Collusion M23/Rdf : la vraie mission est ailleurs

Le vendredi 24 mars 2023, les Fardc ont porté « à la connaissance de l’opinion tant nationale qu’internationale que les retraits des certaines localités annoncés avec pompe par la coalition M23/RDF ne constituent en réalité qu’une diversion».

Dans le communiqué qu’elles ont fait parvenir à l’Acp, elles ont relevé le discours contradictoire de cette « coalition» selon lequel « pendant que la communauté internationale, les organisations régionales et sous régionales attendent de l’armée rwandaise qui opère en RDC sous couvert du M23, le respect du cessez-le-feu et le retrait de ses supplétifs jusqu’au Mont Sabinyo, comme le prévoient les différents accords des Chefs d’Etats, les M23/RDF s’illustrent par des semblants de retrait».
L’armée gouvernementale a précisé que « Ces derniers s’illustrent par des communications préalablement rédigées avant chacun de leurs crimes et forfaits, attribuant aux FARDC les massacres des populations dont ils sont auteurs » et relevé que c’est un « modus operandi » visant à distraire l’opinion.
Les FARDC se disent prêtes ” à ne pas laisser perdurer cet état de chose dont la population congolaise est victime depuis plusieurs décennies», conclut l’armée.
Il est indiqué de rappeler que ce modus operandi, le M23 l’utilise depuis son apparition en 2012. Il consiste à prendre des engagements dont il impute aux autres la responsabilité de la non-tenue.
Pour ce faire, il crée la diversion en affaiblissant le camp adverse.
Exemple concret : la circulation d’un communiqué imputant au pouvoir congolais le non-respect des engagements conclus à Nairobi après avoir été défait en 2013 par les Fardc appuyées, à l’époque, par la Brigade d’intervention de la Monusco constituée exclusivement des troupes africaines (Tanzanie, Malawi et Afrique du Sud), avant d’être aspirée er avalée par la Mission onusienne.
Il y a lieu de relever qu’il n’y a jamais eu de déclaration conjointe signée par les deux parties.
En témoigne Thierry Vircoulon, à l’époque analyste à International Crisis Group.
« Pour commencer, on ne peut pas vraiment appeler cela un accord de paix. L’Ouganda […], la RDC et le M23 ont tous signé des documents individuels, mais aucun ne peut être appelé accord de paix et aucun ne porte la signature des trois parties impliquées dans le processus de négociation ougandais. Ces documents sont le résultat de la pression constatée par les partenaires internationaux sur le gouvernement congolais. Ce dernier a clairement dit qu’il ne voulait pas signer d”accord de paix’ avec le M23, mais en même temps, il était nécessaire de cloner les pourparlers en Ouganda et d’apporter une solution pour le M23 ».
Ainsi, chacun des protagonistes (Gouvernement et M.23) avait signé séparément des déclarations.
Dans la sienne intitulée « DÉCLARATION SUR LES ENGAGEMENTS DU MOUVEMENT DU 23 MARS AU TERME DU DIALOGUE DE KAMPALA » datée du 12 décembre 2013, voici les premiers engagements pris :
A propos de la « FIN DE RÉBELLION » : « Le M23 confirme qu’il renonce à sa rébellion ».
A propos de l’« AMNISTIE », il est clairement indiqué : « 2.1. Le M23 convient que pour bénéficier de l’amnistie, chaque membre du M23 devra personnellement s’engager par écrit à s’abstenir de manière permanente d’utiliser des armes ou de participer à un mouvement insurrectionnel pour assurer le succès de quelque revendication que ce soit » et « 2.2. Toute violation de cet engagement rendra automatiquement l’amnistie accordée nulle et non avenue, et privera celui qui aura commis cette violation du droit à toute future amnistie».
A propos de la « TRANSFORMATION DU M23 », il est également indiqué : « Les membres du M23 se réservent le droit de changer de dénomination et de se constituer en parti politique dans le respect de la Constitution et des lois de la RDC».
Question simple : de 2013 à 2023, combien sont-ils, les responsables militaires ou civils du M23 à avoir renoncé individuellement à la rébellion ? Aucun. Autre question simple : depuis 2013, pourquoi le M23 tarde-t-il à se transformer en parti politique ? Réponse : ce n’est pas dans son plan.
Il est plutôt facile de le constater : tous ces responsables sont demeurés solidaires en croyant qu’après Joseph Kabila, un autre devrait venir, et ce fut Félix Tshisekedi. Jamais deux sans trois, ils sont convaincus qu’après Félix Tshisekedi en 2023 ou en 2028, viendra un autre Président de la République qu’on entraînera dans le même schéma.
Aussi, pendant qu’ils s’emploient à convaincre l’opinion de l’impératif de l’intégration et de la sécurisation de la communauté identitaire comme solution idoine à leurs revendications, ils sont en réalité sur un autre schéma commencé avec l’Afdl en 1996-1997, relancé avec le Rcd en 1998 et rappelé avec le Cndp en 2008 et avec le M23 en 2012 et en 2022 : celui de la balkanisation du pays…
On ne se lassera jamais de le dire !
Omer Nsongo die Lema




Elections 2023 : Carole Agito s’enrôle et mobilise pour Fatshi

Loyale et face à son engagement politique aux côtés du président de la République, la Sénatrice Carole Agito a déployé ses ailes d’aigle depuis cet après-midi dans son Bas-Uélé natal pour un double objectif. Primo, accomplir un devoir civique selon l’appel de la Centrale électorale; secundo, rappeler l’engagement des filles et filles de la Grande Orientale, à porter Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo pour une victoire écrasante ouvrant la porte à un second mandat et lui offrir une majorité confortable et écrasante dans les institutions provinciales et nationales.

“Merci à tous pour votre soutien aux initiatives que je prends pour le bien-être des populations et à celui que vous accordez au Chef de l’Etat derrière qui, tous sommes alignés au nom de la Grande Orientale “, a-t-elle déclaré dans un meeting populaire au rond-point du cinquantenaire après son enrôlement.

Dans cette même logique, a-t-elle poursuivie, ” je demande à chaque citoyen de mettre à profit le temps qui reste pour accomplir ce que je viens de faire afin d’exercer notre pouvoir en décembre 2023 pour choisir notre candidat et nos députés pour une majorité confortable afin de mieux accompagner la vision du Président du président de la République “.

Cette démonstration de force porte les germes de la confirmation du leadership de la Sénatrice Carole Agito dans le Bas-Uélé et avec elle, la population a validé son choix d’accompagner le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi pour un second mandat.

Pour rappel, par le truchement de sa fondation, la Sénatrice Carole Agito a réussi d’enrôler derrière le Chef de l’Etat, l’ensemble de la population du Bas-Uélé à travers ses 6 territoires et des 3 autres provinces issues du démembrement de la grande province Orientale. Ici, la population est prête à confirmer la victoire de Félix-Antoine Tshisekedi en décembre 2023. Car pour elle, l’élection est déjà faite.




EPST : Aminata Namasia s’enquiert des conditions d’apprentissage des enfants qui étudient dans les écoles préfabriquées

Pas de repos pour la vice-ministre Aminata Namasia à l’absence de son titulaire en mission. Après avoir dirigé la réunion du Comité de Pilotage du Projet PERSE le mardi 28 mars dernier, l’infatigable Namasia a consacré sa journée du mercredi 29 mars à l’itinérance tel que décidé par le ministre Tony Mwaba Kazadi.

Une particularité pour ce mercredi, vérifier les conditions d’apprentissage des enfants qui étudient dans les écoles préfabriquées.
Le numéro 2 du ministère de l’Enseignement Primaire Secondaire et Technique a commencé son itinérance au Complexe scolaire Lumumba dans la commune de Limete dans la province éducationnelle du Mont Amba.
Sur place dans ce Complexe, la Vice-Ministre a été accueillie par une grande équipe composée notamment de madame la Proved, de l’IPP et le Diprocope de Mont Amba.
Après une poignée de main suivie d’une brève présentation, la Vice-Ministre s’est entretenu avec les autorités de la province éducationnelle question d’appréhender la situation.
C’est ici l’occasion pour Madame Astrid Nambuyi Proved de Mont Amba de faire le point sur le fonctionnement de ce complexe qui abrite trois écoles à savoir l’institut Lumumba 1, 2 et l’institut Limete.
Prenant la parole au nom de ses collègues préfets de ce complexe, Monsieur Fangofango Michel préfet de l’Institut Lumumba 1 a expliqué à l’autorité les problèmes qu’ils rencontrent, principalement le manque d’espace adéquat pour l’encadrement des élèves.
A son tour, Madame la Vice-Ministre a rassuré ces derniers de l’accompagnement du ministère pour palier à ces problèmes.
C’est après cet entretien que débute-la vite des classes pour voir dans quelles conditions ces élèves étudient.
L’étape de Lumumba finie, le cortège prend la direction de la commune de Kisenso où la deuxième autorité du ministère a prévu la visite de l’ITI Kitomesa.
Sur place, la Vice-Ministre a été accueillie par le Préfet de cette école avec toute son équipe. Avant de visiter les bureaux et salles de classes comme l’exige l’esprit des itinérances initiées.
Les élèves émus de joie ont remercié Madame le Vice-Ministre pour sa visite qui vient réconforter tous les élèves en général et les filles en particulier en ce mois de mars dédié aux droits de la femme.
Il sied de noter que nous sommes à la troisième semaine des itinérances de chaque mercredi instaurées dans le but de veiller sur les réformes menées dans le sous-secteur en particulier la gratuité de l’enseignement primaire public ainsi que les mesures d’appui à celle-ci




Les promesses non tenues du polisario aux victimes de violations des DH  

Six mois après que le « polisario » ait annoncé l’indemnisation des victimes de violations flagrantes des droits de l’homme, un groupe de militants a critiqué l’absence d’initiatives concrètes sur le terrain de la part des dirigeants séparatistes, n’y voyant là qu’un stratagème de plus de la part de ces derniers.

En effet, pour parvenir à leurs fins, ils utilisent tous les prétextes et recourent à tous les subterfuges possibles et imaginables. Ibrahim Ghali, le chef séparatiste, a prétendu la réconciliation avec les victimes de violations des droits de l’homme, pour obtenir un nouveau mandat face à la concurrence de ses adversaires.

Mais une fois placé à la tête du mouvement séparatiste il n’a pas tenu ses promesses de « campagne ». En effet, ce sont plus d’une dizaine d’associations regroupant des victimes des geôles du « polisario » qui ont nié avoir obtenu réparation pour les dommages causés dans les prisons des séparatistes dans le sud-ouest algérien à travers « une prétendue réconciliation ». Les comités de victimes ont dénoncé « l’absence de toutes conditions et éléments de règlement légal, voire coutumier des crimes atroces commis par le “Polisario” à l’encontre les victimes ».

Mohamed Salem Abdelfattah, chef de l’Observatoire sahraoui des médias et des droits de l’homme, a déclaré à Hespress à propos, « Ce que le front séparatiste a annoncé est loin des conditions et des éléments des expériences de justice transitionnelle, comme cela est internationalement reconnu ». Et Salem Abdelfattah d’ajouter, « le front a perpétué le phénomène de fuite en avant où les bourreaux sont honorés à travers de faux postes, tandis que les victimes passent illégalement à l’étranger pour se faire hospitaliser ».

Notre interlocuteur a expliqué que « le Polisario occulte les faits liés aux violations des droits de l’homme à l’opinion publique en l’absence d’un organisme indépendant qu’il se doit de désigner pour révéler la vérité ». Il a ajouté « Les violations flagrantes des droits de l’homme ne peuvent être traitées sans l’implication de l’Etat algérien, sur le territoire duquel ces violations ont eu lieu », soulignant que « l’armée algérienne est impliquée dans ce scandale des droits de l’homme ».

Le responsable de l’Observatoire sahraoui des médias et des droits de l’homme a conclu que « la reconnaissance des violations n’a été effective qu’à travers la pression des médias internationaux, populaires et des droits de l’homme, dans le cadre des poursuites intentées par les victimes devant les tribunaux internationaux, y compris les tribunaux espagnols ».

Pour sa part, Abdelfattah El Fathi, Directeur du Centre Stratégique sur le Sahara et l’Afrique, a déclaré quant à lui qu’« il n’y avait aucune indication objective pour que le front séparatiste puisse ouvrir une page nouvelle à des fins d’une réconciliation liée à ses violations flagrantes des droits de l’homme ».

El Fathi a poursuivi, « se lancer dans un tel processus inscrirait le mouvement comme responsable, et il devrait faire face, alors, à une demande populaire, régionale et internationale en matière de droits de l’homme. Ceci, d’autant plus que les séparatistes ont un long passé de répression, de meurtres, d’enlèvements, de détention et d’autres types de violations des droits de l’homme ».

Il a ajouté que « la question de l’indemnisation des personnes affectées par les violations dont elles ont été victimes dans les camps dirigés par le front sur le sol algérien, nécessite l’existence d’un cadre institutionnalisé d’une entité légitime, ou plutôt en coordination avec l’Etat sur le sol duquel ces violations ont été établies et le sont toujours au demeurant ».

Le front, selon Abdelfattah El Fathi, Directeur du Centre Stratégique sur le Sahara et l’Afrique « n’a plus de crédibilité et n’est pas indépendant. Il ne peut donc pas assumer une quelconque décision politique. Il reste toujours sous le joug du régime d’Alger dans son conflit régional avec le Maroc. Ces fausses promesses sont plus destinées à apaiser les protestations et les tensions populaires avant sa dernière Conférence », a confirmé le même chercheur.

El Fathi a déclaré que « le front a de tout temps fait régner l’obscurantisme politique et pratiqué le mensonge pour ne pas réparer les torts vis-à-vis des détenus sur la base de ce qu’il avait appelé l’année de la décision lors de la discussion du rapport du Secrétaire général des Nations Unies sur le Sahara pour l’année 2015. Aussi, aujourd’hui, il fait des promesses, juste pour apaiser les tensions populaires dans le cadre des préparatifs de sa conférence. »

fr.hespress.com




MAOMBI , PRIÈRE NON-STOP ET PROPHETIE AVEC LE PASTEUR FRANÇOIS MUTOMBO VH / Mercredi 29 /03/2023




Guy Loando et l’AFD renforcent leur collaboration sur plusieurs projets

Me Guy Londo Mboyo, ministre d’Etat, ministre de l’aménagement du territoire, a reçu une délégation de l’Agence Française de Développement (ADF), en présence de l’Ambassadeur de la République française en RDC, Bruno Aubert. La rencontre a permis à l’ADF de confirmer la priorité qu’elle donne à l’aménagement du territoire et d’annoncer sa volonté d’accroître la coopération avec le Ministère de l’aménagement du territoire.

M. Christian Yoka, Directeur de l’ADF en Afrique, et Mme Safia Ibrahim-Nette, Directrice AFD en RDC, étaient également présents pour discuter des enjeux de l’urbanisation et de la formation des administrateurs urbains. Les parties ont confirmé leur collaboration sur plusieurs projets en cours d’étude en RDC, dont une ville intelligente et durable, pilote à Kinshasa.

Le ministre d’Etat a salué la qualité des relations entre la France et la RDC et a exprimé sa gratitude pour le soutien apporté par le président Emmanuel Macron. Il a également souligné la qualité de la délégation française.

La loi sur l’aménagement du territoire ayant été reconnue constitutionnelle, elle sera votée dans un délai de trois mois, ce qui donnera au ministère un cadre législatif pour orchestrer l’aménagement du territoire. Plusieurs projets en RDC pourront bénéficier du soutien de l’ADF, notamment la mobilité sur le fleuve Congo, visant à désengorger les routes menant à l’aéroport international de Kinshasa et à la Zone Economique Spéciale de Maluku.

La RDC et l’ADF ont convenu de poursuivre leur collaboration pour des projets futurs, offrant des opportunités pour le développement du pays et de la région.




Kasaï : L’opération Kanzala lancé ce mardi à Tshikapa par les autorités de la commune

Tous les marchands ambulants qui étalent le long du boulevard Lumumba dans la commune miroir de Kanzala à Tshikapa sont obligés de libérer les espaces publics de l’Etat sur ce boulevard Lumumba, Likasi, de la ferme et d’autres avenues sans explication et dans toutes urgences.

C’est la bourgmestre de Kanzala, accompagné de son adjoint qui a lancé l’opération ce mardi 28 mars 2023. Esther Badibiabia et son adjoint cherche à rendre la circulation fluide sur cette artère, mais les avenues propres et donner une vrai image d’une commune miroir, mais aussi lutter contre les embouteillages dans plusieurs coins chaux de la commune de Kanzala.

Pour la journée de ces mardi, les commerçants des marchés pirates ont vu leurs activités être paralysées par ces autorités communales qui cherchent à tout prix que ces derniers regagnent les grands marchés de Kamalenga sans explication

Cette opération intervient 30 jours après la campagne de sensibilisation dans les radios via les communiqués d’alerte et les réunions avec ces opérateurs économiques vendant le long de boulevard Lumumba, Likasi et de la ferme, allant de l’Afriland First Banc jusqu’au ravin Sokagik, en passant par le tronçon Papa Yaya et l’entrée du stade Kanzala.

Plusieurs biens ont été confisqués selon le constat fait par notre reporter dans la zone. Selon Jean-Luc Tshipamva, le bourgmestre adjoint, tous les marchands doivent se rendre au marché Kamalenga et au mini-marché qui se trouve en face de l’église Kimbanguiste dans la commune de Kanzala.

Mme Esther Badibiabia, la bourgmestre, fait savoir que ces commerçants ont été alertés un mois avant le lancement de l’opération dénommée « Kanzala Bukalanga » en Tshiluba (Kanzala propreté), et de la lutte contre les marchés pirates ainsi que la nuisance.

Le même jour, Mme Esther Badibiabia a rappelé l’interdiction des tapages nocturnes et diurnes sur l’ensemble de la commune de Kanzala. Dans son message, elle interdit encore les bruits des écoles et universités durant les heures de cours, promettant ainsi des sanctions contre les têtus.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




René Kabala : « La Rdc se trouve au cœur des thématiques débattues lors des travaux du 3ème FMDH23»

La situation des droits de l’homme de la République Démocratique du Congo est de plus en plus présentée dans des sommets au niveau international, a relevé, mardi, le directeur de cabinet du président de la Commission Nationale des Droits de l’homme (CNDH), René Kabala, dans la restitution de son dernier séjour à Buenos-Aires, capitale de l’Argentine.

“Je viens de participer du 20 au 24 mars 2023 au 3ème Forum mondial sur les droits de l’homme (FMDH23), où la RDC, à travers son organe technique en cette matière, était invitée pour éclairer la communauté internationale sur la situation des Droits de l’Homme dans notre pays. Le Président de la CNDH, M. Paul Nsapu Mukulu, participe, depuis lundi 27 mars dernier à la 52ème session des droits de l’homme à Genève, en Suisse”, déclare le Dircab René Kabala, après son retour au pays.

“Dans toutes ces rencontres internationales, c’est pour présenter la vraie situation des droits de l’homme du pays, surtout que l’actuel Président de la CNDH tient aussi à l’approche diplomatique des droits de l’homme”, a-t-il poursuivi.

Les participants aux travaux du FMDH23 ont planché sur trois thématiques, à savoir: La justice transitionnelle ; Le changement climatique; et la Migration et la mobilité.

C’est ainsi qu’il est revenu sur son séjour de travail à Buenos-Aires. “J’étais parti représenter le Président de la CNDH de la Rdc à ces travaux qui ont permis de débattre sur plusieurs thématiques dont la justice transitionnelle, le changement climatique, les migrations et la mobilité, la traite d’êtres humains, etc.”, a fait savoir le Dircab René Kabala.

Pour René Kabala, la Rdc se retrouve au cœur des thématiques débattues dans ces travaux.

“L’histoire récente de la RDC est jalonnée des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité, ainsi que des violations massives des droits de l’homme qui exigent l’instauration d’une justice transitionnelle qui est fondée sur 4 piliers: la vérité, la justice, la réparation et la garantie de non répétition”, a-t-il martelé.

Une autre thématique qui a plus concerné la RDC est celle de changement climatique, car les nations pollueuses doivent être interpellées sur leur responsabilité puisque les générations futures ont droit d’hériter une terre vivable, un environnement sain.

Pour la RDC qui est un pays solution, avec sa forêt, elle s’impose aujourd’hui comme le poumon du monde”, a soutenu le Dircab René Kabala. S’agissant de la 3e thématique sur la Migration et la mobilité, la guerre d’agression par le Rwanda, à travers son proxy RDF-M23, a entraîné des déplacements massifs des populations à l’intérieur de la RDC, populations forcées à quitter leurs domiciles.

La troisième édition du Forum mondial sur les droits de l’homme fait suite à deux dernières éditions, tenues en 2013 et en 2014, organisées respectivement au Brésil et au Maroc. Pour ce FMDH 23, il y a eu plus de 20.000 participants, en provenance de 98 pays. La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du Président argentin actuel et d’anciens Chefs d’État et de Gouvernement d’Amérique Latine et d’Espagne.




EPST: les syndicalistes au ministère du Budget pour tirer au clair les dossiers des primes dont la dénommée Equity

Les dossiers liés au paiement de la prime de la gratuité et celle d’encadrement de la paie, a une fois de plus fait objet d’une réunion entre le Caucus des syndicalistes et les autorités du ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, ce lundi 27 mars 2023.

Dans la salle des réunions du Cabinet de l’EPST, les syndicalistes étaient venus évaluer l’avancement de ces dossiers qui avaient occasionné, dans un passé récent, des mouvements de soulèvement des bénéficiaires de ces primes.

A l’absence du professeur Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’EPST en mission à Londres, Mme le Vice-ministre de l’EPST Aminata Namasia Bazego a dirigé de main de maître cette rencontre dans un climat de paix et de convivialité.

Sous sa supervision, accompagnée notamment du Secrétaire général a.i à l’EPST, de la DINACOPE et d’autres Experts de l’EPST, il a été rappelé aux syndicalistes que lors de la dernière réunion, le Sous-gestionnaire des crédits au Secrétariat général avait indiqué qu’au 31 décembre 2022, le ministère des Finances avait annulé toutes les demandes de paiement car arrivées à la date échue. S’y référant, le ministre Tony Mwaba avait alors réengagé les dossiers pour leur exécution. Il se trouve alors que jusqu’à présent, le dossier traîne au niveau du ministère du Budget.

Les syndicalistes étant éclairés de la situation, ont décidé de se rendre au Budget pour tirer les choses au clair. Une démarche approuvée par Mme le Vice-ministre Aminata Namasia qui s’est décidée d’accompagner la délégation.

Sur place au ministère du Budget, les syndicalistes se sont rendus seuls de la réalité. Le Vice-ministre au budget, assumant l’intérim du ministre d’Etat en mission, n’a pas hésité un seul instant pour signer les états liquidatifs de la prime d’encadrement de la paie par les Services centraux de l’administration qui ont été directement envoyés au Ministère des Finances pour les mois de novembre et de décembre 2022. En ce qui concerne les trois premiers mois de l’année, le dossier est sur la table de Mme le Vice-ministre pour un nouvel engagement.




Dossier Jules Alingete Key Keita : l’union sacrée jugée en procédure de flagrance

L’honorable Daniel Safu, Daniel Milshake, ignorait peut-être tous des ramifications de sa sainte vérité, révélatrice de la collusion qui existerait entre l’union sacrée et monsieur Keïta. Son action héroïque met désormais tout en lumière.

1. Tous les sbires de l’union sacrée sont montés au créneau pour tenter de sauver, mais sans succès, le soldat KEÏTA. On dit généralement que l’intérêt commande l’action. Qui peut encore douter des dénonciations faites par des congolais sur l’igf, devenue visiblement sous l’ère Fatshi une machine du pouvoir pour traquer des honnêtes opposants ? Il faut sauver le soldat Keïta à tout prix et ceux qui affichent un tel soutien sont tous de l’union sacrée. Comme quoi, les ténèbres ne régneront pas toujours

2. Pourtant, personne ne conteste à l’inspecteur en chef de l’igf son appartenance à la nationalité congolaise. Avoir une maman congolaise lui permet de jouir pleinement de la nationalité congolaise d’origine. Il peut donc postuler à la présidentielle. Mais pourquoi observe-t-on un agacement avec la révélation de l’honorable Daniel Safu, Daniel gaufre liégeoise ?

3. Plus flagrant encore, le changement d’informations sur Wikipédia, au moment où le dossier fait l’actualité.* Comme pour nos léopards qui ont marqué le 28 mars 2023 à l’heure de Kinshasa et que la Mauritanie a égalisé le 29 du même mois et de la même année toujours à l’heure de Kinshasa, lors d’un même matche, monsieur Jules Alingete Key Keita vu sur Wikipédia le 27 mars 2023 est transformé en Jules Alingete Key le 28 mars de la même année sur le même Wikipédia. Une magie que les sbires de l’union sacrée (et eux seuls) tentent de défendre. L’intérêt commande l’action et je ne le dirai pas assez. Passons.

Les faits coulent de source : l’union sacrée et l’inspecteur en chef des finances mènent le même front contre l’honorable Daniel SAFU, Daniel chicorée. Une telle déduction découle de ce que l’on observe.

Dès lors que les congolais ont la capture d’écran de Wikipédia sur monsieur KEÏTA du 27 mars 2023 et celle du 28 mars 2023, sachant que le même nom est repris dans deux ordonnances présidentielles, à quoi aurait servi ce tour de passe-passe ? *Dans l’équipe que la Mauritanie a alignée contre la RDC, n’avons-nous pas trouvé des Keïta qui ont bien joué dans l’effectif de la Mauritanie ? Ce précieux nom n’est pas à diffamer.

Pour finir, je cherche l’ordonnance de Fatshi qui a nommé monsieur Jules Alingete. J’ai comme impression que le nom Keïta n’y figure pas. Qu’une gentille personne m’aide à la retrouver svp.

La maladie ne se guérit point en prononçant le nom du médicament, mais en prenant le médicament, déclara Thomas SANKARA. Pour nous guérir de Noël TSHANI, pourquoi ne pas consommer Keïta ? Avançons

L’archange Papy TAMBA,

Le Papy le plus célèbre de la RDC