Les FARDC récupèrent des localités des griffes du M23, un nouveau gouvernement en Rdc: Kagame perturbé, le doute s’installe

Les lignes bougent aux fronts où les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) s’opposent à l’armée rwandaise qui tue et pille les richesses naturelles du Congo sous masque du M23. L’armée régulière ne cesse de faire sa progression significative et ce samedi 25 Mars 2023, plusieurs localités jadis sous contrôle des suppôts de Kagame sont tombés entre les mains des FARDC sous les lamentations du M23 /RDF qui crie à la violation des droits de l’homme. Les localités de Kagundu, Kabaya et Bunyole, la cité de Busamba sont tombés sous contrôle des FARDC depuis ce samedi 13h30 avant que l’armée congolaise ne lance un assaut sur Kitshanga Centre.

Des sources fiables aux Rwanda même affirment que les Rwandais se disent trahis et déçus par leur principal infiltré dans les institutions congolaises et par Makanika le boss du M23, ce qui fait “qu’ils perdraient beaucoup d’hommes et la quasi-totalité de leurs vaches. Le doute s’installe donc dans l’opinion publique rwandaise. Selon elle, il n’y a presque plus des jeunes, tous sont tombés sur le champ de bataille”. Et d’ajouter, “Makanika va suivre Nkundabatware, Mutebusi et Makenga là où ils sont”.

L’opinion publique rwandaise accuse leur leaders du tutsipower de les “avoir trompés et estime qu’il n’y auraient pas des territoires à revendiquer au Congo. Et tout ce qu’ils veulent, c’est de vivre en paix n’importe où avec les Congolais”.

L’offensive de la diplomatie pacifiste pour la manifestation de la vérité de Félix Tshisekedi semble peu à peu avoir raison de l’art de la diversion et du mensonge de l’ésotérisme ubwenge du tutsipower et de Kagame.

Si cette situation persiste, les jours sombres s’annoncent contre le régime de Kigali.

Certains infiltrés à Kinshasa et des relais à Goma et même au Rwanda disent être « prêts à témoigner contre les cerveaux de cette guerre car, les citoyens rwandais eux, n’y sont pour rien. Le Congo les avaient accueilli avec un grand cœur. On sait quand commence la guerre, mais on ne sait pas quand et comment elle se termine”, affirme notre source.

Les forces d’autodéfenses locales ne sont pas en reste

En son temps, le Président Laurent Désiré Kabila, aujourd’hui disparu, avait dit que ‘la guerre sera longue et populaire’. C’est ce qui semble se concrétiser particulièrement ce week-end où le M23, pour son anniversaire le 23 mars, avait organisé un tournoi de football dames et messieurs dans les territoires occupés par ce groupe armé terroriste au stade Tata Mwami Ndeze à Rutshuru-Centre.

Deux éléments RDF y ont été tués après que les résistants Mai-Mai aient fait irruption dans le stade où se trouvait les ténors du M23. Le commandant Jacques Bitaba du M23/RDF qui a organisé le match à Rutshuru-Centre y serait “neutralisé par les résistants de l’auto-défense”, selon un communiqué des Mai-Mai.

Pour nombre d’observateurs à Rutshuru, la nomination du nouveau gouvernement Sama Lukonde 2, avec l’entrée des poids lourds, le jour même de l’anniversaire de ce mouvement terroriste militairement éradiqué en 2013, mais ressuscité par le régime rwandais après instauration de l’état de siège au Nord -Kivu et en Ituri, aurait eu un effet dopage aux efforts des forces d’autodéfenses.

Effet boosting du gouvernement Sama Lukonde 2

En effet, par la configuration de la nouvelle équipe gouvernementale, le Chef de l’Etat vient d’envoyer un message fort quant à ce qui concerne la guerre dans l’Est du pays en intégrant Jean-Pierre Bemba comme ministre de la Défense, Vital Kamerhe à l’Economie nationale, Antipas Mbusa Nyamwisi à l’Intégration nationale et en maintenant Patrick Muyaya à la Communication.

Il sied de rappeler que la guerre qui décime l’Est de la Rdc depuis bientôt trois décennies se passe principalement sur quatre fronts : Front militaire, front diplomatique, front économique et front communicationnel dans la guerre médiatique.

Ayant été l’un des belligérants qui ont négocié le 1+4 qui a sauvé la Rdc de la balkanisation, maîtrisant mieux les contours de l’agression rwando-ougandaise, étant donné qu’il est un ancien allié de Museveni (comme d’ailleurs Kagame), dans la partie du pays actuellement en état de siège, selon une large opinion publique, J-P Bemba serait l’un des acteurs politiques les mieux outillés pour administrer le portefeuille de la Défense nationale en ce moment où le M23 bat de l’aile.

Aussi, on se rappellera que lors de la campagne électorale des présidentielles de 2018, le candidat président de la République, président du MLC avait affirmé être capable de mettre fin à cette guerre dans 6 mois une fois élu.

La guerre dans l’Est étant d’abord économique, certains estiment aussi qu’avec sa formation d’économiste et son expérience du Président honoraire de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe dont le fief électorale fait partie de cette zone en proie aux pillages des richesses minières serait en même de donner des coups ciblés pour protéger les richesses du pays.

(Surtout qu’il a à prouver qu’il est un bon gestionnaire pour se blanchir de l’image pas très reluisante qui lui colle à la peau depuis le procès de 100 jours). Il serait donc le Commandant tout indiqué pour la guerre économique qu’imposent au pays les voisins orientaux de la RDC. En outre, Vital Kamerhe est l’un des acteurs principaux dans les accords de Nairobi qui ont donné naissance à CACH après l’éclatement de ‘Lamuka’ à Genève.

L’approche culturelle dans cette guerre d’agression est très importante. La culture des agresseurs de la RDC sous masque de M23, est pour une part importante dans l’attitude belliqueuse de Kagame. Le M23 comme leur maître à penser Kagame, puisent leurs ressources dans la diplomatie asymétrique basée sur l’ésotérisme ubwenge, l’art du mensonge et de la duperie, très prisée dans les grands lacs africains.

Natif de cette région et important acteur politique dans les Grands-lacs africains, Mbusa Nyamwisi serait tout indiqué pour mener à bien les négociations avec des ubwengistes de la région pour l’intégration régionale dans cette partie du continent. Le peuple Nande, dont il fait partie, se battent majoritairement dans les groupes d’autodéfenses Mai-Mai contre les agresseurs non seulement pour l’intégrité territoriale nationale, mais également pour protéger la terre de leurs ancêtres.

Le quatrième front dans cette guerre étant médiatique, la stratégie de la Communication actuellement installée par Muyaya a donné des résultats très encourageants. Le monde entier est largement aux parfums non seulement des atrocités dans l’est de la RDC mais surtout de qui en sont les acteurs grâce à la politique de communication mise en place par Patrick Muyaya. Comme on ne change pas l’equipe qui gagne, Félix Tshisekedi ne pouvait que le maintenir en son poste.

Les nominations de JP Bemba, Vital Kamerhe, Mbusa Nyamwisi et Patrick Muyaya dans ces quatre ministères serait donc un message fort du Chef de l’Etat sur sa volonté d’en finir avec la guerre dans l’Est de la Rdc. Ce qui semble perturber Kagame.

Willy Makumi Motosia




Transfert des eaux de l’Ubangi vers le lac Tchad : Le nocif projet ‘Trans Aqua’, péril contre l’environnement de la Rdc

Ève Bazaïba dénonce la nocivité du transfert des eaux de l’Ubangi vers le lac Tchad devant l’ONU

Dans la suite logique de la réunion préparatoire tenue en juillet 2021 dans le but de voir les Etats mener des actions en faveur de l’eau afin de relever les défis liés à cette ressource, et de garantir la durabilité des activités des secteurs utilisateurs de l’eau, la Vice-Premier ministre en charge de l’environnement et développement durable Ève Bazaïba Masudi (actuellement ministre d’Etat), au nom de la République Démocratique du Congo, dans un message porté devant la Conférence des Nations-Unies sur l’eau 2023 à New-York, le 23 mars 2023 pour faire voir à la face du monde la nocivité du projet ‘trans aqua’ qui vise à ponctionner les eaux de la rivière Ubangi en RDC vers le lac Tchad sans étude d’impact environnemental préalable.

Ce ‘projet constitue un réel danger pour le monde entier et causera un déséquilibre environnemental dans le bassin du Congo’, déplore Ève Bazaïba.

Il est vrai qu’en termes des ressources en eau, la Rdc est l’un des pays stratégiques d’Afrique. En effet, par sa position géostratégique, la Rdc constitue une charnière entre plusieurs grands ensembles hydrographique sous-régionaux. Elle est membre de quatre organisations de bassin, à savoir : le Bassin du Nil, le Bassin du Congo, le Bassin du Lac Kivu et le Bassin du Lac Tanganyika. En plus, elle fait partie des communautés économiques de l’Afrique centrale et de l’Afrique australe, qui ont toutes deux élaboré et mis en œuvre des politiques régionales de gestion durable des ressources en eau.

“La Rdc dispose de 52 % des réserves des eaux douces de surface de l’Afrique, et 23 % de ressources hydriques renouvelables de ce continent, dont la population est estimée à 1,3 milliards d’habitants. Avec une démographie estimée à 1% de la population mondiale, la Rdc dispose de 10 % du potentiel mondial en eau douce”, renseigne l’actuelle Ministre d’État en charge de l’Environnement.

Certes, le pays doit ce potentiel à l’immensité de son territoire au cœur du bassin forestier tropical du bassin du Congo, dont il détient plus de 60% de la superficie forestière, avec sa position géographique à cheval entre la ligne de l’Équateur, ainsi qu’à sa situation climatique globalement clémente. Toutefois, “la préservation des forêts du Bassin du Congo a un impact hautement positif sur le renouvellement du cycle de l’eau”, préviens Ève Bazaïba dans son message devant le Secrétaire Général des Nations Unies, le Représentant du Royaume des Pays-Bas, le Représentant de la République du Tadjikistan et autres invités, venus du monde entier.

Forêts congolaises, pilier stratégique de la lutte contre le réchauffement climatique

Les écosystèmes hydriques des forêts du bassin du Congo, qui grâce au processus de photosynthèse et d’évapotranspiration, régulent les pluies dans toute la partie Est de l’Afrique et du Sahel. Par exemple, sans les forêts de la République Démocratique du Congo, il n’y aurait aucune goutte d’eau au Soudan, au Kenya, en Ethiopie, en Erythrée, bref le Fleuve Nil dont dépend la survie de l’Egypte est alimenté par les pluies provenant de la RDC.

Le Centre de Recherche Forestière Internationale (Center for International Forestry Research) « CIFOR », confirme les multiples rôles que jouent les forêts de la RDC et ceci constitue un argument de taille en faveur de la conservation de ces forêts, pilier stratégique qui vise à répondre aux problèmes du changement climatique dans le monde.

Le danger de la pollution des eaux, notamment la pollution aux plastiques et aux produits chimiques toxiques provenant des exploitations minières réduit la disponibilité d’eau douce pour répondre aux multiples demandes. “La lutte contre ce fléau, devrait occuper une place de choix dans notre activité quotidienne”, affirme Ève Bazaïba.

‘Accélérer le changement pour résoudre la crise de l’eau et l’assainissement’, a été thème choisi pour la Conférence des Nations Unies sur l’Eau édition 2023. Ce thème doit interpeller tout le monde car “Il faut privilégier d’autres alternatives au lieu de chercher à résoudre un problème du Bassin du Lac Tchad en créant un autre dans le Bassin du Congo”, suggère celle que l’on appelle affectueusement ‘Songoli’ (entendez, génie des eaux), Ève Bazaïba.

On ne résout pas un problème en créant un autre

La rivière Ubangi dont question, connait actuellement un étiage très sévère suite aux impacts négatifs du changement climatique, ce qui rend difficile sa navigabilité saisonnière.

En plus, cette rivière se trouve dans la cuvette centrale, région recouverte par plus de 100.000 m² de tourbière tropicale.

La bonne gouvernance et la gestion intégrée des ressources en eau peuvent atténuer les menaces pesant sur un puits de carbone transfrontalier de plus de 30 milliards de mètres cubes, soit plus de trois ans de pollution mondiale qui risquerait de s’échapper dans la nature avec des lourdes conséquences pour notre planète.

Au regard des impacts négatifs grandissants que le changement climatique a sur les ressources en eau dans et aux environs de la région du Bassin du Congo, la valorisation de l’eau douce devient une urgence pour l’humanité. Celle-ci pourra se faire grâce à des partenariats axés sur un transfert de technologie et des méthodes de gestion plus efficiente de cette ressource cruciale dans plusieurs secteurs utilisateurs comme la navigation, l’agriculture, la santé et l’hygiène, le tourisme, les industries, la biodiversité, l’hydroélectricité, l’approvisionnement en eau, la pêche, les infrastructures, c’est la mise en œuvre de l’ODD 17.

Les utilisations de l’eau à travers le monde ont prouvé que cette ressource est tarissable, car capable de disparaitre et fragile puisque la pollution en réduit la disponibilité. “De manière générale, c’est ce manque de disponibilité d’eau qui engendre très rapidement des conflits entre Communautés ou entre groupes d’utilisateurs. Pareils conflits peuvent embraser les États”, préviens dans son message la gestionnaire l’environnement RDcongolais.

Cet argument parait paradoxal car, par sa valeur et son importance, l’eau est source de paix et non de conflit.

Prenant en compte les impacts négatifs du changement climatique sur l’eau, les projets intégrateurs avec des interfaces plus importants du genre NEXUS Eau-énergie-écosystèmes ou alimentation sont à encourager vivement, car rien ne se perd, mais tout se conserve. Raison pour laquelle Ève Bazaïba encourage les États membres de la Conférence de l’eau à valoriser cette nouvelle approche qui du reste cadre avec les objectifs de développement durable de notre planète.

De l’objectif 6 des ODD

Parlant de l’objectif 6 des ODD qui vise à garantir l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement et une gestion durable des ressources en eau, y compris celle des eaux transfrontalières, Ève Bazaïba est revenue sur la demande de nomination d’un Envoyé Spécial des Nations Unies pour l’Eau. Vu les défis immenses de l’atteinte de l’ODD 6 pour les pays africains, elle attend à ce que ce poste soit occupé par une personnalité de haut niveau provenant du continent africain capable de porter la voix des pays les plus vulnérables. Pour s’assurer que l’eau sera dotée d’une attention politique permanente, nous demandons également que cet Envoyé Spécial soit basé à New York et ait des liens étroits avec l’Union Africaine et l’ONU.

Willy Makumi Motosia




Le nombre de candidats à l’enrôlement dans larmée va croissant

Alors que les forces alliées américaines et sud-coréennes se livrent aux manœuvres de guerre d’agression d’envergure téméraires contre la RPDC et introduisent une grande quantité d’armements nucléaires stratégiques US en Corée du Sud, des jeunes coréens se proposent pour prendre ou reprendre le service militaire.

Selon une information, plus de 800 000 l’ont fait rien que le 17 mars, et le nombre de volontaires s’est chiffré à plus de 1 400 000 deux jours plus tard.




Manifestation de la volonté de riposte réelle

Face aux manœuvres de provocation de la guerre des Etats-Unis et des forces à leur remorque, dont les exercices aériens conjoints effectués à cinq reprises dès le début de cette année et les exercices américano-sud-coréens, la RPDC a fait effectuer le 16 mars l’exercice de tir du missile balistique intercontinental « Hwasongpho-17 ».

Le « Hwasongpho-17 » a pris son altitude maximale de 6 045 km pour voler 1 000,2 km pendant 4 151 s, avant d’atteindre la cible dans les eaux internationales aux environs de la mer de l’Est de la Corée.

Les 18 et 19 mars, ont eu lieu les exercices tactiques combinés de simulation de riposte nucléaire des unités d’usage des armes nucléaires tactiques de l’Armée populaire de Corée. Le missile a explosé exactement dans l’espace-cible de 800 m au-dessus de la mer de l’Est de la Corée, établi dans la distance de 800 km.

Les présents exercices ont offert une occasion pour envoyer aux forces hostiles un avertissement plus sévère, leur faire compte.




Exercice de tir de missile balistique intercontinental

Le 16 mars, la Commission militaire centrale du Parti du travail de Corée a fait effectuer l’exercice de tir du missile balistique intercontinental « Hwasongpho-17 ».

L’exercice s’est déroulé alors que dans la région de la péninsule coréenne prévaut le contexte d’insécurité, dû aux manœuvres de guerre d’envergure de nature provocatrice et agressive des Etats-Unis et des fantoches sud-coréens contre la RPDC.

Lancé de l’aéroport international de Pyongyang, le missile « Hwasongpho-17 » a pris son altitude maximale de 6 045 km et volé 1 000,2 km pendant 4 151 s pour atteindre les parages-cible dans les eaux internationales aux environs de la mer de l’Est de la Corée.




123.214 km2, superficie du territoire national aménagés pour le reboisement en République Populaire démocratique du Corée

123.214 km2, des superficies du territoire national, ont été aménagés en République Populaire Démocratique de Corée (RPDC) pour le reboisement dans le but de recouvrir les montagnes du Pays d’une verdure luxuriante, dans le cadre du mouvement patriotique, a indiqué un communiqué de l’ambassade de ce pays à Kinshasa parvenu dimanche à l’ACP.

« Je suis vraiment heureux de ce que nous nous sommes, ainsi, chargés nous-mêmes d’une tâche pour réussir la remise en état des forêts, œuvre patriotique perpétuelle que nous devons accomplir, sans faute, pour le bien de la postérité; voilà notre joie, notre fierté et notre bonheur », a déclaré le Maréchal Kim Jong Un , Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC) ajoutant qu’en 2022, « on a institué, officiellement, le 14 mars comme la Journée du Reboisement».

« La remise en état des forêts est une œuvre patriotique perpétuelle, entreprise à long terme prévue pour une dizaine d’années. Il ne faut, donc, jamais nous laisser décourager puisque des succès ne sont pas tangibles un ou deux ans après la plantation d’arbres. Bien que nous nous donnions de la peine aujourd’hui, nous devons planter et entretenir chaque arbre avec tout le soin possible en pensant au lendemain de la Patrie qui sera recouverte de forêts épaisses », a encore dit le Maréchal Kim Jong Un soulignant que « Si le Pays entier sera reboisé et recouvert de forêts, la postérité en bénéficiera beaucoup».

« Dans un avenir lointain, notre postérité, admirant la verdure luxuriante, parlera de la justesse de la politique de notre PTC ayant défini la plantation d’arbres comme une tâche de haute importance et un objectif stratégique de l’Etat », a-t-il indiqué.

La source précise que tous les problèmes qui se posaient pour transformer la Pépinière № 122 en une pépinière moderne d’ordre mondial, économe en terre et en mains-d’œuvre, où la production de plants d’arbres se ferait de façon scientifique, industrielle, intensive, automatique et mécanique à un haut niveau.

Pour ce faire, la RPDC s’emploie à planter les épicéa coréens (Picea koraiensis Nakai), les arbres à feuilles persistantes de taille moyenne atteignant 30m de haut et avec un diamètre de tronc allant jusqu’à 0,8m, les magnolia grêle (Magnolia kobus, plantes à fleurs de la famille des magnoliacées qui comprennent environ 110 espèces, essentiellement des arbres et arbustes, des régions tempérées chaudes, ajoutant à ces espèces, la création et la protection des forêts, ressources précieuses du Pays à léguer à la postérité.

« Pour réussir la remise en état des forêts, il faut non seulement planter beaucoup d’arbres mais aussi renforcer la protection, la surveillance et le contrôle des forêts, conscient que la protection des forêts est justement la protection de la terre, de l’écosystème et de l’économie », a indiqué le Secrétaire général du Parti du Travail de Corée.

Il a appelé la communauté coréenne à œuvrer dans le mouvement des forêts patriotiques dignes du socialisme et celui des arrondissements modèles en faveur de l’entretien, la création et la protection des forêts qui constitue un devoir visant un bel avenir de la Patrie et la prospérité des générations futures.

Créée en 1948 par Kim Il Sung, la RPDC est le berceau de la Civilisation Taedonggang, un fleuve qui traverse la capitale Pyongyang.




RPDC : L’avenir du temps, du climat et de l’eau

Le 23 mars est la Journée Météorologique Mondiale créée pour commémorer l’entrée en vigueur (23/03/1950) de la Convention qui a institué l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM). A l’heure actuelle, à cause de l’ascension de température due au réchauffement de notre Terre, la surface glaciale des régions polaires tend à diminuer et le niveau des eaux de mer à hausser. Des intempéries comme sécheresse, pluie diluvienne, haute température, etc., se succèdent un peu partout dans le monde. Du fait de cet état de choses du changement climatique, l’OMM a :;

– défini le thème de cette journée comme l’« Avenir du temps, du climat et de l’eau (à travers les générations)»

– appelé tous les établissements de météorologie des Pays membres à s’engager, activement, dans les activités météorologiques mondiales visant à assurer la sécurité et le bien-être de la population face aux désastres météorologiques.

La République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948 par le Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, berceau de la Civilisation Taedong-gang de la Nation homogène de plus de 5.000 ans et Superpuissance nucléaire visant à contrer toutes formes de guerre même celle nucléaire et construire un monde pacifique où la justice internationale soit réalisée, NDLR) a;

– consacré ses gros efforts sur le travail météorologique pour assurer la scientificité, la précision et la promptitude de la prévision de météorologie, ce qui lui permet de minimiser les dégâts causés par les calamités naturelles

– inventé et utilisé, dans le cadre de la modernisation de l’observation météorologique, les dispositifs d’observation modernes à la coréenne tels que celui d’observation météorologique automatique et le radar mobile à effet Doppler (sert à évaluer l’intensité des perturbations et la distance à laquelle celles-ci se trouvent, NDLR) pour assurer l’observation météorologique en temps réel

– appliqué, rien que l’année dernière 2022, de nombreux perfectionnements au système de prévision météorologique agricole à long terme, et procédé, à temps, à ladite prévision notamment sécheresse de printemps, chaleur caniculaire, pluie continuelle, typhon, etc.

– mis au point un système de prévision en temps réel des grandes pluies à la disposition des cours d’eau et réservoirs d’importance nationale

– défini le niveau du risque de raz-de-marée sur les digues ou jetées du Littoral Ouest pour minimiser les dégâts dus à une inondation ou à un raz-de-marée

– modernisé l’observation maritime pour assurer la précision de la prévision maritime, notamment celle de raz-de-marée

– procédé aux activités de propagande variées à travers les médias et réseaux informatiques destinées à développer la conscience du risque de dommages parmi les gens, entre autres signal d’alarme en cas de désastres, méthodes de riposte à la crise, etc.

et s’est préoccupée de mettre en valeur des méthodes et systèmes de prévision à ultracourt, court, moyen et long termes s’adaptant aux particularités naturelles et géographiques du Pays, augmentant, ainsi sensiblement, la précision des prévisions de la météo. Remarquons qu’un système pertinent de pré-alerte des catastrophes météo a été mis en place, et les méthodes avancées de prévision des phénomènes climatiques désastreux -prévision de la pluie torrentielle et du déluge, celle de la grêle et celle de l’itinéraire du typhon, analyse en temps réel du typhon et prévision de ses influences par région- ont été introduites pour réaliser l’informatisation de l’observation météorologique. Actuellement, la RPDC;

– s’emploie à intensifier la modernisation et l’informatisation de la météorologie pour garantir, de façon scientifique, l’avenir du temps, du climat et de l’eau

– renforce, davantage, sa coopération ou collaboration avec l’OMM.




Tshimpumpu wa Tshimpumpu fut le premier journaliste sportif ministre des Sports

Jadis, au cours des années ’80, le célèbre journaliste sportif africain et grand chroniqueur des Sports de notoriété internationale accéda aux fonctions ministérielles à l’ex-Zaïre.

Il avait plu, en effet, au Maréchal Mobutu de nommer Lucien Tshimpumpu wa Tshimpumpu, ministre de la Jeunesse, des Sports et Loisirs. Tout le pays fut en liesse. C’était une explosion de joie !

A l’unanimité, tous crurent que, comme sur une baguette magique, les solutions étaient trouvées pour les Sports congolais.

Tshimpumpu était toujours très critique vis-à-vis de ses prédécesseurs Kibasa Maliba, Sampasa Kaweta Milombe et autres. Sans oublier les responsables de la Fécofa, Loango Belua, Mpembele Mimile et Tambwe Musangelu.

La suite ? Je préfère vous laisser à l’écart de tout cela. Car, même Kabamba Odia, l’arbitre international qui lui succéda sombra dans les délices de Capoue.

Seul Tshimbombo Mukuna fut mieux avec nos basketteuses.

Alors, pourquoi vouloir tromper l’opinion avec l’affirmation selon laquelle Kabulo est le premier journaliste sportif à accéder à ce poste?




Marie Olive Lembe Kabila met la main à la poche pour soutenir la coopérative Sisi Wote

Marie Olive Lembe Kabila qui jette un regard particulier à celle qu’elle appelle “Gagnent petits”, c’est à dire elle soutient nos mamans qui émergent, celles qui se battent, qui rivalisent dans les différentes fonctions réservées jadis aux hommes. “J’ai entendu dire, que les hommes sont les fils ainés de notre Dieu le Père. C’est vrai, mais n’oubliez pas, qu’à la création Dieu a endormi l’homme pour nous livrer un secret comment gérer ces hommes-là. C’est pourquoi nous les femmes sans les hommes nous ne valons rien, vice versa.

Dans cette optique, Marie Olive Lembe Kabila en appelle aux hommes et aussi aux dirigeants actuels de réaliser les différentes promesses en ce mois de la femme. Nous avons beaucoup entendu les discours de soutient de nos dirigeants sur l’émancipation de la femme, mais lorsqu’il s’agit de partage de postes, surtout les postes de responsabilité aux fonctions étatiques, vous avez constaté à ce dernier gouvernement, la femme est reléguée au second degré ; le quota n’est pas respecté. Lorsqu’il s’agit des partages des postes, les hommes nous étouffent. Cela est prouvé depuis longtemps que les mamans ont prouvé qu’elles ont le souci, l’intérêt de l’éducation des enfants et le bienêtre de nos familles respectives”, a souligné Marie Olive Lembe Kabila. Ceci explique cela, que la femme malgré la perte de son époux, elle est à même de garder la nourriture sous le lit pour ses enfants.

Par ailleurs, elle invite toutes les femmes à militer pour la parité, à atteindre 50% de chance par rapport aux fonctions de responsabilités étatiques. En outre, elle ne cesse de les encourager, les soutenir dans l’objectif d’avoir la couleur zébrée des postes aux fonctions de responsabilité et prouver que lorsque la parité sera de mise, beaucoup de choses vont s’améliorer. ” Aux hommes, sachez ceci, lorsqu’une femme est autonome, indépendante financièrement, vous serez épargnés des Accidents Cardiovasculaires ; vous aurez une longue vie. C’est justement vous épargner de toutes les petites demandes ménagères et tous les besoins de la maison ne peuvent pas être résolus par les hommes seuls. C’est pour cette raison, que nous devons continuer notre plaidoirie d’atteindre la parité en vue d’épargner nos hommes de maladies provoquées par le choc émotionnel”, a-t-elle souligné.

Et de rappeler toujours, que les armes d’un croyant c’est la prière et les munitions de maman sont les productions. Ceci justifie cela, qu’il faut toujours se rappeler de la recommandation de M’Zée Laurent Désiré Kabila qui parlait de l’auto prise en charge et que les femmes doivent s’inscrire dans cette dynamique de se battre pour atteindre cette auto prise en charge à 100% avant que l’homme ne puisse prendre n’importe quelle décision.

“Nous avons été enseignées que nos fils ainés sont nos maris. Nous avons intérêt de les protéger, de les bercer etc.”

A ce jour, pour soutenir les femmes qui se réveillent tôt le matin, celle qu’on appelle Gagne petit, Marie Olive Lembe Kabila a mis la main à la poche avec le concours de son cher époux, mis à la disposition de la coopérative SISI WOTE une somme de 100.000 dollars, un soutien qui vient du plus profond de leur coeur par rapport aux dividendes tirées de leurs travaux de champs. C’est dans la transparence que Marie Olive Lembe Kabila travaille pour éviter toute suspicion.

Je dis ceci, fait-elle remarquer l’équipe de IPOLK avec les autres partenaires de coopératives, des associations, nous travaillons dans la transparence totale. Ceci dit, qu’aujourd’hui vous n’avez pas produit comme vous le faites chaque jour parce que, je sais que nombreuses d’entre nous vivent au taux du jour. C’est notre mois, est ce mois nous ai dédié, mais chaque mois est les nôtre puisque chaque jour nous produisons pour nourrir nos enfants et nos maris. Je serais ici toute la journée pour me rassurer que chacune de vous à mis quelque chose dans la bouche et obtenu quelque chose.

Si le Christ avec trois pains et deux poissons a opéré un miracle de nourrir plus de cinq mille hommes et femmes, Marie Olive Lembe Kabila en ce jour de la clôture du mois dédié à la femme, avec les produits de ses champs, ce que ses mains ont produit a pu nourrir plus de 5000 femmes. C’est ce que témoigne Mme Ladiane Nyembo en ces termes : Ce qui est vrai, pour nous c’est une joie, et c’est un miracle. La journée à bien commencé avec la bénédiction divine et notre Maman Olive Lembe Kabila vient de faire un repas d’agapè. Nous avions invité 2500 personnes ; à notre grande surprise on ne sait pas comment les gens ont su, nous paniquions, nous avons intercédé auprès du seigneur comme allons-nous nous en sortir puisque Maman sert personnellement la nourriture. Si la nourriture se terminait qu’allons-nous faire Seigneur ? Nous avons intercédé, et Dieu reste le Tout Puissant. Imaginez que tout le monde a mangé. Tout ce qui étaient prévenus comme recette et fruit tout le monde a été servi. A notre grande surprise, la nourriture est là et on commence à faire appel aux autres de venir manger. On cherche le miracle, mais nous venons de vivre le miracle de Canan des enfants de Dieu. Que notre Dieu bénisse notre Maman Olive avec son grand cœur. Que Dieu bénisse les Mamans de Kipushi qui ont préparé ; aujourd’hui nous avons mangé la nourriture de Kipushi. Imaginez la nourriture qui vient de 30 Km, quelle mobilisation, nous avons valorisé notre milieu rural au-delà de service traiteur de renom de Lubumbashi”, a témoigné Madame Ladiane Nyembo.

Somme toute, les hommes genrés ne sont pas restés en marge. Que de fleurs, que de bénédiction à cette Femme exceptionnelle. Oui ! J’ai entendu dire qu’Olive Lembe Kabila c’est cette Force Exceptionnelle Multidimensionnelle qui Maintient l’Equilibre (FEMME).

De Goma, en passant par Bukavu et Kaziba, l’honneur revient à la province du Haut Katanga où elle a honoré encore cette femme rurale. Bien que les demandes fusent de la voir dans les autres provinces portées la voix de sans voix rurales, Marie Olive Lembe Kabila reste une référence du développement à la base ; de cette considération de l’être faible.

Les réseaux sociaux ne sont pas restés en marges. Que des éloges. Là où les unes et les autres se disputent les mines, l’épouse de Joseph Kabila prêche la revanche du sol sur les mines :

Marie Olive Lembe Kabila, femme aux mille bras, après avois distribué des pagnes à plus de 5000 femmes ayant participé au lancement du Programme de renforcement des capacités financières SISI WOTE, elle leurs a personnellement servi le repas.

A l’occasion de la clôture du mois de la femme dans la ville de Lubumbashi, Marie Olive Lembe Kabila, épouse du Sénateur Joseph Kabila partage un repas de cœur avec ses convives dans la salle Monté Carlo au Golf Plateau.

Nous devons décourager la politique démagogique, faisant des promesses fallacieuses sans réaliser une seule. Au nom démon mari Joseph Kabila, nous mettons à votre disposition 100.000 dollars pour soutenir les projets des femmes au sein de la coopérative SISI WOTE.

Marie Olive Lembe Kabila annonce que le Sénateur à vie et son cher époux, Joseph Kabila va débloquer une somme de 100.000 dollars pour soutenir les projets des femmes au sein de la coopérative SISI WOTE installée à Lubumbashi.

Elle est une force et un symbole pour la femme congolaise. Marie Olive Lembe Kabila lance ce samedi 25 mars à Lubumbahsi le programme SISI WOTE, programme à travers lequel elle va aider plus de 1500 femmes exerçant le petit commerce dont le capital varie entre 20.000 fc et 100.000 fc.

Partout où elle passe, elle console les âmes et soulage les cœurs brisés. Pas avec une mobilisation réduite et résumée à une salle climatisée d’une province minière. Elle est partout, même dans les provinces à haut risque.

Le mois de mars se clôture sous une note d’espoir pour les femmes de Lubumbashi exerçant les petits commerces dont le capital varie entre 20.000Fc et 50.000 fc. Elles vont bénéficier ce samedi d’un soutien financier de Marie Olive Lembe Kabila grâce au programme SISI WOTE

Goma, Bukavu, Kaziba…comme une pélerine, Olive Lembe Kabila multiplie sacrifice et voyages pour soulager ses compatriotes. A Kinshasa, le couple jouisseur coule champagne et Tembo, invite JB Mpiana et danse, sans vergogne. Ba bijoux Kiyika, feti na feti. Couple à pétage, vivement leur départ.

En sus, elle n’a jamais bénéficié d’une faveur de l’Etat, ni occupé une fonction étatique. Seulement son cœur bat pour le démuni. C’est avec raison, elle se dit, si les prétendus 680.000 dollars mensuels seraient réellement versés à son mari comme les mauvaises langues ne cessent de colporter, elle construirait école ; orphelinats, centre de santé ; cultivait autant d’hectares de champs. Elle a seulement ses bras pour faire les champs, partage selon ce que son cœur lui dicte. C’est en ceci que se résume sa devise : Tenda mema pita ndjiya zako. C’est à dire, le chien aboie la caravane passe.

N’en déplaisent aux mauvaises langues.

Depuis Lubumbashi, dans le Haut Katanga, Pius Romain Rolland




Clôture du mois de la femme : Marie Olive Lembe Kabila lance le programme “Sisi Wote”

Pari gagné pour Chimène Zema Mercedes, Coordonnatrice Ipolk Haut Katanga. Au nom de Marie Olive Lembe Kabila, elle a offert à l’hôpital Provincial Jason Sendwe, un groupe électrogène de 55 Kwa, question de pallier les difficultés liées à l’énergie électrique qui paralyse le fonctionnement de cet établissement hospitalier de renom. Elle a été accompagnée de Nasson Kubuya Ndole, dit Kundos Coordonnateur national de IPOLK dans cette démarche philanthropique, au nom de la Présidente Nationale Marie Olive Lembe Kabila.

La journée de samedi 25 Mars 2023 était toute particulière. Sous des tentes pleines comme un oeuf de la salle Monte Carlos à Lubumbashi, Marie Olive Lembe Kabila a réuni plus de 5000 femmes, dans le cadre de la clôture du mois de la femme, ouvert à Goma, dans le Nord-Kivu depuis le 08 Mars dernier.

A Lubumbashi, l’épouse de Joseph Kabila a lancé officiellement le programme de renforcement des capacités financières des femmes. Ces dernières réunies en coopérative, elles ont sollicité l’appui financier de celle dont l’humanité entière ne cesse d’aduler et d’appeler affectueusement “Mama wa rohoo”.

En bonne chrétienne, Marie Olive Lembe Kabila peu avant le lancement officiel dudit programme, a organisé une messe d’ouverture question de ne pas directement céder au lancement de ce programme. Il ressort de l’enseignement de l’officiant du jour tiré de l’épitre de Saint Paul aux Philippiens et l’évangile de Saint Matthieu. L’Abbé a encouragé les femmes qui travaillent, qui se réveillent tôt le matin, celles qui prennent en charge leurs foyers, à fructifier leurs économies. Car, la femme est le socle de la maison, elle est comparable à la personne qui bâtit sa maison sur le roc, quelles que soient les intempéries, la maison ne s’écroulera jamais, contrairement à celle qui bâtit sa maison sur le sable. Face aux intempéries, la maison s’écroule. En tant que Chrétien, notre Roc, notre Pierre est Jésus Christ, sur qui repose notre espoir.

Dans son allocution, Madame Chimène Zema Mercedes a insisté sur l’égalité pour l’éducation, la paix et l’autonomie des femmes et filles qui représentent 52% de la population. Elle l’a dit en ces termes : ” En cette période où le monde entier célèbre le mois dédié à la femme sous le thème : pour un monde digital inclusif : motivation et technologies pour l’égalité des sexes”, nous rappelons que l’éducation numérique égalitaire pour la paix et l’autonomie des femmes et filles en République Démocratique du Congo, n’est possible que si nous renforçons les capacités de ces dernières qui représentent 52% de la population et constituent une ressource importante qui ne peut être négligée; d’où le but de cette assise qui est le lancement du programme de renforcement des capacités financières des femmes comme levier économiques et vivier de l’émergence et moteur du développement de notre cher et beau pays afin de favoriser un monde où les femmes et les hommes vivent dans l’égalité et l’équité”, a-t-elle souligné.

Il faut rappeler que la Coordonnatrice provinciale de IPOLK/Haut Katanga croit dans la qualité de la femme parce qu’elle incarne une force tranquille qui est au-delà des forces visibles. “Les femmes jouent déjà un rôle capital pour la survie de ménages, comme notre Mama wa rohoo, elles sont majoritaires dans l’agriculture, secteur porteur de croissance et elles façonnent le devenir de la jeunesse congolaise, qui est l’avenir, elles sont donc des incubatrices dans la construction de la République Démocratique du Congo” a-t-elle renchéri. Ceci pour dire, qu’avec la bénédiction de Marie Olive Lembe Kabila, elle rappelle aux femmes qu’au-delà des choses normales, elles doivent travailler car, Dieu qui a créé les humains, a voulu qu’ils soient tous égaux, mais c’est le fruit du travail qui fait la différence aussi bien individuellement qu’entre nation.

Pour rappel, les femmes qui ont répondu favorablement à l’invitation de Marie Olive Lembe Kabila sont venues de quatre coins de la Province du Haut Katanga, a souligné Ladina Nyembo. Il y a celles qui se sont réveillées à 4h pour nourrir leurs familles. Elles ne vendent tout sauf rien pour subvenir aux besoins de leurs ménages.

De la théorie à la pratique, Ladiane Nyembo a précisé que la rêve d’hier, est devenu une réalité aujourd’hui grâce à Marie Olive Lembe Kabila. A l’entendre parler, malgré les meilleurs discours tenus dans ce pays pour éradiquer la pauvreté, rien ne s’améliore quel que soit le beau français de nos plaidoiries, par conséquent, la situation va de mal en pi et le beau français ne produit aucun résultat. De rappeler un adage qui dit “l’Union fait la force, la sollicitude entraine à la mort”. D’où, la nécessité de créer les structures de développement durables et ses mécanismes pour atteindre les objectifs millénaires de 2030, à savoir les mutuelles de santé ; les coopératives et les associations féminines bien organisées. Ces structures vont aider dans la communion de faire face à la pauvreté.

Qu’est-ce une coopérative ? C’est une association libre de personnes qui créent une entreprise économique, qu’elles gèrent, qu’elles dirigent et contrôlement démocratiquement pour la mettre à leur service et au service de la communauté. Elle est différente des ONG, de la ristourne, des associations culturelles…Elle est une entreprise que les hommes et femmes créent pour éradiquer la pauvreté. Elle réunit les différents domaines d’activités pour en tirer le bénéfice.

A ce jour, la Coopérative SISI WOTE compte en son sein plus de 5000 adhérentes.