Foo-Rdc : la Fédération contredite sur le choix du stade!

Faute d’homologation du Stade des Martyrs de Kinshasa, la RD Congo sera contrainte de « recevoir » la Mauritanie au Stade de Japoma au Cameroun le 24 mars à l’occasion de la 3e journée des éliminatoires de la CAN 2023.

Il s’agit d’un choix surprenant car beaucoup pensaient que les Léopards se seraient rabattus dans un premier temps sur le Stade du TP Mazembe à Lubumbashi. Pour se justifier, la Fédération congolaise de football (Fecofa) avait indiqué que cette délocalisation correspondait à un souhait du sélectionneur Sébastien Desabre.

«Le choix du site est technique. Il a été proposé par le Manager Sélectionneur, Sébastien Desabre, suite à la qualité de la pelouse naturelle. Le technicien français qui utilisera plus des joueurs évoluant en Europe a porté son choix sur ce stade de Japoma», a ainsi écrit la Fecofa dans un premier temps, avant d’en remettre une couche via son secrétaire général, Belge Situatala.

«Le 10 février dernier, le sélectionneur principal de la RDC, Sébastien Desabre, nous a saisi pour nous expliquer que si la CAF ne levait pas sa décision de la non homologation du Stade des Martyrs, il fallait opter pour un gazon naturel plutôt qu’artificiel . Parce que la majorité des joueurs qui composent la sélection A évoluent mieux sur le naturel. Et dans la région, c’est le Cameroun qui dispose de cette pelouse», a mis en avant le dirigeant auprès du média SportRDC. C’est donc ce critère de gazon naturel qui aurait été fatal au Stade du TP Mazembe et à sa pelouse artificielle.

Desabre précise, la Fecofa revoit son communiqué

Sauf que cette version a été démentie par Desabre, qui a pris la peine d’effectuer une mise au point sur Twitter. «Il me semble opportun de communiquer que, suite à la non-homologation du stade des Martyrs, j’ai demandé que le seul stade homologué du pays soit retenu comme option 1. À l’impossible, nous jouerons à l’extérieur du pays et nous nous battrons comme des Léopards pour vous rendre fiers», a clarifié le Français pour signifier qu’il souhaitait bien jouer en priorité au Stade du TP Mazembe. Mise en porte-à-faux, la Fecofa a donc retouché son communiqué. «Selon le secrétaire général de la Fecofa, Belge Situatala, le choix du site est technique. La Fecofa a préféré Japoma suite à la qualité de la pelouse naturelle», a rectifié l’instance sans impliquer Desabre dans ce choix donc.




Le CICR fête ses 160 ans et poursuit son action pour protéger les civils des horreurs des conflits

Le 17 février, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) célèbre sa 160e année d’activités visant à porter secours à des millions de personnes victimes de conflits armés.
Les progrès technologiques ont radicalement modifié la physionomie de la guerre depuis 1863. Mais une chose reste hélas inchangée : le niveau de souffrance enduré par les civils touchés par un conflit. Le cofondateur du CICR, Henry Dunant, a écrit ceci il y a 160 ans, après avoir été témoin des horreurs sur un champ de bataille :
Les maisons sont trouées, lézardées, détériorées et leurs habitants qui ont passé près de vingt heures cachés et réfugiés dans leurs caves, sans lumière et sans vivres, commencent à en sortir. Leur air de stupeur témoigne du long effroi qu’ils ont éprouvé.
Selon un communiqué de presse publié à cet effet, ce texte aurait pu être écrit aujourd’hui à propos des populations prises dans l’étau des conflits en Ukraine, ou au Yémen, ou en Syrie. Les civils en proie à la violence des combats qui font rage en Afghanistan ou en Somalie ces dernières années sont comme sidérés par la terreur semée par ces conflits.
« Après 160 ans de travail, le Comité international de la Croix-Rouge peut dire que le monde a fait de réels progrès pour réduire les dommages causés aux civils sur le champ de bataille. Pourtant, aujourd’hui encore, les conflits génèrent des souffrances massives, ce qui signifie qu’il reste beaucoup à faire pour réduire la douleur et le déchirement », a déclaré Mirjana Spoljaric, présidente du CICR. « Le respect du droit international humanitaire a toujours été et continuera d’être le seul moyen de conserver un minimum d’humanité en période de conflit. Les lois de la guerre doivent être élevées au rang de priorité politique ».
Le CICR opère dans 100 pays, fort d’un effectif de plus de 21 000 personnes. Dans les années à venir, aux côtés de ses partenaires au sein du Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, l’institution poursuivra son action visant à faire en sorte que la nature neutre, impartiale et indépendante de nos activités humanitaires soit comprise par tous, même si de nouvelles armes et technologies continuent de voir le jour.
Se plaçant toujours du côté de l’humanité, le CICR continuera également à plaider et à insister pour un plus grand respect du droit international humanitaire, qui interdit la violence dirigée contre les personnes qui ne prennent pas part à un conflit armé.
Pour rappel, dans son ouvrage de référence intitulé « Un Souvenir de Solférino », Henry Dunant suggérait d’établir des sociétés nationales de secours identifiées par un emblème commun et un traité international pour protéger les blessés sur le champ de bataille. Le 17 février 1863, cette vision est devenue une réalité avec la création par un groupe de citoyens de Genève du Comité international de secours aux blessés, qui est devenu par la suite le Comité international de la Croix-Rouge. Un peu plus d’un an plus tard, le 22 août 1864, douze États signaient un traité consacrant l’obligation d’épargner et de protéger les soldats blessés et le personnel employé à les secourir, donnant naissance aux Conventions de Genève.




UA/Climat: Le Roi plaide pour une mobilisation optimale des ressources pour gagner la bataille climatique

Le Roi Mohammed VI a affirmé que la bataille climatique de la région du Sahel ne peut être gagnée que par la mobilisation optimale des ressources propres de ses Etats.
Dans un message aux participants à la 2ème Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Commission Climat pour la région du Sahel, qui a ouvert ses travaux vendredi à Addis-Abeba, le Souverain a de même réitéré l’engagement du Royaume de continuer « de guider nos efforts pour que soient assurées la résilience de notre continent et les ambitions des futures générations africaines »
Voici le texte intégral du Message Royal dont lecture a été donnée par le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch.
« Louange à Dieu, Prière et Salut sur le Prophète, Sa famille et Ses compagnons.
Excellences Mes Chers Frères Chefs d’Etat,
Monsieur le Président de la Commission de l’Union Africaine,
Mesdames et Messieurs les Chefs de Gouvernement,
Je me réjouis avec vous de la tenue de cette deuxième session de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Commission Climat pour la région du Sahel. Elle nous donne l’heureuse opportunité de constater que les objectifs que nous nous étions assignés à Niamey en 2019 lors de la première Conférence (des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Commission Climat pour la région du Sahel) sont sur la voie de la concrétisation.
A cette occasion, Je salue le leadership assuré par Notre frère le Président Mohamed Bazoum, qui a permis de poursuivre, avec élan et détermination, le processus d’opérationnalisation.
Excellences, Mesdames et Messieurs,
D’ici 2030, des manifestations climatiques extrêmes menacent directement jusqu’à 118 millions d’Africains parmi les plus pauvres. Selon les estimations, dans la sous-région du G5 Sahel, la pauvreté pourrait frapper 13,5 millions de personnes supplémentaires d’ici 2050.
De surcroît, en dépit de ce bilan alarmant, jusqu’en 2020, notre Continent n’a reçu que 12% du financement climatique mondial.
La bataille climatique de la région du Sahel ne peut être gagnée que par la mobilisation optimale des ressources propres de ses Etats, résolument conjuguée à un soutien financier international à la hauteur des ambitions du Plan d’investissement Climat.
Ce prérequis se fonde sur la création historique, à l’issue de la COP27, d’un fonds répondant aux pertes et dommages amplifiés par la crise climatique. Quelle région au monde peut en effet mieux justifier la raison d’être de ce fonds ? Il n’en est pas qui ait été plus lourdement impactée que le Sahel !
Excellences, Mesdames et Messieurs,
Comme Nous l’avions annoncé dans Notre Discours, lors la première Conférence de la Commission Climat pour la région du Sahel, le Maroc a honoré son engagement en apportant, à la Commission, son appui en matière de renforcement des capacités, d’assistance technique et de soutien financier pour l’élaboration des études de faisabilité afin qu’elle finalise son Plan d’Investissement Climatique. Constant dans son engagement, le Royaume assure d’ores et déjà l’assistance technique nécessaire aux actions de la Commission et il œuvrera, avec la même détermination, pour mener à terme sa feuille de route.
Excellences, Mesdames et Messieurs,
Si l’action de l’Afrique pour relever les défis de la crise climatique continue à se heurter à de multiples contraintes, nous pouvons nous féliciter de la voie sage que nous, Dirigeants africains, avons privilégiée, la voie de l’action régionale coordonnée et concertée.
La Réunion de Très Haut Niveau des trois Commissions Climats Africaines, tenue en marge de la COP27 à l’initiative de Mes frères Président Macky Sall et Président Denis Sassou N’Guesso illustre cette approche solidaire qu’il conviendrait de consolider. De même, le renforcement de la coordination entre les structures de gouvernance des trois Commissions nous permettra de renforcer la cohérence de notre action commune pour une Afrique plus résiliente au changement climatique.
Les engagements que Nous avons pris lors du Premier Sommet Africain de l’Action tenu à Marrakech en 2016 en marge de la COP22, continueront de guider nos efforts pour que soient assurées la résilience de notre continent et les ambitions des futures générations africaines.
Wassalamou alaikoum warahmatoullahi wabarakatouh ».




Droits de l’Homme: Bourita pointe les “évaluateurs autoproclamés”

Les travaux du pré-forum mondial des droits de l’Homme de Rabat, se sont ouverts ce vendredi, en présence de plus de 300 militants des DH venant de 50 pays. A cette occasion, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, a pointé les évaluateurs autoproclamés des DH, mais qui adoptent des positions de double standard.


Dans une allocution vidéo, le ministre a soutenu que « le meilleur outil dont dispose la communauté internationale reste, sans doute, une diplomatie ambitieuse, patiente et réfléchie qui construit, dans le dialogue et la coopération, un système international des droits de l’Homme plus équilibré qui trouve, aussi, la voie de générer une discussion plus active sur les droits économiques et sociaux alors que les inégalités sociales globales et l’insécurité économique mondiale s’approfondissent, sous nos yeux, de jour en jour ».
En effet, a-t-il dit, « d’aucuns, érigés en évaluateurs autoproclamés des droits de l’Homme sur notre Continent s’arcboutent sur des postures qui mettent de côté le dialogue et la coopération comme fondements de la protection et de la réalisation des droits de l’Homme pour adopter malheureusement, des positions de double standard et de politisation qui, loin de servir la cause des droits de l’Homme, fragilisent ses fondements ».
Pour Nasser Bourita, « il n’y pas une quelconque tutelle sur les questions des droits de l’Homme, il n’y pas de légitimité d’office à des dictat d’évaluations extérieures et il n’y a pas d’alternative sérieuse à l’appropriation progressive, individuelle et collective de l’universalité des droits de l’Homme ».
Le ministre a, en ce sens, fait observer que « notre trajectoire d’affirmation sur la scène mondiale ne saurait être prise en otage par des logiques de confrontations qui nourrissent des processus de fracture fragilisant de surcroit la solidarité internationale dans la défense des droits de l’Homme ».

Dans le même ordre d’idées, Bourita a assuré que « notre Continent est appelé à s’organiser et à consolider ses positions sur le débat international des droits de l’Homme qui s’annonce dans les prochaines années ».
Il a, à cet égard, noté que l’opportunité, voire la nécessité d’une nouvelle Convention de Vienne sur les droits de l’Homme pour faire évoluer, moderniser et approfondir le système international des droits de l’Homme pourrait rapidement émerger sur l’agenda international, appelant à réfléchir sur les réponses aux défis qui se présentent pour apporter une touche africaine à cette nouvelle étape et pour faire avancer les principes universels des droits de l’Homme.
Le Maroc, sous la conduite du Roi Mohammed VI, continue, inlassablement, de promouvoir sa dynamique nationale dans le domaine des droits de l’Homme dans leur globalité et universalité comme vecteur de développement, a-t-il encore dit, relevant que ce choix irréversible, se confirme par les nombreuses avancées qui ont été réalisées sur l’ensemble des droits civils, politiques, économiques, sociaux, culturels et environnementaux.
« Les droits de l’Homme et l’ancrage de l’Etat de droit étant d’abord et avant tout, des chantiers permanents, aujourd’hui encore, nos pays doivent poursuivre leurs efforts et leurs actions dans le but de renforcer leurs acquis et créer de nouvelles opportunités, tant aux niveaux national et régional qu’international », a-t-il fait remarquer.
Pour conclure: « Il est grand temps d’adopter une approche intersectorielle en se ralliant à une dynamique de coopération approfondie et de dialogue élargi entre nos pays, tels que nous le faisons aujourd’hui, à l’occasion de ce pré-forum et que nous le ferons bientôt à Buenos Aires », en ce sens que « les plus grandes leçons, sur les droits de l’Homme ou sur tout autre sujet, ne sont pas tirées de ceux qui pensent pouvoir les donner mais sont le fruit des actes de ceux qui agissent ».
A noter que ce pré-forum, organisé par le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) en collaboration avec le Centre international pour la promotion des droits de l’Homme (CIPDH)-UNESCO, est tenu en prélude de la 3e édition du Forum mondial des droits de l’Homme prévu en mars prochain à Buenos Aires.




Me Alain Bacoke se joint à la base UNC pour s’opposer à la nomination de Juvénal Djafarit au gouvernement Sama 2

« Nous lançons l’Opération Tumba Pneu na siège, Billy Kambale traître doit partir pour avoir proposé son barman gérant de son bar Bella ciao avec impaiement de 12 mois de loyer suivi de déguerpissement public et humiliant, le M. Djafarit Kilongo Juvénal n’est même pas Kamerhiste, il ne connait même pas l’UNC et son président national. Il vient d’adhérer au parti il y a moins de 6 mois », indique une dépêche parvenue à notre rédaction.

Selon Me Alain Bacoke, Coordonnateur national adjoint des mouvements associatifs de l’UNC et Coordonnateur National du mouvement national des Kamerhistes MNK RDC, Billy Kambale a menti au Président national. Ainsi par cette trahison, Billy Kambale crache sur le combat des Kamerhistes à l’instar de Totshumany Kisombe, Dr Sele Yemba, Papy Okata, Jonas Tshundu Tshundu, Yves Nswal, Mastaki Wenga, Alfred Maisha, Béatrice Nanvano, Rosette Ndatabayi, Jolie Mpengwa et Me Alain Bacoke.
Par conséquent, la base refuse catégoriquement la nomination du barman Juvénal Djafarit dans le gouvernement Sama 2 et exige le retrait de son nom du Gouvernement. En plus, la base lance l’opération « Tumba pneu » na Siège et exige à M. Billy Kambale de démissionner.




A Addis-Abeba : Tshisekedi participe à deux importantes réunions sur la situation sécuritaire préoccupante à l’Est de la Rdc

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est arrivé dans la soirée de ce jeudi 16 février à Addis-Abeba, en Éthiopie.


Venu pour participer à la 36ème Assemblée générale des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union Africaine qui s’ouvre ce samedi 18 février 2023, le Chef de l’État prendra part ce vendredi 17 février à deux importantes réunions où sera débattue la situation sécuritaire préoccupante à l’Est du pays.
La première réunion est un sommet extraordinaire de la Communauté de l’Afrique de l’Est , CAE/ EAC élargie à l’Angola. Cette réunion des chefs d’Etat fait suite au dernier sommet de l’EAC du 4 février dernier à Bujumbura.
Au cours de ce sommet de Bujumbura, il avait été décidé de tenir ce 17 février une réunion élargie des chefs d’Etat de l’EAC dans l’objectif de faire une évaluation du processus de Luanda et celui de Nairobi afin d’établir une nouvelle feuille route et ce après le constat du refus délibéré des troupes terroristes du M23 appuyées par le Rwanda de se retirer avant le 15 janvier 2023 des localités occupées illégalement en RDC.
La réunion de ce vendredi se veut aussi une instance de clarification du mandat de la Force régionale de l’EAC déployée à l’Est de la RDC.
Pour la délégation congolaise, tirant les leçons de l’échec de la feuille de route, les Chefs d’Etat de l’EAC doivent rendre effectif le mandat offensif de la Force régionale et finaliser le déploiement des autres troupes.
La deuxième réunion est celle du conseil de paix et sécurité de l’Union Africaine. Devant cette instance, le médiateur désigné par l’UA, le Président angolais Joâo Lourenço, doit faire part du travail qu’il a effectué dans le cadre de sa mission.
A Addis-Abeba, le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est accompagné de la Distinguée Première Dame, Denise Nyakeru Tshisekedi, de quelques ministres et membres de son cabinet.




A la conférence Education Can not Wait à Genève : Tony Mwaba plaide pour les élèves de la partie Est de la Rdc

Devant la communauté éducationnelle mondiale, réunie à Genève en Suisse, le Ministre de l’Enseignement Primaire Secondaire et Techniques, le Professeur Tony Mwaba Kazadi a présenté au monde l’évolution du sous-secteur de l’EPST en nette amélioration depuis l’avènement du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi à la tête du pays.

Considéré à juste titre comme le Gardien de la gratuité de l’enseignement Primaire public, vision chère au Président de la République, Tony Mwaba a de l’entame de son allocution remercié les partenaires dont l’ECW pour le déploiement dans les provinces de Tanganyika, Ituri et Kasaï-Central dans le cadre de son programme pluriannuel de résilience à l’intention des élèves en situation d’urgence et de crise.
Rappelant les trois axes du système éducatif congolais à savoir l’accès, la qualité et la gouvernance, le patron de l’EPST a présenté à la communauté éducationnelle mondiale les acquis de la gratuité de l’enseignement primaire, acte majeur posé par le Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo dans le sens du 04 ODD qui consacre l’accès à l’éducation pour tous avec comme résultat à ce jour l’intégration de plus au moins 6 millions d’enfants autres fois non scolarisés.
Avant de présenter les difficultés que rencontrent les élèves de la partie est du pays qui sont les principaux sujets d’intérêt de ce forum.
En bon ambassadeur de la République, Tony Mwaba a usé de son statut pour lancer un appel solennel à la communauté internationale qui doit briser le silence nocif dans la situation sécuritaire de l’EST perpétrée par le Rwanda cité nommément par le Ministre.
Faisant état des dégâts dans son sous-secteur, le ministre a informé à l’assistance que plus de huit cents écoles ont été touchées par l’agression du Rwanda par le truchement des terroristes du M23 qui utilisent les bancs comme bois de chauffage.
Au nom des élèves dont les perspectives d’éducation sont obstruées à ce jour, le Ministre a remercié l’ECW ainsi que les autres partenaires pour la mobilisation des moyens qui doit permettre l’expression de ce programme pluriannuel de résilience dans les deux autres provinces restantes notamment l’Ituri et le Kasaï-Central.
Après avoir réussi à consolider la gratuité de l’Enseignement Primaire, le ministre Tony Mwaba reste focus sur l’amélioration de la qualité de l’enseignement du reste ternie depuis des décennies.




Addis-Abeba: La société civile du Nord et du Sud-Kivu en sit-in devant le siège de l’Union Africaine

« Union Africaine, lèves toi, les Congolais sont massacrés par Kagame et le M23 », « Disons stop aux massacres dans l’Est de la RDC », ce sont les messages brandis, ce vendredi 17 février 2023 par les représentants de la société civile du Nord et du Sud-Kivu en sit-in devant le siège de l’Union Africaine à Addis-Abeba.


La société civile a profité du 36ème Sommet qui réunit les Chefs d’Etats et chefs de gouvernement des pays membres pour porter haut la voix des populations de ces deux provinces en proie à l’insécurité orchestrée par les rebelles du M23. Par ce geste, ils ont voulu non seulement dire non à la guerre, et surtout dénoncer les viols dont sont victimes des femmes, les pillages des ressources naturelles.
Par leur sit-in au siège de l’UA, les leaders de la société civile ont également voulu attirer l’attention de la communauté internationale sur la campagne mensongère menée par Paul Kagame, qui veut faire passer son régime comme victime alors que c’est lui le bourreau des millions de morts qui se comptent dans l’Est de la RDC.
Il était question aussi de faire comprendre à la Communauté internationale que la guerre qui sévit en Rdc n’est pas une guerre de communauté, mais notamment d’accaparement des terres par le Rwanda en utilisant le M23. Aucune communauté vivant en Rdc n’est victime de génocide, les Tutsis et autres peuples+ vivent en parfaite harmonie dans le Grand Kivu.




A Genève : Tony Mwaba participe à l’ouverture officielle de la conférence de haut niveau Education Can Not Wait

Ce fonds mondial des Nations unies, créé en 2016, vise à appuyer l’éducation des filles et des garçons dans les situations d’urgence et de crise. Avec son programme pluriannuel de résilience, Education CanNotWait vise à faire le pont entre Humanitaire, Développement et Paix/Sécurité.

En RDC, indique notre source, le programme pluriannuel de résilience de la RDC est coadministré par l’UNICEF en collaboration avec le Cluster Education et le PAM pour ce qui est des cantines scolaires.
Le ministre s’entretiendra avec le représentant de l’Unicef en RDC, M. Grant Leaty ainsi qu’avec la directrice d’Education CanNotWait, Mme Yasmine Sherif qu’il invitera probablement pour une 2e mission en RDC afin d’évaluer de façon conjointe l’avancement des projets d’éducation en situation d’urgence, notamment dans l’est du pays, en proie à une grande crise sécuritaire qui affecte grandement l’éducation.
Le ministre compte clôturer cette rencontre à haut niveau avec une intervention ce vendredi pour mobiliser 46 millions de dollars afin de faire passer à l’échelle le programme pour l’instant uniquement implanté dans le Tanganyika à deux autres provinces congolaises, à savoir l’lturi et le Kasai Central




”Dream Big” – l’affiche officielle de la CAN U20 TotalEnergies encourage les jeunes Africains à viser haut

” Dream Big “, c’est le message qui figure sur l’affiche officielle de la Coupe d’Afrique des Nations U20 TotalEnergies Égypte 2023 destinée aux futures stars africaines qui passeront les trois prochaines semaines en Égypte 0 l’occasion du championnat continental des jeunes.
L’affiche et le message s’inspirent de l’appel de la CAF à “investir dans l’avenir” des Africains.
La Coupe d’Afrique des Nations U20 TotalEnergies se déroulera du dimanche 19 février au 11 mars en Egypte dans les villes du Caire, d’Ismaïlia et d’Alexandrie.
Le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations U20 TotalEnergies sera donné ce dimanche à 16h00 au Cairo International Stadium, avec le match d’ouverture opposant l’Égypte, pays hôte, au Mozambique.
L’affiche est une ode à la jeunesse africaine qui doit oser rêver grand pour réaliser ses rêves. Les couleurs représentent le thème ”Bleu” de la compétition pour les joueurs de moins de 20 ans.
L’affiche officielle du tournoi fait partie d’une campagne plus large qui englobe les trois principales compétitions de jeunes de la CAF : la Coupe d’Afrique des Nations U17 TotalEnergies, la Coupe d’Afrique des Nations U20 TotalEnergies et la Coupe d’Afrique des Nations U23 TotalEnergies.
La campagne globale est marquée par le personnage de JAK qui représente tous les Africains, quelle que soit leur origine.