Prêchant par l’exemple : Tony Mwaba visite le Collège la Rosée dans la commune de la N’sele

Mercredi terrain, la nouvelle tradition respectée par le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi. Conformément à sa note circulaire du 04 mars 2023 qui institue chaque mercredi, une journée de terrain pour tous les cadres de l’EPST, le Professeur Tony Mwaba a montré la voie à ses collaborateurs.

Pour cette première, c’est la province éducationnelle de la Tshangu qui a constitué la première étape de son itinérance. C’est le Bureau de l’Inspection Principale Provinciale qui a accueilli le Ministre. Ici le patron de l’EPST est venu se rendre compte du travail du nouvel Inspecteur principal Provincial ; mais aussi, de l’application de ses recommandations après les différentes rencontres sur le réveil de la trilogie inspectorale.
Constat fait, les choses évoluent pour le mieux et les instructions du Ministre ont été respectées. Deuxième étape, la Province éducationnelle de Kinshasa/Plateau, direction, le Collège la Rosée dans la commune de la N’sele
Ici, le constat est amer, cette école qui organise cinq options pourtant, n’a que six petites salles de classe dans un état très délabré. Avec un Bureau de Direction dans un hangar et une cour séparée par des tôles avec une maison d’habitation. En un mot, les conditions d’une école n’y sont pas.
Sur le champ, le ministre a convoqué d’urgence le Promoteur de ladite école. A son arrivée, l’homme se dit d’abord surpris de l’absence des cours pour une journée de 8 mars.
Après interrogatoire, l’école s’avère être une école privée, mais sous gestion d’une confession religieuse au nom de RENECO.
Sur le champ, le Ministre a instruit en présence de l’Inspecteur général a l’EPST, Jacques Odia Musungayi qu’une mission soit diligentée pour des dispositions pratiques contre ces établissements non viables et anarchiques qui salissent l’image du sous-secteur voulu assaini par le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi.
En attendant les rapports des cadres de son Ministère, Tony Mwaba a prêché par l’exemple avec cette veille décrétée chaque mercredi. Rappelons que ce n’est pas une première pour le numéro 1 de l’EPST qui en a fait une religion depuis son avènement à la tête de ce ministère.




Volley-ball : L’Euvokin démarre son championnat 2O23 ce samedi 18 mars

Suivant le calendrier nous parvenu, c’est le samedi 18 mars 2023 que l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa ‘’Euvokin’’ va démarrer son championnat 2022-2023 Division 1.

Samedi 18/03/2023

13h00 : Free Boys vs Police (M):

14h00 : Mwangaza vs Force Terrestre (M):

15h00 : Espoir vs Green Team (M):

Antoine Bolia




Administration des sports et Loisirs : L’Asbl ASSAF et la Dynamique des femmes sportives hôtes du nouveau SG Ilonga Bompoko Bodi

Le vendredi 3 mars 2023, une délégation de l’Asbl Association des Sportifs Sans Frontières ‘’ASSAF’’ conduite  par son Président Me Paul junior Kabamba qu’accompagnaient l’initiateur de l’ASSAF maître Kiwaka et quelques membres du comité National de l’ASSAF auxquels s’étaient jointe maître Nancy Tshiaba, présidente de la Dynamique des femmes sportives est allée presenter ses civilités à M. Ilonga Bompoko Bodi, nouveau Secrétaire Général du Ministère des Sports et Loisirs de la République Démocratique du Congo en son cabinet de travail, sise stade des martyrs.

Au menu de leur échange, l’Asbl Assaf a présenté au patron de l’administration des sports ses projets en cours et certains problèmes qui gangrènent les sports congolais notamment:

  1. La décoration des athlètes et entraîneurs qui ont fait des exploits, l’injustice sociale que subi le projet sur la mise en place de l’espace des sportifs congolais comme on a mortalisé les anciens combattants, les évolués et tant d’autres de différentes corporations avec des places publiques.
  2. Les difficultés que connaissent les fédérations de disciplines sportives qui participeront aux 9èmes jeux de la francophonie. Parmi ces difficultés il y a le manque d’équipements adéquats ainsi que les frais de préparation.
  3. La prise en otage de différentes fédérations par des individus qui sont fin mandat depuis plusieurs années.
  4. La prise en charge des pratiquants de handisports.
  5. La prise en charge des formateurs des athlètes des équipes nationales (léopards) de différentes disciplines sportives.

Par ailleurs, l’asbl des sportifs sans frontières a suggéré au SG Ilonga Bompoko Bodi de relancer la pratique des sports dans le cadre de loisirs  dans les milieux professionnels pour le bien-être des travailleurs. La santé dit-on, n’a pas de prix.

Enfin, le patron de l’administration du Ministère des Sports et Loisirs a promis son accompagnement pour la mise en exécution des initiatives de l’ASSAF et de travailler sur les désidératas des sportifs qui lui ont été  présentés pour une solution durable.

Antoine Bolia




Depuis le mardi 07 mars 2023: La Féaco entame la preparation des 9è jeux de la Francophonie par le camp d’entrainement

A l’approche des 9è Jeux de la francophonie prévus du 28 juillet au 6 août 2023 à Kinshasa et les échéances à venir, la Fédération d’Athlétisme du Congo’’Féaco’’ en dépit de l’immobilisme du gouvernement congolais pour la libération des moyens pour la préparation des athletes, prend le taurreau par les cornes.

A dire vrai, cette action de la Feaco tombe à pic. Sinon, l’on devait accumuler du retard quant à la préparation des athlètes s’il faut attendre le gouvernement qui continue depuis de lustre d’envisager comment financer la première phase locale de preparation. C’est depuis 2 ans que cette attente dure.

Ainsi, sur fonds propres de la Féaco, depuis le lundi 06 mars 2023 a commencé le camp d’entrainement au stade des Martyrs niveau de Kinshasa. Ce n’est que le mardi 07 mars qu’il y a eu autorisation d’accès au terrain (piste). Le DTN Tshihinga Mafo Hugues informe l’opinion que 50 athlètes prennent part à ce camp d’entrainement lequel profite aussi pour la préparation des athletes U18 et U20.

Il précise en outre que ce stage est la 1ère phase locale de preparation des jeux de la francophonie en ce qui concerne l’athlétisme. Trois camps sont organisés :

-A Kinshasa au stade des martyrs

-Au Grand Kivu au centre de Kiroche

-Au Grand Katanga au stade Diour dans le Lualaba.

Dans le chaque camp d’entrainement, 10 entraineurs sont retenus pour les différentes épreuves. Chaque province est prise en charge par le gouvernement provincial. Mais ici il faut retenir qu’il n’en est pas le cas pour la ville province de Kinshasa qui a toujours brillé par son non assistance aux délégations des sportifs kinois. Et ce n’est pas aujourd’hui que ce gouvernement va changer.

Et l’objectif poursuivi par la Féaco est d’amener nos athletes à des performances d’éligibilité des minima de qualification.

10 athlètes U18 et 15 athlètes U20 vont participer aux championnats d’Afrique couples U18 et U20 du 29 avril au 03 mai 2023 à Lusaka, en Zambie.

Il faudra en outre noter que la Feaco prévoit un 2è camp d’entrainement en prévision des championnats francophones des clubs champions zone Afrique. Ils se tiendront à Kinshasa du 12 au 14 mai 2023.

Pour revenir aux 9èmes Jeux de la francophonie, la RDC athletics a dans les engagements préliminaires, engage 69 athlètes messieurs et 68 athlètes dames ainsi que 34 entraineurs, 1 médecin, 1 psychothérapeute et 1 officiel.

Erection des infrastructures sportives: pensez-y à l’athlétisme aussi

Après plusieurs décennies, la RDC se reveille de sa torpeur en ce qui concerne les infrastructures sportives. C’est une très bonne chose. Cependant, des stades sont construits ici et là. Mais curieusement, on accorde très peu d’attention à l’athlétisme, discipline mère. Même le stade de Kikwit qui va connaître une modification et où des travaux de construction seront executes, on a pas pensé à la piste d’athlétisme. Plus près ici, au stade des martyrs. On a vu la maquette pour le Palais des sports jumelé mais pour le terrain annexe, on y a rien vu. Doit-on croire que l’on va y ériger quelque chose d’à peu près ou quelque chose de sérieux pour que des compétitions d’envergure y soient organisées? Attendons voir de quoi ça retourne cette situation d’opacité.

Antoine Bolia




Un reportage à polémique sur le dossier du Sahara marocain

France 24 (Espagnol), destinée principalement à une audience latino-américaine, vient de consacrer son émission « En 5 Minutes » (“En 5 minutos’’) au dossier du Sahara marocain. Dans un reportage à polémique, favorable aux séparatistes, le narratif évoque un conflit d’intérêts entre plusieurs pays dont l’Espagne, la France et les États Unis

Les allégations contenues dans cette émission de France 24 (Espagnol) viennent jeter un pavé dans la marre du différend au Sahara marocain.

Le reportage rappelle que ce différend territorial dure depuis près de cinq décennies, avec des centaines de milliers de civils réfugiés. Il souligne un enchevêtrement d’intérêts pour l’Espagne, la France et les États-Unis.

Dans un reportage à polémique, favorable à la thèse séparatiste, Natalia Plazas évoque l’« exploitation des ressources de la région » par le Royaume du Maroc. « Le Front Polisario dénonce le fait que le Maroc exploite et accorde des concessions à des entreprises pour financer l’occupation de la région », allègue-t-elle.

La présentatrice de l’émission affirme que « Plusieurs pays ont exprimé leur soutien au Maroc, dont beaucoup ont des entreprises implantées dans la région et exploitent ses ressources, notamment l’Espagne, la France et l’Allemagne ».

Elle affirme aussi que « l’Espagne a soutenu le plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental, en échange d’un contrôle et d’une détention accrus par Rabat des migrants qui cherchent à rejoindre l’Espagne via les villes de Ceuta et Melilla ».

Natalia Plazas ajoute que « le Maroc a laissé entrer des milliers de migrants en quelques jours, en réponse à l’autorisation donnée par Madrid au chef du Polisario, Brahim Ghali, de bénéficier d’une aide médicale sur son territoire ».

Dans ses propos, elle conclut que « ce scénario qui explique la souffrance de la population sahraouie, arrange les intérêts internationaux ».

Et d’ajouter que « la Minurso ne fait plus qu’assurer le suivi du conflit, sans agir ». Ce reportage fait économie de vérité sur le dossier du Sahara marocain, qui est toujours en examen aux Nations-Unies




08 mars : Isidore Kwandja Ngembo rend un vibrant hommage à toutes les femmes

Le 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, est le jour où l’on reconnaît et l’on souligne, à l’échelle mondiale, les réalisations sociales, économiques, culturelles et politiques des femmes et des filles, et où l’on sensibilise le public sur la situation et le rôle des femmes dans la société.

À l’occasion de cette Journée internationale des droits des femmes de 2021, indique Isidore Kwandja Ngembo, Directeur du CNJF a d’abord commencer par rendre un vibrant hommage à toutes les femmes qui, partout dans le monde et en particulier en Afrique, font des sacrifices inlassables, chaque jour, pour faire vivre leurs familles et œuvrer à l’éducation de leurs enfants. C’est également l’occasion de souligner la nécessité d’encourager l’instruction des filles pour leur donner la possibilité de choisir et être en mesure de définir leur propre rôle dans la société, au lieu de laisser les hommes le faire pour elles.

Hommage à ma femme

Le 8 mars est une journée où les femmes sont également reconnues pour leurs réalisations personnelles et dans la société. Dans son un message publié sur son blog, Isidore Kwandja Ngembo rend un vibrant hommage à une femme, une battante, une femme de cœur et une grande dame, à son avis et pour moi. Elle s’appelle Bantu Mbempe Mayibungi Clémence. Une femme qui ne laisse rien au hasard et qui travaille fort, et ce, jusque tard dans la nuit et qui se lève toujours tôt. Comme qui dirait, « l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ».

Avec en poche, son diplôme en développement des organisations de l’Institut supérieur de développement rural en République démocratique du Congo, elle débarque à Genève en Suisse à l’Institut universitaire d’études du développement (IUED) où elle poursuit ses études et obtient son diplôme en études de développement.

Elle accompagne son mari à Louvain-la-Neuve en Belgique où il poursuivait également ses études supérieures. Aussitôt arrivée en Belgique, elle comprend très vite la maxime qui dit : « il n’y a pas de sots métiers, il n’y a que de sottes gens ». Le marché du travail, dans son domaine d’études, étant extrêmement difficile pour les étrangers, elle entreprend immédiatement une formation accélérée d’auxiliaire gériatrique pour travailler comme préposée aux bénéficiaires, question de faire bouillir la marmite.

Arrivés tous au Canada, une semaine après, elle commence déjà à travailler dans ce domaine et décide en même temps d’entreprendre des études en soins infirmiers et décroche son diplôme. Elle ne s’arrête pas là. Elle décide de retourner à l’université où elle décroche également un Diplôme d’études supérieures (DES) à l’Université Saint-Paul d’Ottawa.

Depuis le début de cette pandémie de la Covid-19 qui sévit dans le monde entier et affecte négativement la vie sociale, Clémence Bantu est parmi plusieurs femmes à travers le monde qui sont aux premières lignes en tant que soignantes, pour lutter contre cette pandémie. « Je tenais à souligner la farouche bravoure de cette femme, en cette journée internationale de la femme, que nous sommes fières d’elle pour son courage et sa ténacité, en dépit de toutes les vicissitudes de la vie », souligne-t-il.

Qui est Isidore Kwandja Ngembo ?

Isidore Kwandja Ngembo est analyste des politiques publiques. Il a fait des études supérieures en Éthique publique à l’Université Saint-Paul d’Ottawa ; en Science politique & relations internationales à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa ; en Management public à l’École nationale d’administration publique (ENAP – Québec) ; en Droit international des droits de l’homme à l’Université catholique de Louvain & l’Université Saint-Louis de Bruxelles ; en Développement international à l’Université catholique de Louvain & l’Université libre de Bruxelles en Belgique. Auditeur en Droit international public, de l’Académie de droit international de La Haye.




Montréal: le consul d’Algérie et sa femme accusés d’«esclavage», de «maltraitance» et de «harcèlement»

Deux employées de maison traînent le consul général d’Algérie et sa femme devant la justice canadienne. Elles réclament un demi-million de dollars au couple.

Selon la presse canadienne, Elida et Marisa, deux Sud-américaines recrutées comme employées de maison par le ministère des Affaires étrangères algérien pour le domicile du consul, accusent ce dernier et sa femme de les avoir exploitées et humiliées. «Les plaignantes, Marisa Amaya, 65 ans, et Elida Rivera Lopez, 69 ans, allèguent avoir été victimes de harcèlement psychologique, d’abus de pouvoir, d’insultes, de cris et d’humiliation de la part du consul et de son épouse. Elles ont travaillé au consulat jusqu’au printemps 2021», rapporte Le Journal de Montréal.

En tout cas, cette affaire fait les choux gras de la presse canadienne depuis une semaine et le couple essaie, par tous les moyens, de nier les faits qui leurs sont reprochés.

Les deux employées affirment avoir été traitées en «esclaves» par Noreddine Meriem et sa femme dans leur résidence. «C’était des humiliations constantes», disent-elles au Matin d’Algérie qui les a interrogées au sujet de leurs accusations.

Et d’ajouter, dans le même journal : «Nous sommes des employées du ministère des Affaires étrangères algérien et pas celles de la femme du consul, nous expliquent-elles. Nous étions obligées de nous rendre à la résidence du consul pour faire à manger et effectuer des tâches ménagères pour la famille du consul comme du repassage, nettoyage ou du rangement de toutes sortes. Lorsqu’on expliquait que notre contrat ne comprenait pas les tâches ménagères de la famille, l’épouse du consul nous criait dessus en affirmant que c’était son mari qui les payait et qu’elles devaient se soumettre à ses volontés sans quoi elles seraient licenciées».

En fait, le consul, sa femme et leur quatre enfants habitent une «luxueuse résidence sur trois étages» dans laquelle servir d’employées de maison n’est pas de tout repos. Les deux victimes présumées affirment qu’elles avaient l’obligation de la «faire briller». «L’énorme résidence en question comportait sept salles de bain qu’on devait nettoyer aussi», précisent-elles.

Elles sont employées aux frais du ministère algérien des Affaires étrangères depuis longtemps, mais c’est avec le couple Meriem que les problèmes de maltraitance ont commencé à partir de 2019, toujours d’après leur propre version relatée par la même source.

«C’est à l’arrivée du consul Noureddine Meriem, en 2019, que tout a basculé et que nos vies ont été chamboulées. Nous avons tenté d’approcher le consul pour le mettre au courant des agissements intolérables de son épouse, il nous a carrément renvoyées de son bureau», dit Marisa.

C’est pour le couple de diplomates, l’erreur que les deux employées ne devaient pas commettre, car à partir de ce moment précis, leurs «vies étaient devenues un enfer». La surveillance vidéo sera de rigueur. «Humiliations, paroles dégradantes, harcèlement, propos racistes… nous nous sommes senties indésirables, on voulait nous casser psychologiquement», précise la femme de 70 ans.

«Quand je voyais les Algériens manifester devant le consulat lors du Hirak, je pleurais, parce que je sais ce qu’est l’oppression et le courage qu’il faut pour y faire face. J’aime les Algériens et j’en connais personnellement, mais ce consul a sali l’image de son pays», avant de fondre en larmes, affirme toujours la bonne dame écrit le journal.

«C’était de l’esclavage, j’ai pleuré pendant des nuits. Je me suis sentie dévalorisée» déplore toujours Marisa en sanglots, continuant de livrer un témoignage glaçant. Car, elles devaient travailler même en cas d’arrêt maladie prescrit par un médecin.

«J’ai eu une fracture à l’épaule, raconte Elida, ce qui nécessitait normalement un arrêt total de plusieurs mois. Mais on nous a obligées à travailler sans ménagement et sans aucune empathie. Je ne dors plus sans médicaments depuis ce jour-là. Ma vie n’est plus la même».

En tout cas, les deux femmes réclament la rondelette somme de 452.452 dollars canadiens au gouvernement algérien, plus précisément au ministère des Affaires étrangères. Le diplomate Noureddine Meriem, brandit son immunité diplomatique pour échapper à des poursuites à titre personnel. En effet, écrit le Journal de Montréal, «dans un document déposé au palais de justice de Montréal il y a quelques jours, l’État d’Algérie a laissé entendre qu’il disposait d’une immunité, sans toutefois se prononcer sur les allégations».

Par Ismail Traoré




Journée internationale des droits de femmes : Christelle Muabilu salue le sens d’adaptation des unes et des autres aux nouvelles exigences économiques et sociales

« En ce jour où la Femme est honorée par la célébration de la Journée internationale des droits des femmes, je saisis agréablement l’occasion pour rendre un vibrant hommage à toutes les femmes de mon pays et particulièrement à celles de l’Office Congolais de Contrôle (OCC),  avec un regard porté sur les différentes luttes contre les inégalités, sur votre participation à l’œuvre nationale de construction, singulièrement à la réalisation des objectifs de l’Office », a indiqué Mme Christelle Muabilu, Directeur général adjoint de l’OCC.

Dans ce message, elle salue tout spécialement le sens d’adaptation des unes et des autres aux nouvelles exigences économiques et sociales, notamment par la formation plus que jamais indispensable au numérique. En effet, il est temps pour la femme de faire bouger les lignes, de faire preuve de capacités sur tous les plans, comme vous le faites déjà si bien, femmes engagées de mon pays et de l’OCC en particulier.

Elle prend modestement, pour ma part et du haut de mes fonctions, l’engagement de garantir à chacune de vous une formation continue de qualité. Mon implication personnelle vous est acquise, pour de meilleurs résultats dans la contribution autant que possible au changement du monde, du statut de la femme au sein du monde ainsi qu’à l’OCC.

Christelle Muabilu formule le vœu de trouver demain à l’OCC plus de femmes analystes de laboratoires, inspecteurs techniques et environnementaux, inspecteurs de conformité, métrologues, chefs de départements, chefs de directions provinciales, et pourquoi pas mandataires de l’Etat.

« L’heure est donc venue de nous mettre ensemble pour aller plus encore de l’avant, porter davantage haut l’image de la femme, valoriser sans relâche le travail qu’elle est capable d’accomplir », dit-elle.

En ma qualité de première femme de l’OCC par mes fonctions, souligne Mme Christelle Muabilu, je vous souhaite à toutes une heureuse Journée des droits de femmes, tout en attirant également votre attention sur vos devoirs et votre responsabilité sur le monde en construction.




A l’occasion du 8 mars : Kabasele Tshimanga invite les femmes congolaises à monter au front

Malgré son absence au pays, le Président National de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, Monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, vient d’adresser un message aux femmes de son parti politique. Et, à travers elles, ce message est également destiné à la femme congolaise qui doit s’engager au front pour la transformation de la société nationale. Ci-dessous, ce message signé depuis Caracas (Venezuela) où il se trouve encore :

“Chères Camarades,

“Comme toutes les femmes du monde, vous célébrez, ce 8 Mars, la Journée Internationale dédiée à la femme.

“Cette commémoration se passe au moment où je me trouve à l’étranger.

“Je tiens à féliciter les Camarades restées à nos côtés pour œuvrer ensemble en faveur de la transformation de notre société qui est plombée au sous-sol du développement et qui ne peut pas changer sans la participation de la femme.

“Si la société congolaise n’arrive pas à connaître un quelconque changement dans tous les domaines de la vie nationale, la responsabilité, même partagée, incombe surtout à la femme congolaise qui ne parvient pas à faire sa propre révolution mentale.

“La femme congolaise, à tous les niveaux et de tous les âges, préfère la médiocrité. Elle refuse de se remettre en cause et de s’interroger de manière consciente sur sa part de responsabilité dans la dégradation généralisée de la situation lamentable que connaît notre pays.

“Souvent, elle croit à tort à la facilité et à des coups de pouce hypothétiques. Elle oublie qu’elle doit se battre et lutter comme l’homme. Et sans complexe. Elle commettrait l’erreur de demeurer éternellement passive.

“Le jour où la femme congolaise s’engagera au front comme toutes les autres femmes révolutionnaires du monde, la situation du pays changera radicalement.

“Pour les Camarades de la LIFUDS, cette année doit marquer la rupture totale avec des anciennes pratiques qui ravalent la femme congolaise au niveau d’une éternelle assistée sans imagination créative.

“L’UDS d’hier ne sera plus l’UDS de demain. Il n’y aura plus de cadeaux pour telle Camarade ou telle autre. Tout le monde sera sur le même pied d’égalité. Seules les femmes imaginatives et entreprenantes mériteront de l’UDS.

“A ce prix, nous bâtirons ensemble et sans discrimination quelconque, un grand parti socialiste et révolutionnaire dans notre pays.

“Les pagnes, les défilés et les beuveries annuels vécus le 8 Mars ne défendront jamais la cause de la femme congolaise. Les autorités qui encouragent ces pratiques, ne contribuent jamais à la promotion de la femme congolaise. Elles, ces autorités, agissent ainsi par manque de vision.

“Je lance un appel patriotique aux Camarades de la LIFUDS pour qu’elles rompent définitivement avec ces agissements rétrogrades.

“Éduquer une femme étant éduquer tout un peuple, la femme de l’UDS doit devenir désormais un modèle à suivre et se mettre à l’avant-garde de la lutte pour un nouveau Congo.

“Fait à Caracas, le 08 Mars 2023.

“Le Président National de l’UDS,

“Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, “Sénateur honoraire”




MAOMBI , PRIÈRE NON-STOP ET PROPHETIE AVEC LE PASTEUR FRANÇOIS MUTOMBO VH / MERCREDI 08/03/2023