Le Roi inaugure le centre de réhabilitation psycho-sociale du CHU Ibn Rochd de Casablanca

Le Roi Mohammed VI, a inauguré, ce mercredi, le centre de réhabilitation psycho-sociale du CHU Ibn Rochd de Casablanca.

Ce projet solidaire vient illustrer, une nouvelle fois, l’intérêt particulier qu’accorde le Souverain à la promotion du secteur de la santé, en général, et de la santé mentale, en particulier.

Le Souverain a, à cette occasion, visité les différentes composantes de ce Centre qui a pour mission de prendre en charge les patients présentant un handicap psychique induit par des pathologies mentales graves et chroniques, en vue de réduire les effets délétères de leur handicap et de favoriser leur réintégration sociale et professionnelle.

Réalisé par la Fondation Mohammed V pour la Solidarité pour un investissement de l’ordre de 10,5 millions de dirhams, ce projet s’inscrit dans le cadre d’un plan d’action mené par la Fondation, visant à soutenir le secteur médical national, à travers le renforcement de l’offre médicale existante, l’amélioration de l’accès aux soins des populations les plus démunies, et l’intégration d’une approche sociale complémentaire dans les mécanismes d’accompagnement des patients et des bénéficiaires.

Mitoyenne au Centre Psychiatrique Universitaire Ibn Rochd, cette structure médico-sociale, d’une superficie couverte de 2.100 m2, compte un pôle thérapeutique comportant des salles de psychologie, de psychiatrie, d’ergothérapie et d’évaluation fonctionnelle, ainsi qu’un pôle socio-éducatif avec notamment une salle polyvalente et des ateliers de cuisine-thérapie, d’arts plastiques, de poterie, de coiffure-esthétique et d’informatique.

Ces ateliers thématiques ont pour objectifs de favoriser la prise de conscience par les patients de leurs émotions, d’améliorer leur capacité de concentration, de stimuler l’imagination et la créativité chez eux, de retrouver la confiance en soi, de participer à leur insertion sociale et professionnelle, de repérer des blocages possibles jusque-là non identifiés, et de leur faire vivre une expérience en groupe favorisant la communication.

Le nouveau Centre, qui abrite également un pôle administratif, des salles de formation, d’expression corporelle et artistique, de sport, une bibliothèque, une cafétéria, une buanderie et des espaces d’accueil et de détente, permet aux patients traités, estimés à plus de 1.300 par an, de rompre avec l’isolement provoqué par la pathologie mentale, comme il favorise le développement de leurs capacités relationnelles, l’acquisition de certaines compétences professionnelles et l’amélioration de leur sentiment de bien-être.

Afin de remplir pleinement sa mission, le Centre de réhabilitation psychosociale du CHU Ibn Rochd compte parmi ses effectifs 5 médecins spécialistes (3 psychiatres et deux neuropsychologues), 7 infirmiers en santé mentale, ainsi qu’un staff d’accompagnement, composé de 7 formateurs en coiffure, informatique, cuisine, sport, théâtre, poterie et art thérapie.

Fruit d’un partenariat entre la Fondation Mohammed V pour la Solidarité et le CHU Ibn Rochd de Casablanca, le Centre de réhabilitation psycho-sociale est géré par le service de psychiatrie du CHU Ibn Rochd en collaboration avec «La Ligue pour la Santé Mentale», une association spécialisée œuvrant dans le domaine de la santé mentale.

Actuellement, 156 personnes sont suivies au niveau dudit Centre. Ce projet vient s’ajouter aux multiples initiatives médico-sociales menées par la Fondation et destinées au renforcement de la cartographie de l’offre de soins au niveau de la région, via notamment la création de Centres médicaux de proximité au quartier Sidi Moumen et à la ville nouvelle d’Errahma, et de Centres médicaux de proximité « spécifiques » à l’arrondissement Sidi Othmane (Centre de Santé de niveau II), et à l’arrondissement Moulay Rachid (Centre médico-psycho-social).

fr.hespress.com




Président de la CASE : Simaro Ngongo Mbayo veut savoir pourquoi le bureau Denis Kadima ne démissionne-t-il pas de la CENI ?

A partir de Chicago, M. Simaro Ngongo Mbayo, Expert, Analyste/ Consultant International sur le processus électoral et président de la Commission Africaine pour la Supervision des Élections (CASE) veut savoir pourquoi le bureau Denis Kadima ne démissionne-t-il pas de la Commission électorale nationale indépendante ? Avec l’enrôlement réfléchi des mineurs sous couvert de la CENI, le processus électoral s’enlise. Dans une déclaration faite ce 06 avril 2023, il rappelle qu’en suivant la vidéo en circulation sur les réseaux sociaux et qu’aucune instance de la CENI n’a daigné démentir comme elles en ont l’habitude, il est déplorablement établi qu’il ne s’agit plus d’une simple irrégularité mais plutôt d’une infraction électorale intentionnelle et savamment réfléchie. Ce qui laisse planer des doutes quant à la technicité tant vantée de Monsieur Denis Kadima Kazadi, Président de la CENI.

1. La Commission Africaine pour la Supervision des Élections (CASE) est gravement scandalisée par des images authentiques d’un enrôlement en file d’attente d’une ribambelle de mineurs dans un Centre d’inscription avec agents électoraux bien identifiables et des équipements totalement identiques à ceux livrés à la CENI par la société MIRU SYSTEMS.

2. Cet acte délibéré et planifié par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) vient exposer les tristes limites professionnelles de l’actuelle équipe de la CENI qui ne se soucie nullement de la qualité des élections attendues en République Démocratique du Congo.

3. En suivant la vidéo en circulation sur les réseaux sociaux et qu’aucune instance de la CENI n’a daigné démentir comme elles en ont l’habitude, il est déplorablement établi qu’il ne s’agit plus d’une simple irrégularité mais plutôt d’une infraction électorale intentionnelle et savamment réfléchie. Ce qui laisse planer des doutes quant à la technicité tant vantée de Monsieur Denis Kadima Kazadi, Président de la CENI.

4. À neuf mois de la tenue des scrutins, la CASE invite une fois encore et en toute humilité, Monsieur Denis Kadima Kazadi à démissionner de ses fonctions pour éviter à la Nation de sombrer dans une crise électorale pourtant évitable. La démission du Président Denis Kadima Kazadi sera très applaudie par toute la famille électorale de la République Démocratique du Congo.

5. Aux collègues Experts électoraux travaillant aux côtés des Membres de la CENI, la CASE les invite à faire entendre raison au Président de la CENI afin de préserver la réputation de l’expertise nationale. Le même appel s’adresse à toutes les organisations spécialisées en matière électorale de la RDC, afin qu’elles fassent entendre raison aux Membres de la CENI et permettre à l’Assemblée nationale de reconvoquer le processus de recomposition de la centrale électorale

6. Tout en espérant que tous les mineurs volontairement inscrits dans le fichier électoral seront radiés et que les listes électorales douteuses en constitution ne seront pas considérées pour la gestion du cycle électoral en cours, la CASE se propose de saisir Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo dans ses attributions de garant du bon fonctionnement des institutions comme dernier rempart à même faire corriger toutes les incorrections lourdement constatées dans le processus de révision du fichier électoral.




Presse sportive: Notre confrère Junior Bompema pleure son petit frère Glody Lianza

C’est avec beaucoup de tristesse que la nouvelle du deuil ayant frappé la famille Lianza nous est parvenue. Il s’agit du décès de Glody Lianza, jeune frère à notre confrère Junior Bompema et proche de famille de Nico Lianza, Coordonnateur National des activités du Judo en RDC.

Notre tristesse est d’autant plus grande du fait que le nommé Glody Lianza n’est pas mort de décès normal. Mais suite aux actes des barbaries des kulunas. Ce jeune encore à fleur d’âge a été saucissonné à la machette puis égorgé par ces inciviques et hors la loi. Quelle tristesse !

La Rédaction sportive du Journal L’Avenir présente ses condoléances les plus attristées à la famille éplorée, au confrère Junior Bompema et au cordon Nico Lianza.

Antoine Bolia




Catch : La Reine Shakira explique comment la colère d’Edingwe l’a poussé à créer le numéro d’ôter le sexe des catcheurs  

La Reine Shakira ne devant pas continuer à désobéir à son papa Edingwe avec le numéro de zombie consistant à ouvrir le vendre, sucer le sang etc. qu’a-t-elle fait ?

A la Reine Shakira d’expliquer : ‘’Avec cette colère de Papa Edingwe, j’ai changé de numéro. Je me suis rappelé que dans ma jeunesse, j’étais victime d’un cas de viol. Cela m’a de nouveau révolté. Lors d’un combat, la colère m’est montée. Face au catcheur O triche Liboma que je combattais, j’ai pris le couteau et j’ai coupé le sexe de ce dernier que j’ai exhibé au public. J’ai ensuite bouffé ce sexe. Ce numéro a encore épaté les gens. C’est alors que BBC Afrique m’avait appelé et m’a fait un documentaire.

Il est vrai qu’avec ce documentaire, je ne bénéficie de rien. Je n’ai perçu même pas un 10 $. Ils m’ont fait une faveur pour que quelqu’un de bonne volonté puisse m’aider. Ils m’ont dit que lorsque des gens vont commencer à donner des cadeaux, ils vont commencer à m’envoyer. Mais jusque-là, rien n’est arrivé. Ce documentaire a beaucoup de vues. J’avais réalisé ce documentaire avec Sylvain Muyal qui fut mon manager. Depuis qu’on a réalisé ce documentaire, finit le management.

J’ai des problèmes avec les enfants que j’encadre. Je dois signaler à l’opinion que le numéro opération sans cicatrice que j’opère sans circoncision, c’est un numéro propre à la Reine Shakira elle-même. Je l’ai conçu après le numéro de mon papa Edingwe de zombie. Comme il m’interdisait ce numéro, je me suis écarté de cela pour adopter le mien propre.

J’ai réalisé ce numéro de couper le sexe face à beaucoup de catcheurs. D’ailleurs, la femme de Kwet avait même fait recours à la police pour qu’on m’arrête parce que j’aurai ôté la procréation de son mari. En coupant son sexe, ce dernier n’aura plus jamais d’enfants. C’était dans la commune de Bumbu. Quand je redevenais normale, je vois des policiers qui me disent qu’ils sont venus m’arrêter en déclarant : ‘’Tu as enlevé la capacité de donner des enfants au mari de cette femme’’. Et je leur ai répondu c’est notre histoire de catch. Si vous m’arrêter et que le temps passe. Je ne saurai rien faire et le Monsieur risque de mourir. Là, ça ne sera pas de ma faute. La police a dit ok, nous devons la laisser s’occuper du sexe de l’autre. Ils m’ont laissé et je me suis occupé de lui. On l’a amené à l’hôpital où ils ont fait des examens de contrôle qui ont révélé que tout était ok. Ils ont voulu savoir si c’était ok en tout point de vue. Est-ce que le sexe était bien à sa place ? Est-ce c’est sa taille normale ? Sa grosseur normale ? Est-ce qu’il pouvait être en mesure de donner des enfants ? Satisfaction sur toute la ligne à ces interrogations. Voilà mon histoire sur cette histoire des fétiches. Merci à tous mes fans. Voici mon numéro (+243)896066453. Je suis guérisseuse’’.

Antoine Bolia




Catch : La Reine Shakira fait des grandes révélations sur l’origine de ses numéros

Poursuivant avec son récit, la Reine Shakira révèle : ‘’ J’étais chez papa Edingwe comme sa fille. Et j’évoluais au sein de son club. Quand j’avais quitté le club de Kasa Luyindula, je suis allée chez Zimagola dans son club Haute Tension. Beaucoup de salutations à ce dernier qui réside actuellement au Canada. Quand j’ai quitté ce club, c’est alors que papa Edingwe m’avait pris dans son club. Et c’est comme ça qu’il m’a ajouté d’autres numéros. Quand il faisait de préparation des numéros au temple, j’épiais. Lui savait que je n’avais que mon numéro de Libelé ‘’sein’’. Alors que moi je développais mes connaissances. Vint que j’ai effectué un déplacement à Brazzaville, j’ai effectué le numéro de l’opération où j’enlève les entrailles du vendre, suce le sang.

Quand Edingwe a appris cela il m’a reproché comment as-tu osé faire ce numéro ? J’ai répondu : ‘’Papa j’ai essayé et j’ai constaté que ça a réussi. Vraiment papa, pardonne-moi’’. Il était très fâché. Je me suis demandé que faire maintenant qu’il est très fâché ? Il faudra que j’abandonne ce numéro. Cependant, j’ai aimé ce numéro parce que ça m’a augmenté beaucoup de vues. Ça m’a donné beaucoup de valeurs. Il faudra noter que j’avais volé ce numéro chez Edingwe. Lui ne m’a pas donné ce numéro. Dans la maison d’Edingwe il y a la chambre noire où personne n’entre. Lui était à l’intérieur et moi j’épiais sans qu’il ne le sache. Ma chambre était juste à côté de cette chambre noire. Là, j’étais déjà catcheuse parce que quand on est déjà catcheur, on a plus peur de rien. Il y a toute une initiation : dormir dans le cimetière, être enterré vivant etc. catcheur sans cérémonie n’existe pas. Dans le catch américain, ils ont aussi leur cérémonie. Les français aussi ont leur cérémonie. Chacun de groupes, a sa propre cérémonie. Cas typique de Zimagola qui a plusieurs médailles et plusieurs fois champion. Il réside au Canada mais pourquoi ne combat-il pas le catch américain ? On lui a exigé de commencer par leur cérémonie qui est différente de nôtre. J’étais donc déjà initiée à notre catch. Le jour où papa Edingwe avait fait le numéro de l’opération du vendre où opération des zombies au stade Tata Raphaël ex-Stade du 20 mai face à Me Mal à l’aise de Ndjili, moi j’étais déjà chez-lui et j’habitais chez-lui. Ce jour-là j’avais combattu Miss Max et j’avais perdu ce combat. Quand on avait apporté à papa Me Mal à l’aise pour qu’il lui remette intact, c’était nous qui avons porté Me mal à l’aise et on l’a introduit dans l’enceinte du temple. Et papa avait commencé à faire la réclamation. Ma chambre était juste à côté. Je salue papa Palmas à Brazzaville, Wasins, Pinthon d’Afrique, du Ring, Président Mopao, RTGa, champion du Congo mes salutations. Ils m’avaient très bien accueilli à Brazzaville. Et j’avais livré des vrais et bons combats. Et j’étais la 1ère femme au niveau de l’Afrique Centrale à faire ce numéro des zombies. Déchiqueter le vendre, sucer du sang, manger de la chair humaine, manger les entrailles, c’est la Reine Shakira. Personne ne peut me contredire. S’il y a quelqu’un qu’on te contacte et le dise. Ce numéro m’a fait beaucoup du bien. Bien papa Edingwe était fâché contre moi, je n’ai pas cessé à faire ce numéro’’.

Antoine Bolia




Catch : La Reine Shakira : ‘’Le catch congolais est différent du catch américain, français, etc.’’

Invitée à bien nous expliciter comment elle arrive à réaliser tous les numéros qu’elle fait sur le ring, la Reine Shakira a rappelé qu’au départ elle était une technicienne. Mais quand on devient catcheur on passe nécessairement à une initiation au catch congolais.

Il est question d’associer le catch avec des herbes que nous appelons feuilles, arbre et statue qui est un arbre. On lui a clairement dit d’associer l’herbe dans son catch. C’est ainsi qu’on lui a donné le premier herbe pour lequel elle a commencé à faire le numéro de Libelé ‘’Sein’’.

Et Shakira de préciser : ‘’Même si tu me battais, à la fin si je te donne le sein, tu t’en dors. Et je mettais tombée 1, 2 et 3. Une autre série je faisais en sorte qu’après t’avoir donné le sein, je te mettais la poudre en te flattant comme un bébé. Quand tu t’en dors je te mets tombée. Je gagnais beaucoup de combats avec ce numéro. Excès de pénétrer dans le monde des fétiches a fait qu’il fallait déborder les limites. Mon papa Edingwe a découvert qu’il y a une catcheuse qui fait sucer le sein aux catcheurs sur le ring, elle s’appelle La Reine Shakira. Il m’a invité chez-lui et ma maman Alice Hélène. Papa Edingwe m’a dit : ‘’Avec ton talent, j’ai le souci que vous soyez ensemble avec maman Alice Hélène qui est aussi initiée en catch. Mais elle ne monte pas sur le ring. Si je suis très connu aujourd’hui en catch, c’est grâce à papa Edingwe. J’ai passé plus ou moins 4 ans dans sa maison. Il m’a fait quitter ma famille pour que j’aille habiter chez-lui’’.

Antoine Bolia




Catch : Comment a été la rencontre de la Reine Shakira avec le catch ?

‘’Je suis sportive et je pratique la lutte professionnelle qu’on dénomme catch. Auparavant, je m’adonnais à la boxe. Je ne me suis pas beaucoup donnée à la lutte auprès de Me Kasa Luyindula au club Sukisa. J’étais avec Poisson, Me René, maman Théthé et autres’’ c’est comme ça que la Reine Shakira aborde le chapitre qui concerne le catch.

Et Shakira de renchérir : ‘’Quand j’ai abandonné la boxe, je suis allé à St Raphaël auprès de Me Ricquier Banthou pour m’adonner au catch. Il m’a prié de commencer par la lutte. Mais je n’ai pas fait beaucoup la lutte. Je suis allée auprès de Me Kasa en 2007. Il a commencé encore à m’apprendre la lutte, les prises de catch et petit à petit jusqu’aujourd’hui où je suis devenue championne du Congo de catch. Merci beaucoup à mon papa Kasa Luyindula’’.

D’où vous proviennent tous les numéros et les fétiches que tu utilises sur le ring ?

La Reine Shakira : ‘’Merci à toutes les personnes qui m’ont initié à ce que je deviens aujourd’hui la Reine Shakira. J’ai commencé auprès de mon papa Mbisi ya Mayi. Quand mon père Kasa Luyindula m’a formée et je suis devenue une catcheuse, j’étais une technicienne. Je ne combattais qu’avec la technique et pas avec les fétiches. Quand je commençais à forcer, mon père Mbisi ya Mayi et le Deto Kilo Le Roi se sont retrouvés pour dire : ‘’Vraiment La Reine Shakira, tu combats très bien mais tu perds trop de combats. Dans le catch congolais, nous l’associons avec des herbes que nous appelons feuilles, arbre et statue qui est un arbre. Il faut associer l’herbe dans ton catch. Il m’a donné le premier herbe pour lequel j’ai commencé à faire le numéro de Libelé ‘’Sein’’.

Antoine Bolia




Catch : A la découverte de la Reine Shakira, la championne du Congo

Très belle dame au teint clair, la championne du Congo de catch mieux identifié par son sobriquet ‘’La Reine Shakira’’ s’est confiée à notre organe en dévoilant des vérités cachées.

Fiche signalétique

Nom : Eyamba

Postnom : Efuto Bernadette

Prénom : Hélène

Sobriquet : La Reine Shakira

Fille de : Eyamba Chotsha Jacques

& de : Omoyi Djana décédée

Lieu et date de naissance : Kinshasa, le 28/12/1984

Taille : 1,68 m

Poids : 62 kg

Etudes faites : Diplômée d’Etat section pédagogique de l’Institut Mai-Ndombe de Matete

Carrière sportive

Elle commence la pratique du sport en 1996 en s’adonnant au Ju-Jitsu auprès de Me Tcheké. En 1998 elle embrasse la boxe au sein du club Bolongi de papa John Mujinga qui fut son entraineur dans la commune de Ngaba. Il y avait aussi le coach Marie Marie, coach Innocent, feu coach Mwanza, coach Sam qui m’a pris dans la rue. Dans cette commune on comptait 5 clubs de boxe. Mais comme elle était unique fille à s’adonner à la boxe, elle faisait la ronde de ces différents clubs de manière à attirer les autres filles. A l’époque, il n’y avait pas assez des filles. Il n’y avait que 7 filles qui s’adonnaient à la boxe au sein de la Fédération Congolaise de Boxe. J’ai participé à plusieurs compétitions en boxe. A une compétition Hewa Bora dont j’ignore l’année. Mon premier combat en boxe j’avais combattu Martini Mboto surnommée Zena double Mastor, aujourd’hui devenue catcheuse comme moi. Quand je combattais, mon coach John Mujinga était très jaloux. Il ne voulait pas que j’aille m’entrainer ailleurs alors que d’autres coachs faisaient appel à moi pour les entrainements. Lorsqu’il a appris que je suis allé m’entrainer à Mupulu au sein du club de coach Fanta Mavuba que son âme repose en paix, il fut aussi notre ancien président au sein de la fédération, il m’avait suspendu. Avec cette suspension, j’ai fui et suis allée m’entrainer à 20 mai auprès du coach Dex Wata. Là-bas j’avais mon adversaire Rosette Ndongala. Il y avait d’autres filles Afi Mbatshé, Mamie Katumbayi, Jeannette Mukendi et Nathalie Ambwana. Et nous avons accueilli Agathe et Mimie Mauwa. Et c’est au sein du club Mabanga à Yolo de coach Karamba qui m’a béni et c’est entre ces mains que j’ai abandonné la boxe. Les raisons pour lesquelles j’ai abandonné la boxe sont nombreuses. Un jour je pourrai expliquer à la population. Quand nous venons s’adonner à la boxe, nous avons nos parents et nous voulons que le respect que nous témoignent nos parents, nous voulions que ce respect nous accompagne dans le milieu sportif. Malheureusement dans ce milieu, tu verras un dirigeant qui te fait la cour et lorsqu’il y a voyage on supprime ton nom parce que tu as refusé de céder aux avances. C’est parmi les raisons que j’ai abandonné la boxe. Il faut noter que j’étais 3 fois championne d’Afrique et plusieurs fois championne du Congo’’.

Antoine Bolia




Aïkido: Le DTN de la FECOA Dady Lutaladio, un AS des arts martiaux

Africain le plus haut gradé en Aïkido, Me Dady Lutaladio Kiesse en est CN 4è Dan de cette discipline d’arts martiaux d’origine japonaise.

Avec le concours combien précieux de M. Henry Nko, président de la Fédération Congolaise de l’Aïkido ‘’FECOA’’, dressons dans les lignes qui suivent le portrait de cette AS des arts martiaux.

Quid de son parcours

Me Dady Lutaladio Kiesse a débuté l’étude du Takeda Budo au sein du Ryu Mei Kan Dojo, le 02/02/2010 à raison de 3 cours par semaine : mardi, vendredi et samedi.

Il faudra noter que Me Dady Lutaladio Kiesse étudie l’Aïkido, le Laïdo, le Jodo et le Ju Kempo.

En Aïkido, Me Dady Lutaladio Kiesse a obtenu :

Sa CN 1er Dan le 26/10/2012

Sa CN 2è Dan le 26/06/2015

Sa CN 3è Dan le 22/06/2018

Ainsi, depuis plus de 4 ans, ce dernier a perfectionné sa connaissance de l’ensemble du programme. Et il a étudié le kata du 4è Dan Aïki No Jutsu Takeda Ryu Nakamura Ha qui regroupe un certain nombre de Ko Ryu.

Au sein de Ryu Mei Kan Dojo et ailleurs, Dady Lutaladio Kiesse est unanimement apprécié pour la qualité d’exécution de ses techniques et pour son vif esprit combatif lors des Randori.

Dady Lutaladio a obtenu son 4è Dan le 16 décembre 2022 et devient ainsi le 6è membre du Ryu Mei Kan à atteindre ce niveau en Aïkido.

De sa formation, Me Dady Lutaladio Kiesse est :

-4ème Dan en Aïkido

-2ème Dan en Jukembo

-1ère Dan en Jodo.

Enfin, il faudra noter que Ryu Mei Kan Dojo pense à juste titre que Me Dady Lutaladio Kiesse deviendra son représentant pour enseigner le Takeda Budo en Afrique.

Antoine Bolia




Procès Mwangachuchu: 20.000 USD, passeport, certificats parcellaires retrouvés dans le coffre-fort du député (…)

Aucun document lié à l’affaire mettant en cause le député national Édouard Mwangachuchu au Ministère public n’a été découvert dans le coffre-fort ouvert lundi 4 avril à la Banque centrale du Congo (BCC).

C’est ce qu’indique Albert Mwaka, avocat du commissaire principal Robert Mushamalirwa, co-prévenu de Mwangachuchu.

“Lorsqu’on a effectué la descente à la Banque centrale du Congo, c’était effectivement pour ouvrir le coffre-fort de l’honorable Eduard Mwangachuchu. Il s’est avéré que dans le coffre-fort, on a retrouvé qu’une somme qui peut avoisiner 20.000 $ et des éléments privés tels que passeport, certificats d’enregistrement et d’autres documents liés à ses différentes propriétés. Il n’y a pas d’effets ayant trait à la présente cause. Comme l’argent n’avait rien avoir avec la présente cause, effectivement l’argent a été remis à sa femme”, a dit Albert Mwaka, avocat du deuxième prévenu dans cette affaire, le commissaire principal Robert Mushamaliwa.

La Haute Cour Militaire a renvoyé l’affaire pour le mardi 11 avril prochain pour poursuivre avec l’examen de l’affaire. Édouard Mwangachuchu est soupçonné d’avoir participé à un mouvement insurrectionnel, d’entretenir des liens avec les rebelles du M23, d’incitation des militaires à commettre des actes contraires au devoir et à la discipline, de détenir illégalement de munitions de guerre.

Derick Katola