Dans une mise au point : V.Club dénonce l’acharnement il est victime.

D’emblée, V.Club remercie tout le monde, la coordination, le conseil suprême, la Section Football, le staff technique et médical, les joueurs, les Provinciaux, les animateurs, les supporters pour les efforts consentis jusqu’à ce jour. Certes, l’équipe est éliminée dans cette phase des groupes après une période difficile teintée par l’arrêt du championnat ainsi que la fermeture du stade des Martyrs, nous obligeant de jouer tous nos matchs à l’extérieur du pays, le plus important c’est de tirer des leçons afin de rebondir plus fort.

Ce qui est à savoir, il n’existe des primes que pour des matchs gagnés et non perdus ou soldés par le score de parité. Même en Ligue Nationale de Football (LINAFOOT), ça se passe ainsi et les joueurs le savent bien.

En ce qui concerne les frais de mission, c’est le gouvernement qui les supportent. A ce jour, le Gouvernement n’a décaissé aucun franc devant couvrir toutes les charges qu’il est appelé à supporter dans le cadre des interclubs de la CAF, phase des groupes.

Malgré tout cela, les joueurs de l’AS V.Club ont reçu ces frais pour deux matches sur les cinq joués.

« Votre coordination dirigée par Me Bestine Kazadi, en dépit du contexte socio-économique difficile de l’heure, s’est employée à trouver des solutions pour faire face aux charges y afférentes afin que l’AS V.Club puisse livrer tous ses matches à l’étranger en aller comme au retour », indique la mise au point parvenue à notre rédcation.

L’organisation de tous les matches joués à Brazzaville, notamment la prise en charge des officiels de la Caf, arbitres, commissaire, Coordonnateur général du match, inspecteur des arbitres, Officier de sécurité, Officier Média, etc. à travers leurs billets aller et retour, hébergement, restaurant, transport local, dépenses extraordinaires pour leurs déplacements et même leurs collations, pour certains.

 

Et la source d’ajouter que les autres dépenses liées à la réception de l’équipe adverse, l’entretien du stade, l’achat du carburant pour le groupe électrogène du stade, la collation pour escortes de la police pour toutes les délégations officielles comme équipe adverse, la collation de la police ainsi que tous les autres frais inhérents à cette organisation.

La prise en charge de l’équipe elle-même en terres étrangères Cad Brazzaville, Casablanca et Alger.

Il se fait qu’une certaine campagne de sabotage de tout ce qui est fait par le Comité de Coordination du club est, à ce jour, menée aussi bien à travers les médias que des réseaux sociaux sur le versement des frais du gouvernement et qui seraient détournés on ne sait par qui, sans apporter la moindre preuve.

L’opinion doit savoir que le gouvernement n’a déboursé, à ce jour, aucuns frais pour ce faire et V.Club ne joue pas seule, toutes les autres équipes sont dans la même situation et tout le monde peut vérifier.

Les vendeurs d’illusions doivent savoir que l’AS V.Club n’est pas gérée par les frais du Gouvernement et cesser d’intoxiquer les athlètes quant à ce. S’agissant des matchs joués à l’extérieur (WAC et JSK), c’est plutôt les frais de mission qui ne sont pas encore payés car, cet argent provient du gouvernement.

C’est donc par des efforts propres du comité chapeauté par Me Bestine Kazadi que le club a dû faire face à toutes ces charges, bien entendu, avec l’appui de certains membres du Club. Il faut plutôt encourager ces efforts car ce n’est pas facile sans appui de l’État congolais, l’équipe s’est déplacée pour livrer tous ses matchs à l’extérieur en prenant en charge Billets, hébergement, primes, et autres dépenses connexes. Bref, les frais du gouvernement ne sont pas encore payés et ceci pour aucune des équipes.

En ce qui concerne la problématique de salaire. L’équipe a des arriérés mais qui n’ont pas atteint 4 mois comme l’a souligné l’un des communicateurs du Ministère des sports, Eddy Kanku qui le sait bien mais le fait à dessein pour un certain but bien précis. La coordination a toujours payé les salaires, mais comme c’est une matière confidentielle, on ne peut en parler sur la place publique.

Mais l’on se pose la question, la situation actuelle est difficile pour tous les clubs, mais pourquoi l’accent est seulement mis sur V.Club ? On peut parler de l’acharnement.

« Nous ne sommes pas là seule équipe à être éliminée, mais également les trois autres équipes. Il serait donc pertinent de s’interroger sur les causes réelles de cette crise du football congolais car même les sélections nationales avancent à vue », termine la mise au point.




A Goma : François Rubota mobilise la population à rester soudée derrière Félix Tshisekedi pour le retour de la paix

Sous un soleil accablant, le ministre d’Etat en charge du Développement rural, François Rubota a foulé, ce mardi 21 mars 2023, la terre de Goma au Nord-Kivu, dans le cadre de sa mission de service qui l’amènera jusqu’à à Uvira dans la province du Sud-Kivu.

Tel un digne fils du territoire, François Rubota a été accueilli au pied de l’avion par les autorités provinciales et plusieurs dizaines de milliers de militants du Mouvement Social pour le Renouveau (MSR), son parti politique, du regroupement politique Alliance des Démocrates pour le Progrès et le Renouveau (ADRP), ainsi que d’autres membres des partis et regroupements politiques de l’Union Sacrée de la nation, famille politique du chef de l’Etat.

Enthousiasmé par l’accueil chaleureux lui réservé, indique une dépêche de la Cellule de communication du ministère, le patron du Développement rural a dans son mot, commencé par « encourager la population congolaise en générale et celle de la partie Orientale du pays en particulier à rester mobilisée derrière le chef de l’État et les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) afin de vaincre l’ennemi qui tue nuit et jour la population civile congolaise » dans l’Est du pays.

Très confiant quant à l’action que mène le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi Tshilimbo et le gouvernement dont il est membre, le ministre d’État en charge du Développement rural, François Rubota Masumbuko croit au retour de la paix dans la partie Est du pays, secouée depuis plusieurs années par une guerre d’agression Rwandaise qui opère ces derniers jours derrière les terroristes du M23.

 

« Je demande à la population de l’Est de notre pays la Rdc, de continuer à soutenir les actions du gouvernement et du président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo qui est très engagé pour le retour de la paix ici dans la région de l’Est.

Je vous demande, mes compatriotes de l’Est d’être rassurés que la Rdc ne restera à jamais à genoux. Le gouvernement traite en priorité la question sécuritaire de l’Est. Il s’agit bien évidemment des questions sécuritaires et je ne peux pas dire beaucoup sur ce qui est fait par le gouvernement. Mais pour très bientôt, je peux vous annoncer que nous allons retrouver notre place comme une grande force régionale et sous-régionale », a déclaré au pied de l’avion, le ministre d’Etat François Rubota.

S’agissant du processus électoral déjà en cours, indique la même source, le ministre d’état, François Rubota Masumbuko a profité de son passage à Goma pour appeler la population de cette partie du pays à s’enrôler massivement afin de permettre aux provinces du Nord et Sud-Kivu d’avoir plus de sièges à la prochaine législature.

« Je vous recommande de vous enrôler massivement en vue de vous approprier ce processus démocratique et cela va vous permettre au moment venu, de vous choisir librement vos dirigeants. Mais je dois ici vous dire sans verser dans une sorte de campagne électorale précoce, qu’au niveau du parti politique dont je suis membre, le MSR, nous avons décidé de soutenir en 2023, la candidature du président Félix Tahisekedi pour sa réélection à la tête du pays », a dit François Rubota Masumbuko.

Pour qui, il faut donner un deuxième mandat au président Félix Tshisekedi afin notamment de garantir la stabilité de l’Institution président de la République. Après Goma au Nord-Kivu, le ministre d’Etat François Rubota Masumbuko se rendra au Sud-Kivu où il prévoit notamment de s’enrôler à Uvira son fief électoral.




Quand trois crises cumulées (guerre, Covid et changement climatique) en déclenchent une autre : la faim   

En 2021, les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 23 %, mettant fin à plusieurs années de stabilité relative des prix. Cette augmentation s’explique en partie par des conditions météorologiques extrêmes qui ont nui aux récoltes et par la hausse des coûts de l’énergie. Puis l’invasion de l’Ukraine par la Russie a débuté fin février, faisant grimper les prix à un niveau record, en raison des perturbations affectant les flux de produits de base de deux des plus grands exportateurs mondiaux de blé et d’autres denrées de première nécessité.

À cause de l’invasion, l’activité, d’ordinaire chargée, des ports ukrainiens de la mer Noire a été paralysée, les champs ont dû être laissés à l’abandon et les capacités d’exportation de la Russie ont été restreintes. Les deux pays représentent un quart des exportations mondiales de blé, un cinquième des exportations d’orge et de maïs, et plus de la moitié des exportations d’huile de tournesol. Ils fournissent environ un huitième de toutes les calories échangées dans le monde.

Il est à noter que les prix des denrées alimentaires augmentent à mesure que s’intensifient d’autres difficultés économiques mondiales majeures, et que ces difficultés occasionnent cette augmentation. Tandis que l’inflation s’élève et que la pandémie continue d’enliser les chaînes d’approvisionnement, le changement climatique menace la production dans de nombreuses régions agricoles du monde, avec de plus en plus de sécheresses, d’inondations, de records de chaleur et d’incendies de forêt.

En plus de perturber la production et le transport de produits alimentaires, principalement en provenance d’Ukraine, la guerre pèse également sur la production alimentaire mondiale puisqu’elle affecte le secteur des engrais, dont les prix ont déjà augmenté en raison de la hausse des prix de l’énergie. La Russie et l’Ukraine sont de grands producteurs d’éléments nutritifs à base de potasse, et la guerre a fait décoller les coûts.

Qui plus est, les prix du gaz naturel, essentiel à la fabrication d’engrais, ont également bondi à cause de la guerre. Combinés, ces facteurs sont susceptibles de maintenir les prix des denrées alimentaires à un niveau élevé l’année prochaine, car les rendements agricoles diminueront par manque d’engrais et les coûts de production seront plus élevés.

Le protectionnisme est également un point de préoccupation majeur. De nombreux pays suspendent leurs exportations de céréales et d’huiles de cuisine, vraisemblablement pour prévenir d’éventuels troubles sociaux. Selon l’institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI), une vingtaine de pays ont choisi de mettre en place des restrictions à l’exportation jusqu’à présent. Réunies, toutes ces conditions dessinent de sombres perspectives pour la faim dans le monde.

En effet, 118 millions de personnes supplémentaires souffrant de sous-alimentation (qui ne peuvent pas satisfaire leurs besoins alimentaires à long terme) ont été recensées en 2020, une augmentation spectaculaire après des années de stabilité.

L’insécurité alimentaire aiguë (mesurée par le nombre de personnes qui ne peuvent pas satisfaire leurs besoins alimentaires à court terme) a elle touché près de 40 millions de personnes supplémentaires l’an dernier. Ce sont les conflits qui expliquent principalement cette tendance : 139 millions de personnes se trouvaient dans une phase de crise alimentaire ou pire dans 24 pays en 2021. Aujourd’hui, la guerre que la Russie mène dans le grenier à blé de l’Europe menace d’en exposer plusieurs millions d’autres à la faim et à la famine.




Du 21 au 22 mars 2022 : La Commission européenne et le FMI organisent le 11ème forum africain sur les finances publiques

Les chocs récents (COVID-19, hausse des prix des denrées alimentaires et des carburants) nous ont rappelé de manière brutale que de solides dispositifs de protection sociale étaient essentiels pour protéger les plus vulnérables et renforcer la cohésion sociale en lissant les effets des chocs sur la consommation et la croissance.

Ainsi, il importe de porter assistance aux 132 millions de personnes en Afrique subsaharienne (AfSS) en situation d’insécurité alimentaire aiguë selon le Réseau d’information sur la sécurité alimentaire (FSIN). Mais les pays d’AfSS manquent cruellement de ressources, notamment du fait de leur endettement élevé : il est donc indispensable que les dispositifs de protection sociale soient aussi efficaces et correctement ciblés que possible. Dans ce contexte, la table ronde permettra d’évoquer certaines des difficultés structurelles auxquelles se heurtent le financement et la mise en place de dispositifs de protection sociale, en abordant notamment les éléments suivants : les stratégies de remplacement des réductions d’impôts et des subventions non ciblées par des transferts plus ciblés ; les obstacles au renforcement des dispositifs de protection sociale ; le rôle de la communauté internationale dans le renforcement des dispositifs de protection sociale en Afrique subsaharienne.

Parmi les participants figurent des ministres et autres dirigeants africains, des partenaires bilatéraux et des institutions multilatérales, et des représentants de la société civile. La table ronde d’ouverture du Forum (le 21 mars) sera retransmise en direct sur cette page Web en anglais et en français. La participation aux autres séances se fera uniquement sur invitation (consultez l’ordre du jour en intégralité).




Onzième Forum budgétaire africain : Voici la déclaration conjointe de Kristalina Georgieva du FMI et de Jutta Urpilainen de l’UE

Mme Kristalina Georgieva, Directrice générale de l’International Monetary et Mme Jutta Urpilainen, Commissaire européenne aux affaires internationales Partenariats, a publié aujourd’hui la déclaration suivante à l’occasion de la Onzième Forum budgétaire africain « Construire une Afrique résiliente », qui est se déroulant virtuellement du 21 au 22 mars :

« Au cours des trois dernières années, les pays d’Afrique subsaharienne ont été confrontés à chocs négatifs importants qui ont entraîné une forte détérioration des conditions de vie les conditions, y compris la pandémie de COVID-19, le prix des aliments et de l’énergie les augmentations aggravées par la guerre de la Russie en Ukraine et le changement climatique.

« Face à de tels chocs, de nombreux pays ont été contraints de se tourner vers des mesures de soutien à court terme, telles que des réductions d’impôts, des denrées alimentaires ou des carburants non ciblés les subventions et le contrôle des prix de biens spécifiques. Ces mesures, tandis que nécessaires, ont ajouté aux pressions budgétaires dans un contexte d’endettement croissant les vulnérabilités, forçant les gouvernements à faire des compromis difficiles.

« Bien que de tels chocs exigent que les gouvernements interviennent et protègent le plus Vulnérable, les actions visant à réduire progressivement les déficits budgétaires seront cruciales pour la plupart des pays doivent reconstituer leurs amortisseurs, protéger la viabilité de leur dette et veiller à ce que la stabilité macroéconomique.

« Ce forum met l’accent sur trois façons de concilier la nécessité de réagir aux chocs dans le but de reconstituer la marge de manœuvre budgétaire, contribuer à la construction d’une Afrique plus résiliente :

• Lorsque les conditions le permettent, passer de subventions généralisées à des subventions plus ciblées l’appui à l’économie de ressources précieuses pour le financement des plans de développement et investissement. Les dépenses sociales constituent une base solide pour l’inclusion croissance. Il a un impact significatif sur le développement du capital humain en stimuler la scolarisation, la fréquentation et l’apprentissage, améliorer les soins de santé et les résultats, et jeter les bases d’une augmentation de la situation économique productivité. Des filets de sécurité sociale bien conçus et ciblés garantiront que les maigres ressources des pays parviennent aux plus vulnérables, là où ils le peuvent; Faites le plus de bien.

 

• Utiliser efficacement l’argent public pour maximiser son impact et en construire davantage la résilience au profit de l’ensemble de l’économie. Transparent et fiable Les systèmes de gestion des finances publiques (GFP) sont essentiels et robustes à moyen terme Les cadres budgétaires aideront les décideurs à gérer les dépenses concurrentes pour atteindre au mieux leurs objectifs de développement. De plus, La numérisation, y compris dans la prestation de l’aide sociale, peut jouer un rôle rôle essentiel dans l’amélioration de l’efficacité et de la robustesse de la gestion de fonds publics. Et GFP axée sur le climat et gestion des investissements publics Les pratiques peuvent garantir que les pays gèrent l’adaptation au changement climatique et La transition est plus efficace dans les limites des ressources disponibles; enveloppe.

• Assurer des ressources financières plus stables et préserver la viabilité de la dette. Un financement concessionnel plus important est nécessaire pour assouplir les contraintes de financement compte tenu les niveaux élevés d’endettement des pays et la hausse des coûts d’emprunt. Plus fort Une coopération multilatérale est nécessaire pour s’attaquer au problème de la dette insoutenable et fournir un espace pour soutenir les plus vulnérables. Pour aider à déverrouiller financement de la résilience climatique, les pays d’Afrique subsaharienne peuvent développer des stratégies climatiques bien définies qui quantifient les besoins de financement, favorisent une un bon environnement d’affaires et développer un pipeline de projets crédibles. Les réformes de la bonne gouvernance et de la transparence des finances publiques peuvent également renforcer la confiance dans institutions publiques, améliorer l’observation fiscale pour soutenir plus de revenus la mobilisation et la création d’un environnement attrayant pour les entreprises privées dont le besoin se fait cruellement sentir; financement.

« Nous nous engageons à travailler avec les pays d’Afrique subsaharienne pour créer un environnement politique attractif et fournir des financements pour stimuler l’investissement pour le développement durable ».

Parmi les délégués au Forum figurent les ministres des Finances et des Affaires sociales, d’autres responsables gouvernementaux et des représentants de la société civile.




Redynamisation du service de communication du CNC à l’aube des élections : Pius Muabilu dépêche Célé Kanangila à Bunia

Le Secrétaire national en charge de la Communication et médias du Congrès National Congolais (CNC) est arrivé dans la ville de Bunia, chef-lieu de la province de l’Ituri, ce mardi en début de soirée. Il s’agit de la deuxième étape de la tournée qui le conduira dans d’autres provinces du pays après le Haut-Katanga.

Célé Kanangila est porteur du message personnel du leader du CNC, Pius Muabilu concernant la redynamisation du parti en Ituri en général et de la Cellule de communication en particulier. Pour ce faire, le chef de la communication du CNC va donc échanger avec les communicateurs du parti sur place autour des stratégies de communication électorale, dans le but de les armer en perspective des élections à venir.

A l’en croire, il s’agira des moyens et stratégies à mettre en place pour faire de la Cellule de communication du CNC dans cette partie du pays un véritable instrument au service de la conquête du pouvoir. Cela, afin de répondre aux objectifs fixés par le leader du parti.

Célé Kanangila va également évaluer la participation de militants du parti à l’opération d’identification et enrôlement des électeurs à quelques jours de la clôture. L’occasion lui est également favorable de prendre part aux préparatifs de l’enrôlement du vice-ministre aux Affaires étrangères, fils du terroir et leader de l’Ituri.

Samy Adubango est attendu sur place dans les prochains jours. Sa présence ne manquera pas de raffermir davantage l’assise de ce grand parti dans la partie orientale de la Rdc.