Un mariage de raison s’impose ! On ne peut pas sacrifier le bien-être des congolais sur l’échafaud des sentiments mal orientés. La minorité ne peut pas supplanter la majorité non plus…

Les congolais expriment et s’expriment. Il ne reste plus qu’à se décider pour passer aux actions.

Depuis janvier 2019, il n’y a pas un seul leader politique dans notre pays qui engrange des souvenirs, comme le fait le Président Joseph Kabila. Ça se vérifie dans chacun de ses passages où il est aperçu par le peuple. Dès 2020, soit un an seulement après l’investiture de Fatshi, les congolais réclament à cor et à cri son retour aux affaires. C’est un fait qu’aucune magie du monde ne peut contester. Comment gérer cette évidence ?

Les congolais doivent évoluer et regarder vers la bonne direction.

Même si une large majorité comprend de plus en plus le bien-fondé du compromis à l’africaine de 2018, il est important de parler aux cœurs des quelques réfractaires qui d’ailleurs se minorisent tous les jours. Quelle était la situation du pays de 2015 en janvier 2019 ?

Ne pas reconnaître que les congolais ont consommé la manipulation venue de l’extérieur pour contrer le contrat chinois est un péché impardonnable. Après des marches d’une particulière violence, des actions militaires dans la ville de Kinshasa et des actions isolées menées par des éléments non autrement identifiés, le choix à faire, pour un président de la république en fonction était clair : ou il privilégie ses intérêts personnels ou il met ceux du pays au-dessus de lui. Je salue le sens de la lucidité du président Joseph KABILA qui a organisé une première alternance pacifique à la tête du pays par un compromis à l’africaine. Il a sauvé le pays. Maintenant, que doit-on faire en 2023, soit 5 ans après ces faits ?

C’est le moment, pour moi, de faire appel à la sagesse de Albert EINSTEIN, connu comme étant le cerveau le plus intelligent du monde. Ce dernier a déclaré ce qui suit : *La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre.*. Oui, les congolais doivent avancer et tous dans la même direction.

1. Le Président Joseph Kabila a vaincu et défait le M23 en 2013

2. Le président Kabila a pacifié le pays

3. Le président Kabila a imposé le respect de notre pays à Museveni et Kagame ainsi que sur toute la planète Terre.

4. Le président Kabila a relancé notre économie et créé un modèle de développement congolais

5. À Fatshi, il a légué un pays uni, des réserves de change, le nouveau code minier, la loi sur la sous-traitance, le code des investissements, le code forestier, les réformes de la justice, la décentralisation sur les 26 provinces, le code des assurances, la stabilité des institutions, une constitution, la bonne marche des provinces… La liste est très longue. Mais qu’en a-t-il fait ?

Dès lors que tout ce qui pouvait être des acquis est transformé en problème endémique à résoudre, à qui le casting peut profiter ?

Que la publication du gouvernement Zunguluke ne fasse pas perdre aux congolais le sens du devoir. À ce sujet, les conseils de Napoléon Bonaparte peuvent utilement servir, lorsqu’il déclarait : N’interrompez jamais un ennemi qui est en train de faire une erreur. Le Christ a ajouté de son côté : laissez les morts enterrer leurs mots. Avançons avec le choix responsable porté sur le président Joseph Kabila.

Bon dimanche chez vous.

L’archange Papy Tamba, le Papy le plus célèbre de la RDC

C’est bien à Jean-Pierre Bemba Gombo que le chef de l’État a confié le ministère de la Défense nationale en ces temps de guerre. Depuis lors, cette nomination suscite la joie chez les uns, alors que d’autres entonnent un hallali pour crier leur désapprobation. C’est à ces derniers que j’aimerais m’adresser ce jour. Rebelle ? Eh bien, Nelson Mandela, Joao Lourenço, Mao Tsé-Toung, Ho-Chi-Min, Aby Ahmed, Samoa Machel, Castro etc. l’ont tous été ! Le plus important étant le mobile étant le mobile à la base de la révolte. Depuis la Conférence nationale souveraine d’heureuse mémoire fut édictée ce principe sacro-saint pour la sauvegarde de l’espérance démocratique congolaise : chaque congolais le droit de combattre par TOUS LES MOYENS tout celui ou tous ceux qui voudront imposer une nouvelle dictature au pays.

Chape de plomb

Un petit rappel rafraichira sans doute la mémoire à ceux qui l’aurait oublié : en 1998, le pays croupissait sous une dictature d’un autre âge. Les partis étaient interdits, seuls avaient droit d’exister les fameux CPP – Comités du pouvoir populaire – sortes des soviets de l’époque bolchevique. Tous ceux qui élevaient la voix étaient réprimés sévèrement : Étienne Tshisekedi fut relégué dans son village, avant de prendre le chemin de l’exil à Bruxelles ; Antoine Gizenga fut attaqué dans sa résidence, menacé de mort, ses biens pillés et ses militants emprisonnés. Quant au peuple, il fut simplement massacré comme à Kikyo à Butembo en 1998. Face à cette chape de plomb, tout espoir semblait perdu. Mais il fallut des fils du pays courageux pour parler au dictateur le seul langage qu’il savait comprendre : celui des armes. Jean Pierre Bemba quitta le luxe douillet de sa villa à Rhode-Saint-Genèse, banlieue bourgeoise de la capitale belge, pour gagner le maquis. Dans la forêt d’Aketi, en proie aux moustiques, serpents, et autres bestioles de la jungle, entouré du major Second Karawa et du capitaine Mananga Solo, il sua sang et eau lors d’une rigoureuse formation par des officiers ougandais. Formation physique, apprentissage des fondamentaux du métier de soldat et de la vie militaire, infanterie, techniques d’état-major, il apprit tout sur le terrain comme d’autres dans l’histoire du monde, de Deng Xiaoping qui devint chef d’état-major de l’armée chinoise au maréchal nord-coréen Kim-Il-Sung, qui libéra son pays du joug colonial japonais, en passant par le général vietnamien Giap, considéré comme l’un des meilleurs stratèges militaires du 20ème siècle. Sa formation terminée, à la tête des jeunes recrues et d’un contingent des jeunes Banyamulenges ayant fait défection du RCD, il partait, en chef de guerre, à la bataille, risquant sa vie face aux bombardements zimbabwéennes, notamment à Lisala. Homme de poigne, abhorrant le tribalisme, il étendit sa zone d’influence en 2001 avec la création du Front de libération du Congo (FLC) par la réunion du MLC, du RCD/K-ML de Mbusa Nyamwisi et le RCD/N. C’est à cette période qu’il réussit un de ses hauts faits d’arme : mettre fin à la meurtrière guerre ethnique Hema-Lendu. Après son départ de l’Est, cette guerre a repris et s’est même amplifiée jusqu’à ce jour. Aujourd’hui, les CODECO, FRPI, FPIC et Zaïre continuent les massacres allègrement !

Pacifier l’Est

C’est grâce à la lutte armée qu’il a conduite, avec d’autres mouvements politico-militaires, que la classe politique et la société civile congolaises ont été convoquées à un dialogue à Sun City pour mettre en place cet ordre politique démocratique qui permet au pays d’organiser des élections à intervalles régulières.

En 2006, lors de sa campagne électorale, Jean-Pierre Bemba Gombo avait, lors d’un meeting à Goma, promis de pacifier l’est du pays en six mois. Il avait prouvé ses capacités en Ituri. Mais les gens du Kivu avaient préféré contribuer à la victoire de Joseph Kabila, le plus faible des candidats en présence. A l’issue de des deux mandats de ce dernier, l’Est du pays est devenu le plus grand producteur de groupes armés du monde : 120 au total !

Avec le récent remaniement ministériel, Jean-Pierre Bemba Gombo est désormais ministre de la Défense nationale, avec pour mission de pacifier la partie orientale du pays. Ce diplômé du prestigieux Institut catholique des hautes études commerciales (ICHEC) de Bruxelles en a les capacités. Le chef de l’État et le peuple congolais comptent sur lui.

La Confédération Africaine de Police Taekwondo projette organiser la deuxième édition du championnat d’Afrique de police Taekwondo au Kenya du 24 au 30 juin 2023.

Après la première édition qui s’est tenue à Abidjan, en Côte D’Ivoire du 25 au 30 avril 2019 avec participation de plusieurs pays africains.
Pour l’histoire, le classement ci-après avait sanctionné la 1ère édition :
1ère place : Côte d’Ivoire
2ère place : Cameroun
3ère place: Mali
4ère place : Tunisie
5ème Place: Nigeria
14 pays africains avaient participé à cette competition qui a été de belle facture. Voilà que le Kenya s’annonce et s’apprête à recevoir plus d’une vingtaine des pays qui vont rivaliser de compétence sur différents podiums en self défense militaire et paramilitaire ( Hoshinsool), en Casse lourde et spectaculaire, en combat ( Kyorigi) et en poomsae ( épreuve technique).
Cette grande compétition sportive continentale sera placée sous la supervision de la police kenyanne à travers la fédération Kenyanne de police Taekwondo en abrégée KPTF ( Kenya Police Taekwondo Federation). Celle-ci est présidée par le SSP Jared Onyango Ojuok, président de la KPTF et de l’APTAC Zone Afrique de l’Est.
La Confédération Africaine de police Taekwondo ( APTAC) ayant à sa tête, le Général de Brigade Patrick Alexandre Mbahia ( Gendarmerie Côte d’Ivoire), compte relever le défi de réunir le maximum des pays membres sur les 38 qui la constitue afin de faire une fois de plus du Kenya, le pays hôte des forces de défense et de sécurité à travers la police Taekwondo en Afrique.
Ainsi, l’APTAC invite tous les pays membres à joindre ce grand rendez-vous du Taekwondo africain.
L’on peut d’ores et déjà dire bienvenue au Kenya pour vivre son hospitalité légendaire, sa safari et son peuple amoureux du Sport.
Remerciements à Me Ntalani Kitombodi Yonnel Morel, CN 5è Dan en taekwondo, ancien Vice-président de la fédération congolaise de taekwondo, président du collectif des ceintures noires de taekwondo du Congo, 1er V/P de l’Association Congolaise des Arts martiaux du Congo, Vice-président de l’Union Congolaise de taekwondo, 1er V/P de Protaekwondo, Secrétaire Général de Taekwondo Police au niveau de l’Afrique centrale et national, vice-président au niveau de l’ITF/Afrique Centrale et promoteur de deux clubs :Taekwondo Club et Taekwondo Club Taegeug Do qui nous a transmis ces informations.
Antoine Bolia

La date de vendredi 24 mars 2023 était marquee par la visite des sites de compétition, salle de conférence, de réunion, pesée, chambres et suites présidentielles devant accueillir la plus grande compétition continentale des forces de défense et de sécurité sur le continent. Celle-ci est à sa deuxième édition après celle réussie d’Abidjan, en Côte d’Ivoire.

La fédération Kenyanne de police Taekwondo, à travers son illustre Président, le SSP Jared met tout en œuvre grâce à l’accompagnement indéfectible de sa hiérarchie et l’État pour marquer positivement les esprits en réservant un accueil chaleureux et mémorable à toutes les délégations étrangères.

Antoine Bolia

Depuis le vendredi 24 mars 2023, le mouvement sportif congolais s’est enrichi d’une nouvelle Fédération. Cette dernière est dénommée Fédération Congolaise d’Aikido ‘’FECOA’’. C’est au cours de cette cérémonie au restaurant de l’hôtel Kabe sur l’avenue des huilleries qu’a eu lieu sa présentation ainsi que celle du comité provisoire mise en place.

Comité provisoire de la fédération congolaise d’Aikido

Président : Henry Nko

2è V/P : Beya Pascal

SG : Honoré Mazombo

SGA : Jean Aimé Pami

TG : Rose Mbiya Kadiayi

Membres

1. José Mongio Nzole

2. Wilko Wilu Lema

3. Gauthier Dikala

DTN : Lutaladio Kiese Dady

DTNA : Zeus Kikalwa

Chargé de communication : Beni Joël

S’adressant à la presse, le président Henry Nko dresse l’historique de la fédération congolaise d’Aikido

D’entrée de jeu, il révèle que l’Aikido est un art martial traditionnel japonais. C’est comme le judo et le self Défense. Mais l’Aikido se pratique avec le sabre c’est-à-dire le bâton. Et il enchaîne : ‘’J’avais fais un saut en Belgique jusqu’à Liège où j’ai rencontré Me Lutaladio Dady qui s’entraine dans le dojo là bas. On a parlé beaucoup plus comment amener cette discipline en RDC. On a mené toutes les démarches possibles jusqu’à avoir l’avis favorable de fonctionnement. Nous l’avons et la federation existe aujourd’hui. Après la presentation aujourd’hui, on passera à l’implantation et recrutement des athletes.

Message du Président Henry Nko aux athlètes

Président Henry Nko : ‘’Les gens vont découvrir l’Aikido à partir de ce jour. Nous avons un siège provisoire à l’adresse suivante 7 avenue Ngamaba, à Binza UPN où ils peuvent passer prendre leur adhésion comme athlètes’’.

Antoine Bolia

A l’issue d’une competition d’un bon niveau technique et la rivalité entre judokas en presence, voici comment se présente le tableau des médailles pour différentes catégories alignées :

-66 kg

Champion : Makoma Dady

V/champion : Mavinta

-66 kg

Champion : Mampuya

V/champion : Leche

-73 kg

Champion : Adeito

V/champion : Ngenido

3è place

Kisonga a battu Etshukola

Dames

Bagaza a remporté la médaille d’or

-81 kg

Champion : Imongo Hydro

V/Champion : Ali

-81 kg

Champion : Tshimanika ‘’Solo’’

V/champion : Kashala

-100 kg

Champion : Muanza JC

V/champion : Bingato

+100 kg

Champion : Me Flory

+100 kg

Champion : Vuvu

V/champion : Seti

+100 kg

Champion : Me Canon Lewis

V/champion : Me Bombile

Pour les katas aussi, les meilleurs ont été primés d’une médaille et d’un brevet de participation.

Antoine Bolia

Une ambiance particulière a vécu le samedi 25 mars 2023 dans la sale polyvalente La Fontaine à Kasa-Vubu. Sur le lieu, l’Association des Anciens Judokas du Congo Démocratique ‘’A.A.JU.COD’’ et la Ligue Provinciale de judo de Kinshasa ‘’Lijukin’’ ont organisé la 1ère édition du Tournoi individuel des vétérans et des katas.

Sur le lieu, présence remarquée de Me Nicolas Lianza, coordonnateur des activités du judo en RDC, Me Freddy Elonga, de nombreux grands maîtres dont Afuluka, Gaby Mpongo, Lionge et autres sans oublier celle de Mme Claude Dipo, présidente du parti politique Congo Innovation Sociale ‘’C.I.S’’ en sigle.

Comme temps forts, il y a eu la présentation de l’A.A.JU.COD par son Secrétaire Me Flory qui a révélé à l’assistance que cette structure a vu le jour depuis 2013. Nombreux parmi les co-fondateurs sont décédés. Il a cité notamment feu Me Fusco Bongwanzi, président Innoncent Eale Efoloko et autres. La structure est implantée dans 4 provinces (Kinshasa, Kongo Central notamment à Moanda, Boma, Matadi et Songololo), Lualaba et Kongo Central. L’objectif principal est la promotion du judo. Et comme objectifs spécifiques : raffermir les relations entre judokas, encadrement de la jeunesse, promouvoir le code moral du judo et promouvoir l’esprit de fair-play. Dans son mot de circonstance, Mme Claude Dipo a déclaré qu’elle est venue apporter son soutien pour la promotion du judo en RDC et elle a souhaité une bonne fête du mois de la femme à toutes les mamans judokates. Me Freddy Elonga a renchéri dans le même sens. On est passé à la demonstration des katas entres autres Nage No kata et autres ensuite les katas de compétition et les combats de différentes catégories. La remise des brevets de participation et des médailles aux meilleurs a mis fin à la cérémonie.

Antoine Bolia

On jouera la dernière étape des préliminaires de la 58è Coupe du Congo de football ville de Kinshasa. En effet, la finale interviendra ce lundi 27 mars 2023 à 15h00 au Terrain Ujana. Elle mettra face à face AS Mbudi vs OC Les Elites.

En ½ finale se jouée le samedi 25 mars au terrain PNC Lemba

Les deux affiches de la 1/2 finale ont tenu toutes leurs promesses. Les quatre équipes en présence ont vendu très cher leur peau. C’est sur un score étriqué de 1-0 que Mbudi et Les Elites ont arraché leur visa pour la finale de ce lundi. Bilan des ½ finale se présente comme suit :

1.AS Mbudi vs AC Ujana : 1-0

But de Aliba Tapata 12’

2.Oc Les Elites vs CS Amiens : 1-0

But de : Kayombo dans les minutes additionnelles.

Rappelons ce qu’ont été les ¼ de finale joués Mercredi 22 mars 2023

Terrain PNC Lemba ont produit les résultats ci-après :

1. Ajax vs Mbudi : 0-6

2. CS Amiens vs Ujana : 1-2

3. Les Elites vs NVB FC : 2-0

Il faudra noter que CS Amiens a été récupéré comme meilleur perdant

Antoine Bolia

Le Maroc s’est imposé face au Brésil, samedi soir, sur 2 buts à 1, lors d’un match amical, très suivi par les amoureux du football. Les Lions de l’Atlas s’offrent une victoire historique qui confirme que leur parcours en Coupe du monde n’était pas le fruit du hasard.

Les demi-finalistes de la Coupe du monde ont affronté la Seleção pour ce match attendu mais n’ont pas réussi à battre les hommes de Walid Regragui.

Les Lions de l’Atlas ont ouvert le score à la 29ème minute grâce à un but de Sofiane Boufal sur une passe de Bilal Khannous, premier joueur marocain à marquer contre le Brésil. Il s’agit aussi du premier pays arabe à battre la Seleção.

Lors de ce match, le premier de la sélection marocaine à domicile depuis la nomination de Walid Regragui en tant que sélectionneur national, la victoire était non seulement historique mais hautement symbolique puisqu’elle est la première au retour de la Coupe du monde.

A l’issue d’un match intense en deuxième période de jeu, la sélection brésilienne a marqué son but unique but de la rencontre grâce à Casemiro à la 67ème minute de jeu. Les hommes de Regragui qui jouait en plein Ramadan, ont marqué un deuxième but à la 79ème minute signé Abdelhamid Sabiri.

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