Requin Do: La FECOREK s’est enrichi de 17 nouveaux instructeurs

La Fédération Congolaise de Requin Do Kick Punch ‘’FECOREK’’ s’est enrichie depuis le 5 mars 2023 de 17 nouveaux instructeurs ayant reçus missions de former des pratiquants dans cette discipline sportive Requin Do Kick Punch d’origine congolaise.

L’ouverture de ce séminaire était effectuée le 5 février 2023 à l’église Elimo Santu par M. Mbambi Makaya Christian, président de la Ligue de Requin Do Kick Punch de Kinshasa. Pour en savoir davantage sur cette formation, nous avons approché le DTN de la FECOREK Me Mukwanseke Conan Didier alias 6600 volts, CN 6è degré pour nous en dire davantage. L’on doit retenir que ledit séminaire s’est effectué pendant 4 dimanches. C’est le président de la Ligue de Kinshasa qui a également procéder à sa clôture, le dimanche 26 février. La remise des brevets de ces instructeurs formés est intervenue, le 5 mars 2023 toujours sous la présidence de M. Mbambi Makaya Christian.
Ce séminaire a connu la participation des pratiquants de plusieurs disciplines sportives des arts martiaux.

C’est notamment : mukumbusu, ju-jitsu, judo, Tang Soo Do, Lutte avec une forte participation. Le séminaire était basé sur l’initiation des instructeurs. Dans l’ensemble, tout s’était très bien passé car l’assimilation des matières était bonne et les gens étaient très contents. Ils ont manifesté leur contentement. Comme retombée, la Fecorek a enregistré l’adhésion de 4 complexes ou clubs qui se sont ajoutés dans la liste de ceux qui pratiquent le Requin Do Kick Punch : Facochères (Campus de l’Unikin dans l’amphithéâtre), à Righini il existe un club qui pratique le Requin Do et a mis ou consacre deux séances (Lundi et samedi) par semaine pour la pratique du Requin Do, Jaguar du côté de Kindele et au sein d’Elimo Santu où s’est tenu le séminaire on pratique depuis longtemps le Requin Do. Bref, c’était vraiment très bénéfique pour la vulgarisation et l’épanouissement de la pratique du Requin Do Kick Punch. Pour tout dire, les participants ont été émerveillés et très contents. Ils ont été rassurés et convaincus de ce qu’ils ont entendu du Requin Do et ce qu’ils ont vécu eux-mêmes.
Pour la petite histoire, le Requin Do Kick Punch est un style des arts martiaux créé par le congolais Gd Me Tshibambe Mwimba Dieudonné alias Gd Me chinois. Ce style a plusieurs particularités notamment que toutes les appellations sont en langues nationales. Le tatami dans le Requin Do Kick Punch est en forme d’un cercle (on l’appelle Lontena). On a deux sortes de combat : le Nguvu et le Nvita.
Antoine Bolia




Epfkin: Bilan de la 21è journée Pool B jouée ce vendredi 10 mars 2023

On a joué ce vendredi 10 mars 2023 pour compte de la 21è journée du championnat de l’Entente Provinciale de Football de Kinshasa ‘’Epfkin’’.

Ci-dessous le bilan complet des rencontres jouées :
Au Terrain Ujana
1.FC Mweka vs AC Kayolo : 0-0 (0-0 à la mi-temps)
L’équipe de FC Mweka est entrainée par l’ancien capitaine de l’AS V. Club Luende alias Ya Mombombo tandis que Eder Bondo, ancien gardien du DCMP entraine AC Kayolo
2. FC Aigle Royal vs OC Les Elites : 2-2 (1-1 à la mi-temps)


Au but réussit par Pita Lukuvika à la 20’ pour les Elites, Tshebue Tshebue a égalisé au temps additionnel avant la mi-temps.
3. Nouvelle Vie B FC vs OC Dumez : 1-3
Buteurs : Kundenga Ndele, Lokoy Afankoy et Etambe Bokombo pour OCD et Mampila Mbiyavanga sur penalty 81’ pour Nouvelle Vie
4. RC St Etienne vs AC Normands : 1-0 (1-0 à la mi-temps)
But d’Abilawu Munungu 5’ pour St Etienne
Au Terrain PNC de Lemba
1.FC Lokolo Moto vs AS Mbudi : 0-1 (0-1 à la mi-temps)
Le but de la victoire est l’œuvre de Batolanga Mayamba à la 3’
2. AS PJSK vs FC Standard : 1-0 (0-0 à la mi-temps)
But de Soke Banza à la 84’
3. FC Pharmagros vs TP Les Croyants : 0-3 (0-1 à la mi-temps)
But de Basembe Enono 42’, Isola Mardoche 52’ et Ngufulu Nsingani 74’ pour Les Croyants
4. FC Systèmes vs AF Anges Verts : 0-1 (0-1 à la mi-temps)
But d’Ediba Lungu 1’

Antoine Bolia




Face à la délégation du Conseil de sécurité: Mboso demande le vote des sanctions contre Kigali

Les bureaux de deux Chambres du Parlement congolais, conduits respectivement par Christophe Mboso pour l’Assemblée nationale et Eddy Mundela, 1er vice-président du Sénat, ont eu, ce vendredi 10 mars 2023 dans la salle des Banquets du Palais du peuple, des échanges fructueux et houleux en même temps avec l’importance délégation du Conseil de sécurité en visite en RDC.

Christophe Mboso n’a pas fait dans la dentelle. Il use d’un langage direct et sans circonlocution avec la délégation du Conseil de sécurité en lui rappelant que la RDC est agressée par le Rwanda et les Nations unies disposent de toutes les preuves irréfutables et documentées de cette agression rwandaise. Laquelle entraîne un drame humanitaire sans précédent, des cas de viol des femmes et jeunes filles, les populations en errance. Et cela avec la complicité des hommes d’affaires occidentaux.
A la lumière de ce tableau, Christophe Mboso a simplement demandé au Conseil de sécurité de voter des sanctions contre le régime de Paul Kagame, afin qu’il applique de force la feuille de route de processus conjoints de Luanda et Nairobi.
Excédé par la situation de guerre imposée injustement à la RDC, le speaker de la Chambre basse du Parlement a brisé tout protocole diplomatique en déclarant ce qui suit : « Si vous ne soutenez pas, nous serons obligés d’aller voir ailleurs, comme cela se passe en Ukraine ».
Le speaker Mboso a néanmoins remercié le Conseil de sécurité et le gouvernement américain pour leur soutien à la RDC depuis 1960 ; lequel soutien est matérialisé par la présence des troupes de la Monusco sur le sol congolais.
De manière particulière, Christophe Mboso a rendu hommage à l’administration Biden qui a condamné le Belge exploitant l’or de sang en RDC et pour avoir indexé le Rwanda comme Etat agresseur de la RDC.
De son côté, Michel Biang, chef de la délégation du Conseil de sécurité, s’est exprimé en ces termes : « Nous avons eu le privilège d’échanger, de façon franche et productive, avec le président de l’Assemblée nationale et les bureaux de deux Chambres du Parlement. Le message a été extrêmement clair face à la situation sécuritaire, humanitaire, celle qui prévaut en RDC, surtout à l’Est de la RDC. Nous, notre message est clair. Le Congo n’est pas seul ».
Mais quelle l’essence de cette visite du Conseil de sécurité en ce moment où le cessez-le-feu décidé dans le cadre des processus des paix de Luanda et Nairobi est non appliqué, la coalition M23/RDF continue d’attaquer les forces loyalistes ?
A cette préoccupation, Michel Biang répond comme suit : « Le Conseil de sécurité est venue en RDC pour s’enquérir, discuter, échanger avec les autorités congolaises, les forces vives, la classe politique, de façon à apporter une réponse et des solutions claires aux différents défis qui se posent à la RDC. Notre échange nous a permis d’avoir la perception nationale. Fort de cette perception, nous allons poursuivre nos échanges et voir de façon plus claire, comment apporter des réponses à cette situation ».
Encore des appels et échanges de la part du Conseil de sécurité alors que sur le terrain, la coalition M23/Rwanda ne décolère pas.
Pour le Gabonais Biang, c’est même l’essence de la présente visite du Conseil de sécurité. « Les sanctions sont un levier du Conseil de sécurité, mais d’autres leviers existent également, notamment la négociation. Mais pour venir à l’action, nous devons pouvoir écouter, nous devons comprendre, nous devons toucher du doigt, et surtout nous enquérir de l’ampleur de la situation. Nous sommes là parce que décider à New York est une chose, pouvoir toucher du doigt en est une autre. Et nous sommes pour pouvoir interagir avec l’ensemble des forces vives de la RDC », a-t-il expliqué par ailleurs.




Élections 2023 : l’UE met l’accent sur l’inclusivité et à la transparence des scrutins à venir

Le premier Vice-président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Bienvenu Ilanga Lembow a eu une séance de travail, dans la salle Abbé Appolinaire Malumalu, au siège de la CENI, avec une délégation de l’Union européenne (UE), conduite par Yamina GUERFI, chargée du groupe Afrique au Service européen pour l’action extérieure.


Le Secrétaire Exécutif National, Thotho Mabiku Totokani ainsi que le Directeur de cabinet du Président de la CENI, Dieudonné TSHIYOYO participaient également à cette rencontre.
Composée de 34 personnes, la délégation de l’Union européenne est venue s’enquérir de l’évolution du processus électoral en cours, en accordant une attention particulière au caractère transparent et inclusif des élections prévues en décembre 2023.
D’entrée de jeu, le premier Vice-président de la CENI a, au nom du Président Denis Kadima (empêché), fait l’état de lieux du processus électoral en cours, en mettant en avant les réalisations accomplies à mi-parcours notamment l’adoption du Plan stratégique opérationnel, l’élaboration de la Feuille de route, la mise en place des cadres de concertation avec les parties prenantes, la publication du calendrier électoral et l’opération de Révision du Fichier Électoral.
Il s’en est suivi des échanges au cours desquels les délégués de l’Union européenne ont, à travers les diverses questions posées, voulu en savoir un peu plus. Le premier Vice-Président de la Centrale électorale s’est employé à apporter l’éclairage nécessaire à travers les éléments de réponses fournis.
Au sortir de l’audience, la délégation s’est exprimée en ces termes :
“Nous sommes le groupe qui prépare au niveau de Bruxelles les décisions de l’Union européenne au compte de l’Afrique subsaharienne. Comme vous le savez, l’Union européenne attache beaucoup d’importance à l’inclusivité et la transparence des élections. Donc, c’était une séance de travail pour voir comment la CENI prépare concrètement la tenue des élections de décembre 2023”, a confié Yamina Guerfi à l’issue de ces moments d’échanges.
Et de poursuivre : “Nous avons eu une très bonne discussion. Les autorités de la CENI nous ont fait part du processus d’enrôlement qui est en cours, mais aussi de la possibilité pour la première fois, d’intégrer les Congolais résidant à l’étranger, dans une phase pilote qui comprend cinq pays. Nous avons aussi visité plusieurs endroits dans les locaux de la CENI tels que la Direction des archives, la Direction Informatique, la salle où sont collectées les données. Nous avons une impression positive du travail que la CENI est en train d’effectuer actuellement”.
Pour rappel, l’opération d’identification et d’enrôlement des Congolais résidant à l’étranger permettra à ces derniers de voter exclusivement pour la Présidentielle en se rendant aux ambassades de la RDC dans les pays concernés par cette phase pilote (Afrique du Sud, la Belgique, la France, le Canada et les États-Unis d’Amérique).




Kasaï : Des maisons et écoles emportées par une forte pluie à Djoko Pundace

Salon les témoins sur place, c’est une forte pluie qui a laissé plusieurs dégâts à son passage la nuit du mardi au mercredi dans la cité de Djoko Punda, distant de 175 kilomètres de la ville de Tshikapa. Parmi les dégâts causés, on note aussi la démolition des plusieurs églises, boutiques, pharmaciens et centre de santé.

Selon ce bilan, 5 écoles écroulées dont 2 primaires et 3 secondaires, la mosquée musulmane, 55 maisons dont 30 les toitures emportées et 20 écroulées sans traces, aucune perte des vies humaines.
Les sinistrés demandent aux gouvernement provincial, national et des organisations d’aides humanitaires de pouvoir les venir en aide, car ils se retrouvent sans abri. La majorité de personnes est composée des jeunes, les enfants de moins de 18 ans et les personnes âgées outre les vulnérables dont les femmes enceintes.
Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




Lomami : Jean-Claude Lubamba inaugure un marché moderne dans le territoire de Luilu

Ce marché a été réhabilité depuis 2018 par l’entreprise Furuha-Drida, avec l’appui financier de la BAD à travers le projet PADIR. Ce petit marché moderne pourra accueillir plus ou moins 100 vendeurs. Il est doté de deux pavillons, d’un entrepôt, d’une boutique avec locaux, d’une boucherie et d’un bloc latrines.

En rappel, dans le cadre de soutien aux efforts du gouvernement de la Rdc et d’autres partenaires dans la réduction de la pauvreté et le renforcement de la sécurité alimentaire, la BAD avait financé le gouvernement de la Rdc pour couvrir le coût du projet PADIR dans les ex. Provinces de : Bandundu, Kongo Central, Haut Katanga, Kasaï-Oriental, ainsi que le Kasaï-Central.
Benjamin Lubo




Balises : Délégation du Conseil de sécurité de l’Onu en RDC : 2023 comme en 2018, en 2011 et en 2006 !

Conduite par les représentants de la France (pour les 5 pays membres permanents du Conseil de sécurité) et du Gabon (pour les 10 pays membres non-permanents), la délégation onusienne arrivée à Kinshasa en début de soirée le jeudi 9 mars 2023 revient en terre congolaise pour les mêmes objectifs : la situation sécuritaire et le processus électoral.

Ses dernières visites, dans ce cadre, remontent, en comptant à rebours, à 2018, à 2011 et à 2006.
Tradition respectée : la veille de la visite d’une délégation du Conseil de sécurité des Nations Unies, les groupes armés ont un modus operandi connu, celui de relancer l’escalade, de façon à occuper le plus possible d’espaces, entendez localités et villes.
Objectif : mettre la barre plus haut dans la perspective des négociations desquelles ils espèrent entrer ou rentrer dans les institutions.
Évidemment, on fait peu cas du calendrier du cessez-le-feu et du retrait au point de départ. D’où le stratagème en cours d’encerclement de la ville de Goma.
Pour l’heure, le M23/Rdf n’a pas besoin de prendre Goma. D’ailleurs, en raison de la présence des troupes kényanes et burundaises de l’Eac, le Rwanda ne le permettra pas.
Membre de cette communauté – la seule organisation sous-régionale au sein de laquelle il est à l’aise (ce qui n’est pas le cas à la Cééac et ni à la Cirgl), ce pays enclavé ne voudra pas entrer en guerre directement ou indirectement avec Nairobi en territoire congolais. Ce n’est pas bon pour sa survie économique.
Aussi, asphyxier économiquement et socialement Goma, comme le Rcd/Rdf avait asphyxié Kinshasa en 1998, est une stratégie payante.
Faut-il encore que l’encerclement soit allégé.
C’est effectivement ce qui est en train de se passer sous nos yeux au travers de la coïncidence de l’acheminement de l’aide humanitaire de l’Union européenne annoncée le 4 mars dernier par Emmanuel Macron avec le séjour programmé de la délégation du Conseil de sécurité de l’Onu au chef-lieu du Nord-Kivu.
L’aide débarque au moment précis où le M23/Rdf refuse le cessez-le-feu et isole Goma où les produits de première nécessité se raréfient.
On en est plein dans “Tata aye, nzala esili”, pour reprendre une expression congolaise.
Une opération de charme malheureusement discriminante. Car, si la population de Goma peut y accéder, il n’en est pas de même de la population des villes et localités occupées par le M23/Rdf ! À moins qu’un organisme du système des Nations Unies ait été chargé de la distribuer sous un dispositif sécurisé par cette engeance !
Lorsqu’au terme de son séjour la délégation onusienne quittera le pays, elle laissera la situation sécuritaire dans l’état initial.
Elle mettra cependant – ça c’est sûr et certain, l’accent sur le processus électoral qui, à son avis, résoudra tous les problèmes politiques, sécuritaires, économiques et sociaux du pays.
On l’avait fait à Laurent-Désiré Kabila. On l’a fait à Joseph Kabila.
On veut le refaire à Félix Tshisekedi.
Entre-temps, Paul Kagame et Yoweri Museveni continuent d’utiliser le prétexte Fdrl et Adf/Nalu (désormais Adf/Mtm) pour servir de bras séculier en exécution d’une sale besogne dont la nature se devine facilement : la balkanisation de la RDC.
On ne le dira jamais assez : le sort de ce pays se joue ailleurs qu’à l’Onu !
Autrement, les Nations Unies auraient rétabli la République Démocratique du Congo dans tous ses droits. Dont celui de disposer librement de sa souveraineté.
Or, depuis 2006 – pour ne pas remonter à l’époque du Mzee Laurent-Désiré Kabila – c’est la veille de chaque échéance électorale (sur fond d’insécurité entretenue par des groupes armés), que les 15 membres du Conseil de sécurité reviennent au Congo.
Même si on résonnait par l’absurde, des élections et de l’insécurité, sa préoccupation ne serait pas celle-ci, mais plutôt celles-là!

Omer Nsongo die Lema




Sondage Le peuple d’abord : Des leaders katangais Serge Nkonde, Fifi Masuka, Dany Banza, Jacques Kyabula, (…) se mobilisent pour la réélection de Fatshi

Les leaders du Grand Katanga suivants : Serge Chembo Nkonde, Fifi Masuka, Dany Banza, Jacques Kyabula, Coco Munongo, Miguel Kashal, Adèle Kahinda, Vichy Kitunmwa, et Michel Kanyimbu se mobilisent pour la réélection de Félix Tshisekedi lors de la présidentielle de novembre 2023.

Au fur et à mesure que les jours passent, le pays s’approche de la tenue de nouvelles élections générales dont la finalité est de doter les institutions aussi bien nationales que provinciales, de nouveaux animateurs. La présente législature va donc vers sa fin. Dans tous les états-majors de partis politiques, les débats ne tournent plus qu’autour de ces enjeux électoraux qui se profilent à l’horizon. Des alliances se font et se défont en fonction des candidats que l’on compte aligner pour gagner ces consultations électorales.
Concernant précisément le grand Katanga, l’on se rappelle qu’il a été scindé en quatre nouvelles entités politico-administratives, à savoir Tanganyika et Haut-Lomami au nord, Lualaba et Haut-Katanga au sud.
Toutes les personnalités qui se battaient pour des postes dans le gouvernement provincial du Grand Katanga, se sont tournées vers ces nouvelles entités pour la mise en place des institutions avec, en face, des préoccupations d’ordre technique, financier, voire politique. Malgré ce découpage voulu depuis des années par le législateur, l’espace katangais demeure bel et bien arrimé dans le territoire congolais.
C’est ainsi que toutes les instructions venant du gouvernement de la République sont effectivement appliquées dans les nouvelles provinces de cet espace. Sous la houlette du président de la République, les autorités politico-administratives travaillent pour construire de nouvelles entités viables, modernes, où les populations vivront dans de bonnes conditions, tout en visant dans la foulée le progrès de la nation. Les leaders originaires de provinces qui composent aujourd’hui le Grand Katanga, participent donc de manière active, à la gestion des affaires de l’Etat tant au niveau des institutions nationales que provinciales. Ils ne sont dès lors pas étrangers aux événements qui rythment la vie nationale.
Ces leaders avaient pris fait et cause pour le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, après la rupture de la coalition formée avec le Front commun pour le Congo du président sortant Joseph Kabila. Ils avaient estimé, avec raison, que la reconstruction du pays exigeant la conjugaison d’efforts de l’ensemble des couches socioprofessionnelles, ils ne pouvaient demeurer en marge des actions menées sous la conduite du président de la République pour atteindre cet objectif.
Cependant, tous ces leaders ne produisent pas les mêmes résultats là où ils occupent des fonctions. Certains jouissent d’une réelle envergure, pendant que d’autres pataugent. Ce sont les leaders ayant un grand charisme que notre Institut de sondage « Le peuple d’abord »  a cherché à découvrir grâce à l’enquête menée auprès des populations de ces provinces. Il est certain que ce sont ces leaders- là qui vont battre campagne pour la réélection de Félix Tshisekedi en 2023 dans l’espace Grand Katanga.
Cette enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de 1000 personnes, âgées de 18 ans, et plus représentatives de toutes les provinces de l’espace Grand Katanga du 20 janvier au 28 février 2023. En voici les résultats :

Serge Chembo Khonde, ministre des sports et loisirs: 70%

L’actuel ministre des sports et loisirs est originaire du territoire de Sakania, dans le Haut-Katanga. A chaque séjour sur place, il ne manque jamais de rassurer les fils et filles de ce territoire de l’implication du gouvernement pour la modernisation de cette partie du pays dans le cadre du programme des 145 territoires initié par le chef de l’État, Félix Tshisekedi. Pour ce faire, il s’entretient à des intervalles réguliers avec des jeunes, des vieux, des femmes, des associations socio-culturelles pour leur expliquer l’attention que porte le chef de l’Etat sur les problèmes ayant trait à ce trait, tout en leur demandant de tout faire pour lui accorder un second mandat à la tête du pays.

Fifi Masuka, Gouverneure de la province de Lualaba: 68%

La gouverneure du Lualaba et son exécutif peuvent se féliciter des résultats enregistrés à ce jour. En effet, sur le plan social, la cheffe de la province a tout fait pour réhabiliter la prison de Dilala et autres maisons carcérales. Dans le cadre de la lutte contre la fraude minière, des mesures drastiques ont été prises. Des dispositions ont également été prises par son équipe ministérielle pour lutter contre le chômage et la dépendance alimentaire. Ses efforts pour bâtir le Lualaba moderne ont abouti à la construction des ponts Tshata dans le territoire de Mutshatsha, et Fatshi Béton dans la commune de Dilala, l’asphaltage  de la route nationale numéro 39 sur l’axe Kolwezi-Dilolo, et la réhabilitation en terre battue de la route Kasaji-Sandoa. L’Exécutif provincial a aussi remis en l’état plus de 30 puits avant de forer 50 nouveaux puits dans la ville de Kolwezi et le reste de la province dans le but de renforcer la desserte en eau potable.

Danis Banza, ambassadeur  itinérant: 63%

L’ambassadeur itinérant Dany Banza apparait incontestablement comme l’un des leaders incontestés de l’espace Grand Katanga.   Alors que les enjeux électoraux de 2023 se dessinent clairement à l’horizon, l’honorable Dany Banza Maloba qui a retrouvé enfin les insignes et les couleurs de son parti Avenir du Congo –ACO- à la suite de la mise à jour, par le Secrétariat général du Ministère de l’Intérieur en charge des partis politiques autorisés à fonctionner en République Démocratique du Congo, peut à présent se mobiliser dans la sérénité, dans le cadre de l’Union sacrée de la nation, avec pour objectif final de faire réélire Félix Tshisekedi aux élections présidentielles  de 2023.

Jacques Kyabula, Gouverneur du Haut-Katanga: 62%

Le gouverneur du Haut-Katanga a lancé plusieurs chantiers d’infrastructures routières. Il s’agit des actions visant la reconstruction de cette entité politico-administrative. Il y a quelques semaines, devant la presse locale, l’autorité provinciale a dit avoir mis de l’accent sur la qualité des infrastructures routières. Ainsi, à Likasi comme à Lubumbashi où la plupart des routes datent de l’époque coloniale, le chef de l’Exécutif provincial a construit des routes ou avenues plus agrandies. Les matériaux utilisés, selon les ingénieurs, sont plus durables. Ces ouvrages sont munis de canalisation et de systèmes d’éclairage public.
Les avenues Mzee Laurent Désiré Kabila, à Lubumbashi, et dans la ville de Likasi, certaines parties fragiles se couvrent de bétons. Une couche censée rendre plus solides les routes, avant de poser l’asphalte. A Lubumbashi, la chaussée de Kasenga devenue Boulevard Félix Tshisekedi, a connu par endroits le même procédé de construction : creusage, nivellement en vue d’ajuster le niveau du sol, pose des moellons, compactage, bétonnage enfin l’asphaltage.
Une autre route asphaltée qui fait rêver est celle qui va de Sakania à Lubumbashi. Elle a vu le jour grâce au financement d’une firme chinoise dans un partenariat public-privé, sous le contrôle de l’Agence congolaise des grands travaux, dont l’expertise en développement des infrastructures en RDC se confirme à travers cet ouvrage.
Jacques Kyabula est dès lors couvert d’éloges de la part de la population à travers les villages que parcoure cette route. Dans le secteur alimentaire, le gouverneur a réalisé une bonne récolte des graines de maïs au cours de l’année culturale 2021-2022. Pour cela, il a organisé une visite de suivi de l’opération de remboursement des sacs de maïs pour les fermiers ayant bénéficié des intrants agricoles.
Après avoir visité les dépôts de stock de maïs,  il a annoncé l’instauration d’une journée dédiée aux agriculteurs. Tout en saluant la politique agricole de son gouvernement qui a déjà récupéré 14 mille sacs des graines de maïs de 50 kilos sur le 210.000 attendus.
Ces sacs de maïs entreposés dans l’enceinte du Gouvernorat, seront transférés vers la minoterie pour la farine de maïs made in Haut- Katanga. Voilà donc une personnalité politique qui matérialise à merveille la vision de Félix Tshisekedi pour qui il est disposé à se mobiliser pour sa réélection en décembre 2023.
Coco Munongo, Député national: 59%

Le député national Coco Munongo, membre  de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social –UDPS- dit travailler calmement à présent pour assurer au président de la République, un second mandat à la tête du pays. Ce qui n’était pas le cas durant le mandat de l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale, Jean-Marc Kabund, soutient-il. La cohabitation entre ce dernier et les députés nationaux de l’UDPS, indique-t-il, n’était jamais de tout repos.
Miguel Kashal, Directeur général de l’ARSP : 58%

Le nouveau directeur général de l’autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé –ARSP- Miguel Kashal Katemb jouit d’une bonne réputation auprès de la population qui juge positif le bilan de ses actions depuis qu’il a pris la tête de cet établissement public. Ces actions ont notamment porté sur la vulgarisation de la loi sur la sous-traitance ; le renforcement du partenariat ARSP- partenaires (associations des entrepreneurs) ;
le lancement de la campagne de visibilité de l’ARSP ; le renforcement des mécanismes de lutte contre la fraude dans l’actionnariat ; le lobbying de haut niveau au forum Mining Indaba en Afrique du Sud ; le plaidoyer auprès des hautes autorités du pays pour le contrôle des activités de sous-traitance. Ce mandataire qui se dit serein est d’avis que tout sera fait pour la campagne en faveur de la réélection de Félix Tshisekedi lors de la présidentielle de décembre 2023.

Adèle Kayinda, Ministre du Portefeuille: 55%

Elle est issue de la famille royale Tshokwe de la localité de Mwatshisenge, dans le territoire de Sandoa, en province de Lualaba. La ministre du Portefeuille, Adèle Kayinda Mahina s’est engagée à accompagner le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, dans sa vision de viabilisation des entreprises de son secteur.
Elle a aussi promis d’œuvrer dans le sens de ne pas décevoir son regroupement politique, l’AFDC-A qui, à travers son autorité morale le sénateur Modeste Bahati Lukwebo,  lui a fait également confiance et croit en ses capacités de remplir cette mission pour le bonheur des Congolais.
Elle compte présentement  21 ans de carrière politique dont 18 ans en tant que députée nationale, élue de la circonscription de Sandoa, dans la province de Lualaba. Elle a été rapporteur, membre de la commission socioculturelle, membre de la commission politique, administrative et judiciaire (PAJ), où elle a exercé les fonctions de présidente de la sous-commission Justice et bonne gouvernance.
Diaconesse à la Paroisse internationale de Kinshasa (PIPKIN), Adèle Kayinda Mahina, avait aussi organisé en la Cathédrale du centenaire protestante, une journée de jeûne et prière pour soutenir les FARDC au front dans la partie Est du pays. Pour elle, malgré cette situation, les FARDC vaincront sous le leadership du Commandant suprême et chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, qui avait dédié le pays entre les mains de l’Eternel. Elle avait dans la foulée organisé une collecte de fonds en faveur des militaires et leurs familles.

Vichy Kitumwa, PCA du FPI: 53%

Vicky Katumua est une femme politique congolaise.
Enseignante de formation, elle a commencé son parcours professionnel dans le secteur de l’enseignement, et c’est son souci de la justice et de l’égalité qui l’ont conduit peu à peu jusqu’à la politique. Aujourd’hui, elle exerce les fonctions de présidente du conseil d’administration du Fonds de promotion de l’industrie –FPI-, au lendemain de sa nomination par le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi.

Michel Kanyimbu, Rapporteur du Sénat: 51%

Le rapporteur du Sénat Michel Kanyimbu a pris langue avec le président de l’assemblée provinciale du Lualaba pour évoquer les modalités pratiques en vue d’accorder un second mandat au président Felix Antoine Tshisekedi. « C’était une réunion familiale, j’ai été reçu comme fils de la maison. Nous avons fait le contour sur le fonctionnement de la province, et surtout pour travailler afin de faire élire notre candidat qui est le président de la République Félix Tshisekedi, avait-il fait savoir.

Sondage le Peuple d’abord




Kuakara, une nouvelle maladie sans traitement au Kasaï !

Les enfants et personnes âgées souffrent d’une nouvelle épidémie appelée Kuakara, dans la province du Kasaï. La ville de Tshikapa et territoire sont les plus touchés depuis plusieurs jours maintenant. Selon plusieurs sources et victimes, les enfants de moins de 13 ans et les personnes âgées sont les plus touchés, outre les femmes enceintes.

Cette épidémie est caractérisée par les boutons sur les corps qui finissent par se transformer à des trais qui font couler le sang complètement noir. Aucun traitement n’a encore été trouvé. D’ailleurs, le nom de Kuakara est totalement local, note un notable père de deux enfants touchés.
Cette épidémie résulte de l’utilisation des eaux polluées par les rivières Tshikapa et Kasaï par une société angolaise avec les produits tellement toxiques. Le gouvernement national n’a jamais réalisé les promesses faites de doter plusieurs villages et la ville des forages d’eau pour prévenir ces maladies infectieuses. Mme Eve Bazaiba, Vice-Premier ministre et ministre de l’Environnement et développement durable qui avait conduit la délégation gouvernementale, n’a jamais répondu à des exigences de la population, regrette les victimes sans appuis.


Le gouvernement provincial n’a pas encore officiellement déclaré l’existence d’une épidémie appelée Kuakara et aucune disposition n’a été prise. Les villages les plus touchés, c’est dans le secteur de Bapende, secteur de Tshikapa et Kasaï Kabambayi
Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa




Redynamisation de l’UDPS au Kasaï : Crispin Mukendi Bukasa fait un don de 9 motos aux sectionnaires de 9 secteurs du territoire de Tshikapa

Bientôt, le parti au pouvoir va lancer une campagne de redynamisation des cellules et villages du Territoire de Tshikapa. C’est l’avocat Crispin Mukendi Bukasa qui l’a dit lors de la remise des motos aux 9 chefs de ce parti dans les 9 secteurs de Tshikapa. Les bénéficiaires ont promis de faire un travail de qualité dans le souci d’implanter l’Udps dans chaque village, localités et fermes du territoire de Tshikapa Kamonia.

Soulignons que ce don est une œuvre privée du conseiller du chef de l’État au collège des Mines et énergie lors de son passage à Kamako, passant par Kamonia il y a quelques jours.
Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville