Pour exiger la libération de Jean-Marc Kabund : Le parti Alliance pour le changement dans les rues ce 3 avril 2023

Détenu à la prison centrale de Makala depuis le 9 août 2023 et poursuivi par la justice congolaise pour outrage au chef de l’Etat, le député national et ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale Jean-Marc Kabund-A-Kabund continue son séjour dans cette maison carcérale bientôt 8 mois sans être condamné, voir même la liberté provisoire réclamée par ses avocats lui a été refusée. Une situation qui n’arrange pas les militantes et les militants du parti Alliance pour le changement qui décident d’utiliser tous les moyens légaux, y compris les actions de rue pour exiger la libération sans condition de leur leader.

Interrogé ce mardi 28 mars par votre média en ligne le quotidienrdc.com par rapport à cette manifestation projetée pour le 3 avril 2023 à Kinshasa et sur toute l’étendue de la République, Boaz Muamba, Secrétaire national adjoint en charge de l’organisation et implantation de l’Alliance pour le changement parti Cher à Jean-Marc kabund-A-Kabund qui confirme la tenue de cette marche pacifique, a précisé que” l’autorité Urbaine a été saisie pour l’organisation de cette manifestation qui partira de la Station Cohydro sur la première rue Limete entre le Boulevard Lumumba et Sendwe.

Les manifestants passeront par le Boulevard Triomphal avant d’emprunter l’avenue des Huileries et pour chuter à la Cour de cassation où un mémorandum contenant plusieurs recommandations, ras-le-bol des militants et sympathisants de l’Alliance pour le changement au sujet de la détention illégale de leur leader sera lu et déposé.

Concernant la liberté provisoire annoncée par la justice congolaise il y a de cela quelques mois, Boaz Muamba dénonce cette façon de faire de l’appareil judiciaire. ” Nous savons très bien et tout le monde le sait que le dossier de Jean-Marc Kabund-A-Kabund est instrumentalisé par le pouvoir en place qui fait de notre leader un prisonnier privé de M. Félix Tshisekedi”. Pour lui, la justice congolaise n’arrive pas à dire le droit, parce qu’elle est sous ordre du régime en place.

Le Secrétaire national adjoint en charge de l’organisation et implantation de l’Alliance pour le changement invite les députés nationaux de ne pas fermer l’œil face à l’injustice que subisse leur collègue qui jusqu’à présent jouit encore de ses immunités parlementaires. Et il rappelle à la justice congolaise que l’heure n’est plus à l’instrumentalisation de l’appareil judiciaire. ” Mon parti Alliance pour le changement fait encore confiance en la justice congolaise qui va traiter avec sérénité le dossier de JM Kabund qui est toujours vide de son contenu », espère-t-il.

Profitant de cette même occasion, Boaz Muamba appelle les militantes et militants, mais aussi tout le peuple congolais de participer massivement à cette marche pacifique qui a pour objectif d’exiger la libération sans condition de Jean-Marc Kabund-A-Kabund détenu arbitrairement à la prison centrale de Makala bientôt 8 mois on ne va pas baisser les mains jusqu’à ce que notre leader sera libre a-t-il ajouté.




Installée à Goma: La chocolaterie Lowa sollicite l’accompagnement de Julien Paluku

Promoteur de la chocolaterie Lowa basée à Goma, dans la province du Nord-Kivu, Alexis Kalinda Salumu est venu solliciter l’implication du ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya, qui a déjà visité cette entreprise qui fait la fierté de l’Est de la République Démocratique du Congo.

Au menu de cette visite, l’augmentation de capacité de production de la chocolaterie Lowa basée à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu et l’installation de cette société dans la Zone Économique Spéciale pilote de Maluku et celle Musienene basée dans le territoire de Lubero au Nord-Kivu.

« C’est pour cela que je suis venu à Kinshasa pour chercher la visibilité de nos chocolats. Parce que le chocolat que nous sommes maintenant en train de faire a une autre ampleur. Tout le monde aime notre chocolat, il devient même comme un médicament, il est bio et il n’y a pas de produits chimiques dedans. Tout le monde commence à avoir confiance à notre chocolat », explique Alexis Kalinda Salumu.

Et d’ajouter, comme il y a un grand marché à Kinshasa, on est obligé de venir faire la visibilité à Kinshasa au sein de ce grand marché et pour montrer ce chocolat-là qui fait la fierté du Congo. « Parce que je ne sais pas si à Kinshasa il y a des chocolatiers, je serais pratiquement le premier et je crois que je serais accompagné par le ministère de l’Industrie pour le bien du chocolat congolais. Pour le Gouvernement, je n’attends que l’accompagnement. J’ai été accompagné au niveau de l’initiative par le ministre Julien Paluku, qui m’a boosté », reconnait-il.

A l’en croire, si on a des industries qui peuvent faire face à l’économie des voisins, je crois que ça pourra aller. Par l’importation, il y a beaucoup de chocolats qui arrivent et qui ne sont pas au niveau du chocolat que nous faisons, qui est une fierté et qui a des effets bénéfiques sur notre corps.

Au sortir de cette audience, il a reconnu que le ministre était réceptif. Il pensait que le projet c’était arrêté. Mais lorsqu’il apprend que tout le monde aime notre chocolat, même les étrangers, il m’a conseillé d’agrandir le champ du chocolat pour qu’il soit à la portée de tout le monde, de tous les Congolais et de tous les étrangers qui aiment notre chocolat.

Soulignons que cet entrepreneur est à Kinshasa pour consolider le marketing de ses produits, car la chocolaterie Lowa produits du chocolat pure. Et le ministre de l’Industrie est plus que déterminé de faire de l’industrie un facteur de paix et stabilité dans la partie Est de la Rdc.

JMNK




Patrick Muyaya à l’écoute de l’intersyndicale du RENATELSAT

Patrick Muyaya, ministre de la Communication et Médias a eu une séance de travail avec l’intersyndicale du Réseau National de Télécommunications par Satellite (RENATELSAT), le lundi 27 mars 2023 dans son cabinet.

Étant toujours à l’écoute des entreprises sous son tutelle, Patrick Muyaya a, durant plus d’une heure, donné la parole tour à tour au président de l’intersyndicale Fidèle Ngamaluku pour exposer sur les problèmes qui dérangent ce réseau stratégique pour la République Démocratique du Congo.

« Nous, l’intersyndicale du RENATELSAT, étions venus voir le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya dans le cadre du dialogue social sur les problèmes qui rongent notre entreprise entre autres, les revendications des agents et cadres, le statut juridique, la relance de l’entreprise et la grille barémique, mais aussi les résolutions des états généraux de la communication et des médias liés au RENATELSAT, et le problème de l’ex. BPO”, a dit Fidèle Ngamaluku.

De poursuivre : “Nos revendications ont été bien reçues par le ministre et il nous a promis des solutions dans un bref délais”.

Pour arriver à résoudre tous ces problèmes, M. Badibanga président de la délégation syndicale, a précisé que des réunions tripartites sont prévues dans un futur proche ici à Kinshasa sous la houlette du ministre de la Communication et Médias.

Il convient de rappeler que le RENATELSAT est une entreprise stratégique dans le secteur audiovisuel et des télécommunications, qui coopèrent avec la radiotélévision nationale congolaise (RTNC) et la société congolaise des postes et télécommunications (SCPT).

“Le ministre nous a rassuré qu’il y a un plan de relance de l’entreprise qui coïncide avec le projet de 145 territoires. Nous demandons aux agents de la RENATELSAT s’apaiser”, a déclaré Doss Badibanga, président de la délégation syndicale de cette entreprise publique.




Commentaire sur la gravité des manœuvres militaires des Etats-Unis et de leurs acolytes

La situation de la péninsule coréenne s’avère de plus en plus dangereuse, dépassant le seuil du danger.

La folie de guerre et les actes d’étouffement des Etats-Unis contre la République populaire démocratique de Corée qui vont croissant en mars se précipitent à une étape grave qu’on ne peut plus tolérer.

La RPD de Corée a déjà averti que les manœuvres de provocation militaires et exercices de guerre téméraires des Etats-Unis conduiraient la situation de la péninsule coréenne à un point critique d’une guerre nucléaire qui risque d’éclater.

Malgré cela, les Etats-Unis et les sud-coréens vont devenant de plus en plus belliqueux et frénétiques, révélant ouvertement leurs tentatives d’attaquer notre République.

A un sévère avertissement du gouvernement de la RPDC et à une revendication judicieuse de la communauté internationale de cesser la provocation militaire et les exercices de guerre qui portent atteinte à la paix et à la stabilité de la péninsule coréenne et de la région, les Américains ont répondu par la révélation plus ouverte de leurs tentatives d’agression contre la RPDC, par leurs actions pratiques contre elle.

Au début de ce mois, ils ont envoyé successivement et d’urgence à la Corée du Sud des moyens stratégiques importants tels que sous-marin nucléaire, contre-torpilleurs de type « Aegis », bombardiers stratégiques, chasseurs sans pilote pour se livrer à des exercices de guerre conjoints sur la mer et en l’air. A partir du 13 dernier, ils ont effectué avec leurs valets sud-coréens « Freedom Shield », exercices militaires conjoints d’envergure supposant une guerre totale contre la RPDC, en passant outre à leur plan de frappe de précision, de « frappe préemptive » sur des installations nucléaires ou de missiles d’on ne sait qui.

Cela a montré nettement que les exercices susmentionnés que les Etats-Unis et leurs laquais avaient restaurés dès l’année dernière n’étaient pas « ceux de nature défensive qu’ils pratiquaient annuellement », comme s’ils le répètent comme un refrain.

Ces exercices consistaient à « embarquer Wonsan », à « occuper Pyongyang » et à procéder à une « opération de décapitation » prévoyant l’attaque surprise sur les points d’appui stratégiques de la RPDC, suivant leur « plan d’opérations 5015 ». C’étaient ceux d’une longue durée sans précédent qui se prolongeaient sans cesse jour et nuit pendant 11 jours, en s’élançant directement à des phases d’« occupation » et de « stabilisation » contre la formule préétablie.

Pendant cette période, les Américains se sont livrés, à un degré suprême, à des actions militaires contre la RPDC dans les airs des environs importants de la péninsule coréenne, mobilisant toutes sortes de leurs biens de reconnaissance, entre autres avion doté d’un « système de guerre électronique de reconnaissance dans l’espace aérien » de leur armée de terre, « RC-135V » et « RC-135S » de leur armée de l’air.

Avant et après « Freedom Shield », les fanatiques de guerre des Etats-Unis et de la Corée du Sud ont entrepris dans l’air, sur terre et sur mer toutes sortes d’exercices de guerre, entre autres opération conjointe du passage du fleuve, exercices conjoints de largage et de déplacement, exercices conjoints de transport de munitions de guerre, exercices conjoints de combat scientifique, etc.

D’ailleurs, les maniaques de l’affrontement de la Corée du Sud ont mené d’innombrables manœuvres militaires séparées, notamment exercice pour « le contrôle spécial de la posture de la bataille décisive de 2023 » effectué du 13 au 15 par le commandement d’opération de leur aviation, en parlant d’on ne sait quel « châtiment ».

Depuis 20 mars, alors qu’ils étaient encore dans la fumée, les Américains et leurs laquais ont repris de front « Sangryong », exercices de débarquement conjoints d’envergure sans précédent visant à « occuper Pyongyang », qu’ils avaient suspendus pendant 5 ans après 2018.

De connivence avec leurs acolytes, les Américains y ont introduit des dizaines de navires, notamment le navire amphibie de leur marine « Makin Island », appelé sous le nom de porte-avions léger pouvant porter 20 chasseurs Stealth « F-35B », plus de 70 chasseurs de diverses sortes, 50 véhicules blindés d’assaut amphibie et des effectifs pléthoriques de plus de 10 000 hommes.

Le secrétaire américain des forces aériennes et le commandant de la 7e aviation se sont rendus dans la Corée du Sud pour conspirer le plan de guerre d’agression contre le Nord. Par la suite, le commandant américain de l’infanterie de marine du Pacifique contrôlant 70 % des effectifs de l’infanterie de marine états-unienne a fait son apparition pour diriger ces exercices « Sangryong ».

Les Américains ont invité des unités d’opération spéciale de leurs pays satellites qui avaient autrefois participé à la guerre de Corée pour les faire participer à l’entraînement, et y ont introduit même le groupe de frappe navale axé sur le porte-avions à propulsion nucléaire « Nimitz ». Cela montre nettement que l’option américaine à l’égard de la RPDC ne se limite pas à l’opération militaire, mais s’évolue vers une phase de concrétisation réelle.

Ce groupe de frappe constitué de « Nimitz », porte-avion nucléaire, «Wayne E. Meyer » et « Decatur », contre-torpilleurs de type « Aegis » de la 11e division de porte-avions de la marine américaine a procédé le 27 dans les environs au sud de l’île Jeju à un exercice maritime conjoint dont le but était de « renforcer la capacité d’exécution de la force de dissuasion élargie par le déploiement des biens stratégiques américains ». Et il fait son entrée le 28 au port de Pusan pour entreprendre un nouvel exercice de guerre.

Sur cette lancée, les Etats-Unis et les fantoches prévoient effectuer en juin des « exercices conjoints d’anéantissement par la frappe » d’envergure inouïe comprenant toutes leurs forces terrestres, navales et aériennes avec des armes dernier cri.

Tous ces exercices ostensibles de l’ennemi nous font savoir clairement que ceux-ci, par leur caractère d’action, relèvent d’actes militaires d’attaque préalable qu’il perpètre, en considérant comme un fait établi la guerre d’agression contre nous, exercices devant lesquels la RPDC ne peut plus rester à bras croisés.

Ces manœuvres militaires dont l’envergure et la durée dépassent le niveau de celles précédentes, se déroulent nuit et jour tous les semaines et tous le mois, avec la participation d’énormes armes d’attaque.

L’introduction des moyens de guerre les plus offensifs, notamment le groupe de frappe de porte-avions nucléaire est en fait une déclaration de guerre ouvertement lancée contre la RPDC.

C’est bien ridicule et absurde que les fantoches sud-coréens s’évertuent frénétiquement en adhérant aux manœuvres de confrontation de leurs suzerains.

Il y a quelques jours, le ministre de la Défense sud-coréen a proféré des propos imprudents en disant qu’« à travers le lancement de différents missiles notamment ICBM, le Nord menace la paix et la stabilité non seulement de la péninsule coréenne mais aussi du monde. Dans ce contexte, il faut renforcer nos exercices. » Le 27, le président du comité des chefs d’état-major de l’armée sud-coréenne à bord du porte-avions de la marine américaine « Nimitz » a fait son intrépidité, révélant sa folie de confrontation par ses propos rhétoriques « L’Union américano-sud-coréenne fera une riposte rigoureuse et écrasante sur tous les défis et actes d’agression de l’ennemi », « Nous le châtierons impitoyablement en cas d’urgence », etc.

Tous ces faits montrent nettement que ces exercices de guerre qui s’amplifient plus frénétiquement dans la Corée du Sud ne sont pas de simples exercices militaires, mais, par leurs nature, caractère, contenu et forme, ceux pratiques de guerre nucléaire visant à attaquer préalablement la RPDC, ainsi qu’un résultat issu du choix politique et militaire des Etats-Unis qui n’hésitent pas à se précipiter vers la confrontation avec nous, soit vers la guerre contre notre République.

Les Etats-Unis qui se démènent pour des manœuvres périlleuses dans la région de la Corée du Sud sont de vrais auteurs de destruction de la paix et de la stabilité dans la péninsule coréenne et dans l’Asie du Nord-Est et coupable principal de l’aggravation de la situation.

La conjoncture critique d’aujourd’hui est due aux Etats-Unis et à leurs satellites qui tentent de nous étrangler par la force ; l’accroissement de notre force de dissuasion dépend entièrement de notre droit d’autodéfense, personne ne peut le mettre en cause.

Face à cette grave situation où la souveraineté et la sécurité de l’Etat risquent d’être menacées, la force nucléaire de la RPDC doit s’acquitter de sa mission importante : c’est un fait légitime.

 




Direction donnée sur les affaires relatives à la fabrication d’armes nucléaires  

Kim Jong Un, Secrétaire général du Parti du travail de Corée et Président des affaires d’Etat de la République populaire démocratique de Corée, a dirigé le 27 mars les affaires concernant la fabrication d’armes nucléaires.

L’Institut des armes nucléaires de la RPDC a fait part à Kim Jong Un des activités menées ces dernières années pour renforcer qualitativement et quantitativement la force nucléaire de notre République conformément à l’orientation de développement des armes nucléaires et à l’orientation stratégique définies par le VIIIe  Congrès du PTC et la 6e session plénière du 8e CC du Parti, ainsi que de l’état de production de ces armes.

Kim Jong Un s’est renseigné en détail sur les moyens d’application d’armes nucléaires et les caractéristiques techniques et structurales, et de fonctionnement de nouvelles armes tactiques, conformes au but de l’opération et aux cibles, sur leur compatibilité avec des systèmes d’armes variés, etc., ainsi que sur l’état d’informatisation du système de contrôle général national des armes nucléaires « Haekbangachoe » (gâchette nucléaire) dont la scientificité, la fiabilité et la sécurité avaient été vérifiées strictement dans un exercice tactique général supposant une riposte nucléaire, effectué récemment.

De même, il a examiné le plan et les ordres préparés pour une opération de riposte nucléaire.

Il a hautement apprécié les efforts inlassables de l’Institut ayant contribué à faire de notre force nucléaire une force fiable à même de faire face à toute alerte nucléaire en conformité avec le projet et l’intention stratégiques du CC du Parti de procéder à un usage intégré d’armes nucléaires avec des moyens variés dans les espaces opérationnels multilatéraux.

Nous avons parcouru sans fléchir un chemin vraiment long et ardu pour nous doter de l’arme nucléaire, a-t-il fait remarquer avec émotion ; l’ennemi auquel notre force nucléaire dotée d’une puissante capacité de dissuasion doit faire face est justement la guerre et le désastre nucléaire, et non pas un Etat ou une collectivité déterminés ; la ligne de notre Parti pour le renforcement de la force nucléaire est destinée uniquement à sauvegarder la sécurité éternelle de notre Etat aussi bien que la paix et la stabilité dans la région.

Nous ne devons jamais nous contenter de ce que nous avons fait dans le perfectionnement des préparatifs de riposte de notre force nucléaire, mais nous employer toujours pour un renforcement incessant de celle-ci, a-t-il poursuivi ; c’est seulement lorsque nous nous préparerons parfaitement à employer l’arme nucléaire n’importe quand et contre un objectif quelconque qui se trouve n’importe où que celle-ci ne sera pas utilisée à jamais ; quand nous nous mettons en posture d’attaque avec une force nucléaire puissante et supérieure qui dépasse l’imagination, l’ennemi aura peur de nous et ne pourra oser porter atteinte à la souveraineté de notre Etat, à notre régime et à notre peuple.

Il a souligné que ledit institut et le secteur de l’énergie atomique doivent redoubler d’ardeur pour accroître avec prévoyance la production de substances nucléaires à l’usage de l’arme et fabriquer toujours de puissantes armes nucléaires, en vue d’appliquer parfaitement le dessein du CC du Parti d’augmenter de façon géométrique le nombre de nos armes nucléaires et défini les tâches qui leur incombent.

Les scientifiques et les cadres de l’institut des armes nucléaires se sont farouchement déterminés à rester fidèles à la mission importante qu’ils assument devant le Parti, la révolution, la patrie et le peuple pour défendre avec sûreté l’œuvre révolutionnaire Juche grâce à l’accroissement de la production de puissantes armes nucléaires.

 




Exercice de lancement de missiles

Une unité des missiles chargée d’une mission de frappe importante au centre du front a effectué le 27 mars un exercice éducatif et démonstratif pour permettre à ses sous-unités de se perfectionner dans la méthode et le processus d’accomplissement de leur mission de frappe.

L’exercice a été dirigé par la Direction générale des missiles. Y ont assisté les commandants et les combattants des sous-unités.

Une compagnie d’enseignement relevant directement de l’unité a été mobilisée. Deux missiles balistiques tactiques sol-sol ont été lancés. Ils ont produit une explosion nucléaire en l’air.

La compagnie d’enseignement a lancé depuis l’arrondissement de Ryokpho de la ville de Pyongyang une attaque nucléaire imaginaire contre une île-cible devant la ville Kim Chaek de la province du Hamgyong du Nord en faisant exploser l’ogive du missile à l’altitude de 500 m.

Le commandant de l’unité a déclaré : « La mission de notre unité est claire. Nous savons bien ce que nous devons faire le cas échéant. Nous ne manquerons pas d’anéantir l’ennemi lors du combat. »

Tous les officiers et soldats de l’unité ont pris la ferme résolution de réaliser l’intention militaire et stratégique du Comité central du Parti grâce à leur capacité de combattre à un contre cent.




Vice-ministre de la Justice: Amato Bayubasire s’en va, Thadée Mambu Lau Mbemba entre 

Le nouveau vice-ministre de la Justice, Thadée Mambu Lau Mbemba, a pris ses fonctions ce mardi 28 mars 2023 au terme d’une cérémonie de remise et reprise avec le vice-ministre de la Justice sortant, Amato Bayubasire Mirindi. Une cérémonie présidée par le secrétaire général intérimaire à la Justice, Willy Mutombo.

Le vice-ministre entrant, Thaddée Mambu Lau Mbemba, a commencé d’abord par remercier son prédécesseur Amato Bayubasire qui l’a précédé à ce poste pour la gestion et la responsabilité de la République qui lui ont été confiées. Tout en remerciant également le président de la République, Félix-Antoine TshisekediTshilombo, qui lui a fait confiance en le nommant vice-ministre.

« Je réitère le même vœu au président de l’Assemblée nationale, l’honorable Christophe Mboso Nkodia Mpwanga qui m’a également fait confiance en me présentant au Chef de l’Etat. Pour ça, je m’inscrirai dans cette même logique que mon prédécesseur qui a géré avec dévouement cette responsabilité qui lui a été confiée et ça sera toujours pour la cause de notre pays », a-t-il déclaré.

Pour sa part, le vice-ministre sortant Amato Bayubasire a tenu à féliciter son successeur pour sa nomination et la confiance qui lui ont été faites par la haute hiérarchie. Il a remercié le président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Premier ministre et Vital Kamerhe, président national de son parti pour la confiance qui lui a été accordée pendant deux ans comme membre du gouvernement.

« Quand je suis arrivé ici, ma première pensée était dirigée par la journée d’aujourd’hui. Il arrivera qu’un jour je veux quitter. Lorsqu’on prend les fonctions gouvernementales, il faut toujours penser au jour où l’on va quitter. C’est pour cela qu’il faut bien faire son boulot pour être en bon terme avec tout le monde. Je suis un élu et je veux aller reprendre mes fonctions à l’Assemblée nationale », a conclu Amato Bayubasire.

BM




Nord Kivu : La prison centrale de Walikale se transforme en mouroir, déjà 9 morts (Prince Kihangi) 

Malgré les alertes faites par la notabilité de ce coin du pays suite au danger qui se faisait de plus sentir dans cette maison carcérale dû aux mauvaises conditions dans lesquelles étaient exposées les détenus de cette prison qui sont restées sans aucune réponse. Dans l’espace de 3 jours, soit du 24 au 26 mars 2023, cette maison carcérale a enregistrée 9 morts.

Prince Kihangi le député provincial du nord Kivu qui a alerté sur cette situation précise, “qu’il ya encore d’autres détenus qui sont malade à l’agonie qui risquent de rendre l’âme si rien n’est fait dans l’urgence” Cet élu de Walikale qui déplore également les mauvaise conditions des vies des détenus dans cette maison carcérale qui ressemble à présent à un mouroir.

Un problème majeur dans cette prison à part celui concernant le manque des soins de qualité et approprié, c’est aussi la malnutrition. Ici, les prisonniers trouvent à manger difficilement. De fois, ils passent des jours sans rien mettre sous la dent, alors que l’Etat congolais a le droit et l’obligation de soigner et de nourrir tous les prisonniers dans leurs lieux de détention.

L’élu de Walikale qui a été toujours près de cette population a eu le temps d’interroger quelques-uns sur les motifs de détention, regrette amèrement du fait que quelques-uns d’entre ces derniers qui totalisent déjà plus d’une année, ont été emprisonnés ici juste pour les fais bénins et la plupart n’ont jamais été présentés devant leur juge naturel. Un disfonctionnement qui s’ajoute encore à d’autres maux qui prouve à suffisance comment cette prison est mal gérée met davantage les détenus devant le danger permanent de la mort.

Au regard de cette réalité que traversent les détenus de la prison centrale de Walikale, soucieux de cette population qui souffrent déjà de la guerre interminable dans cette partie du pays, le député provincial du Nord-Kivu Prince Kihangi sollicite l’implication personnelle du gouverneur militaire de la province du Nord-Kivu pour que les détenus soient pris en charge convenablement comme le recommande les lois du pays et invite aussi l’autorité provinciale à organiser la chambre foraine afin que chacun des locataires de cette maison carcérale connaisse son sort.

Osée Kalombo




Reçu par Mboso : Atundu confirme son adhésion à l’Union sacrée

Christophe Mboso Nkodia Pwanga, speaker de la Chambre basse du Parlement, a reçu en audience André-Alain Atundu, ancien porte-parole du Front commun pour le Congo (FCC), qui est allé confirmer son adhésion à l’Union sacrée.

Au sortir de cette entrevue, André-Alain Atundu s’est exprimé en ces termes : « Après ma déclaration d’adhésion à l’Union sacrée, il est tout à fait normal que je me présente auprès d’une autorité compétente. C’est pourquoi je suis venu voir le président de l’Assemblée nationale qui est l’autorité compétente de l’Union sacrée de la nation pour officialiser mon adhésion et pour recevoir de sa part des orientations nécessaires pour la suite des événements ».

Hier comme une figure de proue au sein du FCC, aujourd’hui à l’Union sacrée pourquoi faire ?

A cette question, Atundu Liyongo a fixé l’opinion : « M. Atundu a toujours été une figure de proue dans la politique congolaise, aussi bien durant le règne de M’zee, de Joseph Kabila et aujourd’hui sous le règne du président Félix Tshisekedi. Une figure de proue ne disparaît pas avec le changement de régime. Nous sommes des patriotes, nous sommes de référence et, avec l’âge, nous devenons des notables et les notables font toujours l’honneur d’une nation ».

Pour ce qui est des motivations, M. Atundu a déclaré qu’il a répondu à l’appel à la cohésion nationale lancé par le président de la République, étant donné les défis sécuritaires, de développement de 145 territoires, de gouvernance.

« En tant que patriote, je devais répondre positivement à cet appel », a-t-il ajouté.

Par rapport à la transhumance politique, M. Atundu est d’avis que son cas ne relève point d’une transhumance. Car, « une transhumance est un mouvement de balancier, lorsque le temps ne s’y prête plus, les bergers traversent de l’Espagne en Suisse et après ils reviennent. Moi, je n’ai pas traversé et je ne pourrais revenir. J’ai répondu à un appel du chef de l’État, père de la nation, et bien c’est le Congo d’abord. Nous devons travailler à fond, sans réserve pour sauver le Congo, pour que nous puissions retrouver notre dignité et permettre à la République de jouer le rôle de sa vocation naturelle qui est d’être la gâchette de l’Afrique sur tous les plans ».




Projet PROADER : La BAD supervise les activités dans le Kongo Central

La Banque Africaine de Développement (BAD), partenaire financier du Gouvernement congolais, continue sa mission de supervision des projets qui bénéficient de son appui en République Démocratique du Congo. Parmi ces projets figure en bonne place le Projet d’Appui au Développement Intégré de l’Economie Rurale (PROADER) encré au ministère du Développement Rural. Cette fois-ci ce sont les activités de l’Opérateur Agricole Layuka sous contrat avec le PROADER pour la production de la farine panifiable à base de manioc, notamment qui ont été visées dans le Kongo Central. Deux présences remarquables du côté Congolais dans cette mission, celle du Conseiller Spécial du Chef de l’Etat et coordonnateur de la Cellule d’Appui au Programme d’Urgence Intégré pour le Développement Communautaire (CAPUIDC), Philippe Ngwala ainsi que celle de Elvis Pekeyabo, Secrétaire général au Développement Rural et Président du comité de pilotage du PROADER.  

 

Le travail abattu par la Société Layuka à travers notamment l’ASBL « Nouvelle vie » dans la périphérie de la cité de Kimpese dans le territoire de Songololo au Kongo Central, a donné satisfaction à la mission de supervision de la BAD venue pour se rendre compte des réalisations du Projet PROADER dans la province de Simon Kimbangu. Le Professeur Sampasi Loko, chef de cette mission de la BAD et Task manager du PROADER a apprécié à sa juste valeur le travail que réalise ce projet du Gouvernent aux bénéfices des populations rurales de ce coin du pays.

Sampasi Loko est également revenue sur les dernières descentes de la mission de supervision de la BAD dans l’espace grand Bandundu. Dans le Kwango, plus de 1000 hectares de manioc sont visibles au parc de Bukanga Lonzo et environs. Selon lui, la délégation de la BAD a eu à palper la farine de manioc panifiable lors de la visite de l’usine qu’exploite ECOSAC.

Pour le Conseiller Spécial du Chef de l’Etat et Coordonnateur de la CAPUIDC, Philippe Ngwala, le PROADER vient là de concrétiser la vision du Chef de l’Etat congolais Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo, car les champs de manioc sont visibles et les populations rurales se retrouvent dans ce projet.

Même son de cloche du côté du Secrétaire général au Développement Rural et Président du Comité de Pilotage du projet PROADER, Elvis Pekeyabo Nzibukira. Ce dernier a, en outre, remercié le ministre d’Etat, ministre du Développement Rural qui a cru à ce projet et à ses dirigeants pour arriver ce jour à ces résultats spectaculaires.

Selon les informations recueillies auprès de Carol Nzore Mozunge, Expert en Communication du PROADER, l’Opérateur Layuka est lié à ce projet du Gouvernement par une convention pour la production de manioc et par un contrat visant essentiellement la production de la farine panifiable à base du manioc en vue de juguler la pénurie de la farine de blé suite aux conflits armées Russo-Ukrainiens. Dans l’ensemble, le privé Layuka devra réaliser 2600 hectares de manioc dont 1000 hectares pour le manioc panifiable et 7500 des tonnes de farines de manioc panifiable attendus, a-t-il précisé.

Cependant, il y a encore des défis à relever notamment la production à grande échelle de cette farine panifiable à base de manioc. Ce qui nécessite pour les opérateurs agricoles l’acquisition d’autres usines de transformation à installer non loin de champs car les tubercules de manioc récoltés doivent impérativement atteindre l’Usine endéans 48 heures.

Soulignons que cette mission de supervision de la BAD au Kongo Central s’est clôturée par la visite de l’usine de transformation de Manioc de Layuka où elle s’est imprégnée une fois de plus du processus de transformation du manioc en farine panifiable.

Il sied de préciser qu’un aide-mémoire sanctionnera la fin de cette mission de supervision des activités du PROADER dans ses zones d’interventions avec des recommandations adéquates pour la bonne marche du Projet.