Joseph Kabila : Le David du peuple congolais

Cette phrase prononcée par Maman Olive Lembe Kabila à Bukavu résonne encore dans les oreilles des Congolais. Chacun l’interprète à sa manière, d’autres d’ailleurs lui accolent des choses injustifiées. Mais tous n’ont pas même licence. Quel message a bien voulu faire passer Maman Olive Lembe Kabila par cette assertion ?

Comprendre le personnage de David est un premier pas pour la compréhension de ce sujet qui fait encore l’actualité. Qui est David et qu’a-t-il fait pour son peuple ?
Répondre à cette question peut paraître aisé, mais l’exercice devient nettement compliqué, quand il faut prendre l’homme dans toute sa dimension.
Fils de Jessé ou d’Isaïe, la bible n’a pas livré des détails sur sa maman. On sait qu’il était le dernier d’une fratrie composée de 8 personnes. Encore jeune, il faisait paître les troupeaux de son père. Selon son propre témoignage, il savait protéger son troupeau contre la témérité des lions et des loups. Il lui arrivait même de les arracher de leurs gueules. C’est un argument qui a laissé persuader le roi Saül, son prédécesseur, pour le laisser vaincre Goliath. Il l’a fait certes par amour à son Dieu dont le nom a été profané, mais aussi par pur patriotisme. David avait un grand amour pour Israël qu’il a presque fondé. On ne peut pas parler de l’histoire du peuple hébreux, sans prendre David pour épicentre. Qu’en est-il de la République Démocratique du Congo ?
Joseph Kabila et Fatshi : deux personnages aux antipodes
Comment Fatshi fait-il pour assister à des fêtes et survoler le monde entier, dans l’indifférence totale de ce que subit son peuple à l’est de notre pays ? On n’est pas loin de croire à un mépris. Même les femmes victimes des affres de la guerre n’ont eu droit qu’à la visite de maman Olive Lembe Kabila, pendant que la première dame, épouse de Fatshi, a marqué sa préférence pour la province minière, chez une certaine… Fify Masuka. Sa réputation sur la manière d’accueillir ses hôtes venus de Kinshasa est connue de tous les milieux avisés. En tout cas, maman Olive LEMBE KABILA a fait le choix des provinces menacées par la rébellion du M23.
En effet, envoyée par son époux pour ce périple, elle a touché le fond de la souffrance de ce peuple visiblement abandonné à son triste sort. Le commandant suprême a naturellement d’autres voyages prioritaires et son épouse a préféré le Lualaba de Fify Masuka. Est-ce que quelqu’un comprend maintenant les sentiments exprimés par Maman Olive Lembe Kabila ?
Cette femme a vécu les sacrifices de son mari pour le retour de la paix à l’est de notre pays. Elle sait comment cela avait même quelques fois impacté sur la vie de leurs familles. D’ailleurs, je me rappelle d’un événement qui s’est déroulé en 2013. Le président Joseph KABILA s’est tout simplement absenté du mariage de sa propre petite sœur pour se rendre à Kampala, dans une tripartite avec Kagame et Museveni. Fatshi l’aurait-il fait ?
Dès lors qu’elle a palpé les réalités d’une population victime de la guerre, sachant qu’elle a vu son époux se sacrifier pour mettre fin à ces atrocités, quel langage d’espoir pouvait-elle communiqué à la population de l’est qu’elle vient de visiter ?
Joseph Kabila dans le rôle de David, c’est tout simplement faire renaître la confiance à un peuple qui vit seul. Les tenanciers de l’actuel pouvoir sont ailleurs, dans les fêtes et les bruits.
En tout état de cause, les congolais qui constatent le gâchis de 5 ans de Fatshi sont invités à se ranger derrière Joseph Kabila pour un nouveau départ. David est là, pas de panique.

L’archange Papy Tamba,
Le Papy le plus célèbre de la RDC.




Au-delà du contrat sino-congolais malmené par l’IGF: De quelle Rdc parle l’UE pour proposer « un partenariat stratégique sur la chaîne de valeur des minerais » ?

« Quel que soit la durée de la nuit, le soleil apparaîtra » : voici une citation à (se) recommander pour bien circonscrire la question « Sicomines » au travers du contrat sino-congolais. Le 4 mars 2023, dans la suite du président français Emmanuel Macron, les analystes avertis ont perçu la présence des commissaires européens Jutta Urpilanen, en charge des Partenariats internationaux, et Thierry Breton, en charge du Marché intérieur. Dans le communiqué conjoint publié à l’occasion, la Commission européenne et la RDC ont envisagé un partenariat qui soit « une opportunité de renforcer les liens entre les deux parties autour d’intérêts et d’objectifs communs, notamment la mise en place en RDC de la chaine de valeur responsable des minéraux critiques ». Il est question de signature « d’un protocole d’entente (MOU) gagnant-gagnant dans ce domaine ainsi que l’établissement d’une feuille de route autour des projets de coopération et d’investissements ».

Question pertinente : de quelle RDC est-il question ? Car, les analystes avertis, eux, savent que depuis quasiment les années 1985, les Européens et les Américains n’ont plus investi en République Démocratique du Congo. Ils ont profité de la crise institutionnelle surgie à partir de 1990, dans la foulée de l’enclenchement du processus démocratique (appelé aussi Transition) pour se désengager davantage.
Les Congolais, Zaïrois à l’époque, se souviennent de la suspension de la coopération structurelle décidée au détriment des entreprises publiques comme Regideso pour l’eau, Snel pour l’électricité, Office des routes pour les routes, Rvf pour le transport fluvial et lacustre, Rva pour le transport aérien, Rvm pour le transport maritime, Onatra et Sncz pour le transport ferroviaire, fluvial et lacustre, et même Gécamines pour l’exploitation minière !
A la base, le massacre des étudiants survenu sur le campus de l’Université de Lubumbashi en mai 1990 que tous les gouvernements occidentaux, informés par leurs services de renseignements, savaient pourtant faux.
Voici dont près de 40 ans que les Américains et les Européens ont décidé de substituer à la coopération structurelle (qui développe des pays) l’assistance humanitaire (qui détruit totalement des pays).
Revoir les Occidentaux tenter un retour en territoire congolais qu’ils semblent avoir mis en jachères à quelque chose d’interpellateur.
En effet, que serait devenue la RDC si la Chine avait suivi en 2008 le conseil des Occidentaux de ne pas y investir au motif d’un pays non éligible à l’accès au marché international des financements ?
Les faits, vérifiables, sont rapportés par des Congolais mobilisés en 2007 pour convaincre les investisseurs étrangers des opportunités en affaires. Ces Congolais avaient été amenés à constater la non-tenue, par l’Union européenne, de la promesse faite aux Congolais du retour de grands investisseurs en contrepartie de leur participation massive au référendum constitutionnel de 2005 et aux élections de 2006.
En Europe, en Amérique et même en Asie, les investisseurs occidentaux avaient dit niet !
Seuls les Chinois avaient accepté de s’y risquer. D’où le contrat sino-congolais conclu en 2008 et qui a permis à la RDC de se redresser pour redevenir un pays fréquentable.
Comme le dit d’ailleurs si bien un connaisseur dudit contrat ayant recommandé au Gouvernement « le renouvellement de ce modèle de collaboration, toutefois en prenant soin d’y insérer les améliorations », l’entrée en lice des Chinois aura servi de « garantie aux autres partenaires qui sont venus investir dans notre pays. Ils se disent que si les partenaires chinois investissent une enveloppe de 6 milliards de dollars, cela signifiait que le pays est fréquentable et un bon climat des affaires ».

Ils noseront pas relever ce défi

Que les Américains (en marge du sommet Etats-Unis/Afrique en décembre 2022) et les Européens (en mars 2023 à Kinshasa) cherchent à rentrer en RDC comme on revient sur le lieu du « crime », et qu’ils se trouvent pour cela des Congolais au cour bon disposés à les accueillir à bras ouvert, c’est dans l’ordre normal des choses.
L’ordre anormal commence toutefois lorsque les premiers conseillent aux seconds de participer à une sorte de battue dont le gibier est le contrat sino-congolais, cela via la Sicomines.
Symbolique forte : pour l’organiser, les commanditaires ne s’embarrassent pas d’utiliser, eux, les infrastructures aménagées ou réaménagées par les Chinois dans le cadre du même contrat ! Et comble de perfidie, ils s’appuient sur les mêmes réseaux qui les avaient aidés entre 1990 à 2022 à affaiblir tous les gouvernements qui se sont succédé en RDC, réseaux ayant mis le pays à la merci notamment des groupes armés et de leurs supplétifs intéressés tous à l’exploitation artisanale minière (celle qui ne rapporte pas grand-chose à l’Etat congolais), pendant qu’ils s’opposent à l’exploitation industrielle (celle qui rapporte beaucoup de moyens aux Pouvoirs publics).
C’est peut-être le moment de demander à ces Occidentaux : peuvent-ils rendre compte aux Congolais de ce que l’exploitation minière leur a rapporté depuis la colonisation, et combien ont-ils mis dans le développement du pays jusqu’à 1985, année d’arrêt de leurs investissements !
Même en disposant de statistiques fiables en la matière, ils n’oseront pas relever ce défi.




Signature d’un accord de coopération entre l’Algérie presse service (APS) et l’Agence congolaise de presse (ACP)

Un protocole de coopération sur des échanges des services d’information entre l’Algérie presse service (APS), média officiel de la République d’Algérie et l’Agence congolaise de presse (ACP), média officiel de la République démocratique du Congo a été signé le dimanche 12 mars 2023 à Alger, a constaté une équipe de l’ACP.

Ce sont respectivement les Directeurs généraux de ces deux médias officiels d’Algérie et de la RDC, à savoir M. Gaid Samir et Bienvenu Bakumanya qui ont signé ce protocole de coopération. C’était au siège de l’APS situé sur 54, avenue des Frères Bouadou Bir Mourad Rais, à Alger en Algérie.
Pour le Directeur général de l’APS, Gaid Samir, ce protocole s’inscrit dans le cadre de la politique de prise en charge de l’actualité africaine.
“Nous voulons consolider le développement durable sur les questions relatives à notre continent”, a-t-il déclaré. Et de poursuivre : “L’APS est en pleine mutation en matière de législation en vue de répondre à la nouvelle vision de l’Agence qui est d’être un média global”.
M. Samir a également relevé que la matérialisation de cette signature d’accord de coopération répond de la solidarité africaine, choix politique opéré par l’Etat Algérien. Dans ce cadre, a-t-il indiqué, “les deux agences de presse vont échanger les contenus médiatiques, consolider la communication des deux pays, échanger des expériences et contribuer à la formation”.
Pour sa part, le directeur général de l’ACP, Bienvenu-Marie Bakumanya a déclaré que “c’est le premier protocole de coopération que l’Agence congolaise de presse signe sous mon mandat. J’ai tenu à ce que ce soit avec un pays africain. C’est le sens de cette signature avec Algérie Presse service. Pour moi l’objectif est atteint. La valeur ajoutée est que désormais, nous aurons des informations de l’Algérie et de la région. Des informations sourcées, fiables que nous publierons pour nos abonnés sans hésitation parce que nous avons confiance en la source qu’est l’APS”.
Par ailleurs, “les agences de presse africaines aujourd’hui devront donner la parole à l’Afrique. Il ne faudrait pas toujours que l’histoire de l’Afrique soit racontée par d’autres qui viennent d’ailleurs, de l’occident et même aussi de l’orient. Il faudrait qu’aujourd’hui les informations africaines soient données au nord tout comme au sud et au centre et partout par des Africains. C’est l’objectif poursuivi par l’Agence congolaise de presse de s’adresser aux frères africains pour cheminer la main dans la main et donner la bonne information de l’Afrique par les Africains eux-mêmes “, a poursuivi le DG de l’ACP.
Cet accord de coopération qui porte sur l’échange gracieux des services d’information qui comprend les dépêches, reportages audiovisuels, photos, infographie contient entre autres clauses de ne souffrir d’aucune altération des contenus.
Aussi, cet accord facilitera les visites périodiques des personnels respectifs des deux agences pour échanger leurs expériences.
ACP




Le silence de Joseph Kabila Kabange, un grand coup de balais dans sa cour

Voilà un peu plus de 4ans, que Joseph Kabila est resté en marge de la scène politique. L’homme vit reclus depuis la rupture de la coalition FCC-CASH.
Cette interruption brusque et unilatérale de la part du régime en place, a laissé apparaître des grosses fissures au sein de la classe politique congolaise. L’opposition d’hier incarnée par l’UDPS minoritaire dans les institutions, s’est octroyée par des manœuvres inappropriées, une majorité qui, au départ n’était pas la sienne. Une méthode que les sciences politiques auraient bien du mal à expliquer. De la minorité à la majorité, l’Union sacrée se tape la part du lion dans toutes les institutions de la République au profit de la transhumance politique, de la corruption à ciel ouvert par l’achat de la conscience malgré le silence interrogatoire de l’autorité morale du Front Commun pour le Congo. Joseph Kabila qui en avait appelé à la résistance des membres de sa famille politique, avait, en matière des futurs événements politiques une longueur d’avance de la lecture politique. Il savait que plusieurs sollicitations de débauchage déstabiliseraient sa famille politique. Bravo ! L’UDPS a réussi son coup de débaucher les caciques du FCC qui ont pourtant tout obtenu pendant le règne de Joseph Kabila. L’argent, le pouvoir, le prestige… les avantages ces caciques en ont eu. Cependant, à la place de demeurer reconnaissant, loyal et fidèle, c’est plutôt de la trahison que récolte Joseph Kabila.
N’avons-nous pas donné raison à l’artiste musicien Madilu Système qui chantait : Merci ba pesa na mbwa.
Sans vergogne, nombreux disent avoir quitté Kabila et s’ouvrent au nouveau maître non par conviction mais par opportunisme. Je ne parle même pas du suivisme pathologique, de la transhumance. Quelqu’un qui était Kabiliste pure et dure peut en 48heures devenir, Tshisekediste plus pure et dure encore. Encore il vous dit, mon cher frère, la politique il faut être réaliste. J’ai créé ce parti ici pour rester à l’opposition ? dixit Jacques Ndjoli qui ironisé tous les nouveaux chantres de Felix Antoine Tshilombo Tshisekedi.
Doit-on dire que l’homme politique congolais n’a ni éthique, ni sens d’homme d’Etat, ni sens d’honneur, moins encore de la culture politique, avait dit Abdoulaye Wade. La cause de cette transhumance est le silence de Joseph Kabila Kabange. Accusé à tort par le nouveau maître de faire ombrage à son action gouvernementale, Joseph Kabila s’est résigné de s’effacer et ne pas prétexter l’échec et l’incompétence de son successeur.
Pourtant, sans bien connaître l’homme de Kingakati, devenu Recteur de l’Université de Kara, son silence est un grand coup de balais dans sa cours. Il en profite pour se débarrasser de vieilles casseroles n’ayant plus à préparer une nourriture comestible. Devenue la blanchisserie de plupart des anciens gestionnaires, l’Union sacrée, un monstre à plusieurs têtes est en embuscade politique, économique et sociale par rapport à ses promesses fallacieuses. Mais, les élections devenues hypothétiques suscitent des interrogations dans le chef des transhumants dans la quête d’un siège au futur parlement.
Que deviendraient-ils, ces transhumants par rapport à la position du Front Commun pour le Congo ; de la Cenco; de l’ECC et de l’ensemble de l’opinion nationale d’organiser les élections sans la Commission Électorale Nationale Indépendante de Denis Kadima ni la Cour Constitutionnelle de Dieudonné Kamuleta, tous estampillés proches de l’UDPS et de Felix Antoine Tshilombo Tshisekedi ?
Si ces transhumants ont tout obtenus de Joseph Kabila et l’ont trahi, qu’obtiendraient-ils de l’actuel pouvoir dont les promesses sont le leitmotiv de leur gestion ?
Si j’étais Adolphe Lumanu; Lambert Mende; Evariste Boshab; Célestin Tunda Ya Kasende; Alphonse Ngoyi Kasanji; Charles Lola Kombe; Léonard She Okitundu; Claude Nyamugabo, Âggé Matembo Toto, Constant Mutamba, Thierry Monsenepwo ; Ernestine Nyoka; Julien Paluku; Pius Mwabilu, Modeste Bahati Lukwebo; Marie Ange Lukiana, Christophe Mboso Kodia Mpwanga, y compris les gouverneurs FCC transhumants…toutes ces grandes figures de la politiques qui sont devenus de Tshisekedistes, je n’hésiterais de m’enterrer vivant. Je présume que si le pouvoir basculait en défaveur de Felix Antoine Tshilombo Tshisekedi, cette même classe politique sans culture politique s’identifierait au nouveau maître sans vergogne ni remise en cause de leur passé sulfureux. *Je n’ai pas créé ce parti pour rester dans l’opposition*, dixit Jacques Ndjoli.
Du moins, les élections sont hypothétiques et la remise en cause de la Cour Constitutionnelle et de la Ceni est une évidence et à l’ordre du jour.
Effectivement, le silence de Joseph Kabila est une épreuve et énigme difficile à discerner. Le temps est le meilleur allié de la raison. Joseph Kabila est une énigme et un livre qu’il faut lire à tout prix pour meilleur diriger le Congo.
Depuis Kaziba, dans le Sud-Kivu
Pius Romain Rolland




Samedi 11 mars au Jardin Moto na Moto de Bandal: Gokyo pulvérise Kuntuala 4-0 et remporte le titre de l’entente Lukunga 2022-2023

C’est dans une ambiance électrisée que s’est déroulée la finale du championnat par équipe de l’entente urbaine de judo de Kinshasa Lukunga, le samedi 11 mars 2023 au Jardin Moto na Moto Abongisa de Bandal. Pour la circonstance, Gokyo de Delvaux a pulvérisé Kuntuala de Delvaux également par un score sans appel de 4-0.

A l’issue de cette finale, l’entente Lukunga a procédé à la remise des médailles aux meilleurs de la saison. Me Mwanza, secrétaire exécutif de cette entente nous communiquera des détails sur les meilleurs de la saison de son entité.
Antoine Bolia




Samedi 11 mars à Brazzaville: Police Taekwondo Congo s’est jointe à la marche de l’association des Femmes Pratiquantes des Arts Martiaux et Sports de combat

Comme prévu, l’Association Congolaise des Femmes pratiquantes des arts martiaux et sports de combat a organisé une marche sportive dédiée au mois de la femme le samedi 11 mars 2023 à Brazzaville.

Police Taekwondo Congo a eu l’insigne honneur d’accompagner l’Association Congolaise des Femmes pratiquantes des arts martiaux et sports de combat à cette activité.
A cet effet, l’on a noté la présence de Me Morel Ntalani, Secrétaire Général, du Colonel Mokoki Jean Claude (Trésorier Général), Colonel Ndzenga (représentant de la Direction Générale des Finances et Equipement de la Police au bureau national) et certains membres de la Direction Technique Nationale.


A propos de l’itinéraire, cette marche avait débuté au Rond Point Moungali comme point de départ et comme point de chute le gymnase Nicole Oba de Brazzaville. Sur ce dernier lieu on a eu une petite cérémonie à l’américaine suivie d’une partie riche en démonstrations.
L’Association Congolaise des Femmes Pratiquantes est représentée au niveau de l’Union Africaine des femmes pratiquantes des arts martiaux et sports de combat par l’Association Congolaise des judokas du Congo et est conduite par la maître Akouala Carine. Au niveau de l’Union Africaine, la République du Congo est représenté par la maître Tchiapi Cynthia, plusieurs fois championne en judo.
Antoine Bolia




Boxe, A cause de la pluie : Tous les combats de samedi 11 mars à la 31è édition du championnat national à la Place Commerciale 7è rue Limete sont reportés

Le samedi 11 mars 2023, les amoureux de la boxe n’ont pu vivre le spectacle qu’ils vivent depuis le 8 mars dernier à la Place Commerciale 7è rue dans la commune de Limete à cause de la pluie.

En effet, ils s’y déroulent en plein air des combats pendant la journée (1ère session) et d’autres la nuit (2è session) comptant pour la 31è édition du championnat national de boxe. L’ambiance est toujours de grande fête car les pugilistes de différentes provinces rivalisent d’ardeur. La journée de vendredi 10 mars 2023 était marquée par des combats comptant pour les 1/8è de finale. La suite des 1/8 de finale devait intervenir samedi, avortée, elle est reprogrammée ce dimanche 12 mars 2023.
1ère session
Hommes 1/8 de finale
Catégorie des mouches -51 kg
1. Kolongo Bakora (Haut-Katanga) vs Ntoto (Kasaï) :
Catégorie des coqs -54 kg
2. Tshibangu Mamba (Kwango) vs Mujinga Meschack (Lualaba)
3. Debwa Meschack (S-Ubangi) vs Liweli Bondelinga (Kinshasa)
4. Koyanzili Nambi (Kongo Central) vs Muntu Biakulowa (Léopard)
5. Kialuka Antoine (Equateur) vs Mampio Masemo (Tshuapa)
6. Ntambu Lubaki (Mai-Ndombe) vs Lukama Chadrack (N/Kivu)
7. Kongolo Docy (Sankuru) vs Kasalida Marocain (Kasaï-Or)
8. Bituni Sony (PNC) vs Kabongo (Kasaï)
9. Nzafe Mbula (N/Ubangi) vs Bokili Ezechiel (Tshopo)
Catégorie des Plumes -57 kg
10. Ntumba Danny (PNC) vs Keto Ravel (Kinshasa) :
Catégorie des Légers -60 kg
11. Kabantu Kabantu (Kinshasa) vs Matala Tala Jeampy (Tshopo) :
Catégorie des Welters -67 kg
12. Mpiana Rocky (Kasaï Or) vs Kabasele Tdshite (Sud-Ubangi) :
Catégorie des Mi-Moyens -71 kg
13. Bashonga Issa (Equateur) vs Manzongo Peguy(Kinshasa) :
2è session 1/8 de finale
Hommes : 1/8 finale
Catégorie des Moyens -75 kg
1. Tshama DaVid (Léopard) vs Kena Kalala (Haut-Katanga)
2. Mukendi (Kinshasa) vs Ebuta Tony (Tshopo)
3. Nzelo Lisala (Mongaa) vs Tshala Idriss (Mai Ndombe ) 4. Djuma Enrys (N/Ubangi) vs Mabengi Mitterand (FARDC)
5. Kalunga Kayembe (Kongo Central) vs Mundadi Willy (Kasaï-Or) :
6. Bitangila Rigo (PNC) vs Maneno Bulala (S/Ubangi) :
7. Askari Mayenge (Maniema) vs Mboma Sindani (Tshuapa) :
Catégorie des Mi-Lourds -80 kg
8. Longoma Lebeau (Kongo Central) vs Tshibangu Léon (Kwango) :
9. Bondo Pepe (PNC) vs Madila Kanda (Maniema) :
10. Tumba Mukala (Kasaï Or) vs Itete Zapata (Haut-Uele) :
11. Mulueke Kevin (Tshuapa) vs Ilunga Mardoche (Equateur) :
Catégorie des Lourds Legers -86 kg
12. Sanga Evander (Kwango) vs Mwamba Grâce (Lualaba) :
13. Matete Landry (Kinshasa) vs Mpiana David (Equateur) :
14. Kabwika Bea (Kasaï Or) vs Kaba David (N/Ubangi) : 15. Mama Masebe (Huele) vs Kabota Kabo (S/Ubangi) :
16. Landu Nathan (Kongo Central) vs Mbenga Nsaka (H.Katanga) :
Antoine Bolia




9è jeux de la Francophonie: Christ Eale Bokongo de l’ABA vainqueur du concours de la création de la mascotte

La volonté clairement affichée par le gouvernement congolais avec le chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi en tête, d’organiser les 9è jeux de la Francophonie continue de ne souffrir d’aucun doute. Tous est mis en œuvre pour une organisation qui restera dans les annales de ces jeux.

Pas plus tard que le jeudi 9 mars 2023, le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a présidé la cérémonie de dévoilement de la mascotte de ces jeux.
C’est un jeune étudiant de l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa ‘’A.B.A’’ dénommé Christ Eale Bokongo qui a remporté le concours de création de la mascotte pour les 9èmes jeux de la francophonie. Le jeune créateur s’est adjugé de la cagnotte d’un montant de 10.180.000 FC équivalent à plus de 5000 $ US. Son œuvre s’appelle ‘’MASANO’’ qui ne veut dire que jeux.


La petite histoire des jeux de la francophonie
La 1ère édition a eu lieu au Maroc en 1989
La 2è édition en France en 1994
La 3è édition au Madagascar en 1997
La 4è édition au Canada en 2001
La 5è édition au Niger en 2005
La 6è édition au Liban en 2009
La 7è édition en France en 2013
La 8è édition en Côte D’Ivoire en 2017
La 9è édition à Kinshasa, en RDC du 28 juillet au 6 août 2023
Cette 9è édition est placée sous les signes de la solidarité, de la diversité et de l’excellence. Ça sera un grand rendez-vous culturel, sportif et de création. Elle offrira, une fois de plus, l’occasion à la jeunesse francophone de se dépasser et de rivaliser dans un esprit d’échange, de partage et de découverte.
Disciplines sportives retenues

Disciplines sportives retenues

 


1. Athlétisme (H/F, 18-35 ans)
2. Basket-ball (H/F, 18-25 ans)
3. Football (H, 18-20 ans)
4. Handisport (Athlétisme) (H/F, 18-35 ans)
-H, 200 m (T42 à T47 & T61 à T64)
-H, saut en longueur (T42 à T47 & T61 à T64)
-H, lancer du javelot 800 g (F42 à F46 & F61 à F64)
-F, 100 m (T11-12 & T13)
-F, saut en longueur (T11-12 & T13)
-F, lancer du poids 3 kg(F40-F41)
-F, lancer du disque 750 g(F40-41)
5. Judo (H/F, 18-25 ans)
6. Luttes
-Lutte africaine (H/F, 18-30 ans)
-Lutte Libre (H/F, 18-30 ans)
7. Tennis de table (H/F, 18-21 ans)
8. Cyclisme sur route (H, 19-25 ans et F, 19-35 ans)
Antoine Bolia




En prévision du match V. CLUB vs WAC, le 18 mars à Brazzaville: Un appel est lancé à tout véclubien désireux d’aller soutenir V.CLUB

Le team vert noir est au bord de l’élimination. Pour éviter la catastrophe, le rappel des troupes est envisagé.

Ainsi, au nom de tous les provinciaux, Erick Fwamba lance un appel aux sectionnaires et à tous les supporters vclubiens, désireux d’aller soutenir l’équipe à Brazzaville pour le match retour V.Club vs WAC, le 18/03/2023, de se munir d’un montant de 65 $ tous frais compris sauf logement et restauration à charge de chacun.
Celui qui veut effectuer le déplacement peut appeler 0899176175, 0815147599 ou 0900087685.
Voici résumé les conditions :
1. Avoir sa carte d’électeur
2. celui qui a son test covid l’amène même si tu n’en as pas, il faut venir
3. avoir sa carte de vaccination internationale
4. Amener son passeport si tu en as
N.B : Afin de faciliter les démarches, tout celui qui veut aller à Brazzaville n’a qu’à envoyer son argent avant le mercredi 15 mars 2023 car le 1er groupe traverse jeudi 16 mars tandis que le second le fera le samedi 18 mars 2023.
Antoine Bolia




Ligue des champions d’Afrique: V. Club trébuche de nouveau et réduit ses chances de qualification

Battue 2-1 par la Jeunesse Sportive de Kabylie d’Algérie en terre algérienne, le samedi 11 mars 2023, l’équipe de V. Club a sensiblement réduit ses chances de qualification.
Avec l’ouverture du score du redoutable et terreur des gardiens adverses le togolais Marouf Tchakei sur coup franc à la 53è minute, V. Club a sombré corps et biens par la suite. Encaissant deux buts à la 63è et 86è minute.
Végétant en dernière position du groupe avec 3 maigres points, V. Club se doit de gagner ses deux matchs restant face à Wydad Athletic de Casablanca du Maroc, le 18 mars 2023 à Brazzaville pour la 5è journée et le 11 avril 2023 à Luanda, en Angola face à Petro Atletico d’Angola et espérer un faux pas de JSK d’Algérie.
Antoine Bolia