Armes de l’APC présentées à la revue

La revue consacrée au 75e anniversaire de la fondation de l’Armée populaire de Corée tenue le 8 février dernier à Pyongyang, capitale de la RPDC, a présenté des armes modernes de l’APC.


Tous ces armements, notamment les missiles balistiques intercontinentaux dont dispose l’APC, sont les produits fabriqués par les propres forces et techniques du peuple coréen.
Chaque militaire ayant participé à la revue débordait de la fierté d’une puissante armée et de la confiance en la victoire.
Le fait que la RPDC avec un territoire peu vaste et une population peu nombreuse dispose d’une telle armée puissante montre bien combien est ardent le désir du coréen pour la paix.
La RPDC, obligée de faire toujours face aux forces hostiles, y compris les Etats-Unis, a déclaré qu’elle est capable de sauvegarder la paix et la sécurité par ses propres moyens.
Ce n’est nullement une parole en l’air.




Pas d’amalgame : La parcelle de l’avenue de la Gombe n°44, spoliée autrefois, a été récupérée et donnée en location au juge Pierre Mavungu

La cellule de communication du Ministère de l’Urbanisme et Habitat informe l’opinion nationale que la parcelle numéro 6337 du plan cadastral dans la circonscription foncière de la Gombe, sise avenue de la Gombe, numéro 44, quartier Batetela, dans la commune de la Gombe, est une propriété de l’État.
Le communiqué publié à effet et qui porte la signature de M. Jules Kidinda, Conseiller politique et en communication au même ministère, porte également à la connaissance du public que cette unité de logement du patrimoine immobilier du domaine privé de l’Etat a fait l’objet de plusieurs tentatives de spoliation, orchestrées par les fossoyeurs des biens immobiliers de l’Etat, dont le mode opératoire a été dévoilé et déjoué par le ministre d’État, ministre de l’Urbanisme et Habitat, qui a traduit en acte la promesse électorale du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, de récupérer et protéger tous les biens immobiliers de l’Etat spoliés, et ce, sur toute l’étendue du territoire national.
De ce fait, indique la même source, la maison de l’Etat sus-indiquée, spoliée autrefois, a été récupérée et donnée en location, dans le strict respect de la procédure administrative, au juge Pierre Mavungu qui est détenteur d’un contrat de bail signé avec l’État congolais, et dont il s’acquitte régulièrement du loyer mensuel auprès d’une banque de la place.
La cellule de communication du Ministre de l’Urbanisme et Habitat qui donne cette information, demande par ailleurs à la population de ne pas prêter oreille aux mensonges distillés dans les réseaux sociaux par les citoyens qui se croient plus forts que l’État et tentent par tous les moyens d’induire l’opinion en erreur afin d’accomplir leur sale besogne.
La cellule de communication Ministère de l’Urbanisme et Habitat prévient et alerte qu’en cas de récidive, elle se fera forte de dénoncer publiquement les dignitaires de l’ancien régime, trapus derrière cette mésaventure. L’État de droit, c’est d’abord le respect des lois de son pays.




Le Maroc sort de la liste grise du Gafi




BM : Les Administrateurs dressent le portrait-robot du successeur de David Malpass

Les Administrateurs du Groupe de la Banque mondiale se sont réunis le 22 février sous la direction du Doyen du Conseil, M. Koen Davidse, pour examiner la question de la sélection du prochain Président du Groupe de la Banque mondiale, M. David Malpass ayant annoncé qu’il quitterait son poste le 30 juin 2023.
Le Conseil des administrateurs du Groupe de la Banque mondiale a affirmé son engagement à assurer un processus de sélection ouvert, fondé sur le mérite et transparent. Les candidats devront répondre aux critères suivants : justifier d’une expérience confirmée à des postes de direction et d’accomplissements tangibles, en particulier dans le champ du développement ; posséder une expérience de l’administration des grandes institutions d’envergure internationale et une bonne connaissance du secteur public ; être en mesure de présenter une vision claire de la mission de développement du Groupe de la Banque mondiale ; être fermement déterminé à promouvoir la coopération multilatérale et être convaincu de son importance ; et être en mesure de communiquer de manière efficace et diplomatique, et de faire preuve d’impartialité et d’objectivité dans l’exercice de ses fonctions.
Les candidatures devront être déposées entre le jeudi 23 février 2023 à 9h00 heure normale de l’Est (EST) et le mercredi 29 mars 2023 à 18h00 EST ; elles devront être soumises par les Administrateurs ou par les Gouverneurs par l’intermédiaire des Administrateurs qui les représentent. Les candidats doivent être des ressortissants des États membres de la Banque. Les Administrateurs encouragent vivement la nomination de candidatures féminines.
Au terme de la période de nomination, les Administrateurs arrêteront une liste restreinte comptant au maximum trois candidats, dont ils publieront le nom avec l’assentiment des personnes concernées. Les Administrateurs mèneront des entretiens formels avec tous les candidats figurant sur la liste restreinte en vue de procéder à la désignation du nouveau président d’ici le début du mois de mai 2023.
Les Administrateurs ont exprimé leur profonde gratitude au président Malpass pour l’action qu’il a menée à la tête du Groupe de la Banque mondiale, son administration efficace et les réalisations remarquables qui ont été accomplies durant son mandat, notamment dans la réponse rapide apportée aux crises mondiales. Sous la présidence de M. Malpass, le Groupe de la Banque mondiale a mis en œuvre des hausses de financements records pour aider à faire face, entre autres défis, à la pandémie de COVID-19, tout en s’employant à renforcer l’efficacité de ses opérations. M. Malpass a également œuvré à la consolidation de la situation financière du Groupe, à travers deux reconstitutions du fonds de l’IDA d’un montant sans précédent, des réformes des fonds fiduciaires et une intensification des émissions d’obligations à moyen et long terme. Il a présidé au lancement du Plan d’action sur le changement climatique 2021-2025, qui vise à mieux intégrer les enjeux du climat et de la biodiversité au développement et à la croissance ; sous sa direction, le Groupe a plus que doublé ses financements pour l’action climatique dans les pays en développement, qui ont atteint le montant record de 32 milliards de dollars au cours de l’exercice 2022. M. Malpass s’est fait le champion de la transparence de la dette et a défendu la nécessité de briser des cycles d’endettement insoutenable.
Le Président de la Banque mondiale préside ès qualités le Conseil des administrateurs de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et de l’Association internationale de développement (IDA). Il préside également ès qualités le Conseil d’administration de la Société financière internationale (IFC), le Conseil d’administration de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), et le Conseil administratif du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI).




Durant son mandat, M. Malpass a renforcé l’efficacité de la gestion du Groupe de la Banque mondiale

Durant son mandat, M. Malpass a priorisé la transparence des activités internes et externes, notamment par la divulgation d’informations financières et climatiques détaillées ; effectué une importante réorganisation des opérations de la Banque mondiale afin de renforcer la collaboration et de mieux intégrer les pôles mondiaux d’expertise et les unités opérationnelles régionales ; œuvré pour garantir la discipline budgétaire, accroître le recouvrement des coûts des fonds fiduciaires et réduire l’empreinte immobilière du Groupe de la Banque mondiale .
David Malpass a établi des partenariats avec les présidents de six collèges et universités servant historiquement la communauté noire afin de promouvoir le partage des connaissances et des talents entre les institutions et les pays en développement ; obtenu une très forte satisfaction du personnel en matière de collaboration, clarté de la stratégie et de promotion d’une culture d’ouverture et de confiance ; présidé à la création d’un groupe de travail sur le harcèlement sexuel, d’une équipe spéciale pour la lutte contre le racisme et d’une équipe spéciale sur la culture d’entreprise afin de contribuer à la mise en place d’un cadre de travail plus cohésif, collaboratif et réceptif ; géré de multiples menaces pour la sécurité du personnel, dont l’évacuation du personnel d’Afghanistan, du Myanmar, du Soudan et de l’Ukraine, et à la suite de coups d’État au Sahel.




Une franche collaboration entre la Banque mondiale et le FMI

L’une des principales initiatives de M. Malpass a été de promouvoir la transparence et la viabilité de la dette, essentielles pour relancer l’investissement et la croissance. Sous sa direction, le Groupe de la Banque mondiale a lancé, en 2023, avec le FMI, la « table ronde » mondiale sur la dette souveraine pour renforcer le processus de restructuration de la dette ; publié, en décembre 2019, le rapport Global Waves of Debt qui appelle à ce que « la gestion et la transparence de la dette soient des priorités absolues pour les décideurs, afin qu’ils puissent accélérer la croissance et l’investissement et faire en sorte que la dette qu’ils contractent contribue à l’obtention de meilleurs résultats de développement au profit de la population ».
Il a aussi travaillé avec les dirigeants mondiaux pour briser les cycles d’endettement insoutenable ; mis en œuvre la nouvelle politique de la Banque mondiale pour le financement durable du développement qui vise à inciter les pays à s’orienter vers un financement transparent et durable ; renforcé le rapprochement et la communication des données sur la dette, y compris les accords de swap des banques centrales, au sein de la base de données de la Banque mondiale dédiée aux Statistiques sur la dette internationale (IDS) (a).




Que des réalisations pour Malpass à la tête de la Banque mondiale

Plusieurs réalisations sont à l’actif de David Malpass. Il s’agit par exemple de la mobilisation de financements records en réponse à la pandémie de COVID-19 (plus de 157 milliards de dollars) et à la suite de la guerre en Ukraine (plus de 170 milliards de dollars) ; Augmentations de capital de la BIRD et d’IFC, reconstitutions de fonds sans précédent dans le cadre des cycles IDA-19 et IDA-20, et intensification rapide des émissions d’obligations à moyen et long termes ; Réalisation d’opérations d’urgence dans le domaine de la santé et de la vaccination dans plus de 100 pays.

Durant son règne, il aura réussi la mobilisation de 18 milliards de dollars de financement d’urgence pour l’Ukraine afin de soutenir le maintien des services publics essentiels ; Lancement d’un processus avec les actionnaires du Groupe de la Banque mondiale pour faire évoluer la vision, la mission et modèle opérationnel de l’institution, ainsi que ses capacités et son modèle financiers, avec l’objectif d’augmenter les ressources au service du développement ; Lancement du Plan d’action sur le changement climatique pour mieux intégrer les enjeux du climat et de la biodiversité au développement et à la croissance.
C’est lui qui a mis en à disposition d’une enveloppe de 30 milliards de dollars pour lutter contre l’impact des crises touchant les aliments, les engrais et l’énergie dans les pays en développement ; Lancement du Fonds de lutte contre les pandémies (a) pour améliorer la préparation, avec des promesses initiales de 1,6 milliard de dollars de la part de 25 pays et bailleurs de fonds ; Renforcement des ressources financières et humaines destinées aux régions en situation de fragilité et de conflit, ainsi qu’à l’accès à l’eau propre et à l’électricité et à l’amélioration de la nutrition ;
Évolution de la relation du Groupe de la Banque mondiale avec la Chine, en réduisant les prêts et en se concentrant sur les biens publics mondiaux et la réduction de la pollution plastique marine ; Lancement d’instruments financiers innovants, dont une émission obligataire conjointe avec l’UNICEF (a), des obligations pour la conservation de la faune et de la flore sauvages (a), une obligation liée à la réduction des émissions au Viet Nam (a) et un fonds fiduciaire de financement concessionnel destiné à fournir un soutien axé sur les résultats pour la réduction des émissions.




Banque mondiale : David Malpass s’en va précipitamment !

Le président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass, a informé le Conseil des administrateurs de son intention de quitter ses fonctions d’ici la fin de l’exercice budgétaire en cours, le 30 juin, après plus de quatre années à la tête de l’institution. Durant son mandat, M. Malpass s’est attaché à renforcer les politiques destinées à accélérer la croissance économique, réduire la pauvreté, améliorer le niveau de vie des individus et alléger le fardeau de la dette publique des pays. Au cours des quatre dernières années, les cinq branches du Groupe (la BIRD, l’IDA, IFC, la MIGA et le CIRDI) ont réagi rapidement aux crises mondiales, mobilisant un montant record de 440 milliards de dollars pour aider à faire face à la pandémie de COVID-19, à la guerre en Ukraine, au grave ralentissement de l’économie mondiale, à des niveaux d’endettement non soutenables, au changement climatique et aux pénuries de nourriture, d’engrais et d’énergie.

« Ce fut un immense honneur et un privilège de présider la première institution de développement au monde, aux côtés de tant de personnes talentueuses et exceptionnelles, a déclaré M. Malpass. Alors que les pays en développement sont confrontés à des crises sans précédent, je suis fier que le Groupe de la Banque mondiale ait réagi avec rapidité, envergure, innovation et impact. Les quatre dernières années ont été parmi les plus riches de ma carrière. Après avoir réalisé d’importants progrès, et après mûre réflexion, j’ai décidé de me consacrer à de nouveaux défis. Je suis reconnaissant à nos personnels et à nos administrateurs d’avoir eu la chance de travailler chaque jour à leurs côtés afin de renforcer l’efficacité de nos opérations au cours d’une période particulièrement difficile. »
Alors que les pays en développement sont soumis à une forte pression financière, M. Malpass a multiplié les rencontres avec les dirigeants du monde entier afin de les soutenir dans leurs efforts pour briser des cycles d’endettement insoutenable, notamment à travers des mesures d’allégement de la dette. Sous sa direction, le Groupe de la Banque mondiale a plus que doublé les financements en faveur de l’action climatique dans les pays en développement, qui ont atteint le montant record de 32 milliards de dollars l’année dernière. M. Malpass a dirigé les efforts visant à catalyser et accroître les investissements privés et les échanges commerciaux, et a apporté son leadership intellectuel aux travaux analytiques du Groupe en matière de politique budgétaire et monétaire, de systèmes monétaires et de réforme de la gouvernance. Il a également renforcé la gestion et les ressources humaines de l’institution qui bénéficie désormais d’une situation financière plus solide et d’une plus grande capacité à lever des fonds pour soutenir sa notation de crédit AAA.
« Le Groupe de la Banque mondiale est fondamentalement solide, financièrement viable et bien placé pour accroître son impact sur le développement face à des crises mondiales urgentes, a indiqué M. Malpass. Cette situation devrait permettre une transition de direction en douceur alors que le Groupe s’efforce de répondre à des défis mondiaux croissants, de faciliter l’investissement privé, de se concentrer davantage sur les biens publics mondiaux et de maintenir une forte dynamique en ce qui concerne l’exécution des opérations et la performance du portefeuille dans les pays clients. »




Le Cardinal reçoit le soutien de…. SCEAM 2023 : Énergie Nouvelle félicite le Cardinal Ambongo et lui apporte tout son soutien

Accra, la capitale ghanéenne a abrité du 14 au 17 février 2023, le Symposium des Conférences épiscopales d’Afrique et du Madagascar (SCEAM).


Au cours desdits travaux, Fridolin Cardinal Ambongo Besunga, Archevêque de Kinshasa, à été porté à la tête du SCAEM pour un mandat de 3 ans. Jusqu’en 2023, il va piloter cette structure ecclésiale qui fait de lui la première Personnalité de l’Eglise catholique en Afrique et au Madagascar. Pour autant qu’il fait déjà et est Membre du C7, c’est-à-dire il compte parmi les 7 Cardinaux qui conseillent le Pape François au Saint Siège.
Le choix porte sur le Prélat catholique a fait frotter les mains du parti politique congolais avant-gardiste, Énergie Nouvelle. Qui, par la voix de son président national, Junior-Moise Monsese Ngoya, félicite le Cardinal.
A l’état-major de Énergie Nouvelle, devant ceux qui sont partis l’entendre après la décision du SCEAM, Monsese Ngoya félicite son éminence Fridolin Ambongo pour son nouveau poste de commandement en faveur de l’évangélisation et pour la surveillance des valeurs morales, spirituelles et cardinales au continent noir et au Madagascar.
Défendre la popularité Congolaise*
A Énergie Nouvelle, on ” encourage la posture du Cardinal qui est celle de défendre la population congolaise courbée dans la misère et le désespoir. Nous lui conjurons de renforcer sa position et en même temps de participer au changement, surtout avec ses nouvelles charges et fonctions “, dit-il sans broncher.
Pour le président national de la EN, la République Démocratique du Congo a ” vivement besoin d’une énergie nouvelle pour voir le peuple congolais vivre dans la dignité, la paix et aspirer au bien-être collectif.
Avec ce titre et élévation, le Cardinal Ambongo est le président de toutes les Conférences d’Afrique du Madagascar, rappelle-t-on.




A Lukafu et Kyenge : Kibassa vante le PLD-145 territoires et appelle la population à faire confiance au chef de l’État comme lui aussi a fait confiance à un fils du terroir

Après Lubanda, le cortège d’Augustin Kibassa, sans repos à la tombée de la nuit, prend la direction de Lukafu, un autre village dans le groupement de Mwemena, secteur de Kafira, dans le territoire de Kasenga. Plus ou moins 5 heures de temps ont suffi pour que l’Autorité morale de l’UDPS/ Kibassa arrive à Lukafu tard dans la nuit et cela après avoir franchi plusieurs obstacles sur la route notamment le mauvais état des infrastructures routières.


Ici, en un véritable guerrier, Augustin Kibassa est déjà prêt pour la rencontre avec la population locale après ses civilités aux autorités locales. Tôt le matin, sa résidence est envahie. Hommes, femmes, jeunes et Vieux l’attendent pour l’escorter vers l’institut technique Lubi de Lukafu pour un meeting. Ensemble, ils se dirigent vers le lieu. Après son introduction par le président interfédéral de l’UDPS/Kibassa province du Haut Katanga devant les autorités locales, Augustin Kibassa prendra la parole.
“Ma joie est grande ce jour d’être parmi vous. Je ne suis pas un visiteur, je suis chez moi. Un fils maison”, dit Kibassa Maliba sous les acclamations de la population avec des cris de joie.
“Je connais vos difficultés. Je suis aujourd’hui ministre national par la confiance du chef de l’État, Félix Tshisekedi qui a honoré, un fils de Kasenga, votre fils et toute notre communauté. Ainsi, je vous demande à votre tour de faire confiance au chef de l’État, Félix Tshisekedi tout en vous faisant enrôler massivement pour lui accorder un second mandat lors du vote de décembre prochain. Ça sera l’occasion de permettre à Félix Tshisekedi de poursuivre sa vision ainsi que la réalisation du programme de développement des 145 territoires, un programme très ambitieux pour le Développement de notre pays en général et de la province du Haut Katanga, et surtout de notre territoire de Kasenga en particulier, car concerné”, a-t-il martelé.
Avant de terminer son speech, Augustin Kibassa a, comme partout où il est passé appeler à l’unité des fils et filles de Kasenga. Toujours à l’écoute, un mémorandum du représentant de la population de Lukafu a été lu. Mais bien avant cela, après le mot de bienvenue, une minute de silence a été observée en mémoire du patriarche, feu Frédéric Kibassa Maliba.
Ayant pris la parole, Balzak Kawanda, porte-parole des habitants de Lukafu demande la réhabilitation de la route Minga – Kitanda, déjà en exécution, la réhabilitation de la route Kyenge-Lupweshi, la construction d’un pont sur la rivière Lofoi, la création d’emplois dans les fermes pour les agriculteurs, ainsi que la construction d’une institution universitaire à Lukafu.
Des doléances bien captées par Augustin Kibassa qui a promis de commencer par les infrastructures routières pour désenclaver le territoire et procéder progressivement à d’autres réalisations de développement.
Après le meeting, Augustin Kibassa Maliba a accordé des audiences aux différentes délégations, dont celles des autorités coutumières, des jeunes des femmes. Augustin Kibassa finira par la visite de l’hôpital de référence Saint Luc de Lukafu avant de partir pour Kyenge, un village historique.
A l’entrée du village, élèves, enseignants sont les premiers à intercepter le cortège. Kyenge est ensuite paralysé. C’est tout le monde qui est ravi de revoir ce digne fils, qui aujourd’hui fait la fierté de son défunt père, Fredric Kibassa Maliba et de la communauté de Kasenga. Il est celui qui a subi la torture de la dictature Mobutienne, alors que feu Frédéric Kibassa et toute sa famille reléguée ici à Kyenge par feu, président Mobutu. Augustin Kibassa Maliba a aussi souffert dans sa chaire, a déclaré le Chef de secteur. L’émotion est grande. Chacun l’exprime par son geste. Prenant la parole, Augustin Kibassa Maliba autorité morale de l’UDPS/ Kibassa a commencé par saluer ses frères, soeurs et parents au nom du chef de l’État, Félix Tshisekedi.
Soucieux de l’avenir de la jeunesse, il exhorte les enfants et jeunes à prendre au sérieux les études.
“C’est parmi vous que sortiront des ministres de demain, des mandataires, pourquoi pas les présidents de la République”, a motivé Augustin Kibassa, qui comme partout où il est passé a appelé à un soutien inconditionnel au chef de l’État, Félix Tshisekedi et demandé à la population à se faire enrôler massivement pour d’abord obtenir sa carte d’électeur, qui fait pour le moment office de la carte d’identité pour citoyen et en plus lors des élections, élire Félix Tshisekedi pour un deuxième mandat, pour la concrétisation de sa vision de développement du pays.
Revenant sur son histoire à Kyenge, Augustin Kibassa a commencé par ce terrain où il jouait au foot avant de revivre en ESPRIT le temps douloureux de la relégation par feu président Mobutu. Il se dirige vers la maison nostalgique. Augustin Kibassa visite l’ancienne maison de la relégation contre la dictature de la 2ème République.
Du salon, en passant par la chambre pour enfants, le fils de feu Frédéric Kibassa est en larmes. Augustin Kibassa revit ici encore les instants difficiles passés ici lui, ses frères, ses soeurs et ses parents pendant tout le temps de la relégation. Tout en reconnaissant le mérite du combat de feu son père Frédéric Kibassa Maliba contre la la dictature de Mobutu, Augustin Kibassa estime qu’il est question de poursuivre l’élan de la démocratie selon la lutte des pères fondateurs et apporter le bonheur au peuple congolais.
Véritable parcours des combattants, la visite de réconfort de la population du territoire de Kasenga est une mission accomplie par Augustin Kibassa Maliba et sa délégation engagés et déterminés.