La Rdc et les Emirats décident de stopper la contrebande des 3T

Les Émirats hébergent à Dubaï l’un des plus grands centres mondiaux de négoce de l’or, où transite une part importante de la production d’or issue de la contrebande dans plusieurs pays africains, dont la RDC. C’est aux fins d’endiguer ce fléau que le partenariat RDC-EAU vaut son pesant d’or.

Il vous souviendra qu’en octobre 2021, le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, s’est rendu aux Émirats arabes unis où il a conclu, avec son homologue émirati à Abou Dhabi, plusieurs protocoles d’accords en faveur de divers secteurs vitaux de l’économie congolaise, dont les Mines.

Ces négociations se sont poursuivies au niveau de la Primature, entre le Premier Ministre Sama Lukonde et les délégués émiratis, indique une note conceptuelle préparée par la Cellule de communication de la présidence de la République.

La République Démocratique du Congo et les Émirats Arabes Unis (EAU) ont procédé à la signature, le 10 décembre 2022 à Kinshasa, d’un contrat de partenariat pour lutter contre la fraude minière. Les documents ont été paraphés par le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde et le chargé d’affaires des EAU en RDC, par ailleurs co-fondateur et CEO de Primera Group Limited.

La conclusion de ce partenariat a abouti à la création de deux joint-ventures : Primera Gold RDC pour le secteur de l’or artisanal et Primera Metals RDC pour le secteur artisanal des 3T (Étain, Tungstène, Tantale). L’objectif poursuivi est de stopper la contrebande dans ces différents secteurs et l’exploitation illicite, particulièrement dans l’Est du pays.

Au sujet de la vente du premier lot d’or, la République Démocratique du Congo effectue, ce vendredi 13 janvier 2023, sa première expédition d’or équitable vers les Emirats Arabes Unis par le biais de sa nouvelle société, Primera Gold RDC.

Cette vente d’un premier lot d’or issu du commerce équitable marque un tournant historique dans les relations économiques entre l’État congolais et les Emirats Arabes Unis. L’accord de partenariat entre les deux pays dans le domaine minier garantit des bonnes conditions de travail et de vie aux creuseurs artisanaux vivant dans l’Est de la RDC.

Concernant les engagements de Primera Gold RDC, Primera Gold RDC mettra notamment en place une chaine permettant de suivre le parcours de l’or extrait de façon artisanale en RDC jusqu’à son exportation et sa vente sur le marché international (traçabilité).

Disons que la Société Primera Gold RDC est une entité coopérative qui défend les intérêts des creuseurs d’or de la partie Est de la RDC en traitant directement avec les clients sans intermédiaire afin d’assurer la traçabilité et la transparence du processus d’extraction et d’approvisionnement en or artisanal.

Les acquis du partenariat sont entre autres, la mise en place d’une coopérative pour les creuseurs artisanaux ; Consolidation de la vente avec traçabilité ; Commerce équitable ; Prise en compte du social des travailleurs (construction écoles, hôpitaux etc.) ; Reduction de la fraude et des pratiques illicites ; Lutte contre l’exploitation sauvage des minerais ; Participation des creuseurs artisanaux au processus de vente ; Rétribution équitable ; Lutte contre l’exploitation des enfants dans les mines.




L’IPD, une organisation internationale, élit domicile à Dakhla

L’Institut panafricain pour le développement (IPD) a transféré son siège permanent de Genève à Dakhla, lequel deviendra la plateforme institutionnelle centrale de la prise de décision dans la conduite des actions de l’Institut dans le continent africain et la mise en œuvre de ses stratégies de développement socio-économique en faveur des populations africaines.

L’accord de siège relatif au transfert de cette organisation internationale à Dakhla a été signé lundi à Rabat par l’ambassadeur directeur général des relations bilatérales au ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Fouad Yazourh, et le secrétaire général de l’IPD, Emmanuel Kamdem.

L’Institut vise à aider au développement économique, social et culturel des pays africains à travers la recherche, l’appui-conseil et la recherche formation des responsables africains capables de prendre en charge, à différents niveaux, l’action à mener avec les populations en vue de leur promotion et de l’amélioration de leurs conditions de vie.

Dans une déclaration à la presse, M. Kamdem a affirmé que cette signature revêt une double importance, puisqu’il s’agit de transférer le siège d’une organisation panafricaine de l’Europe vers l’Afrique et que l’établissement de ce siège permanent se fait à Dakhla, car “le Maroc joue un rôle très important dans la coopération Sud-Sud”, soulignant l’intérêt particulier qu’accorde SM le Roi Mohammed VI à cette coopération Sud-Sud.

 “Le Maroc est un exemple de développement en Afrique et se trouve parmi les pays les plus avancés du continent africain”, s’est-il réjoui, ajoutant que cette signature et cette coopération permettront à “l’IPD de remplir sa mission qui est d’aider les populations africaines à se prendre en charge et s’entraider pour développer leurs pays”.

De son côté, M. Yazourh a mis en avant l’importance de cet accord qui correspond à “la vision de SM le Roi et Ses instructions, qui sont le développement, l’implication des jeunes et la recherche académique”.

 “Le Maroc a toujours conçu son développement, sa sécurité et sa stabilité dans son continent d’appartenance et ne le conçoit pas en dehors”, a-t-il déclaré à la presse, soulignant que “la ville de Dakhla constitue aujourd’hui un pont naturel vers l’Afrique, choisie par les Africains eux-mêmes et par d’autres pays de par le monde qui voient en cette ville une plateforme non seulement de passage mais aussi de production”.

Les activités de l’IPD constituent un levier pour le développement et le bien-être de l’Homme africain, notamment en matière de recherche, de formation académique et professionnelle, et le Maroc se réjouit d’y apporter tous les moyens nécessaires dont il dispose pour atteindre ces objectifs nobles, en tant qu’acteur international engagé pour défendre les intérêts et les bonnes causes de ses frères et amis des pays africains.




Suite au forfait du Maroc : Qualification des deux premières équipes pour la phase à élimination directe

La Commission d’Organisation du Championnat d’Afrique des Nations (“CHAN”) TotalEnergies Algérie 2022 s’est réunie ce jour à Alger conformément au règlement de la compétition.

A cette occasion, il a été décidé que le Groupe C sera composé de trois équipes, avec pour conséquence directe la qualification des deux premières équipes pour la phase à élimination directe.

La Commission d’organisation du CHAN a également saisi l’instance judiciaire compétente de la CAF au sujet de l’absence du Maroc au match prévu hier à Constantine contre le Soudan.




La RDC expédie son premier lot d’or équitable vers les Émirats Arabes Unis

Le partenariat entre l’État congolais et les Emirats Arabes Unis est en passe de produire ses premiers effets dans le secteur minier

Ce vendredi 13 janvier 2023 a eu lieu la première expédition d’or équitable, par la République démocratique du Congo, vers les Emirats Arabes Unis par le biais de sa nouvelle société de droit congolais, Primera Gold DRC.

Selon un communiqué de presse rendu public à cet effet, il s’agit là d’un tournant historique dans les relations entre les deux pays avec, à la clé, la vente d’un premier lot d’or issu du commerce équitable.

L’accord précité a l’avantage de garantir des bonnes conditions de travail et de vie aux creuseurs artisanaux vivant dans l’Est du Congo.

Ceux-ci pourront dès lors avoir directement accès au partenaire, sans intermédiaire, devenant ainsi partie prenante au processus.

Plus concrètement, à en croire le même document, Primera Gold garantira un salaire décent aux creuseurs, va leur assurer un revenu régulier ainsi que l’accès aux soins de santé et l’éducation pour leurs familles. Cela, à en croire les experts, fait partie des exigences qu’imposent les règles du commerce équitable fondé sur le principe «gagnant-gagnant» (Win-win).

À cela s’ajoute le fait que ce nouveau système d’exploitation de l’or permet de renforcer le partenariat économique direct entre les deux parties et lutter contre l’influence des groupes armés qui sèment la violence et la désolation dans cette partie de la RDC depuis des décennies.

Enfin, cet accord sur l’établissement d’une chaîne d’approvisionnement équitable en or entre les deux parties se veut un exemple concret du partenariat diplomatique, économique et commercial qui les lie désormais dans l’intérêt de leurs peuples respectifs.




Les raisons de croire des responsables de Primera Gold Drc SA

Il y a de quoi être fier des résultats réalisés pour en arriver à ce premier lot d’exportation, résultat de moins d’une semaine, certes mais bien mieux que toute l’année 2021 avec 23 kg et 2022 avec 34 kg dans la Province du Sud-Kivu. Ceci renforce notre espoir et détermination de brasser des quantités encore beaucoup plus importantes pendant les semaines et mois suivants, d’où l’optimisme qui nous motive et nous caractérise bien qu’il y a encore du travail à faire préalablement en amont par le ministère des Mines et le Gouvernement provincial à insister sur la performance fixée à 10 Kg par mois pour chaque comptoir, mais qu’aucun n’a pu réaliser sur plus de neuf comptoirs officiellement opérationnels et d’une dizaines d’autres opérant dans la clandestinité, ce qui représente en moyenne une exportation de 1.5 kg par an, l’équivalant de 0.09 g par mois.

Lors de l’expédition du premier colis d’or vers Dubaï, le Directeur général de PRIMERA GOLD DRC SA, M. Joseph M. Kazibaziba a partagé le processus ayant conduit à la constitution de son premier lot d’Or prêt à l’exportation, lequel ne représente que le résultat de moins d’une semaine des opérations.

A l’en croire, nous devons ce succès, qui nous donne désormais tous les espoirs, de ramener dans le circuit officiel tout l’Or issu de l’exploitation artisanale à M. Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, et à Son Homologue, Son Altesse Royale Cheikh Mohammed Bin Zayed Al Nahyane, Emir d’Abou Dhabi et Président des Emirats Arabes Unis, dont nous remercions vivement l’engagement en faveur d’une filière aurifère assainie.

« Sur terrain, nous devons ce succès à la rigueur dans la mise en œuvre de l’Initiative de Traçabilité de Base (ITB), un système de traçabilité implémenté à partir du puits d’extraction, en amont de la chaîne d’approvisionnement de l’Or, avec le concours des services techniques compétents de l’Etat, à savoir : le SAEMAPE et la Division Provinciale des Mines, avant d’être relayé par le CEEC lors de la commercialisation et de l’exportation en aval », dit-il.

Avec la rigueur dans l’exercice du devoir de diligence et grâce à ce système de traçabilité efficace, poursuit-il, PRIMERA GOLD DRC SA a commencé par l’identification des zones d’exploitation artisanale ainsi que des sites miniers qui y sont actifs, des exploitants miniers artisanaux et des coopératives dont ils sont membres, ce qui permettra de mettre fin à la présence des personnes non éligibles dans la chaîne d’approvisionnement et, par conséquent, d’éviter l’utilisation des engins lourds dans les zones d’exploitation artisanale, conformément à la réglementation en vigueur.

Une fois identifiés, indique-t-il, ces exploitants miniers artisanaux considérés comme maillons faibles de la chaîne d’approvisionnement, leurs conjoints et dépendants pourront ainsi bénéficier du Programme d’assurance adapté à leurs besoins et attentes, à la bénédiction du schéma de partenariat entre PRIMERA GOLD DRC SA, la Commission Nationale des Mines Artisanales de la FEC, le SAEMAPE et une Société d’assurance.

Pour le Directeur général de PRIMERA GOLD DRC SA, M. Joseph M. Kazibaziba, l’obtention de ce lot a ainsi respecté toutes les étapes de la chaîne d’approvisionnement développée par PRIMERA GOLD DRC en passant par les exploitants miniers artisanaux réunis en des coopératives minières viables, les négociants et les Acheteurs agréés, avant d’atteindre le Centre Spécialisé d’achat, de commercialisation et d’exportation installé à Bukavu, Chef-lieu de la Province du Sud-Kivu.

« C’est par la réussite de ce pari que nous pouvons désormais être fiers que l’Or issu de l’exploitation artisanale en RDC puisse désormais accéder officiellement au marché international », explique-t-il.

Le DG de la nouvelle société a donné une autre innovation qui est que, grâce à la blockchain qui sera mise en place, tous les Négociants seront bancarisés à la faveur des transactions via le circuit bancaire pour tous les paiements, ce qui permettra de réduire au maximum la circulation du cash bien que les défis restent énormes s’agissant des restrictions imposées en matière de plafonnement des retraits journaliers et s’agissant également des défis souvent liés à l’indisponibilité des liquidités dans les banques commerciales.

Sanctionner les comptoirs défaillants

Ainsi dit, il y a de quoi être fier des résultats réalisés pour en arriver à ce premier lot d’exportation, résultat de moins d’une semaine, certes mais bien mieux que toute l’année 2021 avec 23 kg et 2022 avec 34 kg dans la Province du Sud-Kivu. Ceci renforce notre espoir et détermination de brasser des quantités encore beaucoup plus importantes pendant les semaines et mois suivants, d’où l’optimisme qui nous motive et nous caractérise bien qu’il y a encore du travail à faire préalablement en amont par le Ministère des Mines et le Gouvernement provincial à insister sur la performance fixée à 10 Kg par mois pour chaque comptoir mais qu’aucun n’a pu réaliser sur plus de neuf comptoirs officiellement opérationnels et d’une dizaines d’autres opérant dans la clandestinité, ce qui représente en moyenne une exportation de 1.5 kg par an, l’équivalant de 0.09 g par mois.

Il serait alors de bon droit de décider du retrait des licences à ces comptoirs qui réalisent des contreperformances pour manque d’efficacité ou de mauvaise foi, d’une part et de revoir à la hausse la performance mensuelle des comptoirs à plus de 100 Kgs, d’autre part, ceci étant la meilleure des solutions pour ne pas permettre que des comptoirs véreux fraudent et blanchissent des capitaux brassés dans la filière aurifère avec des documents officiellement obtenus de l’Etat congolais dont ils contribuent au pillage des richesses.

L’objectif demeure celui de capter toute la production de l’Or issu de l’exploitation artisanale et d’exporter plus de 15 tonnes annuellement, ce qui représentera plus de 1 milliard de dollars qui passera par le circuit bancaire dans notre pays et qui mettra fin au brassage incontrôlé du cash dans la Province du Sud-Kivu.

A partir de nos résultats d’une semaine, nous sommes arrivés à la conclusion que plus de 20 tonnes d’Or issu de l’exploitation artisanale sont exportées frauduleusement à partir des frontières de la Province du Sud-Kivu, représentant ainsi plus de cent millions qui sont mensuellement brassés sur notre territoire en dehors du circuit bancaire

« Dans le cadre de l’initiative développée grâce à PRIMERA GOLD DRC SA, nous avons foi dans le changement de paradigme dans la filière aurifère, au regard de ce que l’exploitation minière artisanale est capable de rapporter au pays, non seulement en termes d’emplois directs et indirects créés, mais également des capitaux à rapatrier ainsi que des financements directs obtenus et transitant désormais officiellement par le circuit tracé des banques », souligne le Directeur général de PRIMERA GOLD DRC SA, M. Joseph M. Kazibaziba, avant de marteler qu’avec ce premier lot d’exportation, l’Etat congolais recouvre sa réputation au niveau international en ce qui concerne la vente de l’Or issu de l’exploitation artisanale.

 




L’attentat de Kasindi qui fait la démonstration de l’échec de la mutualisation des forces ougandaises et des FARDC (Papy Tamba)

Dans sa communication, le gouvernement a attribué cet acte criminel à des groupes proches de l’Etat islamique, sous le support des Adf. Pourtant les forces ougandaises ont été invitées sur notre territoire pour ces faits et ce, depuis le 30 novembre 2021. Est-ce que Fatshi se rappelle-t-il encore de ça ? Certains souvenirs se refusent à sombrer dans l’oubli, quels que soient le temps écoulé ou le sort que la vie nous ait réservé. Haruki Murakami. L’histoire jugera sévèrement. Ne perdons pas de vue que les ténèbres ne régneront pas toujours.

A l’Est du pays, le tableau est totalement sombre, à cause des mauvais choix de l’actuel régime depuis leur avènement au pouvoir. Le carnet d’adresse de Kagame qu’ils sont allés chercher seuls, sans notre consentement, est devenu un cauchemar pour nous. On nous parle de zone tampon et cela n’effraie même pas le peuple et les membres du pouvoir. Malgré-moi me revient encore à l’esprit cette pensée de Karl Marx : l’ignorance apportera encore beaucoup de maux à l’humanité.

Une zone tampon en droit international ou en relations internationales, c’est soit une zone démilitarisée, soit un Etat tampon entre deux Etats voisins ou deux forces belligérantes. En d’autres termes, une zone tampon, en l’espèce celle contrôlée par le truc machin bidule des Etats de l’est, est un espace où l’Etat congolais n’exerce plus sa souveraineté. Une situation créée par Fatshi et soutenue par son union sacrée. Quel sacrilège !

Aux Congolais de comprendre que Fatshi nous a engagé dans un danger permanent. Quelle attitude devraient-ils avoir devant l’enrôlement de son Denis Kadima Kazadi ? C’est un secret de polichinelle qu’au-delà des problèmes de crédibilité que pose cette opération qui augure un vaste plan de tricherie, il ne saura même pas lui-même respecter ses propres délais. Denis Kadima Kazadi joue avec le feu.

A la population meurtrie par ces malheureux incidents, nous disons force et courge. Les ténèbres ne régneront pas toujours, les jours sont comptés pour la délivrance du peuple. Entre le gouvernement qui fait le mal et le peuple qui l’accepte, il y a une certaine solidarité honteuse. (Victor Hugo). A méditer…




Attaque terroriste à Kasindi : L’ICCN exige que les auteurs soient identifiés pour qu’ils subissent la rigueur de la loi

La Direction Provinciale de l’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature au Nord-Kivu a appris avec consternation, l’attaque terroriste perpétrée contre les fidèles de la 8ème CEPAC de Kasindi/Lubirihya ce dimanche 15/01/2023 et qui a coûté la vie à plusieurs dizaines des personnes innocentes.

Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, l’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature condamne fermement cette énième attaque commise dans une bourgade voisine directe du Parc National des Virunga dont la population est actrice majeure de la conservation de cette aire protégée.

L’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature présente ses condoléances aux familles endeuillées et encourage les autorités compétentes à identifier les auteurs de cet acte pour qu’ils subissent la rigueur de la loi.




Ce que l’on peut retenir de 30 ans d’existence du Judo Club Kauka

30 ans dans la vie d’une institution, c’est peut-être peu et beaucoup. 30 ans, c’est l’âge que vient d’accomplir l’Association Sportive de Judo Kauka.

En effet, l’ASJ Kauka a été Fondée le 03 janvier 1993 par Me Auguy Boyaka Ikona DT 001, transfuge de JC Kamikaze de Me Charlie Mukuamo. A l’heure actuelle, Me Auguy Boyaka Ikona réside à Lyon, en France.

Ce que l’on doit retenir de l’histoire de l’ASJ Kauka

I.Fondateur :

Me Auguy Boyaka Ikona DT 001, Paï, le Professeur des élèves

  1. Les Co-fondateurs :
  2. Ngemido Matado 4 x 4
  3. Mvuembe sekate
  4. Makela Komba Vieux Mogao (+)
  5. Malemba Dep’s
  6. Roger Esanga Bofey

JC Kauka dispose des judokas hauts gradés ci-après :

Go Dan (5è Dan) :

  1. José Mbuyulu Ikunangiene
  2. Kakutala Bamba ‘’Michigan’’
  3. Imongo Leyvan ‘’Vieux Koko’’
  4. Kanon Le Wiss Etima Wella
  5. Lotika Eyale ‘’LeBeau’’

Yo Dan (4è Dan) Aucun

San Dan (3è Dan) :

1.Tshimanika Bakatupeta ‘’Solo’’

  1. Bombile Bokonji ‘’Ta José’’

Ni Dan (2è Dan) :

  1. Ngemido Mataso 4 x 4
  2. Mvuemba Sekate
  3. Roger Esanga
  4. Silas Kanda
  5. Billy Kayembe
  6. Ndombele Tshimanga Tyson
  7. Kiboti
  8. Ngapeya Kangando Clovis V12
  9. Bokau Liteli Eli CD d’or
  10. Imongo Bolakita Hugues

Sho Dan (CN) :

Plus de 10 athlètes judokas

Un entraineur national :

Me Kakutala Bamba ‘’Michigan’’

Un  arbitre international :

Me José Mbuyulu Ikunangiene

Des commissaires sportifs et en arbitrage : sont nombreux

Palmarès

En individuel, JC Kauka compte un nombre impressionnant des champions en individuel.

En championnat par équipe, le bilan de JC Kauka se présente comme suit :

1995 : 3è (EUJK-EST)

1998 : 3è (EUJK-EST)

2000 : 3è (EUJK-EST)

2001 : Vice-Champion (EUJK-EST)

2002 : 3è (EUJK-EST), champion du Tournoi Lugano ‘’Suisse’’

2003 : Champion de Kinshasa EUJK-Est, champion de Kauka au Tournoi ‘’Tcheke Chance’’ et Vice-champion de Kalamu

2004 : Champion de Super Coupe de judo de Kinshasa, 3è au championnat de la Lijukin et qualification à la Coupe du Congo

2006 : Vice-Champion (EUJK-EST)

2009 : 3è (EUJK-EST)

2012 : 3è (EUJK-EST)

2015 : 3è (EUJK-EST) et 3è Lijukin

2018 : Vice-Champion (EUJK-EST)

Antoine Bolia  




Président de la Confédération Africaine de Police Taekwondo ‘’APTAC’’ : Patrick Mbahia promu Général de brigade au sein des forces de défense de la Côte d’Ivoire

Le Colonel Patrick Mbahia Alexandra actuel Président de la Confédération Africaine de Police Taekwondo ‘’APTAC’’ a été promu au grade de Général de brigade au sein des forces de défense de la Côte D’Ivoire.

La grande famille de la Police d’Afrique et tous les taekwondo in d’Afrique saisissent ce moment de joie et lui souhaitent une heureuse année, de bonheur, de santé, de prospérité et de réussite totale.

Antoine Bolia    




Taekwondo : La 2è édition du championnat d’Afrique de Police Taekwondo APTAC prévue en avril 2023 au Kenya

La 2è édition du championnat d’Afrique de Police Taekwondo ‘’APTAC’’ se tiendra au Kenya au mois d’avril 2023.

 

La 1ère édition du championnat d’Afrique de police Taekwondo s’était tenue du 25 au 30 avril 2019 à Abidjan, en Côte D’Ivoire. Edition qui avait connu la participation de 14 pays africains. Il s’agit de :

  1. Côte d’Ivoire, pays hôte
  2. Cameroun qui a vu naître l’APTAC
  3. Tchad qui abrite le siège de l’APTAC
  4. Tunisie
  5. Nigéria
  6. Mali
  7. RDC
  8. Gabon
  9. Niger
  10. Burkina Faso
  11. Togo
  12. Sénégal
  13. Congo

14.

Tous ces pays ont pris part à différents niveaux de la compétition, comme équipe en compétition, staff administratif et staff technique. Ils ont rivalisé d’ardeur et de compétence avec au podium le classement général ci-après :

1ère équipe : Côte d’Ivoire

2è équipe : Cameroun

3è équipe : Mali

4è équipe : Tunisie

En marge de cette compétition s’était tenue l’assemblée générale ordinaire, conformément aux statuts de l’APTAC. Au cours de ces assises, la première édition de Coupe d’Afrique de police Taekwondo a été réaccordée à la Tunisie (2020) et le deuxième championnat d’Afrique de police Taekwondo au Nigéria (2021 reporté en 2022 à cause du Covid).

Cependant, ce que l’on doit retenir de la 1ère édition du championnat d’Afrique de police Taekwondo, est qu’elle a été marquée par la présence remarquable du président fondateur de la World Police Taekwondo Fédération (WPTF), le Grand maître Kim Kiseon qui a bien honoré l’invitation de l’APTAC mais aussi donner une suite favorable à la sollicitation du Grand maître Mohamadou Salihou (fondateur de l’APTAC, membre du comité exécutif de la WPTF et premier africain au sein de l’exécutif de cette instance mondiale), celle d’élever au grade honorifique de 9è Dan de la WPTF.

Trois chefs d’états africains (S.E Paul Biya du Cameroun, S.E Idriss Deby ITNO du Tchad et S.E Allasane Dramane Ouattara de la Côte D’Ivoire) à la demande et grâce aux actions diplomatiques du Grand maître  Mohamadou Salihou (fondateur et secrétaire général de l’APTAC, de nationalité camerounaise et cadre en service au Ministère des relations extérieures, expert en management des organisations sportives olympiques du CIO), ont pu être élevés au grade de 9è Dan WPTF des mains du fondateur de la World Police Taekwondo Federation (WPTF), le Grand maître Kim Kiseon à Abidjan.

Et pour meubler cet événement, l’APTAC avait décoré plusieurs personnalités africaines à différentes distinctions parmi lesquelles les grades de chevaliers, officiers, commandeurs et Grand Cordon de la Confédération Africaine de police Taekwondo (APTAC) comme il sera désormais de coutume lors de chaque championnat et Coupe d’Afrique de police Taekwondo en Afrique.

Pour la 2è édition du championnat d’Afrique de Police, tous les 38 pays africains membres de l’APTAC y sont attendus pour réitérer une fois de plus l’excellence du sport militaire et paramilitaire en Afrique à travers la police Taekwondo.

Les compétitions vont se dérouler dans les épreuves de combat (équipe et individuel), poomsae ou compétition technique (équipe et individuel), la self défense militaire et paramilitaire en équipe et enfin, casse lourde et en casse spectaculaire sous le regard attentionné du désormais Président Général de Brigade Patrick Mbahia Alexandre, qui récemment a changé sa vareuse de Colonel Major avec celle du Général de Brigade grâce à la très Haute confiance du Chef de l’état, le président Allassane Dramane Ouattara de la Côte D’Ivoire.

Cette compétition continentale sera également l’occasion d’installer officiellement les présidents des zones récemment nommés et l’occasion de décerner d’autres distinctions honorifiques par l’APTAC et la WPTF, sans toutefois oublier de présenter le nouveau patrimoine de l’APTAC au Niger avec l’octroi d’un terrain d’une superficie de plus de 1000 m carré offert à l’APTAC par l’état du Niger pour la construction de l’Académie internationale de police Taekwondo au Niger.

Et parmi les innovations majeures, l’APTAC compte désormais donner un thème à chacune de ses compétitions, avec une conférence sur le thème qui sera animée par des experts en marge de celle-ci. Plusieurs thèmes ont été proposés, le thème final  sera commune l’APTAC comme l’organisation sportive continentale des forces de défense et de sécurité la plus importante du continent.

Et l’APTAC a trois sièges en Afrique :

  1. Ndjamena, République du Tchad, siège social de l’APTAC,
  2. Yaoundé, République du Cameroun, siège du Secrétaire général de l’APTAC,
  3. Niamey, République du Niger, siège de l’Académie internationale de l’APTAC.

Contacts : C.C.M APTAC (+242)06 691 55 55/05 644 13 13.

Antoine Bolia