Vers un rapprochement entre la CENI et META pour réduire la désinformation électorale dans l’utilisation des réseaux sociaux

M. Denis Kadima Kazadi, président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), s’est entretenu avec une délégation de l’entreprise META qui regroupe notamment les réseaux sociaux tels que Facebook, Messenger, Whatsapp ou encore Instagram, conduite par Mme Siddo Ide Balkissa, Directrice des politiques publiques Afrique.

Le rapprochement entre les deux institutions s’inscrit dans la logique de réduire la désinformation et l’ingérence électorale dans l’utilisation des outils numériques de META.

Le numéro un de la Centrale électorale a apprécié la synergie qui prend corps entre son institution et le groupe, matérialisée par une séance de formation organisée dans la même journée au bénéfice de l’équipe Communication de la CENI à laquelle ont pris part quelques cadres et agents, sous la supervision du Directeur de cabinet, Dieudonné Tshiyoyo.

Remerciant l’équipe META qui a dû bousculer ses programmes pour aménager le temps qu’il fallait en vue de dispenser cette formation, le Directeur de cabinet a souligné l’importance de première force que revêtent les outils numériques devenus incontournables, surtout dans le contexte électoral.

Mme Siddo Ide Balkissa, Directrice des politiques publiques Afrique a expliqué que plus de 40 000 personnes, à travers le monde, travaillent dans le domaine de la sécurité. C’est trois fois plus qu’en 2017. Et qu’au sein de l’entreprise même, 40 équipes sont impliquées dans ce travail. Non sans avoir rappelé que « nous tirons des leçons de récents scrutins aussi bien en Afrique qu’ailleurs, par exemple celles de février au Cameroun, au Canada, en Inde, en Indonésie et dans l’UE et les élections de mi-mandat aux Etats-Unis afin d’améliorer l’expérience utilisateur”.

Prenant le relais, la responsable des programmes des partenaires de confiance, Mme Jeanne Elone et ses collègues des politiques publiques Afrique francophone, Ilunga Mpyana, et Judith Mongala, Responsable partenariat, gouvernements, ONG, comme parlant d’une même voix, ont mis l’accent sur les différentes méthodologies de travail avec des tâches bien précises obéissant aux objectifs clés édictés : empêcher toute ingérence, supprimer les contenus nuisibles et limiter la désinformation, en plus d’améliorer la transparence.

Pour sa part, Tom Bonsundy O’bryan s’est appesanti sur la lutte de tous les instants à laquelle se livre META contre les producteurs des fake news sur leurs plateformes.

Dans la partie interactive, les participants ont soulevé des questions auxquelles les experts ont apporté les réponses convenues.

C’est au terme de cette première rencontre qui ouvre une série de plusieurs autres que le Directeur de cabinet s’est réjoui de toutes les informations partagées et surtout de cette collaboration qui s’instaure entre la CENI et l’entreprise META.

Rappelons que sur les 3,7 milliards d’utilisateurs de l’application Facebook (plus de la moitié de la population mondiale), 204 millions sont localisés en Afrique Sub-saharienne.




Kasaï-Central : Les agents et cadres de l’Assemblée provinciale dans la rue pour dénoncer le plan de déstabilisation des institutions

La matinée de ce mercredi 19 avril s’est annoncée avec les bruits difficiles à maîtriser.

Ce sont des agents de l’Assemblée provinciale du Kasaï Central qui ont pris d’assaut les rues de la ville de Kananga pour dénoncer un plan de déstabilisation des institutions provinciales par un groupe de députés provinciaux.

Dans leur mémorandum adressé au Chef de l’État, les manifestants dénoncent une “pétition alimentaire” initiée par un groupe des élus provinciaux contre le bureau de cette institution.

Ce plan de déstabilisation, poursuivent-ils, consiste également à renverser le gouverneur et tous les membres de son gouvernement par le biais d’une motion de censure.

Ce groupe de députés provinciaux, précisent ces agents et cadres de l’Assemblée provinciale, accuse le bureau de l’organe délibérant de travailler en franche collaboration avec le gouverneur John Kabeya Shikayi.

Ils affirment que la population en a marre des motions et pétitions intempestives qui n’ont eu pour effet que de clouer au sol la province.

“Soucieux de la stabilité des institutions politiques de notre province, implorons votre implication personnelle en vue de faire échec à ces actes ignobles de députés provinciaux qui plongent la province dans le sous-développement”, écrivent-ils au Chef de l’État.

Il sied de noter que l’Assemblée provinciale du Kasaï Central est à son troisième bureau au cours de cette législature, après la déchéance de Patrice Aimé Sesanga et Muntu Woma Gérôme.

Jean-Luc Lukanda




EPST : Tony Mwaba informé sur les avantages de la numérisation de l’enseignement

M. José Lami Nzunzu, Conseiller du Chef de l’Etat au Collège Education, Recherche Scientifique, Culture, Arts et Questions Religieuses, a conduit auprès du ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi, ce mercredi 19 avril 2023, l’équipe qui avait effectué la mission à Abu Dhabi, aux Emirats Arabes Unis, pour suivre une formation sur le renforcement des capacités en système d’information, dans le but de comprendre le Système d’Application de ALEF/EDUCATION pour enseignement via l’outil informatique afin de commencer un projet pilote similaire en République Démocratique du Congo.

Ce système consiste à numériser l’enseignement en République Démocratique du Congo, a expliqué le professeur Lami Nzunzu José qui a été complété par M. Emmanuel Diaka Niania, Chef de Division, Information à la DINACOPE.

Ce système permet à chaque enseignant, chaque élève ou parent de disposer d’un compte authentique d’accès.

De cette manière, l’enseignant doit avoir la matière précise, le sujet précis, la liste des élèves connectés, les outils pour la leçon, a expliqué M. Emmanuel Diaka Niania avant de préciser que l’enseignant doit diviser les élèves en groupe et ce, suivant le niveau de performance. Il doit également récompenser les élèves selon leurs performances. Ainsi, les parents suivent les performances scolaires de leurs enfants et communiquent avec l’enseignement.

Ce système présente beaucoup d’avantages, a révélé M. Emmanuel Diaka, notamment en ce qui concerne le learning : l’apprentissage rapide et autonome de l’élève, la mise à niveau de l’enseignant. En management : la gestion de la plateforme.

Ce système permet également une communication entre l’élève, l’enseignant, le parent et le responsable du Ministère de l’éducation ; tandis que la plateforme permet à l’enseignant de connaitre et suivre le vrai besoin de l’élève, a-t-il poursuivi.

La plateforme Alef éducation fonctionne depuis 2007 et tous les jours ils font des recherches pour améliorer et personnaliser selon le besoin du client.

Le Chef d’établissement peut connaitre les leçons trimestrielles en cours et terminés des différents niveaux et par classe. Et il est possible à l’Inspecteur scolaire de diagnostiquer le niveau de l’école et remonter le niveau qu’il soit au même niveau que les autres écoles, a conclu Monsieur Diaka.

En réaction, le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, s’est dit très satisfait de ce projet qui vient rencontrer son souci, qui est, à côté de la gratuité de l’enseignement primaire, celui de relever la qualité de l’enseignement. Toutefois, il a émis les réserves quant à la fourniture en énergie électrique et surtout l’accès à l’Internet dans des milieux ruraux.

A cette préoccupation, la délégation du Conseiller du Président de la République, a indiqué que le projet a prévu l’installation des serveurs locaux et les tablettes fonctionnent en mode offline et en mode connecté.




Code de procédure pénale:  Juvénal Munubo pour l’exemption de tous les frais de justice en faveur des victimes des violences sexuelles et basées sur le genre

La proposition de loi a été déclarée recevable au cours de la plénière de ce mardi 18 avril et l’a envoyée à la commission PAJ pour toilettage et enrichissements.

Au cours de la plénière du mardi 18 avril 2023 présidée par l’honorable André Mbata, premier vice-président de la Chambre basse du Parlement congolais. Un seul point était inscrit à son ordre du jour, à savoir: examen et adoption de la proposition de loi modifiant et complétant le décret du 06 /08/1959 portant code de procédure pénale.

Ayant initié la proposition de loi, le député national Juvénal Munubo, en a présenté l’économie.

Pour l’essentiel, la nouvelle modification que propose le député Munubo vise l’exemption de tous les frais de justice en faveur des victimes des violences sexuelles et violences basées sur le Genre, des témoins des violences sexuelles ainsi que les personnes vivant avec handicap permanent, des veuves et orphelins abandonnés auxquels aucune dévolution successorale significative n’a été pourvue ainsi que des personnes de troisième âge habitant un home des vieillards ou abandonnés par sa progéniture.

Cette proposition de modification du code de procédure pénale vise, d’une part, l’amélioration de l’accès à la justice qui reste un réel défi, en RDC, et, d’autre part, la protection légale des groupes sociaux vulnérables. Ce double objectif rentre en ligne droite de la vision du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, et le programme quinquennal du gouvernement de la République. Lutter les violences sexuelles, en l’occurrence contre l’impunité qu’elles entraînent, améliorer l’accès à la justice pour tous et protéger les plus faibles c’est-à-dire, les vulnérables. Le paiement des frais de justice dont il est question constitue un vrai handicap, un frein pour de nombreuses personnes démunies qui estent en justice. Sa suppression par le truchement de la loi ne causera pas préjudice sur les recettes judiciaires à mobiliser par le gouvernement, mais contribuera à coup sûr, à l’édification d’un État de droit où tous sont égaux devant la loi.

Un débat fort enrichissant a suivi cet exposé des motifs. Le député national Lucain Kasongo du PPRD se demande comment une victime peut aller chercher à se faire justice ? Pour ce député, dans cette proposition de loi, on cherche une chose et son contraire.

Il y a des questions de fond qu’il faut corriger. Par exemple, à l’art 123 bis, il y a violation de la Constitution, et l’art 59 entre en conflit avec l’article 4, a relevé le député Daniel Mbau Sukisa. Au bout de cet exercice, la proposition de loi a été déclarée recevable et envoyée la commission PAJ.




Elections 2023 : Damien Mama et le PNUD satisfaits des dispositions prises par Denis Kadima et son équipe

M. Denis Kadima Kazadi, Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), a eu des échanges avec le Représentant résident du Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), Damien Mama.

Récemment arrivé à Kinshasa où il a pris ses nouvelles fonctions, l’hôte du numéro un de la Centrale électorale en a profité pour faire le point du partenariat existant entre les deux institutions.

“C’est une visite de courtoisie, car cela fait un mois et demi que je suis arrivé en RDC. C’était donc de mon devoir de présenter mes civilités au Président de la CENI étant donné que nous avons un bon partenariat. J’ai prêté une oreille attentive pour l’écouter sur l’évolution du processus électoral, un événement important pour le développement de la RDC. Le PNUD gère le projet d’appui au cycle électoral qui illustre justement ce partenariat existant avec la CENI. Nous avons saisi l’occasion pour faire le point. Le Président Denis Kadima m’a donné des orientations sur la manière qu’il estime la mieux possible pour le développement de ce partenariat, du soutien que le PNUD est en droit d’apporter à l’institution qu’il dirige pour que les élections se déroulent de façon transparente et pacifique”, a indiqué Damien Mama.

Avant de renchérir :”J’ai été agréablement surpris de l’aisance dont a fait preuve le Président de la CENI et la confiance que lui-même a en ce processus électoral. C’est rassurant de savoir qu’il prend des dispositions nécessaires pour s’assurer que cet événement important dans l’histoire de la RDC se déroule comme il se doit. Je sors de cet entretien avec beaucoup de satisfaction et j’espère bien que cette collaboration entre le PNUD et la CENI va permettre d’avoir des élections qui se déroulent dans un environnement calme et qu’elles auront toutes les garanties de transparence et crédibilité qui sont nécessaires pour les institutions démocratiques de la RDC”.

Dans un second temps, le Président de la CENI qu’assistait le 2e Vice-Président, Dr Didi Manara Linga, a présidé une réunion avec une délégation du PNUD, conduite par le Représentant résidant adjoint, Mme Rokia Ye Dieng, en vue de faire le point sur l’état de la mise en œuvre du Projet d’appui au cycle électoral (PACE/PNUD).

Rappelons que le Projet PACE entend contribuer à rendre le processus électoral transparent, inclusif et apaisé en soutenant la CENI et l’arbitrage des conflits et de la sécurité du processus électoral, mais aussi en renforçant l’inclusion et la participation et en réduisant les risques de violence. Il prévoit un soutien ciblé et stratégique des Nations Unies à la CENI et autres parties prenantes au processus électoral.




KIM JONG UN à la NADA

Le Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC créé en 1945 par le Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, NDLR) et Président des Affaires dEtat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée par KIM IL SUNG en 1948, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de lEsprit Paektu-san de la Nation homogène de 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR), a;

inspecté, ce 18 avril, la NADA (National Aerospace Development Administration ou Administration Nationale du Développement de l’Espace créée en 2013, NDLR)
été accompagné par PAK Thae Song, Secrétaire du Comité Central (CC) du PTC, KIM Jong Sik, Chef adjoint de département du CC du PTC, les cadres détablissements denseignement et de recherche scientifique y compris KIM Sung Chan, Recteur de lUniversité (créée en 1946, NDLR) KIM IL SUNG et Ministre de lEnseignement Supérieur du Comité de lEducation, PAK Ji Min, Recteur de lUniversité Polytechnique KIM Chaek (1903-1951, Martyr de la Révolution antijaponaise, NDLR), des techniciens et spécialistes du secteur de la recherche télématique et le personnel dirigeant du service de reconnaissance technique de la Direction Générale de Reconnaissance de lArmée Populaire de Corée (APC créée par KIM IL SUNG en 1948, NDLR)
été accueilli, sur place, par les cadres dirigeants de la NADA et de lAcadémie des Sciences de Défense Nationale
fait le tour de plusieurs endroits, entre autres lAcadémie de la Science Spatiale et la base dexpérimentation de lenvironnement spatial pour se renseigner, en détail, sur laccomplissement des tâches de recherche immédiates définies par la politique de conquête spatiale du PTC consistant à étendre et à développer, avec prévoyance, lindustrie spatiale du Pays, et sur le développement de techniques essentielles et la production de ces temps-ci dans le secteur de la recherche en science spatiale
estimé que la NADA a remporté des succès spectaculaires dans sa recherche en science spatiale essentielle visant à réaliser lobjectif immédiat et ceux à long terme de la politique dexploitation spatiale définie par le 8ème (janvier 2021) Congrès du PTC et les 5ème (juin 2022) et 6ème (décembre 2022) sessions plénières de son 8ème CC
noté en proposant les tâches pour développer, remarquablement, la sci-tech spatiale; Le développement de lindustrie spatiale est très important pour édifier une Puissance économique socialiste soutenue et garantie par la sci-tech. … La croissance de lindustrie spatiale est essentielle dans le frayement du raccourci pour accéder au statut de Puissance économique et sci-tech dordre mondial, et la manifestation du potentiel densemble de lEtat. Il faut donner une impulsion durable à lexploitation spatiale indépendante pour créer une digne industrie spatiale à même de conduire, efficacement, le développement économique du Pays. En vue de connaître un développement accéléré dans le domaine spatial, il faut, à létape actuelle, réaliser, en priorité, les plans dune exploitation spatiale avancée et intéressante sur le plan des intérêts stratégiques de lEtat, puis, augmenter, sans cesse, les succès pour ériger, finalement, notre Pays en Puissance spatiale dordre mondial, telle est la volonté invariable de notre PTC et du Gouvernement de notre RPDC. Surtout, la possession du satellite dobservation météorologique, de celui dobservation de la Terre et de celui de télécommunications doit être considérée comme le 1er objectif pour ainsi procurer, au plus tôt, la possibilité de faire face au climat désastreux, de protéger et dutiliser, de façon efficace, les ressources du Pays, et de promouvoir, puissamment, le développement scientifique de léconomie nationale. Il est important de favoriser le développement du secteur de la sci-tech spatiale en établissant un système permettant, au secteur de lenseignement et de la recherche scientifique à tous les échelons, de prendre part active au développement de satellites utilitaires à divers usages et en accroissant les investissements de lEtat. Il faut produire en règle des fusées porteuses standardisées et fiables conformément à laccélération du développement de satellites variés et construire, à merveille, des aires de lancement de satellites reflétant laspiration et lidéal en matière dédification dune Puissance spatiale. Compte tenu du fait quactuellement, les impérialistes US transforment la Corée du Sud (alliée fort fidèle aux USA depuis 1948 pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner le côté Nord -RPDC- comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR) en base avancée de lagression et en poudrière pour une guerre (la 1ère en 1950-1953, finie par la signature de lAccord dArmistice RPDC-USA, NDLR) en déployant au niveau de disposition permanent des moyens stratégiques pléthoriques et variés y compris porte-avions et bombardiers stratégiques nucléaires, dans la Péninsule coréenne et à ses environs et prévoyant quà lavenir, les USA (obsédés à l’expansion d’outre-mer dès leur création, en agressant la Corée depuis 1866 et occupant la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945, NDLR) et la Corée du Sud se livreront, sous prétexte des préparatifs conjoints, à des actions militaires plus ouvertes menaçant la souveraineté et lintégrité territoriale de notre RPDC, le 8ème Congrès du PTC a, dans le cadre des 5 objectifs principaux du développement de la défense nationale, défini comme tâche primordiale la plus importante pour lédification des forces de défense de notre Etat de disposer des capacités de reconnaissance spatiale permettant de saisir, en tout temps, les tentatives et agissements militaires des forces ennemies.


mentionné, de nouveau, le rôle que remplit la possession du satellite de reconnaissance militaire, ainsi que la valeur et limportance stratégiques que cette entreprise acquiert dans le renforcement des capacités dautodéfense nationale visant à sauvegarder la circonstance de sécurité et lintégrité territoriale de lEtat comme la sécurité et les intérêts de développement du Peuple contre les menaces et défis militaires des USA et de la Corée du Sud qui se multiplient par escalade, et à employer, selon le cas, une force militaire préventive
poursuivi: Lacquisition de ce satellite constitue la tâche prioritaire et indispensable pour le renforcement de nos forces armées et relève, entièrement, de la souveraineté de notre Etat et de son droit de défense légitime. Cette tâche nest jamais abandonnable ni remplaçable du point de vue des exigences de la circonstance de sécurité actuelle de la Péninsule coréenne aussi bien que de la gestion des menaces futures. Comme, en cette année 2023, les USA et la Corée du Sud lont montré, par leurs actes clairs, en usant de lexpression rhétorique la plus hostile, ils cherchent à renforcer, encore à lavenir aussi, leurs préparatifs militaires contre notre RPDC sous prétexte de l«offre des de dissuasion élargie» et du «renforcement de lAlliance USA-ROK» (Republic of Korea; lappellation de la Corée du Sud, qui tire son origine en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurée rien quen 1948 par les USA qui avaient divisé la Péninsule coréenne pour mieux régner, NDLR). Dans cette situation, il est trop naturel que notre Etat se dote des forces de dissuasion conformes à la circonstance de sécurité précaire daujourdhui et de demain. A cette fin, obtenir un moyen de reconnaissance militaire et en faire usage sont la tâche de haute importance et primordiale qui passe avant tout dans laccroissement de lefficacité et lutilité militaires des moyens de dissuasion variés. Il faut constituer un comité non-permanent de préparation du lancement du satellite afin de lancer, dans le délai prévu, le satellite de reconnaissance militaire N° 1 mis au point en avril, et achever les préparatifs finals au plus tôt. A lavenir, on disposera, successivement et de façon diversifiée, plusieurs satellites de reconnaissance pour, ainsi, créer une puissante capacité de recueillir des données de reconnaissance grâce au satellite.




Conduit par Lutundula chez Sama Lukonde: Le Secrétaire général de l’OEACP exprime sa solidarité à la Rdc victime d’une guerre d’agression 

En séjour de travail à Kinshasa, le Secrétaire général de l’Organisation des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (OEACP), M. Georges Rebelo Pinto Chikoti, a été reçu, ce 19 avril 2023, par le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde, à la Primature. Conduit auprès du Chef du Gouvernement par le Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires étrangères, Christophe Lutundula Apala, ce haut Responsable de l’OEACP était venu exprimer, de vive voix, la solidarité de son Organisation à la République démocratique du Congo surtout en cette période où sévissent des atrocités dans l’Est du pays, causées par l’agression rwandaise sous couvert des terroristes du M23.

Le Secrétaire général de l’OEACP a aussi encouragé le Gouvernement Sama Lukonde dans ses efforts pour la restauration de la paix et la sécurité sur l’ensemble du territoire national.

“Notre soutien à la RDC est d’abord politique. C’est un soutien de solidarité au niveau de l’organisation. La RDC a déjà un ambassadeur qui est très actif au sein du comité des ambassadeurs qui nous informe régulièrement. Donc, je crois que cette solidarité soudée, que nous avons autour de nos problèmes, est importante. Ma présence au Congo, c’est vraiment pour manifester la solidarité et encourager tous les efforts que le Gouvernement mène déjà pour la Paix en République démocratique du Congo”, a dit à la presse Georges Rebelo Pinto Chikoti.

Sama Lukonde salué de la manière qu’il conduit le Gouvernement

Le Haut Responsable de l’OEACP a, par ailleurs, félicité le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde pour la manière dont il conduit les affaires de l’État au sein de son Gouvernement.

“Je voudrais remercier M. le Premier Ministre de nous avoir reçu. Au cours de cette rencontre, nous avons eu la possibilité de le féliciter parce que depuis qu’il est Premier Ministre du Gouvernement de la République démocratique du Congo, on n’est jamais venu ici. Nous l’avons aussi félicité sur la façon dont il dirige le Gouvernement. Vous savez que la RDC est un membre important au sein de l’OEACP, l’Organisation que je dirige. Et donc, nous suivons très attentivement toute la réalité politique que la République démocratique du Congo traverse. Dans ma mission, il était important, à la fois, de féliciter les initiatives de son Excellence Monsieur le Premier Ministre du Gouvernement. En particulier, en ce qui concerne la consolidation de la paix en RDC. Je crois que quand un membre de l’OEACP a des problèmes, qu’il est malade, ça touche tous les membres. Et donc pour nous, c’était très important de manifester notre solidarité auprès du Gouvernement de la République démocratique du Congo”, a souligné le Secrétaire général de l’OEACP.

Signalons qu’au cours de ces entretiens, le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde a été informé de l’accord de partenariat entre l’OEACP et l’Union européenne, négocié depuis 2018 mais qui n’est pas encore signé.

“L’accord de partenariat en négociation avec l’Union européenne est très important pour l’ensemble de nos pays. Il renforce d’une part la relation de coopération et de partenariat que nous avons avec l’Union européenne. Mais il permet également de pouvoir rentrer dans la nouvelle ère de cet accord. Donc nous avons donné toutes ces informations à son Excellence Monsieur le Premier Ministre. Ça nous fait énormément honneur d’être ici en République démocratique du Congo en ce moment particulier où il y a des progrès à la fois sur la paix à l’intérieur de la République démocratique du Congo. Il y a des progrès importants”, a renchéri le SG de l’OEACP.

Le Premier Ministre s’est montré très réceptif vis-à-vis de son interlocuteur qu’il a encouragé de continuer sur la voie de conclure cet accord avec l’UE. Il l’a également remercié pour la sensibilité que l’OEACP a par rapport aux problèmes que la RDC traverse en termes de paix et de solidarité.




53è éditon du championnat de L’Euvokin : Espoir pulvérise Olympic 3-0 en match reprogrammé ce mercredi 19 avril 2023

Comme précisé dans le communiqué émant du Secrétariat exécutif de l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa, tous les matchs qui étaient prévus au terrain du Commissariat Général le dimanche 16 avril 2023, étaient reprogrammés ce Mercredi 19 avril 2023.

Résultats enregistrés

1. VC Espoir vs Olympic (M) : 3-0 (25-07, 25-12, 25-14)

2. VC Police vs Madaka (M) : 3-0 (25-23, 25-10, 25-14)

3. VC La Loi vs VC Ouragan (D) : 3-0 (25-07, 25-14,25-09)

4.VC Canon vs VC DCMP (D) : (25-20, 18-25, 25-17, 25-27,11-15)

Antoine Bolia

 

Antoine Bolia  

 




Dossier Infrastructure sportive: Kinshasa Arena d’une capacité de 20.000 places dans 16 mois

La République Démocratique du Congo, ce sous-continent au Coeur de l’Afrique qui, il y a si peu, se présentait au concert des nations africaines comme un nain en matière d’infrastructures sportives, rattrape son retard avec un rythme effréné. L’avènement du président Félix Antoine Tshisekedi est venu booster ce secteur qui a longtemps été délaissé par les précédentes autorités du pays.

Un rêve en voie de devenir réalité

En effet, la fameuse pancarte qui était placée devant l’entrée principale du stade des martyrs voici plus de deux décennies et où on pouvait y lire: ‘’Ici sera érigé le Palais des sports’’ n’est plus visible. A la place, ce sont des tôles qui clôturent toute l’espace vide comprise entre l’avenue des huileries et la grille de clôture du stade des martyrs en face de la concession chinoise ayant servie à la construction du Palais du Peuple et le stade des martyrs. La raison? Ce qui était dans le monde de rêve, devient une réalité. Maintefois annoncé, la construction de ce Palais des sports ne s’était jamais matérialisé. A dire vrai, cela ne cessait de devenir utopique aux yeux des congolais.

Des présidents de la république se sont succedé, mais personne n’a daigné et voulu matérialiser le message de cette pancarte. Avec Tshisekedi, le rêve est devenu réalité. On a débuté les travaux de construction d’un imposant Palais de sports dénommé Kinshasa Arena d’une capacité de 20.000 places. C’est le double de la capacité Kigali Arena de 10.000 places qui abrite ces derniers temps la plupart des compétitions de basket-ball africain. Ce sont les turcs qui construisent ce bijou, unique en son genre. Durée des travaux : 16 mois.

Par ailleurs, l’on doit retenir que c’est grâce à une volonté clairement exprimée par le gouvernement congolais que la RDC s’apprête à arbriter les 9è Jeux de la francophonie. Cette organisation, on s’en doute bien, va léguer à l’état congolais des infrastructures sportives dignes du grand Congo. Au stade des martyrs, il y est construit un palais des sports jumelé de 5000 places. Le stadium des martyrs enregistre des travaux de renovation et est désormais couvert. Le terrain annexe va revêtir sa plus belle robe et servira désormais aux compétitions d’athlétisme.

Le ministre Kabulo avait raison de dire que c’était une chance d’avoir Félix Antoine Tshisekedi, un sportif à la tête du pays

Clôturant le stage de formation des officiels et arbitres de luttes au stade des martyrs et évoquant la visite du président Tshisekedi aux sites devant arbiter les 9è jeux de la francophonie, le ministre des sports François Claude Kabulo Muana Kabulo avait déclaré nous citons : ‘’Le Chef de l’Etat est très sportif et aime le sport. C’est une chance extraordinaire’’. Et le ministre Kabulo avait promis d’en profiter comme Félix Tshisekedi aime le sport, la compréhension sera plus facile et il va certainement lui faciliter la tâche. Dès lors, avec ces atouts non négligeables, on peut dire sans peur d’être contredit que le sport congolais va faire un décollage fulgurant dans les prochaines années.

Antoine Bolia




Sud-Kivu : Marie Jeanne Zihalirwa utilise une frange de la société civile et certains esprits faibles pour renverser le Gouverneur Ngwabije et son vice

Après la mise en accusation de M. Théo Ngwabije, le ministre du Budget Aimé Boji aurait envoyé 24.000$ à Mme Marie Jeanne Zihalirwa pour qu’il puisse corrompre la société civile afin d’obtenir son soutien. Leur complot consiste à salir le Président national de l’UNC Vital Kamerhe et placer Mme Marie Jeanne Zihalirwa à la tête de l’exécutif provincial en violation des prescrits de la constitution, oubliant qu’elle n’a pas la préséance après le gouverneur et le vice-gouverneur contre lesquels elle l monte ce vaste complot. La question de l’intérim est réglée par la constitution et la loi sur les principes généraux de la libre administration des provinces en ses articles 37, 38, 30 et les suivants.

Selon la Cellule de communication du Collectif National des lanceurs d’alerte UNC qui nous donne cette information, après avoir détourné plusieurs fonds de la province avec M. Ngwabije, Marie Jeanne Zihalirwa conjugue beaucoup d’efforts pour déjouer le gouverneur. Étant ministre des Finances, elle a participé à toute les malversations financières de Ngwabije qui a, en définitive, rendu son bilan chaotique à la tête de la province.

Le Gouverneur Ngwabije étant mis en accusation par l’Assemblée provinciale, Marie Jeanne Zihalirwa profite de cette situation pour politiser la société civile en vue de tenir une déclaration visant à montrer au Chef de l’Etat que la crise persiste au Sud-Kivu et qu’il est impérieux qu’une femme à sa personne soit gouverneure de Province.

Dans cette déclaration d’une société civile téléguidée par Marie Jeanne Zihalirwa, l’option envisagée est de ternir l’image politique de l’honorable Vital Kamerhe. Marie Jeanne Zihalirwa s’emploie à inciter la société civile à saper l’honneur de Mwalimu VK en le citant abusivement comme étant incapable de résoudre la crise politique au Sud-Kivu.

« Alors que Marie Jeanne Zihalirwa pendant l’arrestation du Président National de l’UNC était restée silencieuse et n’a pas eu le seul souci de sensibiliser la société civile pour dénoncer la détention illégale, car complice et actrice associée au complot ayant incarcéré Vital Kamerhe, aujourd’hui elle trouve l’occasion de faire insulter le président national par cette société civile corrompue voulant chercher à se positionner à travers un plan dont la procédure est manifestement illégale », indique la même source.

Comme pour dire que Mme Marie Jeanne Zihalirwa ne peut pas diriger la province du Sud-Kivu non seulement qu’aucune procédure légale ne le permet, mais aussi et surtout qu’elle ne remplit pas les aptitudes objectives, l’incompétence sur le plan scientifique elle ne sait pas tenir un discours devant le peuple, ou rédiger une phrase correcte en français et enfoncée par sa mauvaise réputation d’avoir été impliquée dans le détournement des fonds de presque tous les projets de la province.

Au Chef de l’Etat de ne pas se faire distraire par les vendeurs d’illusions, étant garant du bon fonctionnement des institutions, l’on veut qu’il arbitre les institutions conformément à la loi qui stipule qu’après la mise en accusation du Gouverneur, il est réputé démissionnaire, le vice-gouverneur expédie les affaires courantes jusqu’à l’élection d’un nouveau Gouverneur.