Cour Constitutionnelle : Guy Loando satisfait de la validation du projet de loi d’aménagement du territoire

Me Guy Loando Mboyo, ministre d’État, ministre de l’Aménagement du Territoire, a exprimé sa satisfaction à l’égard de l’Arrêt rendu par la Cour Constitutionnelle, à la requête de l’honorable Président de l’Assemblée nationale, portant sur l’interprétation de l’article 9 de la constitution.

« Cet Arrêt reconnaissant la constitutionnalité du projet de loi d’aménagement du territoire et ordonnant la poursuite de son examen, est d’une importance capitale pour la poursuite de la réforme de l’aménagement du territoire dans notre pays », indique un communiqué de presse parvenu à notre rédaction.

Voilà pourquoi le ministre d’État se félicite donc de cette décision de la Cour Constitutionnelle et exprime sa gratitude pour cette étape importante qui permettra une meilleure organisation du territoire congolais et un développement économique et social plus équilibré et harmonieux.

Le ministre d’État appelle les différents acteurs impliqués à poursuivre leur travail pour la mise en œuvre de cette réforme, en veillant à l’intérêt général et en poursuivant l’objectif de développer harmonieusement notre territoire pour un avenir plus prometteur.




Haut Katanga : Le 100eme anniversaire de la communauté hellénique célébré à Lubumbashi

La communauté grecque célèbre le 25 mars de chaque année, l’anniversaire de sa présence en République démocratique du Congo.

Pour ce samedi 25 mars 2023, la commémoration a concerné les 100 ans de la présence de cette communauté dans le pays de Félix Tshisekedi Tshilombo.

La question a été débattue au cours d’une rencontre entre le Gouverneur du Haut Katanga, Jacques Kyabula Katwe et l’Ambassadeur de Grèce accrédité en Rdc, Penny Fouti.

En outre, les deux personnalités ont échangé sur différentes opportunités d’investissement surtout dans le domaine de l’agriculture.

Il faut ajouter que cette célébration coïncide avec la commémoration de 400 ans de l’accession à l’indépendance de la Grèce.

Roger Ngandu wa Mitaba




Au cours de sa 1ère réunion de l’année 2023 : Le CPM décide de resserrer davantage la politique monétaire en relevant le taux directeur de la BCC de 8,25% à 9%

Au cours de sa réunion du 22 mars 2023, le Comité de Politique Monétaire (CPM), présidé par Mme Malangu Kabedi Mbuyi, Gouverneur de la Banque Centrale du Congo (BCC), sur base des analyses, et étant donné la persistance des risques internes et externes élevés, a recommandé la vigilance et le suivi constant des facteurs de la liquidité bancaire, et des développements sur le marché de changes. Il a également appelé au renforcement de la coordination des actions de politiques budgétaire et monétaire.

Il nous revient que le Comité de Politique Monétaire (CPM) de la Banque Centrale du Congo (BCC) s’est réuni le mercredi 22 mars 2023, en séance ordinaire, sous la présidence du Gouverneur, Mme Malangu Kabedi Mbuyi.

Au cours de cette première réunion de l’année 2023, indique le communiqué qui a été publié à cet effet, le CPM a pris connaissance de la situation et des perspectives macroéconomiques nationales et internationales. Tirant les conséquences des évolutions internes et externes constatées, il a décidé d’un relèvement du taux directeur de la BCC.

Ainsi, le CPM a noté qu’au niveau national, le cadre macroéconomique est globalement stable. Malgré l’impact des chocs externe et interne, l’économie reste résiliente, avec une croissance prévue à 8% pour 2023 (8,5% en 2022), bénéficiant du dynamisme des industries extractives.

« Après une accélération à 13,1% en 2022, il est attendu qu’en 2023 l’Inflation se situe autour de 9,7%, en dépit de l’impact négatif de l’inflation importée. Le CPM a noté qu’au 17 mars, le taux d’inflation cumulé avait atteint 5,1%, principalement dû à la hausse des prix des produits alimentaires », indique le même document.

Concernant le marché de changes, il est demeuré globalement stable au cours du premier trimestre 2023. Au 17 mars, les taux de dépréciation par rapport à décembre 2022, étaient de 1,0% sur le marché interbancaire, et de 7,2% sur le marché parallèle.

Le CPM a également fait le constat que la position extérieure de l’économie nationale reste positive, soutenue par des prix rémunérateurs des principaux produits d’exportation et contribuant ainsi à l’accumulation des réserves de change, qui ont atteint 4,2 milliards de dollars au 17 mars. Par ailleurs, la gestion des finances publiques est restée appropriée, dans le respect du pacte de stabilité qui continue à consacrer l’absence de financement monétaire du déficit budgétaire de l’Etat par la Banque Centrale, facteur très important pour la stabilité du cadre macroéconomique.

En ce qui concerne l’économie internationale, les échanges ont porté sur les implications pour l’économie congolaise du fléchissement attendu de la croissance, et de la persistance des pressions inflationnistes.

Sur base de ces analyses, et étant donné la persistance des risques internes et externes élevés, le CPM a recommandé la vigilance et le suivi constant des facteurs de la liquidité bancaire, et des développements sur le marché de changes.

Il a également appelé au renforcement de la coordination des actions de politiques budgétaire et monétaire. Le CPM a par ailleurs décidé de resserrer davantage la politique monétaire en relevant le taux directeur de la BCC de 8,25% à 9%. A l’avenir, le CPM entend mettre en œuvre toutes autres mesures qui seraient nécessaires à la préservation de la stabilité des prix et du cadre macroéconomique d’une manière générale.

 




Mondial-2030 : Le ‘’Maroc-Espagne-Portugal’’, une candidature unique

S’il est un évènement historique unique, par excellence, c’est bien celui de la candidature conjointe « Maroc-Espagne-Portugal » pour abriter la Coupe du Monde 2030.

Cette candidature est unique par la proximité géographique, l’histoire commune, les relations économiques allant crescendo, et surtout le football et tout ce qui va avec en matière d’infrastructures sportives -conformes aux normes de la FIFA-, hôtelières -eu égard à la vocation touristique traditionnelle des trois pays-, routières et aéroportuaires, et également de télécommunications. Mais cette candidature reste notamment « sans précédent dans l’histoire du football », comme l’a noté SM le Roi Mohammed VI dans Son message à l’occasion de la remise du Prix de l’Excellence de la Confédération Africaine de Football (CAF) pour l’année 2022, décerné au Souverain à Kigali, au Rwanda.

« J’annonce devant votre assemblée, que le Royaume du Maroc a décidé, avec l’Espagne et le Portugal, de présenter une candidature conjointe pour abriter la Coupe du Monde 2030 », a affirmé SM le Roi dans Son message.

Justement, « Sans précédent dans l’histoire du football, cette candidature commune sera celle de la jonction : entre l’Afrique et l’Europe, entre le nord et le sud de la Méditerranée, et entre les mondes africain, arabe et euro-méditerranéen », comme l’a souligné SM le Roi, faisant observer qu’« Elle sera, aussi, une candidature de rassemblement autour du meilleur de part et d’autre, et la démonstration d’une alliance de génie, de créativité, d’expérience et de moyens ».

À cheval entre les trois pays, l’évènement -à même de renforcer le brassage culturel entre les deux rives de la Méditerranée- permettra à des millions de personnes de découvrir l’art culinaire et la symbiose entre modernité et authenticité au Maroc, représentant de l’Afrique, et en Espagne et au Portugal, représentants de l’Europe, faisant montre que l’Europe et l’Afrique pourraient avoir un destin commun à travers le football et par la voie du Maroc.

Quant aux stades, le Maroc, notamment, qui a accueilli de grands évènements dont la dernière édition du Mondial des Clubs de Football ainsi que celles de 2013 et 2014 et qui poursuit l’œuvre d’édification, a depuis longtemps la confiance de la FIFA, de la CAF et, évidemment, des Fédérations de Football et Associations sportives africaines dont un grand nombre se sentent chez elles quand leurs équipes évoluent dans le Royaume. Et lorsqu’on évoque l’œuvre d’édification des infrastructures sportives, de formation et d’encadrement des jeunes -qui continue de donner ses fruits depuis la 1-ere candidature à la Coupe du Monde présentée par le Royaume en 1994-, c’est pour rappeler particulièrement la 4-eme place occupée par l’équipe du Maroc lors de la dernière Coupe du Monde Qatar-2022.

Cette œuvre d’édification sportive, au service des jeunes du Maroc et du reste de l’Afrique, a été d’ailleurs confortée par la récompense de la CAF qui a remis à SM le Roi le Prix de l’Excellence de la Confédération pour l’année 2022 (CAF President’s Outstanding Achievement Award-2022). « Dans mon pays -le Royaume du Maroc, J’ai tenu à faire du football un levier de réussite et de développement humain durable. En plus d’être une passion et l’expression d’un talent créatif, le football est une vision d’avenir, un engagement de longue haleine, une gouvernance efficiente et transparente, et un investissement dans les infrastructures autant que dans le capital humain », a souligné le Souverain dans Son message, à cette occasion.

Le succès de cette candidature conjointe renforcera certainement la passion des jeunes en Afrique pour le football et contribuera à la dimension globale de la pratique du sport le plus populaire dans le monde, surtout après l’exploit réalisé par le Maroc au Mondial-2022 au Qatar qui a donné l’exemple aux autres, entretenant ainsi l’espoir que, Oui, c’est encore possible.




Transfert des eaux de l’Ubangi vers le lac Tchad: Eve Bazaïba démontre la nocivité du projet ‘Trans Aqua’

Dans la suite logique de la réunion préparatoire tenue en juillet 2021 dans le but de voir les Etats mener des actions en faveur de l’eau afin de relever les défis liés à cette ressource, et de garantir la durabilité des activités des secteurs utilisateurs de l’eau, la Vice-Premier ministre en charge de l’Environnement et Développement durable, Ève Bazaïba Masudi (‘actuellement ministre d’Etat), au nom de la République Démocratique du Congo, dans un message porté devant la Conférence des Nations-Unies sur l’eau 2023 à New-York, le 23 mars 2023 pour faire voir à la face du monde la nocivité du projet ‘trans aqua’ qui vise à ponctionner les eaux de la rivière Ubangi en RDC vers le lac Tchad sans étude d’impact environnemental préalable.

Ce ‘projet constitue un réel danger pour le monde entier et causera un déséquilibre environnemental dans le bassin du Congo’, déplore Ève Bazaïba.

Il est vrai qu’en termes des ressources en eau, la Rdc est l’un des pays stratégiques d’Afrique. En effet, par sa position géostratégique, la Rdc constitue une charnière entre plusieurs grands ensembles hydrographique sous-régionaux. Elle est membre de quatre organisations de bassin, à savoir : le Bassin du Nil, le Bassin du Congo, le Bassin du Lac Kivu et le Bassin du Lac Tanganyika. En plus, elle fait partie des communautés économiques de l’Afrique Centrale et de l’Afrique Australe, qui ont toutes deux élaboré et mis en œuvre des politiques régionales de gestion durable des ressources en eau.

“La Rdc dispose de 52 % des réserves des eaux douces de surface de l’Afrique, et 23 % de ressources hydriques renouvelables de ce continent, dont la population est estimée à 1,3 milliards d’habitants. Avec une démographie estimée à 1% de la population mondiale, la RDC dispose de 10 % du potentiel mondial en eau douce”, renseigne l’actuelle ministre d’État en charge de l’Environnement.

Certes, le pays doit ce potentiel à l’immensité de son territoire au cœur du bassin forestier tropical du bassin du Congo, dont il détient plus de 60% de la superficie forestière, avec sa position géographique à cheval entre la ligne de l’Équateur, ainsi qu’à sa situation climatique globalement clémente. Toutefois, “la préservation des forêts du Bassin du Congo a un impact hautement positif sur le renouvellement du cycle de l’eau”, préviens Ève Bazaïba dans son message devant le Secrétaire général des Nations Unies, le Représentant du Royaume des Pays-Bas, le Représentant de la République du Tadjikistan et autres invités, venus du monde entier.

Forêts congolaises, piliers stratégiques de la lutte contre le réchauffement climatique

Les écosystèmes hydriques des forêts du bassin du Congo, qui grâce au processus de photosynthèse et d’évapotranspiration, régulent les pluies dans toute la partie Est de l’Afrique et du Sahel. Par exemple, sans les forêts de la République Démocratique du Congo, il n’y aurait aucune goutte d’eau au Soudan, au Kenya, en Ethiopie, en Erythrée, bref le Fleuve Nil dont dépend la survie de l’Egypte est alimenté par les pluies provenant de la RDC.

Le Centre de Recherche Forestière Internationale (Center for International Forestry Research) « CIFOR », confirme les multiples rôles que jouent les forêts de la RDC et ceci constitue un argument de taille en faveur de la conservation de ces forêts, pilier stratégique qui vise à répondre aux problèmes du changement climatique dans le monde.

Le danger de la pollution des eaux, notamment la pollution aux plastiques et aux produits chimiques toxiques provenant des exploitations minières réduit la disponibilité d’eau douce pour répondre aux multiples demandes. “La lutte contre ce fléau, devrait occuper une place de choix dans notre activité quotidienne”, affirme Ève Bazaïba.

‘Accélérer le changement pour résoudre la crise de l’eau et l’assainissement’, a été thème choisi pour la Conférence des Nations Unies sur l’Eau édition 2023. Ce thème doit interpeller tout le monde car “Il faut privilégier d’autres alternatives au lieu de chercher à résoudre un problème du Bassin du Lac Tchad en créant un autre dans le Bassin du Congo”, suggère celle que l’on appelle affectueusement ‘Songoli’ (entendez, génie des eaux), Ève Bazaïba.

On ne résout pas un problème en créant un autre

La rivière Ubangi dont question, connait actuellement un étiage très sévère suite aux impacts négatifs du changement climatique, ce qui rend difficile sa navigabilité saisonnière.

En plus, cette rivière se trouve dans la cuvette centrale, région recouverte par plus de 100.000 m² de tourbière tropicale.

La bonne gouvernance et la gestion intégrée des ressources en eau peuvent atténuer les menaces pesant sur un puits de carbone transfrontalier de plus de 30 milliards de mètres cubes, soit plus de trois ans de pollution mondiale qui risquerait de s’échapper dans la nature avec des lourdes conséquences pour notre planète.

Au regard des impacts négatifs grandissants que le changement climatique a sur les ressources en eau dans et aux environs de la région du Bassin du Congo, la valorisation de l’eau douce devient une urgence pour l’humanité. Celle-ci pourra se faire grâce à des partenariats axés sur un transfert de technologie et des méthodes de gestion plus efficiente de cette ressource cruciale dans plusieurs secteurs utilisateurs comme la navigation, l’agriculture, la santé et l’hygiène, le tourisme, les industries, la biodiversité, l’hydroélectricité, l’approvisionnement en eau, la pêche, les infrastructures, c’est la mise en œuvre de l’ODD-17.

Les utilisations de l’eau à travers le monde ont prouvé que cette ressource est tarissable, car capable de disparaitre et fragile puisque la pollution en réduit la disponibilité. “De manière générale, c’est ce manque de disponibilité d’eau qui engendre très rapidement des conflits entre Communautés ou entre groupes d’utilisateurs. Pareils conflits peuvent embraser les États”, préviens dans son message la gestionnaire l’environnement RDcongolais.

Cet argument parait paradoxal car, par sa valeur et son importance, l’eau est source de paix et non de conflit.

Prenant en compte les impacts négatifs du changement climatique sur l’eau, les projets intégrateurs avec des interfaces plus importants du genre NEXUS Eau-énergie-écosystèmes ou alimentation sont à encourager vivement, car rien ne se perd, mais tout se conserve. Raison pour laquelle Ève Bazaïba encourage les États membres de la Conférence de l’eau à valoriser cette nouvelle approche qui du reste cadre avec les objectifs de développement durable de notre planète.

De l’objectif 6 des ODD

Parlant de l’objectif 6 des ODD qui vise à garantir l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement et une gestion durable des ressources en eau, y compris celle des eaux transfrontalières, Ève Bazaïba est revenue sur la demande de nomination d’un Envoyé Spécial des Nations Unies pour l’Eau. Vu les défis immenses de l’atteinte de l’ODD 6 pour les pays africains, elle attend à ce que ce poste soit occupé par une personnalité de haut niveau provenant du continent africain capable de porter la voix des pays les plus vulnérables. Pour s’assurer que l’eau sera dotée d’une attention politique permanente, nous demandons également que cet Envoyé Spécial soit basé à New York et ait des liens étroits avec l’Union Africaine et l’ONU.

Willy Makumi Motosia




OCC : Dr Etienne Tshimanga félicite Jean-Lucien Bussa pour sa reconduction

« Immense est mon bonheur face à votre reconduction pour la cinquième fois successive à la fonction ministérielle, et la quatrième fois particulièrement au poste stratégique de ministre du Commerce Extérieur de la République Démocratique du Congo », écrit le Directeur général de l’Office congolais de contrôle (OCC), le Dr Etienne Tshimanga Mutombo, dans un message dont une copie est parvenue au média en ligne lequotidienrdc.com.

En mon nom propre, et en celui de tous les agents et cadres de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), indique-t-il, je vous adresse mes très chaleureuses félicitations et vous souhaite plein succès dans la réalisation de la noble mission qui vous est confiée par le Président de la République et Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

« Votre détermination à relever les nombreux défis liés au Commerce Extérieur de la RD Congo est pour nous tous une source profonde d’inspiration ainsi que d’engagement partagé, afin de répondre aux multiples attentes de notre population en rapport avec le commerce extérieur, et singulièrement l’évaluation de la conformité tierce objet social de l’Office Congolais de Contrôle », martèle le Dr Etienne Tshimanga Mutombo.




Coran brûlé au Danemark: Le Maroc condamne “fermement” un acte de “provocation”

Le Royaume du Maroc a fermement condamné, samedi soir, dans les termes les plus vifs l’autodafé d’un exemplaire du Saint Coran dans la capitale danoise, Copenhague, devant des agents de sécurité. Le Maroc appelle les autorités danoises à appliquer strictement la loi et à ne plus permettre ces comportements haineux et islamophobes.

Bien que cet acte odieux ait été perpétré devant la représentation diplomatique d’un autre pays musulman, le Royaume du Maroc le considère comme « un acte provocateur qui le concerne également », a indiqué un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

Cet acte porte également atteinte aux symboles sacrés et aux sentiments de plus d’un milliard de musulmans, en particulier au cours du mois sacré du Ramadan, a fait savoir la diplomatie marocaine.

Le Royaume du Maroc appelle les autorités danoises à appliquer strictement la loi afin de faire face à ces comportements incendiaires irresponsables et à ne pas permettre qu’ils se reproduisent sous aucun prétexte, indique un communiqué sous le ton de la mise en garde.

Le Maroc souligne par ailleurs « la nécessité de dissuader toute forme de haine contre les religions et de nuire aux sentiments des leurs adhérents ».

Ce n’est pas la première fois que des actes islamophobes extrémistes ont lieu au Danemark. Début 2023, le chef du parti d’extrême droite danois « Ligne dure », Rasmus Paludan, a brûlé deux exemplaires du Saint Coran, sous protection policière.

En l’espace d’une semaine, l’extrémiste islamophobe a brulé deux exemplaires, dont l’un devant l’ambassade de Turquie et le second devant une mosquée de Copenhague.




OCC : Christelle Muabilu félicite le ministre Jean-Lucien Bussa pour sa reconduction 

« C’est avec une joie immense que j’ai appris par la voie de la télévision nationale congolaise votre reconduction au poste du ministre en charge du Commerce Extérieur dans le gouvernement Sama Lukonde II », a écrit Mme Christelle Muabilu, Directeur général adjoint de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), dans un message parvenu à notre rédaction.

Et d’ajouter que ceci prouve une fois de plus la grande considération que le chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde portent à votre endroit, traduisant ainsi le savoir-faire dans la manière de gérer ce ministère placé sous votre responsabilité.

« Nous disons merci au chef de l’Etat, garant du bon fonctionnement de toutes les institutions pour la confiance qui vous est renouvelée ainsi qu’au chef du Gouvernement Jean-Michel Sama Lukonde pour cette appréciation positive de votre travail et la franche collaboration. Fort de cette confiance, vous servirez davantage la population congolaise », espère Christelle Muabilu.

« Puisse, ce nouveau mandat vous être favorable et que Dieu vous assiste en vous accordant une santé parfaite », prie-t-elle.




Médecins sans frontières alerte et dénonce : l’Algérie expulse des réfugiés, les abandonne en plein désert

«Des enfants, des femmes, des hommes sont morts car il n’y a ni eau, ni nourriture. Certains ont été blessés, d’autres ont même disparu dans le désert», dénonce Médecins sans frontières, une ONG française.

Pour le régime algérien, plus c’est abominable, mieux c’est pour débarrasser son territoire des migrants subsahariens. L’ONG française, Médecins sans frontières (MSF), dénonce le traitement inhumain infligé par le régime algérien aux migrants et décrit des conditions au-delà de l’imaginable.

Images insupportables à l’appui, MSF affirme que «dans la région d’Agadez au nord du Niger, 4.677 personnes ont été expulsées par les autorités algériennes et tout simplement abandonnées en plein désert». Sur l’une des photos que montre l’ONG, on dénombre des centaines de personnes rassemblées en plein désert et forcées à s’asseoir en rangs serrés.

Les témoignages recueillis montrent le manque d’humanité dans le traitement qui leur est réservé. «On a tout construit en Algérie, et maintenant ce sont eux, les Algériens, qui nous ont mis dans le désert», affirme un migrant dans une vidéo reçue et diffusée par MSF dans les médias français.

La rafle se fait la nuit dans les principales villes de résidence des migrants et «au grand matin, les autorités les acheminent par autobus pour les jeter dans le désert, à plus de 2.000 km au sud d’Alger» affirme le même témoin. «Nous, on ne connaît même pas de quel côté il faut partir», explique la même personne dont l’origine n’a pas été précisée dans la vidéo.

En plus de devoir faire avec le manque d’eau et de nourriture, il leur faut également s’orienter en plein désert. Autant dire que ces expulsions ressemblent à des condamnations à mort pour certains. Car, ici, «les températures peuvent atteindre les 48 degrés».

Cette manière d’agir n’est pas une nouveauté. Ce n’est effectivement pas la première fois que les autorités algériennes se font épingler. En 2022, plus de 14 Subsahariens ont été expulsés de la sorte, précise MSF.

D’autres ONG comme Alarm Phone Sahara ont également fustigé cette pratique des autorités algériennes.




Alain Tshibanda invite les femmes de l’ADP à une présence en ligne forte, responsable et utile à la nation

Cadre de l’Alliance des démocrates pour le progrès (ADP), M. Alain Tshibanda Ngoy a eu l’honneur d’être invité pour échanger avec les femmes de ce parti politique, à l’occasion du mois de mars dédié à la promotion des droits de la femme.


« Honneur d’échanger aujourd’hui avec les Congolaises de l’Alliance des démocrates pour le progrès (ADP), autour du thème : “Éducation numérique égalitaire pour la paix et l’autonomisation des femmes et des filles en RDC”.
A en croire Alain Tshibanda, d’ici 30 ans, 8 pays seront au cœur de la croissance démographique du monde et dont la Rdc fait partie. Ce sont donc des défis énormes à relever, notamment en termes d’éducation numérique. « J’ai salué leadership du Président Félix Tshisekedi, qui considère le numérique comme un des piliers du développement de la Rdc », dit-il.
Selon un message posté sur son compte twitter, Alain Tshibanda Ngoy dit avoir invité la femme congolaise à une présence en ligne forte, responsable et utile à la nation, à l’humanité. « J’ai aussi exhorté les Congolaises à mobiliser le numérique pour contribuer au retour de la paix et la sécurité, particulièrement dans l’Est de la Rdc », affirme-t-il.