Résolution du Parlement européen contre le Maroc: Une ingérence flagrance dans la justice d’un Etat souverain, selon Jean-Marie Heydt

A travers sa résolution sur le Maroc, le Parlement européen s’érige en justice parallèle, a souligné le politologue et écrivain franco-suisse, Jean-Marie Heydt. Le politologue relève un acharnement contre le Maroc alors que des situations similaires dans les pays de l’Union européenne sont passées sous silence.

Cette résolution a de quoi surprendre, car elle vient contredire toutes les normes et les règles internationales, notamment les principes et déclarations des Nations Unies relatives à l’indépendance de la justice », a relevé M. Heydt dans une déclaration à l’agence de presse MAP.

« Sans s’immiscer dans une procédure judiciaire (…) conduite avec rigueur par les tribunaux compétents d’un État souverain, conformément à la législation en cours et aux conventions internationales des droits de l’homme, ratifiées par le Royaume, nous pouvons nous interroger sur le fait que le Parlement européen se soit saisi d’une affaire intérieure », a ajouté le politologue.

Selon lui, le Parlement européen ne dispose ni des moyens d’investigations ni des garanties nécessaires pour un procès juste et équitable et encore moins de ces champs de compétences, lesquels relèvent pleinement d’une Cour de justice nationale.

« Le politique peut certes s’agiter, mais il n’a pas de pouvoir judiciaire en la matière, et de fait, il porte la lourde responsabilité d’influencer des populations et, plus grave encore, d’exercer des pressions sur le pouvoir judiciaire, en entravant l’impartialité de la justice”, a-t-il fait remarquer, déplorant le fait que de plus en plus fréquemment, certains dossiers (en cours ou jugés par les tribunaux) fassent l’objet d’un grave glissement depuis les prétoires vers une justice qui se voudrait être rendue par les réseaux sociaux.

“Nous sommes profondément attachés aux principes fondamentaux des droits de l’Homme et nous restons convaincus que la part des choses doit être faite, entre ce qui relève des libertés d’opinion et d’expression de la presse et tout ce qui se rapporte aux victimes des différentes violations des droits humains. On ne peut mettre en opposition ces deux grands principes, l’un ne peut cacher l’autre, car cela relèverait d’une forme de distinction laissant penser que l’un des droits serait plus fort que l’autre”, note M. Heydt.

Pour quelle raison le Parlement européen (certains parlementaires, semble-t-il) s’acharne-t-il, en plaçant sous le feu du projecteur ce qui serait devenu ‘’une affaire’’ (sic), alors qu’il semble exister des situations pouvant être similaires dans des pays européens et du pourtour méditerranéen ? s’interroge-t-il.

Et de poursuivre : Serait-ce finalement un faux combat qui n’a pour visée uniquement le Maroc, connu et reconnu pour sa remarquable évolution interne et mondiale ?

Il s’agit, aux yeux de M. Heyd, d’une “ingérence” dans les affaires intérieures du Maroc, doublée de pressions à l’encontre d’un État devenu l’axe essentiel dans les relations entre l’Europe et l’Afrique.

Le Parlement du Royaume du Maroc a annoncé lundi sa décision de reconsidérer ses relations avec le Parlement européen en les soumettant à une réévaluation globale, visant à prendre des décisions fermes et appropriées, suite aux dernières positions du Parlement européen à l’égard du Maroc.

Le Parlement marocain rejette l’instrumentalisation et la politisation d’affaires relevant de la compétence de la justice pénale et du droit commun; affaires ayant fait l’objet de poursuites voire de condamnations pour des faits n’ayant aucun lien que ce soit avec une activité journalistique ou la pratique de la liberté d’opinion et d’expression.

Il appelle également les forces politiques européennes à faire preuve de sagesse et de discernement et à rejeter tout amalgame délibéré entre les droits de l’Homme, protégés au Maroc par la Constitution, les lois et les institutions, d’une part, et les allégations véhiculées par certaines parties et organisations connues pour leurs positions hostiles et dogmatiques à l’encontre du Maroc, d’autre part.




Algérie : la principale ligue des droits humains dissoute par les autorités

La Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme (LADDH) a annoncé dimanche avoir été dissoute à son insu par les autorités algériennes lors d’un procès tenu en son absence, des faits “révoltants” et un “acharnement continu”.

Dans un communiqué publié en français sur son site, la LADDH estime qu’à l’instar d’autres organisations, elle “paye” son “engagement pour la démocratie, les libertés et les droits humains”. “Comme (pour) d’autres organisations, la question de la conformité avec la loi sur les associations a toujours fait objet de blocage et d’instrumentalisation de la part des pouvoirs publics”, a-t-elle dit.

Un “acharnement continu […] qui prend, avec cette dernière décision, une proportion d’une extrême gravité”, a regretté l’ONG, disant avoir été déclarée “coupable de s’occuper des droits humains” Vendredi, la LADDH avait dit avoir appris via un document anonyme publié sur les réseaux sociaux qu’elle avait été dissoute par une décision de justice le 29 septembre et qu’elle allait vérifier cette information. Information qu’elle a confirmée ce dimanche.

Cette dissolution faisait suite à une requête du ministère de l’Intérieur auprès du tribunal administratif d’Alger le 4 mai. Le tribunal a statué le 29 juin en faveur de cette requête. Selon la LADDH, l’ONG n’a été à aucun moment informée de cette procédure en cours. La justice algérienne lui reproche de “travailler sur la question des droits de l’Homme avec d’autres instances et organisations internationalement reconnues […] de militer pour les droits des migrants, pour les droits des travailleurs”, ce qui est “révoltant”, assure la LADDH.

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Abdellatif Hammouchi reçoit le vice-président de la Sûreté de l’Etat saoudien

Le directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, Abdellatif Hammouchi a reçu, mardi à Rabat, Abdullah Fahad Salih Al-Owais, vice-président de la sûreté de l’Etat saoudien, qui effectue une visite de travail au Maroc à la tête d’une importante délégation sécuritaire.

La délégation saoudienne comprend le directeur de la direction générale de lutte contre l’extrémisme et le directeur de la direction générale pour les conventions et la coopération internationale, ainsi que des experts et des responsables sécuritaires à la Sûreté de l’Etat saoudien, indique un communiqué de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST).

Cette visite, qui reflète la solidité et la profondeur des relations de coopération en matière de renseignement et de coordination sécuritaire entre la DGST et la présidence de la Sûreté de l’Etat saoudien, illustre la volonté commune des deux parties de consolider cette coopération bilatérale au service de la sécurité et de la sûreté de leurs citoyens, précise la même source.

A la fin des travaux de cette visite, M. Hammouchi et M. Salih Al-Owais ont signé une convention de coopération entre la DGST et la présidence de la sûreté de l’Etat saoudien dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et son financement. Cette convention porte sur l’organisation et le développement de la coopération et de la coordination sécuritaire dans différents domaines liés à la lutte antiterroriste et les opérations de financement du terrorisme, ajoute-t-on.

La DGST et la présidence de la Sûreté de l’Etat saoudien aspirent à développer leurs relations sécuritaires et de renseignement, à coordonner les efforts de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme, en vue de priver les organisations terroristes de toute base arrière, terreaux de recrutement et ressources financières, conclut le communiqué.

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Lubumbashi : Les drapeaux du CNC de Pius Muabilu flottent à l’accueil du Premier ministre Sama Lukonde

La ville de Lubumbashi dans la province du Haut Katanga est dans l’effervescence de l’arrivée ce mardi 24 janvier 2023, du Premier ministre de la République Démocratique du Congo, Jean-Michel Sama Lukonde.

La mobilisation est totale, au sein de toutes les forces vives de la place et des partis politiques membres de l’Union sacrée de la nation, afin de réserver un accueil digne au chef du gouvernement.

De l’aéroport de la Luano jusqu’à la place de la poste en plein cœur du centre-ville de Lubumbashi, l’ambiance est électrique.

Le parti cher à l’Autorité morale Pius Muabilu Mbayu Mukala n’est pas en reste quant à ce.

Le drapeau du Congrès National Congolais dans le Haut Katanga que dirige l’interfédéral Jean-Claude Kamfwa Kimimba, flotte à l’aéroport de la Luano et sur la grand-place de la poste. L’ambiance est au top déjà.

En rappel, le chef du gouvernement congolais vient à Lubumbashi pour donner le ton de l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs, du 25 janvier au 23 février 2023 dans l’aire opérationnelle 2, dans laquelle se trouve la province du haut Katanga.

Roger Ngandu wa Mitaba




Daniel Aselo lance les travaux préparatoires de la 1ère Conférence maritime de la CEEAC

Il s’est ouvert le lundi 23 janvier à Kinshasa, les travaux de la session ministérielle du Comité technique spécialisé sur la défense, la sécurité et la sûreté de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), élargi aux secteurs maritimes et connexes.

Des assises qui constituent l’une des phases importantes et déterminantes des travaux de la 1ère Conférence maritime de l’Afrique centrale, prévue en février prochain à Kinshasa. Elles se fixent pour objectifs, entre autres, d’impliquer toutes les entités sous régionale dans le traitement des questions maritimes afin d’assurer la surveillance maritime coordonnée disposant des capacités appropriées, de nature à durer en mer, afin de faire face efficacement à des fléaux liés à la criminalité transfrontalière notamment le trafic des êtres humains, la piraterie, les vols à main armée en mer, la pêche illicite et autres; et de permettre aux États membres d’assumer leurs obligations internationales en matière de sûreté et de sécurité maritime.

Et pour répondre efficacement aux attentes du président en exercice de la CEEAC, le chef d’État congolais Félix-Antoine Tshisekedi et de ses paires, le Vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur qui a ouvert ces travaux, a lancé un appel pressant aux participants.

« Notre espace maritime et fluvio-lacustre fait aujourd’hui face à un haut niveau d’insécurité marqué par la permanence des menaces dans les eaux territoriales et dans la zone économique exclusive des États de la région (…)

Cet espace maritime est témoin de trafics multiples et divers liés à de criminalités transnationales organisées : drogue, arme, traite d’êtres humains, contrebande, contrefaçon et produits du braconnage », a détaillé Daniel Aselo.

Le Vice-Premier ministre a réaffirmé le leadership et la souveraineté des États membres qui exigent également la maîtrise et la mise en valeur de l’espace maritime et fluvio- lacustre de la CEEAC, en harmonie avec la politique maritime continentale.




Le groupe kényan KCB, nouveau partenaire de la TMB présenté au Premier ministre Sama Lukonde

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a reçu, ce lundi 23 janvier à la Primature, le chef de direction du groupe kenyan KCB, Paul Russo, venu lui présenter ses civilités et le nouveau partenariat de son groupe avec la banque TMB. Il était conduit par Olivier Meisenberg, l’Administrateur Directeur général de la TMB.

Pour Olivier Meisenberg, le partenariat entre les deux parties est une synergie qui sera bénéfique aux deux parties. Il l’a souligné devant la presse, à la fin de cette visite.

“Nous sommes venus présenter nos civilités au Premier Ministre. Comme vous le savez, il y a un partenariat qui a été noué entre la TMB et le groupe KCB du kenyan qui est entré dans l’actionnariat de la TMB. Nous sommes venus présenter nos civilités au Premier Ministre étant donné que le CEO du groupe, Paul Russo, est à Kinshasa. Bien que faisant partie du groupe KCB, la TMB ne change pas. Elle garde son logo et ne change pas son identité. Les équipes TMB restent en place. La TMB est intégrée dans un groupe pour le mieux et non pas pour changer l’identité. Le partenariat va lui permettre d’avoir accès aux ressources du groupe pour soutenir ses clients.

Et cela va faciliter les transactions des clients dans la sous-région. En même temps, la TMB va bénéficier des compétences du groupe KCB. Tout comme le groupe aussi va bénéficier des compétences de la TMB. En fait, la TMB a beaucoup de compétences et de valeurs. Ils vont s’inspirer mutuellement en créant une synergie qui sera bénéfique aux deux parties”, a souligné l’Administrateur Directeur général de la TMB.

Créée en 2004, à Lubumbashi, au Katanga, sous l’impulsion de Robert Levy, Trust Marchand Bank intègre ce grand groupe bancaire pour donner plus de satisfaction à ses clients.




LA PRIERE DU G.I.B.B AVEC LE PASTEUR FRANÇOIS MUTOMBO VH/ LUNDI 23/ JAN 2023




Quand l’Udps se fabrique des ennemis

La parole du Président de la République n’est jamais un évangile, encore moins une loi opposable à tout le monde. Le Président des mutins putschistes révolutionnaires de Kisantu sait très bien que sa signature est déjà frappée de défaut de qualité d’engager l’UDPS/Tshisekedi devant la Cour Constitutionnelle, la CENI et devant les Cours d’Appels de la République Démocratique du Congo.

 Les éventuels candidats aux différents scrutins électoraux dont au premier chef le Président de la République que les mutins putschistes révolutionnaires de Kisantu voudraient présenter comme candidat de l’Udps /Tshisekedi, qu’ils ne reconnaissent pas ni les statuts ni les autres textes réglementaires du Parti, ne se laissera tomber dans le piège.

 Quelle aubaine pour les adversaires politiques à qui des armes infaillibles de haute précision sont offertes pour attaquer et vous détruire. Ils ne sont pas dupes de votre forteresse de défense installée. Devant la puissance de feu conjuguée, elle va céder certainement.

Rappelez-vous les paroles prophétiques du Professeur Banyaku !

Messieurs les mutins putschistes révolutionnaires, votre montage est bâti sur la fraude, c’est du vent, du sable mouvant, c’est du bidon !

Revenez à la raison, l’ivresse du pouvoir vous perdra.

Constatez avec nous que rien ne va à la cour du roi Petaud, un mal qui gangrène la société, la corruption puisqu’il faut l’appeler par son nom frappe tous les dignitaires de la cour royale. Tous comme la Covid-19 n’en meurent pas. Des espions-traîtres y ont été dénichés bien longtemps après, ces intouchables tigres et léopards plusieurs années nourris et entretenus aux petits oignons aux frais du roi et du peuple ! Les lamentations populaires ont été entendues, mais le mal est fait.

Messieurs les mutins putschistes révolutionnaires votre forfaiture est vouée à l’échec, la force est à la loi, la loi de la force ne vous réussira pas.

Nous les forces vives Tshisekedistes, sages aînés du parti, nous vous convions au dialogue aux tours des textes.

Dr Tambwe Mbuyi, Cadre du parti.




Black Power Évolution

Je ne suis derrière personne et contre personne.

Je suis de l’UDPS. Et je vais réélire Fatshi.

Mais, l’unité n’est pas égale à la soumission.

Il faut que Fatshi, s’il veut conserver son pouvoir, demande à Kabuya de payer le personnel du parti. De cesser de faire arrêter les combattants. Il faut l’instruire à faire du bien. A couper court avec le monnayage des postes…

Votre manière de chercher l’unité est comme si vous imposez tout le monde au Tosa obika.

L’unité ce que tout le monde soit bien servi.

On a besoin d’une réconciliation sincère et non de façade.

Kabuya viole les textes, mais pourquoi la haute hiérarchie le laisse faire ?

Nous devons toujours applaudir.

Soyez francs, à Kisantu, quels sont les pouvoirs bien énumérés qu’on a donnés à Kabuya ?

Est – ce les pouvoirs de nommer les Fédéraux ? Montrez – nous où les 2 résolutions prises à Kisantu donnent ce pouvoir au SG ?

Dernièrement, nous avons écrit et insisté sur l’unité pour donner à Fatshi la majorité parlementaire. C’est la nomination du Fédéral de Banza Ngungu qui est la goutte qui a débordé la vase.

Que chacun recherche la paix. Ne nous demandez pas de faire des concessions pareilles.

Dans la réconciliation, il doit y avoir aussi le respect des textes.

Donc, pour avoir la majorité au parlement, nous devons accepter de nous jeter dans la boue.

Cessons de nous irriter mutuellement. Éviter ce qui blesse l’autre.

Pour vous, unité c’est accepter des bêtises comme Tosa obika et non plus le peuple d’abord.

Voici 4 ans nous sommes toujours au chômage. Mais le parti ne peut pas demander à Fatshi d’associer les combattants dans la résolution de la question de l’Est. Il faut recruter dans les services sécurité.

La politique c’est l’intérêt. Les combattants ont aussi droit au partage du butin.

Tout travail mérite un salaire. A ce rythme, beaucoup sont déçus. Il est temps que la haute hiérarchie pense à nous. Certains applaudissent parce qu’ils ont du travail. Et nous.

Nous finirons par nous radicaliser. Advienne que pourra.

Le black Kaïser




Incendié au mois de décembre passé : Wenze ya Imbwa en voie de reprendre ses activités

Contrairement au vouloir de la population environnante, le marché Citas, communément appelé ” Wenze ya Imbwa” commence à reprendre ses activités petit à petit, après un moment de silence dû à l’incendie électrique qui avait provoqué la perte de plusieurs biens dans la nuit du jeudi au vendredi 30 décembre 2022 au quartier Cimanga, dans la commune de Barumbu.

Il s’observe dans ce site commercial une présence timide des vendeuses de pains, du café, de boutiques, de restaurants et d’autres quincailleries en pleine reconstitution, alors que la population environnante souhaite l’interdiction de ce petit marché qui perturbe selon elle, la circulation dans ce coin de la capitale et ne répondant pas aux critères du marché.

Aucun mort n’avait été enregistré dans cet incident, comme avait affirmé une maman vendeuse de farine, victime de perte et surprise par le feu au moulin. Elle s’était exprimée, disant : « nous avons fait beaucoup de temps sans courant, comme c’était rétabli, nous étions venues pour moudre les maïs. Le courant s’est soudainement explosé et rien n’a été sauvé là », parce que le feu était difficile à maîtriser et la fumée s’était rependue partout.

Il faudrait attendre le service anti incendie, lequel arrive malheureusement en retard, tous étaient déjà réduit en cendres”, a-t-elle dit.

Touchée de l’incendie, la population environnante plaide pour la non restauration de ce site qui ne répond pas aux critères du marché.  “Nous demandons au gouverneur de la ville, Gentiny Ngobila de ne plus autoriser le fonctionnement de ce marché, car il ne répond pas aux critères appropriés”, souhaite la population.

Il est à noter que “wenze ya imbwa” au quartier Cimanga dans la commune de Barumbu n’a aucun bâtiment construit en matériaux durables. Il ne constitue que des tôles et des planches allergiques au feu. Et d’ajouter qu’après cet incendie, le marché est en train d’être reconstruit de la même manière.

Jean-Luc Lukanda