Le Maire de Matadi dévoile l’effigie du prophète Simon Kimbangu

Des activités marquant le premier anniversaire de la reconnaissance officielle du combat de Prophète Simon Kimbangu ont été organisées ce jeudi dans plusieurs milieux de l’Eglise Kimbanguiste et Églises de noirs en Afrique. A Matadi, la journée a été marquée par un culte spécial et un carnaval après dévoilement de l’effigie du prophète Simon kimbangu érigé pour la circonstance. Reportage Pierre Mvika Nsimba Basilua.

La Place Coca Cola a reçu du monde ce jeudi à l’occasion de la date anniversaire du 06 avril, désormais compté parmi les jours fériés en République démocratique du Congo. Plusieurs Matadiens, généralement Kimbanguistes ont pris d’assaut pour marquer d’une pierre blanche le premier anniversaire de la reconnaissance du combat du prophète Simon Kimbangu et de la conscience africaine.

Sur place, indique notre source, le Maire de Matadi a dévoilé l’effigie érigée pour la circonstance, en mémoire du prophète Simbo Kimbangu. Dominique Kodiambete a, dans son adresse, convié ses administrés de s’approprier de cette date anniversaire.

« J’invite tous les frères africains et noirs habitant Matadi et toute la population de la ville portuaire, de s’approprier de cette date. Elle n’est pas une chasse gardée pour les Kimbanguistes, mais c’ets une date historique pour tous les peuples congolais, tous les peuples africains et pour toute la race noire », dit-il.

Soulignons qu’aussitôt terminer le dévoilement, les fidèles kimbanguistes, dans un carnaval, sous le rythme de la fanfare, ont sillonné les grandes artères de la Place Coca Cola à la mission kimbanguiste dans la commune de Mvuzi pour un culte spécial à l’occasion de ce premier anniversaire. Le tout s’est passé dans une ambiance festive.




Enrôlement des électeurs dans l’aire opérationnelle 2 (AO2):Le caucus des députés nationaux de Sankuru plaide pour une prise en charge des non enrôlés pendant les deux semaines de traitement des contentieux

Le deuxième Vice-président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Didi Manara Linga, s’est entretenu avec le caucus des députés nationaux de Sankuru sur les opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs dans leurs circonscriptions électorales, arrivées actuellement à la phase des contentieux sur l’ensemble de l’aire opérationnelle 2 (AO2).

Au terme des échanges, le député national Emery Okundji, président dudit caucus, a expliqué la raison de leur visite à la centrale électorale :

“Nous sommes venus à la CENI échanger avec le deuxième Vice-président sur les questions qui concernent l’enrôlement des électeurs dans notre province. Comme vous le savez, le Sankuru a commencé l’enrôlement en retard, il y a eu aussi un certain nombre des problèmes qui n’a pas permis à la population de se faire enrôler en grand nombre. Raison pour laquelle, nous sommes venus présenter à la CENI nos désidératas consistant à prendre en charge les non enrôlés pendant cette période de traitement des contentieux”, a explicité le président du caucus.

Avant de poursuivre : “La CENI a pris bonne note de nos préoccupations et elle nous a rassuré qu’elle fera de son mieux pour ne pas laisser l’une des provinces du pays à être sous représentée. De surcroît, nous demandons à la population de Sankuru qui a reçu les jetons de la CENI d’aller se faire enrôler maintenant et de ne pas attendre le dernier pour remplir ce devoir civique”.

En rappel, Sankuru fait partie des neuf provinces qui constituent l’aire opérationnelle 2 (AO2) notamment, Haut-Katanga, Haut-Lomami, Lomami, Lualaba, Kasaï, Kasaï-Central, Kasaï-Oriental et Tanganyika, à cela s’ajoute les trois pays pilotes (Afrique du Sud, Belgique et la France).




Enfin : L’Union Sacrée de la Nation s’organise

Le salon Rouge de Pullman Hôtel, a refusé du monde, mercredi 05 Avril 2023, à l’occasion de la cérémonie d’adoption et de signature de la charte de l’Union sacrée et de la Nation (USN). Un moment important qui vient d’ouvrir une nouvelle page pour l’USN qui devient désormais une plateforme politique et électorale avec pour ambition de soutenir la vision du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et ainsi lui permettre d’obtenir un second mandat aux élections de 2023.

En effet, plus de 300 Partis politiques en ordre avec les documents administratifs dûment reconnus et délivrés par les services publics dont le ministère de l’intérieur, sécurité et affaires coutumières ont été représentés par leurs présidents statutaires dans une salle de Pullman hôtel pleine comme un œuf.

Dans une ambiance bouillante, la cérémonie a débuté par le mot de bienvenue du Premier Ministre, le Camarade Jean Michel Sama Lukunde, membre du présidium de l’Union Sacrée de la Nation. Il a exprimé sa satisfaction de voir un grand nombre rejoindre l’appel et la vision du Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi-Tshilomb0, Haute autorité politique et initiateur de l’USN qui consiste à refonder la République démocratique du Congo.

Le président de l’Assemblée Nationale, Christophe Mboso Nkodia, également membre du présidium, a rappelé l’historique de la naissance de l’Union Sacrée par Félix-Antoine Tshisekedi Tsholombo, qui avait mis fin à la coalition FCC-CACH. Il a saisi cette opportunité pour appeler les partis politiques membres de la plateforme du Chef de l’État à adhérer aux valeurs et aux principes prônés par son initiateur.

En peu de mot, un frère du Message du prophète Branham a prêché l’amour et le pardon aux sociétaires de l’Union Sacrée de la Nation. Car, dit-il, le Chef de l’État a besoin de tous, évoluant dans un climat de confiance et de considération. “Traitons nos problèmes en interne et développons l’esprit de dialogue”, a-t-il lancé.

Après ces interventions, la charte de l’Union sacrée de la Nation a été adoptée par l’ensemble des présidents des partis politiques présents dans la salle et tous ont apposé leur signature sur la dite charte.

Signalons que la plateforme s’est dotée d’un présidium composé du Président du Sénat, Modeste Bahati, du président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso, du Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde, du Vice-Premier Ministre Jean-Pierre Bemba Gombo, du VPM Vital Kamerhe, et du SG de l’UDPS, Augustin Kabuya Muana bute.

Enfin, il sied de noter que les sociétaires de l’Union Sacrée de la Nation se sont donné rendez-vous le 22 Avril 2023 pour la sortie officielle de leur plateforme politique et électorale au stade des martyrs.




RPDC : Les provocations dirigées par les USA dépassent la limite de tolérance

Voici les 2 déclarations (06/04/2023) des Autorités de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948 par le Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène de plus de 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR) qui se lisent en texte intégral.

L’expansion des exercices de guerre d’agression dirigés par les USA est un élément déclencheur poussant la situation de la Péninsule coréenne au point d’exploser (commentaire de CHOE Ju Hyon, l’un des analystes de la sécurité internationale de la KCNA -Korean Central News Agency ou Agence Centrale de Presse Coréene- de la RPDC)

L’hystérie de confrontation militaire imprudente des USA (agresseurs de la Corée depuis 1866, NDLR) et de l’horde à leur remorque contre la RPDC conduit la situation dans la Péninsule coréenne vers une catastrophe irréversible. Malgré les graves avertissements réitérés par notre RPDC, les USA qui lancent leurs exercices militaires conjoints et simultanés les plus importants anti-RPDC poussant la situation sécuritaire de la Péninsule coréenne au bord d’une guerre nucléaire vient d’organiser, ces 3 et 4 avril, les exercices navals conjoints avec;

– le Japon (agresseur de la Corée depuis 1592-1598 et Etat ennemi selon la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et l’enlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR)

– la Corée du Sud (alliée fort fidèle aux USA depuis 1948 pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner le côté Nord -RPDC- comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR).

Les forces alliées dirigées par les USA étaient occupées à attiser, plus que jamais, une atmosphère de confrontation avec la RPDC par leurs exercices de guerre anti-sous-marine et de recherche/sauvetage dans les eaux autour de la Péninsule coréenne; ont été impliqués, dans les exercices;

– le porte-avions nucléaire l’USS Nimitz (CVN-68; l’un des 11 porte-avions géants de la Marine US et l’un des plus puissants navires du monde, NDLR), les USS Aegis (mettant en œuvre des radars et différents armements tels que des missiles anti-navire et missiles anti-aériens, NDLR) comme Wayne E. Meyer (destroyer lance-missiles de classe Arleigh Burke, NDLR) et Decatur (DDG-73, destroyer de classe Arleigh Burke mis en service en 1998, NDLR)

– les navires d’agression du Japon et de la Corée du Sud.

Les forces hostiles n’hésitent pas à faire leur bla-bla de menaces contre notre RPDC affirmant que leurs exercices pour améliorer les capacités des Alliés à faire face à la menace sous-marine de la Corée du Nord (RPDC) ont favorisé le renforcement du potentiel de la dissuasion et la coopération de la sécurité au sein des Alliés.

Aujourd’hui, la Communauté internationale est unanime pour espérer que;

– les sombres nuages d’une guerre nucléaire qui planent sur la Péninsule coréenne soient dissipés le plus tôt possible

– la paix et la stabilité soient rétablies.

Néanmoins, les USA et leurs partisans sont en train de pousser, depuis le début de l’année, la situation dans la Péninsule coréenne à une phase extrêmement critique augmentant, régulièrement, l’intensité et l’ampleur des exercices militaires conjoints sous différentes appellations. Ils ont organisé;

– depuis ce mars avec la Corée du Sud, plus de dizaines d’exercices de guerre d’agression y compris les Freedom Shield («bouclier de liberté» les plus longs exercices militaires conjoints) et les Ssang-yong («double dragon» les plus grands exercices de débarquement conjoints) pour attaquer et occuper notre RPDC sacrée

– cette fois-ci avec l’implication du Japon (ayant participé dans la Guerre de Corée 1950-1953 RPDC-USA avec ses milliers d’hommes, en tant que guide secret des USA vu son statut d’Etat vaincu dans la seconde Guerre Mondiale 1939-1945, NDLR), de nouveaux exercices navals conjoints tripartites pour trahir, une fois de plus à la face du monde, leurs vraies couleurs dégoûtantes en tant que principal coupable de l’escalade des tensions dans la Péninsule coréenne et de l’entité semblable à un cancer menaçant la sécurité régionale et la paix mondiale.

Plus de 200 (193 reconnus par l’ONU parmi les 215, NDLR) grands et petits Pays existent sur notre Globe et chaque Pays organise ses exercices militaires en fonction de son droit à l’autodéfense; mais, les exercices de guerre anti-RPDC des USA et de leurs forces vassales sont seuls et uniques pour être poursuivis toute l’année, jour après jour et mois après mois, avec l’implication d’énormes matériels de guerre spécifiquement ciblés sur un seul Pays. Les exercices militaires conjoints dirigés par les USA autour de la Péninsule (224.252 km2) coréenne pas si grande avec des centaines de milliers de soldats alliés et des avoirs stratégiques essentiels appelés ultramodernes suffisamment importants pour une guerre totale ne sont que ceux de guerre d’agression (dans la Guerre de Corée 1950-1953, les USA provocateurs ont dépensé 165 milliards de $US en mobilisant plus de 2 millions d’hommes militaires, NDLR) sans précédent dans le monde en termes de nature belliqueuse, d’ampleur et d’intensité et incomparables à d’autres du monde. Témoin d’une situation aussi morne qui prévaut dans la Péninsule coréenne, toute personne ayant du bon sens et de la raison peut remarquer facilement;

– qui est l’auteur de l’escalade des tensions criminelles

– quel est le facteur malin d’amener les nuages de guerre.

Comme la Communauté internationale reconnaît unanimement, les exercices militaires conjoints frénétiques des USA et de leurs forces vassales transforment actuellement;

– la Péninsule coréenne en une énorme poudrière qui peut exploser à tout moment

– les environs de la Péninsule coréenne en un champ de tir exclusivement destiné aux agresseurs impérialistes US et une Expo d’armes stratégiques de classe mondiale.

Les provocations militaires des bellicistes dirigés par les USA dépassent la limite de tolérance;

– Cette réalité attend une position et une réponse plus explicites des capacités de défense de notre RPDC.

– Les forces de dissuasion de guerre de notre RPDC continueront de montrer leurs responsabilité et confiance dans leur mission cruciale par actions offensives.

La RPDC ne tolérera jamais aucun acte hostile des USA et des forces à leur remorque empiétant sur sa souveraineté et sa dignité (Communiqué de presse par HAN Tae Song, Représentant permanent de la RPDC auprès de l’Office de l’ONU et d’autres organisations internationales à Genève)

La soi-disant «Résolution sur la situation des droits de l’homme» anti-RPDC qui ne mérite aucune reconnaissance a été adoptée par coercition, ce 4 avril lors de la 52ème session (27/02-04/04/2023 à Genève) du Conseil des Droits de l’Homme (CDH) de l’ONU. La délégation de la RPDC dénonce fermement et rejette catégoriquement la «Résolution sur les droits de l’homme» anti-RPDC fabriquée par les USA et les forces à leur remorque comme un acte intolérable de provocation politique et d’hostilités.

– Ladite «Résolution» imposée unilatéralement par les USA et leurs forces vassales est un document de fraude le plus politisé qui regorge de faussetés et de fabrications tels que «violation du droit à l’information», «détention et punition arbitraires», «discrimination sociale», «enlèvement» et «surveillance de la vie privée» – des phénomènes inexistants et incapables d’exister dans notre Régime socialiste.

– Oser s’en prendre aux Lois de notre État (pour les contester) adoptées conformément à la volonté de tout le Peuple de sauvegarder la souveraineté de l’État et la sécurité du Peuple contre les tentatives scandaleuses des USA et d’autres forces hostiles de renverser notre Système et contre leurs menaces militaires est un acte d’ingérence intolérable dans nos affaires intérieures et une atteinte à notre souveraineté nationale.

Ladite «Résolution» est, en quelque sorte, composée des clauses qui correspondent, vraisemblablement, à la situation des droits de l’homme violés aux USA d’une façon cauchemardesque;

– Quel Pays a trompé la Communauté internationale avec ses informations frauduleuses et fausses et a, ouvertement, envahi des États souverains au 21ème siècle?

– Quel Pays est l’État policier où toutes sortes de crimes haineux sévissent en raison de la contradiction et des conflits sociaux et où les Hommes Noirs se tordent de douleur car ils ne peuvent même pas respirer sous le bras long du diktat?

– Quel est le seul et unique «Empire des écoutes» au monde qui mène une surveillance nationale imprégnant chaque seconde et chaque minute de la vie privée de ses propres Citoyens, et va, même, jusqu’à mettre sur écoute les appels téléphoniques des Chefs d’États, à travers ses moyens de reconnaissance et de surveillance les plus avancés?

– Quel est le Pays avec un Régime anti-populaire où plus d’un million (1.118.888 jusqu’au 05/04/2023, NDLR) de naïfs ont perdu leur vie précieuse à cause de l’échec de sa politique de prévention anti-épidémique?

Les USA sont, en effet, les pires violateurs des droits de l’homme et la toundra des droits de l’homme pour être jugés par la Communauté internationale. Le fait qu’ils font des efforts désespérés pour isoler et étouffer le Peuple de la RPDC par leurs sanctions et blocus anti-éthiques et anti-humanitaires sans précédent dans le monde jusqu’à aller oser contester la situation des droits de l’homme de chez nous est une insulte ou raillerie des droits de l’homme et un crime impardonnable contre les droits de l’homme.

De telles «Résolutions» absurde et stupide, remplies de fausseté et de fabrication, persistent à s’adopter depuis plus de 20 ans sur la scène des droits de l’homme de l’ONU; cette réalité tragique souligne, de plus en plus, la nécessité d’une réévaluation du débat international sur les droits de l’homme. Étant donné que les idéaux aussi nobles que les droits de l’homme est réduit, par les USA et l’Occident, à une «arme» d’agression la plus idéale adaptée à l’ingérence dans les affaires intérieures et à la violation de la souveraineté d’États souverains indépendants, le débat international sur les droits de l’homme a perdu sa valeur – véritable promotion des droits de l’homme.

Si le CDH de l’ONU avec son importante mission de protection et de promotion des droits de l’homme universellement reconnu est maîtrisé, comme maintenant, par le diktat et l’arbitraire des USA et de l’Occident pour être utilisé à mauvais escient en faveur d’un complot formant un bloc visant à désigner et à attaquer un Pays spécifique au lieu de représenter les intérêts communs de l’Humanité, il sera, certainement, blâmé par le monde entier et perdra la justification même de son existence. La campagne des “droits de l’homme” anti-RPDC dans l’arène onusienne par les USA et une poignée de leurs forces vassales ne représente, en aucun cas, le sentiment populaire ou l’opinion publique de la Communauté internationale éprise de la justice et à l’égalité.

Je profite de cette opportunité pour adresser un sévère avertissement à l’adresse de l’horde fantoche et traîtresse de la Corée du Sud (alliée fort fidèle aux USA depuis 1948 pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner le côté Nord -RPDC- comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR), simple serviteur colonial des USA même privé de sa souveraineté nationale, pour son impudence à provoquer notre prestigieuse RPDC avec la situation des droits de l’homme. La RPDC;

– ne tolérera jamais aucun acte hostile des USA et des forces à leur remorque empiétant sur sa souveraineté et sa dignité

– fera tout son possible pour défendre le Système et les droits véritables de son Peuple.




Les crimes du Japon les plus graves contre l’Humanité

Près de 80 ans se sont écoulés depuis la défaite du Japon (Etat ennemi selon la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et l’enlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR). Aujourd’hui le 5 avril, la Fête Chongmyong-nal ou la 5ème quinzaine du printemps en Corée, où le temps est le plus beau, le plus clair et le plus favorable de toute l’année pour aller rendre visite aux ancêtres de chaque foyer, toute la Nation coréenne;

– n’oublie jamais les crimes immoraux on ne pouvait plus monstrueux que le Japon avait perpétrés dans le passé

– se raffermit dans sa détermination de faire, sans faute, le règlement de compte avec son ennemi juré ou avoué.

Voici quelques 2 des centaines et des milliers des événements de l’époque des ténèbres.

Le pillage de gangster

Dès le début de son occupation de la Corée, le Japon portait son attention sur les terres fertiles de ce Pays-là. A l’époque, les rapports de propriété foncière féodaux régnaient dans les campagnes rurales de la Corée où les paysans occupaient 80% de la population active. Le Japon avait;

– considéré l’accaparement des terres comme la base économique de sa domination coloniale et fait flèche de tout bois à cette fin

– forgé, déjà, différentes lois vicieuses pour s’approprier les terres de la Corée et s’atteler, pour de bon depuis 1910, à son pillage sous prétexte du «recensement des terres»

– établi, en mars 1910, les «règlements du bureau de recensement des terres» pour justifier son pillage des terres en Corée et nommé un Japonais chef de service d’arpentage dudit bureau

– publié la «Loi sur le recensement des terres» et les «Règlements pour l’application de la Loi sur le recensement des terres»

– annulé les rapports de propriété foncière reconnus par la Dynastie féodale (1392-1905) Joson et déclaré que l’on ne pouvait posséder que les terres reconnues par lui-même

– rendu compliquées la méthode et la procédure relatives à la déclaration du droit de propriété foncière, de sorte que les terres d’un grand nombre de paysans coréens tombent en la possession des Japs et de leurs laquais (Le «recensement des terres» lui a permis d’arracher plus d’un million d’hectares de terres aux cultivateurs coréens)

– exploité, cruellement, les paysans coréens en pratiquant le prêt usuraire et appliqué, en vue de spolier ceux-ci même d’un grain de riz de plus, la politique agricole trompeuse et emporté, au Japon, même des semences sans parler des vivres des cultivateurs, sous prétexte de l’«offre au Gouvernement».

Ces crimes perpétrés sous prétexte du «recensement des terres» montrent que le Japon était vraiment non seulement l’occupant de la Corée mais aussi le pillard abominable.

La «Loi de mobilisation générale de l’Etat»

Le Japon qui se livrait, pour de bon, aux manœuvres de guerre d’agression (contre la Chine depuis 1937, NDLR) dans la seconde moitié des années 1930 avait;

– publié, le 1er avril 1938, la «Loi de mobilisation générale de l’Etat» pour pallier le manque de mains-d’œuvre et appliqué même dans ses Pays colonisés

– réquisitionné, de force, des millions de Coréens sans distinction d’âge et de sexe pour les travaux forcés et emmené, de force, partout où son Armée allait y compris l’Archipel du Pacifique-Sud et les Philippines, sans parler de l’Archipel du Japon, et imposé les travaux d’esclave moyenâgeux

– enfermé dans les camps de concentration et privé même des droits élémentaires de l’homme. (Les Coréens étaient surmenés comme des bêtes de somme dans de mauvaises conditions de travail.)

– astreint à travailler dans les secteurs les plus dangereux et les plus pénibles tels que chantiers de construction des ouvrages militaires, houillères, mines et chantiers de construction du barrage.

Un Coréen qui avait été emmené, de force, à une houillère japonais déclara: Chaque groupe était composé de 2 personnes. L’une s’occupait de l’extraction et l’autre du transport. Si l’on ne terminait pas sa tâche de travail fixée, on ne pouvait sortir dehors. Il arrivait que l’on travaille pendant 19h à partir de 07h pour sortir le lendemain à 03h. On se nourrissait, d’habitude, de tourteau de soja, voire de ce que même le porc ne veut pas manger, et on n’avait pas de force de travailler.

Quant à ceux qui tapaient tant soit peu sur leurs nerfs, les Japonais leur infligeaient toutes sortes de punitions inhumaines. En outre, ils massacraient, sans merci, les Coréens. Selon les données, plus de 60.000 Coréens trouvèrent la mort, de 1940 à 1944 dans les houillères du Japon. Les Japonais assassinèrent ceux qui y avaient survécu heureusement, cela en vue de cacher la vérité des travaux forcés.

Cependant, le Japon s’évertue à farder leur passé criminel en prétendant que «ladite réquisition s’était faite selon le libre consentement des Coréens». C’est le comble du cynisme et de l’effronterie.




Mbusa Nyamwisi : Cap sur l’évaluation de la CIRGL 

Il nous revient que la Conférence internationale sur la région de grands-lacs (CIRGL) fera l’objet, à court terme, d’une évaluation au cours d’une réunion élargie à tous les ministères et services étatiques impliqués dans le domaine d’intégration régionale.

M. Antipas Mbusa Nyamwisi, ministre d’État en charge de l’Intégration régionale, en a donné les assurances à la coordinatrice du Mécanisme national de coordination de la CIRGL, Marie Pambi Mudila, au cours de l’audience que le ministre d’État lui a accordé ce mercredi 5 avril 2023, dans son cabinet, Place Le Royal.

Selon une dépêche parvenue à notre rédaction, le 10 avril prochain, le Secrétaire exécutif de la CIRGL, Dr Kaholo, fera le déplacement de Kinshasa pour un tête -à-tête avec le Minétat Mbusa Nyamwisi. Cependant, Mme la coordinatrice du Mécanisme national de la CIRGL a brossé un tableau peu reluisant de sa structure, pas de frais de fonctionnement depuis 15 ans, les arriérés des cotisations s’élèvent à plus de 2.065.000 $US, le Mécanisme national ne vivote que de l’appui de l’Union européenne (UE) depuis un an.

Pis, l’Angola et le Kenya rivalisent pour le leadership de la CIRGL quand l’influence de la RDC décline, voilà pratiquement 20 ans. La CIRGL a été créée en 2004 et englobe 14 États de l’Afrique centrale et des grands-lacs. Elle dispose notamment d’un Plan d’actions du MNC-CIRGL 2022-2024 sur la mise en œuvre du Pacte de la CIRGL pour la promotion de la paix, de la sécurité et du développement en RDC.

Mme Marie Pambi Mudila a cependant déploré que le Pacte de la CIRGL n’est point assorti des sanctions. Le ministre d’État lui a rassuré de sa détermination à revisiter tous les dossiers qu’il a hérités sur la CIRGL afin que la voix de la RDC porte et s’impose à brève échéance.

 




Certification des manques à gagner des pétroliers distributeurs : Kamerhe rassure que le processus est très avancé et que les travaux techniques y relatif seraient achevés dans les jours qui viennent 

Le Vice-Premier ministre, ministre de l’Economie nationale, a reçu ce mercredi 5 avril 2023 les représentants de la profession pétrolière opérant en Rdc. Cette rencontre a permis de passer en revue les différentes préoccupations des pétroliers distributeurs axées sur quatre points essentiels la certification et le paiement des manques à gagner (subvention pétrolière) ; L’actualisation des paramètres de la structure des prix des produits pétroliers ; La recrudescence de la fraude dans le secteur de la distribution des produits pétroliers ; La disponibilité des devises pour couvrir les importations en carburant.

Selon un communiqué publié à cet effet, des échanges qui ont eu lieu, il a été noté que les préoccupations sont prises en charge par les services du Ministère. Le Gouvernement s’emploie déjà à apporter des réponses indiquées à chacune de ces préoccupations dans les meilleurs délais.

S’agissant de la certification des manques à gagner, le Vice-Premier Ministre a rassuré la profession pétrolière quant au fait que le processus était très avancé et que les travaux techniques y relatif seraient achevés dans les jours qui viennent.

Quant à l’actualisation des paramètres de la structures des prix des produits pétroliers, il a été souligné qu’elle a déjà été finalisée au niveau technique et que les simulations y relatives sont en cours d’examen au niveau des instances habilitées.

Sur la question de la fraude dans le secteur de la distribution des produits pétroliers, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie nationale, a souligné la pertinence de cette préoccupation tout en rappelant qu’une série de mesures est actuellement à l’étude et sera implémentée avec le concours des Ministères des Finances et des Hydrocarbures.

Sur la question des devises, il a été souligné qu’elle est déjà prise en charge par le Ministère des Finances qui s’emploie à y répondre favorablement.

« Le Vice Premier Ministre, Ministre de l’Economie nationale, a rassuré la profession que les efforts déployés, à ce jour, pour maintenir l’équilibre du système d’approvisionnement en produits pétroliers seront maintenus, mieux renforcés. Pour ce faire, l’agenda des réformes en cours d’exécution, au sein du Ministère de l’Economie nationale sera poursuivi. In fine, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie, a rappelé l’impératif de maintenir le partenariat efficace et la collaboration fructueuse et mutuellement bénéfique entre le Gouvernement et la profession pétrolière », termine le communiqué du Service de presse et communication ECONAT.




A Brazzaville : 30 pays de l’Afrique Centrale et de l’Ouest s’engagent pour des politiques en faveur de l’éducation des jeunes et adolescents      

Le professeur Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, a représenté la République Démocratique du Congo, à la conférence des ministres de l’Education et de la Santé des 30 pays de l’Afrique centrale et de l’Ouest, ce mercredi 05 avril 2023 à Brazzaville.    Accompagné de Mme Christine Nepa Nepa et de M. Jacques Odia Musungayi, respectivement Secrétaire général à l’EPST et Inspecteur général de l’EPST, le ministre Tony Mwaba Kazadi s’est engagé ensemble avec ses collègues pour des jeunes et des adolescents éduqués, épanouis et en bonne santé.

Pour cette raison, il a été recommandé une éducation à la sexualité à tous les adolescents et jeunes et l’installation des centres de counseling, d’écoute et des soins liés à leur âge.

Une autre recommandation de cette conférence des ministres, les 30 pays de l’Afrique centrale et de l’Ouest se sont engagés pour la lutte contre les violences basées sur le genre. à




L’ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud déconstruit les thèses de Pretoria sur le Sahara

L’ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud, Youssef Amrani, a fermement réfuté les fausses allégations sud-africaines sur la question du Sahara marocain, exprimées récemment par le vice-ministre des Affaires étrangères, Alvin Botes, dans une tribune consacrée à la question du Sahara marocain, et qui avait été publiée dans le magazine du parti du Congrès national africain «ANC Today».

Dans sa réponse à ces accusations dérogatoires, infondées et déplacées, le diplomate marocain déconstruit la rhétorique sud-africaine sur la question du Sahara marocain et rectifie les idées fausses, les allégations fallacieuses et les manquements intellectuels d’une vision idéologiquement biaisée et étriquée.

D’ailleurs, cet alignement aveugle sur les thèses algériennes pose des questions légitimes sur sa finalité et son utilité, trahissant l’essence même de l’ambition, la vision et l’idéal de la construction d’un continent africain fort et unifié. Il a, en effet, rappelé l’engagement historique du Maroc en faveur de la lutte contre la colonisation et l’apartheid qui a été instrumentale dans la mise en place du mouvement de libération en Afrique du Sud.

Renier cette vérité historique, admise par feu Nelson Mandela lui-même, est une insulte aux sacrifices du peuple marocain dans sa lutte contre le colonialisme et passe sous silence son soutien et sa solidarité indéfectibles et son appui volontaire aux peuples africains frères pour réaliser ce même objectif, a-t-il dit.

Pointant du doigt les contradictions dans la position sud-africaine, Amrani s’est interrogé sur comment l’Afrique du Sud qui avait, lors de son mandat au Conseil de Sécurité en 2007, voté en faveur de la Résolution sur la question du Sahara marocain consacrant la prééminence de «l’initiative d’autonomie» et du processus politique, peut-elle encore promouvoir des thèses dépassées et abandonnées depuis plus de 20 ans? S’obstiner, sans aucun sens de cohérence ni de raison, à considérer le référendum comme la panacée de la résolution de la question du Sahara marocain, ne fait que maintenir vivant un concept obsolète d’un passé révolu qui a été clairement abandonné et enterré par les Nations unies et la communauté internationale, a ajouté l’ambassadeur.

Revenant sur ces sémantiques injustifiées et infondées concernant la question des droits de l’Homme, l’ambassadeur a expliqué de façon intransigeante que le Maroc n’a rien à cacher et n’a ni complexes ni tabous, ni de leçons à recevoir. En effet, le Maroc, une nation millénaire, dont l’ADN est marqué par les idéaux de paix, de tolérance et d’ouverture, a consacré de façon irréversible les principes des droits humains dans leur universalité, dans la Constitution du Royaume. La participation massive des populations des Provinces du Sud aux élections législatives et locales de septembre 2021 traduit, sans équivoque, leur pleine adhésion au processus de construction démocratique du Royaume.

Dans sa lettre, l’ambassadeur a regretté que l’article fasse siennes les assertions mensongères faites à propos de la soi-disant «activiste» dénommée Sultana Khaya, allant même jusqu’à dévier du sujet principal pour simplement diffuser la propagande du «Polisario». À ce sujet, Youssef Amrani a rappelé qu’après que les intentions, mensonges et méthodes malhonnêtes de cette personne avaient été dévoilés au grand jour, plusieurs responsables et organes de l’ONU ont consciemment pris leurs distances par rapport à ses tromperies et ses allégations insidieuses. De même, l’ambassadeur du Maroc a réfuté, chiffres à l’appui, les allégations selon lesquelles «le Maroc exploiterait les ressources de la région du Sahara». Il n’a pas manqué de rappeler que depuis son indépendance, le Maroc a placé parmi ses principales priorités la construction d’infrastructures et le développement socio-économique de la région. Cette remarquable dynamique de développement humain et inclusif a été renforcée par l’adoption, il y a 8 ans, du Modèle de Développement dédié aux Provinces du Sud, conçu avec la participation pleine et entière de la population locale dans toutes les phases de sa planification et de sa mise en œuvre.

Les résultats de cette vision ont, aujourd’hui, atteint 80% de réalisation du budget alloué, qui s’élève à plus de 7,5 milliards de dollars, alors que les principaux indicateurs socio-économiques montrent de meilleures performances dans les Provinces du Sud que dans le reste du Royaume, notamment en termes de PIB par habitant, supérieur de 50% à la moyenne nationale, ou en termes de taux de pauvreté, trois fois inférieur à la moyenne nationale, a-t-il fait constater.

Dénonçant sans équivoque l’instrumentalisation à des fins politiques de la question des droits de l’Homme, l’ambassadeur Amrani a interpellé le vice-ministre quant à l’aveuglement et au silence coupable de Pretoria sur la situation humanitaire désastreuse dans les camps de Tindouf, en Algérie. Comment est-il possible que Tindouf soit le seul camp de «réfugiés» au monde où le HCR n’est pas autorisé à faire son travail? Comment est-il acceptable que l’Algérie ait sous-traité la protection des droits de l’Homme sur son propre territoire à un groupe séparatiste armé? s’est-il interrogé.

Cette dévolution de facto des responsabilités de l’Algérie au «Polisario» sur son territoire a placé les populations des camps dans une situation de précarité, d’abandon et d’insécurité, les privant de l’accès aux institutions de recours judiciaire, en violation totale des conventions et traités internationaux signés par l’Algérie. Il ne peut y avoir de délégation de souveraineté et donc de responsabilité par un État à une milice armée sur son territoire, a-t-il précisé à ce sujet.

Pour le peuple marocain, la question du Sahara est plus qu’un simple point à l’ordre du jour du Conseil de sécurité, a expliqué l’ambassadeur. Il s’agit de redresser un tort historique contre le Maroc dans la réalisation de son intégrité territoriale. C’est une question intimement liée à la souveraineté de la Nation marocaine, a-t-il précisé.

Le Plan marocain d’autonomie est non seulement reconnu par le Conseil de sécurité de l’ONU et les grandes puissances comme crédible, sérieux et réaliste, mais aussi comme le déclencheur du processus politique mené par l’ONU que nous cherchons tous à soutenir, a-t-il ajouté. Dans le contexte géopolitique complexe actuel, le Plan d’autonomie s’impose véritablement comme un témoignage de l’ouverture du Maroc à une solution constructive et pragmatique sans nuire à l’intégrité territoriale du Royaume. C’est la preuve, s’il en était besoin, de l’engagement sincère du Royaume en faveur d’une paix, d’une homogénéité, d’une intégration et d’une prospérité durables dans la région et dans l’ensemble du continent.

fr.le360.ma




Le Maroc condamne vivement l’incursion des forces israéliennes dans la Mosquée à Al Aqsa (Ministère des AE)

Le Royaume du Maroc condamne vivement l’incursion des forces israéliennes dans la Mosquée Al Aqsa ainsi que l’agression et la terreur des fidèles en plein mois sacré de Ramadan, a indiqué mercredi le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.

Le Royaume du Maroc, dont SM le Roi Mohammed VI préside le Comité Al Qods, souligne la nécessité de respecter le statut juridique, religieux et historique d’Al Qods et des Lieux Saints et d’éviter toutes les pratiques et violations qui sont à même d’anéantir toutes les chances de paix dans la région, relève le communiqué.

Le Royaume réitère son rejet de ce genre de pratiques qui ne font que compliquer et exacerber la situation dans les territoires palestiniens occupés et sapent les efforts visant à apaiser les tensions et rétablir la confiance, conclut le ministère.

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