Attentat à Kasindi : Le pape exprime « sa compassion » aux victimes de l’attentat

Le pape François exprime « sa compassion et sa proximité » aux victimes de l’attentat contre une église pentecôtiste à Kasindi, survenu le dimanche 15 janvier 2023. Dans cette localité du Nord-Kivu, à l’Est du pays, au moins 14 personnes ont été tuées et 63 blessées, lors de l’explosion d’une bombe artisanale dans l’église, indique La CroixAfrica.

Dans un télégramme signé par le cardinal Parolin, secrétaire d’État, et est adressé au révérend André Bokundoa-Bo-Likabe, président de l’Église du Christ au Congo, le pape, « dans la prière », « confie les défunts et les blessés à la miséricorde de Dieu ». « Il implore le Christ, Seigneur de la vie, afin que les personnes affligées trouvent consolation et confiance en Dieu, invoquant sur elles le don de la paix. »

L’attentat terroriste intervient à deux semaines d’un voyage du pape François en République démocratique du Congo, du 31 janvier au 3 février.

Les autorités du pays ont attribué l’attentat à un groupe armé des ADF (Forces démocratiques alliées), des rebelles musulmans d’origine ougandaise, qui sont actifs à l’Est du pays. Depuis 2021, une opération militaire conjointe congolaise-ougandaise est organisée contre les ADF en territoire congolais. Mais les attaques continuent.




Audience générale : le pape « recommande » la RDC à la « prière » des fidèles

Le pape François s’est adressé aux fidèles au terme de l’audience générale de ce mercredi 18 janvier 2023, Salle Paul VI, en les invitant à prier pour la RDC, à deux semaines de son voyage dans ce pays (du 31 janvier au 3 février).

Il a en effet dit : « Je salue cordialement les pèlerins de langue française présents aujourd’hui, en particulier le groupe de fidèles, venu de la République Démocratique du Congo, un pays que j’irai visiter à la fin du mois et que je recommande à votre prière ! »

Selon Vatican News, dans la capitale de la RDC, Kinshasa, les préparatifs pour la visite du pape François avancent : c’est ce qu’a déclaré – le 17 janvier – l’archevêque de Kinshasa, le cardinal Fridolin Ambongo, après avoir visité plusieurs chantiers, notamment à l’aérodrome de Ndolo où le pape présidera une messe le 1er février. Au moins deux millions de personnes sont attendues pour cet événement.




Pour la junte, la haine du Maroc passe avant les IDE et les (vrais) intérêts de l’Algérie

Véritable leçon de logique anti-économique, le violent coup de gueule du ministre algérien de l’Industrie pharmaceutique, Ali Aoun, contre la filiale locale du géant saoudien Tabuk, sur fond d’une carte intégrale du Maroc, en dit long sur la fixation du régime d’Alger sur le Royaume. Au détriment même de l’économie algérienne.

La sortie est pour le moins hasardeuse et d’une rare violence, puisqu’elle concerne un ministre qui s’adresse à un investisseur étranger. Elle n’a cependant rien d’étonnant quand on sait que le responsable en question n’est autre qu’Ali Aoun, ministre algérien de l’industrie pharmaceutique, et que son coup de sang incontrôlé vise la filiale locale du groupe saoudien Tabuk, dont le pays d’origine est un fervent soutien à la marocanité du Sahara.

Il aura ainsi suffi que les responsables de Tabuk Pharmaceuticals Algérie aient eu «l’outrecuidance» de recevoir, lundi 16 janvier à Blida, le ministre algérien avec une carte intégrale du Royaume du Maroc pour qu’une véritable tempête, faite de propos humiliants et d’insultes à peine voilées, s’abatte sur eux. Une démonstration, encore une, de la folie furieuse qui gagne toutes les strates du pouvoir algérien quand il est question du Maroc.

Ce mercredi, nous vous rapportions le stade ultime de l’hystérie qu’a atteint le ministre algérien lors de sa visite dans les usines de Tabuk, et ce, à la simple vue de la carte du Maroc comprenant son Sahara. Pris d’une crise de nerfs, Aoun a, séance tenante, ordonné aux dirigeants du groupe de changer «rapidement» ladite carte de manière à ce qu’une ligne de démarcation sépare les provinces du Sud du reste du Royaume.

«La carte doit être corrigée rapidement. Vous êtes en Algérie et vous connaissez bien la position de l’Algérie sur l’affaire entre le Maroc et le Sahara occidental. Rapidement. Il ne faut plus présenter ce type de carte», a tancé le ministre algérien, remonté comme jamais. Intempestive, irréfléchie, sa «remarque» a aussi cette charge de mépris, et de méprise, qu’on ne retrouve plus que chez les dirigeants algériens.

Ainsi lancé, le ministre algérien n’allait pas s’arrêter en si bon chemin. La suite de sa prise de parole à l’adresse du top management de Tabuk Algérie est un morceau d’anthologie en matière de logique anti-économique. À l’heure où tous les pays du monde s’arrachent le moindre dollar d’investissement étranger, dans une conjoncture économique aussi dure, lui juge que le groupe saoudien n’en fait pas assez avec ses 16 millions de dollars injectés dans une économie algérienne en manque de diversification et otage de ses recettes exlusivement issues des hydrocarbures.

Aoun n’en a que faire, la filiale du groupe saoudien s’étant rendue coupable de l’impardonnable en terre algérienne: dire, ou ne serait-ce que suggérer, à travers une carte que le Sahara est, évidemment, marocain. Quand on sait qu’Alger ne cesse de marteler à longueur de journée que la question du Sahara ne la concerne pas, refusant même de prendre part aux tables rondes décidées par le Conseil de sécurité de l’ONU, il y a comme un grand souci de cohérence. Mais la junte n’est pas à une contradiction près. Et puis, qui peut le plus, peut le moins.

En matière de «plus», le ministre algérien a poussé le ridicule jusqu’à contester l’existence même des unités de production de Tabuk en Algérie, alors que celles-ci ont fait l’objet d’accords, d’accompagnement et de facilités de la part des autorités et que le projet est né il y a de cela 7 ans. «Un tel montant d’investissement est indigne d’un aussi grand groupe comme Tabuk. Le cadet des investisseurs algériens est capable de l’apporter. Il faut revoir vos capacités sur ce registre. L’état actuel des choses est inacceptable. Nous voulons un autre projet, un nouvel investissement, qui soit respectable», a-t-il crié.

On passera sur le manque total d’élégance, de savoir-vivre et même de savoir-être, car il y a mieux: le délai pour le moins intenable fixé à Tabuk pour arriver avec ce nouveau business plan, à savoir la fin du premier semestre de cette année 2023. De plus en plus en forme, le ministre algérien de l’Industrie pharmaceutique a poussé le bouchon encore plus loin: «Que produisez-vous en Algérie? Du shampooing? L’Algérie n’a pas besoin de shampooing. Débarrassez-nous-en, quels que soient les vertus thérapeutiques et les usages médicaux auxquels ce produit est destiné. Nous avons besoin de traitements contre le cancer, contre le diabète.» Comme si, jusqu’ici, Tabuk agissait clandestinement et qu’on peut, du jour au lendemain, changer de taille d’entreprise ou encore de ligne de production. Si ce n’est pas du populisme à l’état primitif, on se demande bien ce que cela pourrait être comme posture.

Déjà fin expert en industrie pharmaceutique, visiblement allergique aux shampooings et autres produits d’hygiène, Aoun se veut aussi une référence en politique de change. Il a reproché, à ce titre, à la filiale algérienne de Tabuk d’importer des matières premières et autres intrants de l’étranger «en devises» et de rapatrier ses bénéfices à la maison mère «en devises». Il oublie que c’est le propre de tout investissement étranger, et qu’en matière d’intrants, il y a lieu de créer un écosystème et de favoriser le taux d’intégration.

Mais il ne faut pas non plus trop en demander à un aussi brillant ministre, tout juste animé par sa volonté d’effacer sa propre ardoise, puisqu’il a été auparavant accusé de corruption, associé au scandale de la banque Khalifa, et condamné à une peine de prison, avant de bénéficier d’un acquittement. Une forme d’avance sur ses bons et loyaux services, mais qui servent uniquement le maintien d’un régime en fin de vie.

Et puisque le ridicule ne tue pas, Aoun a ordonné, avec effet immédiat, qu’une partie de la production soit destinée à l’export pour couvrir les pertes en devises dont la filiale de Tabuk est responsable. Mais sur les marchés potentiels et tout le dispositif à mettre en place, il est resté muet: «Ce que je vous dis est une instruction officielle. Le shampooing, il suffit. Dites-le à la bande de Tabuk: l’Etat algérien n’est pas satisfait de ce qui se fait en Algérie.» Tout est de savoir comment le groupe, l’Arabie saoudite et tous les investisseurs du monde vont interpréter de telles carabistouilles. Dépourvues de la moindre once de bon sens. Ainsi va l’Algérie.

Par Tarik Qattab




Parlement européen : Deux amendements apportés par des milieux hostiles au Maroc

Le Parlement européen a adopté, ce mercredi 18 janvier, deux amendements dans le cadre du «Rapport concernant la mise en œuvre de la politique étrangère et de sécurité commune – 2022», une action considérée comme « manœuvres dilatoires et hostiles menées contre le Maroc”.

Suite aux deux amendements poussés ce mercredi par le Parlement européen au «Rapport concernant la mise en œuvre de la politique étrangère et de sécurité commune – 2022», une source au sein du ministère des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger a tenu de souligner que cette démarche, émanant d’une partie qui estime avoir de bonnes intentions, tel a été confirmé par le haut représentant de l’UE pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell lors de sa dernière visite à Rabat, a été promue par des milieux hostiles aux intérêts du Maroc.

Ces amendements relèvent d’une campagne d’attaques et de harcèlement menée contre Royaume, surtout par ceux qui entravent la croissance, la prospérité et la forte présence du Maroc dans son environnement régional et international, a-t-elle indiqué.

La même source a affirmé que le Maroc a depuis longtemps mis en garde et à plusieurs reprises contre cette campagne continue qui le vise directement et individuellement. De tous les pays arabes et africains, le Maroc est le plus ciblé et attaqué, ce qui indique un parti pris clair qui ne peut être ignoré.

La source du ministère a déclaré que ces amendements ne sont qu’une manifestation des véritables abus et violations des institutions et de la voie démocratique. Pour l’interlocuteur, il est surprenant de voir que ceux qui se plaignent de l’ingérence étrangère sont, en fait, les premiers à intervenir dans les affaires intérieures et procédures judiciaires d’un État souverain, soulignant que “ceux qui se plaignent de l’ingérence sont en fait les champions de l’ingérence”.

La même source a poursuivi : “Ceux qui prétendent que leur travail se caractérise par la légitimité fondent leurs positions sur des allégations fantaisistes que certains médias promeuvent sans s’appuyer sur aucune base légale, à un moment où des enquêtes judiciaires sont toujours en cours, dans l’attente de la publication de leurs résultats”.

En ce sens, la source explique que le Maroc s’attend à plus d’attaques, qui emploieront une rhétorique creuse basée sur des faits que déjà tranchés par la justice.

Elle ajoute que les cercles hostiles au Maroc identifiés au sein du Parlement européen, et qui ont un agenda bien connu, ne reculeront devant rien, étant donné qu’ils ignorent les droits des victimes, remettent en cause l’indépendance du système judiciaire au Maroc et prennent parti du côté des personnes qui ont déjà été jugées pour des faits de droit commun, et en aucun cas, en raison d’opinions ou d’attitudes.

Et d’ajouter : « Sans ignorer la sage position de certains groupes politiques et représentations au Parlement européen, le Maroc reste confiant dans sa voie nationale et sage dans ses choix liés à sa politique intérieure et extérieure ».

La source du ministère a indiqué notamment que le Maroc, toujours attaché à son partenariat stratégique avec l’Union européenne, alerte sur les conséquences de ces manœuvres ignobles, et appelle les voix sages et responsables à évoquer le langage de la raison et à privilégier les intérêts de ce partenariat, et de s’abstenir de se livrer à ces manœuvres et de fermer les yeux sur celles-ci.

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CHAN 2022 :l’Ouganda prend la tête du groupe B!

Après son entame réussie contre la Côte d’Ivoire (1-0), le Sénégal est tombé de haut en s’inclinant face à l’Ouganda (0-1) ce mercredi sous la pluie à Annaba à l’occasion de son deuxième match au CHAN 2022. Malgré ce revers, les Lions locaux sont bien placés pour se qualifier mais il faudra rester vigilant dimanche lors de la dernière journée contre la RD Congo, qui a fait match nul un peu plus tôt face à la Côte d’Ivoire (0-0). De son côté, l’Ouganda vire en tête de la poule B et se trouve en position de force avant le match face aux Ivoiriens.

D’entrée pourtant, les hommes de Pape Thiaw se procuraient les meilleures situations : une tête de Cheikh Diouf qui allait mourir sur la barre, un coup-franc en pleine surface repoussé sur la ligne et surtout un penalty obtenu par Moussa Ndiaye et manqué, comme au premier match, cette fois par Cheikh Sidibé, qui butait face au gardien adverse, Alionzi… Comme souvent dans pareil cas, les Sénégalais se faisaient punir dans la foulée.

Suite à un corner mal repoussé, Milton Karisa ouvrait le score pour les Cranes sur un tir dévié à bout portant (0-1, 33e). Sonnés, les Sénégalais avaient du mal à s’en remettre et semblaient clairement coupés dans leur élan. Ils frôlaient même le KO au retour des vestiaires lorsque Cheikhou Ndiaye concédait un penalty, cette fois contre le Sénégal, que l’arbitre annulait miraculeusement suite au recours à la VAR. Malgré un gros raté de Diouf, qui manquait le cadre sur sa reprise en excellente position, les Lions ne parvenaient plus à se procurer de véritables occasions par la suite. Pire, ils terminaient le match à dix après l’expulsion de Libasse Ngom (82e). Un résultat décevant mais les Lions ont encore toutes leurs chances s’ils parviennent à s’en remettre mentalement.

Le classement du groupe B : Ouganda 4 points, Sénégal 3 pts, RDC 2 pts, Côte d’Ivoire 1 pt




culte: Dieu n’est pas un homme pour mentir

 




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A Boende : Guy Loando inspecte les travaux de modernisation de l’aérogare et de la voirie urbaine

Arrivé ce mardi à Boende, en mission officielle, le ministre d’État, ministre de l’Aménagement du Territoire Me Guy Loandoa reçu un accueil spontané et chaleureux de la population du coin et des alentours.

Me Guy Loando est allé inspecter les travaux de modernisation de l’aérogare et de la voirie urbaine de Boende, financés par le Gouvernement de la République.

Le MinÉtat Guy Loando a profité de sa présence à Boende pour appeler la population à s’enrôler massivement en prévision des prochaines échéances électorales.




Dans une mise au point : Jean-Lucien Bussa rejette les propos discriminatoires qui lui sont attribués

Dans une mise au point parvenue à notre rédaction, M. Jean-Lucien Bussa, ministre du Commerce extérieur et Autorité morale du CDR démontre comment ses adversaires politiques, voulant porter atteinte à sa crédibilité au niveau national et international, lui ont collé des propos discriminatoires, racistes et séparatistes qu’il n’a jamais tenus. Dans ce même document, il affirme avec force que ces propos ne sont les siens. Ils ont été créés en dehors du contexte pour l’exposer au mépris de l’opinion nationale et internationale et ce, pour des raisons politiciennes. Et Jean-Lucien Bussa de poursuivre qu’il en découle que ses adversaires politiques ayant échoué à démobiliser la population et de porter atteinte à son intégrité physique, ils se sont rabattus par le biais d’une machination de vouloir me décrédibiliser dans l’opinion et espérer ainsi obtenir l’adhésion populaire qu’ils n’ont plus depuis un certain temps. Il a profité de l’occasion pour rappeler à l’opinion nationale et internationale que son parti politique le CDER et lui-même défendons le principe et, de bon droit légitime, de la « double nationalité ». « Il en découle que les propos séparatistes que le MLC, avec ses journalistes recrutés pour le besoin de la cause pour ternir mon image dans l’opinion publique nationale et internationale, sont montés de toutes pièces à des fins politiciennes », dit-il, avant de marteler que le vrai problème étant celui de la guerre de Leadership que se livre les deux acteurs sur terrain, de savoir le Leader du MLC, Jean-Pierre Bemba et celui du CDER, Jean-Lucien Bussa, tous pourtant, Membres de l’Union Sacrée de la Nation.

Ci-dessous, l’intégralité de la mise au point :

JMNK

MISE AU POINT EN RAPPORT AVEC LES PROPOS (DITS >> DISCRTMINATOIRES M’ATTRIBUES PAR MES ADVERSAIRES POLITIQUES

J’ai l’honneur de porter ici la meilleure attention de l’opinion nationale et internationale, qu’à la suite de la publication du calendrier électoral le 29 novembre 2022 par la CENI, j’ai effectué en dates du 04 au 11 janvier 2023, une décente dans les Provinces du Nord et du Sud-Ubangi en vue de me faire enrôler.

Profitant de l’occasion, j’ai passé le message ci-après à la population : (i) appel d l’enrôlement massif et à l’appropriation du processus électoral ; (ii) appel d l’unit6 et d la solidarit6 aux fins de combattre Ia pauvret6 ; (iii) appel au soutien de tous à la candidature de Son Excellence Monsieur Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de Ia République, Chef de l’Etat, aux élections de décembre 2023.

A cet effet, informé de l’ampleur des préparatifs de mon accueil, les militants et cadres du Mouvement de Libération du Congo (MLC), Parti politique concurrent au Courant des Démocrates Rénovateurs (CDER), mon Parti, ont programmé et perpétré les actes inciviques et criminels suivants :

  1. Production et distribution des tracts sur lesquels était mentionné les menaces criminelles dès mon arrivée de Gemena, le 04 janvier 2023 (cfr rapport des Autorités politico-administratives et des Services de sécurité) ;
  2. Lapidation des militants du CDER au siège fédéral (dont quatre blessés) par des inciviques proches du MLC dont deux d’entre-eux ont été interpellés par la Police Nationale Congolaise, le 04 janvier 2023, après mon meeting populaire à la Place << Kermesse >> ;
  3. Attaque et incendie criminel du siège fédéral du CDER par les militants du MLC, conduits au lieu du crime par l’Honorable SITDO PENZE, Député provincial MLC ;
  4. Agression barbare des 6tudiants venus participer A la Conf6rence que j’ai anim6 d leur demande, à la paroisse Sainte-Elisabeth de Gemena sur la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine, peu avant mon départ pour Kinshasa, le 11 janvier 2023.Ils ont tapé et blessé les étudiants, cassé les chaises, tables et fenêtres et emporté certains biens des étudiants (cfr d6claration des 6tudiants).

Je tiens par ailleurs à relever à l’attention de tout le monde que le 04 janvier au matin, le Major Jean-Benoît NDABELEKA ITONGO, ancien de l’Armée de Libération du Congo/MLC, ancien garde rapproché du Président National du MLC, arrivé à Gemena sans feuille de route ni ordre de mission, sous une fausse identité, a été arrêté le 04 janvier 2023 par les services de sécurité.

Le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur et Sécurité a informé le Gouvernement de l’enquête ouverte à charge du précité pour avoir voulu attenter à ma vie lors de ma tournée dans le territoire de Budjala, précisément dans le groupement de Likaw.

L’arme de guerre et des munitions dont il se serait servi pour commettre son forfait, ont été saisies depuis le 10 janvier 2023 par les services compétents. Il s’agit de l’arme et munitions cachées depuis la fin de la rébellion menée par le MLC.

Comme cela ne suffisait pas, mes adversaires politiques, voulant porter atteinte à ma crédibilité au niveau national et international, m’ont collé des propos discriminatoires, racistes et séparatistes que je n’ai jamais tenus.

Pour ce faire, Monsieur Stanis BUJAKERA TSHIAMALA, Journaliste reporter à Jeune Afrique, Reuters et Actualité.CD, pour des raisons inavouées et sans vérification rigoureuse préalable, a affirmé dans son tweet déclencheur de la campagne de diabolisation, du 12 janvier 2023 dans lequel il m’attribue le propos dont : < Tout celui dont le père n’est pas congolais est notre ennemi >. Traduit en Lingala, cette phrase s’écrirait de la manière suivante : < Oyo nionso tata naye azali congolais te, azali monguna na biso >>.

J’affirme avec force que ces propos ne sont miens. Ils ont été créés en dehors du contexte pour m’exposer au mépris de l’opinion nationale et internationale et ce, pour des raisons politiciennes.

Il en découle que mes adversaires politiques ayant échoué à démobiliser la population et de porter atteinte à mon intégrité physique, ils se sont rabattus par le biais d’une machination de vouloir me décrédibiliser dans l’opinion et espérer ainsi obtenir l’adhésion populaire qu’ils n’ont plus depuis un certain temps.

Ainsi, je voudrais rappeler à l’opinion nationale et internationale que mon parti politique le CDER et moi-même défendons le principe et, de bon droit légitime, de la < double nationalité >.

Il en découle que les propos séparatistes que le MLC, avec ses journalistes recrutés pour le besoin de la cause pour ternir mon image dans l’opinion publique nationale et internationale, sont montés de toutes pièces à des fins politiciennes.

Le vrai problème étant celui de la guerre de Leadership que se livre les deux acteurs sur terrain, de savoir le Leader du MLC, Jean-Pierre Bemba et celui du CDER, Jean-Lucien Bussa, tous pourtant, Membres de l’Union Sacrée de la Nation.

Fait à Kinshasa, le 18 janvier 2023

Jean-Lucien Bussa

Autorité Morale du Parti politique CDR et du regroupement politique coalition des démocrates (CODES)




Les FARDC n’ont pas droit d’occuper Rutshuru, dixit le membre de l’Udps Willy Ngoma (Papy Tamba)

Un audio le dit et il fait le tour des réseaux sociaux. C’est cela le résultat du carnet d’adresse que Fatshi est allé chercher au Rwanda, selon les saintes révélations du tout puissant Bifor BISELELE. Et pendant ce temps, les congolais dorment encore sur leurs lauriers. La populace ne peut faire que des émeutes. Pour faire une révolution il faut le peuple. Victor HUGO. Avons-nous ce peuple en RDC ?

Chers frères et sœurs congolais, la voix dans cet audio est bel et bien de Willy NGOMA, présenté dans les réseaux comme membre de l’Udps. Sans ambages ni détour, il a déclaré que les FARDC n’ont pas droit d’accéder à Rutshuru. Il ajoute que seules les forces machin bidule des États de l’est ont droit d’y être. Et visiblement, cette force respecte cette position.

Avant de dormir cette nuit, rappelez-vous de certains faits

  1. Quand Fatshi accédait au pouvoir le 24 janvier 2019, le M23 n’existait plus. C’est un mouvement qui était vaincu et défait par le président KABILA en 2013.
  2. Selon les révélations faites par major Willy NGOMA, ce mouvement a été invité à Kinshasa pendant 17 mois aux frais de la République. Le temps nécessaire pour eux de se reconstituer
  3. Les révélations du tout puissant Bifor BISELELE nous parlent de la quête du carnet d’adresse de Kagame
  4. C’est Fatshi qui nous a ramené le machin truc bidule des États de l’Afrique de l’est
  5. Devant les groupes armés au Kenya, Fatshi a déclaré que nous n’allons pas continuer à nous battre pour un petit lopin de terre, avant d’ajouter que l’espace d’Afrique machin bidule de l’est sera notre espace à nous tous.

Il y a encore à dire, ces quelques faits suffisent pour accuser Fatshi à Dieu et aux ancêtres. Nous avons la légitimité de le faire, les faits sont d’une particulière gravité. Si nous ne devons pas nous battre pour un lopin de terre, pour quelle autre raison pouvons-nous encore le faire ?

J’anticipe pour souhaiter une bonne nuit. Je sais que ça sera dur de dormir avec toutes ces vérités, mais faites des efforts. Les ténèbres ne régneront pas toujours