Joao Samuel Caholo : « Grâce à son leadership, Mbusa Nyamwisi a un grand rôle à jouer pour ramener la paix et la sécurité dans l’Est de la Rdc » 

Une CIRGL plus active, efficiente, avec une gestion basée sur les résultats, le Minétat en charge de l’Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi l’a évoqué lors de l’audience qu’il a accordé ce lundi 17 avril 2023, au Secrétaire exécutif de la Conférence internationale sur la région de grands-lacs, M. Joao Samuel Caholo.

Tout a commencé par un huis clos, en tête-à-tête entre le Minétat et le secrétaire exécutif de la CIRGL. Plus d’une heure plus tard, ils ont été rejoints par leurs équipes respectives d’experts. Mbusa Nyamwisi a rappelé combien la RDC s’est employée pour la mise en place de la CIRGL et a longtemps misé sur cette organisation régionale pour le retour de la sécurité, la stabilité et la paix dans la région, particulièrement dans la partie est du pays. Hélas.

Depuis 2004, année de la création de l’organisation régionale qui englobe 12 pays dont tous les États de la sous-région de grands-lacs, l’Est de la RDC vit dans la spirale de bruits de bottes et de détonations des Kalachnikovs. Certes, a reconnu le Minétat Mbusa, chaque pays a ses besoins basiques, ses défis spécifiques mais ce n’est qu’à travers des échanges sincères, au sein des structures régionales, en l’occurrence la CIRGL, que chacun des États membres peut non seulement retrouver son compte mais aussi rassurer ses voisins.

Le ministre d’État congolais en charge de l’Intégration régionale s’est engagé à réactiver la CIRGL particulièrement dans son volet Paix et sécurité.

Le secrétaire exécutif de la CIRGL qui est originaire de l’Angola, un pays ravagé 27 ans durant par la guerre civile et ses corollaires des drames humanitaires, peut, grâce à son expérience et son expertise, s’employer avec succès à la pacification de l’Est du pays.

” J’ai remercié le Tout puissant quand j’ai appris la nomination d’Antipas Mbusa Nyamwisi au portefeuille d’Intégration régionale”, a déclaré Joao Samuel Caholo. Et de renchérir, “Mbusa est un homme de terrain. Il a, grâce à son leadership, un grand rôle à jouer pour ramener la paix et la sécurité dans l’Est du Congo”.

Pour le secrétaire exécutif de la CIRGL, la Rdc est un État-charnière, à califourchon entre le nord et le sud, l’Est et l’ouest du continent. Nous Africains devront-nous mettre pour y ramener la paix.




Mbusa Nyamwisi informé de l’état d’avancement du P-DDRCS    

La redynamisation du P-DDRCS, Programme de Désarmement, Démobilisation, Relèvement Communautaire et Stabilisation, a été au centre, ce 15 avril, des échanges entre son Coordonnateur national, Tambwe Ushindi et le Minétat/Intégration régionale, Mbusa Nyamwisi.

M. Thambwe Ushindi a brossé à l’intention du Minétat un état des lieux d’avancement du P-DDRCS et plaidé pour que chaque ministère qui compose le comité de pilotage dudit programme s’active pour son succès. Plus d’une centaine des groupes armés écument l’Est du pays. Et la région demeure dans l’instabilité voilà pratiquement 25 ans.

Le Coordonnateur national du P-DDRCS est d’avis que le ministère de l’Intégration régionale dispose d’une mission Formelle en ce qui concerne la sensibilisation groupes armés locaux afin qu’ils s’inscrivent dans la logique du P-DDRCS, en collaboration avec des États voisins qui tous co-membres avec la Rdc de différentes organisations régionales.

Le Minétat en charge de l’Intégration régionale et le Coordonnateur national du P-DDRCS ont, pour ce faire, réévalué la cartographie des conflits, les zones d’influence des groupes armés, le chapelet des dialogues et autres assises visant à rétablir un climat d’entente intercommunautaire initiés notamment par le P-DDRCS. L’argent étant le nerf de la guerre, le niveau d’interventions des bailleurs a également été revisité par les deux personnalités.

Il sied de noter que le Coordonnateur de P-DDRCS s’est dit très réconforté par la nomination de Mbusa Nyamwisi à l’Intégration régionale, car Mbusa Nyamwisi s’est impliqué personnellement dans des programmes inhérents à la démobilisation et le désarmement des groupes armés depuis 2009. Il en est un pionnier, a fait comprendre M. Thambwe Ushindi. Le Minétat, a-t-il ajouté, jouit d’une expertise avérée sur les questions de l’est

et qu’il va jouer un rôle important dans la résolution de conflits dans l’est conformément à la vision du chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.




Marches des Kabyles ce dimanche pour l’histoire et l’indépendance

A Paris, comme dans plusieurs autres villes en Europe, en Amérique du nord et ailleurs, la diaspora kabyle a marché ce dimanche 16 avril pour rappeler son « histoire millénaire de résistance et de refus de courber l’échine quel que soit l’agresseur et quel que soit le prix à payer ».

Ils étaient environ vingt mille à manifester à Paris ce dimanche, pour dénoncer la répression algérienne contre le peuple kabyle, pour exiger la libération des prisonniers politiques des geôles algériennes et pour affirmer le droit du peuple kabyle à l’autodétermination.

Convoquée par le Mouvement autonome de Kabylie (MAK) à l’occasion de l’anniversaire du Printemps amazigh (1980-1981) et du Taberkant Tafsut (printemps noir – 2001), la marche de Paris a vu la participation de personnalités et d’artistes kabyles de premier plan et de personnalités internationales, venues exprimer leur soutien au peuple kabyle.

Mais au-delà de la commémoration, ont indiqué les manifestants, « ce sont deux dates clés qui ont façonné l’histoire de la Kabylie moderne tout en tirant ses fondements de son histoire ».

Selon les organisateurs, « la commémoration de cette année portera une marque particulière : celle de la Kabylie éternelle qui reste debout contre vents et marées, celle de la Kabylie qui souffre et qui se bat pacifiquement pour son droit à l’autodétermination, celle de la Kabylie qui refuse d’abdiquer face à la junte algérienne, l’un des régimes les plus dictatoriaux, les plus violents et barbares ».

Scandant des slogans à la gloire du peuple Kabyle et pour la libération des prisonniers, les manifestants qui dénonçaient « le pouvoir assassin » incarné par Alger, ont affirmé que la Kabylie « a fini par casser la chape de plomb qui l’assignait systématiquement au rang de +région+ en gérance pour clamer haut et fort son droit légitime à l’autodétermination et vivre comme un pays libre et indépendant : La Kabylie ».

Pour le Mouvement autonome de Kabylie, la commémoration de ces dates cruciales dans l’histoire récente de la Kabylie intervient « dans un contexte de répression particulièrement sévère et d’acharnement », marqué par une répression sans précédent menée par le régime algérien en Kabylie depuis trois ans.

« La montée au pouvoir des mouvements indépendantistes kabyles, dont les rangs sont constamment renforcés par une jeunesse plus que jamais déterminée à se libérer du joug colonial algérien, a fait perdre la raison à la junte militaire algéroise. Ces derniers, enragés, ont violemment agressé la Kabylie et ses enfants à travers des arrestations arbitraires et des condamnations injustes », estime-t-il.

Etat voyou

Prenant la parole lors de la marche, Axel Belabassi dirigeant éminent du MAK, a affirmé : « Ils nous accusent de terrorisme, alors aujourd’hui nous avons montré au monde avec notre marche civilisée que nous sommes pacifiques et que celui qui pratique le terrorisme c’est le régime algérien voyou ».

Samedi, le Président du Gouvernement Provisoire Kabyle (Anavad), Ferhat Mehenni, a appelé les membres de la diaspora kabyle de toute la France et d’Europe à venir nombreux à la marche.

Il a également demandé aux associations kabyles en France de ne pas organiser d’événements locaux le 16 Avril pour ne pas créer de contraintes à ceux qui veulent marcher pour une Kabylie indépendante, expliquant que « cette marche est d’autant plus importante qu’elle sera un appui populaire au Mémorandum pour l’autodétermination de la Kabylie qui sera déposé à l’ONU quelques jours avant ».

A noter que la marche, initiée sous le signe « Pour la Kabylie et pour sa liberté », s’est déroulée simultanément en Europe (Paris), en Amérique du Nord (Montréal, Washington, New York, Philadelphie, Chicago et San Francisco). « Un déchaînement de fierté est très attendue », ce 20 avril, en Kabylie, notamment à Tizi-Wezzu, Tuvirett et Vgayet, soulignent les organisateurs.

Reporter un match…Eviter une marche

Dans ce même contexte, la rencontre entre la Jeunesse sportive de Kabylie et le Mouloudia d’Alger, prévue ce dimanche, a été déprogrammée. D’abord rejetée par la Ligue de football professionnel algérienne (LFP), la demande de report, formulée par le Wali de Tizi Ouzou, a finalement été validée et le report imposé par ce même wali, dans une intervention d’ordre strictement politique.

Les raisons du report, opéré par les autorités de l’Etat et non du football, n’ont pas été avancées, mais tout le monde sait que le régime algérien craignait un rassemblement des supporters kabyles au même moment où des marches avaient lieu à l’étranger. Le rassemblement dans le stade 1er novembre 1954 à Tizi Ouzou, aurait pu servir de point de départ à une marche populaire en réponse à l’appel lancé par Ferhat Mehenni.

fr.hespress.com




Est de la Rdc : Le PAM peint les hélicoptères en orange pour améliorer la sécurité des travailleurs humanitaires

Le Service aérien humanitaire des Nations unies (UNHAS) a introduit une nouvelle flotte d’hélicoptères peints en orange dans le cadre des efforts visant à améliorer la sécurité des opérations dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), où des millions de personnes ont besoin d’une aide humanitaire vitale.

Cette dernière mesure fait partie d’un ensemble de mesures comprenant l’utilisation d’une couleur distinctive, des négociations d’accès en cours et des initiatives d’engagement communautaire, qui ont été mises en place pour aider les travailleurs humanitaires à atteindre les communautés les plus vulnérables en toute sécurité.

« Si l’hélicoptère que vous voyez là-haut est orange, vous devez savoir qu’il s’agit d’un hélicoptère du PAM”, déclare Peter Musoko, directeur pays du PAM en RDC. “Il transporte des travailleurs humanitaires pour aider à soutenir les personnes les plus vulnérables qui ont besoin d’une aide d’urgence”. Les hélicoptères orange sont un symbole de paix pour les travailleurs de première ligne, afin qu’ils puissent atteindre ceux qui en ont le plus besoin. Le travail du PAM est toujours guidé par les principes humanitaires fondamentaux que sont l’humanité, l’impartialité, la neutralité et l’indépendance.

L’UNHAS fournit des services de transport de passagers et de fret léger vers certaines des régions les plus reculées et les plus difficiles d’accès du monde, qui seraient autrement difficiles à atteindre par voie terrestre en raison des grandes distances, des infrastructures limitées et de l’insécurité. Grâce au soutien des bailleurs de fonds, le service aérien dispose d’une flotte de neuf avions opérant en RDC, dont deux sont entièrement financés par l’Union européenne (UE). En 2023, l’UNHAS a déjà transporté plus de 10 000 travailleurs humanitaires, plus de 160 tonnes de fret essentiel et a évacué plus de 41 personnes nécessitant des soins médicaux urgents.

La situation humanitaire en RDC reste désastreuse. Dans l’est du pays, les affrontements armés ont entraîné des déplacements massifs, des milliers de familles fuyant vers les camps autour de Goma. Plus de 1,1 million de personnes ont besoin d’une aide alimentaire dans le Nord-Kivu, l’Ituri et le Sud-Kivu. Sans ce service aérien, les travailleurs humanitaires n’auraient pas été en mesure d’apporter une aide aux communautés isolées.

Soulignons que le Programme alimentaire mondial des Nations unies est la plus grande organisation humanitaire au monde à sauver des vies dans les situations d’urgence et à utiliser l’assistance alimentaire pour ouvrir la voie à la paix, à la stabilité et à la prospérité pour les personnes qui se remettent d’un conflit, de catastrophes et de l’impact du changement climatique.




Avec l’appui de Meta: Eberande Kolongele lance l’atelier de formation à l’intention des points focaux de différents ministères

La Commission Interministérielle de la Gestion de la charte de l’entité visuelle et du portail du gouvernement (CIGIP) et meta organise ce lundi 17 avril 2023, un atelier de formation à l’intention des points focaux de différents ministères.

Coordonnée par le secrétaire permanent Serge Nguya, cette commission est sous tutelle du ministère du Numérique et celui de la Communication et médias.

Selon le ministre du Numérique, professeur Désiré Eberande, cette formation est plus que cruciale à l’approche des échéances électorales qui se pointent à l’horizon.

“Nous sommes venus ici lancer cette formation que le groupe meta donne à tous nos points focaux qui sont dans la Commission Interministérielle de la Gestion de la charte de l’entité visuelle et du portail du gouvernement. C’est pour renforcer la capacité de nos points focaux sur la manière de gérer le contenu public notamment contre toutes les fausses informations qui peuvent circuler notamment avoir les outils de participation”, a expliqué le professeur Eberande.

Selon notre source, cette formation vise entre autre à empêcher toute interface; Supprimer les contenus nuisibles et améliorer la transparence dans toute manière de communiquer des points focaux de différents ministères.

D’après Mme Balkissa Idé Siddo, Directrice des Politiques Publiques en Afrique chez Meta, la formation porte sur la politique de contenu meta; l’approche aux questions de désinformation et comment profiter des outils numériques sur nos plateformes pour améliorer la communication des institutions publiques (Facebook, WhatsApp, Instagram, Messenger).

Le ministre du Numérique insiste sur le fait qu’à travers cette formation, la commission veut profiter de l’expérience de meta pour faire de mises à niveau des experts de différents ministères.

 

Cette formation rentre dans le cadre de sensibilisation du code du numérique, a expliqué le professeur Eberande.

“Comme vous le savez, le code du Numérique pose un cadre légal de tout ce qui est usage applicatif, cadre légal du contenu, mais aussi de tout ce qui est cyber sécurité et cybercriminalité. Il est donc normal de recourir à meta qui a déjà connu ces différents cas dans le monde. Au niveau de meta, que l’on sache comment apporter à différents endroits l’expérience technique sur le contenu. Il est également important que meta soit au parfum sur la réglementation Congolaise en matière de cybercriminalité et cyber sécurité”, a ajouté le ministre du numérique.

Une précaution du ministère du Numérique pour prévenir des cas d’infraction et se rassurer de l’appui et accompagnement de meta.

Pour rappel, la Commission interministérielle de la Gestion de la charte de l’entité visuelle et du portail du gouvernement, sous la coordination du secrétaire permanent Serge Nguya, se charge de l’implémentation de la nouvelle Charte graphique du Gouvernement ainsi que du portail officiel de la République Démocratique du Congo, afin de doter le pays d’une nouvelle identité visuelle dans sa communication et sa présentation officielle.

La Charte Graphique qui est un condensé des normes graphiques élaborées afin de répondre à la vision du Gouvernement, celle de doter le pays d’une identité visuelle sur tous les supports de communication officielle telles que les brochures d’information, les rapports annuels, les papiers à entête, les cartes de visite professionnelles utilisées par les agents, les campagnes publicitaires, les affiches (posters), les signalétiques, les plateformes numériques, les goodies, les divers communiqués de presse, la carte de service, la signature des mails, etc.




Flux financiers illicites en provenance de l’Afrique : L’APLC en atelier sur la mise en œuvre des recommandations du Groupe de Haut Niveau UA

L’Agence nationale de prévention et de lutte contre la corruption (APLC), une structure spécialisée rattachée à la présidence de la République, a organisé un atelier sur la mise en œuvre des recommandations du Groupe de Haut Niveau UA sur les flux financiers illicites en provenance de l’Afrique et elle a procédé au lancement d’une étude sur les flux financiers illicites en provenance de la Rdc afin de les identifier, les poursuivre et les recouvrer.




Soirée de gala des jeunes et étudiants

Le 15 avril au soir a eu lieu une soirée de gala des jeunes et étudiants sur la place Kim Il Sung.

La soirée a commencé au son du chant « Chantons la Fête du Soleil ».

Les participants ont dansé avec allégresse, animés d’un sentiment de vénération sans borne envers les grands hommes sans pareils qui avaient érigé les jeunes coréens en continuateurs de la révolution Juche dignes de confiance et protagonistes d’un Etat puissant.

Ont éclaté des feux d’artifice au-dessus de la place alors que retentissaient des chants, notamment le chant « Marche des jeunes bâtisseurs du socialisme », etc.

La soirée de gala a montré la volonté révolutionnaire de la nouvelle génération d’avancer vigoureusement à la tête de la lutte pour réaliser brillamment sous la direction du grand Parti le vœu patriotique des grands hommes sans égaux d’édifier un Etat puissant.

 

Spectacle de célébration

 

Le 15 avril s’est joué en grande pompe à Pyongyang le spectacle des participants au 8e festival artistique du Peuple Printemps d’Avril.

Y ont assisté des responsables du Parti et du gouvernement, dont Choe Ryong Hae et Ri Pyong Chol, membres du Présidium du Bureau politique du Comité central du Parti du travail de Corée, des cadres du secteur concerné et des Pyongyangeois.

Ont été mis en scène des numéros variés, y compris des hymnes que les Coréens chantaient fièrement de siècle en siècle.

Les artistes ont loué grandement la gloire de la Corée à briller pour toujours et la grande chance de la nation coréenne.

Les spectacles ont donné également des chefs-d’œuvre musicaux de l’époque à la louange du respecté camarade Kim Jong Un qui conduit avec clairvoyance le socialisme à la coréenne, héritage patriotique le plus précieux du Président Kim Il Sung, vers de nouveaux changements et développement.

Le spectacle donné par les spécialistes et amateurs de prestidigitation a fait la joie de l’assistance.

Le spectacle de célébration a été vivement applaudi par les spectateurs.

 

Bal de gala des femmes

 

A l’occasion du 111e anniversaire de la naissance du Président Kim Il Sung a eu lieu le 15 avril sur la place de l’Arc de triomphe un bal de gala des permanentes et membres de l’Union des femmes.

Les femmes ont dansé avec allégresse, animées d’un sentiment de vénération sans borne envers les grands hommes qui avaient su inaugurer une nouvelle ère du mouvement des femmes coréennes et ériger celles-ci en les plus belles fleurs du pays et de l’époque.

Le bal de gala a montré clairement la volonté révolutionnaire des femmes coréennes de rester absolument fidèles à la direction du Comité central du Parti et de contribuer efficacement à la prospérité et au développement de la patrie qui vaut une grande famille socialiste.

 

Célébration de la Fête du Soleil en RPDC

 

Le peuple coréen a célébré de façon significative le 111e anniversaire de la naissance du Président Kim Il Sung.

Un grand nombre de gens ont visité le Palais du Soleil de Kumsusan, temple suprême du Juche, et se sont remémoré les inoubliables exploits du Président Kim Il Sung et du Dirigeant Kim Jong Il.

Les militaires et civils, y compris les jeunes et étudiants, ont déposé des corbeilles et bouquets de fleurs devant les statues et les portraits rayonnants du Président et du Dirigeant, érigés partout dans le pays, notamment la colline Mansu, et se sont inclinés respectueusement.

Lors de leur visite de la maison natale de Kim Il Sung à Mangyongdae, les gens du peuple se sont reportés avec émotion à la vie révolutionnaire de ce grand homme.

A l’occasion de la Fête du Soleil, tous les enfants et écoliers de crèches, écoles maternelles et primaires du pays ont reçu des présents marqués de l’affection.

Des cérémonies d’adhésion des enfants à l’Organisation des enfants de Corée ont eu lieu dans tous les provinces, villes et arrondissements du pays.

En faisant le tour de l’Exposition centrale de photos, de l’Exposition centrale des beaux-arts et d’autres, les visiteurs s’inspirent de nouveau des hauts faits accomplis du Président Kim Il Sung.

En outre, des spectacles variés se sont joués à la capitale et en province.

Remarquons également que ce jour-là, on a offert des services particuliers dans des restaurants du pays pour faire la joie du peuple.

Commencement du camping à des colonies de vacances

A l’occasion de la Fête du Soleil a commencé le 1er camping à des colonies de vacances du pays.

Le 15 avril a eu lieu la cérémonie de commencement du 1er camping des enfants à la colonie de vacances internationale de Songdowon.

Y ont pris part Chae Il Ryong, président du comité populaire de la province du Kangwon, Kim Myong Chol, secrétaire du comité du Parti de cette province, Kim Kyong Jun, vice-président du Comité central de l’Union de la jeunesse, le personnel enseignant et administratif de la colonie, ainsi que les vacanciers.

Les participants ont déposé des corbeilles de fleurs devant les statues du Président Kim Il Sung et du Dirigeant Kim Jong Il, érigées dans l’enceinte de la colonie, avant de s’incliner profondément.

Ce jour-là, le camping des élèves a commencé à des colonies de vacances de toutes les régions du pays, entre autres la colonie de vacances de Mangyongdae et celle de Yonphungho.

 




L’AFDC pas impliqué dans les déboires de l’ex-ministre Jean-Marie Kalumba 

Demis du Gouvernement au terme d’une motion de déchéance initiée à l’Assemblée nationale, l’ancien ministre de l’Economie nationale, Jean-Marie Kalumba Yuma, s’illustre depuis quelque temps par des fausses déclarations, outrageantes et diffamatoires sur les réseaux sociaux, à l’endroit de l’Autorité Morale de l’AFDC (Alliance des Forces Démocratiques du Congo), Parti dont il n’est plus membre, et contre quelques autorités établies, dans le but malsain de jeter l’opprobre et le discrédit sur le Parti cher à l’Honorable Modeste Bahati Lukwebo, et sur les Institutions du pays.

Dans un communiqué rendu public à cet effet, Gianni Mulumba Mukelenge, au nom de la Cellcom AFDC, constate que les contre-vérités distillées sur les réseaux sociaux par cet ancien membre de l’AFDC témoignent de l’incompétence et l’amateurisme de cet homme tombé de haut et qui cherche à attribuer son cuisant échec à d’autres.

« A l’instant de son Initiateur et Autorité morale, l’Alliance des Forces Démocratiques du Congo est un parti d’excellence et qui a toujours fonctionné sur des bases saines depuis sa création, et non sur base de la prédation », indique le même document, qui estime que c’est ce qui explique d’ailleurs les adhésions massives que continue à enregistrer l’AFDC devenue la première force politique, en dépit des coups bas, de la jalousie et des complots dont elle est de plus en plus l’objet de la part de certains adversaires politiques.

Ainsi, l’AFDC dément catégoriquement toute implication dans les déboires de M. Jean-Marie Kalumba, tout comme les faramineuses sommes d’argent qu’il prétend avoir déboursées.

« L’AFDC précise par ailleurs que son Autorité Morale qui est aussi Président élu du Bureau du Sénat n’a jamais tenu une réunion avec les opérateurs économiques, prérogative qui ne relève pas de sa compétence », indique le communiqué de presse.

M. Jean-Marie Kalumba ne doit donc pas se justifier par des allégations mensongères pour créer son propre parti politique. Il est libre de partir où il veut. L’Autorité Morale de l’AFDC s’attendait plutôt à un acte de gratitude de la part de M. Jean-Marie Kalumba tel qu’il l’avait déclaré devant sa Communauté réunie au Cercle ex. ONATRA.

Le Parti de la houe met en garde quiconque chercherait à salir l’honneur et la réputation de son Autorité Morale, au risque de s’exposer à des poursuites judiciaires.

L’AFDC réitère, une fois de plus, son soutien total au Président de la République et Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Initiateur de l’Union Sacrée et candidat de l’AFDC pour l’élection présidentielle prévue en décembre prochain.




Sondage Echos d’opinion : Les partis politiques signataires de la charte de l’Union sacrée qui sont plus visibles et travaillent pour la réélection du chef de l’Etat

Au lendemain de sa rupture d’avec le Front commun du Congo –FCC-, le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, avait décidé de mettre en place sa nouvelle plateforme politique. Ce, pour se donner des marges de manœuvres dans la mise en œuvre de sa vision coulée sous forme de programme d’action que le gouvernement dirigé par le Premier ministre Sama Lukonde est en train d’exécuter. Il sied de signaler qu’en France, il a existé lors de la première guerre mondiale, une Union sacrée, nom donné au mouvement de rapprochement politique qui a soudé les populations de toutes tendances politiques ou religieuses. Pendant la transition mobutienne, Etienne Tshisekedi de pieuse mémoire avait aussi dirigé une plateforme de l’Union sacrée de l’opposition radicale et alliés-USORAL.

L’actuelle Union sacrée comporte une Charte comprenant 76 articles regroupés en 9 chapitres précédés d’un préambule. Elle est le résultat d’un examen minutieux de plusieurs séances de travaux. Mais comme toute œuvre humaine, la Charte est perfectible, a dit Christophe Mboso, un des ténors de ladite plateforme.

La signature de cette charte par les membres de l’Union sacrée de la nation est intervenue le mercredi 5 avril à Kinshasa. Cette plateforme politique est appelée à soutenir la candidature de Félix Tshisekedi à la présidentielle de décembre 2023. La Charte signée par tous les membres, est un ensemble de principes et de règles à respecter et à faire respecter par tous.

Cependant, l’opinion nationale et internationale constate que l’Union sacrée de la nation risque d’être un conglomérat de leaders politiques venus à la recherche de postes, et non parce qu’ils sont capables d’apporter un soutien solide à Félix Tshisekedi. Nombre de ces partis membres ne disposent même pas des assises sociologiques sur le terrain. En d’autres termes, l’on se trouve, sans risque de se tromper, en face des menus fretins.

En effet, sur les 600 partis politiques enregistrés au ministère de l’Intérieur, 200 d’entre eux ont adhéré à l’Union sacrée. Que peuvent-ils apporter au chef de l’Etat en termes d’appui sur le terrain? Disposent-ils de moyens humains et matériels suffisants pour mobiliser l’électorat en faveur de leur candidat? Ce sont là des questions posées par les agents de l’Institut de sondage Echos d’opinion lors d’un sondage réalisé au lendemain de la signature de la Charte de cette plateforme politique.

Voici les résultats de ce sondage :

Alliance des Congolais progressistes, 86%

L’Alliance des Congolais Progressistes, parti politique créé par Gentiny Ngobila Mbaka damne de plus en plus  le pion à d’anciens grands partis politiques ayant vu le jour avant lui. Il s’agit des partis qui étaient jusque-là réputés pour leur caractère ancien et national. Dans toutes les provinces, l’ACP enregistre des adhésions massives. Sa machine ramasse de jour comme de nuit les Congolais pour le compte du parti du premier  citoyen de la ville de Kinshasa. Un peu partout, l’Alliance des Congolais Patriotes  malmène donc malicieusement ces anciens partis.  L’ACP ratisse large et vise d’avaler ces provinces aux prochaines élections. Les adversaires politiques qui minimisent ce pari pourraient être surpris le moment voulu. Connaissant à fond les populations congolaises, le président de l’ACP met en jeu son expérience pour bien attirer les adhérents.

2. L’UDPS : Augustin Kabuya, 83%

L’Union pour la démocratie et le progrès social –UDPS- est un vieux parti né en pleine dictature pour revendiquer l’ouverture démocratique dans notre pays. A ce jour, ce parti est encore auréolé de l’héritage de son président historique, Etienne Tshisekedi. Bien plus, la vision que s’est fixée son fils, Félix Tshisekedi dès son accession à la magistrature suprême plaçant le peuple au centre de toute action, fait que le parti jouit de la confiance de la population. L’Union pour la démocratie et le progrès social est dès lors considéré par les Congolais comme le plus à même de proposer des solutions aux problèmes qui se posent dans le pays. On lui reconnait aussi une forte capacité de mobilisation de masses et des militants due notamment à la ténacité, consistance, intransigeance et à l’inflexibilité de son leader qui est resté égal à lui-même tout au long de son long combat politique.

Le Mouvement de libération du Congo: 80%.

 

Le parti dirigé par l’ancien vice-président de la République, aujourd’hui vice-Premier ministre en charge de la Défense nationale et Anciens combattants, se positionne comme un parti qui a échappé à la disparition après le départ de la quasi-totalité de ses premiers cadres influents au lendemain de l’emprisonnement à la Haye de son leader. Grâce à la ténacité de sa secrétaire générale, Eve Bazaiba, le Mouvement de libération du Congo a pu résister à la tempête, et depuis le retour à Kinshasa de Jean-Pierre Bemba, il reprend du poil de la bête sur l’ensemble du pays.

APOCM : 72%

Le parti de l’Alliance des paysans et ouvriers de la classe moyenne pour un développement durable, dirigé par Abdon Ekila, est implanté dans certaines provinces où il mobilise ses cadres, militants et sympathisants pour la réélection de Félix Tshisekedi en décembre 2023. APOCM indique par ailleurs qu’elle poursuit ses actions visant à sensibiliser la communauté pour la collaboration avec les services de sécurité, mais aussi pour accompagner les autorités dans leurs actions visant à restaurer la paix dans la partie Est de notre pays.

La Convention pour la République et la Démocratie, 68%

La Convention pour la République et la Démocratie, parti de Christophe Mboso Nkodia, président de l’assemblée nationale, n’a jamais cessé de mobiliser ses membres pour faire réélire Félix Tshisekedi en décembre 2023. Son électorat est surtout basé dans les milieux originaires de la province dont est issu le speaker de la chambre basse du Parlement. C’est dans ces milieux que le parti organise régulièrement des rassemblements populaires pour les tenir en éveil, et ainsi éviter tout discours négatif qui ne pourrait que les distraire.

AFDC : 64 %

Dans une déclaration politique datée de lundi 26 juillet 2021, le regroupement politique Alliance des forces démocratiques du Congo et Alliés -AFDC-A- avait déjà désigné le chef de l’Etat Félix Tshisekedi, comme candidat de cette plateforme à la prochaine élection présidentielle. Cette décision avait été prise par la direction de l’AFDC-A, à l’issue de la réunion extraordinaire approuvée par toutes les têtes couronnées, à savoir les présidents des partis membres, les personnalités politiques, les députés nationaux, les sénateurs ainsi que les ministres. Le président du Sénat va apporter son électorat de l’Est à Fatshi comme dans d’autres coins du pays.

Le signal envoyé au chef de l’État est clair. L’Udps peut aujourd’hui compter sur la machine politique de l’AFDC-A de Modeste Bahati pour conserver le pouvoir jusqu’en 2028.

Union pour la Nation Congolaise: 63%

L’actuel vice-Premier ministre en charge de l’économie nationale, soutient fermement Félix Tshisekedi pour l’élection présidentielle du 23 décembre 2023. Lors de ses tournées dans la partie Est du pays où il vient de se rendre, pour la seconde fois, pour se faire enrôler et obtenir sa carte d’électeur, celui que ses sympathisants qualifient de « pacificateur jusqu’au bout », estime que la RDC a eu la chance d’avoir le leader de l’UDPS comme président de la République. Pour cela, il s’est dit déterminé à le soutenir afin qu’il parachève l’action salvatrice menée tout au long du quinquennat qui tire lentement mais sûrement à sa fin.

l’Alliance des Démocrates pour le Progrès, 48%

Le parti de l’Alliance des Démocrates pour le Progrès –ADP- de Christophe Lutundula a choisi, sans détours, de soutenir la candidature de Félix Tshisekedi à l’élection présidentielle de décembre prochain. Autorité morale d’une formation politique qui vient à peine de voir le jour, et qui n’est pas encore suffisamment implantée à travers le pays, le vice-Premier ministre en charge des Affaires étrangères estime qu’il ne peut se montrer ingrat à l’endroit du chef de l’Etat qui continue de lui faire confiance en le maintenant à ses fonctions.

CCU : 43%

Dans une déclaration politique, Lambert Mende et les partis politiques membres du regroupement de la Convention des Congolais unis –CCU- et alliés, ont annoncé officiellement leur adhésion à l’Union sacrée de la Nation.

La CCU et alliés affirment vouloir ainsi contribuer à mettre fin à la crise au Congo et rétablir la cohésion nationale pour permettre au pays et à ses institutions de prendre en charge les priorités du développement, et de faire face à l’instabilité et à l’insécurité à l’est de la RDC.

FIDEC : 40%

Au cours d’un point de presse, Marie-Louise Epoli, haut cadre du Front des indépendants pour la démocratie chrétienne –FIDEC-, a affirmé que le parti de Fifi Masuka soutient  la candidature de Félix Tshisekedi aux élections présidentielles de 2023. De même, Madame Epoli précise que le parti de la femme forte du Lualaba alignera des candidats aux élections législatives nationales et provinciales, ainsi qu’aux élections locales pour y rafler la majorité. « Notre candidat chez nous c’est Félix Tshisekedi. Nous le soutenons, nous voulons avoir la majorité dans les assemblées provinciales, à l’assemblée nationale, même au Sénat. », a dit Marie-Louise Epoli. Issue du démembrement du grand Katanga, la riche province de Lualaba demeure favorable au président Félix Tshisekedi.

BUREC : 36%

Le parti politique Bloc Uni pour la Renaissance et l’Emergence du Congo –BUREC- «a pris une grande résolution à savoir: le soutien de Felix Tshisekedi à la magistrature suprême en 2023». Ce parti de Julien Paluku Kahongya, ancien gouverneur du Nord-Kivu et actuel ministre de l’Industrie,  appelle donc ses militants à s’enrôler massivement pour participer aux élections de décembre prochain afin de donner la majorité écrasante au président de la République et permettre au BUREC de produire plus d’élus. Dans cette déclaration, le parti politique se dit par ailleurs être de coeur avec la population de l’Est de la RDC victime d’agression de la part des pays voisins dont le Rwanda.

Agir pour la République: 32%

Plus rien ne sera comme avant pour le philanthrope Maître Guy Loando Mboyo, initiateur de la Fondation Widal et ministre d’Etat en charge de l’Aménagement du territoire. Cette personnalité politique de la nouvelle génération s’est déjà distinguée par son inconditionnel engagement dans la recherche de l’amélioration des conditions de vie des Congolais aux côtés du chef de l’Etat Felix Tshisekedi Tshilombo pour qui il témoigne une fidélité sans faille. Loin d’un parti-mallette, ce dernier se veut être, dès sa naissance, un grand parti qui préfère l’action au discours, à l’image de son initiateur.

Adèle Kayinda: 30%

Le parti Alliance des démocrates chrétiens –ALDEC- dont la ministre d’État en charge du Portefeuille, Adèle Kayinda Mahina, est l’autorité morale, a affirmé que son candidat à la présidentielle de 2023 est l’actuel chef de l’État de la RDC, Félix Tshisekedi. « Nous, à ALDEC, nous disons ceci: 2023, c’est Fatshi béton ou rien”, a-t-elle déclaré avec les membres de son parti politique.

15. Congo Espoir : 29%

Le parti politique Congo Espoir du ministre José Mpanda Kabangu croit fermement en l’organisation des élections. Le parti exprime son souci majeur de voir les élections être organisées en 2023 pour que le Président de la République ait une majorité valable dans son deuxième mandat, en vue de bien diriger le pays.

16. Ligue pour l’émergence de la Démocratie : 25%

 

Les partis membres de cette famille politique s’activent déjà sur le terrain. C’est le cas de la Ligue pour l’émergence et la démocratie –LED- qui a lancé une vaste campagne nationale d’adhésion massive de nouveaux membres, sous le thème “Pour mon Congo et mon avenir, je prends mes responsabilités, j’adhère à la LED”.

“Un parti politique naît pour conquérir le pouvoir d’Etat et l’exercer dignement, conformément à sa ligne idéologique. La LED est résolument engagée à se faire une place de choix au pouvoir en 2023, pour le grand bonheur de tous les Congolais. Toutes les forces vives du parti sont mobilisées pour l’atteinte de cet objectif. Souscrivez sans hésitation à l’offre politique de la LED, car elle est la plus complète et la plus à même de vous permettre de participer activement à la reconstruction de notre cher et beau pays. La gouvernance qui sera en œuvre dès 2023, sera celle que nous aurons définie ensemble. C’est le moment donc d’embarquer. Votre adhésion massive consolidera la légitimité populaire de notre engagement et combat politique”, a indiqué Guy-Didier Kintambu.

17. Parti travailliste: 20%

 

Steve Mbikayi s’est déjà prononcé sur le dossier de soutien à la candidature de Félix Tshisekedi à la présidentielle de 2023. « Nous avons toujours été anticipatifs. Ceux qui nous ont traités de flatteurs hier nous ont rejoints. Fatshi est aussi leur candidat en 2023», a-t-il déclaré.

18. Le Congrès national congolais: 19%

 

Le Congrès national congolais se range en ordre de bataille pour faire triompher le chef de l’Etat Félix Tshisekedi à la présidentielle de 2023, pour un second mandat à la tête du pays. L’autorité morale de ce parti, Pius Muabilu, a donné ce mot d’ordre, lundi 17 mai, lors de l’investiture officielle des membres de son bureau politique venus de toutes les provinces du pays.  « Mettons-nous en ordre de bataille. C’est le seul mot d’ordre que je vous donne », a déclaré le patron du CNC. A en croire Pius Muabilu, Félix Tshisekedi mérite un second mandant, au regard de l’actuelle performance du chef de l’Etat et de son gouvernement en matière de mobilisation des recettes en RDC.

Selon lui, ces performances sont le fruit de l’amour du chef de l’Etat et de tous les membres du gouvernement envers le pays. Le pays se redresse peu à peu, nonobstant la situation sécuritaire volatile de l’Est du pays, reconnait Pius Muabilu.

19. Le parti lumumbiste unifié : 18%

Dans un communiqué daté du 10 décembre 2020, le Secrétaire permanent intérimaire et porte-parole du parti, Godefroid Mayobo, avait indiqué que cette formation politique avait pris fait et cause pour la candidature de Félix Tshisekedi en décembre 2023.

20. CODE : 15%

La Coalition des démocrates –CODE-, regroupement politique que chapeaute Jean-Lucien Bussa, vient de rallonger la liste de ses membres avec l’adhésion, le vendredi 09 septembre 2022, du Mouvement national congolais/Lumumba, parti politique que dirige François Lumumba (fils de Patrice Emery Lumumba).

La délégation du MNC/L était composée notamment de professeurs d’universités, hauts-cadres d’entreprises.

« Nous sommes réunis pour accueillir François Lumumba. Comme vous savez, 2023 approche à grand pas, c’est le moment de se préparer, pour qu’après les élections notre regroupement politique doit donner beaucoup de députés, on doit être un courant politique qui doit compter demain. Il est important d’atteindre les objectifs qui sont les nôtres. Pour agir, il faut interagir. On doit constituer un groupe fort qui porte la RDC. On doit avoir la capacité d’être la force qui donne les moyens au chef de l’État de conduire sa vision. Donner de la force à ce candidat président pour les échéances à venir », a déclaré Jean-Lucien Bussa.

Sondage Echos d’opinion

 




Le critère de père et de mère ne peut être un problème : Le vrai problème se situe dans l’agenda de celui qui en a fait son problème personnel

Le problème ne se situe nullement dans le critère d’éligibilité à la présidentielle en Rdc qui veut que le candidat soit de père et de mère d’origine congolais. Car, très très peu de compatriotes sont concernés par cette limitation tout à fait normale. Ceux d’entre eux qui ont des vraies ambitions politiques orientées vers l’intérêt national acceptent ce critère et s’engage à le défendre face à la nécessité de protéger la patrie confrontée à d’énormes défis géostratégiques et géopolitiques internationaux.

On le sait, cette proposition de loi soulève des vagues provoquées par un individu fortuné derrière lequel des intérêts impérialistes et lobbies maffieux agitent dangereusement l’opinion. En temps normal, rien ne se passerait. À l’époque du MPR Parti-Etat, le critère d’être de père et de mère était inscrit comme condition pour candidater à la présidence. D’autres pays sont sur cette ligne d’exigence et tout se passe normalement. À mon avis, l’histoire récente de notre patrie participe de l’intérêt d’insérer ce critère dans les conditions d’éligibilité à la magistrature suprême. La loi étant édictée de manière générale et impersonnelle, se sentir visés me paraît suspect.

Seulement voilà. Il y a un candidat qui avec ses millions de dollars pense que son ambition de devenir à tout prix président en Rdc ne doit rencontrer aucun obstacle. C’est en fait lui et son carnet d’adresse international le problème et non cette limitation qui est tout à fait compréhensible. Nous avons vu défiler des diplomates des pays impérialistes chez le président de l’assemblée nationale et celui du Sénat pour faire le plaidoyer de leurs intérêts maffieux. Pourquoi seulement en Rdc alors que cela est inimaginable ailleurs ????

Daniel Makila K, Nationaliste de Gauche, Fils de Lumumbiste