Arrivée Emmanuel Macron en Rdc : L’Udps mobilise pour un accueil chaleureux et vibrant à l’hôte de Félix Tshisekedi

Malgré la tension qui persiste du côté des mouvement citoyens suite à cette visite du président français en Rdc qualifiée d’une provocation par ces organisations citoyennes qui avaient pris à d’assaut l’ambassade française en Rdc, ce mercredi 1 mars 2023, pour protester contre cette arrivée. Sur place, plusieurs dérapages ont été enregistrés lors de cette manifestation, notamment les chansons hostiles contre la France et quelques écrits sont restés visibles sur le mur de l’ambassade située sur le Boulevard du 30 juin. A l’Union pour la démocratie et le progrès social (Udps), on voit les choses autrement.

A travers un communiqué publié ce 1 mars 2023 signé par le Secrétaire général de l’Udps, Augustin Kabuya invite les membres et sympathisants à réserver un accueil chaleureux au président français dès son arrivée ce 04 mars 2023 en Rdc.
A noter que ce premier voyage du président français Emmanuel Macron en Rdc s’inscrit dans le cadre de l’approfondissement des relations entre la Rdc et la France.




Kasaï : Me Emile Prince Longi, nouveau chef de centre à la Dgrkas/Centre urbain de Tshikapa

Après plusieurs jours de détournement et fraude fiscale, le gouverneur Dieudonné Pieme décide de changer les animateurs du centre urbain à la Direction générale des recettes du Kasaï centre urbain de Tshikapa dans le souci de maximiser les recettes de la province, mais aussi mettre du sérieux dans le service fiscal. Le choix du gouverneur est tombé sur Me Emile Prince Longi pour son expertise, mais surtout son sens élevé de dénoncer toutes les antivaleurs.

Il y a quelques jours, Me Emile Prince Longi, alors à l’époque chargé de recouvrement, avait eu le courage de dénoncer plusieurs antivaleurs sans froid aux yeux. L’un des agents expérimentés dans la maximisation des recettes Emile Prince Longi est aussi applaudi par plusieurs agents qui estiment que sa nomination va améliorer les choses à la direction des recettes du Kasaï. Le nouveau chef de centre urbain replace à ce poste M. Rachidi Mushitu. Le gouverneur lui a donné comme missions l’amélioration des recettes, mais aussi la lutte contre les antivaleurs.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




Kasaï : Le gouverneur Pieme annonce le début de travaux du ravin Sokagik

Le gouverneur de province Dieudonné Pieme a, face à la progression rapide du ravin Sokagik, assuré le début des travaux du stoppage du ravin Sokagik qui menace de couper en deux le boulevard Lumumba et d’engloutir d’autres édifices qui sont à ses côtés, au courant de cette semaine.
Le chef de l’exécutif provincial du Kasaï a précisé que les fonds sont déjà disponibles, les agents de l’Office de voirie et drainage (OVD) regroupent déjà les matériels.
“On devrait débuter les travaux des ravins Ntumba Muena Muanza et de l’école Kapongo cette semaine, mais celui de Sokagik a repris sa progression, il est une urgence parce qu’il s’en vas rapidement jusqu’à attaquer le boulevard Lumumba. J’ai saisi la présidence et le gouvernement central, ils m’ont donné l’approbation de soustraire les deux tiers de la somme destinée aux travaux des autres ravins en vue de débuter celui de Sokagik”, a expliqué le gouverneur Dieudonné Pieme.
Dans sa communication à la presse ce mardi 28 février, le gouverneur précise que “les démarches ont été menées au ministère des Infrastructures qui ont abouti au financement de 100.000$ par le FONER. C’est seulement 400.000$ qui ont été déboursés, et les 600.000$ n’ont jamais été déboursés, c’est ce qui fait à ce que les travaux de Sokagik n’avancent pas.”
La journée du mardi 28 février dernier, les organisations de la société civile et les forces politiques ont entamé les travaux collectifs pour éradiquer le ravin Sokagik qui avance rapidement vers le boulevard.
Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa




Contrat chinois : La société civile annonce des actions judiciaires contre quiconque est impliqué dans la « débâcle » de la SICOMINES (Déclaration)

A travers un point de presse animé ce mercredi 1e mars, 4 organisations de la société civile apportent leur soutien au rapport de l’Inspection générale des finances sur l’affaire SICOMINES.

Il s’agit entre autres de l’Observatoire de la Dépense Publique (ODEP), de l’Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme (ASADHO), de l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ) et du Réseau Gouvernance Economique et Démocratie (REGED).
Dans leur déclaration commune, ces structures citoyennes ont notamment fustigé la complaisance avec laquelle les autorités congolaises ont négocié cette convention qui brade selon elles, les ressources du pays.
Ainsi, les 4 organisations de la société civile recommandent au chef de l’État, au Gouvernement et aux Cours et Tribunaux, d’entreprendre la révisitation de la susdite convention en tenant compte de l’ampleur des dégâts et pertes évidents subis par la Rdc, et à défaut d’une solution à l’amiable, de suspendre, puis d’annuler cette convention, voire de nationaliser SICOMINES:
Aux institutions de contrôle, d’entreprendre ou de poursuivre le contrôle de tous accords, en particulier miniers, pour sauvegarder les intérêts du peuple congolais ;
Aux partenaires chinois, d’encourager leurs entreprises à se soumettre au devoir de redevabilité et à accepter d’imprimer la transparence de leurs actions, à partir du moment où elles sont engagées dans des tels partenariats ; D’encourager les entreprises interpellées à présenter leurs réactions par toutes voies de droit.
Aux Partis politiques, de s’abstenir de politiser ce dossier, et tout autre du genre, pour permettre au peuple congolais, propriétaire des ressources nationales, de recevoir tous les éclaircissements sur la manière dont ses richesses sont gérées.
Derick Katola




Kibassa Maliba participe au congrès mondial du mobile à Barcelone

M. Augustin Kibassa Maliba, ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (PTNTIC) représente pour la troisième fois, la République Démocratique du Congo au programme ministériel du Congrès Mondial du Mobile qui se tient depuis ce lundi 27 février au Fira Gran via, Barcelona en Espagne.

Le ministre Augustin Kibassa Maliba s’est entretenu dès le premiers jour des activités avec les organisateurs de GSMA. Des discussions sur divers sujets ont été abordées dans le but de relever les défis sur les problèmes de connectivité mobile en RDC par rapport à certains pays de la sous-région, des objectifs clés du secteur des TIC sur lesquels le Ministre aimerait se focaliser sur le rôle que les opérateurs peuvent jouer dans le but de répondre aux priorités définies, sur les défis que les opérateurs rencontrent en tant qu’investisseurs et comment cela affecte l’accès à la connectivité ainsi que sur plusieurs autres points.
Tous ces échanges ont été riches dans le sens de trouver des solutions qui permettraient au secteur en RDC d’évoluer positivement.
Organisé par la GSMA qui est une Association Mondiale des opérateurs des téléphones mobiles, cet évènement phare de l’industrie et de la technologie mobile, (le Mobile World Congress 2023), cible les hauts fonctionnaires et les chefs de file de l’industrie. Il rassemble les dirigeants de l’industrie, des ministres et des régulateurs des télécommunications, des autorités de protection des données et des hauts représentants d’organisations internationales qui partagent leurs connaissances et stimulent la discussion autour des questions d’actualité.
Le programme ministériel GSMA 2023, qui se déroule du 27 février au 1er mars, porte sur les priorités actuelles telles que la confidentialité des consommateurs et les impacts humanitaires basés sur les données, l’investissement dans le réseau, l’expansion de la 5G et l’inclusion numérique.




Développement des infrastructures numériques en Rdc : Kibassa Maliba échange avec le vice-président de la Banque mondiale à Barcelone

Arrivé à Barcelone le 26 février pour participer au programme Ministériel de la GSMA, M. Augustin Kibassa Maliba, ministre des Postes Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’information et de la communication a profité de son séjour pour échanger avec la délégation du Groupe de la Banque Mondiale conduite par le vice-président en charge des infrastructures.

Les échanges qui font suite de l’audience que le ministre a accordée à la société Financière Internationale du Groupe de la Banque mondiale le 8 février à Kinshasa.
Pour rappel, début février, une importante délégation composée des experts de la Banque mondiale et de International Finance Corporation (IFC) avait présenté au patron des PTNTIC en RDC d’importants programmes dans le secteur des télécommunications pour le développement des infrastructures numériques.
Ils avaient discuté de l’engagement fort du Groupe de la Banque mondiale dans le secteur des télécoms. La Banque mondiale a un programme assez important dans le secteur et la IFC a également investi dans le secteur des télécoms pour le développement des infrastructures qui sont nécessaires au développement de l’économie, avait confié Malick Fall, responsable Pays de la IFC (Groupe de la Banque Mondiale).
Ces experts du Groupe de la Banque mondiale avaient fait comprendre que leur organisation compte investir dans les infrastructures numériques pour étendre la couverture des services internet dans le Pays. Raison pour laquelle, il faut massivement investir dans les infrastructures et le Groupe de la Banque mondiale (Banque mondiale et la IFC) pour le développement des programmes et des projets qui vont dans ce sens.
Ce qui permettra à une plus grande partie de la population d’être connectée, générer des activités et contribuer au développement de l’économie. La première priorité c’est le développement des infrastructures et des projets qui sont déjà en cours du côté de la Banque Mondiale que de la IFC, fait-on savoir.




De Corneille à Naanga : Un choix politique risqué ou destiné ? (Un pamphlet de Magloire Paluku)

En Kiswahili, l’une des quatre langues nationales renfermant la culture spirituelle et sociopolitique congolaise on dit : « Jina njo Mutu ». Nous portons, chacun les forces multiformes liées à nos noms. C’est ce qui caractérise notre comportement et notre caractère. Naanga pour signifier Amour et désir d’aimer chez les Luba, est une négation chez les Shi et donc un refus en reconstruction positive.
De Corneille à Naanga, il y a les liens spirituels, sociopolitiques et un destin qu’il faut définir. Corneille Naanga est dans les élections depuis longtemps. Ce fils idéologique de l’Abbé Apollinaire Malumalu est aussi, en Rdc, parmi les hommes les plus célèbres, les plus aimés, les plus détestés, les plus craints, les plus blâmés, les plus admirés, les plus consultés et les plus dangereux.
Corneille Naanga vient de faire un « Triple Choix Cornélien » de se lancer dans la politique. Il y va d’abord avec une offre originale en s’offrant pour les autres ; mais comme Rodrigue et Chimène dans le Cid. Il vient avec ses vérités.
Tout Président d’une Commission Électorale, à part l’Abbé Malumalu dans son état de prêtre, peut se lancer en politique. Corneille Naanga connaît tout le monde. Il connaît le jeu des politiciens qui changent selon les circonscriptions électorales et les poids des candidats. Il a été l’homme le plus consulté, le plus convoité, le plus sollicité, le plus « dragué »… il le serait encore jusques à aujourd’hui !
Tout ancien candidat (2017-2018-2019) élu ou non, mal élu ou pas, est arraisonné dans la théorie de la reconnaissance avec Corneille Nanga ! La maternité de Corneille Naanga a ses valeurs obstétricales, politiques, qui lui donnent une place de choix sur cette scène Congolaise où rivalisent sanhédrins, publicains, pharisiens qui se font la morale avant de crucifier la vérité.
Qui peut s’allier au choix de Nanga ? Tout le Sénat, toute l’Assemblée nationale, toutes les Assemblées provinciales sont les fruits de Corneille Naanga. Refuser d’épouser son parti politique, Alliance pour la Dignité du Congo et de son Peuple (ADCP) crée le même dilemme que celui de l’accepter.
Aucun politicien actuel fera mieux que Corneille Naanga, qui a vu naître tout le monde, chacun avec sa douleur et son plaisir d’enfantement.




Est du pays : Le Japon et l’UNICEF unis pour soutenir les communautés affectées par les crises aiguës

L’UNICEF, en partenariat avec le Japon, lance un programme de réponse d’urgence et de renforcement de la résilience en faveur des communautés affectées par les conflits armés et les catastrophes naturelles en République Démocratique du Congo.

D’une durée de 12 mois, ce programme de plus de 1,9 million de dollars américains va permettre de répondre aux besoins les plus immédiats des communautés, en particulier des enfants touchés par des urgences aiguës dans quatre provinces de l’est du pays affectées par les conflits armés, à savoir le Nord et le Sud Kivu, l’Ituri et le Tanganyika.
Le contexte de crise persistante et des conflits armés en RDC, sont à la base des crises humanitaires aigües dans les provinces de l’est. Et la mise en œuvre de cette intervention permettra à l’UNICEF d’apporter un appui à plus de 59.000 personnes par le mécanisme de réponse d’urgence rapide de l’UNICEF et des interventions complémentaires dans les domaines de la Santé, Nutrition, Eau, Hygiène et Assainissement et Protection de l’enfance.
« L’UNICEF et le Gouvernement du Japon s’engagent à travers ce programme à sauver des vies et assurer la dignité des personnes, y compris des enfants les plus vulnérables (garçons et filles) à travers une réponse d’urgence rapide en articles ménagers essentiels, complétée par une assistance multisectorielle selon les besoins spécifiques », a déclaré Grant Leaity, Représentant de l’UNICEF en RDC.
Ce programme met l’accent sur l’autonomisation des femmes. Toutes les interventions vont tenir compte de l’analyse genre et de la prévention de la violence basée sur le genre (VBG). Des analyses de risques de protection seront aussi menées en tenant compte du contexte COVID-19. Lors de la mise en œuvre, les femmes seront activement impliquées dans les interventions proposées, principalement par le biais de discussions de groupe (avant, pendant et après les interventions).
L’approche de cette intervention va contribuer à matérialiser les politiques du Japon pour l’Afrique en général, et pour la RDC en particulier, la Nouvelle approche pour la paix et la stabilité en Afrique (NAPSA) qui vise à réaliser la paix et le développement durable en Afrique tout en garantissant les assistances humanitaires aux réfugiés et aux déplacés internes.
« Face à l’intensification de la violence à l’est du pays, le Japon a décidé de doubler le volume de ses réponses humanitaires en RDC en 2023 par rapport à l’an dernier. Le Japon va financer une série de programmes avec les partenaires onusiens dont l’UNICEF», a indiqué M. Minami Hiro, Ambassadeur du Japon en RDC. « En tant que partenaires de longue date en RDC, nous connaissons l’efficacité et le professionnalisme de l’UNICEF. Nous espérons qu’avec ce financement, l’UNICEF apportera de l’aide aux populations vulnérables notamment les enfants victimes du conflit à l’est, tout en veillant à la sécurité de son personnel sur le terrain», a-t-il ajouté.
La contribution du Gouvernement du Japon permet à l’UNICEF d’améliorer l’accès aux services sociaux de base de qualité à des milliers de personnes, contribuant ainsi à l’instauration de la paix et de la stabilité dans les provinces ciblées.

À propos de l’UNICEF
L’UNICEF promeut les droits et le bien-être de chaque enfant, dans tout ce que nous faisons. Nous travaillons dans 190 pays et territoires du monde entier avec nos partenaires pour faire de cet engagement une réalité, avec un effort particulier pour atteindre les enfants les plus vulnérables et marginalisés, dans l’intérêt de tous les enfants, où qu’ils soient.




SICOMINES : La Société civile met toutes les options sur la table

Au regard de tout ce qui a été dit, les organisations de la Société civile congolaise recommande au Président de la République, au Gouvernement et aux Cours et Tribunaux de ne pas laisser impunis les crimes économiques commis dans le cadre de cette Convention, en cas d’établissement de culpabilité par les cours et les tribunaux ; D’entreprendre la révisitation de la susdite convention entenant compte de l’ampleur des dégâts et pertes évidents subis par la RDC, et à défaut d’une solution à l’amiable, de suspendre, puis d’annuler cette convention, voire de nationaliser SICOMINES.

Elles recommandent aussi de se saisir ce dossier, dans lequel notre pays a perdu plusieurs dizaines des milliards sans aucun résultat visible des infrastructures, au niveau de la Cour des Cassation, sur base du rapport de l’IGF.
A toutes les institutions de contrôle, d’entreprendre ou de poursuivre le contrôle de tous accords, en particulier miniers, pour sauvegarder les intérêts du peuple congolais.
Aux partenaires chinois initiateurs du concept de partenariat gagnant-gagnant, d’encourager leurs entreprises à se soumettre au devoir de redevabilité et à accepter d’imprimer la transparence de leurs actions, à partir du moment où elles sont engagées dans des tels partenariats ; D’encourager les entreprises interpellées à présenter leurs réactions par toutes voies de droit.
Aux Partis politiques, de s’abstenir de politiser ce dossier, et tout autre du genre, pour permettre au peuple congolais, propriétaire des ressources nationales, de recevoir tous les éclaircissements sur la manière dont ses richesses sont gérées ; De persuader tout responsable ou membre interpellé dans ses dossiers à présenter ses moyens par toutes voies de droit plutôt que de s’attaquer à l’IGF qui ne fait qu’accomplir les tâches lui assignées par la Nation.
A la Société civile et aux Citoyens congolais, de soutenir et d’encourager l’IGF, dans ses attributions de défendre les intérêts du peuple congolais, et de s’approprier ce dossier, qui fait partie des défis à lever pour l’amélioration de la gouvernance minière et des finances publiques dans notre pays.




« La partie chinoise a gagné au moins plus de cinq fois les revenus espérés au départ du projet, sans aucune contrepartie à la hauteur des profits engrangés » (Rapport de la société civile)

Les Organisations de la Société civile, signataires du présent communiqué, exerçant le droit de regard que leur donne l’article 58 de la Constitution, qui reconnait la jouissance des richesse nationales à tous les Congolais, fustigent la complaisance avec laquelle nos autorités publiques ont négocié cette convention qui brade manifestement nos ressources. Elles constatent que la partie chinoise a gagné au moins plus de cinq fois les revenus espérés au départ du projet, sans aucune contrepartie à la hauteur des profits engrangés.

Elles disent engagée, la responsabilité respective de toutes les autorités publiques qui étaient impliquées dans la conclusion et la gestion de la susdite Convention : du Président de la République aux exécutants, en passant par les Premiers Ministres, les Ministres dont les secteurs sont concernés, les Négociateurs congolais, le Coordonnateur du projet ainsi que les responsables de l’Agence Congolaise de Grands Travaux et ceux de la GECAMINES ; Estiment inacceptable que les Congolais puissent continuer à croupir dans la misère, alors que leurs ressources profitent à des entreprises étrangères.
Elles trouvent normal, en cas de responsabilité établie que les coupables répondent de leurs actes devant la justice ; Reconnaissent le pouvoir de l’IGF de contrôler toutes les entreprises, publiques ou privées, qui manipulent les ressources de l’Etat et du peuple congolais, la soutiennent et appuient, par conséquent son rapport, qui met en lumière le pillage de nos ressources et les crimes économiques qui les accompagnent ; Dénoncent toute politisation de ce dossier, qui est technique et susceptible de recours devant les cours et tribunaux compétents.