CAN U-20 TotalEnergies Egypte 2023 : Sur quelles chaines regarder le tournoi ?

Pendant les trois prochaines semaines, de nombreuses régions du monde auront les yeux rivés sur l’Égypte où les futures stars du football africain seront en action à l’occasion de la Coupe d’Afrique des Nations U20 TotalEnergies Égypte 2023.
Le coup d’envoi du tournoi sera donné dimanche après-midi à 16h00, heure locale (14h00 GMT, 17h00 EAT), avec un match entre le pays hôte, l’Égypte, et le Mozambique au Cairo International Stadium du Caire.
La finale aura lieu le 11 mars 2023 dans la même enceinte.
Tous les matches seront retransmis en direct à la télévision par les partenaires de diffusion de la CAF, qui assureront une couverture mondiale aux téléspectateurs.
CAFTV (YouTube) diffusera également tous les matchs en direct dans les territoires qui ne sont pas couverts par un partenaire de diffusion de la CAF.
Le public égyptien pourra avoir accès à tous les matchs sur TimesSport – le diffuseur local.
Pour la région MENA, beIN sport diffusera les matchs en direct tandis que Canal+, SuperSport, StarTimes s’assureront que les téléspectateurs de la région sub-saharienne aient accès à tous les matchs. Vejay Sport couvrira un certain nombre de territoires au niveau international.
La CAF est toujours en pourparlers avec de nombreuses autres plateformes internationales afin de donner un meilleur accès aux fans de football. Ceci fait suite à une demande massive et sans précédent de la part de nombreux partenaires mondiaux de télévision et de streaming sur le contenu de la CAF et du football africain.
Ci-dessous les chaines gratuites qui diffuseront également la CAN U20 TotalEnergies en direct.
– RTI (Côte d’Ivoire)
– Tele Congo (Congo)
– RTS (Sénégal)
– UBC (Ouganda)
– Azam (Tanzanie)
– AfroSport TV (Nigeria)
– ORTM (Mali)
– GTV (Ghana)
– TVT (Togo)
– RTG (Guinée Conakry)
– RTB (Burkina Faso)
– K24/MediaMax (Kenya)
– MBC (Malawi)
– GRTS (Gambie)
– Gabon TV (Gabon)
– ORTB (Bénin)
– RTC (Cap-Vert)
– ORTM (Madagascar)
– SABC (Afrique du Sud)
– CRTV (Cameroun)
– MultiMedia Group (Ghana Radio




Le Congolais Mosengo-Omba conclut une visite d’inspection d’une semaine en Côte d’Ivoire et salue les progrès réalisés

Le Secrétaire Général de la CAF, Véron Mosengo-Omba, a conclu vendredi une visite de travail de cinq jours en Côte d’Ivoire où il a visité tous les sites de match qui accueilleront la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023.
Au cours de la visite, Mosengo-Omba était accompagné par le président du COL Albert François Amichia et le président de la Fédération ivoirienne de football Idriss Yacine Diallo et un certain nombre d’experts techniques.
La délégation s’est rendue dans les cinq villes hôtes : Abidjan, Bouaké, Korhogo, Yamoussoukro et San Pedro. Lors d’un point de presse conjoint à l’issue des inspections, la CAF et le COL ont évoqué en détail l’état de préparation et les progrès réalisés depuis la dernière visite de la CAF dans le pays en 2022.
Bien que satisfait des progrès réalisés, Mosengo-Omba a souligné l’importance d’accélérer certains domaines clés pour s’assurer que les installations soient prêtes avant la fenêtre de transfert.
Mosengo-Omba a déclaré : “Les cinq derniers jours nous ont donné, à moi et à mes collègues de la CAF, l’occasion de visiter les sites et de donner notre avis sur un certain nombre de domaines. Nous prenons note du bon travail effectué par le gouvernement ivoirien, le comité d’organisation local et la FIF. Nous avons échangé des notes, nous avons parlé des domaines dans lesquels nous sommes extrêmement satisfaits et des domaines dans lesquels nous devons travailler. La bonne nouvelle, c’est que nous sommes d’accord sur tous ces points”.
Il a ajouté : “D’après tout ce que j’ai vu, les travaux avancent très bien. Nous félicitons les autorités et leurs partenaires pour ces villages de la CAN, qui respectent le développement durable, car ils ont été conçus de manière à pouvoir être utiles au-delà de la compétition.”




Les finales du Championnat scolaire africain de football dans la zone CECAFA ont lieu ce dimanche

Les qualifications zonales du Championnat africain de football scolaire CECAFA atteignent leur point culminant ce dimanche avec les demi-finales et finales qui opposent certaines des meilleures écoles de la région en Tanzanie.
Ceci sera la conclusion du tournoi entamé vendredi et qui se déroule au Azam Complex à Dar es Salaam.
L’équipe tanzanienne de Fountain Gate a poursuivi sa série d’invincibilité dans la catégorie des filles pour s’assurer la première place avec six points en deux matches, tandis que l’école éthiopienne Awaro SS a terminé deuxième avec trois points.
Fountain Gate a battu les Burundaises d’Ecofo Ruseno 9-0 dans le Groupe A, avant que les Ethiopiennes d’Awaro SS n’écrasent Ecofo Ruseno 5-0 dans le deuxième match disputé au complexe Azam de Dar es Salaam.
Les hôtes ont battu Awaro SS 5-1 pour prendre la tête du groupe et les deux équipes se sont qualifiées pour les quatre dernières places du tournoi. Ils joueront contre Kiramuzi MS dans la première demi-finale.
L’Amus College a pris la tête du groupe B en remportant ses trois matchs, ce qui lui permet de rencontrer en demi-finale l’Awaro SS d’Ethiopie.
Dans la catégorie des garçons, la surprenante Libya Primary School du Sud-Soudan est qualifiée pour les demi-finales du championnat scolaire africain de football de la CAF pour la zone CECAFA.
Après avoir démarré la campagne par une victoire 4-1 contre le CEM Baoulous de Djibouti vendredi, l’équipe du Sud-Soudan a balayé une équipe d’Aljeel Al Genina (Soudan) 3-1 et s’est contentée d’un match nul 2-2 contre Ecofo Gasanda (Burundi) samedi au complexe Azam.
Ils affronteront les Royal Giants HS d’Ouganda tandis que les Geda Roble SS d’Éthiopie affronteront les Ecofo Gasanda du Burundi dans la deuxième demi-finale.
En marge du tournoi, plusieurs ateliers et sessions de formation sur la protection de l’enfance sont prévus, ainsi que d’autres sessions axées sur les jeunes reporters, l’arbitrage et l’entraînement. L’objectif est d’aider les jeunes à avoir plusieurs options dans le football.
Matchs de demi-finale
Fountain Gate vs Kiramuzi MS (filles)
Amus College vs Awaro SS (Filles)
Geda Roble vs Ecolo Gasanda (garçons)
Libya PS vs Royal Giants HS (garçons)




L’ARPTIC sera bientôt fonctionnel

Le Ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication a soumis au Conseil le Projet de Décret portant création, composition et fonctionnement de l’Autorité de Régulation des Postes, des Télécommunications et des Technologies de l’Information et de la Communication (ARPTIC).
Il a rappelé que la Loi n°20/017 du 25 novembre 2020 a abrogé celle de 2002 sur les télécommunications mais également la Loi n°14/2002 du 16 octobre 2002 portant création de l’ARPTC, renvoyant au Gouvernement la compétence de créer l’ARPTIC par Décret délibéré en Conseil des Ministres.
Ce Décret précise entre autres : les missions de cette nouvelle Autorité de Régulation ; sa tutelle ; sa forme juridique et ; ses ressources nécessaires à la poursuite de sa mission dans ce secteur dont le potentiel d’innovation est en constante évolution et nécessite une régulation adaptée.
En attendant l’installation effective de l’ARPTIC, les dispositions transitoires prévues dans le Décret précité s’appliquent.




Julien Paluku propose un projet de Décret portant création, composition et fonctionnement du Comité de Suivi d’Evaluation des Zones Economiques Spéciales

Le Ministre de l’Industrie a soumis au Conseil le Projet de Décret portant création, composition et fonctionnement du Comité de Suivi d’Evaluation des Zones Economiques Spéciales (ZES) en vue de sa signature, par le Premier Ministre.
Ce Comité de suivi et d’évaluation aura pour mission de coordonner l’opérationnalisation des projets des Zones Economiques Spéciales à implanter par l’Etat Congolais et la firme Arise Integrated Industrial Platforms (ARISE IIP), partenaire du Gouvernement de la République.
Faisant l’économie de ce texte, il a précisé que ce Comité compte trois organes, à savoir : un Comité de pilotage (organe décisionnel), Comité technique (organe d’orientation et d’accompagnent), et Secrétariat technique (organe en charge de l’administration).
Le Ministre de l’Industrie a conclu en soulignant que ce Comité multipartite de suivi et d’évaluation est placé sous l’autorité du Premier Ministre, Chef du Gouvernement. Après débats et délibérations, le Conseil a adopté ce Projet de texte.




Nicolas Kazadi veut règlementer la facture normalisée et des modalités de mise en œuvre des dispositifs électroniques fiscaux

Le Ministre des Finances a présenté et soumis, pour adoption, le projet de Décret qui constitue une mesure d’application de la Loi de Finances n°22/071 du 28 décembre 2022 pour l’exercice 2023.
Ce Décret fixe les modalités de mise en oeuvre des dispositifs électroniques fiscaux et de la règlementation de la facture normalisée.
La mise en oeuvre de cette réforme permettra à l’administration fiscale, d’une part, d’authentifier, via un code numérique unique, chaque transaction commerciale réalisée par les opérateurs économiques qui collectent la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) et, d’autre part, d’exploiter les données sur ces transactions aux fins de contrôle des déclarations de Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) et d’évaluation des chiffres d’affaires de chaque opérateur économique.
A cet effet donc, les entreprises privées, les associations sans but lucratif, les acteurs d’exécution de la dépense publique au niveau du pouvoir central, des provinces et des entités territoriales décentralisées, les entreprises publiques, les établissements publics et les autres organismes publics, éligibles à l’utilisation des dispositifs électroniques fiscaux, seront tenus d’émettre et de n’accepter que les factures normalisées à l’occasion de leurs transactions de biens et services.
Il s’agit là de la matérialisation du programme de modernisation de la gestion des finances publiques en général, et du système fiscal en particulier, conformément au Plan Stratégique actualisé des Réformes des Finances Publiques (PSRFP).




Loi sur les marchés publics : Aimé Boji propose un projet de décret portant manuel de procédures

Le Ministre d’Etat, Ministre du Budget a soumis au Conseil le Projet de Décret portant Manuel de procédures de la Loi relative aux marchés publics en République Démocratique du Congo.
En effet, ce texte refond le Décret n°10/22 du 02 juin 2010 y relatif en insérant plusieurs innovations parmi lesquelles : l’entérinement des seuils de passation, de contrôle et d’approbation des marchés publics ; La suppression de toutes les occurrences liées à la délégation des services publics qui seront prises en compte dans la réglementation sur le Partenariat Public-Privé ; L’utilisation obligatoire des « contrats-types » élaboré par l’Autorité de Régulation des Marchés Publics dans les marchés de gré à gré ; Le renforcement des mesures concernant les éléments sur les Bénéficiaires Effectifs.




Spoliation du patrimoine immobilier : Modeste Mutinga propose la mise en place d’une Commission Inter-Gouvernementale des Experts des ministères concernés pour arrêter l’hémorragie

Le Ministre des Affaires Sociales, Actions Humanitaires et Solidarité Nationale a présenté aux membres du Gouvernement l’état des lieux du patrimoine immobilier de son secteur.
Ce Rapport révèle que dans la grande majorité des provinces, les bâtiments et propriétés foncières de ce Ministère sont systématiquement spoliés sur base des jugements fallacieux et irréguliers narguant par ces comportements inciviques l’Autorité de l’Etat.
A Kinshasa, par exemple, neuf sites sont concernés dont le Service National d’Actions Sociales (SENAMES), ex-Foyer Social de Kalamu et le Centre de Promotion Social (CPS) Lingwala.
Face à cette situation déplorable, le Ministre des Affaires Sociales, Actions Humanitaires et Solidarité Nationale a sollicité du Gouvernement l’approbation de la mise en place d’une Commission Inter-Gouvernementale des Experts des Ministères concernés afin de faire toute la lumière sur ce dossier et d’arrêter l’hémorragie de spoliation.




La politique agricole durable de la Rdc présentée au conseil des ministres

Le Ministre de l’Agriculture a présenté au Conseil les grandes lignes de la Politique Agricole Durable (PAD) de la République Démocratique du Congo.
Cette Politique vise à contribuer à la croissance de l’économie nationale et à assurer durablement la souveraineté et la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations, à augmenter les revenus des populations rurales, urbaines et périurbaines, à maintenir les conditions agroécologiques de la production agricole et à adapter l’agriculture au changement climatique tout en préservant les forêts et les zones de tourbières.
Le Ministre de l’Agriculture a aussi souligné que ce document se conforme au Plan National Stratégique de Développement (PNSD) et prend en compte les engagements sectoriels auxquels notre pays a souscrit.
Cette Politique Agricole Durable a, en outre, l’ambition d’inspirer les révisions de textes juridiques et réglementaires à venir en particulier ceux qui compléteront ou pourront modifier la Loi portant principes fondamentaux relatifs à l’Agriculture du 24 décembre 2021.
Pour sa matérialisation, cinq (05) approches sont prévues. Il s’agit respectivement de : Approche « Renforcement des capacités » ; Approche « Bonne gouvernance » ; Approche « Inclusive et genre » ; Approche « Territoriale, accès au foncier et à l’eau » ; Approche « Décentralisation et renforcement des chaines de valeur ».
Douze actions prioritaires sont identifiées dans ce Document. Une série de mesures incitatives et les soubassements juridiques y sont préconisées. Enfin, un cadre de suivi-évaluation est prévu comme un élément clé du succès la mise en oeuvre de la Politique Agricole Durable (PAD). Après débats et délibérations, ce dossier a été adopté.




Nicolas Kazadi suspend, jusqu’à nouvel ordre, le paiement de la dette intérieure

Le Ministre des Finances a rendu compte au Conseil des Ministres de la situation des Finances publiques au 31 janvier 2023 et du déroulement de la mission technique du Fonds Monétaire International (FMI) qui a séjourné à Kinshasa du 8 au 14 février, en vue de préparer la quatrième revue du Programme au titre de la Facilité Elargie de Crédit (FEC).
En ce qui concerne les recettes mobilisées du 1er au 31 janvier 2023, elles sont de l’ordre de 1.151 milliards de CDF, contre une prévision de 1.098 milliards de CDF, soit un taux d’exécution de 105% par rapport aux assignations budgétaires annuelles. Comparé à janvier 2022, l’augmentation est de 12%.
Les dépenses se sont chiffrées à 1.659 milliards de CDF, laissant un déficit de 496 milliards, occasionné principalement par les dépenses sécuritaires, les mises à la retraite ainsi que le fonctionnement. Il a été intégralement financé par les Bons du Trésor, les Obligations du Trésor et les appuis budgétaires des bailleurs.
Face à cette évolution préoccupante des dépenses en début d’année, le Ministère a recommandé les mesures suivantes la suspension, jusqu’à nouvel ordre, du paiement de la dette intérieure, hors mis celle déjà engagée ; Le ralentissement des dépenses de fonctionnement jugées non contraignantes ; La limitation au strict minimum des dépenses effectuées en cash ; Le strict contrôle, au mois le mois, de l’évolution de la masse salariale ; Le strict respect de la chaîne de la dépense et la réduction des paiements par procédure d’urgence.
S’agissant de la mission du Fonds Monétaire International conduite par la Cheffe de Mission pour la République Démocratique du Congo, Mme Mercedes Vera Martin, le Ministre des Finances a indiqué qu’elle a permis de mettre à jour et la clôture du cadrage macroéconomique de l’année 2022, d’analyser les perspectives de 2023, de passer en revue les principales réformes structurelles et poursuivre les échanges sur les réformes.
Sur la base des données économiques récentes, le Fonds Monétaire International a revu à la hausse la croissance du PIB en 2022, passant de 6,6 % à 8,5 %. La croissance demeurera forte en 2023 selon la même analyse.
La mission s’est appesantie sur les principaux défis de l’économie congolaise en 2023, à savoir le processus électoral, la situation sécuritaire à l’Est, ainsi que les autres fragilités structurelles du pays.
Le Fonds Monétaire International a réaffirmé sa disposition à aboutir à un Accord, en avril prochain, avec le Gouvernement, pour l’accès de la République Démocratique du Congo à ce nouveau guichet du Fonds.
Le Conseil a adopté l’ensemble de mesures préconisées ainsi que le rapport de mission du Fonds Monétaire International.