Selon le Sondage Le Peuple d’Abord: Dix partis politiques se mobilisent fortement sur le terrain pour la réélection de Félix Tshisekedi en décembre 2023

Au lendemain de sa rupture d’avec le camp du président sortant Joseph Kabila, l’actuel chef de l’Etat avait jugé nécessaire de lancer sa nouvelle plateforme, l’Union sacrée de la nation. Ce, pour mobiliser les énergies nécessaires susceptibles de permettre au gouvernement de la République de bien appliquer sa vision politique coulée sous forme d’un programme d’action. Sans plus tarder, plusieurs leaders de partis politiques convaincus de la pertinence de la décision prise par le chef de l’Etat,  avaient rejoint la nouvelle plateforme, dans la mesure où la finalité de sa mise en place était le bien-être de la population, la reconstruction du pays, et son émergence sur la scène internationale. L’on ainsi assisté à la naissance d’un bloc solide autour du président de la République.

Cependant, l’on sait que les partis politiques ou les personnalités ayant pris leurs cartes au sein de l’Union sacrée de la nation, n’ont pas tous la même envergure, ou encore, la même base sociologique sur l’ensemble du territoire national. Les uns apparaissent nettement faibles, tandis que d’autres ont une renommée qui va au-delà des frontières nationales.
Quoi qu’il en soit, tous se disent déterminés à assurer un second mandat à Félix Tshisekedi lors de la présidentielle devant être organisée en décembre 2023. Pour cette raison, ils mobilisent fortement leurs fédérations ainsi que leurs élus dans les deux chambres du Parlement afin d’atteindre cet objectif.
Le sondage effectué du 12 février au 15 mars 2023 par l’Institut « Le peuple d’abord », est parvenu à détecter dix formations politiques qui se battent effectivement pour que le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, puisse rempiler à la tête de la République démocratique du Congo. Nous vous présentons, ci-dessous, ces partis politiques très actifs sur le terrain.

UDPS, Augustin Kabuya, Secrétaire général

 

Le Secrétaire national en charge des Relations avec les forces politiques et sociales, Martin Konga, a affirmé que l’Union pour la démocratie et le progrès social UDPS/Tshisekedi se mobilise pour offrir au président de la République un deuxième mandat lors de la prochaine présidentielle. Nous lançons un pressant message à tous nos militants de se mobiliser pour que lors des prochaines élections, nous puissions offrir un deuxième mandat au président de la République, et surtout une majorité confortable afin de lui permettre de réaliser son ambitieux projet de société pour le bien-être des Congolais. Pour y parvenir, nous appelons tous les militants à continuer à s’enrôler massivement et à faire enrôler cinq personnes par parcelle, a-t-il déclaré.
Il a saisi l’opportunité pour faire la restitution des assises de Kisantu, en expliquant aux militants quelques résolutions importantes parmi lesquelles la désignation du chef de l’État comme candidat du parti à la présidentielle de 2023. Ceci pour couper court aux manœuvres politiciennes observées de la part de certains alliés qui voudraient prendre Félix Tshisekedi en otage. Il a insisté sur l’engagement de chacun afin de réaliser l’objectif qui est celui de donner un deuxième mandat au président de la République et une majorité écrasante au Parlement.

Abdon Etina Bekele Ipan, Autorité morale d’APOCM 

L’Autorité morale de l’Alliance des paysans, ouvriers et de la classe moyenne –APOCM- se mobilise pour la réélection de Félix Tshisekedi en 2023. Ce choix est justifié par sa conviction et sa détermination à voir l’actuel président de la République être reconduit à ce poste. C’est cela qui explique ses appels incessants à l’endroit de la jeunesse et, ensuite à toute la population congolaise à se mobiliser et à s’enrôler pour soutenir la candidature de Félix Tshisekedi de manière à le reconduire pour un second mandat. Le discours de ce parti qui se défini comme étant celui de proximité et du peuple par le peuple ou pour le peuple, séduit les Congolais de l’Est à l’0uest.
Gentiny Ngobila, Alliance des Congolais Progressistes

 

Le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila, a jeté son dévolu sur le président de la République, Félix Tshisekedi pour la présidentielle de 2023.
L’autorité urbaine de la capitale apporte clairement son soutien à la candidature de Félix Tshisekedi pour lui permettre de gagner un second mandat à la tête du pays en décembre prochain.
“Je soutiendrai le président de la République, Félix Tshisekedi, en 2023”, a-t-il dit. Gentiny Ngobila a fait cette annonce pour notamment mettre fin aux rumeurs selon lesquelles, il aurait des ambitions pour briguer la magistrature suprême en 2023 en République démocratique du Congo.
Jean-Pierre Bemba, MLC

 

Jean-Pierre Bemba mobilise dans la partie Ouest du pays où il prêche la réélection du chef de l’État à la présidentielle de 2023. Le vice-président honoraire de la République draine de nombreuses foules à chacune de ses descentes. Des villes à l’instar de Gbadolite, Gemena, Lisala, Bumba, Boende, Mbandaka, etc. sont conquises par cette tournée du chairman dans l’ex-province historique de l’Equateur où il va souvent en pré-campagne.
Fidèle à Tshisekedi depuis qu’il a officiellement accepté d’adhérer à l’Union sacrée de la nation, le leader du MLC est donc bel et bien rangé derrière le chef de l’État pour un second mandat.
Fifi Masuka Saini, FIDEC

 

Au cours d’un point de presse, Marie-Louise Epoli, haut cadre du Front des indépendants pour la démocratie chrétienne –FIDEC-, a affirmé que le parti de Fifi Masuka soutient la candidature de Félix Tshisekedi aux élections présidentielles de 2023. De même, Madame Epoli précise que le parti de la femme forte du Lualaba alignera des candidats aux élections législatives nationales et provinciales, ainsi qu’aux élections locales pour y rafler la majorité.
« Notre candidat chez nous c’est Félix Tshisekedi. Nous le soutenons, nous voulons avoir la majorité dans les assemblées provinciales, à l’assemblée nationale, même au Sénat. », a dit Marie-Louise Epoli. Issue du démembrement du grand Katanga, la riche province de Lualaba demeure favorable au président Félix Tshisekedi.
Avenir du Congo, Dany Banza

Le conseiller en intégration régionale du chef de l’Etat, l’ambassadeur Dany Banza Maloba appelle la population du Tanganyika à l’enrôlement massif pour la réélection du président Félix Tshisekedi à la magistrature suprême. «Allons à l’enrôlement pour réélire le président Félix Tshisekedi afin qu’il continue sa vision de libérer le Congo de cette insécurité nous imposée par le Rwanda pour voler nos minerais», s’est exprimé l’autorité morale et président national de l’Avenir du Congo –ACO- devant la population nombreuse à la place Kisebwe à Kalemie, chef-lieu de la province du Tanganyika au cours d’un meeting populaire.
Agir pour la République, Guy Loando
Le ministre d’Etat, ministre de l’Aménagement du territoire a créé son parti avec un objectif: faire élire des députés sous ses couleurs, lors de prochaines législatives. Avec en ligne de mire le soutien aux actions du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi pour un second mandat.
Lors du discours d’inauguration de sa formation politique, prononcé à l’issue du Congrès tenu dernièrement au siège du parti à la 4ème rue le long du Boulevard Lumumba, l’initiateur de la Fondation Widal a invité la population à travailler pour la réélection du président de la République, et par-delà, la réalisation de sa vision.
A la clôture du congrès, le parti AREP a fait une déclaration de soutien au président de la République Félix Tshisekedi, lui témoignant «son attachement indéfectible à sa vision et aux valeurs de la démocratie, de la promotion des droits humains pour lesquelles feu Etienne Tshisekedi Wa Mulumba a mené une lutte politique inlassable ».
BUREC, Julien Paluku

Le parti politique Bloc Uni pour la Renaissance et l’Émergence –BUREC- a choisi Félix Tshisekedi comme son candidat à la prochaine présidentielle. C’est à l’issue de son deuxième congrès tenu à Bukavu sous le thème : « Relèvement, sentiment patriotique derrière les institutions démocratiques du pays », que le parti de Julien Paluku a jeté son dévolu sur le président actuel pour briguer un second mandat.
Pour le parti BUREC, le choix porté sur Félix Tshisekedi se justifie par le souci de l’actuel président de la République pour l’émergence de la République démocratique du Congo. «Considérant le souci permanent de Félix Tshisekedi, pour l’émergence du Congo, le bien-être de la population et le développement du pays en général, le BUREC s’engage à soutenir le candidat président de la République de l’Union sacrée de la nation à la 4ème législature, Félix Tshisekedi », a-t-on indiqué dans la déclaration finale du congrès.
François Ruboya, CNARC

Le parti politique dénommé Congrès national africain pour le réveil du Congo –CNARC- mobilise la population aussi bien dans la capitale que dans les provinces pour accorder un second mandat au président Félix Tshisekedi. « Nous lançons un appel à la mobilisation générale à la population kinoise, en particulier et au  peuple  congolais en général, pour accorder au chef de l’État, Félix Tshisekedi, un second mandat aux élections de 2023 », a déclaré le président du parti du Congrès national africain pour le réveil du Congo –CNARC-, Aimé Pascal Mongo, dans son meeting, au nom de l’Autorité morale, François Rubota, ministre du Développement rural. Il a aussi demandé à  la population de se faire enrôler massivement pour soutenir le président de la République et les candidats de son parti. Par ailleurs, le président du CNARC a dénoncé les antivaleurs au sein de la société congolaise, notamment les vols et détournements de deniers publics qui, d’après lui, ne contribuent pas à l’honneur et à la dignité de la RDC.
Christophe Lutundula, ADP

 

Le gouvernement congolais est appelé à maintenir sa position de ne pas négocier avec le mouvement terroriste M23 sous n’importe quel prétexte. Telle est l’une des recommandations faites par le comité exécutif élargi de l’Alliance des démocrates pour le progrès –ADP-, parti politique fondé par Christophe Lutundula Apala, au gouvernement de Sama Lukonde, dans sa déclaration faite dans le cadre de la réponse à l’appel à la mobilisation générale lancé par le président de la République, Félix Tshisekedi.
Cette formation politique demande en outre au gouvernement de la RDC de garder un œil regardant sur l’Ouganda, cité comme le berceau de la recomposition du mouvement terroriste M23, et de rejeter toute idée de déploiement des UPDF dans le cadre des forces régionales.
A la communauté internationale, l’ADP demande de sortir de son mutisme et de prendre des sanctions contre le Rwanda et le mouvement terroriste du M23. Aux Nations-Unis, ce parti politique recommande d’analyser le dernier rapport de ses experts confirmant la présence des troupes rwandaises en RDC, ainsi que le rapport Mapping, et d’en tirer toutes les conséquences.
Aux leaders politiques congolais, le parti de Christophe Lutundula demande de favoriser la cohésion nationale dans un élan de sursaut patriotique, en mettant de côté la primauté du positionnement personnel pour vaincre l’ennemi. Au peuple congolais, de rester vigilant et de ne pas céder à des discours séparatistes.
«Félix Tshisekedi m’a fait confiance, je lui renvoie l’ascenseur, non seulement je reste au Gouvernement, mais en plus, je reste sur le front, avec Felix Tshisekedi et ensemble nous allons nous battre et gagner les prochaines élections», a laissé entendre Christophe Lutundula.




LdC (Afrique) : Victoire retentissant pour Al Ahly , Bélouizdad et Esperence en quarts!

Les trois premiers matchs comptant pour la 5e et avant-dernière journée de la phase de groupes de la Ligue des champions africaine étaient au programme vendredi.

Dans le groupe B, Al Ahly a relevé la tête et cartonné en s’imposant 4-0 au Cameroun contre Coton Sport, déjà éliminé. L’international égyptien Mahmoud Kahraba a claqué un triplé (23e, 29e et 51e) et l’international sud-africain Percy Tau a enfoncé le clou (54e). Désormais, les Diables Rouges croisent les doigts car leur survie dépend du résultat d’Al Hilal ce samedi à domicile contre Mamelodi Sundowns, déjà qualifié. Si les Soudanais gagnent, le géant cairote ne pourra plus les rattraper et se retrouvera déjà éliminé… Dans le cas contraire, on aura droit à une alléchante «finale» Al Ahly-Al Hilal lors de la dernière journée.

Le Zamalek s’arrête encore en poules…
Dans le même temps, la poule D a rendu son verdict avec les qualifications de l’Espérance Tunis et du CR Belouizdad en quarts de finale. Dans un match à l’extérieur délocalisé en Libye à Benghazi, les Tunisiens ont pourtant été accrochés sur le fil par Al Merreikh (1-1). Mohamed Ali Ben Hammouda avait ouvert le score (23e), mais le Brésilien Paulo Sergio Luiz de Souza a arraché l’égalisation à la 90e sur un penalty concédé par Raed Bouchniba, exclu.

Dans la soirée, l’EST a été rejointe par le CR Bélouizdad, vainqueur 2-0 du Zamalek à Alger sur des buts inscrits durant le dernier quart d’heure par Zakaria Draoui (75e) et le Camerounais Leonel Wamba (79e). Ce résultat élimine le Zamalek en phase de groupes pour la 3e saison consécutive… On aura droit en revanche lors de la dernière journée à une « finale » pour la 1ère place entre l’EST et son dauphin, le CRB, qui la suit à un point.G




Une mission du FMI à Kinshasa pour assister le Gouvernement dans l’accélération de la mise en œuvre de l’Agenda 2030 en faveur des objectifs du Développement

A  la demande du Ministre des Finances Nicolas Kazadi, une équipe de la mission du siège du Département des Finances Publiques du Fonds monétaire international (FMI) séjourne à Kinshasa depuis le 14 mars 2023.

Cette mission connait la participation des experts de services techniques du Gouvernement impliqués dans les questions du développement. Elle a pour but d’assister le Gouvernement de la Rdc dans l’accélération de la mise en œuvre de l’Agenda 2030 en faveur des objectifs du Développement.

Les travaux de cette mission portent sur l’estimation des besoins en dépenses requises pour éradiquer notamment l’extrême pauvreté au travers d’une éducation de qualité, une eau potable, un environnement assaini, une énergie propre et ce, à coût abordable.

Supervisée par le Comité de Pilotage et d’Orientation de la Réforme des Finances Publiques (COREF), ces travaux seront sanctionnés par la remise, aux instances gouvernementales, d’un rapport technique évoquant des points d’attention et présentant un éventail des recommandations aux fins d’un développement conséquent des secteurs névralgiques, à savoir l’éducation, la santé, l’eau, l’énergie et les routes.

L’aboutissement de la feuille de route qui s’ensuivra devrait donc améliorer la qualité des instruments de planification et de suivi stratégiques, dont la finalité est d’apporter, suivant le Plan National Stratégique de Développement (PNSD), des réponses plus structurées et adéquates aux défis de l’émergence du pays.




Tshisekedi et Albert Zeufack discutent sur un appui budgétaire de 500 millions de dollars Us que la BM veut allouer à la Rdc

Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, a accordé, ce vendredi 17 mars 2023, à la Cité de l’Union africaine, une audience à M. Albert Zeufack, Directeur des Opérations à la Banque mondiale pour la RDC, l’Angola, le Burundi et le Sao Tomé et Principe.

Au cœur de leur entrevue, l’état d’avancement des projets financés par la BM en République Démocratique du Congo et leur mise en œuvre dans le cadre de partenariat stratégique avec cette institution financière internationale.

Le Chef de l’État et son hôte ont également passé en revue les différentes pistes de réflexion de la Banque mondiale pour accompagner la RDC dans sa transformation économique et la construction des infrastructures fondamentales pour la création d’emplois et l’amélioration des conditions de vie des populations.

Le Chef de l’État et le directeur pays de la Banque Mondiale ont également parlé du programme de l’appui budgétaire de 500 millions de dollars américains que l’institution de Breton Woods prépare et qui va bientôt passer à la phase de validation par son conseil d’administration.

Ils ont, par ailleurs, évoqué le projet « éducation secondaire des filles”, un projet de 400 millions de dollars américains pour soutenir la mise en œuvre de la gratuité à l’école primaire et accompagner les filles dans l’enseignement secondaire, tout en les protégeant de toutes sortes de violences.

Enfin, l’appui que la Banque mondiale veut apporter au projet de construction de la route Kananga-Bukavu a également été évoqué par le Chef de l’État et M. Zeufack.




Le Président Motsepe félicite le Président Infantino pour sa réélection à la tête de la FIFA

Le Président de la Confédération Africaine de Football (“CAF”) félicite le Président Gianni Infantino pour sa réélection en tant que Président de la FIFA.
La CAF et la grande famille du football en Afrique saluent le partenariat avec le Président Gianni Infantino et la FIFA dans le développement et la croissance du football africain et mondial.
Le Président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, a déclaré : “La CAF s’est engagée à développer et à promouvoir le football pour les garçons et les filles ainsi que le football amateur et professionnel sur le continent africain. La construction et la modernisation des infrastructures et des installations de football ainsi que l’amélioration du niveau et de la qualité du football en Afrique sont essentielles pour que le football africain devienne compétitif au niveau mondial et autonome. Le Président Gianni Infantino et la FIFA ont été des partenaires engagés et fiables dans le développement, l’amélioration et la promotion du football africain. La CAF se réjouit de la réélection du Président Infantino à la tête de la FIFA et est convaincue que le football en Afrique et dans le monde continuera à se développer, à progresser et à être une force positive, sous sa direction.’’
La réélection du Président Gianni Infantino a eu lieu au Rwanda au cours du premier Congrès électif de l’histoire de la FIFA à se dérouler en Afrique.
Pour plus d’informations, contactez le département de la Communication via communications@cafonline.com




Les ministres des AE de l’OCI saluent le rôle pionnier de SM le Roi, en tant que Leader de l’UA sur la question de la Migration

Les ministres des AE de l’OCI saluent le rôle pionnier de SM le Roi, en tant que Leader de l’UA sur la question de la Migratio

Le 49ème Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), tenu les 16 et 17 mars à Nouakchott, a salué le rôle pionnier de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en tant que Leader de l’Union africaine sur la question de la Migration, ainsi que la politique du Maroc en la matière.
Au terme des travaux de cette session, à laquelle le Maroc était représenté par une délégation conduite par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita, les ministres ont mis l’accent sur les efforts consentis par le Royaume dans le domaine de la migration ainsi que la pertinence de sa politique d’intégration des migrants, en régularisant leur situation juridique et en leur offrant les conditions d’une vie décente.
Le Conseil s’est, également, félicité de la mise en place au Maroc de l’Observatoire africain des migrations.
Cette session, organisée sous le thème “le juste milieu et la modération : gage de sécurité et de stabilité”, a été l’occasion, aussi, de mettre en avant les actions menées par le Royaume, sous le leadership de Sa Majesté le Roi, pour rétablir la sécurité et la stabilité dans plusieurs Etats membres de l’OCI, notamment en Afrique.
A cet égard, les ministres ont salué le rôle actif du Maroc, qui assure depuis 2021 la présidence de la Configuration République Centrafricaine de la Commission de consolidation de la paix des Nations unies (CCP) et de ses efforts dans la consolidation de la paix dans ce pays.
Le Conseil s’est, également, félicité de l’ouverture à Rabat du Bureau Programme des Nations unies pour la lutte contre le terrorisme et la formation en Afrique.
Dans ce sens, il a appelé les Etats membres de l’OCI à tirer profit de ce partenariat et des projets conjoints mis en œuvre par ce bureau dans le domaine de la lutte contre le terrorisme.
En outre, le Conseil a mis en exergue l’organisation par le Maroc de la réunion de haut niveau des chefs des agences de lutte contre le terrorisme et de sécurité des pays de l’Afrique du Nord et du Sahel, tenue les 23 et 24 juin 2022 à Marrakech.
Dans le même contexte, le Conseil a mis en exergue les efforts déployés par le Royaume en matière de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme à travers ses initiatives entreprises aux niveaux régional et international, couronnées par l’inauguration du Bureau du programme de l’ONU pour la lutte contre le terrorisme et la formation en Afrique, ainsi que la coprésidence avec le Canada du Forum mondial de lutte contre le terrorisme et la tenue à Marrakech, le 11 mai 2022, de la Réunion ministérielle de la Coalition mondiale contre “Daech”.
Il a affirmé que “les menaces que représentent les groupes séparatistes pour la stabilité politique et sécuritaire dans de nombreuses régions sont aussi dangereuses que celles émanant des groupes terroristes et extrémistes, eu égard à leurs alliances et leur accès à des moyens financiers et tactiques, ce qui exige l’adoption par les Etats membres d’une approche globale pour renforcer les efforts de lutte contre les principaux facteurs de la propagation de l’extrémisme, du terrorisme et du séparatisme.
Le Conseil a, également, salué le don d’un million de dollars, accordé par le Maroc, sur Hautes Instructions Royales, au profit du peuple yéménite, à l’occasion de la tenue, le 1er mars 2021, de la réunion de haut niveau sur le Plan d’intervention humanitaire dans ce pays, ainsi que l’assistance fournie par le Royaume à l’Union des Comores, portant sur des équipements médicaux pour faire face à la pandémie de Covid-19.
La délégation marocaine à cette réunion comprend également MM. Hamid Chabar, ambassadeur du Maroc en Mauritanie, Fouad Akhrif, Directeur du Machrek, du Golfe et des Organisations Arabes et Islamiques au ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des MRE, Abdelali Al-Jahed et El Hassan Badri, respectivement chef de Division des Organisations arabes et islamiques et chef du service de l’OCI au ministère, ainsi que Othman Rehhou, adjoint du délégué permanent du Royaume auprès de l’OCI.
Cette session de deux jours, à laquelle a assisté le directeur chargé de la gestion de l’Agence Bayt Mal Al-Qods Acharif, Mohamed Salem Echarkaoui, a porté sur d’autres questions notamment la question palestinienne, l’évolution de la situation en Afghanistan et dans la région du Sahel.




Demande d’enrôlement et de réintégration dans l’Armée populaire

Les manœuvres de provocation d’une guerre nucléaire que font les impérialistes américains et les fantoches sud-coréens en violant brutalement la souveraineté et la sécurité de notre Etat ainsi que ses intérêts sont sans précédent pour leur agressivité et leur envergure. Elles approchent de plus en plus leur extrémité, à tel point qu’elles ne sont plus tolérables.

Selon les données, rien que pendant une seule journée du 17 mars, plus de 800 000 jeunes, élèves et étudiants ont demandé instamment à entrer dans l’Armée populaire ou à la réintégrer, farouchement déterminés à anéantir l’ennemi.
Parmi eux comptent aussi des cadres de l’Union de la jeunesse, des jeunes et élèves de la ville de Pyongyang et d’autres régions du pays, des commandants et membres de la troupe de choc des Jeunes Héros de Paektusan, les étudiants de l’université Kim Il Sung, de l’université polytechnique Kim Chaek, de l’école supérieure d’industrie chimique de Hamhung, de l’école supérieure de formation des professeurs de Nampho, etc. Ils ont pris la ferme résolution d’écraser sans merci tous les fanatiques de la guerre et de défendre avec sûreté notre idéologie, notre régime et notre patrie.
Le nombre des pétitionnaires ne cesse d’augmenter.




Tshikapa : Quelques immeubles engloutis par le ravin Sogagik après la pluie qui s’est abattue dans la nuit du vendredi au samedi 18 mars

Parmi ces immeubles, on peut citer l’Ecole la providence qui est par terre, le dépôt de l’entreprise ELS, le mur de l’Eglise Kimbanguiste de par derrière, deux Eglises de réveil, plusieurs boutiques et pharmacies.

La population fâchée bloque le passage et exige la démission des autorités, car selon elles, il y avait moyen de prévenir le danger, car c’est depuis plus d’une semaine que le ravin progresse avec vitesse.
L’Ovd qui s’occupe des travaux fait face à un manque des engins et les ingénieurs semblent être limités.
La principale route de Tshikapa est dans un grand risque et il suffit seulement qu’une pluie supplémentaire, cette route ne va plus exister. Reliant le centre-ville à l’aéroport national jusqu’à au marché de Kamalenga, cette route et l’unique asphaltée de Tshikapa.
Joint au téléphone, le ministre provincial du Kasaï en charge des Travaux publics, M. Henry Ditunga Beya dit ne pas être informé des dégâts causés par la pluie.
Alors qu’une source parle aussi de l’écroulement du Pont Tshibinda, reliant la ville de Tshikapa au territoire de Luebo, passant par le secteur de l’entre Kasaï Kabambayi
Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




Session de mars : Noël Tshiani demande à Mboso d’aligner sa proposition de loi sur la souveraineté nationale

C’était à travers une audience lui a accordée par le président de l’Assemblée nationale Christophe Mboso, le vendredi 17 mars 2023 à son cabinet de travail, que le président national du parti politique la Force pour le changement a échangé longuement avec le speaker de la chambre basse du parlement sur la situation actuelle du pays et aussi sur la proposition de loi sur la souveraineté nationale, une initiative du professeur et docteur Noël Tshiani Mwadia Mvita.

Dans cette proposition de loi, l’ancien candidat président de la République estime que la nationalité congolaise est irrévocable. Pour lui, la crise que traverse le pays actuellement a plusieurs formes, notamment la question de la nationalité congolaise refait surface. La défection des militaires au front pour s’aligner dans les rangs des troupes armées dans la partie Est de la Rdc en est un exemple parmi tant d’autres.
C’est en portant de cette réalité que Noël Tshiani initie le projet de loi sur la souveraineté nationale qui a pour ambition de verrouiller quelques postes et responsabilités à la tête du pays ainsi que dans plusieurs secteurs de la vie nationale en commençant par la magistrature suprême jusqu’à la diplomatie Congolaise, en passant aussi par les forces de l’ordre pour toute personne qui n’est pas née de père et de mère congolaise ou ayant la nationalité congolaise par acquisition.
Faisant la question de la souveraineté nationale son cheval de bataille, il a sollicité l’implication du speaker de l’Assemblée nationale pour l’alignement de cette proposition de loi parmi les matières à traiter à cette session de mars qui s’avère de beaucoup d’enjeux pour la République démocratique du Congo qui traverse une crise socio-économique et sécuritaire dans sa partie Est et au centre du pays.
De sa part, le président de l’Assemblée nationale Christophe Mboso qui avait une oreille attentive à son hôte du jour, a promis de transmettre fidèlement la volonté de ce digne fils du pays aux élus nationaux pour son examen. Avant de recevoir un mémorandum des mains propres du professeur Noël Tshiani dans lequel l’initiateur de la proposition de loi de père et de mère a émis son vœu de voir la situation du pays s’améliorer davantage et aussi l’instauration de la paix sur toute l’étendue du territoire national devenir une réalité.
A noter que le parti politique la Force pour le changement avait organisé une marche le vendredi 17 mars 2023 à Kinshasa qui avait pour objectif exiger l’alignement de la loi sur la souveraineté nationale. Une manifestation qui avait pour le lieu de rassemblement la place de l’Echangeur de Limete et qui a eu comme point de chute le Palais du peuple où un mémorandum a été lu et déposé au bureau de l’Assemblée nationale.
Osée Kalombo




La Chine joue un rôle historique au Moyen-Orient, mettant fin à des années de rupture entre l’Arabie saoudite et l’Iran, selon des experts syriens

La Chine a joué un rôle historique au Moyen-Orient après ses efforts de médiation offerts aux pourparlers entre l’Arabie saoudite et l’Iran qui sont parvenus à un accord, mettant ainsi fin à des années de rupture entre les deux pays, estiment des experts politiques syriens.

Un tel effort pourrait avoir des répercussions positives sur presque toutes les crises régionales actuelles, selon les experts.
Comme l’ont annoncé vendredi la Chine, l’Arabie saoudite et l’Iran, ces deux derniers pays sont parvenus à un accord qui prévoit notamment la reprise des relations diplomatiques et la réouverture des ambassades et des missions dans un délai de deux mois, à l’issue de pourparlers qui se sont déroulés à Beijing du 6 au 10 mars.
L’Arabie saoudite et l’Iran ont tous deux exprimé leur appréciation et leurs remerciements envers l’Irak et Oman pour l’hébergement de plusieurs cycles de dialogue entre 2021 et 2022, ainsi qu’aux dirigeants et au gouvernement chinois pour avoir accueilli, soutenu et contribué au succès des pourparlers.
Les relations entre Téhéran et Riyad, deux grandes puissances régionales, sont depuis longtemps marquées par les tensions. En 2016, l’Arabie saoudite avait rompu ses liens diplomatiques avec l’Iran.
Il est essentiel de rétablir les liens entre l’Arabie saoudite et l’Iran pour stabiliser la région, et c’est pourquoi le rôle de la Chine dans le rapprochement des deux pays est considéré comme “historique”, selon des analystes syriens.
“Nous parlons d’une présence effective de la Chine, pour la première fois dans l’histoire de cette région, en tant que mécène d’une entente ou d’un désengagement d’un conflit stratégique entre deux pays importants de la région”, a noté Oussama Danura, un analyste politique syrien basé à Damas.
M. Danura a observé que la Chine était en mesure de faire cette réalisation remarquable grâce à ses relations équilibrées avec les deux pays.
En ce qui concerne l’impact sur la Syrie, M. Danura a déclaré que la réconciliation pourrait avoir une influence positive sur la crise qui sévit dans le pays depuis douze ans. Une détente possible entre la Syrie et l’Arabie saoudite pourrait voir le jour, a-t-il ajouté.
Mohammad al-Omari, un expert politique syrien, a déclaré que la Chine était consciente de l’importance de réduire les provocations entre l’Arabie saoudite et l’Iran en servant de médiateur à leur dialogue, ce qui aurait des répercussions positives sur la recherche de solutions aux crises dans différentes parties de la région, comme en Syrie, en Irak, au Liban et au Yémen.
“La Chine est l’un des acteurs politiques les plus influents pour faciliter la médiation et résoudre les différends”, a-t-il remarqué.
Il a souligné que la reprise des liens entre l’Iran et l’Arabie saoudite était essentielle pour renforcer la sécurité et la stabilité et réduire les tensions régionales.
Le ministère syrien des Affaires étrangères a signalé samedi dans un communiqué que la Syrie appréciait le rôle de la Chine dans la réconciliation entre l’Arabie saoudite et l’Iran.