Ce qu’il faut savoir sur la finale du Championnat Africain de Football Scolaire de la CAF 

La finale continentale du Championnat Africain de Football Scolaire de la CAF monopolisera l’attention à Durban, en Afrique du Sud, du 5 au 8 avril. Les meilleures équipes des six zones de la Confédération Africaine de Football s’affronteront avec pour objectif commun de décrocher la couronne des champions sur le continent.

Ce sera surtout une célébration pour le football scolaire sur le continent et une chance pour les jeunes joueurs âgés de 12 à 15 ans de vivre des moments dont ils se souviendront toute leur vie. Il y aura une compétition chez les garçons et une chez les filles. Sept formations sont regroupées au sein du tableau masculin et féminin avec des équipes venant de chacune des six zones. Une place supplémentaire est accordée à l’hôte de la compétition, à savoir la South African Football Association (SAFA).

Les équipes de la SAFA ayant toutes deux passées l’étape des qualifications régionales à travers la COSAFA, les places supplémentaires vont de ce fait aux finalistes de préliminaires. Examinons de plus près comment fonctionnent les finales continentales.

Compétition féminine

Les qualifiées

Ecole Omar Ibn Khatab (Morocco), Scan Aid (The Gambia), CEG Colby (Benin), CEG Mfilou (Congo-Brazzaville), Fountain Gate Dodoma Secondary School (Tanzania), Anse Boileau (Seychelles), Edendale Technical High School (South Africa).

Les groupes

Les équipes seront réparties en deux poules, le groupe A et le groupe B. Edendale Technical sera la tête de série du groupe A. Cette poule contient trois formations.

Les équipes s’affronteront dans une ligue simple, les deux meilleures équipes de chaque groupe se qualifiant pour les demi-finales. Le premier du groupe A affrontera le deuxième du groupe B dans le dernier carré, et vice-versa. Les vainqueurs de ces demi-finales se rencontreront en finale, tandis que les perdants joueront la petite finale.

Le programme

Le tirage au sort n’a pas encore été effectué. Toutefois, les rencontres se joueront toutes au stade King Zwelithini à Umlazi, au sud de Durban. Les noms des équipes seront connus lors du tirage au sort. En attendant, voilà à quoi ressemblera le programme. Heure locale (GMT+2).

5 avril, 2023

08h00: Edendale Technical vs A2

09h00: B1 vs B2

10h00: A3 vs Edendale Technical

11h00: B3 vs B4

12h00: B2 vs B3

13h00: A2 vs A3

14h00: B4 vs B1

6 avril, 2023

08h30: B1 vs B3

08h30: B4 vs B2

11h00: Vainqueur Groupe A vs Deuxième du Groupe B

11h00: Vainqueur Groupe B vs Deuxième Groupe A

8 avril, 2023 (7 avril – Jour de repos)

09h00: Perdant demi-finale 1 vs Perdant demi-finale 2

10h00: Vainqueur demi-finale 1 vs Vainqueur demi-finale 2

Le prix

La Fondation Motsepe a fait un don s’élevant à 10 millions de dollars pour le premier Championnat Africain de Football Scolaire de la CAF. La répartition des prix pour la compétition est comme suite :

Vainqueurs : 300 000 USD

Finalistes : 200 000 USD

Troisième place : 150 000 USD

Compétition masculine

Les qualifiés

CEG Sainte Rita (Benin)

Clapham High School (South Africa)

Complexe Scolaire Ben Sekou Sylla (Guinea)

CS Horizon of Bukavu (DR Congo)

Ecole Hedi Ayadi (Tunisia)

Royal Giants High School (Uganda)

Salima Secondary School (Malawi)

Les Groupes

Cette compétition se jouera selon le même format que la compétition féminine. Les sept équipes seront réparties en deux poules. Le groupe A comprend trois équipes avec comme tête de série, Clapham High School. Le groupe B contiendra quatre équipes et il n’y a pas de tête de série. Le tirage au sort déterminera quelles équipes seront désignées comme B1, B2, etc. Les deux meilleures équipes de chaque groupe accèdent aux demi-finales, avec un match pour la médaille de bronze et la finale qui suivra.

Le programme

Les matchs se joueront également au King Zwelithini Stadium. Ils seront disputés sur une moitié de terrain de sorte à ce que deux joutes peuvent avoir lieu en même temps. Clapham High School occupera la position A1, le reste devant être désigné par le tirage au sort. Heures locales (GMT+2).

5 avril, 2023

08h00: Clapham High School vs A2

09h00: B1 vs B2

10h00: A3 vs Clapham High School

11h00: B3 vs B4

12h00: B2 vs B3

13h00: A2 vs A3

14h00: B4 vs B1

6 avril, 2023

09h30: B1 vs B3

09h30: B4 vs B2

12h00: Vainqueur Groupe A vs Deuxième du Groupe B

12h00: Vainqueur du Groupe B vs Deuxième du Groupe A

8 avril, 2023 (7avril – jour de repos)

09h00: Perdant demi-finale 1 vs Perdant demi-finale 2

11h00: Vainqueur demi-finale 1 vs Vainqueur demi-finale 2

Le prix

La Fondation Motsepe a fait un don s’élevant à 10 millions de dollars pour le premier Championnat Africain de Football Scolaire de la CAF. La répartition des prix pour la compétition finale est la même que pour les filles. Elle est comme suite :

Gagnants : 300 000 USD

Finalistes : 200 000 USD

Troisième place : 150 000 USD




La CAF introduit un processus d’enregistrement pour les recruteurs avant la Coupe d’Afrique des Nations U17, Algérie 2023 

Dans une optique d’harmonisation du processus, la CAF a mis en place un système d’enregistrement pour les recruteurs de football qui assisteront aux compétitions de jeunes. Ceci sera effectif à partir de la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies U17 Algérie 2023 qui débutera le 29 avril prochain.

Cette mesure a été motivée par la forte demande des agences de scouting du monde entier qui assistent aux compétitions de jeunes de la CAF.

La fenêtre d’inscription est désormais ouverte et les recruteurs intéressés par la couverture des matches peuvent s’inscrire ICI jusqu’au lundi 10 avril 2023.

La phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations U17 TotalEnergies Algérie 2023 se déroulera du 29 avril au 19 mai dans les villes d’Alger, Annaba et Constantine.

Douze nations participent à la phase finale, dont l’Algérie, le Sénégal, le Congo, la Somalie, le Nigeria, la Zambie, le Maroc, l’Afrique du Sud, le Cameroun, le Mali, le Sud-Soudan et le Burkina Faso.

Les candidats retenus seront informés et recevront de plus amples informations en temps opportun.

Pour plus d’informations sur l’inscription des recruteurs de talents, veuillez contacter guestmanagement@cafonline.com

Pour plus d’informations sur la Coupe d’Afrique des Nations U17 TotalEnergies Algérie 2023, visitez www.cafonline.com




En créant la SICOMINES: La partie chinoise reconnaît avoir pris ses risques 

La partie chinoise a affirmé au cours d’une conférence de presse tenue le 24 mars à Kinshasa, avoir pris d’énormes risques et d’incertitudes, pour créer une joint-venture avec la Rdc, afin de promouvoir le projet minier et le projet d’infrastructures. Et ce, après que l’Inspection Générale des Finances (IGF) ait publié un rapport qui montre un déséquilibre dans le contrat chinois entre le volet mines et celui d’infrastructures après 15 ans d’exploitation.

L’Ambassadeur de Chine en Rdc, Zhu Jing, a indiqué que le rapport de l’IGF ne correspond pas à la réalité et souffrirait également d’absence de preuves solides. Contrairement aux allégations contenues dans le rapport de l’IGF, les bénéfices tirés jusque-là de l’exploitation minière sont encore très loin des 4 milliards de dollars investis par les entreprises chinoises.

La partie chinoise à travers son Ambassadeur, estime que le contrat n’est pas gagnant – perdant au regard des données à sa disposition. Et est d’avis que des contentieux ne manquent jamais mais ils doivent se régler via des négociations amicales, pour l’intérêt des deux parties.

De son côté, la Secrétaire du conseil d’administration de la Sicomines, Diao Ying a laissé entendre qu’au cours du lancement de la production minière, les entreprises chinoises ont dû surmonter de nombreuses difficultés, notamment l’insuffisance d’électricité, le manque de matériels, les difficultés de transport… Les deux mines étaient également inondées d’eau d’une profondeur de 134 mètres et 169 mètres, ce qui a dissuadé tous les investisseurs étrangers pendant des décennies.

“Seules les entreprises chinoises n’ont pas reculé devant les défis. Elles ont drainé 120 millions de mètres cubes d’eau, préparant ainsi les conditions préalables de la production ultérieure “, a-t-elle fait savoir.

20.000 emplois créés en Rdc

Après la création de plus de 20.000 emplois en Rdc qui a permis une vie décente à plus de 100.000 habitants locaux de manière directe ou indirect, la Sicomines a en outre, réaffirmé son engament à accompagner sans cesse le développement de la Rdc. Et ce, en dépit de tout ce qui se raconte à son sujet pour ternir l’image des investissements chinois.

Pour Diao Ying, le travail de la Sicomines a été remarquable sur l’étendue de la Rdc. A ce jour, 43 projets d’infrastructures ont été réalisés par la Sicomines dont le boulevard du 30 Juin, l’artère centrale de la ville de Kinshasa…

“A travers ses projets, la Sicomines a pu dynamiser le développement économique de Kinshasa ainsi que d’une dizaine de provinces congolaises. Je réaffirme la bonne foi de la Sicomines pour honorer ses engagements”, a conclu la Secrétaire du conseil d’administration de la Sicomines, Diao Ying.

L’Avenir




Coopération Rdc-France : Sama Lukonde échange avec une délégation de l’Agence Française de Développement

Au menu de cette entrevue, les acquis de la visite récente du Président Macron en RDC, les engagements de l’Agence française de Développement, la signature des conventions intervenue notamment lors du forum économique tenu, il y a près d’un mois, ainsi que le niveau d’exécution de différents projets. Il a été question pour le Chef du Gouvernement et ses hôtes, de faire le point sur tous ces sujets.

Le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, s’est entretenu, ce mardi 28 mars 2023 à la Primature, avec une délégation de l’Agence Française de Développement (AFD), délégation conduite par Bruno Aubert, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française en RDC.

Au sortir de l’audience, Bruno Aubert a indiqué que nous souhaitions rencontrer le Premier Ministre, trois semaines après la visite du Président Macron, pour faire le point en quelque sorte sur la visite, sur les acquis de la visite, sur les orientations qui en découlent dans le domaine économique et celui de nos actions pour le développement de la RDC. « Nos échanges ont porté sur l’ensemble de ces sujets et sur le forum économique. Notamment, les engagements qui ont été pris en ce moment et aussi sur les engagements de l’Agence française de Développement, sur la signature des conventions, qui ont eu lieu en ce moment-là et le niveau d’exécution de nos différents projets », dit-il.

Et d’ajouter qu’il était important de rencontrer le Premier Ministre pour tracer les perceptives avec lui, écouter ses orientations”, a déclaré l’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française en RDC.

Pour sa part, Christian Yoka, Directeur de l’Agence française de Développement a souligné que cette rencontre avec le Chef du Gouvernement était une occasion de parler de l’impact des actions de leur institution aux bénéfices des populations congolaises.

” L’échange avec le Premier Ministre était extrêmement fructueux, et constructif. Il vient à point nommé, quelques semaines après le passage du Président Macron. Et c’était pour nous l’occasion d’examiner les conditions d’exécution des programmes en cours en RDC », a dit le Directeur général de l’Agence Française de Développement.

En particulier, martèle-t-il, c’était pour nous l’occasion de souligner le portefeuille d’activités de l’AFD dans des secteurs extrêmement divers : la formation professionnelle, la santé, l’agriculture, et le développement urbain. Je pourrais en citer d’autres. Le point important que nous avons discuté avec le Premier Ministre, c’est véritablement celui de l’impact de nos actions aux bénéfices des populations. Et de ce point de vue-là, je dois dire que j’ai été édifié par le contenu des positions exprimées par le Premier Ministre.




Ambassadeur des IXes Jeux de la Francophonie : Lilian Thuram échange avec les étudiants de l’UNIKIN

Prôner les valeurs de la solidarité, de l’équité social et surtout des IXes Jeux de la Francophonie, telles sont les motivations qui poussent Lilian Thuram à multiplier les échanges avec les jeunes tout au long de son séjour à Kinshasa.

Dans le cadre de sa visite en Rdc, l’ex-footballeur international français s’est rendu à l’Université de Kinshasa ce mardi 28 mars 2023 pour prendre part à une activité scientifique organisée par cette université.

Placée sous le thème: « les bienfaits du sport sur la santé, cette conférence débat a été marqué par deux moments forts ».

La première, consacrée à la présentation de la carte postale de l’Université faite par le Secrétaire général administratif, le Professeur Bruno Lapika, suivi de la signature du livre d’or que Lilian Thuram a préféré écrire en Lingala, l’une des langues officielles de notre pays qu’il admirait depuis son enfance à travers des amis congolais.

Le deuxième temps fort a été réservé aux échanges. 4 professeurs de l’université ont procédé à une présentation des thématiques axées sur les biens fait du sport sur la santé. L’ambassadeur Thuram a quant à lui, exposé sur la question du racisme.

Rappelons que lundi dans la matinée, il a échangé avec les élèves du Lycée français de Kinshasa et ceux de l’Institut de la Gombe autour des mêmes valeurs.




Pour exiger la libération de Jean-Marc Kabund : Le parti Alliance pour le changement dans les rues ce 3 avril 2023

Détenu à la prison centrale de Makala depuis le 9 août 2023 et poursuivi par la justice congolaise pour outrage au chef de l’Etat, le député national et ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale Jean-Marc Kabund-A-Kabund continue son séjour dans cette maison carcérale bientôt 8 mois sans être condamné, voir même la liberté provisoire réclamée par ses avocats lui a été refusée. Une situation qui n’arrange pas les militantes et les militants du parti Alliance pour le changement qui décident d’utiliser tous les moyens légaux, y compris les actions de rue pour exiger la libération sans condition de leur leader.

Interrogé ce mardi 28 mars par votre média en ligne le quotidienrdc.com par rapport à cette manifestation projetée pour le 3 avril 2023 à Kinshasa et sur toute l’étendue de la République, Boaz Muamba, Secrétaire national adjoint en charge de l’organisation et implantation de l’Alliance pour le changement parti Cher à Jean-Marc kabund-A-Kabund qui confirme la tenue de cette marche pacifique, a précisé que” l’autorité Urbaine a été saisie pour l’organisation de cette manifestation qui partira de la Station Cohydro sur la première rue Limete entre le Boulevard Lumumba et Sendwe.

Les manifestants passeront par le Boulevard Triomphal avant d’emprunter l’avenue des Huileries et pour chuter à la Cour de cassation où un mémorandum contenant plusieurs recommandations, ras-le-bol des militants et sympathisants de l’Alliance pour le changement au sujet de la détention illégale de leur leader sera lu et déposé.

Concernant la liberté provisoire annoncée par la justice congolaise il y a de cela quelques mois, Boaz Muamba dénonce cette façon de faire de l’appareil judiciaire. ” Nous savons très bien et tout le monde le sait que le dossier de Jean-Marc Kabund-A-Kabund est instrumentalisé par le pouvoir en place qui fait de notre leader un prisonnier privé de M. Félix Tshisekedi”. Pour lui, la justice congolaise n’arrive pas à dire le droit, parce qu’elle est sous ordre du régime en place.

Le Secrétaire national adjoint en charge de l’organisation et implantation de l’Alliance pour le changement invite les députés nationaux de ne pas fermer l’œil face à l’injustice que subisse leur collègue qui jusqu’à présent jouit encore de ses immunités parlementaires. Et il rappelle à la justice congolaise que l’heure n’est plus à l’instrumentalisation de l’appareil judiciaire. ” Mon parti Alliance pour le changement fait encore confiance en la justice congolaise qui va traiter avec sérénité le dossier de JM Kabund qui est toujours vide de son contenu », espère-t-il.

Profitant de cette même occasion, Boaz Muamba appelle les militantes et militants, mais aussi tout le peuple congolais de participer massivement à cette marche pacifique qui a pour objectif d’exiger la libération sans condition de Jean-Marc Kabund-A-Kabund détenu arbitrairement à la prison centrale de Makala bientôt 8 mois on ne va pas baisser les mains jusqu’à ce que notre leader sera libre a-t-il ajouté.




Installée à Goma: La chocolaterie Lowa sollicite l’accompagnement de Julien Paluku

Promoteur de la chocolaterie Lowa basée à Goma, dans la province du Nord-Kivu, Alexis Kalinda Salumu est venu solliciter l’implication du ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya, qui a déjà visité cette entreprise qui fait la fierté de l’Est de la République Démocratique du Congo.

Au menu de cette visite, l’augmentation de capacité de production de la chocolaterie Lowa basée à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu et l’installation de cette société dans la Zone Économique Spéciale pilote de Maluku et celle Musienene basée dans le territoire de Lubero au Nord-Kivu.

« C’est pour cela que je suis venu à Kinshasa pour chercher la visibilité de nos chocolats. Parce que le chocolat que nous sommes maintenant en train de faire a une autre ampleur. Tout le monde aime notre chocolat, il devient même comme un médicament, il est bio et il n’y a pas de produits chimiques dedans. Tout le monde commence à avoir confiance à notre chocolat », explique Alexis Kalinda Salumu.

Et d’ajouter, comme il y a un grand marché à Kinshasa, on est obligé de venir faire la visibilité à Kinshasa au sein de ce grand marché et pour montrer ce chocolat-là qui fait la fierté du Congo. « Parce que je ne sais pas si à Kinshasa il y a des chocolatiers, je serais pratiquement le premier et je crois que je serais accompagné par le ministère de l’Industrie pour le bien du chocolat congolais. Pour le Gouvernement, je n’attends que l’accompagnement. J’ai été accompagné au niveau de l’initiative par le ministre Julien Paluku, qui m’a boosté », reconnait-il.

A l’en croire, si on a des industries qui peuvent faire face à l’économie des voisins, je crois que ça pourra aller. Par l’importation, il y a beaucoup de chocolats qui arrivent et qui ne sont pas au niveau du chocolat que nous faisons, qui est une fierté et qui a des effets bénéfiques sur notre corps.

Au sortir de cette audience, il a reconnu que le ministre était réceptif. Il pensait que le projet c’était arrêté. Mais lorsqu’il apprend que tout le monde aime notre chocolat, même les étrangers, il m’a conseillé d’agrandir le champ du chocolat pour qu’il soit à la portée de tout le monde, de tous les Congolais et de tous les étrangers qui aiment notre chocolat.

Soulignons que cet entrepreneur est à Kinshasa pour consolider le marketing de ses produits, car la chocolaterie Lowa produits du chocolat pure. Et le ministre de l’Industrie est plus que déterminé de faire de l’industrie un facteur de paix et stabilité dans la partie Est de la Rdc.

JMNK




Patrick Muyaya à l’écoute de l’intersyndicale du RENATELSAT

Patrick Muyaya, ministre de la Communication et Médias a eu une séance de travail avec l’intersyndicale du Réseau National de Télécommunications par Satellite (RENATELSAT), le lundi 27 mars 2023 dans son cabinet.

Étant toujours à l’écoute des entreprises sous son tutelle, Patrick Muyaya a, durant plus d’une heure, donné la parole tour à tour au président de l’intersyndicale Fidèle Ngamaluku pour exposer sur les problèmes qui dérangent ce réseau stratégique pour la République Démocratique du Congo.

« Nous, l’intersyndicale du RENATELSAT, étions venus voir le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya dans le cadre du dialogue social sur les problèmes qui rongent notre entreprise entre autres, les revendications des agents et cadres, le statut juridique, la relance de l’entreprise et la grille barémique, mais aussi les résolutions des états généraux de la communication et des médias liés au RENATELSAT, et le problème de l’ex. BPO”, a dit Fidèle Ngamaluku.

De poursuivre : “Nos revendications ont été bien reçues par le ministre et il nous a promis des solutions dans un bref délais”.

Pour arriver à résoudre tous ces problèmes, M. Badibanga président de la délégation syndicale, a précisé que des réunions tripartites sont prévues dans un futur proche ici à Kinshasa sous la houlette du ministre de la Communication et Médias.

Il convient de rappeler que le RENATELSAT est une entreprise stratégique dans le secteur audiovisuel et des télécommunications, qui coopèrent avec la radiotélévision nationale congolaise (RTNC) et la société congolaise des postes et télécommunications (SCPT).

“Le ministre nous a rassuré qu’il y a un plan de relance de l’entreprise qui coïncide avec le projet de 145 territoires. Nous demandons aux agents de la RENATELSAT s’apaiser”, a déclaré Doss Badibanga, président de la délégation syndicale de cette entreprise publique.




Commentaire sur la gravité des manœuvres militaires des Etats-Unis et de leurs acolytes

La situation de la péninsule coréenne s’avère de plus en plus dangereuse, dépassant le seuil du danger.

La folie de guerre et les actes d’étouffement des Etats-Unis contre la République populaire démocratique de Corée qui vont croissant en mars se précipitent à une étape grave qu’on ne peut plus tolérer.

La RPD de Corée a déjà averti que les manœuvres de provocation militaires et exercices de guerre téméraires des Etats-Unis conduiraient la situation de la péninsule coréenne à un point critique d’une guerre nucléaire qui risque d’éclater.

Malgré cela, les Etats-Unis et les sud-coréens vont devenant de plus en plus belliqueux et frénétiques, révélant ouvertement leurs tentatives d’attaquer notre République.

A un sévère avertissement du gouvernement de la RPDC et à une revendication judicieuse de la communauté internationale de cesser la provocation militaire et les exercices de guerre qui portent atteinte à la paix et à la stabilité de la péninsule coréenne et de la région, les Américains ont répondu par la révélation plus ouverte de leurs tentatives d’agression contre la RPDC, par leurs actions pratiques contre elle.

Au début de ce mois, ils ont envoyé successivement et d’urgence à la Corée du Sud des moyens stratégiques importants tels que sous-marin nucléaire, contre-torpilleurs de type « Aegis », bombardiers stratégiques, chasseurs sans pilote pour se livrer à des exercices de guerre conjoints sur la mer et en l’air. A partir du 13 dernier, ils ont effectué avec leurs valets sud-coréens « Freedom Shield », exercices militaires conjoints d’envergure supposant une guerre totale contre la RPDC, en passant outre à leur plan de frappe de précision, de « frappe préemptive » sur des installations nucléaires ou de missiles d’on ne sait qui.

Cela a montré nettement que les exercices susmentionnés que les Etats-Unis et leurs laquais avaient restaurés dès l’année dernière n’étaient pas « ceux de nature défensive qu’ils pratiquaient annuellement », comme s’ils le répètent comme un refrain.

Ces exercices consistaient à « embarquer Wonsan », à « occuper Pyongyang » et à procéder à une « opération de décapitation » prévoyant l’attaque surprise sur les points d’appui stratégiques de la RPDC, suivant leur « plan d’opérations 5015 ». C’étaient ceux d’une longue durée sans précédent qui se prolongeaient sans cesse jour et nuit pendant 11 jours, en s’élançant directement à des phases d’« occupation » et de « stabilisation » contre la formule préétablie.

Pendant cette période, les Américains se sont livrés, à un degré suprême, à des actions militaires contre la RPDC dans les airs des environs importants de la péninsule coréenne, mobilisant toutes sortes de leurs biens de reconnaissance, entre autres avion doté d’un « système de guerre électronique de reconnaissance dans l’espace aérien » de leur armée de terre, « RC-135V » et « RC-135S » de leur armée de l’air.

Avant et après « Freedom Shield », les fanatiques de guerre des Etats-Unis et de la Corée du Sud ont entrepris dans l’air, sur terre et sur mer toutes sortes d’exercices de guerre, entre autres opération conjointe du passage du fleuve, exercices conjoints de largage et de déplacement, exercices conjoints de transport de munitions de guerre, exercices conjoints de combat scientifique, etc.

D’ailleurs, les maniaques de l’affrontement de la Corée du Sud ont mené d’innombrables manœuvres militaires séparées, notamment exercice pour « le contrôle spécial de la posture de la bataille décisive de 2023 » effectué du 13 au 15 par le commandement d’opération de leur aviation, en parlant d’on ne sait quel « châtiment ».

Depuis 20 mars, alors qu’ils étaient encore dans la fumée, les Américains et leurs laquais ont repris de front « Sangryong », exercices de débarquement conjoints d’envergure sans précédent visant à « occuper Pyongyang », qu’ils avaient suspendus pendant 5 ans après 2018.

De connivence avec leurs acolytes, les Américains y ont introduit des dizaines de navires, notamment le navire amphibie de leur marine « Makin Island », appelé sous le nom de porte-avions léger pouvant porter 20 chasseurs Stealth « F-35B », plus de 70 chasseurs de diverses sortes, 50 véhicules blindés d’assaut amphibie et des effectifs pléthoriques de plus de 10 000 hommes.

Le secrétaire américain des forces aériennes et le commandant de la 7e aviation se sont rendus dans la Corée du Sud pour conspirer le plan de guerre d’agression contre le Nord. Par la suite, le commandant américain de l’infanterie de marine du Pacifique contrôlant 70 % des effectifs de l’infanterie de marine états-unienne a fait son apparition pour diriger ces exercices « Sangryong ».

Les Américains ont invité des unités d’opération spéciale de leurs pays satellites qui avaient autrefois participé à la guerre de Corée pour les faire participer à l’entraînement, et y ont introduit même le groupe de frappe navale axé sur le porte-avions à propulsion nucléaire « Nimitz ». Cela montre nettement que l’option américaine à l’égard de la RPDC ne se limite pas à l’opération militaire, mais s’évolue vers une phase de concrétisation réelle.

Ce groupe de frappe constitué de « Nimitz », porte-avion nucléaire, «Wayne E. Meyer » et « Decatur », contre-torpilleurs de type « Aegis » de la 11e division de porte-avions de la marine américaine a procédé le 27 dans les environs au sud de l’île Jeju à un exercice maritime conjoint dont le but était de « renforcer la capacité d’exécution de la force de dissuasion élargie par le déploiement des biens stratégiques américains ». Et il fait son entrée le 28 au port de Pusan pour entreprendre un nouvel exercice de guerre.

Sur cette lancée, les Etats-Unis et les fantoches prévoient effectuer en juin des « exercices conjoints d’anéantissement par la frappe » d’envergure inouïe comprenant toutes leurs forces terrestres, navales et aériennes avec des armes dernier cri.

Tous ces exercices ostensibles de l’ennemi nous font savoir clairement que ceux-ci, par leur caractère d’action, relèvent d’actes militaires d’attaque préalable qu’il perpètre, en considérant comme un fait établi la guerre d’agression contre nous, exercices devant lesquels la RPDC ne peut plus rester à bras croisés.

Ces manœuvres militaires dont l’envergure et la durée dépassent le niveau de celles précédentes, se déroulent nuit et jour tous les semaines et tous le mois, avec la participation d’énormes armes d’attaque.

L’introduction des moyens de guerre les plus offensifs, notamment le groupe de frappe de porte-avions nucléaire est en fait une déclaration de guerre ouvertement lancée contre la RPDC.

C’est bien ridicule et absurde que les fantoches sud-coréens s’évertuent frénétiquement en adhérant aux manœuvres de confrontation de leurs suzerains.

Il y a quelques jours, le ministre de la Défense sud-coréen a proféré des propos imprudents en disant qu’« à travers le lancement de différents missiles notamment ICBM, le Nord menace la paix et la stabilité non seulement de la péninsule coréenne mais aussi du monde. Dans ce contexte, il faut renforcer nos exercices. » Le 27, le président du comité des chefs d’état-major de l’armée sud-coréenne à bord du porte-avions de la marine américaine « Nimitz » a fait son intrépidité, révélant sa folie de confrontation par ses propos rhétoriques « L’Union américano-sud-coréenne fera une riposte rigoureuse et écrasante sur tous les défis et actes d’agression de l’ennemi », « Nous le châtierons impitoyablement en cas d’urgence », etc.

Tous ces faits montrent nettement que ces exercices de guerre qui s’amplifient plus frénétiquement dans la Corée du Sud ne sont pas de simples exercices militaires, mais, par leurs nature, caractère, contenu et forme, ceux pratiques de guerre nucléaire visant à attaquer préalablement la RPDC, ainsi qu’un résultat issu du choix politique et militaire des Etats-Unis qui n’hésitent pas à se précipiter vers la confrontation avec nous, soit vers la guerre contre notre République.

Les Etats-Unis qui se démènent pour des manœuvres périlleuses dans la région de la Corée du Sud sont de vrais auteurs de destruction de la paix et de la stabilité dans la péninsule coréenne et dans l’Asie du Nord-Est et coupable principal de l’aggravation de la situation.

La conjoncture critique d’aujourd’hui est due aux Etats-Unis et à leurs satellites qui tentent de nous étrangler par la force ; l’accroissement de notre force de dissuasion dépend entièrement de notre droit d’autodéfense, personne ne peut le mettre en cause.

Face à cette grave situation où la souveraineté et la sécurité de l’Etat risquent d’être menacées, la force nucléaire de la RPDC doit s’acquitter de sa mission importante : c’est un fait légitime.

 




Direction donnée sur les affaires relatives à la fabrication d’armes nucléaires  

Kim Jong Un, Secrétaire général du Parti du travail de Corée et Président des affaires d’Etat de la République populaire démocratique de Corée, a dirigé le 27 mars les affaires concernant la fabrication d’armes nucléaires.

L’Institut des armes nucléaires de la RPDC a fait part à Kim Jong Un des activités menées ces dernières années pour renforcer qualitativement et quantitativement la force nucléaire de notre République conformément à l’orientation de développement des armes nucléaires et à l’orientation stratégique définies par le VIIIe  Congrès du PTC et la 6e session plénière du 8e CC du Parti, ainsi que de l’état de production de ces armes.

Kim Jong Un s’est renseigné en détail sur les moyens d’application d’armes nucléaires et les caractéristiques techniques et structurales, et de fonctionnement de nouvelles armes tactiques, conformes au but de l’opération et aux cibles, sur leur compatibilité avec des systèmes d’armes variés, etc., ainsi que sur l’état d’informatisation du système de contrôle général national des armes nucléaires « Haekbangachoe » (gâchette nucléaire) dont la scientificité, la fiabilité et la sécurité avaient été vérifiées strictement dans un exercice tactique général supposant une riposte nucléaire, effectué récemment.

De même, il a examiné le plan et les ordres préparés pour une opération de riposte nucléaire.

Il a hautement apprécié les efforts inlassables de l’Institut ayant contribué à faire de notre force nucléaire une force fiable à même de faire face à toute alerte nucléaire en conformité avec le projet et l’intention stratégiques du CC du Parti de procéder à un usage intégré d’armes nucléaires avec des moyens variés dans les espaces opérationnels multilatéraux.

Nous avons parcouru sans fléchir un chemin vraiment long et ardu pour nous doter de l’arme nucléaire, a-t-il fait remarquer avec émotion ; l’ennemi auquel notre force nucléaire dotée d’une puissante capacité de dissuasion doit faire face est justement la guerre et le désastre nucléaire, et non pas un Etat ou une collectivité déterminés ; la ligne de notre Parti pour le renforcement de la force nucléaire est destinée uniquement à sauvegarder la sécurité éternelle de notre Etat aussi bien que la paix et la stabilité dans la région.

Nous ne devons jamais nous contenter de ce que nous avons fait dans le perfectionnement des préparatifs de riposte de notre force nucléaire, mais nous employer toujours pour un renforcement incessant de celle-ci, a-t-il poursuivi ; c’est seulement lorsque nous nous préparerons parfaitement à employer l’arme nucléaire n’importe quand et contre un objectif quelconque qui se trouve n’importe où que celle-ci ne sera pas utilisée à jamais ; quand nous nous mettons en posture d’attaque avec une force nucléaire puissante et supérieure qui dépasse l’imagination, l’ennemi aura peur de nous et ne pourra oser porter atteinte à la souveraineté de notre Etat, à notre régime et à notre peuple.

Il a souligné que ledit institut et le secteur de l’énergie atomique doivent redoubler d’ardeur pour accroître avec prévoyance la production de substances nucléaires à l’usage de l’arme et fabriquer toujours de puissantes armes nucléaires, en vue d’appliquer parfaitement le dessein du CC du Parti d’augmenter de façon géométrique le nombre de nos armes nucléaires et défini les tâches qui leur incombent.

Les scientifiques et les cadres de l’institut des armes nucléaires se sont farouchement déterminés à rester fidèles à la mission importante qu’ils assument devant le Parti, la révolution, la patrie et le peuple pour défendre avec sûreté l’œuvre révolutionnaire Juche grâce à l’accroissement de la production de puissantes armes nucléaires.