Dans une note circulaire à l’intention des dirigeants sportifs: L’Euvokin dévoile quelques directives pour la saison sportive 2022-2023

En rapport toujours avec le démarrage de son championnat, l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa ‘’Euvokin’’, a arrêté quelques Directives pour la Saison sportive 2022-2023.

1. Police d’Assurance de l’EUVOKIN de l’EUVOKIN
Les staffs techniques et les athlètes doivent-être assurés avant de prendre part au Championnat.
2 .CNMS
Les athlètes doivent obligatoirement passer au Centre National Médical Sportif ‘’CNMS’’pour contrôle medical d’aptitude physique avant de prester.
3. Fiche de demande des licences
Elle doit-être remplie en caractère d’imprimerie et avoir des données fiables pas des ratures.
4. Validation et Revalidation
Tout cas de validation et revalidation appelera au changement des licences chaque saison sportive.
5. Transfert
Tout cas de Transfert doit avoir des pièces ci-après : Convention de transfert, autorisation de transfert, volet licence de joueur, Fiche du CNMS et Police d’Assurance
6. Format de championnat
Le championnat sera disputé en deux Divisions I et II y compris le Play-off pour la Division I.
7. Démarrage du championnat
Du 20 février au 15 mars 2023: formalités administratives.
Le 18 mars 2023 démarrage du championnat saison 2022-2023.
N.B: Le championnat débutera avec les clubs qui seront en règle sur le plan administratives et financières.
Antoine Bolia




En prévision du démarrage de son championnat 2022-2023 prévu le 18/03/2023: L’Euvokin dévoile les conditions de participation

Dans un communiqué de presse parvenu à notre redaction, M. Charles Mananga, secrétaire exécutif de l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa ‘’Euvokin’’, informe l’opinion sportive qu’en prévision du démarrage du championnat de la Division I Dames et Messieurs de l’EUVOKIN prévu le 18/03/2023 que son entité a retenu certaines conditions relatives à la participation.

Il s’agit de :
1. Payer la totalité de frais de participation
2. Disposer les Athlètes apte par le CNMS
3. Souscrire la Police d’Assurance
4. Déposer la Fiche d’engagement obligatoire
5. Déposer à l’Entente des licences ou fiche de demande des licences.


Par ailleurs, le secrétaire de l’Euvokin fait remarquer que les instructions de la Fédération de Volley-ball du Congo ‘’Févoco’’ doivent-être scrupuleusement respectées. Quant à la tarification, elle reste la même. En ce qui concerne le calendrier du championnat, l’Euvokin promet de transmettre aux clubs ledit calendrier ainsi que le règlement du championnat avant le 2/03/2023.
Quid de la Division II
Pour la Division II, l’Euvokin signale que le championnat débutera au mois d’avril. A cet effet, elle demande aux clubs de prendre toutes les dispositions nécessaires pour le démarrage du championnat.
Antoine Bolia




Dossier brûlant: Pays organisateur des 9è Jeux de la Francophonie, la Rdc risque de briller par son absence

C’est connu de tous que la République Démocratique du Congo va arbiter les 9èmes Jeux de la Francophonie fin juillet début août 2023 à Kinshasa.

Mais aussi curieux que ça puisse paraître, à 8 jours de la date de fin d’inscription pour ces jeux, le gouvernement congolais n’a pas encore prit son inscription auprès de la commission d’organisation des jeux. Au sujet des frais, il y a la participation aux competitions, le logement, droit de participation par athlete 430 Euros etc.
On a oui dire à l’issue de la reunion du 22 février 2023 entre le Comité National d’organisation des Jeux de la Francophonie ‘’CNJF’’ et les 9 fédérations sportives qui devront participer auxdits jeux entre autres : la Feaco ‘’Athlétisme’’, la Febadco ‘’Badminton’’, la Fénacoju’’Judo’’, la Fécolutta ‘’Luttes’’, la Fécocy ‘’Cyclisme’’, la FTTC ‘’Tennis de Table’’ pour ne citer que celles-là, M. Isidor Nkwanja Njembo, Directeur du CNJF a alerté sur la situation et du danger de la non participation de la RDC à ces jeux qu’elle est censée organizer et ce, suite au retard de non paiement des droits de participation. C’est tout simplement inimaginable suivant la logique et le bon sens.
Qu’à cela ne tienne, il nous revient qu’un collectif des représentants des fédérations a été constitué pour decrier pour la nième fois, l’irrégularité et la non accompagnement du gouvernement congolais dans la partie formation et préparation des athlètes.
A 5 mois des 9èmes Jeux de la Francophonie, la RDC pays organisateur incapable de financer la préparation de ses athlètes

Il nous revient que les 9 fédérations sus-évoquées avaient bel et bien déposé leur cahier des charges respectif des formations tant des entraineurs, des officiels techniques que des athlètes (stages locaux et stages extérieurs). Pour dire vrai, c’est depuis 2 ans que les fédérations étaient instruites de présenter leur état des besoins, les formations envisagées et les différentes étapes des stages. Elles se sont exécutées.
Il se fait malheureusement que jusque là, la RDC continue à s’afficher inexplicablement par une vision non Claire et une manque d’objectivité des membres du gouvernement qui étonne. Chose étonnante, depuis que la première partie du budget formation des athlètes avait été annoncée, jusqu’au moment où nous accouchons de ces lignes, le gouvernement ne fait pas signe de bonne foi et d’objectivité.
La débrouillardise de fédérations sportives

En ce qui concerne par exemple la formation des officiels, certaines fédérations se sont débrouillées pour faire quelques formations. Mais du côté du CNJF jusque là il semble que rien ne s’y est fait. Une autre inquiétude se situe au niveau de l’acquisition des matériels le risque du retard est bien réel. Au mois d’avril par exemple d’après nos informations, ça devait être la livraison totale de toutes les infrastructures.
En ce qui concerne par exemple l’athlétisme, au mois de mai, du 12 au 14 mai il y aura le championnat francophone des zones Afrique avec participation de 32 pays
Nous pensons et persistons à dire que pour le cas d’espèce, l’organisation des 9èmes Jeux de la francophonie sur le sol congolais, l’on ne peut en aucun cas évoquer la célèbre phrase de l’initiateur des jeux olympiques Pierre de Coubertin, ‘’L’essentiel, c’est de participer’’. Ça sera pour le cas de la RDC, glaner beaucoup des médailles. Mais pour y arriver, tout passe par une préparation minutieuse. Construire des infrastructures sportives modernes répondant aux normes, c’est bien bon. Mais il faudra avant tout d’abord penser aux facteurs humains, ceux-là mêmes qui sont appelés à réaliser ces prouesses.
La Responsabilité du gouvernement n’est plus à démontrer

On doit savoir la partie préparation des athlètes, formation des encadreurs techniques et stages, ça concerne le gouvernement. Jusque là, rien n’est fait. Tandis que la partie organisation et formation des officiels, c’est le CNJF qui s’en occupe. Rappelons que le vendredi 17 février 2023 au Salon Présidentiel du stade des martyrs face à la presse, M. Isidor Nkwanja Njembo, Directeur du ‘’CNJF’’ avait déclaré concernant les préparatifs ce qui suit : ‘’Les préparatifs évoluent très bien. Les infrastructures sont en train d’être construites. Les entrepreneurs nous disent que nous serons dans le délai. Au niveau organisationnel, nous sommes en train de travailler fort pour que tout se passe dans les meilleures conditions. Je peux vous rassurer que le gouvernement met des moyens nécessaires et les jeux seront une fête ici à Kinshasa’’.
A la question de savoir si les 9 fédérations sportives congolaises peuvent-elles espérer bénéficier d’un stage de préparation à l’extérieur du pays ? M. Isidor Nkwanja Njembo a répondu comme suit : ‘’ça, j’essaie toujours de répondre, la RDC est pays organisateur et pays participant. Nous en tant que Directeur National des jeux de la francophonie, nous gérons la partie, pays organisateur. La partie pays participant, pour le domaine du sport, c’est le ministère des sports. Pour la culture, c’est le ministère de la culture. Donc, il y a deux organisations en tant que pays organisateur et pays participant. Donc, moi ici je ne peux que parler que RDC en tant que pays organisateur’’. Comme on le voit, le gouvernement doit prendre toutes ses responsabilités en main. Dossier à suivre.

Antoine Bolia




Après Lemba-Imbu: Tshisekedi offre une station de traitement d’eau supplémentaire aux Kinois

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a procédé, ce jeudi 23 février 2023, à la mise en service du premier module de l’usine de la Régie de distribution d’eau (Regideso) de Binza Ozone à Kinshasa Ngaliema.
Cette usine a une capacité de production de 110.000 m3 par jour pour desservir plus de 1.500.000 consommateurs allant du quartier Binza-Ozone, Mbudi, Lutendele, Ma Campagne, Météo, Binza-Delvaux, Djelo- Binza, Ngomba-Kinkusa (UPN), Kimbuala, C.P.A à Malueka (Don Bosco) pour l’agglomération de Ngaliema, à Kintambo, une partie de Selembao, à savoir : Cité verte, Badiadingi, Camping, Kitokimosi et à Mont-Ngafula : Cité Mama Mobutu, Kimbondo et Mitendi.
Cette mise en service intervient moins de trois ans après la pose de la 1ère pierre par le Chef de l’État en Décembre 2019. Financé par la Banque mondiale, le coût total des travaux s’élève à 72 millions de dollars Américains.
L’usine de captage d’eau se jette dans le fleuve Congo au niveau de Kinsuka vers la baie de Ngaliema pour pomper l’eau jusqu’au centre de Regideso de Binza-ozone et après tout le processus de traitement jusqu’à la distribution.
Par ailleurs, il y a l’autre grande canalisation visible à côté de l’usine de captage à Kinsuka ; c’est la canalisation de rejet des déchets et résidus d’après traitement.
Avec cette inauguration qui marque un pas de plus vers la desserte totale de la capitale en eau potable, le Chef de l’État confirme sa volonté d’améliorer le quotidien de ses concitoyens en s’impliquant personnellement dans le suivi de la construction des infrastructures de base dans le pays.




De passage au Nord-Kivu: Bahati demande à la population de toujours faire confiance à nos forces de défense et de sécurité

L’honorable Président du Sénat et Autorité morale de l’Alliance des Forces Démocratiques du Congo (AFDC), le Professeur Modeste Bahati Lukwebo, accompagné du vice-président national du parti, le professeur Mutabunga, est arrivé à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, le jeudi 23 février à 12h locales. Il a été accueilli au bas de la passerelle par le Vice-Gouverneur de Province, le Commissaire Divisionnaire Jean Romuald Ekuka Lipopo, en présence du Président Fédéral de l’AFDC/Nord-Kivu, le Professeur Kinyata Sylvestre et d’autres cadres membres de cette Fédération.
Dans une interview accordée à la presse locale, Modeste Bahati a dit être de passage à destination de Bukavu, au Sud-Kivu, pour son enrôlement. Ce, avant de réitérer le soutien total de l’AFDC aux FARDC, tous rangés derrière le Commandant suprême, le Président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo. Et d’ajouter : “Notre message est clair. Notre peuple est le seul à se libérer. J’exprime ma solidarité envers la population du Nord-Kivu qui a tant souffert de la guerre d’agression”.
L’Autorité morale de l’AFDC a ensuite pris un bain de foule à la sortie de l’aéroport, avant que son cortège se dirige à son quartier général de circonstance.
« Comme vous le savez, le pays est en guerre, il est agressé. Nous sommes venus renforcer le moral de nos troupes qui sont au front. Nous nous rangeons tous derrière le président de la République Félix Tshisekedi et notre soutien total aux Forces armées de la République et aux forces de sécurité. Nous saisissons cette occasion pour exprimer notre compassion envers les populations qui sont déplacés, mais également nos condoléances les plus émues aux familles qui sont éprouvées par cet événement qui nous ai imposé », dit-il.
Dans cette partie du pays, le message de Modeste Bahati est clair : « nous dévons toujours garder l’espoir, il faut toujours garder confiance à nos forces de défense et de sécurité et que tout le peuple congolais sache qu’il est seul à se libérer pour que nous puissions préserver notre intégrité territoriale et bâtir une paix durable et un développement durable ».
Sauf changement de dernière minute, l’Autorité Morale de l’AFDC se rendra à Bukavu ce vendredi 24 février, pour accomplir son devoir civique en s’enrôlant, en vue d’être éligible mais aussi électeur. Leader très écouté au Kivu, Bahati Lukwebo profitera de son séjour dans cette partie du pays pour sensibiliser la population du Grand Kivu à se faire enrôler pour avoir le droit au vote et donner ainsi un second mandat au candidat de l’AFDC-A à la présidentielle de 2023, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
JMNK




Le gouvernement américain gronde: Le Rwanda doit cesser de soutenir le M23 et retirer ses soldats de la Rdc

Le Département d’État des Etats-Unis d’Amérique réitère son appel au Rwanda pour qu’il cesse de soutenir le groupe armé M23 et retire ses soldats de la Rdc afin de faciliter la mise en œuvre de ces engagements conformément au calendrier approuvé lors du mini-sommet de la CAE du 17 février. Il est clair que plus personne au niveau de la communauté internationale ne supporte le comportement belliqueux de Paul Kagamé qui, sans raison valable, agresse son voisin la Rdc.
Les États-Unis saluent le communiqué du 17 février de la 1140e réunion du Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union africaine sur la situation dans l’est de la république démocratique du Congo (RDC), indique un communiqué du Département d’État américain. « Nous nous joignons au CPS pour exprimer notre préoccupation face à la détérioration de la situation humanitaire, condamner les violations des droits humains commises par les groupes armés, en particulier le M23, Daech-RDC, la CODECO et les FDLR, et exiger que tous les groupes armés cessent les hostilités et se retirent sans condition de l’est de la RDC », indique le même document, qui ajoute apprécie le leadership du président sud-africain Cyril Ramaphosa au CPS.
Les Etats-Unis d’Amérique sont encouragés par le fait que le CPS a souligné l’importance de la mise en œuvre des résultats du communiqué du mini-sommet de la CAE du 17 février, des processus de Luanda et de Nairobi et du communiqué de Luanda du 23 novembre. Le CPS a par ailleurs souligné l’importance du soutien au Mécanisme conjoint de vérification élargi et à la Mission de l’Organisation des Nations unies de stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO), ainsi que du traitement de la question des ex-combattants et du retour volontaire des personnes déplacées et des réfugiés. C’est ainsi que le Département d’Etat prend également note de la décision du CPS d’utiliser le Fonds pour la paix de l’Union africaine pour soutenir le déploiement de la Force régionale de la Communauté d’Afrique de l’Est (EACRF).
Dans le même document, les Etats-Unis demandent instamment la mise en œuvre rapide des résultats du mini-sommet de la CAE du 17 février, des processus de Luanda et de Nairobi, en particulier du communiqué du mini-sommet de Luanda du 23 novembre 2022. Le chemin vers la paix est clair : nous attendons du leadership démontré lors de ces sessions à Addis-Abeba qu’il traduise les engagements en actions. « Nous réitérons notre appel au Rwanda pour qu’il cesse de soutenir le groupe armé M23 et retire ses soldats de la RDC afin de faciliter la mise en œuvre de ces engagements conformément au calendrier approuvé lors du mini-sommet de la CAE du 17 février », insiste la source, qui réitère en passant son appel à toutes les parties pour qu’elles condamnent les discours de haine et œuvrent de toute urgence à la prévention de la violence ethnique.
Soulignons qu’en marge du Sommet de l’Union africaine des 18 et 19 février, la secrétaire d’État adjointe aux Affaires africaines, Molly Phee, a rencontré João Manuel Lourenço, président de la République d’Angola, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de la RDC, Paul Kagame, président de la République du Rwanda, William Ruto, président de la république du Kenya, et Jeje Odongo, ministre des Affaires étrangères de l’Ouganda. Lors de chaque réunion, la secrétaire adjointe Phee a discuté avec les dirigeants régionaux de notre engagement commun à instaurer la paix et la stabilité dans l’est de la RDC et du besoin urgent de revitaliser les processus de paix. Les États-Unis continueront de soutenir et de faire progresser les initiatives diplomatiques africaines visant à résoudre le conflit dans l’est de la RDC.




Dans une déclaration politique: Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI pour la réélection du Président Tshisekedi

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI, Structure d’appui autonome du Parti, fait la présente Déclaration Politique qui a sanctionné les travaux de sa Plénière de ce jeudi 23 Février 2023, sous la présidence de son Coordonnateur National, M. Felly Fwamba Mubalamate.
Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI salue la position de neutralité bien affichée par la Haute Autorité Politique de Référence, Son Excellence Monsieur Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République, Chef de l’Etat, à l’occasion de la commémoration du 41me anniversaire de création de l’UDPS Originelle dont Il est Membre Co-Fondateur.
Cette attitude hautement politique qui témoigne de son souci de se départir de tout esprit partisan à l’égard de l’une ou l’autre tendance et sensibilité issues de l’UDPS Originelle, rassure désormais toutes les Combattantes et tous les Combattants engagés dans la juste lutte pour la réconciliation et la refondation de l’UDPS Originelle avant les prochaines échéances électorales.
Le Collectif appuie, sans réserve, toute initiative de désignation du Co-Fondateur. Camarade Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République, Chef de l’Etat, comme Candidat de l’UDPS Originelle à sa propre succession en décembre 2023. Aux yeux du Collectif, il ne sera jamais question que le Président de la République, Eminent Membre de sa famille politique, soit Candidat Indépendant ou d’une quelconque plateforme électorale aux buts incertains et inavoués.
Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI qui a mal digéré les ridicules divisions étalées publiquement lors des festivités marquant le 41me anniversaire de l’UDPS Originelle par des tendances et sensibilités nées de l’atomisation de celle-ci, poursuit inlassablement son noble combat pour la réconciliation et la réunification de tous les Membres de la grande famille de l’UDPS. Ainsi, le Collectif tient, coûte que coûte, à l’organisation rapide du Conclave de l’unité, de la réconciliation et de la refondation de l’UDPS.
Le Collectif rappelle, avec pincement au cœur, que les tendances et sensibilités qui ont dernièrement célébré le 41me anniversaire de l’UDPS Originelle, ont arboré le même drapeau, le même logo ; se sont réclamées des mêmes Fondateurs, du même nom « UDPS », de la même date de création, de la même idéologie, des 37 ans de lutte mais se disent bizarrement adversaires au point de s’interroger sur ce qui les divise.
Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI s’insurge, avec la dernière énergie, contre toute action complotiste contre la candidature du Président Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO en suscitant une autre candidature sauvage au nom de l’UDPS en vue d’émietter sa base électorale naturelle.
Le Collectif révèle que ce complot ourdi de longue date par certaines puissances étrangères hostiles a trouvé des preneurs parmi des traîtres nationaux qui torpillent déjà tous les efforts de réunification de la grande famille de l’UDPS.
Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI s’oppose catégoriquement à ce que le Président Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, le Candidat naturel de la grande famille de l’UDPS, toutes tendances et sensibilités réunies et réunifiées, concourt à l’élection présidentielle sous une autre bannière, soit-elle de l’Union Sacrée de la Nation.
Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI dénonce vigoureusement la duplicité connue des Membres de l’Union Sacrée de la Nation, ce conglomérat de traîtres patentés, au service des intérêts étrangers qui a été chargée par ses maîtres de distraire et de tromper la vigilance du Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, en Le poussant à se présenter sous ses couleurs afin qu’un traître bien connu et recruté parmi les anciens Cadres de l’UDPS dont le Collectif tait le nom pour le moment puisse L’affronter à la prochaine élection présidentielle comme candidat de l’UDPS.
Le Collectif qui, au regard de ce complot savamment orchestré dans l’ombre, invite toutes les Combattantes et tous les Combattants à se ranger tous derrière le Président Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, afin de Lui permettre de se succéder à Lui-même en décembre 2023.
Cette réélection qui devra être soutenue par une majorité parlementaire confortable, constituera une garantie suffisante pour la matérialisation du Programme gouvernemental de l’UDPS connu sous l’appellation de « Le Peuple d’abord ».
Le Collectif loue les récents efforts du Secrétaire Général ad intérim de la tendance UDPS/TSHISEKEDI en faveur de l’unité de l’UDPS Originelle et l’invite à s’inspirer, en conséquence, de son cahier de charges qui a tout prévu.
Par ailleurs, le Collectif lui recommande de se méfier et de ne pas copier servilement le système de mosaïque calqué sur le modèle du PPRD qui avait totalement échoué.
Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI reste convaincu que la seule voie royale devant conduire à la consolidation de l’UDPS et au renforcement de ses chances électorales à tous les niveaux (Présidence de la République, Parlement, Assemblées Provinciales, Conseils Urbains, Municipaux et Locaux) passe par la tenue, toutes affaires cessantes, du Conclave de l’unité, de la réconciliation et de la refondation de l’UDPS Originelle.
Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI réitère enfin son indéfectible attachement au Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, et lance un appel patriotique à toutes les Congolaises et à tous les Congolais de Lui renouvelle leur confiance à la prochaine élection présidentielle de décembre 2023.
Jean Kabeya Mudiela Ndungu /Cp




« La CEEAC ne doit pas rester indifférente lorsqu’un État membre est agressé par un autre de la même communauté » (Sama Lukonde)

En prélude de la conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC), qui se tiendra ce samedi 25 février à Kinshasa, le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, pense que la CEEAC ne doit pas rester indifférente lorsqu’un État membre est agressé par un autre de la même communauté. Elle ne doit pas également reconnaître que toute insécurité freine manifestement le décollage économique de la sous-région.
Tout a commencé par le mot de bienvenu de Me Didier Mazenga, président du conseil des ministres de la Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale. Et ce, avant de rendre un vibrant hommage au Président de la République et Président en exercice de la CEEAC, Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour son leadership éclairé visant à promouvoir l’éducation, la santé, la culture, et surtout la paix et la sécurité dans la sous-région en général et en République Démocratique du Congo en particulier, car la paix et la sécurité sont une garantie pour le développement intégré de la sous-région.
Dans son mot de circonstance, le Premier Ministre a souligné l’importance que son Gouvernement accorde aux activités de la CEEAC qui est une organisation d’intégration régionale.
” Ma présence à ce segment du Conseil des ministres de la CEEAC témoigne de l’intérêt particulier que le Gouvernement de la République Démocratique du Congo accorde aussi bien aux questions de l’intégration régionale en tant qu’outil indispensable de croissance et stabilité politique entre États, qu’à la paix et la sécurité au niveau de la sous-région”, a déclaré d’entrée de jeu le chef du Gouvernement avant d’exprimer aux ministres et chefs des délégations, ainsi qu’à tous les membres qui leurs ont accompagnés de très chaleureux souhaits de bienvenue et d’un agréable séjour à Kinshasa.
Le Premier Ministre a par ailleurs souligné sa détermination à ne ménager aucun effort pour la réussite de la mandature du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à la tête de la CEEAC.
” En effet, une année durant, le Gouvernement congolais que j’ai l’honneur de diriger, à travers le ministère de l’Intégration Régionale et Francophonie, s’est engagé sans relâche à accompagner la mandature de M. Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à la tête de la CEEAC. C’est donc avec un grand intérêt que je devais suivre non seulement la situation sécuritaire dans la sous-région mais aussi le déroulement régulier de toutes les réunions de la CEEAC au cours desquelles des recommandations pertinentes ont été formulées aux bénéfices des populations. De nos jours, il est hors de question qu’une Nation prétende aux regards de l’évolution industrielle et technologique vivre en autocratie. Cette réalité à la genèse de notre communauté, les géniteurs de cette dernière l’avaient bien comprise. Celle de vouloir, en tant que communauté, mutualiser de façon permanente nos efforts du point de vue économique, social et politique en vue d’un développement intégré”, a ajouté le chef du Gouvernement Congolais.
Une condamnation ferme du Rwanda
Du haut de la tribune, Sama Lukonde a dénoncé l’agression de la RDC par le Rwanda sous couvert du M23. Il a rappelé pour ce faire, les objectifs énoncés à l’article 4 du traité révisé de la CEEAC, qui sont entre autres de promouvoir la coopération, le renforcement de l’intégration régionale en Afrique centrale, dans tous les domaines de l’activité politique, sécuritaire, économique.
« En vue de réaliser l’autonomie collective, d’élever le niveau de vie des populations, d’accroître et de maintenir la stabilité économique, les fondateurs de notre communauté ont établi ainsi les principes fondateurs pour son meilleur fonctionnement et se sont engagés à les respecter. Il s’agit notamment des principes d’intangibilité des frontières, de bon voisinage, de non-agression, de non recours à la force pour le règlement des différends, de non indifférence, de solidarité, d’assistance mutuelle, de maintien de la paix et de la sécurité ainsi que de la stabilité régionale par la promotion, le renforcement des relations de bon voisinage à travers notamment le respect de l’intégrité territoriale. Il convient d’indiquer ici, puisque nul n’en est ignorant que la guerre que nous impose le régime de Kigali pendant ce moment, sous couvert du M23 a déjà causé comme ça l’a été rappelé des milliers voir même des millions de morts couplé à ce drame humain, le pillage systématique des ressources naturelles ainsi qu’un drame humanitaire qui appelle un vrai questionnement », a souligné le Chef du Gouvernement.
Pour le Premier Ministre congolais, la CEEAC, en tant que communauté au sens réel du terme, doit donc se vider de toute dose d’hypocrisie diplomatique. La CEEAC ne doit pas rester indifférente lorsqu’un État membre est agressé par un autre de la même communauté. Elle ne doit pas également reconnaître que toute insécurité freine manifestement le décollage économique de la sous-région.
“Ce questionnement interpellateur, je l’espère, trouvera un écho favorable auprès des Chefs d’États et de Gouvernement des États membres de la Communauté pour mettre fin à cette agression et enfin avoir la paix à l’Est de la République Démocratique du Congo et dans toute la sous-région », a conclu le Premier Ministre.
JMNK




Tout en condamnant la déportation des électeurs: La CENI prolonge l’enrôlement de 15 jours dans la 2ème aire opérationnelle

La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) porte à la connaissance de l’opinion publique que l’opération de la Révision du Fichier Electoral (RFE), lancée depuis le 25 janvier 2023, dans les 9 provinces et les 3 pays-pilotes de la deuxième aire opérationnelle (AO2) devrait prendre fin le jeudi 23 février 2023 tel que prévu dans le calendrier électoral.
Après évaluation de cette opération, indique un communiqué signé le président Denis Kadima, la CENI accorde une période de récupération de quinze jours, soit du 24 février au 10 mars 2023. « Cette mesure se justifie d’une part, pour récupérer le retard enregistré dans le déploiement du matériel dans certains centres d’inscription et d’autre part, par le fait que certains centres d’inscription de cette aire opérationnelle connaissent encore une grande affluence des requérants à la date prévue pour la clôture », précise-t-il.
En effet, la CENI attache la plus grande importance à l’inclusion sur la liste électorale de tous les congolais remplissant les conditions requises. Les provinces et les pays concernés sont les suivants: Haut Katanga, Haut Lomami, Kasaï, Kasaï Central, Kasaï Oriental, Lomami, Lualaba, Sankuru, Tanganyika, Afrique du Sud, Belgique et France.
Au total, 7.669 centres d’inscription ont été prévus pour cette aire opérationnelle. Ils sont identifiables et opérationnels. Pour rappel, les variables ayant milité pour la détermination du nombre des centres d’inscription dans les trois aires opérationnelles sont notamment: le poids démographique; L’étendue de la province; La présence des groupes armés ; L’existence des conflits inter communautaires ; La présence des groupements éclatés; Les obstacles naturels; Les voies d’accès et particulièrement l’accessibilité au d’inscription: L’état et le type d’infrastructure devant abriter les centres d’inscription et la capacité d’accueil.
La CENI invite tous les congolais en droit de voter, habitant les provinces et les pays concernés à s’enrôler aux centres d’inscription les plus proches de leurs résidences, à l’intérieur de leur groupement ou commune pour ceux résidant au pays, d’une part et aux Ambassades pour les résidant à l’étranger, d’autre part.
Par ailleurs, la CENI désapprouve et condamne, avec la dernière énergie, le << nomadisme électoral >> autrement appelé « déportation des électeurs » en ce que cette pratique biaise la représentation et affecte la participation des électeurs le jour du vote.
Enfin, la CENI rappelle que les centres d’inscription sont ouverts au public de mardi à dimanche, de 7h00 à 17h00, heures locales. Le lundi est réservé aux tâches administratives conformément à ses procédures. Toutefois, les centres d’inscription peuvent être ouverts au public pour des besoins opérationnels.




Gilbert Kabanda assiste à la célébration de la journée dédiée à l’armée sud-africaine

Chaque 21 février, l’Afrique du Sud, pays de Nelson Mandela célèbre son Armée nationale. Cette année 2023, la tradition a été encore respectée. L’agglomération de Richards Bay, à plus ou moins 170 km de la ville de Durban, a été choisie pour abriter cette magnifique manifestation très riche en couleurs. Et une gigantesque parade militaire aux allures d’une véritable démonstration des forces suivie d’un défilé motorisé des armées de terre, de mer et de l’air a été organisée dans l’une des principales artères de Richards Bay du reste radio-télévisé retransmis en direct.

Cyril Ramaphoza, chef de l’Etat et chef des armées a présidé personnellement cette cérémonie de très haute facture. Dans sa prise de parole, Il a martelé et salué le sens élevé du patriotisme de ses compatriotes de servir sous le drapeau, peut-on lire dans une dépêche du ministère de la défense nationale de la RDC.
L’Afrique du Sud comme on l’a vu encore ces jours, poursuit notre source, reste une véritable nation arc-en-ciel à travers ses composantes raciales dans l’ensemble de l’Armée nationale dans ses differentes unités des hommes comme des femmes. Plusieurs pays amis de l’Afrique du Sud du continent et du reste du Monde ont été officiellement invités à assister à cette très belle cérémonie grandiose à travers leurs ministres de défense.
Docteur Gilbert Kabanda Kurhenga, ministre de la défense nationale et anciens combattants a représenté le gouvernement de la République démocratique du Congo.
BM