Justice : Jean-Marc Kabund est toujours en prison

Contrairement à ce que la toile a annoncé le weekend sur une probable libération de l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale, Jean-Marc Kabund est toujours dans sa cellule à la prison centrale de Makala.

A travers une matinée politique organisée ce dimanche 29 janvier 2023 au siège du parti Alliance pour le Changement (Ach) à la 11ème rue Limete, le Secrétaire général de ce parti politique cher à Jean-Marc Kabund a démenti toutes les informations faisant état d’une probable liberté provisoire accordée à leur leader. Billy Mutono qui a fustigé la détention de Jean-Marc Kabund, qu’il qualifie d’illégale, est revenu sur toutes les circonstances qui ont caractérisée cette détention et aussi toutes les procédures judiciaires qui selon lui ont été entachée des plusieurs irrégularités.

Pour ce haut cadre de l’Ach son leader est toujours dans l’attente de la décision de la Cour Constitutionnelle sur sa requête en interprétation de constitutionnalité sur les irrégularités qui ont entachée la procédure de l’arrestation de leur leader qui jouissait encore de ces immunités parlementaires et aussi de l’exécution de l’arrêt du parquet près la Cour de Cassation sur la mesure d’assignation à résidence surveillée.

Devant les militantes et militants de l’Alliance pour le changement le Secrétaire général de Ach a appelé les militantes et militants de ce parti de l’opposition à rester prêts et sereins et surtout optimistes en attendant la libération prochaine de leur leader, avant de préciser que si Jean-Marc Kabund n’est pas libre dans les jours qui suivent, l’Alliance pour le Changement amorcera les actions des grandes envergures à travers la République pour exiger sa libération sans condition, a-t-il dit.




« Détruisez cette église : Le Royaume de Dieu apparaitra », nouveau livre de l’Abbé Arthur Lubwika

« Détruisez cette église : le royaume de Dieu apparaitra », c’est le nouveau livre de l’Abbé Arthur Lubwika. A en croire une synthèse publiée dans le site internet morebooks.shop, ce titre provocateur, où l’auteur suggère un paradigme moderne de la vie chrétienne, semble être tout un projet de vie et un appel à l’engagement pour l’avènement du Royaume de Dieu. « L’énoncé est provocateur, parce qu’il peut ébranler la foi de ceux qui se font une certaine idée d’un salut impossible en dehors de l’Eglise instituée ; c’est un projet de vie pour ceux qui considèrent que l’institution-Eglise n’est pas à confondre avec le Royaume de Dieu et que le chemin est encore long vers l’établissement de ce dernier », indique le même site, qui ajoute qu’en plus, le titre semble une exhortation au combat contre les illusions et les fausses certitudes sur l’idée et la réalité même du Royaume de Dieu. Ci-dessous, l’intégralité de l’interview réalisée par lequotidienrdc.com

Pourquoi ce titre ? Est-ce qu’une façon pour vous de vous défouler ?

Je commence par vous remercier de l’intérêt que vous portez sur ma récente publication. Et je passe avec plaisir et empressement à répondre à vos très intéressantes préoccupations.

Ce livre relève du domaine de la théologie. Et dans toute théologie contextuelle, on parle toujours de quelque part. Loin de m’arrêter aux considérations psychologiques préconscientes qui sous-tendent votre question, je voudrais tout droit préciser que ce titre s’enracine dans la tradition judéo-chrétienne, donc dans la Bible, qui développe notamment la thématique de la destruction et de la restauration des organisations institutionnelles du peuple de Dieu en marche vers la plénitude de son Royaume. Pour le cas d’espèce, je me suis inspiré des enseignements de Jésus lorsqu’il fut confronté aux comportements et pratiques des chefs religieux de son temps qui en étaient arrivés à détourner le sens premier du Temple en faveur de leurs propres intérêts politico-économiques (cf. Jean 2,13-22) ou à chercher à pérenniser un culte spirituel subordonné aux institutions religieuses immanentes dont ils étaient pour ainsi dire tenanciers incontestés (cf. Jean 4,19-24). Je me suis également inspiré du dénouement du concile de Jérusalem à propos du conflit issu du trafic d’influence visant la soumission politico-religieuse des uns aux autres au sein du même peuple de Dieu (cf. Actes 15,15-18 ; lire aussi Amos 9,11 et suiv.). Aujourd’hui encore, la dynamique de la « destruction-restauration » demeure pertinente pour quiconque milite en faveur du changement de paradigme dans la logique évangélique du Royaume de Dieu. Car, comme l’énonce cette célèbre citation d’Alfred Loisy que je partage pleinement, « Jésus annonçait le Royaume, et c’est l’Eglise qui est venue » !

Vous visez quelle église ? Catholique ou de Réveil ?

De bout en bout, dans ce livre, je parle de toute institution-Eglise qui est venue et s’est installée en lieu et place du Royaume de Dieu. Il suffit de lire attentivement la gestion et les pratiques des Eglises chrétiennes aujourd’hui à la lumière de l’Evangile, tel que je viens de le stigmatiser dans les éléments de réponses à la première question, pour comprendre de quelle(s) institution(s) ecclésiale(s) je parle.

Vous parlez de l’église épouse du Christ qui doit être détruite ? Que pensera alors l’époux ?

D’abord une précision de taille : je ne donne pas un ordre, mais je fais une exhortation. Qu’à cela ne tienne ! La théologie paulinienne de « l’église épouse du Christ » n’autorise personne à se substituer à Christ et à imposer en conséquence sa loi sur les membres de ladite Eglise, ainsi que le feraient les chefs des nations païennes (cf. Luc 22,24-27). Par exemple, quand le Grand Prêtre et sa curie se sont mis à profaner le Temple, Jésus s’est directement – et avec violence en contexte – inscrit en faux contre ces pratiques, indiquant symboliquement à ses disciples la voie d’un paradigme nouveau. Non ! Jésus ne s’oppose pas à celui qui vise la restauration de la véritable adoration : « Qui n’est pas contre nous est pour nous » (Marc 9,38-41 ; Luc 9,49-50).

Comment est subdivisé le livre ?

Outre les péritextes, le livre est subdivisé en quatre principaux chapitres, allant du constat de la présence de l’institution-Eglise et de la persistance du trinôme « Eglise-Hadès-Royaume », à l’appel à l’urgence de la redécouverte de l’Evangile du Royaume, avant de chuter sur la pertinence de la communion des disciples du Royaume.

Quelles sont les réactions que vous avez déjà eues depuis sa parution ?

Le livre vient de paraitre ce 14 janvier 2023, à telle enseigne que les lecteurs intéressés qui ont passé des commandes à l’éditeur n’ont pas encore reçu le livre imprimé. Les réactions à chaud sont faites, comme le résume votre questionnaire, de curiosité autour du titre lui-même, d’encouragements à continuer sur la voie prophétique et de suggestions quant à publier dans les maisons d’éditions locales et nationales de façon à produire des œuvres accessibles à notre peuple quant à son pouvoir d’achat et à la disponibilité des exemplaires.

 




La CAF annonce une augmentation de 60% de la dotation financière du CHAN

La Confédération Africaine de Football (CAF) annonce une augmentation significative de 60% de la cagnotte du vainqueur du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) TotalEnergies Algérie 2022.

Le vainqueur de la 7e édition du tournoi sera connu à l’issue de la finale prévue le 4 février 2023 au stade Nelson Mandela d’Alger.

La décision, qui a été confirmée par le Président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, est conforme à la stratégie de la CAF visant à accroître la valeur commerciale des compétitions africaines.

Cette année, le vainqueur du trophée recevra la somme de 2 millions de dollars, contre 1 250 000 dollars pour le précédent champion il y a deux ans.

Le montant total des prix alloués pour le tournoi a été porté à 7 900 000 USD, contre 5 450 000 USD au total pour les pays ayant participé à l’édition précédente.

Le finaliste recevra 800 000 dollars, tandis que les équipes classées troisième et quatrième recevront 500 000 dollars chacune.

Les quarts-de-finalistes malheureux recevront 400 000 dollars chacun, tandis que les deux pays qui termineront deuxièmes dans les groupes de trois équipes gagneront 300 000 dollars chacun, soit le même montant que les pays classés troisièmes dans les groupes de quatre équipes.

Les équipes les moins bien placées de tous les groupes recevront 200 000 dollars chacune. Le CHAN TotalEnergies Algérie 2022 qui a débuté le 13 janvier dernier se poursuit jusqu’au 4 février en Algérie.




Ngaliema : les membres d’un centre d’inscription mis aux arrêts pour avoir enrôlé dans une résidence privée

Le monitoring de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) signale un fait saillant dans l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs (RFE) dans la commune de Ngaliema, lundi 23 janvier 2023.

En effet, le Président du centre d’inscription (PCI) s’est permis de déplacer sans l’autorisation préalable de la hiérarchie de la CENI, le kit d’enrôlement dans une résidence privée. Saisie de ce fait, la hiérarchie de la CENI envoie le jour suivant ses Experts et la police sur place pour s’enquérir de la situation.  Après vérification , il s’est avéré que le Centre d’inscription (CI) en question, numéro 1003029  n’avait pas ouvert le lundi 23 janvier, avec en appui les témoignages de certains requérants, car le lundi le CI est fermé au public pour permettre aux membres du Centre d’inscription (MCI) de finaliser les tâches administratives de la semaine pendant que, la fiche hebdomadaire de présence des Membres du CI avait été signée par le PCI, PI et OPS.

Les Experts vérifient le kit d’enrôlement et trouvent, la présence des 51 électeurs enrôlés lundi 23 janvier,  et dont les fiches  d’inscription (FO1) sont introuvables.

Selon l’article 22 de la loi portant identification et enrôlement des électeurs en RDC, les CI sont installés dans les écoles ainsi que les autres lieux publics ou privés connus de la population, réquisitionnés ou mis gratuitement à la disposition de la Commission électorale nationale indépendante pendant toute la durée des opérations.

En vue de préserver et de crédibiliser le processus en cours, la hiérarchie de la CENI a révoqué et mis à la disposition de la justice les 3 membres du CI pour non-respect de la loi et procédures d’identification et enrôlement des électeurs. La Centrale Électorale a ainsi décidé la délocalisation de ce CI vers un autre lieu. Un geste salué par les habitants de Ngaliema, parce que visant à décourager les potentielles brebis galeuses. La CENI appelle ainsi la population à dénoncer tout acte contraire à la loi électorale d’où qu’il se produise.




L’UNICEF exige la libération immédiate et inconditionnelle de 13 enfants enlevés à Butembo

L’UNICEF a demandé la libération immédiate et inconditionnelle d’au moins 13 enfants qui auraient été enlevés cette semaine au cours d’une nuit de violence près de la ville de Butembo, dans la province du Nord-Kivu, en République démocratique du Congo.

Les 11 garçons et les deux filles – âgés de 12 à 14 ans – auraient été enlevés lors d’une attaque armée dans la nuit du 22 janvier 2023 dans le village de Makungwe, à environ 26 km à l’est de Butembo. Au moins 24 personnes ont été tuées, dont une jeune fille de 13 ans et cinq femmes.

L’UNICEF qui condamne cet enlèvement est préoccupé par le fait que les enfants enlevés soient traités de manière inhumaine et demande qu’ils soient immédiatement libérés.

Le principe selon lequel les enfants n’ont pas leur place dans les conflits armés et doivent être à l’abri de la violence et des enlèvements est inscrit dans le droit international tel que la Convention relative aux droits de l’enfant et constitue une violation grave des droits de l’enfant en situation de conflit armé.

Suite à cette attaque, plusieurs maisons ont été brulées et saccagées, obligeant des dizaines d’habitants de ce village à fuir vers Butembo.

Au cours de ces violences, au moins sept enfants – âgés de 9 à 12 ans – ont été séparés de leurs parents. L’UNICEF et ses partenaires prennent soin de ces enfants et s’efforcent de les réunir avec leurs familles le plus rapidement possible.




Enrôlement des électeurs : Denis Kadima et le comité provincial des opérations en réunion sécuritaire à Mbuji-Mayi

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, arrivé à Mbuji-Mayi, deuxième étape de son périple qui le conduit dans les 5 provinces composant l’aire opérationnelle 2, s’est entretenu avec le gouverneur de la province du Kasaï Oriental, Patrick Mathias Kabeya Matshi Abidi.

A l’issue des échanges qu’il a eus avec l’autorité provinciale, le numéro un de la CENI a pris une part active à une réunion sécuritaire avec le comité provincial des opérations. Il s’est agi essentiellement des dispositions nécessaires à prendre en vue d’encadrer au mieux les opérations.

“Je viens du Kasaï-Central et je vais continuer dans le reste de l’aire opérationnelle 2 qui prend en compte 9 provinces. Le but est d’accompagner les autorités provinciales ainsi que toutes les parties prenantes au processus électoral ici au Kasaï Oriental, pour qu’ensemble nous travaillions pour un enrôlement à grande échelle de la population, principalement pour ceux qui remplissent les conditions requises. Je sors d’une réunion du Conseil de sécurité avec le conseiller provincial des opérations, afin de m’enquérir de la situation sécuritaire. De ce pas, nous allons visiter quelques centres d’inscription pour voir comment cela se déroule. Évidemment il y aura des réunions en interne avec les parties concernées et la situation sera évaluée au fur et à mesure durant mon séjour”, a indiqué Denis Kadima Kazadi.

Dans le souci de prendre la température de ce qui s’y fait, le Président de la CENI s’est ensuite rendu dans quelques centres d’identification et d’enrôlement des électeurs où il a assisté à l’opération qui, dans l’ensemble, se déroule de manière convenable.

Et prenant langue bien évidemment avec les préposés à la tâche, il a prolongé ses échanges au Secrétariat provincial avec les agents locaux de la Centrale électorale concernant les réalités sur le terrain.

Denis Kadima Kazadi a bouclé cette 2e étape de sa tournée à Kabeya-Kamwanga où il a assisté à l’enrôlement de la population de cette localité, avant de rallier Kalemie, chef-lieu de la province du Tanganyika.




Contrairement aux rumeurs : Me Alain Bacoke n’a pas été arrêté !

Me Alain Bacoke à bord de sa jeep Toyota TX a participé à la réunion des candidats députés organisée par le Secrétaire général de l’UNC Billy Kambale, d’un sang fort et d’un regard serein, téléphone iphone 14 pro max en mains, l’homme fort qui a déstabilisé Boji est rentré calmement chez lui sans aucun soupçon des poursuites.

Selon M. Émilie Nsimire M’ Nkafu, Porte-parole adjointe du mouvement national des Kamerhistes MNK RDC, la vidéo virale parlant de son arrestation n’est qu’un montage de Boji utilisant tous ses chargés de communication pour coller un faux reportage à une vidéo de son arrestation de 2019 pour des dossiers politiques.

« Les Bojistes rusés ont réussi à coller un faux reportage à une vidéo de 2018 sur mon arrestation politique, en utilisant le journaliste André Kasonga embauché à l’administration du Budget et journaliste du magazine Kelbul Mag qui passe sur Maboke TV », indique la même source.

Ainsi, après avoir lancé un appel au boycott du meeting de Boji à Bukavu, Me Alain Bacoke a déstabilisé tous les meetings de Boji pour autant qu’il dénonce l’échec du plan diabolique contre Mwalimu VK.

Ce lundi, indique la même source, une plainte sera déposée à charge des manipulés Christian N’nihwe Mzalendo, Placide Kamanzi, Yves Balagizi, Baderha JB, Ruphin Balola, Philémon Dimba, André Kasonga, Ange Mbala et Kavira et ce, au Parquet de grande instance de la Gombe par Me Alain Bacoke Cicura.

Le mouvement national des Kamerhistes MNK RDC met en garde tout récalcitrant qui s’évertuerait à donner suffrage à un montage Bojiste monaliste truffé par Boji pour déstabiliser Me Alain Bacoke et promet de saisir la justice à tous les niveaux.




Le cabinet du ministre de la Défense qualifie l’audio attribué à Gilbert Kabanda d’une Fake news

Balancé par les chercheurs du sensationnel, un audio a circulé sur les réseaux sociaux, le weekend dernier, attribuant la voix qui parle au ministre de la Défense nationale et des anciens combattants.

A en croire sa cellule de communication : “d’abord pour les Congolais qui le connaissent de près, cette voix qui lui est donnée, n’est nullement pas celle reconnaissable du ministre de la Défense nationale et Anciens Combattants. Cette catégorie des compatriotes dubitatifs peut déjà très facilement, à écouter cet audio, émettre de très sérieux doutes quant à l’authenticité de ce document digne de cybercriminalité”.

Pour le cabinet du ministre Gilbert Kabanda Kurhenga, : “certes le Lingala très parlé singulièrement à Kinshasa la capitale est considérée depuis des lustres comme la langue de l’armée et à côté du français, la langue officielle du Congo et la langue du travail. Et donc à ce niveau très élevé de la hiérarchie militaire, le ministre de la Défense nationale s’exprime, échange avec tous les collaborateurs de la haute hiérarchie militaire en Français, la langue officielle du travail, soit-elle, pour avoir notamment des renseignements militaires, par les temps qui courent en provenance du front ou du théâtre des opérations à l’Est du pays en proie à la guerre d’agression”.

Et de poursuivre : “Et en prime, le ministre de la Défense nationale, dans ce cas d’espèce prend directement ce type de renseignements militaires auprès de hauts galonnés de la haute hiérarchie militaire, en l’occurrence le chef d’Etat Major Général ou encore auprès des commandants des Régions sur place”.

Dès lors, les auteurs de ce scénario pèchent très clairement par leur méconnaissance flagrante des règles élémentaires de fonctionnement d’un simple service administratif au regard de la manière que toute hiérarchie bien structurée fonctionne dans la discipline, dit le communiqué de sa cellule de communication, encore moins du fonctionnement de la hiérarchie militaire reconnue très rigoureuse en matière de discipline.

“Les auteurs de cet audio machiavélique sont passés à côté de la plaque. Un coup fourré qui le fait tomber dans leur propre piège dans ce document fondé sur le mensonge dont il faut aller chercher le mobile de leur cabale ailleurs. Cet audio a tout l’air d’une Fake news. A tout prendre Haro sur la manipulation, sur l’intoxication. Un coup d’épée dans l’eau de plus”, conclu le communiqué rendu public le weekend.

BM




Le confrère Thierry Bwongo pleure sa femme Gladys Bakana

La mort, toujours elle, a visité la maison du confrère Thierry Bwongo, en emportant précocement sa tendre épouse, Gladys Bakana. Même s’il fallait rester veuf, ce confrère ne s’imaginait pas qu’il le serait à cet âge et en ce moment, au regard de l’âge des enfants qu’elle laisse et de nombreux projets préparés par le couple. Ainsi, si l’homme est incapable d’arrêter la mort, il ne lui reste qu’à rendre grâce à Dieu, le Maître de temps et des circonstances.

En apprenant cette triste nouvelle, l’Asbl Journaliste en Action (JA) dont Thierry Bwongo est membre influent, a renvoyé à une date ultérieure la cérémonie d’échange de vœux prévue le 05 février prochain, le temps de rendre hommage à cette journaliste qui est passée notamment à Couleur Télévision, la Manchette, etc.

« Le Comité JA a appris avec regret la nouvelle du décès de l’épouse de notre ami et frère Thierry Bwongo, mort survenue le 27 janvier 2023 à Bruxelles », écrit dans un communiqué M. Blaise Zainda, président de l’Asbl Journaliste en Action.

Et d’ajouter, au nom de nous tous réunis dans cette association, le Comité présente ses très sincères condoléances à notre frère et souhaite que l’âme de notre belle-sœur repose en paix dans la félicité éternelle.

Pour ce faire, le Comité JA informe à tous que suite à cette triste nouvelle et en compassion à notre frère, la cérémonie d’échange de vœux prévue pour le 05 février 2023 est renvoyée à une date ultérieure.




La finale du CHAN Algérie 2022 prévue le samedi 4 février 2023

Le coup d’envoi de la finale du Championnat d’Afrique des Nations (“CHAN”) TotalEnergies Algérie 2022, prévue le samedi 4 février 2023, sera désormais donné à 20h30.

La décision a été confirmée par la Commission d’Organisation du CHAN. La finale qui se jouera au Stade Nelson Mandela était initialement programmée à 20h00.