Mouvement sportif congolais: François Kabulo Muana Kabulo prend sa fonction après la remise-reprise de ce vendredi

Le jour tant attendu est enfin arrivé ce vendredi 31 mars 2023. M. François Claude Kabulo Muana Kabulo, nommé ministre des Sports en remplacement de Serge Nkonde, le ministre sortant, a pris officiellement ses fonctions après la cérémonie de remise-reprise.

En effet, en l’absence du ministre sortant, François Claude Kabulo Muana Kabulo a fait la remise-reprise avec le Dircab de Serge Nkonde. L’opinion retiendra que le nouveau ministre des Sports a pris officiellement ses fonctions, ce vendredi 31 mars 2023 au cabinet du ministère des Sports à la Gombe.

Sur le lieu, l’enceinte du ministère des Sports était pris d’assaut dès les petites heures de la journée par des sportifs de tous bord. Chacun tenait à vivre de visu cet événement. La passation de pouvoir entre un ancien ministre à qui le mouvement sportif reprochait beaucoup de choses, et qui soit dit en passant, ne laisse guère de bons souvenirs de son passage dans ce méga ministère, et le nouveau ministre, un journaliste chevronné parmi les plus critiques que compte la Rdc. Pratiquement tous les ministres qui sont passés étaient sous les feux de M. Kabulo. Des tirs nourris leur étaient destinés. Par conséquent, le mouvement sportif congolais place beaucoup d’espoir à M. Kabulo qu’on peut comparer à un messie au regard de la situation que traverse le mouvement sportif congolais. Les défis à relever sont multiple.

Pour prouver que le mouvement sportif congolais place beaucoup d’espoir au ministre Kabulo, les sportifs de tous bords étaient présents à la Place Royal et plus précisément au cabinet du ministre des Sports. On a vu les animateurs de l’équipe nationale avec leur inamovible président Thomas Iyala. Plusieurs journalistes de différents organes. Les fédérations sportives n’étaient pas en laisse. Elles étaient dignement représentées.

Antoine Bolia




Hôpital Gemelli : le pape François a visité les enfants malades

Ce vendredi 31 mars 2023, le pape François a rendu visite d’une demi-heure aux enfants hospitalisés dans le service d’oncologie pédiatrique de l’hôpital Agostino Gemelli, indique le message publié sur la page Twitter de Vatican News.

 

Au cours de la visite, le pape a baptisé un bébé nommé Miguel Angel, âgé de quelques semaines seulement.

 

Rappelons que le pape est hospitalisé à l’hôpital Gemelli depuis mercredi 29 mars pour une infection respiratoire. Il devrait sortir de l’hôpital samedi, selon un communiqué du directeur de la salle de presse du Saint-Siège, Matteo Bruni.

Un communiqué du jeudi 30 mars précise quels traitements ont été administrés au pape François à l’hôpital Gemelli : « Dans le cadre des contrôles cliniques programmés, il a été constaté que le Saint-Père souffrait d’une bronchite infectieuse qui a nécessité l’administration d’une antibiothérapie par perfusion qui a produit les effets escomptés avec une nette amélioration de son état de santé. »

 

Rappelons que le pape a été hospitalisé au Centre hospitalier universitaire Agostino Gemelli, à Rome, le 29 mars. Il a été admis à l’hôpital « pour des contrôles médicaux » suite aux « difficultés respiratoires » qu’il avait éprouvées « ces derniers jours », indiquait un communiqué officiel. Les examens ont « révélé une infection respiratoire (infection Covid-19 exclue) qui nécessitera un traitement médical hospitalier approprié pendant quelques jours ».




Messe des Rameaux : « Le pape François devrait être présent »

L’état de santé du pape François, hospitalisé pour une infection respiratoire mercredi, s’améliore. Le directeur de la salle de presse du Saint-Siège, Matteo Bruni, indique ce 31 mars 2023 que le pape « devrait être présent sur la place Saint-Pierre dimanche pour la célébration eucharistique du dimanche des Rameaux, la Passion du Seigneur ».

Bruni ajoute : « Comme les questions arrivent déjà, je précise que s’il est présent, il préside. »

Selon le directeur, « la journée d’hier s’est bien déroulée » : « Le soir, le pape François a dîné, en mangeant de la pizza, avec ceux qui l’assistent en ces jours d’hospitalisation : médecins, infirmières, assistants et personnel de la gendarmerie. »

Ce vendredi « matin après le petit déjeuner, il a lu quelques journaux et s’est remis au travail ».

Le retour du pape François à la Maison Sainte-Marthe, au Vatican, « est prévu demain, une fois connus les résultats des examens finaux de ce matin », confirme Bruni.




L’Asbl «  Women no cry » exhorte les femmes à s’approprier de l’éducation numérique

L’Asbl «  Women no cry », spécialisée dans la promotion des droits de la femme, a exhorté celle-ci à s’approprier de l’éducation numérique afin d’accéder à son autonomisation. C’était hier à l’occasion d’une conférence-débat, organisée en marge de la clôture du mois de la femme sur le thème : «  Education numérique égalitaire, autonomisation et entreprenariat des femmes et des jeunes filles ».

Selon sa coordinatrice, Mme Rachel Mangala, l’éducation numérique offre plusieurs opportunités à la femme et celle-ci ne doit pas passer outre. «  Nous voulons réveiller les femmes sur l’éducation numérique égalitaire. Les femmes doivent comprendre que l’histoire du numérique ne concerne pas seulement les hommes. Nous sommes tous concernés et pour aller de l’avant les femmes doivent utiliser les numériques parce qu’en utilisant les numériques la femme découvre plusieurs autres opportunités pour son épanouissement, pour son éducation (…) et dans Women no cry nous militons contre les violences faites à la femme et insistons sur la valorisation des capacités de la femme. Car, une femme qui est autonome est celle qui sait dire non, ça suffit. C’est celle qui sait entreprendre et aller de l’avant », a-t-elle fait savoir.

Dans ses mots, Madame la coordinatrice n’a cessé d’encourager les femmes d’être partisanes de leur propre développement. C’était avant de lancer ce message fort et plein de sens : «  Je vous invite à vous lever, d’arrêter de pleurnicher, et de travailler pour le changement ».

Au regard de la thématique retenue, la vice-ministre des Transports, Mme Séraphine Kilubu Kutuna, qui était parmi les intervenantes, a estimé que dans ce combat d’autonomisation, la femme devra avoir Dieu comme soubassement.  Car, dit-elle, rien ne peut se faire sans Lui.

« De tous les enseignements que nous donnons si le Christ n’est pas là, ça ne sert à rien. Et donc, nous disons que l’autonomisation de la femme est un facteur vraiment indispensable pour la paix, le social, l’économie (…). Car lorsqu’une femme est autonome surtout économiquement ça donne le développement pour le pays », a déclaré la vice-ministre des Transports. C’était avant d’ajouter ceci : «  Notre souci est que les Congolaises comprennent la hauteur de leurs tâches, qu’elles ne puissent pas économiquement dépendre de quelqu’un. Nous croyons qu’avec tout ce que nous donnons comme enseignements les femmes deviendront autonomes. Et donc pour le développement du Congo, nous devrons faire tout pour que la femme en Christ devienne autonome, car c’est le Seigneur qui fait que l’Homme ait des valeurs et non des antivaleurs ».

S’exprimant à son tour, la spécialiste en charge des questions genres au bureau de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) en Rdc, Mme Marie Musifu Bougain, a invité les participantes à faire du numérique un outil d’épanouissement.

Rien qu’avec son téléphone, dit-elle, la femme peut se rendre autonome. «  Et donc, le numérique devra devenir une culture pour nous. Je vous demande de faire un effort pour vous acheter un téléphone. Il faut être à la page. Accéder à des réseaux sociaux est un développement pour les femmes. J’exhorte donc les organisations qui encadrent les femmes de les accompagner à maitriser l’outil informatique, les téléphones », a-t-elle encouragé.

«  Je suis contente de cette journée d’échanges, j’espère que les autres participantes l’ont aussi aimée. Nous devrions nous habituer avec le numérique, le téléphone par exemple pour envoyer et recevoir de l’argent. C’est ce que je fais déjà mais que beaucoup de femmes ici dans la salle n’arrivent pas. Elles se font à tout moment assistées. Ce qui n’est pas bien. Nous devrons être capables d’utiliser le téléphones nous-mêmes », s’est réjoui une des participantes à cette journée, organisée dans la salle de conférence du Cepas à Gombe.

 




En tournée dans l’espace Schengen : Christian Bosembe échange à Paris avec la directrice des Affaires politiques et de la gouvernance démocratique de l’OIF

Face au défi de la régulation de la production médiatique en République démocratique du Congo, le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC) s’ouvre à l’approche internationale. C’est ainsi qu’au lendemain de la présentation de la feuille de route du CSAC lors de la Soirée diplomatique à Kinshasa, le président de cette institution d’appui à la démocratie s’est envolé pour une tournée dans l’espace Schengen.

Christian Bosembe qui séjourne actuellement à Paris (France), a eu des entretiens fructueux, ce vendredi 31 mars 2023 au siège de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), avec la Directrice des Affaires politiques et de la gouvernance démocratique de cette organisation, Mme Léonie Guerlay.

Quand on sait que l’OIF appuie le développement et la naissance d’instances de régulation ainsi que le renforcement de leurs liens réticulaires, principalement au sein du Réseau francophone des régulateurs des médias (REFRAM), les deux personnalités (Christian Bosembe et Léonie Guerlay) se sont penchées sur les attentes et naturellement les besoins de l’instance de régulation des médias en RDC. Ce qui sous-tend la redynamisation du fonctionnement du CSAC ainsi que la mobilisation des partenaires à soutenir le développement des médias en RDC. Déjà que pour la période 2023-2027, le CSAC a clairement dévoilé son ambition de transformer l’écosystème médiatique congolais avec un programme chiffré à 17 millions de dollars américains.

Dans la foulée, Christian Bosembe a été reçu par Jean Christophe Ramos, président de Canal + Afrique. Et avec ce dernier, les échanges ont porté sur la révisitation du protocole d’accord sur la télédistribution dans le territoire congolais et l’implication de Canal + dans la campagne de la cohésion nationale.

Par ailleurs, l’agenda du président du CSAC avant de boucler l’étape de Paris prévoit des entretiens, dès la semaine prochaine, avec les responsables de Radio France Internationale (RFI) et France 24 associés avec à ceux de Canal France International ainsi que l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM) ex-CSA. La directrice Afrique de TV5 Monde, Denise Epote, est aussi listée pour échanger avec le président du CSAC, Christian Bosembe.

Jean Luc Lukanda




Congolité : Le Représentant légal de la communauté Islamique apporte son soutien à Noël Tshiani

C’est ce vendredi 31 mars, contrairement à la CENCO, que Noël Tshiani, initiateur de la loi sur la congolité a reçu le Représentant légal de la Communauté Islamique de la République démocratique du Congo, venu lui témoigner le soutien de son Eglise à sa proposition de loi.

« Un grand honneur de recevoir le Représentant Légal de la Communauté Islamique de la RDC venu me témoigner le soutien de son église et sa communauté à la proposition de Loi Tshiani de père et de mère. Avec toute ma gratitude ! », a déclaré Noël Tshiani après avoir échangé avec Cheikh Youssouf Djibondo.

Pendant que la classe politique congolaise se déchaîne autour de la loi Tshiani, Cheikh Youssouf Djibondo, Représentant légal de la Communauté Islamique depuis le mois d’août de l’année dernière, a choisi son camp.

La prise de position de la Communauté Islamique, à travers son Représentant, démontre à juste titre la motivation de certains congolais qui estiment que cette loi mérite d’être validée dans la mesure où elle protège les institutions contre les infiltrations étrangères.

Noël Tshiani peut dorénavant compter sur l’Eglise musulmane pour continuer sa démarche qui consiste à faire passer sa proposition de loi qui est devenue depuis quelques semaines, un sujet crucial dans les débats politiques.

Jean-Luc Lukanda




Kabulo, Bemba et Kamerhe, vedettes du 1er conseil des ministres 

Kabulo, Bemba et Kamerhe, respectivement ministre des Sports, VPM à la Défense et à l’Economie, ont été les vedettes de cette 92ème réunion du Conseil des ministres présidées ce vendredi à la Cité de l’Union africaine par le président de la République, Félix Tshisekedi. Celui-ci leur a rappelé l’obligation des résultats qui leur incombe, au regard des nombreuses attentes de la population congolaise.

Une semaine après le réaménagement, la nouvelle équipe gouvernementale s’est réunie en conseil des ministres ce vendredi 31 mars à la Cité de l’Union Africaine.

Au tour du Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo se sont retrouvés le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde et les 58 membres du gouvernement récemment nommés ou reconduits.

Parmi les nouveaux venus figuraient aussi Jean Pierre-Bemba et Vital Kamerhe, Vice-Premier ministres chargés respectivement de la Défense et de l’Economie.

La 92eme réunion du Conseil des ministres a débuté par la communication du Chef de l’Etat Félix Tshisekedi qui a fait part de ses attentes et missions assignées à cette équipe.

” Vous avez l’obligation des résultats “, leur a-t-il dit tout en rappelant les nombreuses attentes de la population congolaise.

L’équipe gouvernementale Sama Lukonde II comprend 58 membres dont 16 femmes répartis comme suit : 5 VPM, 11 ministres d’Etat, 38 ministres, 1 ministre délégué et 12 vice-ministres.

Le réaménagement gouvernemental est intervenu dans un contexte particulier marqué par la guerre d’agression du Rwanda et la préparation des échéances électorales de décembre 2023.




Vice-ministre des Affaires Étrangères : Crispin Mbadu succède à Samy Adubango envoyé à la Défense nationale

Le nouveau vice-ministre des Affaires étrangères et Francophonie, Crispin Mbadu, a pris officiellement ses fonctions au cours de la cérémonie de remise et reprise organisée le jeudi 30 mars 2023, sous la supervision du Secrétaire général aux Affaires Étrangères, l’Ambassadeur Daniel Makiese Mwanawanzambi.

Selon notre source, la cérémonie, qui s’est déroulée dans le bureau du vice-ministre sortant, Samy Adubango Awotho a connu trois temps forts

La lecture du procès-verbal de la remise et reprise par M. Laurent Taunya wa Taunya, conseiller juridique du Vice-Premier ministre, ministre des Affaires Étrangères Christophe Lutundula Apala Pen’Apala, en présence notamment de son directeur de cabinet, Ambassadeur Zénon Mukongo Ngay ; La signature du procès-verbal par le vice-ministre sortant et le vice-ministre entrant et les allocutions prononcées par ces deux membres du gouvernement, sans oublier la photo de famille.

Pour rappel, le natif de l’Ituri et cadre du Congrès National Congolais (CNC), Samy Adubango a été nommé vice-ministre à la Défense nationale et Anciens Combattants.




Il ne pourrait exister de loi sur la congolité, mais une disposition exceptionnelle qui protège la souveraineté de la Rdc

Je n’ai pas encore lu la proposition de loi dite “loi Tshiani.” Cependant, sans généraliser l’impérieuse nécessité de verrouillage qu’elle tend à opérer, je ne peux concevoir qu’un pays comme le nôtre dans le contexte actuel de sa géopolitique se permette l’erreur de faire accéder au pouvoir suprême des personnes dont l’intégrité sociologique et la loyauté patriotique pourraient questionner leur conscience en cas de conflit frontalier, pour ne prendre que ce cas de figure.

La RDC n’est pas le Canada, ni les USA, ni la France ou encore la Belgique. La RDC, c’est la RDC avec ses particularités ultrasensibles. Le Président Mobutu n’a pas été distrait sur cette question, lui qui maîtrisait parfaitement la géopolitique du Zaïre par rapport à son environnement. Aujourd’hui, c’est plus qu’exigeant de regarder par deux fois qui accède à la magistrature suprême en RDC. Il n’y a qu’à interroger la constitution de 1967 et comprendre son exposé de motif. Et puis alors, pourquoi tant d’agitations politiciennes ? Une loi est d’essence impersonnelle et générale. Elle ne stipule spécifiquement pour une personne bien déterminée. Aussi, notre pays ne doit pas respirer selon le sort de certains individus en raison de leur fortune et ambition personnelle qui les décident à être coûte que coûte chef de l’Etat en RD-Congo. Ne pas remplir les critères objectifs et subjectifs d’accès à la haute charge en RDC procède du naturel.

Tout le monde n’est pas appelé à conduire la RDC, de la même manière que tout citoyen n’a pas tout ce qu’il faut pour être nommé recteur de l’UNIKIN, Directeur Général de l’INRB, capitaine des Léopards Basketball, Cardinal métropolitain de l’archidiocèse de Kinshasa, Chef d’Etat Major Général des FARDC etc….De par ma longue expérience de manager de sociétés de Droit OHADA et l’expertise acquise en matière de contentieux du travail, ma candidature à postuler comme inspecteur du travail passerait comme une lettre à la poste d’autant plus que je suis à 100 % sûr de réussir à n’importe quel concours ou test pour ce faire. Un handicap pourtant, le critère d’âge m’élimine d’office, alors que je suis toujours habile et apte. Dois-je ameuter toute la République pour cela ? Si moi, Makila, je ne peux être nommé officier supérieur à la police nationale congolaise, faute de n’y avoir pas droit pour toutes les raisons d’évidence naturelle, dois-je remuer la terre entière pour cela ? À moins d’avoir un agenda caché qui n’est pas un agenda congolais !!!

Daniel Makila Kantagni, Nationaliste de Gauche, Fils de Lumumbiste.




Tshisekedi informé par Miguel Kashal Katemb du développement de la classe moyenne et le contrôle à opérer dans tous ses secteurs d’activités

M. Félix Tshisekedi, président de la République, a accordé une audience ce jeudi 30 mars, au soir, à Miguel Kashal Katemb, Directeur général de l’Autorité de Régulation de la Sous-traitance dans le secteur Privé (ARSP).

Cet échange avec le Président de la République a porté essentiellement sur le développement de la classe moyenne et le contrôle que l’ARSP entend opérer dans tous ses secteurs d’activités.

A cet effet, Miguel Kashal a demandé à tous les entrepreneurs de tous les différents secteurs d’activités, de faire confiance au Chef de l’État et à cette structure définie comme instrument de changement et de diversification de l’économie nationale.

Dans son compte rendu fait au sortir de cette rencontre, Miguel Kashal s’est aussi félicité de la bonne collaboration avec des structures comme la Fédération des entreprises du Congo (FEC) citée en exemple, afin de pouvoir bien mettre en place le déploiement de la sous-traitance en RDC.

La sous-traitance est à la base de la transformation de l’économie de notre pays et permet l’inclusion de la population dans la chaîne de valeurs de toutes les matières premières, ce qui a poussé le DG de l’ARSP a rappelé que son entité ne se limitait pas aux activités minières mais également à tous les autres secteurs économiques.

« Nous demandons à tous les sous-traitants dans différents secteurs de nous faire confiance, de bien se structurer afin de nous permettre de bien marcher ensemble et arriver au résultat attendu de nous tous selon la vision du chef de l’état », a-t-il conclu