

Au cours de ces violences, au moins sept enfants – âgés de 9 à 12 ans – ont été séparés de leurs parents. L’UNICEF et ses partenaires prennent soin de ces enfants et s’efforcent de les réunir avec leurs familles le plus rapidement possible.




Enrôlement des électeurs : Denis Kadima et le comité provincial des opérations en réunion sécuritaire à Mbuji-Mayi

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, arrivé à Mbuji-Mayi, deuxième étape de son périple qui le conduit dans les 5 provinces composant l’aire opérationnelle 2, s’est entretenu avec le gouverneur de la province du Kasaï Oriental, Patrick Mathias Kabeya Matshi Abidi.

A l’issue des échanges qu’il a eus avec l’autorité provinciale, le numéro un de la CENI a pris une part active à une réunion sécuritaire avec le comité provincial des opérations. Il s’est agi essentiellement des dispositions nécessaires à prendre en vue d’encadrer au mieux les opérations.

“Je viens du Kasaï-Central et je vais continuer dans le reste de l’aire opérationnelle 2 qui prend en compte 9 provinces. Le but est d’accompagner les autorités provinciales ainsi que toutes les parties prenantes au processus électoral ici au Kasaï Oriental, pour qu’ensemble nous travaillions pour un enrôlement à grande échelle de la population, principalement pour ceux qui remplissent les conditions requises. Je sors d’une réunion du Conseil de sécurité avec le conseiller provincial des opérations, afin de m’enquérir de la situation sécuritaire. De ce pas, nous allons visiter quelques centres d’inscription pour voir comment cela se déroule. Évidemment il y aura des réunions en interne avec les parties concernées et la situation sera évaluée au fur et à mesure durant mon séjour”, a indiqué Denis Kadima Kazadi.

Dans le souci de prendre la température de ce qui s’y fait, le Président de la CENI s’est ensuite rendu dans quelques centres d’identification et d’enrôlement des électeurs où il a assisté à l’opération qui, dans l’ensemble, se déroule de manière convenable.

Et prenant langue bien évidemment avec les préposés à la tâche, il a prolongé ses échanges au Secrétariat provincial avec les agents locaux de la Centrale électorale concernant les réalités sur le terrain.

Denis Kadima Kazadi a bouclé cette 2e étape de sa tournée à Kabeya-Kamwanga où il a assisté à l’enrôlement de la population de cette localité, avant de rallier Kalemie, chef-lieu de la province du Tanganyika.