PROJET D’AUTONOMISATION DES FEMMES ENTREPRENEURES ET MISE A NIVEAU DES PME POUR LA TRANSFORMATION ECONOMIQUE ET L’EMPLOI  « TRANSFORME-RDC »

REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO     

 MINISTERE DE L’ENTREPRENEURIAT, DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES

Unité de Coordination du Projet

PROJET D’AUTONOMISATION DES FEMMES ENTREPRENEURES ET MISE A NIVEAU DES PME POUR LA TRANSFORMATION ECONOMIQUE ET L’EMPLOI 

« TRANSFORME-RDC »

AVIS DE SOLLICITATION DE MANIFESTATION D’INTERET

EN VUE DE LA CONSTITUTION D’UNE BASE DES DONNÉES DES RESSOURCES HUMAINES POUR CERTAINS POSTES VACANTS DE L’UCP-TRANSFORME.

                                        AMI n°015/UCP-TRANSFORME /PM/2023

Dans le cadre de sa stratégie nationale de développement des PME, le Gouvernement de la RDC a demandé et obtenu de l’Association Internationale de Développement (IDA) un prêt et un don pour financer le Projet « d’Autonomisation des Femmes Entrepreneures et Mise à Niveau des PME pour la Transformation Economique et L’Emploi « TRANSFORME-DRC » (P179176). L’objectif de développement de ce projet est d’améliorer la croissance et la création d’emplois des MPME nouvelles et existantes, en particulier celles appartenant à des femmes, dans certaines zones géographiques. Le projet devrait permettre d’atteindre l’objectif de développement en s’attaquant à trois contraintes critiques pour les emplois du secteur privé et la transformation économique : (i) les capacités des entreprises ; (ii) l’accès au financement ; et (iii) l’environnement des entreprises.

 

L’UCP-TRANSFORME envisage de constituer une base de données des ressources humaines pour les postes ci-après :

 

Chef d’Antenne pour les villes de Bunia, Mbuji-Mayi et Bukavu ;

Chargé d’Administration et des finances pour les bureaux d’antenne de Mbuji-Mayi, Kananga, Bunia et Bukavu ;

Assistant en sauvegarde environnementale et sociale pour les antennes de Kinshasa, Goma, et Kananga ; et

Assistant en Suivi-Evaluation pour les villes de Kinshasa, Goma, et Kananga.

 

L’UCP-TRANSFORME invite les personnes intéressées à manifester leur intérêt à occuper les postes susmentionnés. Elles doivent fournir des informations démontrant qu’ils possèdent les qualifications requises et une expérience pertinente pour l’exécution des services liés aux postes choisis, et aussi préciser les villes pour lesquelles ils souhaitent candidater. Les termes de références de ces différents postes peuvent être consultés sur le site web : « padmpme.cd ».

 

Les documents suivants devront être joints à la candidature :

Un CV avec trois personnes de référence ; et

Une lettre de motivation avec une page maximum.

 

Les candidatures féminines sont vivement encouragées.

 

La date limite de dépôt des manifestations d’intérêt écrites ,en langue française, est fixée au plus tard mercredi 04 avril 2023, et elles doivent être déposées à l’adresse ci-dessous, par courrier physique ou par courrier électronique (e-mail), et porter clairement la mention ci-dessous : AMI n°015/UCP- TRANSFORME/PM/RDC/2023 « CONSTITUTION D’UNE BASE DES DONNEES DES RESSOURCES HUMAINES POUR L’UCP-TRANSFORME ».

A l’attention : Monsieur le Coordonnateur National du Projet TRANSFORME

Unité de Coordination du Projet d’Appui au Développement des Micro, Petites et Moyennes Entreprises,

« UCP/PADMPME »

Sise, Avenue Lemarinel n°9-11, (en face du Collège Boboto), 

Téléphone (+243) 81 87 24 937

Email : transforme@ transforme.cd ; cpm@transforme.cd.

République Démocratique du Congo




Assemblée nationale: La loi sur la « congolité » ajoutée au calendrier de la session de mars

Les députés nationaux ont été convoqués, ce mardi 21 mars 2023, à la deuxième plénière de la session ordinaire de mars 2023. Laquelle a été consacrée à l’examen et adoption du projet de calendrier des travaux de la session ordinaire de mars 2023 et à la répartition des matières en commissions, selon le communiqué émis le dimanche 19 mars 2023 par le député national Joseph Lembi Libula.

Dans sa communication à la plénière, le speaker de la Chambre basse du Parlement a porté à la connaissance des députés nationaux qu’au cours de cette session, lors du contrôle parlementaire, la représentation nationale va auditer tous les contrats miniers conclus avec les partenaires dont le contrat chinois qui a privé à l’Etat congolais des recettes substantielles et nécessaires à son développement.

Pour lui, « un contrat ne profite pas à la République est léonin. Il doit être revisité ». A scruter le document mis à la disposition des élus du peuple, on y découvre que le projet de calendrier prévoit deux types de matières dont les matières non législatives et législatives.

Au chapitre des matières non législatives, le projet de calendrier prévoit 8 matières, entre autres, l’examen des rapports annuels d’activités de la CENI, CNDH-RDC, CSAC ainsi que le rapport-synthèse des rapports des vacances parlementaires pour la période du 16 décembre 2022 au 14 mars 2023.

Les matières législatives se répartissent en textes de lois transmis au Sénat pour examen en seconde lecture – 4 matières- dont le projet de loi autorisant la ratification du Protocole à la Charte africaine des Droits de l’Homme et des Peuples relatif aux droits des personnes handicapées en Afrique ; les propositions de lois portant création, organisation et fonctionnement de l’Agence nationale de lutte contre la corruption et l’Ordre des ingénieurs agronomes en RDC, etc.

Il y a une loi qui a été renvoyée par le président de la République pour nouvelle délibération il s’agit de la loi modifiant et complétant l’Ordonnance-loi portant création de la Taxe sur la promotion de l’Industrie.

A ceci s’ajoutent 53 projets et propositions de lois font le stock d’arriérés législatifs. En outre, le projet de calendrier a inscrit à cette session 14 nouvelles matières dont la loi portant répartition des sièges par circonscription pour les élections législatives nationales, provinciales, municipales et locales ; le projet de loi portant ratification de l’ordonnance-loi n°23/009 du 10 mars 2023 fixant les modalités d’exercice de la liberté de presse, la liberté d’information et d’émission, par la radio, la télévision, la presse écrite et tout autre moyen de communication en RDC ; proposition de loi portant prévention de la drépanocytose et protection de personnes vivant avec la drépanocytose, etc.

Avec débat nourri, le projet de calendrier a été adopté par la plénière moyennant amendements et les matières réparties en commissions parlementaires permanentes. Par ailleurs la loi sur la congolité sera ajoutée au calendrier de la session. Pour ce faire, le président de l’Assemblée nationale a demandé au député national Nsingi Pululu de déposer l’accusé de réception de dépôt de cette proposition de loi initiée par l’opérateur politique Noël Tshiani Mwadiamvita et adossée par le député national Pitshou Pululu Cerveau.

JMNK




Ministère des Affaires Étrangères: Le VPM Lutundula condamne les dérapages occasionnés par des agents non encore mécanisés

Le Ministère des Affaires Étrangères, de la Coopération Internationale et de la Francophonie de la République Démocratique du Congo informe l’opinion nationale que, contrairement à certaines rumeurs entretenues par des personnes de mauvaise foi et relayées notamment à travers les réseaux sociaux.

En effet, selon M. Alain Tshibanda Ngoy, Conseiller en communication et porte-parole du Ministère des Affaires étrangères et Francophonie, la tension qui a régné ce lundi 27 et mardi 28 mars 2023 au sein du Ministère des Affaires Étrangères est due à un mouvement de protestation des agents engagés depuis plus de cinq ans et non encore mécanisés, héritage douloureux légué au pouvoir actuel, qui réclament au Gouvernement de la République la régularisation de leur situation professionnelle.

En mission de service depuis le dimanche dernier à Lusaka (Zambie), le le Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires Étrangères, informé sur ces revendications, particulièrement les incidents survenus lors de l’arrivée du Premier Ministre, pour présider la cérémonie de signature de l’Accord-cadre pour le lancement de l’étude de préfaisabilité de la Zone Économique Spéciale dédiée au projet de chaîne de valeur des batteries et des véhicules électriques en RDC, a déploré et condamné avec fermeté ces dérapages et a instruit le Secrétaire général aux Affaires Étrangères d’ouvrir une action disciplinaire.

A en croire le même communiqué de presse, le Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires Étrangères s’est entretenu cet avant-midi par appel vidéo avec les délégués de ces agents, et tout en comprenant leurs revendications légitimes, leur a demandé de reprendre le travail et d’attendre son retour à Kinshasa pour poursuivre les discussions lancées dans le sens souhaité par toutes les parties, afin de faire aboutir les efforts déjà entrepris depuis son arrivée à la tête du Ministère, pour résoudre ce problème.

À cet effet, il a renouvelé aux agents sa ferme détermination de parvenir, en collaboration avec ses collègues du Gouvernement concernés et sous l’autorité du Premier Ministre, à une solution satisfaisante.

JMNK




La France bailleur de fonds du terrorisme au Sahel 

C’est un secret de Polichinelle, des groupes terroristes qui opèrent dans le Sahel bénéficient de toute évidence d’un soutien de la France. Nonobstant, la fourniture d’armes ou de matériel militaire, il est un autre soutien, indirect celui-là, et qui se traduit par les rançons que paye l’Hexagone à des preneurs d’otages au Sahel.

Comme dirait l’autre, pour le barbu du coin, c’est facile, pas cher, et ça peut rapporter gros. Tenez par exemple l’otage français, le journaliste Olivier Dubois enlevé de son domicile près de Gao au printemps 2021 au Mali de son plein gré et non à “l’encontre”, contre une promesse d’interview à un chef d’al-Qaïda au Sahel. Un enlèvement « prêt à l’emploi » si l’on peut oser.

Aussi on peut dire que les perspectives pour la France de mettre fin aux enlèvements dans un Sahel fragmenté et miné par le terrorisme et l’extrémisme religieux, ne se traduit malheureusement, que par le paiement de rançons à tout va. Dès lors, les prises d’otages seraient devenues la principale source de financement des réseaux terroristes. Cette mansuétude on la perçoit à travers la libération dernièrement, de ce “dernier” otage français dans le monde qu’est notre confrère Olivier Dubois, et ce, après près de deux ans de captivité.

L’opération aurait rapporté entre 12, 13 ou 15 millions d’euros, c’est selon, pour l’extrémisme islamiste. Et il n’y a pas que les groupes terroristes qui en tirent des avantages. Les intermédiaires qui négocient sont aussi concernés. Joli pactole pour un groupe terroriste pour se procurer armes et munitions et recruter des extrémistes en herbe en mal de terrorisme dans ces contrées. Pour la circonstance, c’est le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM ou JNIM en arabe) de l’émir Iyad Ag Ghali, un groupe terroriste très puissant qui en profite. Et ce, au grand dam de son rival, le Groupe Etat islamique au Grand Sahara (EIGS) qui lui livre une féroce concurrence. Gageons qu’à ce prix la chasse aux otages est lancée.

Voyons-là une preuve supplémentaire d’une connivence entre la France et le terrorisme. Pour la libération de Dubois, il a été délivré et héliporté depuis Gao où il était détenu, jusqu’à Niamey. C’est dire encore que c’est la mutualisation d’efforts complices qui ont produit ce résultat. La France est en train de jeter son statut de pays des droits de l’homme pour celui d’Etat voyou et principal bailleur de fonds au terrorisme dans le Sahel. Mais la réputation de la France n’est plus à faire en tant que pays pourvoyeur de fonds au terrorisme.

Selon le New York Times, naguère, l’Hexagone passe pour être un champion du paiement des rançons à al-Qaïda. Entre 2008 et 2014, la somme versée par Paris à différents groupes terroristes en guise de rançons était estimée à 58 millions d’euros. Dans l’affaire, le gouvernement français a toujours nié négocier avec les terroristes-kidnappeurs, encore moins verser une quelconque rançon.

Au Mali, comme ses voisins le Niger et le Burkina Faso, les attaques djihadistes sont récurrentes et plus particulièrement dans la zone dite des « trois frontières », où se rencontrent sans délimitation physique les territoires du Mali, du Burkina Faso et du Niger. Les enlèvements y sont l’un des graves dangers encourus par les journalistes et les humanitaires, locaux comme étrangers. De nombreuses ambassades déconseillent fortement au demeurant, la circulation de leurs ressortissants dans ces pays.

La France s’est retirée de deux de ces Etats, le Mali et le Burkina Faso, poussée à la porte en cela par Wagner, mais également une volonté populaire de plus en plus hostile qui leur reprochait la militarisation de leur pays par une force dont le comportement s’apparentait à celui du colonialisme en territoire conquis. D’où, le dégage France !

fr.hespress.com




Manifestations en France : un test pour l’engagement du gouvernement envers les droits humains

Depuis janvier 2023, des millions de personnes manifestent pacifiquement en France contre une réforme des retraites qui repousse de deux ans l’âge de départ à la retraite, le portant à 64 ans.

La semaine dernière, alors que le président Emmanuel Macron semblait ne pas être en mesure de réunir les voix nécessaires à l’adoption du projet à l’Assemblée nationale, la Première ministre a invoqué l’article 49-3 de la constitution pour contourner le vote. Cette décision a suscité la colère des manifestants et provoqué de violents affrontements entre certains d’entre eux et la police.

De nombreuses vidéos, photos et témoignages circulant sur les réseaux sociaux et les médias traditionnels suggèrent que la police a eu recours à une réponse apparemment excessive, disproportionnée et indiscriminée.

Associations et organismes indépendants de défense des droits, dont la Commission nationale consultative des droits de l’homme, ont critiqué la police française pour son usage excessif de la force et des arrestations préventives qui pourraient s’apparenter à une privation arbitraire de liberté. Le 21 mars, la Défenseure des droits a noté que « cette pratique peut induire un risque de recourir à des mesures privatives de liberté de manière disproportionnée et de favoriser les tensions. » Selon Reporters sans frontières, « plusieurs journalistes clairement identifiables ont été agressés par des forces de l’ordre alors qu’ils couvraient des manifestations contre » la réforme des retraites.

Le 20 mars, le rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits à la liberté de réunion pacifique et d’association a averti les autorités françaises que « les manifestations pacifiques sont un droit fondamental que les autorités doivent garantir et protéger. Les agents des forces de l’ordre doivent les faciliter et éviter tout usage excessive de la force. »

L’usage excessif de la force par la police lors de manifestations n’est pas nouveau en France. En décembre 2018, Human Rights Watch avait documenté des blessures causées par des armes de la police lors des mobilisations des « gilets jaunes » et de manifestations étudiantes, notamment des personnes dont les membres ont été brûlés ou mutilés par l’utilisation présumée de grenades lacrymogènes instantanées. Nous avions également recensé les cas de personnes blessées par des balles en caoutchouc, ainsi qu’une utilisation disproportionnée de gaz lacrymogène et de grenades de désencerclement.

Alors que les manifestations se poursuivent, les autorités françaises doivent respecter les droits des manifestants, vérifier que les tactiques policières sont nécessaires et proportionnées, enquêter sur les allégations d’usage excessif de la force et demander des comptes aux agents de police responsables d’abus. Elles doivent s’assurer que, lors des manifestations, les forces de l’ordre ne recourent à la force qu’en cas de stricte nécessité, conformément aux normes internationales.

Le gouvernement d’Emmanuel Macron doit démontrer son attachement aux droits à la liberté d’expression et de réunion, dont celui de manifester pacifiquement.

www.hrw.org




Ce qu’il faut savoir sur la finale du Championnat Africain de Football Scolaire de la CAF 

La finale continentale du Championnat Africain de Football Scolaire de la CAF monopolisera l’attention à Durban, en Afrique du Sud, du 5 au 8 avril. Les meilleures équipes des six zones de la Confédération Africaine de Football s’affronteront avec pour objectif commun de décrocher la couronne des champions sur le continent.

Ce sera surtout une célébration pour le football scolaire sur le continent et une chance pour les jeunes joueurs âgés de 12 à 15 ans de vivre des moments dont ils se souviendront toute leur vie. Il y aura une compétition chez les garçons et une chez les filles. Sept formations sont regroupées au sein du tableau masculin et féminin avec des équipes venant de chacune des six zones. Une place supplémentaire est accordée à l’hôte de la compétition, à savoir la South African Football Association (SAFA).

Les équipes de la SAFA ayant toutes deux passées l’étape des qualifications régionales à travers la COSAFA, les places supplémentaires vont de ce fait aux finalistes de préliminaires. Examinons de plus près comment fonctionnent les finales continentales.

Compétition féminine

Les qualifiées

Ecole Omar Ibn Khatab (Morocco), Scan Aid (The Gambia), CEG Colby (Benin), CEG Mfilou (Congo-Brazzaville), Fountain Gate Dodoma Secondary School (Tanzania), Anse Boileau (Seychelles), Edendale Technical High School (South Africa).

Les groupes

Les équipes seront réparties en deux poules, le groupe A et le groupe B. Edendale Technical sera la tête de série du groupe A. Cette poule contient trois formations.

Les équipes s’affronteront dans une ligue simple, les deux meilleures équipes de chaque groupe se qualifiant pour les demi-finales. Le premier du groupe A affrontera le deuxième du groupe B dans le dernier carré, et vice-versa. Les vainqueurs de ces demi-finales se rencontreront en finale, tandis que les perdants joueront la petite finale.

Le programme

Le tirage au sort n’a pas encore été effectué. Toutefois, les rencontres se joueront toutes au stade King Zwelithini à Umlazi, au sud de Durban. Les noms des équipes seront connus lors du tirage au sort. En attendant, voilà à quoi ressemblera le programme. Heure locale (GMT+2).

5 avril, 2023

08h00: Edendale Technical vs A2

09h00: B1 vs B2

10h00: A3 vs Edendale Technical

11h00: B3 vs B4

12h00: B2 vs B3

13h00: A2 vs A3

14h00: B4 vs B1

6 avril, 2023

08h30: B1 vs B3

08h30: B4 vs B2

11h00: Vainqueur Groupe A vs Deuxième du Groupe B

11h00: Vainqueur Groupe B vs Deuxième Groupe A

8 avril, 2023 (7 avril – Jour de repos)

09h00: Perdant demi-finale 1 vs Perdant demi-finale 2

10h00: Vainqueur demi-finale 1 vs Vainqueur demi-finale 2

Le prix

La Fondation Motsepe a fait un don s’élevant à 10 millions de dollars pour le premier Championnat Africain de Football Scolaire de la CAF. La répartition des prix pour la compétition est comme suite :

Vainqueurs : 300 000 USD

Finalistes : 200 000 USD

Troisième place : 150 000 USD

Compétition masculine

Les qualifiés

CEG Sainte Rita (Benin)

Clapham High School (South Africa)

Complexe Scolaire Ben Sekou Sylla (Guinea)

CS Horizon of Bukavu (DR Congo)

Ecole Hedi Ayadi (Tunisia)

Royal Giants High School (Uganda)

Salima Secondary School (Malawi)

Les Groupes

Cette compétition se jouera selon le même format que la compétition féminine. Les sept équipes seront réparties en deux poules. Le groupe A comprend trois équipes avec comme tête de série, Clapham High School. Le groupe B contiendra quatre équipes et il n’y a pas de tête de série. Le tirage au sort déterminera quelles équipes seront désignées comme B1, B2, etc. Les deux meilleures équipes de chaque groupe accèdent aux demi-finales, avec un match pour la médaille de bronze et la finale qui suivra.

Le programme

Les matchs se joueront également au King Zwelithini Stadium. Ils seront disputés sur une moitié de terrain de sorte à ce que deux joutes peuvent avoir lieu en même temps. Clapham High School occupera la position A1, le reste devant être désigné par le tirage au sort. Heures locales (GMT+2).

5 avril, 2023

08h00: Clapham High School vs A2

09h00: B1 vs B2

10h00: A3 vs Clapham High School

11h00: B3 vs B4

12h00: B2 vs B3

13h00: A2 vs A3

14h00: B4 vs B1

6 avril, 2023

09h30: B1 vs B3

09h30: B4 vs B2

12h00: Vainqueur Groupe A vs Deuxième du Groupe B

12h00: Vainqueur du Groupe B vs Deuxième du Groupe A

8 avril, 2023 (7avril – jour de repos)

09h00: Perdant demi-finale 1 vs Perdant demi-finale 2

11h00: Vainqueur demi-finale 1 vs Vainqueur demi-finale 2

Le prix

La Fondation Motsepe a fait un don s’élevant à 10 millions de dollars pour le premier Championnat Africain de Football Scolaire de la CAF. La répartition des prix pour la compétition finale est la même que pour les filles. Elle est comme suite :

Gagnants : 300 000 USD

Finalistes : 200 000 USD

Troisième place : 150 000 USD




La CAF introduit un processus d’enregistrement pour les recruteurs avant la Coupe d’Afrique des Nations U17, Algérie 2023 

Dans une optique d’harmonisation du processus, la CAF a mis en place un système d’enregistrement pour les recruteurs de football qui assisteront aux compétitions de jeunes. Ceci sera effectif à partir de la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies U17 Algérie 2023 qui débutera le 29 avril prochain.

Cette mesure a été motivée par la forte demande des agences de scouting du monde entier qui assistent aux compétitions de jeunes de la CAF.

La fenêtre d’inscription est désormais ouverte et les recruteurs intéressés par la couverture des matches peuvent s’inscrire ICI jusqu’au lundi 10 avril 2023.

La phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations U17 TotalEnergies Algérie 2023 se déroulera du 29 avril au 19 mai dans les villes d’Alger, Annaba et Constantine.

Douze nations participent à la phase finale, dont l’Algérie, le Sénégal, le Congo, la Somalie, le Nigeria, la Zambie, le Maroc, l’Afrique du Sud, le Cameroun, le Mali, le Sud-Soudan et le Burkina Faso.

Les candidats retenus seront informés et recevront de plus amples informations en temps opportun.

Pour plus d’informations sur l’inscription des recruteurs de talents, veuillez contacter guestmanagement@cafonline.com

Pour plus d’informations sur la Coupe d’Afrique des Nations U17 TotalEnergies Algérie 2023, visitez www.cafonline.com




En créant la SICOMINES: La partie chinoise reconnaît avoir pris ses risques 

La partie chinoise a affirmé au cours d’une conférence de presse tenue le 24 mars à Kinshasa, avoir pris d’énormes risques et d’incertitudes, pour créer une joint-venture avec la Rdc, afin de promouvoir le projet minier et le projet d’infrastructures. Et ce, après que l’Inspection Générale des Finances (IGF) ait publié un rapport qui montre un déséquilibre dans le contrat chinois entre le volet mines et celui d’infrastructures après 15 ans d’exploitation.

L’Ambassadeur de Chine en Rdc, Zhu Jing, a indiqué que le rapport de l’IGF ne correspond pas à la réalité et souffrirait également d’absence de preuves solides. Contrairement aux allégations contenues dans le rapport de l’IGF, les bénéfices tirés jusque-là de l’exploitation minière sont encore très loin des 4 milliards de dollars investis par les entreprises chinoises.

La partie chinoise à travers son Ambassadeur, estime que le contrat n’est pas gagnant – perdant au regard des données à sa disposition. Et est d’avis que des contentieux ne manquent jamais mais ils doivent se régler via des négociations amicales, pour l’intérêt des deux parties.

De son côté, la Secrétaire du conseil d’administration de la Sicomines, Diao Ying a laissé entendre qu’au cours du lancement de la production minière, les entreprises chinoises ont dû surmonter de nombreuses difficultés, notamment l’insuffisance d’électricité, le manque de matériels, les difficultés de transport… Les deux mines étaient également inondées d’eau d’une profondeur de 134 mètres et 169 mètres, ce qui a dissuadé tous les investisseurs étrangers pendant des décennies.

“Seules les entreprises chinoises n’ont pas reculé devant les défis. Elles ont drainé 120 millions de mètres cubes d’eau, préparant ainsi les conditions préalables de la production ultérieure “, a-t-elle fait savoir.

20.000 emplois créés en Rdc

Après la création de plus de 20.000 emplois en Rdc qui a permis une vie décente à plus de 100.000 habitants locaux de manière directe ou indirect, la Sicomines a en outre, réaffirmé son engament à accompagner sans cesse le développement de la Rdc. Et ce, en dépit de tout ce qui se raconte à son sujet pour ternir l’image des investissements chinois.

Pour Diao Ying, le travail de la Sicomines a été remarquable sur l’étendue de la Rdc. A ce jour, 43 projets d’infrastructures ont été réalisés par la Sicomines dont le boulevard du 30 Juin, l’artère centrale de la ville de Kinshasa…

“A travers ses projets, la Sicomines a pu dynamiser le développement économique de Kinshasa ainsi que d’une dizaine de provinces congolaises. Je réaffirme la bonne foi de la Sicomines pour honorer ses engagements”, a conclu la Secrétaire du conseil d’administration de la Sicomines, Diao Ying.

L’Avenir




Coopération Rdc-France : Sama Lukonde échange avec une délégation de l’Agence Française de Développement

Au menu de cette entrevue, les acquis de la visite récente du Président Macron en RDC, les engagements de l’Agence française de Développement, la signature des conventions intervenue notamment lors du forum économique tenu, il y a près d’un mois, ainsi que le niveau d’exécution de différents projets. Il a été question pour le Chef du Gouvernement et ses hôtes, de faire le point sur tous ces sujets.

Le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, s’est entretenu, ce mardi 28 mars 2023 à la Primature, avec une délégation de l’Agence Française de Développement (AFD), délégation conduite par Bruno Aubert, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française en RDC.

Au sortir de l’audience, Bruno Aubert a indiqué que nous souhaitions rencontrer le Premier Ministre, trois semaines après la visite du Président Macron, pour faire le point en quelque sorte sur la visite, sur les acquis de la visite, sur les orientations qui en découlent dans le domaine économique et celui de nos actions pour le développement de la RDC. « Nos échanges ont porté sur l’ensemble de ces sujets et sur le forum économique. Notamment, les engagements qui ont été pris en ce moment et aussi sur les engagements de l’Agence française de Développement, sur la signature des conventions, qui ont eu lieu en ce moment-là et le niveau d’exécution de nos différents projets », dit-il.

Et d’ajouter qu’il était important de rencontrer le Premier Ministre pour tracer les perceptives avec lui, écouter ses orientations”, a déclaré l’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française en RDC.

Pour sa part, Christian Yoka, Directeur de l’Agence française de Développement a souligné que cette rencontre avec le Chef du Gouvernement était une occasion de parler de l’impact des actions de leur institution aux bénéfices des populations congolaises.

” L’échange avec le Premier Ministre était extrêmement fructueux, et constructif. Il vient à point nommé, quelques semaines après le passage du Président Macron. Et c’était pour nous l’occasion d’examiner les conditions d’exécution des programmes en cours en RDC », a dit le Directeur général de l’Agence Française de Développement.

En particulier, martèle-t-il, c’était pour nous l’occasion de souligner le portefeuille d’activités de l’AFD dans des secteurs extrêmement divers : la formation professionnelle, la santé, l’agriculture, et le développement urbain. Je pourrais en citer d’autres. Le point important que nous avons discuté avec le Premier Ministre, c’est véritablement celui de l’impact de nos actions aux bénéfices des populations. Et de ce point de vue-là, je dois dire que j’ai été édifié par le contenu des positions exprimées par le Premier Ministre.




Ambassadeur des IXes Jeux de la Francophonie : Lilian Thuram échange avec les étudiants de l’UNIKIN

Prôner les valeurs de la solidarité, de l’équité social et surtout des IXes Jeux de la Francophonie, telles sont les motivations qui poussent Lilian Thuram à multiplier les échanges avec les jeunes tout au long de son séjour à Kinshasa.

Dans le cadre de sa visite en Rdc, l’ex-footballeur international français s’est rendu à l’Université de Kinshasa ce mardi 28 mars 2023 pour prendre part à une activité scientifique organisée par cette université.

Placée sous le thème: « les bienfaits du sport sur la santé, cette conférence débat a été marqué par deux moments forts ».

La première, consacrée à la présentation de la carte postale de l’Université faite par le Secrétaire général administratif, le Professeur Bruno Lapika, suivi de la signature du livre d’or que Lilian Thuram a préféré écrire en Lingala, l’une des langues officielles de notre pays qu’il admirait depuis son enfance à travers des amis congolais.

Le deuxième temps fort a été réservé aux échanges. 4 professeurs de l’université ont procédé à une présentation des thématiques axées sur les biens fait du sport sur la santé. L’ambassadeur Thuram a quant à lui, exposé sur la question du racisme.

Rappelons que lundi dans la matinée, il a échangé avec les élèves du Lycée français de Kinshasa et ceux de l’Institut de la Gombe autour des mêmes valeurs.