EPST : Tony Mwaba poursuit ses visites d’itinérance dans la province éducationnelle de Kinshasa/Plateau

Comme premier problème que doit résoudre le patron de l’EPST, le conflit entre les responsables de la province Éducationnelle de Kinshasa/Plateau est la représentation légale de l’École Conventionnée Catholique Orthodoxe (ECCO). Cette dernière par son représentant légal, le Révérend Jean-Claude Ngindola Asuka, aurait posé des actes sans se référer à la hiérarchie administrative, notamment la désactivation de certains enseignants au mépris des décisions des autorités, un témoignage du PROVED de Kinshasa/Plateau, corroboré par le ministre provincial en charge de l’éducation, Charles Mbutamuntu.

Au restaurant de Safari beach dans la commune de la N’sele, les différents responsables et cadres provinciaux de l’EPST sont réunis pour accueillir le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le Professeur Tony Mwaba ainsi que sa délégation composée de Mme Christine Nepa Nepa, Secrétaire Général à l’EPST, Charles Mbuta Muntu, Ministre provincial en charge de l’Éducation de la ville province de Kinshasa, Jacques Odia, Inspecteur Général de l’EPST ainsi que le Directeur national de la DINACOPE, Papy Mangobe.
À l’honneur, les Provinces Éducationnelles de Kinshasa/Plateau et Tshangu.
Par cette rencontre qui s’inscrit dans le cadre de ses itinérances, comme il en pris l’habitude, le Ministre de l’EPST a évalué le travail dans ces deux juridictions scolaires ou plusieurs problèmes sont signalés, avant de donner ses orientations pour la nouvelle année.
Loin des protocoles habituels, le professeur Tony Mwaba a changé la méthode, question de parcimonie dans la gestion des cas. Sur son initiative, un débat s’est ouvert juste après les mots de bienvenus du PROVED Plateau.
Lui accordant la parole, le Révérend a egalemnt fustigé a son tour de l’ingérence de certains responsables particulièrement le Sous-Proved de cette juridiction.
Après observations et évaluations, la dite confession religieuse ne peut se prévaloir du statut de partenaire de l’État congolais, pour plusieurs raisons. La première, elle n’est pas signataire de la nouvelle Convention scolaire; deuxièmement elle ne compte que 37 écoles dans la province administrative de Kinshasa alors que les textes exigent un total de 40 à 80 écoles pour avoir le droit de signer ladite convention et devenir partenaire de l’État.
Sur le champ, le ministre de l’EPST a remis à l’ordre les différents protagonistes et a instruit les responsables locaux pour que l’ordre revienne dans un bref délai.
Après l’arbre à palabres, Tony Mwaba ne s’est pas privé de son exercice préféré, le rappel à l’ordre pour la nouvelle année qui a pour grande orientation l’amélioration de la qualité de l’enseignement après avoir posé et consolidé les bases de la gratuité de l’enseignement primaire public.
Une fois la messe dite, le ministre et sa délégation ont pris la direction de Kenge, dans la province du Kwango, où il doit réunir tous inspecteurs du Grand Bandundu, dans le cadre du réveil de la trilogie inspectorale. Le patron de l’EPST va procéder également à la remise symbolique de 10 mille bacs après la province du Kongo-Central.




La MONUSCO déplore la mort de trois manifestants lors de l’attaque de son convoi à Munigi (Nord-Kivu)

La MONUSCO déplore la mort de trois manifestants durant l’attaque violente de son convoi ce mardi en début de soirée vers Munigi. Les Casques bleus revenaient d’une mission de ravitaillement à Kiwanja et se rendaient à Goma, accompagnés par des FARDC. A 2 km de Munigi, ils ont été assaillis par des manifestants qui, auparavant, avaient barricadé la route avec de grosses pierres, obligeant ainsi le convoi à s’immobiliser.
Dans la foulée, les assaillants ont mis le feu à quatre camions du convoi avant de subtiliser leur cargaison. Trois personnes ont malheureusement perdu la vie durant les échauffourées, tandis que les Casques bleus et les FARDC tentaient de protéger le convoi. Une enquête conjointe avec les autorités congolaises permettra de déterminer les circonstances de ces décès regrettables.
La Représentante spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies en République Démocratique du Congo et Cheffe de la MONUSCO, Mme Bintou Keita, compatit avec les familles des disparus et présente ses sincères condoléances.
Elle réitère son appel à la population pour faciliter la libre circulation du personnel de la MONUSCO, qui apporte un soutien opérationnel quotidien aux FARDC, assure la protection des civils et facilite l’acheminement de l’aide humanitaire aux victimes et aux personnes déplacées par le conflit.
Elle renouvelle l’engagement sans faille du système des Nations Unies à soutenir le Gouvernement et le peuple congolais dans leurs efforts pour instaurer la paix et la stabilité dans l’est du pays.




CSAC : Bosembe obtient de Canal+ la coupure du signal des chaines rwandaises émettant en Rdc

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC) décide à son tour de couper le signal des chaînes rwandaises émettant sur l’étendue de la République démocratique du Congo sur le bouquet Canal Sat.

C’est par la notification adressée par cette institution d’appui à la démocratie au Groupe Canal – RDC, ce mardi 07 février. Ces chaînes rwandaises “s’emploient à l’intox, à l’incitation à la désobéissance civile, à l’insurrection contre l’autorité publique de la RDC, au dénigrement des institutions nationales ainsi que de leurs animateurs et à l’apologie de la guerre”.
Selon cette institution, ces organes s’appliquent à démotiver les Forces armées de la République démocratique du Congo au bénéfice du M23, reconnu en tant que mouvement terroriste soutenu par le Rwanda.
Par ailleurs, le CSAC constate l’interruption des programmes diffusés par la Radiotélévision nationale Congolaise (RTNC) au Rwanda, “laissant allègrement les télévisions rwandaises arroser au même moment la population congolaise, à l’occasion de la visite papale, du discours de la haine”.
Le CSAC précise toutefois que la durée de cette décision est de 90 jours et prie aux autorités politico-administratives et judiciaires de veiller à sa bonne exécution.
Jean-Luc Lukanda




Torture sur les femmes et les enfants au Maniema : Sama Lukonde réunit quelques membres du Gouvernement pour des mesures urgentes

Préoccupé par la situation qui prévaut dans la province du Maniema, notamment des cas de violations des droits de l’homme caractérisés par des actes de torture en public sur les femmes et les enfants à Salamabila, le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, a réuni autour de lui, ce mardi 07 février 2023, à la Primature, quelques membres de son gouvernement, notamment le VPM de l’Intérieur, le ministre des Droits humains, le ministre de la Défense nationale et anciens combattants, le ministre de la Santé ainsi que quelques membres de son cabinet.

Selon le ministre des Droits humains qui a fait le compte rendu à la presse, il était question de passer en revue cette situation très alarmante qui porte atteinte à la vie des femmes et des enfants et qui sème l’insécurité dans la province du Maniema afin d’envisager des mesures idoines.
“L’opinion se souvient que le ministre des Droits humains que nous sommes, avions reçu une grande délégation des députés nationaux, des sénateurs, des députés provinciaux et autres notables de la province du Maniema autour des cas de graves violations des droits de l’homme que nos compatriotes de cette province vivent. C’est d’autant plus grave que le Premier Ministre qui était saisi, a voulu avoir la lumière après le grand visiteur que nous avons reçu, le Pape. On ne peut pas s’en cacher. Le Premier ministre nous a convoqués, les différents responsables, pour étudier la réponse du Gouvernement qu’il faut apporter à nos compatriotes à cette grande préoccupation de violations des droits de l’homme. Nous avons donc échangé pour envisager ce que le Gouvernement doit faire”, a déclaré Albert Fabrice Puela.
A la suite du Président de la République, le Premier Ministre est très attaché au respect des droits de l’homme.

 

“Le corps de la femme est sacré. Tout comme tout autre corps. C’est à travers la femme que nous venons au monde. On ne peut pas se permettre de faire la Loi en pleine République Démocratique du Congo, appliquer la Charia, se mettre à flageller les femmes qui porteraient les pantalons ou les petites robes. On ne peut pas tolérer cela et c’est pourquoi nous avons été autour du Premier Ministre pour envisager ce qui doit être fait”, a ajouté Albert Fabrice Puela.
Signalons que ces actes de torture et violences contre les paisibles citoyens principalement les femmes sont perpétrés par des groupes armés non autrement identifiés à Salamabila dans le territoire de Kabambare, dans la Province du Maniema. Le chef du gouvernement qui prend la situation au sérieux, n’entend ménager aucun effort pour y mettre fin.




Séisme en Turquie et en Syrie : « je suis proche de tout cœur des personnes touchées »

Le pape François « continue à prier pour ceux » qui ont été touchés par les séismes en Turquie et en Syrie : selon un bilan provisoire, plus de 5000 personnes sont tuées et des milliers d’autres sont blessées.
Les deux messages de condoléances et de proximité ont été publiés par le pape sur sa page Twitter Pontifex_fr le 6 et le 7 février 2023.
Le pape a en effet écrit lundi : « Je suis profondément attristé par les nombreuses vies perdues à cause du tremblement de terre en #Turquie et en #Syrie. Confiant ceux qui sont morts à la miséricorde du Seigneur, je prie pour ceux qui sont engagés dans les efforts de secours. »
Ce mardi, le pape a encore une fois exprimé sa proximité aux « personnes touchées » par le séisme. Il a écrit : « Je suis proche de tout cœur des personnes touchées par le séisme en #Turquie et en #Syrie. Je continue à prier pour ceux qui ont perdu la vie, les blessés, leurs familles, les secouristes. Que l’aide concrète de chacun d’entre nous les soutienne dans cette terrible tragédie. »
Lundi, le 6 février, le pape a également envoyé deux télégrammes de condoléances – signés par le cardinal Parolin, secrétaire d’État et adressés aux nonces apostoliques de la Turquie et de la Syrie – dans lesquels il avait exprimé sa profonde tristesse après avoir appris « les énormes pertes en vies humaines » et avait envoyé « l’assurance de sa proximité spirituelle à toutes les personnes touchées ».
Citant l’Organisation mondiale de la santé, Vatican News indique que quelque 23 millions de personnes pourraient être touchées par les séismes en Turquie et en Syrie.




Selon la liste mondiale des persécutions 2023 : 360 millions de chrétiens subissent des niveaux élevés de persécution

Le rapport, rédigé par l’organisation évangélique Portes Ouvertes, révèle qu’un chrétien sur sept dans le monde est persécuté ou victime de discrimination.
Plus de 360 millions de chrétiens subissent aujourd’hui des niveaux élevés de persécution et de discrimination, selon le rapport présenté par l’organisation chrétienne évangélique Portes ouvertes « World Persecution List 2023 ». En outre, dans le monde, un chrétien sur sept est persécuté ou victime de discrimination en raison de sa foi. Selon Ted Blake, directeur de Puertas Abiertas en Espagne, « ce chiffre s’élève à un sur cinq en Afrique, deux sur cinq en Asie et un sur quinze en Amérique latine. »
Une autre des principales conclusions de l’étude est que l’Afrique subsaharienne est confrontée à une énorme catastrophe humanitaire due à la vague de violence religieuse, dont l’épicentre est le Nigeria, qui s’est propagée dans toute la région et qui est dirigée contre les populations chrétiennes.
« Nous en sommes à la 30e année de présentation de cette liste annuelle de la persécution dans le monde, et jamais auparavant nous n’avons connu des niveaux de persécution aussi élevés que maintenant », a reconnu Ted Blake.
La Corée du Nord est le pays numéro un pour la persécution des chrétiens, avec des niveaux de persécution les plus élevés de son histoire. Cette hausse intervient après une nouvelle vague d’arrestations au titre de sa récente « loi sur la pensée anti-réactionnaire ». Les autres pays en tête du rapport sont : Somalie, Yémen, Érythrée, Libye, Nigeria, Pakistan, Iran, Afghanistan et Soudan.
La présence chrétienne au Moyen-Orient continue de décliner, selon Portes ouvertes. Elle n’a pas réussi à se redresser après la montée en puissance de l’État islamique, malgré une légère baisse du nombre de chrétiens tués (à l’exception de la Syrie, qui a subi une vague d’incidents violents). « C’est le berceau du christianisme et une grande partie de l’Église perd l’espoir : le régime de discrimination et de pauvreté est trop lourd à porter, surtout pour les jeunes qui ne voient pas d’avenir ici en tant que croyants », selon Rami Abed Al-Masih, directeur régional du plaidoyer juridique de Portes ouvertes pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord.
Un autre pays d’Amérique latine, le Nicaragua, entre dans la liste. Le crime organisé s’implante surtout dans les zones rurales où les chrétiens dénoncent les activités des cartels. Parallèlement, l’oppression directe par le gouvernement des chrétiens considérés comme des voix de l’opposition est répandue au Nicaragua, au Venezuela et à Cuba, où des dirigeants chrétiens évangéliques ont été emprisonnés sans procès pour leur participation aux manifestations de l’année dernière.
Améliorer les données
Le nombre total de chrétiens tués pour leur foi a légèrement diminué, passant de 5 898 dans l’édition 2022 du rapport à 5 621 cas enregistrés aujourd’hui, à l’exception manifeste de l’Afrique subsaharienne, comme indiqué plus haut. Le nombre total d’églises attaquées sous différents niveaux de violence a diminué, passant de 5 110 (LMP, 2022) à 2 110 cas enregistrés (LMP, 2023). Au fur et à mesure que le monde revient, dans une certaine mesure, à la normale après la pandémie, la violence semble se stabiliser, bien que la raison exacte de cette stabilisation soit sujette à débat et qu’il soit peu probable qu’elle fasse partie d’une tendance continue.
Une plus grande tolérance a été encouragée dans plusieurs pays du Golfe. Les marques de persécution ont baissé au Bahreïn, aux Émirats arabes unis et en Égypte. Le Qatar a également un niveau plus faible cette année, bien que cela puisse être dû à la fermeture massive des églises pendant l’année 2022.




EPST: Aminata Namasia étonnée que certains agents de l’Administration centrale s’opposent au contrôle physique

Mme Aminata Namasia Bazego, vice-ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, s’est dit estomaquée par les mouvements de certains agents auprès du Vice-premier Ministre et Ministre de la Fonction publique hier lundi 06 février 2023.

C’est à l’issue de la visite effectuée à l’équipe de contrôle physique des agents et cadres de l’Administration Centrale de l’EPST dans la salle du Centre des Ressources Éducatives de Kinshasa, Crec ce mardi 07 février 2023.
La Vice-ministre de l’EPST est allée s’enquérir de la manière dont le travail se fait et a encouragé ceux qui procèdent à ce contrôle qui consiste à avoir les véritables effectifs des agents bénéficiaires de la prime d’encadrement de la paie octroyée par le Gouvernement conformément au Protocole d’Accord de Mbuela Lodge signé avec le Banc syndical de l’EPST.
Se livrant à la presse à l’issue de sa visite, le N°2 de l’EPST a indiqué :”Je suis venue personnellement encourager l’équipe qui procède au contrôle des agents. Parce que nous avons appris qu’il y a des mouvements des agents qui ne veulent pas que ce contrôle s’effectue. Je suis descendue pour me rassurer que le travail se fait normalement ; mais aussi, pour encourager ces agents. Parce que nous travaillons dans les normes. Ce que nous sommes en train de faire ici, ce n’est pas en dehors de la loi. Nous faisons juste notre travail. Et ces agents font aussi leur travail. Nous les encourageons à continuer.
Étant donné que nous voulons connaitre le nombre exact des agents qui travaillent dans l’administration centrale de l’EPST. Et nous considérons que les agents qui ne vont pas se présenter avec des documents, sont des agents fictifs. Parce que tant que tu ne présentes pas les documents qui attestent que tu travailles dans l’administration centrale de l’EPST, nous considérons que tu n’es pas de l’EPST. Et je présume que tous ces agents qui font du bruit sont des agents qui n’ont pas de documents et veulent continuer à bouffer l’argent de l’Etat comme cela se faisait à une autre époque. Maintenant nous voulons que le travail se fasse dans l’ordre et nous allons continuer”, a déclaré Mme le Vice-ministre, Aminata Namasia Bazego.




EPST : Tony Mwaba rend les derniers hommages à la syndicaliste Kisantu Kalongo

Appelé aux charges de la République pour ses itinérances dans les Provinces de l’Espace Grand Bandundu, dans la ville de Kenge, le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le Professeur Tony Mwaba a d’abord rendu les derniers hommages à Madame Kisantu, Assistante Provinciale à la DINACOPE, ex SECOPE et Secrétaire Générale du Syndicat des Enseignants de Carrière, SEC

C’est à l’hôpital du Cinquantenaire que la levée du corps de cette enseignante de carrière a été organisée ce mardi 07 février dans la matinée.
Très touché par cette brusque disparition, le patron de l’EPST a salué le travail de cette ouvrière d’un des services centraux, charnières du Ministère, décédée de suite d’une longue maladie.
Réputé rigoureux, le professeur Tony Mwaba s’est montré sous ses casquettes d’humaniste et d’homme charitable pour consoler la famille éplorée qui s’est sentie très honorée par la présence du Numéro 1 de l’EPST.
Dépôt de la gerbe de fleurs et petit moment de recueillement dans l’esplanade de l’Hôpital du Cinquantenaire, le Ministre va par la suite prendre la direction de Safari Beach où il devrait présider une réunion importante avec les responsables provinciaux de l’EPST de la Ville de Kinshasa sur les perspectives 2023 ainsi que la résolution de certains problèmes administratifs lui soumis.




L’an 6 du décès d’Étienne Tshisekedi: Sama Lukonde salue le combat du sphinx de Limete

Reportée pour raison de la visite officielle du Souverain pontife à Kinshasa du 31 janvier au 3 février 2023, la commémoration du 6ème anniversaire du décès d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba est intervenue ce mardi 7 février 2023 au Mausolée érigé  en son honneur à N’Sele. Au nom du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilomb, en déplacement en Afrique du Sud, le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a rendu hommage au Sphinx de Limeté en prenant activement part à cette importante activité marquant les 6 ans de disparition de ce combattant de la démocratie en RDC.


Sur place, le Chef du Gouvernement a participé à la messe d’action de grâce organisée à l’occasion. L’officiant du jour a rappelé le combat pour l’instauration de l’État de Droit, combat mené avec bravoure par le Sphinx, tout en insistant que ceci sera enseigné de générations en générations.
Juste après la messe, le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde a procédé, au nom du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, au dépôt d’une gerbe des fleurs au somptueux Mausolée de l’illustre disparu.
Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge a d’abord commencé par déposer la  gerbe des fleurs avant de signer le livre d’or dans lequel il a écrit quelques mots pour rendre hommage au grand combattant de l’État de droit, le feu Étienne Tshisekedi wa Mulumba.
Rappelons que c’est depuis le 1er février 2017 que le Docteur Étienne Tshisekedi a quitté la terre des hommes depuis la Belgique où il était en soins. Il a mené une lutte acharnée, avec son parti  politique  l’UDPS, pour l’avènement  de la démocratie en République démocratique du Congo.




Mining Indaba : Félix Tshisekedi présente sa vision u secteur minier congolais

Arrivé tard dans la nuit de ce lundi 6 février à Cape Town en Afrique du Sud, le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo participe ce mardi à “Investing in African Mining, Indaba 2023”, le plus grand forum annuel minier africain.
Organisé sous le thème de : “Débloquer l’investissement minier Africain : stabilité, sécurité et approvisionnement”, ce forum est une occasion offerte aux 6500 participants dont 500 entrepreneurs du secteur minier venus du monde entier de discuter des défis et des opportunités auxquels est confrontée l’industrie minière du continent , au moment où elle cherche des moyens de renforcer sa puissance économique dans le contexte de la ruée mondiale pour sécuriser l’approvisionnement pour une transition énergétique plus verte.
Chef de l’Etat d’un pays reconnu comme un scandale géologique, le Président Félix Tshisekedi a présenté sa vision de la transformation du secteur minier de la RDC.
Le Président Tshisekedi a toujours soutenu l’idée d’avoir des industries locales de transformation des produits miniers afin de permettre aux populations africaines de bénéficier de plus d’avantages des richesses du sous-sol de leurs pays .
Le Chef de l’Etat a aussi présenté les opportunités d’investissement dans ce secteur tout en offrant un pacte de confiance aux potentiels investisseurs.
Pour rappel, le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo est arrivé, dans la nuit du lundi, à Cape Town (Afrique du Sud), sur invitation de Son Homologue, le Président Cyril Ramaphosa, pour participer au Forum international Minier #MiningIndaba2023.
En marge de ce Forum, les deux Chefs d’État ont prévu de se rencontrer, en tête-à-tête, afin d’échanger sur la SADC et la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC.