Denis Kadima et Ahunna Eziakonwa-Anochie étudient la possibilité d’une assistance du PNUD à la CENI

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima qu’assistait le 1er Vice-président, Bienvenu Ilanga, s’est entretenu avec Mme Ahunna Eziakonwa-Onochie, Administratrice Assistante et Directrice du Bureau régional pour l’Afrique du Programme des Nations-Unies, en présence du représentant-résident de cet organisme du Système des Nations Unies, Dominic SAM.
L’entretien entre le numéro un de la Centrale électorale et son hôte avait essentiellement trait à l’assistance électorale que le PNUD a consenti à offrir à la CENI à la suite de la demande qu’elle a formulée en décembre 2021.
“C’est en somme une visite de courtoisie que j’ai rendue au Président Denis Kadima. Et je suis venue avec la délégation du PNUD pour évoquer la question des élections de décembre 2023. C’est à la suite d’une demande formulée par la CENI pour un accompagnement du Système des Nations-Unies à travers lequel le PNUD va consentir à travers une assistance électorale à la RDC. Déjà, la semaine dernière, notre Représentant-résident, Dominic SAM, a signé un document relatif à ce projet qui contient les différentes articulations relatives à cette assistance électorale. C’était pour moi une occasion de discuter de cela avec le Président de la CENI et de parler également, de manière générale, de la collaboration existant entre le PNUD et la Centrale électorale”, a indiqué la Sous-Secrétaire Générale et Administratrice Assistante et Directrice du Bureau régional pour l’Afrique, Ahunna Eziakonwa-Onochie.




L’Institut pédagogique de Lemba et l’Institut Zebi bénéficiaires de la campagne ”Pas une école sans bancs”

Le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi, a offert des bancs pupitres à l’Ecole Pédagogique de Lemba et à l’Institut Zebi dans la commune de Lemba ce lundi 06 février 2023.

Cette dotation a été remise à titre symbolique par son Conseiller chargé des Infrastructures, Me Yannick Ngandu Muya, accompagné du Sous-PROVED de Lemba 1, M. Papy Ilanga. Elle s’inscrit dans le cadre de la campagne “Pas une école sans bancs” en République Démocratique du Congo lancée par le Ministre Tony Mwaba Kazadi en octobre 2021 à Kabeya Kamuanga, Province du Kasaï-Oriental, sur instruction du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Dans son discours prononcé pour la circonstance, le Conseiller du ministre en charge des infrastructures scolaires a souligné que cette campagne a été initiée par le numéro un de l’EPST pour soutenir la gratuité de l’enseignement primaire, vision phare du Président de la République, Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, afin d’améliorer les conditions d’apprentissage des élèves.
“Le Ministre de l’EPST, le professeur Tony Mwaba Kazadi ne ménage aucun effort pour doter toutes les écoles de notre pays des bancs, surtout celles qui sont en manque, une situation que nous avons malheureusement héritée”, a déclaré Maître Yannick Ngandu Muya.
Au Conseiller du ministre d’ajouter : “la remise symbolique de ce premier lot de 50 bancs, marque le processus de la fin de cette situation où l’on voit nos enfants étudier à même le sol”. Il a promis de revenir dans plus ou moins 3 semaines, pour remettre un deuxième lot des bancs.
Ce geste a réjoui les préfets, les enseignants et élèves de l’Institut Pédagogique de Lemba et ceux de l’Institut Zebi, qui sont les bénéficiaires de ces bancs.
En revanche, Me Yannick Ngandu a rappelé la recommandation du patron de l’EPST aux chefs d’établissements, celle de s’approprier la campagne “Pas une école sans bancs” et de ne toujours pas attendre la dotation des bancs, car dit-il : “le système éducatif tel qu’organisé en République Démocratique du Congo est décentralisé et confié aux provinces en termes de construction des infrastructures”.
Faisant d’une pierre deux coups, le Conseiller du ministre en charge des infrastructures scolaires a visité l’ITC Lemba, une école qui se situe juste à côté des deux premiers établissements scolaires. Accueilli par le préfet de l’école, Dieu Merci Ndwo, Me Yannick Ngandu a inspecté les salles de classe pour s’enquérir des conditions d’apprentissage des élèves. Partout où il est passé, il a constaté un manque criant des bancs qui pousse d’autres élèves sécher les cours, une triste réalité que le ministre Tony Mwaba a héritée dans le sous-secteur de l’EPST.
Au terme de sa visite, le Conseiller du ministre en charge des infrastructures scolaires a promis de faire rapport au patron de l’EPST dès son retour au Cabinet, question de trouver des solutions urgentes, pouvant permettre aux élèves de l’ITC Lemba d’étudier dans des bonnes conditions.




Au Forum African Mining Indaba à Cape Town: Tshisekedi expose la Rdc aux investisseurs

Dans son discours, Félix Tshisekedi a souligné que la RDC et ses minerais ont été à l’origine de toutes les révolutions du moment : le caoutchouc pour l’industrie automobile, le cuivre pour les réseaux électriques, l’uranium pour la première bombe atomique, et maintenant le cobalt qui constitue le minerai principal pour la transition énergétique. A l’en croire, la RDC a assaini son environnement d’affaires afin de positionner le pays comme destination de choix pour les investissements en Afrique.

Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi est en visite en Afrique du Sud pour rencontrer son homologue Cyril Ramaphosa et pour promouvoir les possibilités d’exploitation minière dans un climat des affaires réformé en République démocratique du Congo, indique un communiqué signé par Eric Nyindu.
Il est accompagné à cet événement par le ministre des Finances Nicolas Kazadi ; le ministre de l’Industrie Julien Paluku Kahongya ; le ministre des Affaires Étrangères Christophe Lutundula, et le ministre des Mines Antoinette N’samba Kalambayi. Le même document précise que le Président de la République et les ministres qui l’accompagnent tiendront des réunions bilatérales avec des investisseurs et des banquiers influents pendant les quatre jours du forum qui s’étalent du 6 au 9 février, l’occasion d’explorer de nouvelles opportunités pour attirer les investisseurs en RDC.
En effet, moins de 20 % des vastes richesses minières du pays sont explorées à ce jour, faisant ainsi de la RDC un territoire vierge pour la découverte de nouveaux gisements d’intérêt mondial.
Le Président Tshisekedi a souligné que la RDC et ses minerais ont été à l’origine de toutes les révolutions du moment : le caoutchouc pour l’industrie automobile, le cuivre pour les réseaux électriques, l’uranium pour la première bombe atomique, et maintenant le cobalt qui constitue le minerai principal pour la transition énergétique. Il a insisté sur le fait que le peuple congolais devait, cette fois, s’impliquer davantage.
Un environnement assaini
« Mon pays est prêt à mettre en place des accords mutuellement bénéfiques avec tous les partenaires ayant besoin de nos ressources », a déclaré le Chef de l’État congolais, soulignant que la RDC recherchait des partenariats public-privé mutuellement bénéfiques, afin de créer des chaînes de valeur de la mine à l’usine. Ce qui créera des emplois et des moyens de subsistance aux congolais et aux communautés congolaises.
La RDC « a assaini son environnement d’affaires afin de positionner le pays comme destination de choix pour les investissements en Afrique ». Au nombre de ces mesures a été cité un cadre juridique incitateur aux opérations d’affaires, protecteur des droits de propriété et facilitant le règlement des différends. « Des avantages fiscaux et d’autres facilités liées à la promotion des investissements sont accordés dans le cadre du Code des investissements, du Code Minier révisé, des zones économiques spéciales et du guichet unique pour la création des entreprises ainsi que du guichet unique global pour le commerce extérieur », a renchéri le président.
Selon le chef de l’Etat, le gouvernement a entrepris des réformes « pour garantir non seulement un bon climat des affaires, mais aussi pour assurer une part équitable des revenus tirés des ressources minières au bénéfice du peuple congolais, ce, dans une perspective de développement durable », a déclaré le président Tshisekedi.
La Rdc cite en exemple le partenariat avec la Zambie et les Emirats Arabes Unis
En partenariat avec la Zambie, poursuit Félix Tshisekedi, la RDC a mis en place des usines de raffinage du cobalt, afin de produire des batteries électriques pour les véhicules. La RDC possède les plus grandes réserves de cobalt au monde qui s’évaluent à 3,5 millions de tonnes métriques selon les estimations de la Banque mondiale en 2021, soit près de la moitié des réserves mondiales de ce métal.
Avec les Émirats Arabes Unis, la RDC a créé des entreprises mixtes pour établir une chaîne de valeur pour l’or artisanal, et commencera bientôt à extraire et à fondre les métaux 3T (étain, tungstène, tantale). Selon les estimations, entre 500.000 et 2 millions de creuseurs informels, ou « mineurs artisanaux » au Congo, creusent dans des conditions périlleuses. Des efforts sont fournis en RDC pour formaliser les mines artisanales, qui sont souvent contrôlées par des groupes armés et sont à l’origine de guerres entre milices et de violences contre les communautés locales. Les minerais extraits illicitement des mines artisanales font généralement l’objet d’un trafic et d’une contrebande au-delà des frontières du Congo vers les pays voisins, notamment le Rwanda, privant ainsi le gouvernement de la RDC de revenus essentiels.
En tant que lieu d’investissement, le président a assuré aux investisseurs potentiels que « toutes les mesures nécessaires sont prises pour rétablir la paix » dans la ceinture minière de l’est du Congo, où se trouvent de nombreux gisements de cobalt, d’or, de lithium et de cuivre.
L’African Mining Indaba attire un melting-pot de gouvernements, de ministres, de grandes et de petites sociétés minières, de financiers, d’investisseurs, d’experts en technologie et de fournisseurs d’équipements, offrant une occasion unique de conclure des accords pour le développement durable.




Mining Indaba : Félix Tshisekedi présente sa vision u secteur minier congolais

Arrivé tard dans la nuit de ce lundi 6 février à Cape Town en Afrique du Sud, le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo participe ce mardi à “Investing in African Mining, Indaba 2023”, le plus grand forum annuel minier africain.
Organisé sous le thème de : “Débloquer l’investissement minier Africain : stabilité, sécurité et approvisionnement”, ce forum est une occasion offerte aux 6500 participants dont 500 entrepreneurs du secteur minier venus du monde entier de discuter des défis et des opportunités auxquels est confrontée l’industrie minière du continent , au moment où elle cherche des moyens de renforcer sa puissance économique dans le contexte de la ruée mondiale pour sécuriser l’approvisionnement pour une transition énergétique plus verte.
Chef de l’Etat d’un pays reconnu comme un scandale géologique, le Président Félix Tshisekedi a présenté sa vision de la transformation du secteur minier de la RDC.
Le Président Tshisekedi a toujours soutenu l’idée d’avoir des industries locales de transformation des produits miniers afin de permettre aux populations africaines de bénéficier de plus d’avantages des richesses du sous-sol de leurs pays .
Le Chef de l’Etat a aussi présenté les opportunités d’investissement dans ce secteur tout en offrant un pacte de confiance aux potentiels investisseurs.
Pour rappel, le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo est arrivé, dans la nuit du lundi, à Cape Town (Afrique du Sud), sur invitation de Son Homologue, le Président Cyril Ramaphosa, pour participer au Forum international Minier #MiningIndaba2023.
En marge de ce Forum, les deux Chefs d’État ont prévu de se rencontrer, en tête-à-tête, afin d’échanger sur la SADC et la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC.




A l’occasion du 75ème Anniversaire de la Fondation de l’Armée Populaire de Corée

Le 8 février 2023 est le 75e anniversaire de la fondation de l’Armée populaire de Corée qui n’a cessé de se renforcer et d’écrire une histoire glorieuse sous la direction des éminents Commandants.

Au lendemain de la Libération (15 août 1945), le Président Kim Il Sung, fondateur de la Corée socialiste, a défini la création d’une armée régulière puissante comme un impératif de la construction d’un Etat indépendant et souverain et s’est consacré à fonder l’Armée populaire de Corée (APC), forces armées révolutionnaires régulières et héritières de la résistance antijaponaise.
Si l’APC âgée seulement deux ans a pu remporter une victoire historique à l’issue de la guerre de Libération de la patrie (25 juin 1950-27 juillet 1953) provoquée par les impérialistes américains, contrer leurs provocations militaires interminables et défendre efficacement la progression victorieuse du socialisme, tout cela est impensable loin des hauts faits du Président Kim Il Sung en matière de l’édification militaire à la coréenne.
Kim Il Sung a proposé la ligne stratégique de développer parallèlement l’édification économique et la défense nationale et veillé à ce qu’elle soit appliquée pour renforcer plus encore le potentiel militaire national.
L’œuvre Juche d’édification de l’armée a progressé remarquablement grâce aux idées éminentes et à la direction du Dirigeant Kim Jong Il.
Au milieu des années 1990, Kim Jong Il a porté haut le drapeau du Songun dans la pire adversité qui puisse mettre en jeu le destin du pays et de la nation, accru au maximum la puissance politique et idéologique de l’Armée populaire, cimentant ainsi la force motrice de la révolution, sauvegardant et développant on ne peut mieux le socialisme dans la confrontation avec les forces impérialistes coalisées, exploits à jamais mémorables.
Aujourd’hui, l’APC, ayant à sa tête le camarade Kim Jong Un, a franchi le seuil d’une période de plein développement.
Dès le début des cents nouvelles années du Juche, il a défini sous un angle nouveau la tâche globale à réaliser dans l’édification de l’armée, guide programme à suivre pour développer encore l’Armée populaire.
Sous sa direction éminente, l’APC dispose des forces militaires les plus puissantes du monde, jouit d’une dignité d’une puissante armée révolutionnaire de haute valeur politique et idéologique ; sa puissance ne cesse de s’accroître.
A l’avenir aussi, sous la direction de Kim Jong Un, l’APC honorera son histoire et sa tradition sacrées et ne connaîtra que victoire et gloire.

Une force absolue de la RPDC

On peut dire que la marche dynamique de la RPDC vers une puissance socialiste est garantie sûrement, surtout par l’union monolithique du Parti du travail de Corée et de toute la société, et le puissant potentiel d’autodéfense du pays. Or, tous ces gages ne sont possibles que grâce à une force absolue qu’est la direction éminente et chevronnée du Président des affaires d’Etat Kim Jong Un. L’an 2022 a vu se manifester pleinement cette force absolue.

Une capacité de direction éminente

En 2022, Kim Jong Un a conduit énergiquement l’édification d’une puissance socialiste à de plus grandes victoires. Lors de réunions importantes du Parti et de l’Etat tenues l’année dernière, il a présenté des solutions appropriées permettant de vaincre toutes les épreuves et difficultés en dépit d’un changement brusque de la situation.
L’année dernière ont eu lieu le plus grand nombre de pareilles réunions et de réunions sectorielles dans l’histoire de la RPDC. Rien que selon les informations officielles, Kim Jong Un a présidé en 2022 18 réunions importantes du Parti et de l’Etat. Pendant les 11 jours du mois de février, il a même publié 3 œuvres.
Lors de la 4e session plénière du 8e Comité central du Parti tenue à la fin de l’an 2021, il a veillé à fixer des objectifs audacieux et tendant vers le développement, et réalistes, pour obtenir de plus grandes victoires dans l’édification du socialisme, et précisé même des moyens pour leur réalisation. De même, lors de la 5e session plénière du 8e CC du PTC, de réunions du Bureau politique du Parti, de la 7e session de la 14e législature de l’Assemblée populaire suprême, de la réunion pour dresser le bilan du travail antiépidémique national d’urgence, etc., il a proposé de nombreux programmes d’action et stratagèmes, entre autres la théorie de l’édification du Parti digne de la nouvelle époque, l’idée de considérer le renforcement du potentiel de défense nationale comme prioritaire et importante au plus haut point et l’idée d’accroître par tous les moyens la capacité de faire face à la crise de l’épidémie et aux calamités naturelles.
En outre, lorsqu’en mai de l’année dernière, le mur de prévention extraordinaire défendu efficacement pendant plusieurs années s’est fissuré, l’incident le plus grave de l’Etat, il a convoqué successivement des réunions du Parti importantes et y a suggéré des idées pertinentes pour juguler au plus tôt la crise sanitaire, y compris l’idée que les cadres doivent se faire un pare-balles pour sauvegarder la sécurité du peuple et celle de remporter une grande victoire grâce aux efforts conjugués et à la résistance du peuple entier.
Il en est résulté que la RPDC a pu accomplir le miracle d’empêcher la diffusion de la pandémie en un peu plus de 90 jours seulement et de transformer de nouveau le pays entier en une région propre, débarrassée du virus pernicieux.

Une action persévérante

La direction de Kim Jong Un marquée de progressivité, de dynamisme, de caractère de traction et de scientificité a permis d’opérer de grosses transformations grâce à une persévérance. C’était sa volonté inébranlable que de faire progresser sans faute l’édification d’une puissance socialiste suivant l’horaire fixé par nous.
En juin de l’année passée, il a fait l’analyse, lors de la 5e session plénière du 8e CC du Parti, des succès obtenus pendant le premier semestre, ainsi que des défauts révélés, et arrêté des mesures décisives pour appliquer à tout prix les politiques économiques de l’Etat pour 2022. Ainsi s’est déroulé vigoureusement le travail visant à réaliser des tâches énormes définies en 2022, dans tous les secteurs, notamment l’agriculture, l’industrie légère, le bâtiment et les industries clé.
Ses efforts opiniâtres ne visaient pas seulement à atteindre un objectif fixé, mais aussi à imprimer un essor en engendrant un nouveau développement et en créant une nouvelle vitesse. La parade militaire consacrée au 90e anniversaire de la fondation de l’Armée révolutionnaire populaire coréenne et les festivités du 74e anniversaire de la fondation de la RPDC, organisées sous sa direction de façon particularisée et magnifique ont fait comprendre de nouveau à la communauté internationale ce que c’est que la nouvelle innovation, la création audacieuse et le progrès incessant, exigés par Kim Jong Un.
Notons également que conformément à sa recommandation de créer une nouvelle norme et un nouveau record, les bâtisseurs de la ferme en serres de Ryonpho ont créé une vitesse étonnante en aménageant en un peu plus de 230 jours seulement le secteur d’une grande ferme, pourvu de plus de 850 serres hydroponiques et de sol d’une superficie de 280 hectares permettant une culture modernisée, intensive et industrialisée, d’un millier de logements, d’écoles, d’une maison de la culture, d’établissements de services, etc., construits en conformité avec les particularités locales.
Sur le chantier de construction de 10 000 logements du secteur de Hwasong à Pyongyang, on a créé un nouveau mythe de la construction. Le flambeau de la révolution de l’industrie locale a été monté à partir de l’arrondissement de Kimhwa, un des arrondissements de montagne caractérisés par la difficulté des conditions de vie et la faiblesse des bases économiques. Les produits de haute qualité présentés lors d’expositions d’articles de grande consommation et d’articles de première nécessité organisées dans toutes les régions du pays ont été appréciés. Des logements de diverses formes ont surgi comme des pousses de bambou après la pluie dans les villages ruraux du pays, conformément aux particularités régionales.
Toutes ces transformations témoignent du dynamisme révolutionnaire, du talent d’organisation et de la persévérance de Kim Jong Un qui ne manque pas d’exécuter la décision qu’il prend.
Lors de la 6e session plénière élargie du 8e CC du Parti tenue à la fin de l’année passée, Kim Jong Un a déclaré : La nouvelle année aussi, notre lutte s’accompagnera de grandes difficultés et épreuves, mais, nous devons avancer énergiquement vers un nouveau horizon pour le développement de l’Etat, forts d’une ferme confiance en notre œuvre et en nos propres forces.
Nous vaincrons tous les obstacles et défis rencontrés en faisant appel à nos propres moyens, non pas à un coup de chance et à une aide étrangère et accélérerons notre marche vers une nouvelle époque, selon notre dessein, notre détermination et notre horaire.




Attaque contre un hélicoptère de la MONUSCO : Muyaya charge les terroristes du M23/RDF

Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo condamne, 24 heures après le cessez-le-feu décrété à Bujumbura, l’attaque ce dimanche 5 février 2023 dans la zone sous contrôle de M23/RDF en province du Nord-Kivu, contre un hélicoptère de type Oryx de la MONUSCO.

« Cette attaque aérienne ciblée a occasionné la mort d’un technicien de l’équipage et a blessé le pilote », indique un communiqué officiel, qui ajoute que le Gouvernement présente ses condoléances au Gouvernement Sud-Africain, à la Représentante Spéciale du Secrétaire Général de l’ONU en République Démocratique du Congo et à l’ensemble du personnel de la MONUSCO.

Il souligne que cette énième attaque de la coalition M23/RDF relève d’une stratégie délibérée de porter atteinte aux casques bleus des Nations Unies. Ceci rappelle l’attaque du 29 mars 2022 d’un hélicoptère de la MONUSCO autour de la colline de Chanzu en territoire de Rutshuru qui a causé la mort de huit casques bleus et les attaques ciblées de Kiwandja du 29 octobre 2022 ayant blessé quatre casques bleus.

Face à cette situation, le Gouvernement réitère son appel pressant au Conseil de Sécurité des Nations Unies pour prendre des sanctions immédiates contre le M23 et leurs alliés rwandais pour ces crimes de guerre répétitifs contre le personnel de la Monusco et la population Congolaise.

Enfin, le Gouvernement travaillera avec la MONUSCO pour faire toute la lumière sur les circonstances de cette attaque afin que leurs auteurs en répondent devant la justice.




Après le Maroc à la coupe du monde et le Sénégal au CHAN, à quand la matérialisation du projet de Serge Nkonde pour la RDC? (Papy Tamba)

Il y a quelques semaines, une délégation des présidents de l’Entente Provinciale de Football de Kinshasa (EPFKIN) avait sollicité une audience auprès du ministre des Sports, afin d’échanger sur leur championnat et sur le football en général en République démocratique du Congo. L’audience a été accordée et j’ai fait partie de la délégation. Séance tenante, nous avons déposé un mémo auprès du ministre qui nous a accordé un entretien de plus de 2 heures du temps.

Dans nos échanges, j’ai personnellement été séduit par des projets initiés par le ministre des Sports qu’il n’a, à ce jour, jamais rendu public et je pense qu’il a tort. Ici, il ne s’agit pas de parler de nos positionnements politiques, mais plutôt d’avoir une lecture objective sur l’évolution du football en République Démocratique du Congo.

Je m’appelle Papy Tamba et je suis en profond désaccord avec l’union sacrée sur la gestion du pays. Mais comme opérateur sportif, je reconnais en la personne de Serge Nkonde, membre actif et influent de cette plate-forme, comme un homme qui a réellement une bonne vision pour relancer le football congolais. Je ne parle pas d’autres disciplines sportives pour lesquelles je ne sais pas apprécier la pertinence de son programme.

Parmi les idées forces de son programme que j’ai personnellement apprécié, je relève ici ce qui suit:

Un vaste programme de construction et de réhabilitation des infrastructures sportives. Ceci est la clé pour redorer l’image de notre football. Dans ce registre, il a d’ailleurs promis aux présidents de l’EPFKIN de mettre à leur disposition le stade du 24 novembre rénové avec le pelouse synthétique enlevée au stade des martyrs. Nous attendons toujours la réponse de la ville de Kinshasa quant à ce.

Un programme d’encadrement à la base, en favorisant la création de plusieurs centres sportifs et écoles de foot viables. Au fait, c’est cela qui fait en grande partie la force du Maroc et du Sénégal cités en titre

Le programme vise aussi l’encadrement des équipes de football par un sponsoring coulé en loi ordinaire votée au parlement et promulguée par le Président de la république.

Ces 3 points suffisent à un opérateur sportif comme moi de soutenir une telle vision, même si son auteur n’est pas du même bord politique que moi. C’est cela une opposition républicaine. Mais pourquoi une telle réforme tarde à se matérialiser?

« J’accuse l’Igf, j’accuse le ministre des Finances, j’accuse le gouvernement ».

Le football a plus d’invisibles que des parties visibles. M. Jules Alingete ne connait pas grand-chose dans le fonctionnement des sports. Il ferait œuvre utile en enquêtant sur le projet Tshilejelu que de chercher à tracasser le monde sportif pour rien. Diligenter plus 7 enquêtes au ministère des Sports est contre-productive. Ceci de un.

De deux, voir le Sénégal remporter la CHAN est une couleuvre qui passe très mal chez les congolais. Peut-être que les léopards auraient été plus performants pour battre cette équipe, si les primes des joueurs étaient versées à temps.

Enfin, le gouvernement a è sa tête un premier ministre qui a dirigé les sports dans notre pays. C’est sous sa responsabilité qu’ont été construits les stades municipaux à Kinshasa. Pourquoi ne disponbilise-t-il pas les moyens pour répondre au besoin des infrastructures sportives que réclament les congolais?

En tout état de cause, cet article fait la démonstration d’une absence criante de volonté politique pour relever le niveau de notre football. Nous avons encore nos léopards séniors qui sont en compétition pour la CAN. Si rien de significatif n’est fait, les congolais auront encore leurs yeux pour pleurer. YEBELA

Bon dimanche au monde sportif.




Mgr Nshole s’adressant aux fanatiques : « Insulter le Cardinal Ambongo n’est pas rentable politiquement et cela dessert le chef de l’Etat »

Dire que les Congolais souffrent, est-ce un crime ? Malheureusement, certains fanatiques estiment que c’est une attaque contre le chef de l’Etat. Loin de là, rétorque Mgr Donatien Nshole qui affirme que le Cardinal Ambongo n’est pas en guerre contre le président de la République. Il conseille l’UDPS de ne pas insulter le Cardinal, car ce n’est pas rentable politiquement et cela dessert le chef de l’Etat.

Mgr Donatien Nshole, Secrétaire général de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) a, dans une conférence de presse tenue ce dimanche 05 février, dénoncé à cor et à cris le comportement de ceux qui ont attaqué verbalement le Cardinal Fridolin Ambongo. Et ce, suite à son discours devant le Pape François au Stade de Martyrs.

« Je saisis cette occasion pour donner un conseil aux dirigeants de l’UDPS, qui est le parti au pouvoir. Je sais que beaucoup d’intellectuels ne sont pas d’accord avec ce qui se dit sur les réseaux sociaux. Des gens qui passent leur temps à vilipender le Cardinal, comme si le Cardinal avait un problème personnel avec le chef de l’État. Le Cardinal [Fridolin Ambongo, ndlr] c’est un pasteur aimé par des milliers de fidèles dans ce pays. En l’insultant, vous offensez tout ce monde-là qui l’aime. Et politiquement, ce n’est pas rentable. Ce sont des gens identifiables et identifiés dans les réseaux sociaux (…) Il faut les interpeller pour leur dire qu’ils desservent le chef de l’État », a déclaré Mgr Donatien Nshole.

Et ajoute par ailleurs : « Il n’y a pas un problème entre l’église catholique et le chef de l’État. Les relations sont bonnes, l’accord-cadre signé le prouve. Il n’y a pas un problème entre le Cardinal Ambogo et le chef de l’État », a-t-il conclu.

L’archevêque métropolitain de Kinshasa, Fridolin Ambongo avait, lors de son discours au Stade des Martyrs, décrié la souffrance et la situation précaire que traverse le peuple Congolais. Ce message n’a pas été bien accueilli par quelques-uns et a fait l’objet de débat dans le pays.

Jean-Luc Lukanda




Urgent. L’opposante algérienne Amira Bouraoui arrêtée et enlevée en Tunisie

L’opposante Amira Bouraoui, l’une des militantes et activistes les plus célèbres et les plus engagées en faveur du changement démocratique en Algérie, a été arrêtée par les autorités tunisiennes au niveau de l’aéroport international de Tunis-Carthage alors qu’elle s’apprêtait à quitter le territoire tunisien pour rallier la France le vendredi 3 février dernier, a pu confirmer Algérie Part au cours de ses investigations.

Placées provisoirement en détention, l’opposante algérienne a été par la suite libérée ce lundi 6 février sous le régime de la liberté provisoire en attendant sa comparution devant un tribunal tunisien pour des faits liés à un délit de l’entrée illégale sur le territoire tunisien étant donné que l’ancienne leader du mouvement d’opposition Barakat en 2014 était « interdite de quitter le territoire algérien » alors qu’aucune décision judiciaire en bonne et due forme n’a été prononcée par tribunal compétent pour légitimer cette privation de la liberté de circulation.

Cependant, selon plusieurs sources concordantes contactées par Algérie Part, dès la libération conditionnelle d’Amira Bouraoui par les autorités tunisiennes, des agents en civil ont orchestré son enlèvement dans les rues de la capitale tunisienne pour l’emmener vers une destination qui demeure inconnue jusqu’à l’heure où nous mettons en ligne notre article. Les proches de l’opposante algérienne craignent le pire et cherchent désespérément la moindre information pouvant indiquer sa localisation.

Les autorités tunisiennes n’ont fait pour l’heure aucun commentaire au sujet de cet enlèvement et aucune information n’a filtré pour le moment sur l’identité des kidnappeurs d’Amira Bouraoui. Cette dernière ne fait l’objet d’aucune condamnation judiciaire en Tunisie puisqu’elle n’a même pas été encore jugée et officiellement, elle ne fait l’objet d’aucun mandat d’arrêt émis à son encontre par les autorités algériennes. Soulignons enfin que plusieurs sources concordantes ont assuré à notre Rédaction que les autorités tunisiennes s’apprêtent à mettre en place son extradition vers l’Algérie à la demande express des autorités algériennes.




Quand l’ANC et l’Afrique du Sud sont du mauvais côté de l’Histoire

N’est nul aveugle que celui qui ne veut pas voir, dit le dicton. L’ANC, pour African National Congress, le parti au pouvoir en Afrique du Sud qui passe pour être un champion du paradoxe politique et de l’hypocrise, l’illustre mieux que quiconque au grand dam de cette Nation dès lors qu’il s’agit du Royaume. 

En effet, le parti du président, Cyril Ramaphosa, qui a fait de ses priorités de 2023, d’œuvrer à l’expulsion du Maroc de l’Union africaine ou tout au moins de l’isoler de cette Instance, s’essaye au petit jeu de l’arroseur arrosé.

Rêver ne tue point et l’Afrique du Sud pour changer quoi que ce soit à l’Acte constitutif de l’UA, avant que de pouvoir expulser le Maroc, Cyril Ramaphosa & Co, devront en amender ou réviser les articles qui plus est doivent être adoptés et ratifiés par tous les Etats membres lors d’une Conférence de l’Union (chefs d’Etats).

Mais, il ne faut y voir là qu’une riposte à la réunion de suivi des anciens Premiers ministres et ministres des Affaires étrangères africains, signataires de l’Appel de Tanger -réclamant l’expulsion de la fantomatique « RASD » de l’UA- et qui s’est tenue il y a une semaine à Marrakech.

C’est que ce parterre de personnalités africaines, en revendiquant légitimement et au demeurant l’exclusion du mouvement séparatiste et terroriste, a fait l’effet d’un Tsunami à Prétoria. Pourtant l’Appel de Tanger ne vise qu’à réparer une erreur de l’histoire et une faute politique comme l’avait d’ailleurs affirmé le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita lors de cet évènement à Marrakech.

Le chef de la diplomatie avait effectivement estimé, que « la présence de la +rasd+ au sein de l’UA était un obstacle institutionnel, une anomalie et une aberration juridique, car elle ne correspond pas aux éléments constitutifs d’un Etat au niveau international« , car sans effectivité du fait de son caractère non étatique. Du coup elle n’apporte aucune valeur ajoutée à l’UA et en devient une source de division plutôt que d’unité. Ce n’est donc que justice que de l’exclure de l’Instance panafricaine.

Cela étant, l’Afrique du Sud qui à travers son parti au pouvoir, l’ANC, défend mordicus ce mouvement terroriste, nage à, contre-courant et du mauvais côté de l’histoire. Octobre passé, le président sud-africain Cyril Ramaphosa à peine sorti d’un scandale de corruption qui avait failli lui coûter ses fonctions à la tête de l’ANC et de l’Afrique du Sud, avait déclaré que son gouvernement soutenait « sans état d’âme » la rasd. C’était à l’occasion de la venue du chef du polisario à Pretoria et après la manifestation devant l’ambassade du Royaume. Une manifestation emmenée par des ministres du gouvernement sud-africain.

Tout dernièrement, lors de la cérémonie d’ouverture du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN), le soi-disant petit-fils de Nelson Mandela, Zwelivelile Mandela, membre de l’ANC, s’était « distingué » d’un laïus pro-terroriste et séparatiste en appelant à la guerre le 13 janvier 2023 pour « libérer la dernière colonie en Afrique » – une colonie que du reste les supporters du Raja ont eu vite fait de remettre en place géographiquement.

Il s’est encore manifesté en bon sbire du régime sénile d’Alger la semaine passée lors de la 17e Conférence de l’Union des parlements des Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique (UPCI), quand il s’est affiché avec la sénatrice colombienne Gloria Florez, qui a utilisé indûment sa qualité de présidente du Parlement andin pour lancer des messages hostiles à l’intégrité territoriale du Maroc, alors qu’elle n’avait jamais été mandatée à cet effet par le Parlement andin dont le Maroc est membre observateur.

Mais toute cette haine s’inscrit dans la lignée des postions anti-marocaines, dont depuis le début des années 2000 l’ANC n’a de cesse de ressasser et que l’Algérie nourrit en se servant d’une nation toute vouée à sa cause perdue.

L’Afrique du Sud devrait plutôt se préoccuper de ses citoyens qui exaspérés descendent dans la rue pour exprimer leur colère face aux pénuries d’eau et aux coupures d’électricité. Cela ne se limite pas qu’à Johannesburg et Pretoria. Les Sud-Africains n’ont de cesse de condamner les politiques impuissants et dénoncent la corruption rampante sur fond de pauvreté et d’inégalités criantes.