Selon le Sondage Le Point: Muyaya dans le Top 5 des ministres qui excellent dans leurs départements

Seuls dix ministres continuent à exceller dans leurs départements depuis le début de cette année, à savoir : Aimé Boji, Patrick Muyaya, Pius Muabilu, Christophe Lutundula, Gilbert Kabanda, Désiré M’Zinga, Aimé Molendo, Nicolas Kazadi, Eve Bazaiba et Julien Paluku. Parmi tous ces ministres, Patrick Muyaya a plus marqué les sondés parce qu’il a totalement réussi l’organisation des activités du Pape François du 31 janvier au 3 février à Kinshasa.

Le Sondage Les Points, en partenariat avec Le Pélican, s’est donné, comme d’habitude, l’exercice traditionnel d’interroger la population congolaise habitant dans tous les coins de la RDC afin de savoir ce qu’ils pensent sur le bilan du Gouvernement Sama durant les mois de janvier et février.
Depuis le début de l’année 2023, le gouvernement congolais est plus concentré sur deux points majeurs. Il s’agit de l’organisation des élections en décembre prochain et la pacification de l’Est du pays agressé par le Rwanda sous couvert du mouvement terroriste M23 et du Grand Bandundu menacé par les conflits ethniques.
Le Chef de l’Etat Tshisekedi se dit déterminé à défendre coûte que coûte chaque cm² de son pays, la RDC. Sur d’autres plans, les Congolais ne sentent pas les “Warriors”.
Seuls dix ministres continuent à exceller dans leurs départements depuis le début de cette année, à savoir : Aimé Boji, Patrick Muyaya, Pius Muabilu, Christophe Lutundula, Gilbert Kabanda, Désiré M’Zinga, Aimé Molendo, Nicolas Kazadi, Eve Bazaiba et Julien Paluku.

Quid de Patrick Muyaya
La deuxième place revient à Patrick Muyaya, ministre de la Communication et Médias et porte-parole du Gouvernement avec 61%. Après la réussite des états généraux de la communication et des médias en janvier 2022, des briefings hebdomadaires et autres, Patrick Muyaya Katembwe, ministre de la Communication et Médias et porte-parole du Gouvernement, vient encore de marquer les points. Il a totalement réussi l’organisation des activités du Pape François du 31 janvier au 3 février à Kinshasa. Intelligent, créatif et moderniste, ce talentueux ministre a vu ses cotes de popularité flamber. Il a ébloui le monde par la qualité de son travail lors de la récente visite du Pape François dans la capitale congolaise. Placé au-devant de l’organisation par le Président Félix-Antoine Tshisekedi et le Premier ministre Sama Lukonde, il avait, sur ses épaules, tout le poids événementiel du séjour papal en RDC.
Tout est parti du choix des sites en passant par le décor, la participation maximale de l’Église catholique jusqu’aux activités calendaires du Saint-Père. Outre le volet officiel réservé au service du protocole d’État, le site choisi pour la messe papale ainsi que le stade des Martyrs en passant par la cathédrale Notre-Dame de Lingwala, l’opération était à la fois chronométrée, calculée et adaptée aux goûts et aux désirs du Souverain pontife. Par reconnaissance pour le travail abattu, les professionnels de médias l’ont primé, samedi 11 février à Kinshasa. Les organisateurs mettent, en avant-plan, la meilleure organisation de la communication et de l’événement autour du séjour du successeur de Pierre.
Il doit également cette cote à la nouvelle campagne de soutien aux FARDC, dénommée “Défendons la patrie, bendele ekweya te” ayant marqué les esprits de nombreux Congolais en novembre. Cette campagne s’inscrit dans la droite ligne de sa propre vision d’imprimer un nouveau narratif sur et au pays
Ainsi, Patrick Muyaya s’est dressé en pilier majeur dans la guerre injuste imposée à la RDC par le Rwanda sous couvert du M23. C’est lui qui est envoyé au front médiatique pour battre en brèche la propagande de terreur initiée par des ennemis de la République et la profusion des fake news. Selon des enquêtés, Muyaya a donné plus de volume à l’offensive médiatique congolaise avec “Défendons la patrie, bendele ekweya te”.
Sa présence régulière dans les médias, avec notamment l’initiative d’un rendez-vous hebdomadaire avec la presse, a aussi marqué les esprits de ceux qui ont voté en faveur de Patrick Muyaya. Ils estiment que ce briefing presse de chaque lundi est une réponse efficace à l’appel à la mobilisation lancé par le Chef de l’Etat pour sauver la patrie en danger. Ils ont en plus affirmé que le ministre de la Communication a, au cours de ce briefing, eu des mots justes pour les convaincre de prendre part aux différentes activités et marches de protestation contre l’agression rwandaise




A l’ISC/Gombe : Tshisekedi donne le go de Trans-Academia

Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, a procédé, ce vendredi 24 février 2023, à l’institut Supérieur de Commerce (ISC), au lancement officiel des bus Trans-Academia, le service de transport public dédié exclusivement aux étudiants.


C’était aussi un jour historique pour les étudiants de l’ISC car pour la première fois, depuis sa création en 1967, un Chef de l’État en fonction, en l’occurrence, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a visité cet Institut supérieur dans le cadre de la mise en route d’un service exclusif réservé aux étudiants.
Trois discours ont émaillé cette cérémonie organisée sur le terrain de football de l’ISC devant des milliers d’étudiants et étudiantes très enthousiastes.
Avec une population estudiantine estimée à 25.000 unités, l’ISC ne pouvait espérer mieux avec le projet Trans-Academia, a fait savoir son Directeur Général Émile Ngoy Kassongo, dans son mot de circonstance.
Le Directeur général de Trans-Academia a aussi indiqué que la nouvelle entreprise qu’il administre est dotée d’un réseau de 20 lignes interconnectées avec 452 arrêts de bus censés faciliter la mobilité des étudiants.
Grâce au lot des bus déjà disponibles, a-t-il ajouté, Trans-Academia va bientôt débuter à Kinshasa, la phase-pilote du projet, quitte à la dupliquer dans les autres provinces du pays. Il a par ailleurs, insisté sur le paiement dématérialisé, via une application mobile, des frais de transport pour assurer une bonne traçabilité des recettes.
Le patron de Trans-Academia a aussi mis en relief les opportunités d’emploi qu’offre son entreprise tout en plaidant pour la sécurité sociale des travailleurs. Il a invité les étudiants, principaux bénéficiaires, à sécuriser l’outil mis à leur disposition pour son maintien dans le temps.

Le représentant des étudiants a, pour sa part, exprimé au Chef de l’État la gratitude ainsi que la reconnaissance de la communauté estudiantine de l’ISC et au-delà.
Après les explications reçues des responsables de la société quant à l’opérationnalisation du projet, le Chef de l’État et quelques officiels ont pris place à bord d’un des bus Trans-Academia pour un tour d’honneur jusqu’à la place des évolués.




Exercice de tir de missiles

Le 23 février à l’aube a eu lieu l’exercice de tir de missiles de croisière stratégiques.
Y a pris part une sous-unité de l’unité de missiles de croisière stratégiques du secteur est de l’Armée populaire de Corée.

D’autres sous-unités ont fait leurs exercices sans tir réel dans leurs positions-galeries.
L’unité mobilisée à l’exercice a lancé quatre missiles de croisière stratégiques de type « Hwasal-2 » en direction de la mer de l’Est de la Corée à partir des environs de la ville Kim Chaek, province du Hamgyong du Nord.
A travers l’exercice de tir, on a réaffirmé la fiabilité du système d’armes, vérifié et jugé la posture de riposte rapide des unités de missiles de croisière stratégiques, l’un des constituants importants de la force de dissuasion nucléaire de la République.
L’exercice de lancement a atteint avec honneur son objectif.
Lesdits missiles ont volé de 10 208 à 10 224 secondes suivant leur orbite elliptique et en forme de 8, établi au-dessus de la mer de l’Est de la Corée, pour atteindre la cible à 2 000 km.
La Commission militaire centrale du Parti du travail de Corée a exprimé sa grande satisfaction du résultat de l’exercice.
Ainsi, on a mis en évidence une fois de plus la préparation à la guerre des forces armées nucléaires de la République qui s’emploient à renforcer par tous les moyens leur capacité de riposte nucléaire mortelle contre les forces hostiles.




Armes de l’APC présentées à la revue

La revue consacrée au 75e anniversaire de la fondation de l’Armée populaire de Corée tenue le 8 février dernier à Pyongyang, capitale de la RPDC, a présenté des armes modernes de l’APC.


Tous ces armements, notamment les missiles balistiques intercontinentaux dont dispose l’APC, sont les produits fabriqués par les propres forces et techniques du peuple coréen.
Chaque militaire ayant participé à la revue débordait de la fierté d’une puissante armée et de la confiance en la victoire.
Le fait que la RPDC avec un territoire peu vaste et une population peu nombreuse dispose d’une telle armée puissante montre bien combien est ardent le désir du coréen pour la paix.
La RPDC, obligée de faire toujours face aux forces hostiles, y compris les Etats-Unis, a déclaré qu’elle est capable de sauvegarder la paix et la sécurité par ses propres moyens.
Ce n’est nullement une parole en l’air.




Pas d’amalgame : La parcelle de l’avenue de la Gombe n°44, spoliée autrefois, a été récupérée et donnée en location au juge Pierre Mavungu

La cellule de communication du Ministère de l’Urbanisme et Habitat informe l’opinion nationale que la parcelle numéro 6337 du plan cadastral dans la circonscription foncière de la Gombe, sise avenue de la Gombe, numéro 44, quartier Batetela, dans la commune de la Gombe, est une propriété de l’État.
Le communiqué publié à effet et qui porte la signature de M. Jules Kidinda, Conseiller politique et en communication au même ministère, porte également à la connaissance du public que cette unité de logement du patrimoine immobilier du domaine privé de l’Etat a fait l’objet de plusieurs tentatives de spoliation, orchestrées par les fossoyeurs des biens immobiliers de l’Etat, dont le mode opératoire a été dévoilé et déjoué par le ministre d’État, ministre de l’Urbanisme et Habitat, qui a traduit en acte la promesse électorale du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, de récupérer et protéger tous les biens immobiliers de l’Etat spoliés, et ce, sur toute l’étendue du territoire national.
De ce fait, indique la même source, la maison de l’Etat sus-indiquée, spoliée autrefois, a été récupérée et donnée en location, dans le strict respect de la procédure administrative, au juge Pierre Mavungu qui est détenteur d’un contrat de bail signé avec l’État congolais, et dont il s’acquitte régulièrement du loyer mensuel auprès d’une banque de la place.
La cellule de communication du Ministre de l’Urbanisme et Habitat qui donne cette information, demande par ailleurs à la population de ne pas prêter oreille aux mensonges distillés dans les réseaux sociaux par les citoyens qui se croient plus forts que l’État et tentent par tous les moyens d’induire l’opinion en erreur afin d’accomplir leur sale besogne.
La cellule de communication Ministère de l’Urbanisme et Habitat prévient et alerte qu’en cas de récidive, elle se fera forte de dénoncer publiquement les dignitaires de l’ancien régime, trapus derrière cette mésaventure. L’État de droit, c’est d’abord le respect des lois de son pays.




Le Maroc sort de la liste grise du Gafi




BM : Les Administrateurs dressent le portrait-robot du successeur de David Malpass

Les Administrateurs du Groupe de la Banque mondiale se sont réunis le 22 février sous la direction du Doyen du Conseil, M. Koen Davidse, pour examiner la question de la sélection du prochain Président du Groupe de la Banque mondiale, M. David Malpass ayant annoncé qu’il quitterait son poste le 30 juin 2023.
Le Conseil des administrateurs du Groupe de la Banque mondiale a affirmé son engagement à assurer un processus de sélection ouvert, fondé sur le mérite et transparent. Les candidats devront répondre aux critères suivants : justifier d’une expérience confirmée à des postes de direction et d’accomplissements tangibles, en particulier dans le champ du développement ; posséder une expérience de l’administration des grandes institutions d’envergure internationale et une bonne connaissance du secteur public ; être en mesure de présenter une vision claire de la mission de développement du Groupe de la Banque mondiale ; être fermement déterminé à promouvoir la coopération multilatérale et être convaincu de son importance ; et être en mesure de communiquer de manière efficace et diplomatique, et de faire preuve d’impartialité et d’objectivité dans l’exercice de ses fonctions.
Les candidatures devront être déposées entre le jeudi 23 février 2023 à 9h00 heure normale de l’Est (EST) et le mercredi 29 mars 2023 à 18h00 EST ; elles devront être soumises par les Administrateurs ou par les Gouverneurs par l’intermédiaire des Administrateurs qui les représentent. Les candidats doivent être des ressortissants des États membres de la Banque. Les Administrateurs encouragent vivement la nomination de candidatures féminines.
Au terme de la période de nomination, les Administrateurs arrêteront une liste restreinte comptant au maximum trois candidats, dont ils publieront le nom avec l’assentiment des personnes concernées. Les Administrateurs mèneront des entretiens formels avec tous les candidats figurant sur la liste restreinte en vue de procéder à la désignation du nouveau président d’ici le début du mois de mai 2023.
Les Administrateurs ont exprimé leur profonde gratitude au président Malpass pour l’action qu’il a menée à la tête du Groupe de la Banque mondiale, son administration efficace et les réalisations remarquables qui ont été accomplies durant son mandat, notamment dans la réponse rapide apportée aux crises mondiales. Sous la présidence de M. Malpass, le Groupe de la Banque mondiale a mis en œuvre des hausses de financements records pour aider à faire face, entre autres défis, à la pandémie de COVID-19, tout en s’employant à renforcer l’efficacité de ses opérations. M. Malpass a également œuvré à la consolidation de la situation financière du Groupe, à travers deux reconstitutions du fonds de l’IDA d’un montant sans précédent, des réformes des fonds fiduciaires et une intensification des émissions d’obligations à moyen et long terme. Il a présidé au lancement du Plan d’action sur le changement climatique 2021-2025, qui vise à mieux intégrer les enjeux du climat et de la biodiversité au développement et à la croissance ; sous sa direction, le Groupe a plus que doublé ses financements pour l’action climatique dans les pays en développement, qui ont atteint le montant record de 32 milliards de dollars au cours de l’exercice 2022. M. Malpass s’est fait le champion de la transparence de la dette et a défendu la nécessité de briser des cycles d’endettement insoutenable.
Le Président de la Banque mondiale préside ès qualités le Conseil des administrateurs de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et de l’Association internationale de développement (IDA). Il préside également ès qualités le Conseil d’administration de la Société financière internationale (IFC), le Conseil d’administration de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et le Conseil administratif du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI).




Durant son mandat, M. Malpass a renforcé l’efficacité de la gestion du Groupe de la Banque mondiale

Durant son mandat, M. Malpass a priorisé la transparence des activités internes et externes, notamment par la divulgation d’informations financières et climatiques détaillées ; effectué une importante réorganisation des opérations de la Banque mondiale afin de renforcer la collaboration et de mieux intégrer les pôles mondiaux d’expertise et les unités opérationnelles régionales ; œuvré pour garantir la discipline budgétaire, accroître le recouvrement des coûts des fonds fiduciaires et réduire l’empreinte immobilière du Groupe de la Banque mondiale .
David Malpass a établi des partenariats avec les présidents de six collèges et universités servant historiquement la communauté noire afin de promouvoir le partage des connaissances et des talents entre les institutions et les pays en développement ; obtenu une très forte satisfaction du personnel en matière de collaboration, clarté de la stratégie et de promotion d’une culture d’ouverture et de confiance ; présidé à la création d’un groupe de travail sur le harcèlement sexuel, d’une équipe spéciale pour la lutte contre le racisme et d’une équipe spéciale sur la culture d’entreprise afin de contribuer à la mise en place d’un cadre de travail plus cohésif, collaboratif et réceptif ; géré de multiples menaces pour la sécurité du personnel, dont l’évacuation du personnel d’Afghanistan, du Myanmar, du Soudan et de l’Ukraine, et à la suite de coups d’État au Sahel.




Une franche collaboration entre la Banque mondiale et le FMI

L’une des principales initiatives de M. Malpass a été de promouvoir la transparence et la viabilité de la dette, essentielles pour relancer l’investissement et la croissance. Sous sa direction, le Groupe de la Banque mondiale a lancé, en 2023, avec le FMI, la « table ronde » mondiale sur la dette souveraine pour renforcer le processus de restructuration de la dette ; publié, en décembre 2019, le rapport Global Waves of Debt qui appelle à ce que « la gestion et la transparence de la dette soient des priorités absolues pour les décideurs, afin qu’ils puissent accélérer la croissance et l’investissement et faire en sorte que la dette qu’ils contractent contribue à l’obtention de meilleurs résultats de développement au profit de la population ».
Il a aussi travaillé avec les dirigeants mondiaux pour briser les cycles d’endettement insoutenable ; mis en œuvre la nouvelle politique de la Banque mondiale pour le financement durable du développement qui vise à inciter les pays à s’orienter vers un financement transparent et durable ; renforcé le rapprochement et la communication des données sur la dette, y compris les accords de swap des banques centrales, au sein de la base de données de la Banque mondiale dédiée aux Statistiques sur la dette internationale (IDS) (a).




Que des réalisations pour Malpass à la tête de la Banque mondiale

Plusieurs réalisations sont à l’actif de David Malpass. Il s’agit par exemple de la mobilisation de financements records en réponse à la pandémie de COVID-19 (plus de 157 milliards de dollars) et à la suite de la guerre en Ukraine (plus de 170 milliards de dollars) ; Augmentations de capital de la BIRD et d’IFC, reconstitutions de fonds sans précédent dans le cadre des cycles IDA-19 et IDA-20, et intensification rapide des émissions d’obligations à moyen et long termes ; Réalisation d’opérations d’urgence dans le domaine de la santé et de la vaccination dans plus de 100 pays.

Durant son règne, il aura réussi la mobilisation de 18 milliards de dollars de financement d’urgence pour l’Ukraine afin de soutenir le maintien des services publics essentiels ; Lancement d’un processus avec les actionnaires du Groupe de la Banque mondiale pour faire évoluer la vision, la mission et modèle opérationnel de l’institution, ainsi que ses capacités et son modèle financiers, avec l’objectif d’augmenter les ressources au service du développement ; Lancement du Plan d’action sur le changement climatique pour mieux intégrer les enjeux du climat et de la biodiversité au développement et à la croissance.
C’est lui qui a mis en à disposition d’une enveloppe de 30 milliards de dollars pour lutter contre l’impact des crises touchant les aliments, les engrais et l’énergie dans les pays en développement ; Lancement du Fonds de lutte contre les pandémies (a) pour améliorer la préparation, avec des promesses initiales de 1,6 milliard de dollars de la part de 25 pays et bailleurs de fonds ; Renforcement des ressources financières et humaines destinées aux régions en situation de fragilité et de conflit, ainsi qu’à l’accès à l’eau propre et à l’électricité et à l’amélioration de la nutrition ;
Évolution de la relation du Groupe de la Banque mondiale avec la Chine, en réduisant les prêts et en se concentrant sur les biens publics mondiaux et la réduction de la pollution plastique marine ; Lancement d’instruments financiers innovants, dont une émission obligataire conjointe avec l’UNICEF (a), des obligations pour la conservation de la faune et de la flore sauvages (a), une obligation liée à la réduction des émissions au Viet Nam (a) et un fonds fiduciaire de financement concessionnel destiné à fournir un soutien axé sur les résultats pour la réduction des émissions.