Balises : Délégation du Conseil de sécurité de l’Onu en RDC : 2023 comme en 2018, en 2011 et en 2006 !

Conduite par les représentants de la France (pour les 5 pays membres permanents du Conseil de sécurité) et du Gabon (pour les 10 pays membres non-permanents), la délégation onusienne arrivée à Kinshasa en début de soirée le jeudi 9 mars 2023 revient en terre congolaise pour les mêmes objectifs : la situation sécuritaire et le processus électoral.

Ses dernières visites, dans ce cadre, remontent, en comptant à rebours, à 2018, à 2011 et à 2006.
Tradition respectée : la veille de la visite d’une délégation du Conseil de sécurité des Nations Unies, les groupes armés ont un modus operandi connu, celui de relancer l’escalade, de façon à occuper le plus possible d’espaces, entendez localités et villes.
Objectif : mettre la barre plus haut dans la perspective des négociations desquelles ils espèrent entrer ou rentrer dans les institutions.
Évidemment, on fait peu cas du calendrier du cessez-le-feu et du retrait au point de départ. D’où le stratagème en cours d’encerclement de la ville de Goma.
Pour l’heure, le M23/Rdf n’a pas besoin de prendre Goma. D’ailleurs, en raison de la présence des troupes kényanes et burundaises de l’Eac, le Rwanda ne le permettra pas.
Membre de cette communauté – la seule organisation sous-régionale au sein de laquelle il est à l’aise (ce qui n’est pas le cas à la Cééac et ni à la Cirgl), ce pays enclavé ne voudra pas entrer en guerre directement ou indirectement avec Nairobi en territoire congolais. Ce n’est pas bon pour sa survie économique.
Aussi, asphyxier économiquement et socialement Goma, comme le Rcd/Rdf avait asphyxié Kinshasa en 1998, est une stratégie payante.
Faut-il encore que l’encerclement soit allégé.
C’est effectivement ce qui est en train de se passer sous nos yeux au travers de la coïncidence de l’acheminement de l’aide humanitaire de l’Union européenne annoncée le 4 mars dernier par Emmanuel Macron avec le séjour programmé de la délégation du Conseil de sécurité de l’Onu au chef-lieu du Nord-Kivu.
L’aide débarque au moment précis où le M23/Rdf refuse le cessez-le-feu et isole Goma où les produits de première nécessité se raréfient.
On en est plein dans “Tata aye, nzala esili”, pour reprendre une expression congolaise.
Une opération de charme malheureusement discriminante. Car, si la population de Goma peut y accéder, il n’en est pas de même de la population des villes et localités occupées par le M23/Rdf ! À moins qu’un organisme du système des Nations Unies ait été chargé de la distribuer sous un dispositif sécurisé par cette engeance !
Lorsqu’au terme de son séjour la délégation onusienne quittera le pays, elle laissera la situation sécuritaire dans l’état initial.
Elle mettra cependant – ça c’est sûr et certain, l’accent sur le processus électoral qui, à son avis, résoudra tous les problèmes politiques, sécuritaires, économiques et sociaux du pays.
On l’avait fait à Laurent-Désiré Kabila. On l’a fait à Joseph Kabila.
On veut le refaire à Félix Tshisekedi.
Entre-temps, Paul Kagame et Yoweri Museveni continuent d’utiliser le prétexte Fdrl et Adf/Nalu (désormais Adf/Mtm) pour servir de bras séculier en exécution d’une sale besogne dont la nature se devine facilement : la balkanisation de la RDC.
On ne le dira jamais assez : le sort de ce pays se joue ailleurs qu’à l’Onu !
Autrement, les Nations Unies auraient rétabli la République Démocratique du Congo dans tous ses droits. Dont celui de disposer librement de sa souveraineté.
Or, depuis 2006 – pour ne pas remonter à l’époque du Mzee Laurent-Désiré Kabila – c’est la veille de chaque échéance électorale (sur fond d’insécurité entretenue par des groupes armés), que les 15 membres du Conseil de sécurité reviennent au Congo.
Même si on résonnait par l’absurde, des élections et de l’insécurité, sa préoccupation ne serait pas celle-ci, mais plutôt celles-là!

Omer Nsongo die Lema




Sondage Le peuple d’abord : Des leaders katangais Serge Nkonde, Fifi Masuka, Dany Banza, Jacques Kyabula, (…) se mobilisent pour la réélection de Fatshi

Les leaders du Grand Katanga suivants : Serge Chembo Nkonde, Fifi Masuka, Dany Banza, Jacques Kyabula, Coco Munongo, Miguel Kashal, Adèle Kahinda, Vichy Kitunmwa, et Michel Kanyimbu se mobilisent pour la réélection de Félix Tshisekedi lors de la présidentielle de novembre 2023.

Au fur et à mesure que les jours passent, le pays s’approche de la tenue de nouvelles élections générales dont la finalité est de doter les institutions aussi bien nationales que provinciales, de nouveaux animateurs. La présente législature va donc vers sa fin. Dans tous les états-majors de partis politiques, les débats ne tournent plus qu’autour de ces enjeux électoraux qui se profilent à l’horizon. Des alliances se font et se défont en fonction des candidats que l’on compte aligner pour gagner ces consultations électorales.
Concernant précisément le grand Katanga, l’on se rappelle qu’il a été scindé en quatre nouvelles entités politico-administratives, à savoir Tanganyika et Haut-Lomami au nord, Lualaba et Haut-Katanga au sud.
Toutes les personnalités qui se battaient pour des postes dans le gouvernement provincial du Grand Katanga, se sont tournées vers ces nouvelles entités pour la mise en place des institutions avec, en face, des préoccupations d’ordre technique, financier, voire politique. Malgré ce découpage voulu depuis des années par le législateur, l’espace katangais demeure bel et bien arrimé dans le territoire congolais.
C’est ainsi que toutes les instructions venant du gouvernement de la République sont effectivement appliquées dans les nouvelles provinces de cet espace. Sous la houlette du président de la République, les autorités politico-administratives travaillent pour construire de nouvelles entités viables, modernes, où les populations vivront dans de bonnes conditions, tout en visant dans la foulée le progrès de la nation. Les leaders originaires de provinces qui composent aujourd’hui le Grand Katanga, participent donc de manière active, à la gestion des affaires de l’Etat tant au niveau des institutions nationales que provinciales. Ils ne sont dès lors pas étrangers aux événements qui rythment la vie nationale.
Ces leaders avaient pris fait et cause pour le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, après la rupture de la coalition formée avec le Front commun pour le Congo du président sortant Joseph Kabila. Ils avaient estimé, avec raison, que la reconstruction du pays exigeant la conjugaison d’efforts de l’ensemble des couches socioprofessionnelles, ils ne pouvaient demeurer en marge des actions menées sous la conduite du président de la République pour atteindre cet objectif.
Cependant, tous ces leaders ne produisent pas les mêmes résultats là où ils occupent des fonctions. Certains jouissent d’une réelle envergure, pendant que d’autres pataugent. Ce sont les leaders ayant un grand charisme que notre Institut de sondage « Le peuple d’abord »  a cherché à découvrir grâce à l’enquête menée auprès des populations de ces provinces. Il est certain que ce sont ces leaders- là qui vont battre campagne pour la réélection de Félix Tshisekedi en 2023 dans l’espace Grand Katanga.
Cette enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de 1000 personnes, âgées de 18 ans, et plus représentatives de toutes les provinces de l’espace Grand Katanga du 20 janvier au 28 février 2023. En voici les résultats :

Serge Chembo Khonde, ministre des sports et loisirs: 70%

L’actuel ministre des sports et loisirs est originaire du territoire de Sakania, dans le Haut-Katanga. A chaque séjour sur place, il ne manque jamais de rassurer les fils et filles de ce territoire de l’implication du gouvernement pour la modernisation de cette partie du pays dans le cadre du programme des 145 territoires initié par le chef de l’État, Félix Tshisekedi. Pour ce faire, il s’entretient à des intervalles réguliers avec des jeunes, des vieux, des femmes, des associations socio-culturelles pour leur expliquer l’attention que porte le chef de l’Etat sur les problèmes ayant trait à ce trait, tout en leur demandant de tout faire pour lui accorder un second mandat à la tête du pays.

Fifi Masuka, Gouverneure de la province de Lualaba: 68%

La gouverneure du Lualaba et son exécutif peuvent se féliciter des résultats enregistrés à ce jour. En effet, sur le plan social, la cheffe de la province a tout fait pour réhabiliter la prison de Dilala et autres maisons carcérales. Dans le cadre de la lutte contre la fraude minière, des mesures drastiques ont été prises. Des dispositions ont également été prises par son équipe ministérielle pour lutter contre le chômage et la dépendance alimentaire. Ses efforts pour bâtir le Lualaba moderne ont abouti à la construction des ponts Tshata dans le territoire de Mutshatsha, et Fatshi Béton dans la commune de Dilala, l’asphaltage  de la route nationale numéro 39 sur l’axe Kolwezi-Dilolo, et la réhabilitation en terre battue de la route Kasaji-Sandoa. L’Exécutif provincial a aussi remis en l’état plus de 30 puits avant de forer 50 nouveaux puits dans la ville de Kolwezi et le reste de la province dans le but de renforcer la desserte en eau potable.

Danis Banza, ambassadeur  itinérant: 63%

L’ambassadeur itinérant Dany Banza apparait incontestablement comme l’un des leaders incontestés de l’espace Grand Katanga.   Alors que les enjeux électoraux de 2023 se dessinent clairement à l’horizon, l’honorable Dany Banza Maloba qui a retrouvé enfin les insignes et les couleurs de son parti Avenir du Congo –ACO- à la suite de la mise à jour, par le Secrétariat général du Ministère de l’Intérieur en charge des partis politiques autorisés à fonctionner en République Démocratique du Congo, peut à présent se mobiliser dans la sérénité, dans le cadre de l’Union sacrée de la nation, avec pour objectif final de faire réélire Félix Tshisekedi aux élections présidentielles  de 2023.

Jacques Kyabula, Gouverneur du Haut-Katanga: 62%

Le gouverneur du Haut-Katanga a lancé plusieurs chantiers d’infrastructures routières. Il s’agit des actions visant la reconstruction de cette entité politico-administrative. Il y a quelques semaines, devant la presse locale, l’autorité provinciale a dit avoir mis de l’accent sur la qualité des infrastructures routières. Ainsi, à Likasi comme à Lubumbashi où la plupart des routes datent de l’époque coloniale, le chef de l’Exécutif provincial a construit des routes ou avenues plus agrandies. Les matériaux utilisés, selon les ingénieurs, sont plus durables. Ces ouvrages sont munis de canalisation et de systèmes d’éclairage public.
Les avenues Mzee Laurent Désiré Kabila, à Lubumbashi, et dans la ville de Likasi, certaines parties fragiles se couvrent de bétons. Une couche censée rendre plus solides les routes, avant de poser l’asphalte. A Lubumbashi, la chaussée de Kasenga devenue Boulevard Félix Tshisekedi, a connu par endroits le même procédé de construction : creusage, nivellement en vue d’ajuster le niveau du sol, pose des moellons, compactage, bétonnage enfin l’asphaltage.
Une autre route asphaltée qui fait rêver est celle qui va de Sakania à Lubumbashi. Elle a vu le jour grâce au financement d’une firme chinoise dans un partenariat public-privé, sous le contrôle de l’Agence congolaise des grands travaux, dont l’expertise en développement des infrastructures en RDC se confirme à travers cet ouvrage.
Jacques Kyabula est dès lors couvert d’éloges de la part de la population à travers les villages que parcoure cette route. Dans le secteur alimentaire, le gouverneur a réalisé une bonne récolte des graines de maïs au cours de l’année culturale 2021-2022. Pour cela, il a organisé une visite de suivi de l’opération de remboursement des sacs de maïs pour les fermiers ayant bénéficié des intrants agricoles.
Après avoir visité les dépôts de stock de maïs,  il a annoncé l’instauration d’une journée dédiée aux agriculteurs. Tout en saluant la politique agricole de son gouvernement qui a déjà récupéré 14 mille sacs des graines de maïs de 50 kilos sur le 210.000 attendus.
Ces sacs de maïs entreposés dans l’enceinte du Gouvernorat, seront transférés vers la minoterie pour la farine de maïs made in Haut- Katanga. Voilà donc une personnalité politique qui matérialise à merveille la vision de Félix Tshisekedi pour qui il est disposé à se mobiliser pour sa réélection en décembre 2023.
Coco Munongo, Député national: 59%

Le député national Coco Munongo, membre  de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social –UDPS- dit travailler calmement à présent pour assurer au président de la République, un second mandat à la tête du pays. Ce qui n’était pas le cas durant le mandat de l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale, Jean-Marc Kabund, soutient-il. La cohabitation entre ce dernier et les députés nationaux de l’UDPS, indique-t-il, n’était jamais de tout repos.
Miguel Kashal, Directeur général de l’ARSP : 58%

Le nouveau directeur général de l’autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé –ARSP- Miguel Kashal Katemb jouit d’une bonne réputation auprès de la population qui juge positif le bilan de ses actions depuis qu’il a pris la tête de cet établissement public. Ces actions ont notamment porté sur la vulgarisation de la loi sur la sous-traitance ; le renforcement du partenariat ARSP- partenaires (associations des entrepreneurs) ;
le lancement de la campagne de visibilité de l’ARSP ; le renforcement des mécanismes de lutte contre la fraude dans l’actionnariat ; le lobbying de haut niveau au forum Mining Indaba en Afrique du Sud ; le plaidoyer auprès des hautes autorités du pays pour le contrôle des activités de sous-traitance. Ce mandataire qui se dit serein est d’avis que tout sera fait pour la campagne en faveur de la réélection de Félix Tshisekedi lors de la présidentielle de décembre 2023.

Adèle Kayinda, Ministre du Portefeuille: 55%

Elle est issue de la famille royale Tshokwe de la localité de Mwatshisenge, dans le territoire de Sandoa, en province de Lualaba. La ministre du Portefeuille, Adèle Kayinda Mahina s’est engagée à accompagner le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, dans sa vision de viabilisation des entreprises de son secteur.
Elle a aussi promis d’œuvrer dans le sens de ne pas décevoir son regroupement politique, l’AFDC-A qui, à travers son autorité morale le sénateur Modeste Bahati Lukwebo,  lui a fait également confiance et croit en ses capacités de remplir cette mission pour le bonheur des Congolais.
Elle compte présentement  21 ans de carrière politique dont 18 ans en tant que députée nationale, élue de la circonscription de Sandoa, dans la province de Lualaba. Elle a été rapporteur, membre de la commission socioculturelle, membre de la commission politique, administrative et judiciaire (PAJ), où elle a exercé les fonctions de présidente de la sous-commission Justice et bonne gouvernance.
Diaconesse à la Paroisse internationale de Kinshasa (PIPKIN), Adèle Kayinda Mahina, avait aussi organisé en la Cathédrale du centenaire protestante, une journée de jeûne et prière pour soutenir les FARDC au front dans la partie Est du pays. Pour elle, malgré cette situation, les FARDC vaincront sous le leadership du Commandant suprême et chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, qui avait dédié le pays entre les mains de l’Eternel. Elle avait dans la foulée organisé une collecte de fonds en faveur des militaires et leurs familles.

Vichy Kitumwa, PCA du FPI: 53%

Vicky Katumua est une femme politique congolaise.
Enseignante de formation, elle a commencé son parcours professionnel dans le secteur de l’enseignement, et c’est son souci de la justice et de l’égalité qui l’ont conduit peu à peu jusqu’à la politique. Aujourd’hui, elle exerce les fonctions de présidente du conseil d’administration du Fonds de promotion de l’industrie –FPI-, au lendemain de sa nomination par le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi.

Michel Kanyimbu, Rapporteur du Sénat: 51%

Le rapporteur du Sénat Michel Kanyimbu a pris langue avec le président de l’assemblée provinciale du Lualaba pour évoquer les modalités pratiques en vue d’accorder un second mandat au président Felix Antoine Tshisekedi. « C’était une réunion familiale, j’ai été reçu comme fils de la maison. Nous avons fait le contour sur le fonctionnement de la province, et surtout pour travailler afin de faire élire notre candidat qui est le président de la République Félix Tshisekedi, avait-il fait savoir.

Sondage le Peuple d’abord




Kuakara, une nouvelle maladie sans traitement au Kasaï !

Les enfants et personnes âgées souffrent d’une nouvelle épidémie appelée Kuakara, dans la province du Kasaï. La ville de Tshikapa et territoire sont les plus touchés depuis plusieurs jours maintenant. Selon plusieurs sources et victimes, les enfants de moins de 13 ans et les personnes âgées sont les plus touchés, outre les femmes enceintes.

Cette épidémie est caractérisée par les boutons sur les corps qui finissent par se transformer à des trais qui font couler le sang complètement noir. Aucun traitement n’a encore été trouvé. D’ailleurs, le nom de Kuakara est totalement local, note un notable père de deux enfants touchés.
Cette épidémie résulte de l’utilisation des eaux polluées par les rivières Tshikapa et Kasaï par une société angolaise avec les produits tellement toxiques. Le gouvernement national n’a jamais réalisé les promesses faites de doter plusieurs villages et la ville des forages d’eau pour prévenir ces maladies infectieuses. Mme Eve Bazaiba, Vice-Premier ministre et ministre de l’Environnement et développement durable qui avait conduit la délégation gouvernementale, n’a jamais répondu à des exigences de la population, regrette les victimes sans appuis.


Le gouvernement provincial n’a pas encore officiellement déclaré l’existence d’une épidémie appelée Kuakara et aucune disposition n’a été prise. Les villages les plus touchés, c’est dans le secteur de Bapende, secteur de Tshikapa et Kasaï Kabambayi
Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa




Redynamisation de l’UDPS au Kasaï : Crispin Mukendi Bukasa fait un don de 9 motos aux sectionnaires de 9 secteurs du territoire de Tshikapa

Bientôt, le parti au pouvoir va lancer une campagne de redynamisation des cellules et villages du Territoire de Tshikapa. C’est l’avocat Crispin Mukendi Bukasa qui l’a dit lors de la remise des motos aux 9 chefs de ce parti dans les 9 secteurs de Tshikapa. Les bénéficiaires ont promis de faire un travail de qualité dans le souci d’implanter l’Udps dans chaque village, localités et fermes du territoire de Tshikapa Kamonia.

Soulignons que ce don est une œuvre privée du conseiller du chef de l’État au collège des Mines et énergie lors de son passage à Kamako, passant par Kamonia il y a quelques jours.
Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




Dévoilement de la mascotte: Sama Lukonde confirme l’engagement du Gouvernement à organiser les 9èmes jeux de la Francophonie

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama lukonde kyenge, a présidé la cérémonie du dévoilement de la mascotte des 9èmes jeux de la francophonie, ce jeudi 9 mars 2023, dans la salle des plénières de l’Assemblée nationale. En présence des membres du Gouvernement, des Ambassadeurs et chefs de mission diplomatique accrédités en RDC, de Madame la Représentante spéciale du Chef de l’État à la Francophonie, du directeur national des 9èmes jeux de la francophonie, et de plusieurs autres personnalités, il a été dévoilé le gagnant du concours lancé pour le choix de la mascotte.

Dans son allocution, le Chef du Gouvernement a confirmé l’engagement de la République démocratique du Congo à réussir l’organisation de ces 9èmes jeux de la Francophonie.
” Placé sous le haut patronage de Son Excellence Monsieur le Président de la République, chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, cette cérémonie de dévoilement de la mascotte des 9èmes jeux de la francophonie de Kinshasa est pleine de significations à divers titres. Elle confirme la détermination du Chef de l’État, maintes fois exprimée, de voir la République démocratique du Congo, plus grand pays de la Francophonie, par sa population, réussir les 9èmes de Kinshasa prévus ici à la fin du mois de juillet et début août 2023. Kinshasa, je rappelle, de facto la plus grande ville francophone au monde. Cette cérémonie, haute en couleurs, rappelle que les processus tant techniques qu’organisationnel est bel et bien engagé. Il est en marche. Et pour tout dire, il est en pleine action pour atteindre sa vitesse de croisière, pour atteindre sa matérialisation. Et tout ceci, bien sûr, sous la supervision attentive du Gouvernement de la République. Et donc, je viens confirmer et exprimer, ce jour, l’engagement de notre pays à tenir ces 9èmes jeux de la francophonie. Je puis vous assurer que le gouvernement ne ménage aucun effort. Il met tout en œuvre pour garantir, tant au niveau des infrastructures qu’au niveau organisationnel et culturel devant accueillir les athlètes et les artistes, que ceci se fasse à la hauteur de ce grand rendez-vous de Kinshasa et qui, je n’en doute pas, est voué à entrer dans les annales de la francophonie. Je profite de cette cérémonie pour réitérer notre appel à tous pays membres de la francophonie de confirmer notre participation. À cet effet, nous gardons bon espoir, parce que, jusqu’à ce jour, 4.350 athlètes et artistes des quatre coins du monde ont déjà confirmé leur participation”, a dit le Premier Ministre Sama Lukonde.
Concluant son propos, le premier des warriors a fait un clin d’œil à la mascotte des 9èmes de la Francophonie.
“Cette mascotte “masano”. Et nos félicitations encore à ce gagnant, qui est venu nous proposer ce qui va nous amener dans la communication en attendant et pendant ces jeux de la Francophonie. Plus qu’une symbolique, cette mascotte constitue désormais un vrai personnage. Et je voudrais nous inviter, comme ça l’a été fait par le ministre de la Communication, à en faire la promotion pour garantir cette animation avec tous nos jeunes de l’espace francophone lors de ce grand événement. Tous comme aux 9èmes jeux de la Francophonie, je souhaite bon vent à notre mascotte”, a-t-il lancé.
Le jeune Eale Bokongo est celui qui a remporté le concours de la mascotte. Ce dernier a reçu des mains du Premier Ministre un chèque de 10.180.000 francs congolais, équivalent de 5000 dollars américains.
Il sied de noter que la ville de Kinshasa, capitale de la RDC accueille du 28 juillet au 6 août 2023, les 9èmes jeux de la francophonie.
Plus des 4000 jeunes talents sportifs et artistes, issus des 88 États et Gouvernements de la francophonie, sont invités à participer à ce plus grand événement sportif et culturel de l’espace francophone dédié à la jeunesse.




Félix Tshisekedi assiste à la rentrée judiciaire de la Cour des comptes

C’est une première dans l’histoire de la Cour des Comptes en République Démocratique du Congo, en sa qualité de Magistrat Suprême, le Président de République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a assisté ce jeudi à une double audience solennelle consacrée à la rentrée judiciaire 2023-2024 et à la remise du rapport public de cette institution supérieure de contrôle des finances publiques pour les exercices 2020 et 2021.


Comme le veut la tradition en pareille circonstance, le Procureur général près cette Cour a prononcé une mercuriale sur un thème de la compétence de cette juridiction.
Étant donné que depuis sa création en 1987, la Cour des comptes de la RDC n’a jamais organisé de rentrée judiciaire, le Procureur général a consacré sa mercuriale à la présentation de cette haute institution, sa mission, son organisation et son apport au développement du pays.
Dans sa mercuriale, M. Salomon Tudieshe a rappelé que la préoccupation de soumettre la gestion des finances et des biens publics à une Cour des comptes remonte à l’époque du Congo-belge. En effet, a-t-il renseigné, l’article 13 de la charte coloniale confiait le contrôle des finances de la colonie du Congo belge à la Cour de comptes de la métropole.
Depuis l’indépendance, tous les régimes qui se sont succédé ont retenu cette haute institution de contrôle même si elle était dépourvue des moyens de sa politique.
“L’Histoire retiendra que la Cour des comptes de la République Démocratique du Congo a été réhabilitée, en tant qu’institution et dans l’accomplissement de sa mission, sous votre premier mandat comme Président de la République”, a témoigné le procureur général qui a remercié le Président de la République, Felix Tshisekedi, pour ses ordonnances du 22 juin 2022 par lesquelles le Chef de l’État a renouvelé le personnel de la Cour des comptes et doté cette Institution de toutes structures nécessaires à son fonctionnement optimal.

Pour sa part, le premier président de la Cour des Comptes, Jimmy Munganga Ngwaka, a consacré son exposé sur : « La répression des fautes de gestion : Moyen efficace de lutte contre la corruption en République Démocratique du Congo.”
Cette leçon publique est partie du postulat que “les fautes de gestion susceptibles d’être commises par les ordonnateurs, les comptables publics, les contrôleurs budgétaires dans la gestion du budget de l’Etat, des provinces et des entités territoriales décentralisées d’une part, et les responsables ou agents des entreprises publiques, des établissements ou organismes publics d’autre part, sont en réalité des réalisations en plein jour des actes de corruption qui se font la nuit, dans le noir, en cachette, à l’insu des oreilles et des yeux indiscrets, d’où la difficulté de leur capture.”
Monsieur Munganga s’est appesanti sur les fautes de gestion des finances publiques et exposé sur l’arsenal juridico-répressif qui permet à la Cour des comptes de traquer la corruption qui se fait la nuit, en anéantissant ses effets qui se manifestent le jour par des fautes de gestion.
L’objectif de son allocution a été de faire voir au Président de la République, Magistrat suprême, Garant de la Nation et du bon fonctionnement des Institutions de la République que, dans son combat acharné et déclaré contre la corruption et toutes les antivaleurs qui en sont les pendants naturels, il peut compter sur la Cour des comptes qu’il vient de réhabiliter à bon escient.
Au cours de cette cérémonie qui a marqué la rentrée judiciaire 2023 de la Cour des comptes , le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a reçu le rapport public de la Cour des comptes pour l’exercice 2020- 2021 .
Conformément à la constitution, des exemplaires de ce même rapport ont été remis aux présidents des deux chambres du parlement ainsi qu’au Premier Ministre, Jean Michel Sama Lukonde .




Pour mettre fin à la spéculation: La Banque centrale décide de publier régulièrement le taux de change par voie des médias

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde,  a présidé, ce jeudi 09 mars 2023, une réunion spéciale du Comité de Conjoncture Économique centrée sur la situation conjoncturelle liée à la dépréciation du franc congolais face au dollar américain sur le marché de change. De cette réunion, il a été préconisé des mesures pour apporter la bonne information et surtout mettre fin à la spéculation qui s’observe de plus en plus sur le marché de change. Cette spéculation engendre des conséquences néfastes sur les prix des biens de première nécessité sur le marché.
” Le Premier Ministre, a convoqué ce jour une réunion spéciale autour de la question du taux de change de franc congolais à la suite des différents rapports que nous recevons de l’opinion publique. Et à cet effet, pour fixer l’opinion, il y a lieu de dire que les chiffres nous communiqués par la Banque Centrale du Congo révèlent que le franc congolais est demeuré relativement stable au cours des dernières semaines. Et à la date d’aujourd’hui, le franc congolais s’est échangé à un taux de 2035 francs congolais contre 1 dollar américain sur le marché officiel. Au marché parallèle, on a observé des taux qui varient entre 2250 et 2350 franc congolais pour un dollar américain”, a fait savoir le Ministre d’État en charge du Budget, Aimé Boji.
Au sujet de la décélération de la formation des prix intérieurs, Aimé Boji Sangara a souligné que le pays fait face à une spéculation qui prend de plus en plus forme.
“Il y a lieu de noter aussi qu’au cours des dernières semaines, on note une décélération de la formation des prix intérieurs. Cette décélération s’observe notamment à Kinshasa, dans la capitale de notre pays, à Lubumbashi, et à Goma. Il va donc s’en dire que nous faisons face à une spéculation qui prend forme autour de la question du taux du franc congolais et c’est pourquoi certaines mesures ont été préconisées pour apporter la bonne information et mettre fin à cette spéculation. Il s’agit notamment de la publication au quotidien par la BCC des taux du franc congolais dans les médias locaux et ensuite la Banque Centrale va procéder à un suivi permanent des taux sur le marché parallèle”, a conclu le Ministre d’État, Ministre du Budget.
Intervenant à son tour, la Gouverneure de la Banque Centrale du Congo, Mme Malangu Kabedi, a soutenu que désormais les Congolais seront tenus informés régulièrement de taux de la parité du franc congolais par rapport aux autres devises notamment le dollar américain.

JMNK




Mme le Gouverneur de la BCC rassure : « Le taux de change est stable sur le marché »

La Banque centrale du Congo (BCC), à travers Mme le Gouverneur Malangu Kabedi Mbuyi rassure que le taux de change est stable. Elle l’a dit dans une interview réalisée après la séance de travail entre la BCC et la Confédération des cambistes manuels du Congo (COCAM). À l’en croire, il n’y a pas de quoi s’alarmer au regard des informations qui circulent dans les réseaux sociaux et qui ressemblent à un sabotage. La BCC a les instruments qu’il faut pour intervenir lorsqu’il le faut. Certes, il y a des fluctuations, mais elles sont marginales et sont normales par rapport au système de taux de change adopté par la Rdc. La n°1 de la BCC promet que d’autres mesures seront annoncées dans les prochains jours par rapport aux efforts qu’il faut mener pour stabiliser le taux de change.

Il a fallu avoir de la patience, pour réaliser la première interview avec Mme le Gouverneur de la Banque centrale du Congo (BCC), Malangu Kabedi Mbuyi. À force d’insister, la consœur Dada Shabani de la Rtnc a fait parler une femme dont les compétences ne sont plus à démontrer. Si Mme le Gouverneur était au Palais du peuple où a été organisé la commémoration de la journée internationale de la femme en présence du président de la République, à la Banque centrale du Congo se tenait une séance de travail avec la Confédération des cambistes manuels du Congo (COCAM).
« Le but de cette réunion, c’était une rencontre normale. La BCC a pris l’initiative de renforcer les liens avec les acteurs dans le secteur financier. Aujourd’hui, c’était la réunion avec les cambistes », a indiqué Mme Malangu Kabedi Mbuyi dans cette interview. Et de préciser que deux points importants intéressaient la Banque centrale. C’est d’entendre de leurs bouches, quel est le fonctionnement du marché des changes parallèle ? Quels sont les défis auxquels ils font face et en quoi la BCC peut les assister ? À côté de ces points, il y a un élément important qui est au cœur de leur métier, c’est le développement sur le taux de change.
Du rapport de la séance de travail avec la Confédération des cambistes manuels du Congo (COCAM), quelques recommandations ont été enregistrées. A en croire la n°1 de la BCC, ils ont surtout noté, au niveau du taux de change, que depuis quelques semaines, il y a une certaine stabilité. « Ils constatent même une rareté des Francs congolais sur le marché. Et ce message de stabilité du taux de change et le même que nous avons entendu lorsque nous avons eu des rencontres avec les banques », insiste-t-il.
Et de souligner qu’il n’y a pas de quoi s’alarmer. Et ce, en dépit des informations qui circulent sur les réseaux sociaux, et qui donnent le taux de change du Franc congolais qui ressemble à un sabotage par rapport à la valeur même de la monnaie. On parle de 250 Fc, de 260 Fc, alors que cela n’a rien à voir avec le taux qui se pratique sur le marché.

La BCC suit le développement du marché
Pour Mme le Gouverneur de la Banque centrale du Congo, il était important de nous rassurer que les informations que nous récoltons au jour le jour et qui nous montrent qu’il y a une certaine stabilité au cours de ces trois dernières semaines, sont correctes. On a invité les cambistes de différentes parties de la ville de Kinshasa dans le cadre de leur propre association et ils nous ont rassurés.
« Et moi aussi je voudrais rassurer tout le monde, que la BCC ne dort pas, elle suit au jour le jour tous les développements sur le marché financier en général et sur le marché du taux de change en particulier. La BCC a les instruments qu’il faut pour intervenir lorsqu’il le faut », précise-t-elle. C’est ainsi que lorsqu’on avait constaté des fluctuations importantes au mois de janvier, parce que l’offre était insuffisante, la BCC a mis à la disposition du marché 50 millions de dollars Us et par rapport aux informations qui continuent à nous parvenir d’une rareté de dollars sur le marché interbancaire, hier mardi, nous avons encore vendu 50 millions de dollars Us.
Et donc, nous constatons que le taux de change est stable sur le marché. Mme le Gouverneur reconnait quand même qu’il y a des fluctuations, mais elles sont marginales et sont normales par rapport au système de taux de change que nous avons dans notre pays. Elle promet que d’autres mesures seront annoncées dans les prochains jours par rapport à ce qu’il convient de faire pour la stabilité de notre taux de change.

Jean-Marie Nkambua




À Toronto : Henri Itoka invite les investisseurs canadiens à rejoindre la Rdc dans l’exécution du grand projet panafricain de l’industrie des batteries électriques

es opportunités qu’offre la République Démocratique du Congo dans différents domaines dont celui de l’industrie des batteries électriques et des Zones Économiques Spéciales (ZES) qui accordent les avantages fiscaux, parafiscaux et douaniers aux investisseurs ont été bien vendues à Toronto au Canada au 24ème petit déjeuner annuel de l’exploitation minière en Afrique par la délégation congolaise dépêchée par le ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya.

Du haut de la tribune de ce forum économique organisé par la chambre de commerce Canada-Afrique, Henri Itoka Bimbakila, Conseiller du ministre de l’industrie a au nom du Chef de l’État, Félix Tshisekedi et du Gouvernement, Jean-Michel Sama Lukonde invité les investisseurs canadiens et ceux venus d’autres continents de rejoindre la République Démocratique du Congo dans l’exécution du grand projet panafricain de l’industrie des batteries électriques, mais aussi investir dans les Zones économiques spéciales pour ainsi bénéficier des différentes facilités.
« Nous avons eu des échanges très nourris avec les différentes délégations qui sont venues dans le monde. La Rdc, c’est le pays solution. Il a été au carrefour de toutes les discussions et quand le problème de climat se pose, tous les yeux sont braqués vers la Rdc qui regorge des potentiels. Or la délégation congolaise a été reçue dans plusieurs salons où nous avons montré l’importance pour la Rdc de jouer son rôle catalyseur du développement de l’Afrique toute entière », a-t-il indiqué.
Et la présence des entreprises minières canadiennes et autres doit être renforcée dans les pays africains qui bénéficient déjà de l’expertise et de la technologie canadienne, a indiqué Paula Caldwell, cheffe de chambre de commerce Canada-Afrique
Signalons que le Directeur général du Conseil Congolais de la Batterie (CCB), Denis Lecouturier, le Coordonnateur de l’initiative pour la Transparence des Industries Extractives (ITIE /RDC), Jean-Jacques Kayembe, et les partenaires financiers dont Ecobank ont pris part à ce déjeuner d’affaires.

 




En séjour à Kananga : L’Assistant principal de Sama Lukonde vole au secours des malades dans les hôpitaux de la ville

L’Assistant principal du Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde, Isaac Bakajika Diyi, a visité, mercredi 08 mars 2023, des hôpitaux et centres de santé de la ville de Kananga, où il a posé des gestes de générosité en faveur de nombreuses personnes trouvées dans ces structures de soins de santé.


L’Assistant principal du Chef du Gouvernement a payé, au nom du Premier Ministre, Jean Michel Sama Lukonde Kyenge, les factures de maternité pour des dizaines de femmes.
Devant la presse, à l’issue de sa tournée, il n’a pas caché son émotion, face aux cas trouvés dans ces structures de soins de santé:
“Aujourd’hui, dans la ville de Kananga, nous avons voulu visiter quelques structures de santé. Nous avons commencé par l’hôpital général qui est le miroir en termes de structures de santé ici dans le Kasaï Central. L’objectif était d’abord de voir l’infrastructure, comment les malades sont reçus et comment ils sont traités.
Nous avons été frappés par deux cas : d’abord le cas d’une fille d’environ 15 ans qui a donné naissance. Vous le savez, aujourd’hui tout ce qu’il y a comme réglementation et protection de la jeune fille et de la femme, c’est des choses qu’on ne doit plus tolérer dans nos milieux. Il faut qu’il y ait la sensibilisation.
Un deuxième cas qui était le plus touchant, c’est celui de cette jeune fille de 12 ans qui a été violée dans son quartier, les bourreaux ont pris fuite. Après, au nom du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, nous avons voulu mener quelques petites actions sociales pour libérer, notamment les femmes qui ont accouché dans tous les hôpitaux que nous avons visités. Et aussi, prendre les besoins qui se présentent dans ces hôpitaux-là, afin que nous puissions arriver à trouver des solutions, au nom de Idéale Fondation, qui essaie tant soit peu, de soulager les problèmes que rencontre notre population.”

L’Assistant principal du Premier Ministre a choisi la date du 8 mars, qui est la journée internationale des droits de la femme pour visiter spécialement les femmes à la maternité. Isaac Bakajika Diyi explique le choix de cette journée en ces termes :
“Nous avons choisi le 8 mars parce que c’est le jour de la femme et la plupart des personnes que nous avons rencontrées et pour qui nous avons eu à poser ces actions sont des femmes. Nous n’avons pas voulu aller dans des manifestations grandioses, nous avons voulu fêter ce jour avec des femmes qui ont réellement besoin d’être assistées.”