Les leaders du Grand Katanga suivants : Serge Chembo Nkonde, Fifi Masuka, Dany Banza, Jacques Kyabula, Coco Munongo, Miguel Kashal, Adèle Kahinda, Vichy Kitunmwa, et Michel Kanyimbu se mobilisent pour la réélection de Félix Tshisekedi lors de la présidentielle de novembre 2023.
Au fur et à mesure que les jours passent, le pays s’approche de la tenue de nouvelles élections générales dont la finalité est de doter les institutions aussi bien nationales que provinciales, de nouveaux animateurs. La présente législature va donc vers sa fin. Dans tous les états-majors de partis politiques, les débats ne tournent plus qu’autour de ces enjeux électoraux qui se profilent à l’horizon. Des alliances se font et se défont en fonction des candidats que l’on compte aligner pour gagner ces consultations électorales.
Concernant précisément le grand Katanga, l’on se rappelle qu’il a été scindé en quatre nouvelles entités politico-administratives, à savoir Tanganyika et Haut-Lomami au nord, Lualaba et Haut-Katanga au sud.
Toutes les personnalités qui se battaient pour des postes dans le gouvernement provincial du Grand Katanga, se sont tournées vers ces nouvelles entités pour la mise en place des institutions avec, en face, des préoccupations d’ordre technique, financier, voire politique. Malgré ce découpage voulu depuis des années par le législateur, l’espace katangais demeure bel et bien arrimé dans le territoire congolais.
C’est ainsi que toutes les instructions venant du gouvernement de la République sont effectivement appliquées dans les nouvelles provinces de cet espace. Sous la houlette du président de la République, les autorités politico-administratives travaillent pour construire de nouvelles entités viables, modernes, où les populations vivront dans de bonnes conditions, tout en visant dans la foulée le progrès de la nation. Les leaders originaires de provinces qui composent aujourd’hui le Grand Katanga, participent donc de manière active, à la gestion des affaires de l’Etat tant au niveau des institutions nationales que provinciales. Ils ne sont dès lors pas étrangers aux événements qui rythment la vie nationale.
Ces leaders avaient pris fait et cause pour le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, après la rupture de la coalition formée avec le Front commun pour le Congo du président sortant Joseph Kabila. Ils avaient estimé, avec raison, que la reconstruction du pays exigeant la conjugaison d’efforts de l’ensemble des couches socioprofessionnelles, ils ne pouvaient demeurer en marge des actions menées sous la conduite du président de la République pour atteindre cet objectif.
Cependant, tous ces leaders ne produisent pas les mêmes résultats là où ils occupent des fonctions. Certains jouissent d’une réelle envergure, pendant que d’autres pataugent. Ce sont les leaders ayant un grand charisme que notre Institut de sondage « Le peuple d’abord » a cherché à découvrir grâce à l’enquête menée auprès des populations de ces provinces. Il est certain que ce sont ces leaders- là qui vont battre campagne pour la réélection de Félix Tshisekedi en 2023 dans l’espace Grand Katanga.
Cette enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de 1000 personnes, âgées de 18 ans, et plus représentatives de toutes les provinces de l’espace Grand Katanga du 20 janvier au 28 février 2023. En voici les résultats :
Serge Chembo Khonde, ministre des sports et loisirs: 70%
L’actuel ministre des sports et loisirs est originaire du territoire de Sakania, dans le Haut-Katanga. A chaque séjour sur place, il ne manque jamais de rassurer les fils et filles de ce territoire de l’implication du gouvernement pour la modernisation de cette partie du pays dans le cadre du programme des 145 territoires initié par le chef de l’État, Félix Tshisekedi. Pour ce faire, il s’entretient à des intervalles réguliers avec des jeunes, des vieux, des femmes, des associations socio-culturelles pour leur expliquer l’attention que porte le chef de l’Etat sur les problèmes ayant trait à ce trait, tout en leur demandant de tout faire pour lui accorder un second mandat à la tête du pays.
Fifi Masuka, Gouverneure de la province de Lualaba: 68%
La gouverneure du Lualaba et son exécutif peuvent se féliciter des résultats enregistrés à ce jour. En effet, sur le plan social, la cheffe de la province a tout fait pour réhabiliter la prison de Dilala et autres maisons carcérales. Dans le cadre de la lutte contre la fraude minière, des mesures drastiques ont été prises. Des dispositions ont également été prises par son équipe ministérielle pour lutter contre le chômage et la dépendance alimentaire. Ses efforts pour bâtir le Lualaba moderne ont abouti à la construction des ponts Tshata dans le territoire de Mutshatsha, et Fatshi Béton dans la commune de Dilala, l’asphaltage de la route nationale numéro 39 sur l’axe Kolwezi-Dilolo, et la réhabilitation en terre battue de la route Kasaji-Sandoa. L’Exécutif provincial a aussi remis en l’état plus de 30 puits avant de forer 50 nouveaux puits dans la ville de Kolwezi et le reste de la province dans le but de renforcer la desserte en eau potable.
Danis Banza, ambassadeur itinérant: 63%
L’ambassadeur itinérant Dany Banza apparait incontestablement comme l’un des leaders incontestés de l’espace Grand Katanga. Alors que les enjeux électoraux de 2023 se dessinent clairement à l’horizon, l’honorable Dany Banza Maloba qui a retrouvé enfin les insignes et les couleurs de son parti Avenir du Congo –ACO- à la suite de la mise à jour, par le Secrétariat général du Ministère de l’Intérieur en charge des partis politiques autorisés à fonctionner en République Démocratique du Congo, peut à présent se mobiliser dans la sérénité, dans le cadre de l’Union sacrée de la nation, avec pour objectif final de faire réélire Félix Tshisekedi aux élections présidentielles de 2023.
Jacques Kyabula, Gouverneur du Haut-Katanga: 62%
Le gouverneur du Haut-Katanga a lancé plusieurs chantiers d’infrastructures routières. Il s’agit des actions visant la reconstruction de cette entité politico-administrative. Il y a quelques semaines, devant la presse locale, l’autorité provinciale a dit avoir mis de l’accent sur la qualité des infrastructures routières. Ainsi, à Likasi comme à Lubumbashi où la plupart des routes datent de l’époque coloniale, le chef de l’Exécutif provincial a construit des routes ou avenues plus agrandies. Les matériaux utilisés, selon les ingénieurs, sont plus durables. Ces ouvrages sont munis de canalisation et de systèmes d’éclairage public.
Les avenues Mzee Laurent Désiré Kabila, à Lubumbashi, et dans la ville de Likasi, certaines parties fragiles se couvrent de bétons. Une couche censée rendre plus solides les routes, avant de poser l’asphalte. A Lubumbashi, la chaussée de Kasenga devenue Boulevard Félix Tshisekedi, a connu par endroits le même procédé de construction : creusage, nivellement en vue d’ajuster le niveau du sol, pose des moellons, compactage, bétonnage enfin l’asphaltage.
Une autre route asphaltée qui fait rêver est celle qui va de Sakania à Lubumbashi. Elle a vu le jour grâce au financement d’une firme chinoise dans un partenariat public-privé, sous le contrôle de l’Agence congolaise des grands travaux, dont l’expertise en développement des infrastructures en RDC se confirme à travers cet ouvrage.
Jacques Kyabula est dès lors couvert d’éloges de la part de la population à travers les villages que parcoure cette route. Dans le secteur alimentaire, le gouverneur a réalisé une bonne récolte des graines de maïs au cours de l’année culturale 2021-2022. Pour cela, il a organisé une visite de suivi de l’opération de remboursement des sacs de maïs pour les fermiers ayant bénéficié des intrants agricoles.
Après avoir visité les dépôts de stock de maïs, il a annoncé l’instauration d’une journée dédiée aux agriculteurs. Tout en saluant la politique agricole de son gouvernement qui a déjà récupéré 14 mille sacs des graines de maïs de 50 kilos sur le 210.000 attendus.
Ces sacs de maïs entreposés dans l’enceinte du Gouvernorat, seront transférés vers la minoterie pour la farine de maïs made in Haut- Katanga. Voilà donc une personnalité politique qui matérialise à merveille la vision de Félix Tshisekedi pour qui il est disposé à se mobiliser pour sa réélection en décembre 2023.
Coco Munongo, Député national: 59%
Le député national Coco Munongo, membre de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social –UDPS- dit travailler calmement à présent pour assurer au président de la République, un second mandat à la tête du pays. Ce qui n’était pas le cas durant le mandat de l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale, Jean-Marc Kabund, soutient-il. La cohabitation entre ce dernier et les députés nationaux de l’UDPS, indique-t-il, n’était jamais de tout repos.
Miguel Kashal, Directeur général de l’ARSP : 58%
Le nouveau directeur général de l’autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé –ARSP- Miguel Kashal Katemb jouit d’une bonne réputation auprès de la population qui juge positif le bilan de ses actions depuis qu’il a pris la tête de cet établissement public. Ces actions ont notamment porté sur la vulgarisation de la loi sur la sous-traitance ; le renforcement du partenariat ARSP- partenaires (associations des entrepreneurs) ;
le lancement de la campagne de visibilité de l’ARSP ; le renforcement des mécanismes de lutte contre la fraude dans l’actionnariat ; le lobbying de haut niveau au forum Mining Indaba en Afrique du Sud ; le plaidoyer auprès des hautes autorités du pays pour le contrôle des activités de sous-traitance. Ce mandataire qui se dit serein est d’avis que tout sera fait pour la campagne en faveur de la réélection de Félix Tshisekedi lors de la présidentielle de décembre 2023.
Adèle Kayinda, Ministre du Portefeuille: 55%
Elle est issue de la famille royale Tshokwe de la localité de Mwatshisenge, dans le territoire de Sandoa, en province de Lualaba. La ministre du Portefeuille, Adèle Kayinda Mahina s’est engagée à accompagner le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, dans sa vision de viabilisation des entreprises de son secteur.
Elle a aussi promis d’œuvrer dans le sens de ne pas décevoir son regroupement politique, l’AFDC-A qui, à travers son autorité morale le sénateur Modeste Bahati Lukwebo, lui a fait également confiance et croit en ses capacités de remplir cette mission pour le bonheur des Congolais.
Elle compte présentement 21 ans de carrière politique dont 18 ans en tant que députée nationale, élue de la circonscription de Sandoa, dans la province de Lualaba. Elle a été rapporteur, membre de la commission socioculturelle, membre de la commission politique, administrative et judiciaire (PAJ), où elle a exercé les fonctions de présidente de la sous-commission Justice et bonne gouvernance.
Diaconesse à la Paroisse internationale de Kinshasa (PIPKIN), Adèle Kayinda Mahina, avait aussi organisé en la Cathédrale du centenaire protestante, une journée de jeûne et prière pour soutenir les FARDC au front dans la partie Est du pays. Pour elle, malgré cette situation, les FARDC vaincront sous le leadership du Commandant suprême et chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, qui avait dédié le pays entre les mains de l’Eternel. Elle avait dans la foulée organisé une collecte de fonds en faveur des militaires et leurs familles.
Vichy Kitumwa, PCA du FPI: 53%
Vicky Katumua est une femme politique congolaise.
Enseignante de formation, elle a commencé son parcours professionnel dans le secteur de l’enseignement, et c’est son souci de la justice et de l’égalité qui l’ont conduit peu à peu jusqu’à la politique. Aujourd’hui, elle exerce les fonctions de présidente du conseil d’administration du Fonds de promotion de l’industrie –FPI-, au lendemain de sa nomination par le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi.
Michel Kanyimbu, Rapporteur du Sénat: 51%
Le rapporteur du Sénat Michel Kanyimbu a pris langue avec le président de l’assemblée provinciale du Lualaba pour évoquer les modalités pratiques en vue d’accorder un second mandat au président Felix Antoine Tshisekedi. « C’était une réunion familiale, j’ai été reçu comme fils de la maison. Nous avons fait le contour sur le fonctionnement de la province, et surtout pour travailler afin de faire élire notre candidat qui est le président de la République Félix Tshisekedi, avait-il fait savoir.
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