Le vendredi 14 avril prochain au stade des Martyrs: La commission nationale d’arbitrage en collaboration avec la Conaju organisent une séance de restitution sur les nouvelles règles d’arbitrage

Par un communiqué signé depuis Luanda, en Angola en date du 11 avril 2023 par Me Lukusa Kasenda Victor, secrétaire rapporteur, la Commission Nationale d’arbitrage en collaboration avec la Coordination Nationale des Activités du Judo en RDC organisent une séance de restitution sur les nouvelles règles d’arbitrage, ce vendredi 14 avril 2023 au stade des martyrs juste après le tirage au sort du challenge Me Kiwa.

N.B : La présence de tous les arbitres et tous les coaches est vivement souhaitée avec un caractère obligatoire. Aucune absence ne sera tolérée pour les arbitres. Par ailleurs, ceux des arbitres qui ne prendront pas part à cette activité, se verront d’office exclus pour toute la saison sportive et cela toutes compétitions confondues.

Antoine Bolia




Arts martiaux: Me Mouzeho Faugeres Lopez attendu au championnat d’Afrique de l’Ouest au Mali en septembre 2023

Champion de l’Association Congolaise des Arts martiaux du Congo ‘’A.C.A.M’’ et vainqueur haut la main à GOA Combat 2022, Me Mouzeho Faugeres Lopez, est attendu au championnat d’Afrique de l’Ouest des arts martiaux au moins de septembre 2023.

Athlète de grande valeur et expert en arts martiaux, Me Lopez sera le seul représentant de la République du Congo à ce grand rendez-vous. Il va défendre les couleurs de l’Afrique centrale. Rappelons que ça sera pour la deuxième fois qu’il va évoluer en dehors du territoire de son pays. La 1ère fois, c’était le samedi 22 octobre 2022 dernier dans la ville de GOA, en Inde. Me Lopez avait terrassé à domicile et devant son public, l’indien Harsh Sawant par arrêt de l’arbitre au 2è round en K1 dans la catégorie -63 kg. Il avait du coup remporté le trophée de sa catégorie.

Antoine Bolia




World Kickboxing Association : Le challenge amical inter club a vécu le 9 avril 2023 dans la Commune de Mongo Mpoukou à Pointe Noire

Comme il fallait s’y attendre, tous les amoureux des arts martiaux, des émotions fortes et World Kickboxing Association Congo ‘’WKA’’ qui ont répondu présents au challenge amical inter club du dimanche 9 avril 2023 à Commune de Mongo Mpoukou, 5è arrondissement de la ville de Pointe Voire, en République du Congo sont rentrés satisfaits du spectacle.

Le Challenge amical inter club du 9 avril 2023 est un rendez-vous. 58 participants dont 10 enfants (4 filles) quant au reste des adultes allant de 18 à 25 ans. Quatre clubs s’étaient affrontés (Team Never Stop, Goden Club évolution, Figther Combat Club et le Baobab Boxing). Au total, 29 combats ont tenu en haleine le public durant toute la compétition.

Contrairement à l’affiche où l’on a vu des adultes dont Me Mouzeho Faugeres Lopez, champion de l’Association Congolaise des Arts martiaux du Congo ‘’A.C.A.M’’ et vainqueur haut la main à GOA Combat 2022, n’était pas de la partie. Ils n’ont figuré que raison de marketing. Il nous revient que les choses s’étaient bien passé.

Antoine Bolia 




Football: L’Epfkin reporte les rencontres prévues jeudi 6, vendredi 7 et lundi 10 avril 2023

Dans un communiqué signé par les deux correspondants officiels, en l’occurrence Alain Tsepuk et Xavier Mpiana, respectivement président et secrétaire exécutif provincial, le comité exécutif provincial de l’Entente Provinciale de Football de Kinshasa porte à la connaissance des sportifs kinois en général et de ses sociétaires en particulier que, pour des raisons techniques, tous les matches de jeudi 06, vendredi 07 ainsi que ceux de lundi 10 avril 2023 sont reportés à une date ultérieure.

Antoine Bolia




En prévision du championnat du monde de boxe prévu en Ouzbékistan: 7 Léopards boxes sont convoqués pour entamer la préparation

‘’Qui veut aller loin, ménage sa monture’’, dit-on. La Fédération Congolaise de Boxe l’a bien compris. En championnat du monde qui est prévu en Ouzbékistan du 28 avril au 14 mai prochain, elle a procédé au rappel des troupes. Ainsi, sept (7) Léopards boxes sont convoqués pour ce championnat du monde.

Il s’agit de :

1. Mbaya Mulumba : Kasaï-Oriental (Mi-welter)

2. Steve Kulenguluka : Kinshasa (Super-welter)

3. Tshama David : Haut-Katanga (Moyen)

4. Pita Kabeji : Haut-Katanga (Mi-Lourd)

5. Nathan Mbeli : Kongo Central (Lourd-Léger)

6. William Mukewa : Kongo Central (Lourd)

7. Maroy Sadiki : Kongo Central (Super-Lourd)

Il est à noter que l’équipe nationale de la RDC de boxe s’entraîne chaque matin de 6h à 9h au stade des martyrs sous la supervision de l’entraîneur Toussaint Lofanga.

Antoine Bolia




A la demande du ministre Kabulo dont l’édition est sous son haut patronage : La ‘’F.N.C.SU/D.A’’ reporte le championnat national le 29 avril dans la Salle Polyvalente ‘’La Fontaine’’ à Kasa-Vubu 

Me Apoto Kiala, élu président de la Fédération Nationale Congolaise de Sumo & Disciplines Associées ‘’F.N.C.SU/D.A’’, le dimanche 2 avril 2023 au Jardin botanique de Kinshasa, nous a transmis le programme du 1er du championnat du Congo de Sumo qui connait une nouvelle fois un report.

En effet, ce championnat ne se tiendra plus le 15 avril dans la salle polyvalente ‘’La Fontaine’’ sur avenue Banalia 38, croisement avec l’avenue Gambela dans la Commune de Kasa-Vubu. Sur demande du ministre des sports et Loisirs François Claude Kabulo Muana Kabulo en déplacement en dehors du pays.

Rappelons que cette 1ère édition du championnat national du Sumo est placée sous son haut patronage. Il estime qu’il n’est pas commode que celle-ci se tienne en son absence. D’où le nouveau report à la date du 29 avril 2023 dans la Salle Polyvalente compte du standing La Fontaine.

Le Programme arrêté se présente comme suit :

Vendredi 28/04/2023 : Arrivée des délégations

Samedi 29/04/2023 :

A 14h00 : Arrivée des athlètes

A 14hO5 : arrivée des membres du Comité exécutif de la fédération

A 14h15 : arrivée des invités

A 14h20 : arrivée du président de la fédération

A 14h25 : arrivée du secrétaire général aux sports

A 14h30 : arrivée de son Excellence Monsieur l’Ambassadeur du Japon et madame la Vice-Ministre des hydrocarbures

A 14h35 : arrivée de son Excellence Monsieur le ministre des sports et Loisirs

A 14h40 : Début de la cérémonie Hymne national

-Annonce du programme par le protocole

-Un mot du secrétaire, mot du ministre des sports et loisirs

-Mot de circonstance par le Président national

A 15h00 : combat d’exhibition de WIBK

A 15H10 : combat d’exhibition Sambo

A 15h25 : combat d’exhibition Aikido

A 15h30 : début du championnat

A 16h45 : fin de la cérémonie

A 16h50 : mot de la clôture par le Président de la fédération

A 17h00 : Rafraichissement

Lieu : salle polyvalente ‘’La Fontaine’’ rue Banalia N°38 dans la commune de Kasa-Vubu.

Antoine Bolia




Football : DCMP/K suspend 12 athlètes pour indiscipline notoire

Nous avons été saisis par la Direction de Communication du DCMP/K sur une situation qui préjudicie ce club.

En effet, le comité de Direction du DCMP K informe l’opinion sportive et les Daringmen de la suspension de 12 athlètes pour indiscipline notoire et autres attitudes et comportements portant préjudice au club. Ils seront convoqués par la commission de discipline le 14 avril 2023 au siège de l’équipe à 14 h00.

Il s’agit de :

1. Platini Mpiana

2. Hervé Lomboto

3. Stevie Mundele

4. Christian Ngimbi

5. Nkosi Nader

6. Waka Bofafaka

7. Jimmy Bayindula

8. Kama Kamalanduako

9. Kayembe Christian

10. Tulenge Ricky

11. Doxa Gikanji

12. Jonathan Ikangalombo

Antoine Bolia




Avant la rupture du système de prédation et l’avènement de la 4ème République : Une transition s’impose

Ce mercredi 12 avril 2023, au cours de l’émission ‘Maloba na base’ (entendez Parole à la base) sur la Rtga, sous le thème « Comment briser le paradoxe ‘Rdc pays riche à la population pauvre ? », la Gouverneure honoraire de la province de la Tshuapa et unique femme candidate à la présidentielle de 2018, Marie Josée Ifoku a préconisé la rupture du système de prédation instauré depuis la Conférence de Berlin en 1885 pour instaurer la Renaissance d’un Congo uni. Pour se faire et en vue d’une sortie de crise qui conduira à une 4ème République, la Présidente de l’Alliance des Elites pour un Nouveau Congo (AeNC) suggère de passer par une transition, reposant sur le respect de la Constitution, pour ramener la cohésion nationale. Pourquoi donc la renaissance doit passer par une transition ? Quelle sera sa nature et son objectif ? 

 

« Depuis sa création en 1885 à la Conférence de Berlin en Allemagne jusqu’à la troisième République inaugurée par la Constitution de 2006, l’Etat congolais est lui-même intégré au système de prédation, organisée pour entretenir sa faiblesse, la division, l’insécurité, la pauvreté et l’exploitation des ressources naturelles pour les intérêts des sociétés étrangères », explique Marie Josée Ifoku. Pour celle qui préfère se présenter comme une citoyenne qui ne fait que proposer des pistes de sortie de crise et mettre fin au « Paradoxe RDC, pays riche population pauvre ».

Explicitant au mieux sa pensée, la présidente du mouvement de pression ‘Ekoki, Inatosha’ a affirmé que « Le fonctionnement des régimes politiques successifs depuis l’indépendance, avec les élections organisées jusque-là, celles prévues pour décembre 2023 présentant la même tendance, n’ont eu que le résultat de conserver le système de prédation pour les intérêts de quelques congolais et des étrangers à travers des turbulences politiques, des conflits et la mauvaise gestion de la chose publique, sans que le peuple congolais ne se retrouve et ne sorte de sa misère. La guerre de l’Est, faisant partie des facteurs perturbateurs qui hypothèquent la stabilité de la Rdc, est un défi majeur à l’existence de l’Etat-nation sur les 2.345.410 km² de territoire de la RDC ».

De ce fait, Marie-Josée Ifoku estime donc qu’  « il est impérieux de passer à un autre système de valeurs et de gouvernance, afin d’atteindre la renaissance de la RDC. Ce qui exige de savoir s’arrêter pour réfléchir, créer une cohésion nationale et se préparer à poser les jalons d’un nouveau Congo pendant une période de transition régie par la constitution en vigueur ; ce qui implique le maintien des institutions publiques en place et l’institution du Conseil National de Médiation pour la gestion de certaines questions politiques et autres épineuses et la Commission constituante pour élaborer la Constitution de la 4ème République ».

Quid de la légalité d’une transition ?

De par son cahier des charges, l’émission ‘Maloba na base’ est une émission citoyenne, interactive. Réagissant à la question-thème de l’émission : « Comment briser le paradoxe ‘RDC pays riche à la population pauvre ?», nombre d’auditeurs se sont montrés sceptiques quant à l’organisation d’une ‘Transition’ avant d’entrée à la 4ème République surtout que la constitution ne l’a pas prévu.

« Le fait politique précède le droit, alors que le peuple souverain ne peut être esclave ni de son propre droit ni des lacunes que ce dernier accuse, au moment où il doit se déterminer face au péril de son existence et une multitude de dangers qui menacent la souveraineté et la vie du peuple congolais. Il faut donc créer le droit pour gérer ces faits ou adapter l’application du droit existant à la situation », explique l’initiatrice de la kombolisation.

Il est exact que la transition n’est pas organisée par la constitution. Mais elle tire sa source de la doctrine constitutionnelle. C’est pourquoi, Marie Josée Ifoku veut en faire « une opportunité pour renouer les liens brisés avec la communauté, rétablir les institutions et réfléchir sur l’avenir du pays. Ça sera une opportunité de créer un nouveau système juridique qui s’adapte à nos réalités. C’est ainsi que le plan de sortie de crise prévoit la création d’une commission constituante dont la mission sera de préparer l’avant-projet de la nouvelle constitution qui sera soumise au referendum maximum 18 mois après le début de la transition. C’est cette constitution qui définira les bases saines d’un nouveau départ pour l’émergence de la RDC ».

 

Toutefois, dans son esprit, une transition constitutionnelle est possible en vertu des dispositions de la Constitution en vigueur :

1° L’article 70 de la Constitution, tel qu’il a été interprété par la Cour Constitutionnel, laisse une possibilité de gestion constitutionnelle de la période qui suit la fin de mandat du Président de la République en vertu du principe général de droit de la continuité du service public. « Le Président de la République reste en fonction jusqu’à l’installation effective du nouveau Président élu ».

2° L’article 103 de la Constitution règle également le sort du député national à la fin de son mandat en disant plus clairement qu’il expire à l’installation de la nouvelle Assemblée.

3° L’article 105 de la Constitution règle aussi le sort du sénateur à la fin de son mandat en disant plus clairement qu’il expire à l’installation du nouveau Sénat.

4° La Constitution, ne fixant pas un mandat ou un délai pour le Gouvernement, celui-ci, quant à sa constitution et à sa durée, il dépend de la volonté de la classe politique (majorité parlementaire), du Président de la République et de l’Assemblée Nationale, qui continuent à fonctionner au-delà de leur mandat.

5° Les cours et tribunaux existent et fonctionnent indépendamment des mandats du Parlement et du Président de la République, sauf désignation de certains juges de la Cour Constitutionnelle qui dépendent de ces institutions.

6° Tout en instituant une période post-mandat, la Constitution n’a pas déterminé le délai qui court de la fin du mandat à l’installation du nouveau Président élu, de la nouvelle Assemblée nationale ou du nouveau Sénat. Un délai que la classe politique et la société civile peuvent négocier et déterminer en fonction des objectifs fixés pour la transition.

 

Consolidation de la souveraineté et légitimation des institutions

La transition étant démocratique, le maintien des animateurs actuels des institutions se justifie par le fait qu’ils ne peuvent être remplacés qu’en cas des nouvelles élections. Telle est la volonté du constituant, c’est de la légalité. Toutefois, les crises politiques congolaises depuis son accession à la souveraineté internationale le jeudi30 juin 1960, naissent généralement des contestations des résultats des élections. Ce qui mine l’unité nationale ouvrant ainsi la brèche au ‘prédateurs machiavéliques’ de perpétuer leur système.

La transition permettra aux Congolais d’explorer les brèches dans la cohésion nationale pour les colmater afin de consolider la souveraineté. Quant à la place de l’opposition, « bien qu’en réalité le politiques congolais n’ont pas d’idéologie tranchée comme les vieilles démocraties. Ce qui justifie les transhumances politiques à la veille de chaque élection ou formation de gouvernement », selon Marie Josée Ifoku, l’opposition sera au gouvernement et au Conseil National de Médiation à condition de remplir les critères définis pour faire partie de ces institutions d’autant plus que la proposition ne prévoit pas le maintien de toutes les institutions.

« Cette transition ne sera plus une aubaine pour le ‘partage de gâteau’ comme à la conférence de Berlin et durant les 3 précédentes Républiques, mais une période de formation à la nouvelle citoyenneté et la fonction politique un apostolat à la limite de bénévolat avec un émolument en équité avec le salaire du fonctionnaire », conclue Marie Josée Ifoku.

Willy Makumi Motosia




En juillet 2023: La Rdc va abriter la 29e Assemblée générale de l’Organisation Africaine de Normalisation

C’est dans le but de rendre compétitifs les produits congolais et africains sur le marché international que la République Démocratique du Congo va accueillir au mois de juillet prochain la 29e assemblée générale de l’organisation africaine de normalisation (ARSO).

En mission officielle à Kinshasa , le Secrétaire général de l’Organisation africaine de normalisation, Hermogene Nsengimana a pris part ce mercredi à la réunion consacrée aux préparatifs de cette 29e Assemblée générale de l’organisation africaine de normalisation tenue au ministère de l’industrie; réunion à laquelle ont pris part le Secrétaire général à l’Industrie, Christophe Bitasimwa, le Directeur de Cabinet du ministre de l’Industrie, Jean-Dieudonné Kavese et les experts, membres du comité national de normalisation.

Les exposés et exposition des produits africains seront au centre de cette 29e Assemblée générale de l’Organisation africaine de normalisation, et ce, dans le but de promouvoir la compétitivité des produits africains qui passe obligatoirement par le respect normes dont ISO est l’organisation éditrice au niveau international.

« Concrètement, c’était pour faire le point sur la préparation de la 21ème Assemblée générale de l’organisation africaine de normalisation, voir les avancements dans l’organisation. Je pourrais dire que je suis content des avancements. Il y a beaucoup d’activités. On aura a la réunion du conseil de l’Orain, composée de 12 pays ; l’Assemblée générale qui va être composée de 43 à 45 pays d’Afrique ; on aura les expos pour les PME et les industries de la Rdc pendant toute la semaine du 1er au 7 juillet. Et on va aussi avoir la journée africaine de normalisation », a expliqué Hermogene Nsengimana.

Et d’ajouter, ce que nous sommes en train de faire, ça va aider à la circulation des produits, notamment pour augmenter les produits commercialisés au niveau de l’Afrique. On arrive à 16% et on pense qu’en utilisant une seule norme, un test et une certification acceptée par tous les pays, on pourra arriver à 45%, orsqu’on applique les normes, dans les années 2045.

Signalons que depuis l’arrivée de Julien Paluku Kahongya à la tête du ministère de l’Industrie, la République Démocratique a déjà adopté plus de 2.000 normes.




Une note déclassifiée de la CIA confirme la marocanité du Sahara oriental

Un document déclassifié du renseignement américain reconnaît la souveraineté marocaine sur le Sahara oriental s’étendant de Hassi Beida (province de Béchar) jusqu’à la ville de Tinjoub (sud de Mhamid Ghizlane) et tient la France, l’ancienne puissance coloniale, responsable du différend territorial entre le Maroc et l’Algérie, a rapporté North Africa Post.

Le média North Africa Post a rapporté qu’un mémo déclassifié par la Central Intelligence Agency (CIA) en 2004 a fait allusion de la position juridique et les droits historiques du Maroc pour la libération des derniers territoires sahariens occupés illégalement annexés pendant l’Algérie française au détriment du Maroc.

Selon le réseauté média, le document officiel américain déclassifié met en lumière la « guerre des sables » qui éclata en octobre 1963 entre les deux pays voisins (le Maroc et l’Algérie nouvellement indépendante), soulignant que le tronçon sud-saharien de la frontière maroco-algérienne de Figuig jusqu’au Le Sahara n’a jamais été délimité. Cela signifie que Washington tient la France pour responsable des problèmes frontaliers enchevêtrés dans la région, rappelle la source.

Pendant l’administration française du Maroc et de l’Algérie, les redéfinitions successives de la ligne administrative séparant le Maroc de la juridiction algérienne française ont favorisé l’Algérie, qui faisait légalement partie de la France, alors que le Maroc n’était qu’un protectorat, indique le document de la CIA.

Après avoir accédé à l’indépendance en 1956, les Marocains ont soulevé la question de la récupération de leurs territoires sahariens annexés à l’époque de l’Algérie française, ajoute la note de service des services de renseignement américains.

En 1958, alors que les rebelles algériens opéraient dans la zone saharienne, la France et le Maroc « se sont mis d’accord de manière informelle » sur des zones opérationnelles respectives afin d’éviter des affrontements entre leurs forces.

En vertu de cet accord informel, les Français ont étendu leur occupation au nord et à l’ouest des lignes précédentes, mais la nouvelle ligne n’a reçu aucun statut juridique, souligne le document de la CIA.

« Cette ligne est pourtant adoptée par les Algériens. Les Marocains insistent sur le fait que la véritable frontière est une ligne antérieure, qui place les postes de Hassi Beida et Tinjoub au Maroc. Ces postes sont importants car ils se trouvent sur la principale piste caravanière reliant Colomb-Béchar et Tindouf », révèle le document américain.

 

La note de la CIA cite un accord conclu en 1961 entre feu le roi Hassan II et Ferhat Abbas, alors Premier ministre du gouvernement provisoire algérien, pour récupérer le Sahara oriental marocain, mais les dirigeants algériens ont rompu leur promesse. Ils ont trahi les Marocains qui les ont soutenus pendant leur guerre d’indépendance. Ils ont refusé de restituer les territoires sahariens marocains, préférant s’en tenir aux frontières coloniales héritées.

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