Réagissant aux propos d’un média en ligne qu’il serait prêt à quitter DCMP/K : Le coach principal Joao Moto s’insurge et lance un dernier avertissement

Après une période sombre caractérisée par la carence des résultats, la Direction de DCMP/K sous le leadership du chairman Paul Kasembele avait jugé bon de se débarrasser du staff technique. Ainsi, un nouveau staff technique a vu le jour avec comme coach principal, le portugais Joao Mota. Et depuis son avènement, le DCMP/K retrouve le sourire. Les bons résultats suivent et la sérénité revient au sein de la grande famille vert blanc. Mais c’est sans compter avec les oiseaux de mauvais augure qui vont jusqu’à recourir à la presse pour salir l’image du club.

Ainsi, un de nos confrères en ligne a fait état que le coach principal Joao Mota serait prêt à quitter le DCMP/K. Bien attendu, le concerné s’insurge contre ces propos mensongers de ce confrère. M. Joao Mota déclare qu’il est en très bon terme avec le comité de direction, avec ses collègues entraineurs et avec les joueurs qu’il encadre. Par conséquent, Joao Mota lance un dernier avertissement à ce confrère. Il promet d’intenter un procès en justice au cas où pareils écrits vont se répéter, précise la Dircom de DCMP/K.

Antoine Bolia

       




UDPS/TSHISEKEDI : Felly Fwamba Mubalamate désigné nouveau Coordonnateur national du collectif

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI, Structure d’appui autonome du Parti, a tenu, ce mercredi 18 Janvier 2023, sa Plénière hebdomadaire consacrée exclusivement à l’examen du dossier disciplinaire ouvert à charge de son Coordonnateur National, M. Alfred Ndinga Obey.

En effet, le Coordonnateur National du Collectif a été déféré devant la Commission ad hoc mise en place par la Plénière du 11 Janvier 2023 pour l’entendre suite à sa participation aux assises de la Convention Démocratique du Parti, CDP/Kabuya, à Kisantu (Kongo Central) à l’insu des Membres du Collectif et sans requérir au préalable l’autorisation de celui-ci.

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI qui tient à sauvegarder sa neutralité pour mieux jouer son rôle, avait condamné bien avant la convocation anarchique de la session extraordinaire de l’aile illégale de la Convention Démocratique du Parti par le Secrétaire Général ad intérim de l’UDPS/TSHISEKEDI, M. Augustin Kabuya Tshilumba, et s’était interdit, en conséquence, d’y participer.

Déféré devant la Commission ad hoc créée pour qu’il y présente ses moyens de défense, le Coordonnateur National Alfred Ndinga Obey a volontairement décliné l’invitation lui adressée pour ce faire. Au contraire, il a préféré quitter le Collectif en prenant congé illimité de celui-ci.

La Plénière du Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI a, après débats et délibération, pris acte de sa démission.

En conséquence, la Plénière du Collectif a désigné, séance tenante, son remplaçant en la personne de M. Felly Fwamba Mubalamate, ancien Coordonnateur National Adjoint. L’heureux promu a cédé son poste à M. Désiré Ngangu Zakanda, ancien Secrétaire du Conseil des Sages du Collectif, qui fait son entrée à la Coordination Nationale comme Coordonnateur National Adjoint.

Le Collectif signale que son nouveau Coordonnateur National, M. Felly Fwamba Mubalamate, est une figure bien connue dans les milieux de l’UDPS Ayant milité auparavant au sein de l’UDPS à Lubumbashi où il a été tour à tour Secrétaire Rapporteur Adjoint, Secrétaire Rapporteur et Président Sectionnaire de l’UDPS Ville de Lubumbashi avant sa descente à Kinshasa où il sera chargé de Communication au Bureau Central de campagne électorale du Président Etienne Tshisekedi wa Mulumba d’heureuse mémoire à l’élection présidentielle de 2011 et co-auteur avec l’ancien Président de la Commission Electorale du Parti, M. Alexis Mutanda, du Rapport sur la démonstration de la victoire du Président Etienne Tshisekedi comme Président de la République en 2011.

Membre de la toute première équipe dirigeante de l’Ecole du Parti sous la direction du feu Professeur Ola, le nouveau Coordonnateur National du Collectif a fait partie du Secrétariat Général de l’UDPS/TSHISEKEDI piloté par le Secrétaire Général feu Bruno Mavungu comme Secrétaire National Chef du Département de Communication, Infos et Médias, avec comme adjoint M. Augustin Kabuya Tshilumba, actuel Secrétaire Général ad intérim de l’UDPS/TSHISEKEDI.

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/Cp




CHAN : Amaju Melvin Pinnick, membre du Conseil de la FIFA, fustige l’Algérie, appelle à la préservation des valeurs du football mondial

Le membre du Conseil de la FIFA, Amaju Melvin Pinnick, ancien président de la Fédération nigériane de football (NFF), a appelé à la préservation des valeurs du football mondial, tout en décriant les manœuvres de l’Algérie ayant abouti à la privation du Maroc de participer au Championnat d’Afrique des Nations (CHAN-2023).

Dans une déclaration à des médias nigérians, Amaju Melvin Pinnick, s’est dit “attristé” par les événements qui ont conduit le Maroc, double tenant du titre, à ne pas pouvoir défendre sa couronne.

“En tant que membre de la famille du football mondial et partie prenante du football africain, je suis préoccupé par la privation du Maroc, champion en titre du CHAN de participer à l’édition 2023 du tournoi qui se tient en Algérie”, regrette-t-il.

Il a, dans ce sens, rappelé que la sélection marocaine était “contrainte” de ne pas prendre part au CHAN, les autorités algériennes n’ayant pas autorisé la Royal Air Maroc (RAM), la compagnie aérienne officielle du Maroc, à accéder à l’aéroport de Constantine en Algérie, 24 heures avant le coup d’envoi du Championnat.

Plus inquiétants encore, dit-il, furent “les propos politiques tenus lors de la cérémonie d’ouverture et les chants xénophobes des supporters algériens”.

“Nous devons nous rappeler que le football promeut l’unité et la paix dans le monde et que tous les pays membres de la FIFA, ainsi que les nations qui se portent candidates à l’organisation d’événements, doivent être disposés et prêts à agir dans le même esprit”, insiste, à cet égard, Amaju Melvin Pinnick.

Rappelant les recommandations de la FIFA et plus récemment celles du président Gianni Infantino lors de la Coupe du monde (Qatar-2022), “nous devons nous concentrer sur le football et ne pas le mêler avec les différences idéologiques ou politiques”, met-il en évidence.

“Je suis donc attristé par ces événements survenus lors du Championnat d’Afrique des Nations, un tournoi très important dans le calendrier du football africain pour le développement des joueurs locaux”, martèle-t-il.

Amaju Melvin Pinnick s’est dit convaincu que les dirigeants de la CAF et de la FIFA appliqueront les mesures nécessaires, conformément aux articles pertinents des Statuts de l’instance dirigeante du football mondial, afin d’éviter que de tels événements ne se reproduisent et de préserver le beau jeu.




CHAN : Quand le racisme décomplexé en Algérie prend en otage le football africain

Vendredi 13 janvier 2023, le stade Nelson Mandela, théâtre de l’ouverture du CHAN, a connu un déferlement de haine et de racisme dont seul le régime algérien, fasciste et antisémite, a le secret. Ce n’est pourtant pas une première.

Depuis 2019, l’Algérie se trouve dans un contexte socio-politique tendu avec la montée en puissance du mouvement Hirak qui exige la tête de tous les dignitaires du régime.

Pour contrer la colère de la rue, la junte au pouvoir à Alger a d’abord usé de la force et arrêté plusieurs militants. Une méthode qui a montré ses limites puisque les manifestations dans toutes les villes du pays se sont multipliées de façon exponentielle.

Il fallait donc trouver un autre moyen pour mettre un terme à cette polarisation politique qui menace l’appareil militaire qui gouverne d’une main de fer le pays. Et la solution est toute trouvée: diaboliser un pays proche géographiquement, faire de lui un ennemi et mettre sur son dos tous les maux qui frappent l’Algérie.

C’est ainsi que le régime algérien a rompu unilatéralement ses relations diplomatiques avec le Maroc le 24 août 2021, fermé son espace aérien le 23 septembre suivant, avant de fermer le Gazoduc Maghreb-Europe une semaine plus tard, soit le 1er novembre de la même année.

Depuis, tous les moyens possibles et imaginables sont utilisés pour nuire au voisin, endoctriner la population, développer la propagande et surtout vulgariser la haine et le racisme, deux leviers bien enracinés dans le Système.

Le foot otage de la junte

Et le foot ne déroge pas à cette règle. Ce sport universel, qui unit les peuples et permet à des cultures diverses de se découvrir, se retrouve pris en otage par la junte qui l’utilise à des fins purement politiques. Dernier exemple en date: le refus des autorités algériennes d’accorder une autorisation à l’avion de Royal Air Maroc (RAM), transporteur officiel des équipes nationales, d’emmener les Lionceaux de l’Atlas à Constantine, ville hôte de leurs rencontres au Championnat d’Afrique des Nations (CHAN).

«Il est vraiment déplorable de priver de jeunes joueurs qui se sont préparés pendant un mois de participer à cette compétition sportive africaine», a déclaré vendredi Fouzi Lekjaa, président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), en marge de la réception du président de la Fédération internationale de football (FIFA) et du président de la Confédération africaine de football (CAF). Gianni Infantino et  Patrice Motsepe étaient en effet arrivés vendredi à l’aéroport de Rabat-Salé afin d’assister à la cérémonie de tirage au sort de la Coupe du monde des clubs, prévue du 1er au 11 février au Maroc.

«Cela m’attriste, je veux que le Maroc aille en Algérie, je veux que ces jeunes garçons représentent le peuple marocain et l’ensemble de l’Afrique. J’ai passé les derniers jours à faire tout mon possible», a regretté pour sa part Motsepe, précisant que le gouvernement algérien en avait fait «une affaire de souveraineté».

«C’est un grand problème pour la CAF. Il faut aussi garder en tête qu’il y a une CAN qui arrive. Nous voulons voir les joueurs marocains, mais aussi leurs supporters. Ces derniers sont essentiels. Nous ne voulons pas que la politique s’invite dans le football, il y a un règlement et des règles. Nous avons des obligations et des engagements à respecter», a ajouté le patron du football africain.

Des cris racistes contre les Marocains

Patrice Motsepe pensait traiter avec des personnes saines d’esprit qui respectent leurs engagements ainsi que le cahier des charges de la CAF. Le Sud-Africain vient de l’apprendre à ses dépens: les promesses n’engagent que ceux qui y croient.

Ces mêmes Tebboune et Chengriha, qui l’ont accueilli avec le sourire, jeudi dernier lorsqu’il a atterri à Alger en compagnie du président de la FIFA, Gianni Infantino, l’ont humilié 24 heures après devant le monde entier en lui faisant regretter son déplacement express à Rabat.

Le régime algérien a apprêté des bus pour remplir le stade avec des personnes embrigadées qui n’ont pas cessé, tout au long de la cérémonie et durant le match d’ouverture Algérie-Libye, d’insulter les Marocains qui n’avaient rien à voir avec la rencontre. Ce «public», visiblement chauffé par la propagande du régime d’Alger, a scandé: «Donnez-lui des bananes, donnez-lui des bananes, le Marocain est un animal».

La FRMF n’a pas tardé à réagir pour dénoncer les agissements malveillants et les manœuvres abjectes de la junte. «La FRMF rejette les propos racistes prononcés par des supporters présents à la cérémonie d’ouverture à l’égard du public marocain connu à travers le monde entier pour son civisme», a écrit l’instance présidée par Lekjaa dans un communiqué publié sur son site officiel, précisant qu’elle a adressé une correspondance à la CAF qui est appelée à «assumer toute la responsabilité face à ces transgressions flagrantes qui n’ont aucun lien avec les principes et valeurs du ballon rond».

Le racisme, une politique d’Etat assumée en Algérie

Le racisme en Algérie n’est pourtant pas nouveau. Les autorités algériennes ont été prises en flagrant délit de discours haineux à l’égard des Subsahariens si fréquemment qu’il ne subsiste plus aucun doute sur le caractère assumé de ces dérives au plus haut sommet de l’État.

En 2016, alors qu’Alger venait d’organiser une grande rafle de Subsahariens, qualifiée par les ONG de «plus grande chasse à l’homme noir» depuis l’indépendance, un conseiller de la présidence en matière de droits de l’homme (sic) en a profité pour insulter les ressortissants des pays africains résidant en Algérie. Farouk Ksentini, puisque c’est de lui qu’il s’agit, avait alors dit que «nous (les Algériens) sommes exposés au risque de propagation du Sida, ainsi que d’autres maladies transmissibles à cause de la présence de ces migrants».

Le pire, c’est qu’après avoir tenu de tels propos dans un quotidien arabophone, Assawt El Akher en l’occurrence, ce conseiller de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika, a choisi de les assumer en renchérissant. Lors d’une interview quelques jours plus tard sur le site Tout sur l’Algérie, il déclarait: «La présence des migrants et des réfugiés africains dans plusieurs régions du pays peut causer plusieurs problèmes aux Algériens». Puis d’ajouter: «Ces maladies sont considérées comme quelque chose d’habituel et de normal par cette communauté». Comme si cela ne suffisait pas, il avait poursuivi, le visage empli de haine: «J’ai dit la vérité, ces migrants ont été porteurs de beaucoup de maladies en Algérie».

Les mesures et actes xénophobes contre les Subsahariens, cautionnés par les officiels, se sont même intensifiés. En juin 2017, cette haine contre les migrants s’était propagée sur les réseaux sociaux avec une campagne de hashtags racistes (#NonauxAfricainsenAlgérie, #Nettoyerlesvilles) qui avait provoqué l’indignation de certains intellectuels, de responsables des droits de l’homme et d’ONG.

Ainsi, le 9 juillet 2017, Ahmed Ouyahia, ministre d’État et surtout directeur de cabinet du président algérien Abdelaziz Bouteflika et plusieurs fois Premier ministre, faisait des déclarations scandaleuses, décrétant que «ces étrangers en séjour irrégulier amènent le crime, la drogue et plusieurs autres fléaux», avant d’ironiser en ajoutant: «On ne dit pas aux autorités, jetez ces migrants à la mer ou au-delà des déserts».

Pour les Algériens, aucun doute, le message était venu d’«en haut», sachant qu’Ouyahia était considéré comme l’une des figures proéminentes du système. Juste après les propos scandaleux d’Ouyahia, c’était au tour du ministre des Affaires étrangères, l’inénarrable Abdelkader Messahel, de renchérir le 11 juillet en demandant au gouvernement algérien des «mesures urgentes» face au «flux en Algérie de migrants subsahariens».

Nommé au poste de Premier ministre, Ouyahia obtient «carte blanche», si ce n’est l’ordre de mission pour peaufiner et exécuter sa «solution finale»: plus de migrants subsahariens en Algérie, légaux ou illégaux.

La CAN 2025 en Algérie, à vos risques et périls

Et depuis, régulièrement, les migrants subsahariens ont fait l’objet de persécutions et d’expulsions massives vers le Niger et le Mali voisins. Au cours des cinq dernières années, la méthode n’a pas changé: rafle des migrants, regroupements dans des camps et finalement direction le désert du Sahara.

Car une fois à Tamanrasset, située à près de 2.000 km au sud d’Alger, ils doivent parcourir plusieurs dizaines de kilomètres à pied dans le désert pour espérer arriver au premier village nigérien, situé après la frontière algérienne. Affamés, déshydratés, nombreux sont ceux qui n’y arrivent pas.

L’antisémitisme est aussi haussé au rang de politique d’Etat en Algérie. En atteste une vidéo glaçante, datant de 2015, dans laquelle pour galvaniser les troupes lors d’un exercice de marche ordonnée de la gendarmerie nationale algérienne, on entend un appel à massacrer les juifs ! « Oh Arabes, fils d’Arabes. Marchez et pointez vos armes vers les Juifs. Pour les tuer. Les abattre. Les écorcher. Les égorger… », y chantent à tue-tête des éléments de la gendarmerie algérienne.

Cette politique de xénophobie d’Etat avait poussé les autorités algériennes à bannir purement et simplement les Subsahariens des transports interurbains reliant certaines villes. Une discrimination honteuse qui rappelle à la fois les pires moments du racisme aux Etats-Unis et la politique d’apartheid en Afrique du Sud.

Qui peut croire que cette même Algérie abrite, en ce moment, le CHAN et espère organiser la Coupe d’Afrique des Nations 2025 ? La CAF ne doit même plus se pencher sur le dossier de candidature de ce pays raciste qui ne mérite qu’une seule chose : des sanctions à la hauteur de ses crimes.

La balle est désormais dans le camp de la CAF qui a le devoir de sévir sévèrement contre le pouvoir qui encourage dans des stades des cris haineux et racistes contre le peuple marocain.

 




Kinshasa : Le Japon apporte 5,3 tonnes de matériels de secours aux victimes des pluies diluviennes

‘’ On reconnait les vrais amis pendant les épreuves’’, dit-on. Cet adage vaut pour le Japon et la Rdc. Le Pays du soleil levant vient d’apporter au ministre Congolais des Affaires sociales et Action humanitaire et solidarité nationale, par le biais du chargé d’Affaires de l’ambassade du Japon en République démocratique du Congo, en compagnie du Représentant de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), 5,3 tonnes de matériels de secours destinés aux victimes des pluies diluviennes qui se sont abattues dernièrement sur Kinshasa. L’événement a eu lieu ce mercredi 18 janvier 2023, en présence d’un Conseiller spécial au collège diplomatique du Chef de l’Etat Félix Tshisekedi.

Dans son mot de circonstance, le Représentant résident de la JICA, M. Murakami Hironobu a commencé par présenter sa sympathie au Gouvernement congolais.

« Je souhaiterais tout d’abord partager avec vous notre profonde sympathie suite à cette tragique catastrophe qui a causé des énormes pertes en vies humaines et des dégâts matériels dans cette partie Est de la capitale Kinshasa », a-t-il dit.

Le numéro 1 de la JICA en RDC a, par la même occasion, révélé le contenu de l’assistance.

« Cette aide du Japon est composée essentiellement de 170 tentes, 1530 couvertures et 1530 matelas, afin de soutenir les populations sinistrées de cette catastrophe naturelle », a-t-il encore précisé.

Au nom de l’ambassadeur Minami Hiro empêché, le chargé d’Affaires Kentaro Minami a procédé à la remise symbolique de l’aide d’urgence du Japon à la République démocratique du Congo, suite à cette pluie dévastatrice du 12 au 13 décembre dernier, ayant causées non seulement des pertes en vies humaines mais également d’énormes dégâts matériels notamment l’effondrement d’une partie de la Route Nationale numéro 1 reliant la ville-province de Kinshasa à la province du Kongo Centrale.

Dans son allocution, M. Minami a rappelé que le Japon est capable de faire bénéficier son expérience en matière de développement urbain résilient aux catastrophes à la République démocratique du Congo.

Rappelant que le Gouvernement du Japon a décidé de doubler son volume d’aide humanitaire en débloquant environ 17,7 millions de USD à travers 7 organisations internationales œuvrant dans les domaines de la protection des réfugiés et déplacés, de l’alimentation et nutrition, de la santé, des enfants et des violences sexuelles liées aux conflits afin de permettre à la République Démocratique du Congo à faire face à l’intensification des crises sécuritaires à l’Est et à la hausse des prix liée au conflit en Ukraine. Ceci montre que même s’il est géographiquement éloigné, le Japon est toujours aux côtés du peuple congolais surtout dans les moments difficiles.

Pour finir, M. Minami Kentaro a exhorté le Ministère des Affaires Sociales, Actions Humanitaires et Solidarité Nationale à veiller afin que les matériels fournis soient rapidement distribués aux personnes touchées par les inondations.

L’heureux bénéficiaire, le ministre Mutinga était visiblement très ému à la signature de ce contrat de livraison de matériel de protection, mieux les kits abris et couchage, en faveur des victimes des inondations du 13 et 14 décembre dernier.

« Le nombre impressionnant des victimes est de plus ou moins 169, enterrés en une journée. Le spectacle a été désolant et émouvant. A chaque occasion, le Japon a toujours été parmi les premiers à nous venir au secours. Aujourd’hui, c’est la deuxième fois, que cela arrive (après l’éruption volcanique de Nyiragongo). A monsieur le Chargé d’affaires de bien vouloir transmettre au Gouvernement japonais les remerciements de la République démocratique du Congo », a-t-il dit, promettant que le gouvernement de la République prend des dispositions pour prévenir d’éventuelles catastrophes, dont l’aménagement d’un nouveau site, où seront implantés les kits reçus.

Pour rappel, il s’agit d’une deuxième opération du genre, à la suite de la fourniture en juin 2021 des matériels similaires à destination des victimes de l’éruption du volcan Nyiragongo.

Emmanuel Badibanga

 




Tshisekedi est formel : Kagame, le problème de l’insécurité dans les Grands-Lacs

Alors que la République démocratique du commémorait les 63 ans de  l’assassinat du père de l’indépendance qui dénonçait déjà à l’aube de l’accession du Congo belge, le plan de balkanisation du Congo par la Communauté internationale, mardi 17 janvier 2023 à Davos en Suisse, le Chef de l’Etat a recadré l’espièglerie d’un journaliste rwandais, lors de l’annual Meeting 2023 à Davos en Suisse, sur la sécurité dans l’Est de la RDC en lui rétorquant droit dans les yeux disant : « Le problème de l’insécurité de toute la région des Grands s’appelle le Rwanda ».

Avec toupet, la rwandaise qui posait une question lors d’un panel, imbus d’elle-même avec assurance de donneur de leçon, a indexé la Rdc en affirmant que « Si vous étiez capable de résoudre les problèmes de l’insécurité par vous-même vous l’auriez déjà fait depuis longtemps. Pourquoi vous refuser de collaborer au sein du processus de Nairobi et de Luanda ? Il faut travailler avec ceux qui sont prêts à vous y aider ».

Démontant une à une ces allégations, le Chef de l’Etat congolais Félix Antoine Tshisekedi n’est pas allé par le dos de la cuillère pour éclairer la lanterne de la journaliste qui n’a pas toute l’actualité et surtout semble ne pas maitriser l’histoire des Grands lacs. Peut-être qu’elle n’est pas au courant du fait que pendant longtemps, la colonie allemande du Ruanda et Urundi a été la 7è province du Congo-belge/Rwanda-Urundi après que l’armée coloniale congolaise, la Force Publique ait vaincu l’armée allemande de l’époque. Ce qui permit l’implantation des populations banyarwandas et barundi dans l’Est de la RDC. Cela bien après la Conférence de Berlin en 1885. Ce ‘transfert’ des communauté venues de l’Est de la RDC est devenu l’épine dans la chaire de la RDC.

Même dans l’histoire récente, particulièrement en ce qui concerne les accords de Luanda et Nairobi, le Chef de l’Etat a clairement démontré à la dame que ces accords comptaient également une feuille de route qui devait s’achever par le retrait du M23 des territoires occupés le 15 janvier 2023, mais c’est une attaque terroriste que le M23 soutenus par le Rwanda va signé sa mauvaise foi après le massacre de Kishishe qui a fait des centaines des morts dans le but de semer la terreur dans la région, faire fuir les autochtones et y installé des tutsi rwandais  prétendant que ce sont des réfugiés congolais.

Kagame au bout du rouleau

Dans sa livraison du 13 janvier 2023, édition n°7933 en page 5 et6 sous le titre « Kagame au bout du rouleau », le Journal a clairement mis en nue la stratégie de diversion du Rwanda qui pivote sur le mensonge et la chosification des bantous tout en faisant des tutsi victimes pourtant ce sont eux les ‘génocidaires du peuple congolais’. Vérité mise en nue, le Rwanda gesticule remuant terre et ciel pour revenir à la diplomatie asymétrique de la communauté internationale, rien à faire, la vérité a fini par triompher : « Rwanda, problème de l’insécurité aux Grands-lacs ». Ce qui le pousse à appliquer la politique de la terre brulée.

La communauté internationale semble ne plus se laisser flouer. Pour preuve, « Washington et Kinshasa soupçonnent un vaste réseau, opérant sous couvert d’une association humanitaire américaine, de financer les milices communautaires banyamulenge. Le FBI et le renseignement congolais ont identifié des flux estimés à plus d’un million de dollars dont une partie est suspectée d’avoir servi à l’effort de guerre aux confins du Sud-Kivu », affirme un analyste de la politique régionale des grands-lacs.

Selon Africa Intelligence, « l’organisation Banyamulenge Mahoro Peace Association (MPA) est soupçonnée par le FBI d’avoir financé à près de 1,5 millions de dollars US les milices opérant en RDC telles que le M23 et Twigwaneho ». Une révélation lève un coin de voile sur l’armement du M23 qui ‘serait’ supérieur à la force onusienne de la MONUSCO.  Comment le comprendre, si plus de la moitié du budget rwandais provient de l’AIDE extérieure, où peut-il trouver de quoi soutenir les groupes armés dont le M23 ?

Quelles pistes de solutions pour une paix durable en RDC ?

A en croire le un diplomate guinéen, Pr Arsène Mwaka « la Région des grands lacs est un cimetière et une poubelle de textes de paix, sans que ces derniers n’apportent des solutions idoines à l’insécurité qui s’est sédentarisée dans la sous-région (Ouganda, Rwanda, Burundi, Rd Congo), marquée par une série d’évènements dramatiques depuis plusieurs siècles et où certains vocabulaires et expressions sont fréquemment utilisés tels que “génocide”, “massacres”, “conflits ethno-politiques”, “conflits transfrontaliers”, “spirales des conflits”, “guerre civile”, “milices”, “bandes ou groupes armés”… ».

C’était lors d’une série de conférences scientifiques à l’intention du public, en présence Président honoraire de la République du Burundi et Président du Conseil des sages de l’Eastern Africa Standby Force (EASF) du Sylvestre Ntibantunganya. C’était au mois de Novembrev2022 à l’université de Kinshasa (UNIKIN), en collaboration avec l’organisation ZOOM DPSD (Dynamique pour la Paix, la Sécurité Parmi les pistes  de solutions pour une paix durable en RDC nombre d’observateurs préconisent la prise en compte des problèmes internes réels des Etats de la région de l’Afrique des grands lacs. Le Pr Arsène Mwaka mettra  en exergue, dans la dynamique des conflits, les interconnexions qui caractérisent l’évolution historico-politique des pays de la région. Donc l’avenir pacifié des Etats de l’Afrique des grands lacs passerait par la prise en compte des racines et des embranchements des conflits récurrents déplorés dans cette région. Seulement si tous jouaient franc jeu ce que le Rwanda, versé dans l’ésotérisme ubwenge, l’art de la diversion et du mensonge très prisé par dans la diplomatie asymétrique entretenue par la communauté internationale pour « braquer les richesses de la RDC avec l’appui des multinationales », comme l’affirme Me Olivier Daniel Sona Seke.

Plutôt que de chercher à tendre un piège au Chef de l’Etat depuis son accession à la magistrature supérieur continue à mener une diplomatie pacifiste et sincère avec ses voisins, le  Pr Arsène Mwaka, Administrateur du Budget de l’Université de Kinshasa et chercheur en sciences politiques mais aussi spécialiste des conflits dans la région des grands lacs, a conclu que « Les conflits en Afrique des grands lacs doivent être pensés comme une complexité. Autrement dit, l’analyse des conflits dans la région des grands lacs doit s’étendre à tous les domaines de la vie en société et pas se focaliser uniquement sur ses aspects militaires ». Donc la diplomatie pacifiste de Félix Tshisekedi ne doit être exclus.

 Contrairement à l’agitation qui caractérise certains dont cette journaliste rwandais, il y a nécessité de faire des analyses froides face à l’urgence de l’action mais aussi les scientifiques congolais quand il y a péril à la demeure. Dans sa stratégie de manipulation de masses, le Rwanda joue également de la provocation. Une  attitude qui a pour conséquence de déstabiliser l’interlocuteur pour créer le désintéressement et l’inaction lorsque le danger semble être écarté. Le meilleur allié dans la recherche de solution dans ce combat asymétrique basé sur le mensonge du royaume des milles collines.

Effectivement, le Rwanda, par sa politique axée sur l’art de la diversion et du mensonge, est le problème de l’insécurité aux Grands-lacs

Willy Makumi Motosia




Matete : La mort par avortement d’une fille de 17 ans agite les jeunes

Au quartier Debonhomme dans la commune de Matete, les forces de Police sont à couteaux tirés avec des jeunes emportés contre une famille éplorée. Il nous revient qu’au centre de la discorde, la mort mardi 10 courant, d’une fille (vivant dans la famille maternelle). Elle a été victime d’un avortement sans succès, tandis qu’elle est en 6è des Humanités, donc candidate aux épreuves d’examen d’Etat en cette année scolaire 2022-2023. La source indique que la colère est montée d’un cran chez les jeunes, par solidarité au partenaire sexuel de la défunte, un garçon du quartier. Ils accusent la grand-mère maternelle (veuve de son état) et la mère de la victime d’avoir usé d’ascendance sur la pauvre. Voilà pourquoi lesdits jeunes (que le commun présente sous le statut collectif de ‘’kuluneurs’’ veulent en découdre avec la famille éplorée. ‘’Nous devons détruire la maison familiale en guise de leçon à ces gens qui ont usé de sorcellerie de plein jour (…)’’, a confié un membre du groupe sous la furie. Il nous revient qu’entre 19 et 20 heures, en une semaine, la Police a tiré en l’air quatre fois pour repousser des assaillants. Visiblement, les habitants, les vendeurs et vendeuses d’alentour passent des moments pas bien. Car la tension est telle que même les passants ne se permettent pas de prendre le risque. Pour l’heure, rapporte la source, la grille de la parcelle est sous protection d’agents de la Police qui alternent. Le partenaire sexuel de la défunte ne saurait intenter une action en Justice, faute d’avoir officialisé ses relations. La source rapporte que la mère du garçon aurait tenté de dissuader la fille, mais en vain. Les proches de la défunte pointées du doigt auraient le bénéfice du doute, certes, mais pas celui du tourment de la conscience. ‘’Ndenge nini yo koko ya veuve oboya ba kokolo, ezalaka ?’’, s’est écrié un observateur. (Pour dire : Est-il pensable qu’une grand-mère veuve empêche la venue d’une autre génération en famille, en ouvrant le champ à l’avortement ?)

Quand activistes d’ONG et professionnels des médias blanchissent l’avortement…  

Le contexte actuel est marqué par une forte implication d’activistes locaux d’ONG et de professionnels des médias dans la campagne visant à présenter l’avortement sous un jour passable. Cette façon, à la lecture de la sagesse’ africaine, de garder la porte grande ouverte de nuit, pose une double interrogation : ou l’on est sûr de passer toute la nuit en éveil, ou l’on présume que l’irruption nocturne pour vol n’est pas une pratique propre aux villageois.  ‘’Se bongo lisumu likoteli biso. Nani akobikisa biso, bobele yo Messia. Limbisa biso Mokonzi, tosali masumu (…)’’, réitère le célébrant de la messe. (Comprendre : Ainsi le péché est entré dans le monde. Qui va nous sauver, si ce n’est toi, le Messie. Prends pitié, Seigneur, car nous avons péché…). La campagne autour de l’avortement a pris une dimension continentale, impliquant même certains décideurs habitués aux sujets ‘’sensibles’’ qui font mobiliser des chèques bancaires et des paquets d’argent, à la suite de l’ONU et des ONG de son système international. Estomaqué, un père de famille a exprimé son émotion en ces termes : ‘’Ces gens qui s’embobinent dans la campagne visant à donner à l’avortement une place dans l’échelle des valeurs de nos sociétés devraient tenir compte, je pense, des préalables. Car avortement c’est comme covid19. Une chose est de faire le constat de sa présence, une autre de se préoccuper de la qualité à un double niveau : la disponibilité du personnel soignant et l’équipement à la disposition de ce dernier’’.

Payne




Impaiement des prestataires Covid-19 : Le professeur Muyembe contredit Nicolas Kazadi

L’opinion congolaise a suivi les différentes versions sur les causes de l’impaiement des prestataires Covid-19 données par les autorités concernées à cette affaire. Ces versions de causes ont été relayées tour à tour lors des interview exclusives accordées à la radio Top Congo, premièrement par le ministre des Finances Nicolas Kazadi et ensuite par Jean-Jacques Muyembe, coordonnateur de la riposte du Covid-19.

Le ministre des Finances Nicolas Kazadi avait déclaré qu’il y a refus de paiement des prestataires Covid-19 sur base du rapport publié par l’IGF.

Répliquant par rapport à la déclaration du ministre à travers une interview accordée à la même radio, Jean-Jacques Muyembe coordonnateur de la riposte du Covid-19 n’a pas hésité de qualifier cela de mensonge.

Ce dernier a donné une différence entre la riposte, qui est la charge du gouvernement et Covid voyage, qui est de la responsabilité de l’INRB (Institut national de recherche biomédicale) dont la mission est notamment de faire des analyses. Ce n’est pas l’INRB qui va payer ces prestataires, a-t-souligné. Il a poursuivi, le Covid voyage, c’est le test comme la glycémie et autres. Mais nous le faisons avec l’hôpital du cinquantenaire et l’hygiène aux frontières. L’argent généré est partagé entre ces 3 parties. Cet argent nous sert à payer les agents de l’INRB qui n’ont aucun arriéré de salaire”, a récemment affirmé, sur Top Congo FM, le docteur Jean-Jacques Muyembe.

Selon Jean-Jacques Muyembe, il y a eu aucun soupçon de détournement lors du passage de la Cour des comptes à l’INRB. « Il faut arrêter de mentir. Je respecte beaucoup nos institutions. La Cour des comptes nous a contrôlé et n’a rien trouvé. L’IGF est venu pour la première fois et nous a félicité », a-t-il dit.

À en croire le coordonnateur de la riposte du Covid-19, la deuxième fois que l’IGF était passée à l’INRB, elle avait fait 6 mois et pour lui, cela était un « acharnement ». Notons que plusieurs sources concordantes affirment qu’il y aurait un probable détournement des fonds à l’INRB.

Mamie Ngondo




Politique : Le CNC/Haut Katanga évalue l’année et projette l’avenir

La salle Arupe à Lubumbashi, a servi de cadre ce mardi 17 janvier 2023 à l’organisation de la cérémonie d’échange des vœux par le Congrès National Congolais (CNC)/ Haut Katanga, que dirige l’interfédéral Jean-Claude Kamfwa Kimimba.

Un moment propice pour évaluer l’année 2022 écoulée et projeter les réalisations pour la nouvelle année 2023.

Fidèle à sa tradition, le CNC de Pius Muabilu dans le Haut Katanga que dirige l’interfédéral Jean-Claude Kamfwa Kimimba, n’a pas dérogé à la règle. Celle d’organiser à chaque début de l’année nouvelle, la cérémonie d’échanges des vœux.

C’est dans ce cadre, que le représentant de l’Autorité morale dans l’espace Katanga Jean-Claude Kamfwa très respectueux de son engagement, a réuni dans la salle Arupe tous les membres du comité fédéral, du comité urbain ville de Lubumbashi, les membres d’honneur ainsi que les autres cadres de base ce mardi 17 janvier 2023, question de se formuler mutuellement les vœux en vue d’une heureuse année 2023.

A l’occasion, quelques allocutions ont couronné l’événement. D’abord par le coordonnateur fédéral du Haut Katanga 1, Victor Yumba Nkulu, qui a eu des mots juste pour saluer le sacrifice de Kamfwa Kimimba qui milite jour et nuit pour l’émergence du CNC dans le Katanga profond. C’était avant de lui souhaiter plein succès au cours de cette année 2023 en lui garantissant le soutien de tous les militants du CNC quoiqu’il arrive.

Prenant ensuite la parole, l’œil de Pius Muabilu en province Jean-Claude Kamfwa Kimimba, a invité ses camarades du parti à travailler d’arrache-pied, main dans la main, en vue d’atteindre les objectifs que le CNC s’est assignés cette année réputée électorale.

Selon toujours lui, 2022 a imposé à tous beaucoup de difficultés et défis à relever, mais il faudra cette fois-ci remonter la pente avec des réalisations concrètes.

Dans une joie immense et le partage d’un repas copieux, sous un pas de danse, la cérémonie a appartenu au passé.

Roger Ngandu wa Mitaba




Grâce à Julien Paluku : Angèle Ndeze s’envole à Orlando/USA pour parachever sa formation en pilote de gros porteurs

Fruit de l’école du cinquantenaire créée sous l’initiative de Julien Paluku Kahongya, alors Gouverneur du Nord-Kivu, Angèle Ndeze, après avoir réalisé son rêve en devenant pilote privée au Kenya grâce à la bourse du Gouvernement provincial du Nord-Kivu, vient de bénéficier cette fois-ci de la bourse de la fondation Julien Paluku Kahongya, ministre de l’Industrie pour parachever sa formation en pilote de gros porteurs à Orlando aux États-Unis d’Amérique.

La fille qui fait désormais la fierté de la République Démocratique du Congo en général et de l’Est en particulier a pris son vol ce dimanche à l’aéroport international de N’Djili, direction États-Unis d’Amérique.

Avant d’embarquer, Angèle Ndeze a jeté des fleurs au ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya qui se distingue dans les œuvres de magnanimité à travers les différentes provinces que compte la République Démocratique du Congo.

Signalons que, Angèle Ndeze figure parmi plusieurs élèves et étudiants qui bénéficient de la bourse de la fondation Julien Paluku Kahongya en République Démocratique du Congo et à l’étranger