La presse péruvienne dénonce “le scandale du détournement systématique” de l’aide humanitaire destinée aux populations des camps de Tindouf 

La presse péruvienne a épinglé le scandale du « détournement systématique de l’aide humanitaire destinée aux populations des camps de Tindouf », que le Maroc dénonce depuis des années auprès de la communauté internationale.

Ainsi, le quotidien Guik, le premier journal digital du Pérou, qui reprend les conclusions du rapport d’évaluation du travail du Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies en Algérie entre 2019 et 2022, écrit que « ces détournements ont été dénoncés par d’autres rapports d’inspection du HCR (haut-commissariat aux réfugiés), ainsi que d’autres organisations intergouvernementales et non gouvernementales ».

La publication note que « le PAM a documenté le détournement et la vente de nourriture provenant de l’aide humanitaire sur les marchés de la ville de Tindouf, en dehors des camps, et dans les pays voisins, alors que la population des camps vit dans des conditions indignes, marquées par une malnutrition chronique, en particulier chez les femmes et les enfants ».

« Plus grave encore, ajoute Guik, le PAM a réitéré sa préoccupation quant à l’absence de recensement de la population des camps de Tindouf et au risque de détournement que cette situation unique rend possible », soulignant qu’il s’agit « d’une situation exceptionnelle dans le monde du point de vue du droit international humanitaire, dans la mesure où depuis près de 50 ans, ces populations n’ont jamais été identifiées, ni enregistrées comme réfugiées, ni recensées ».

La publication péruvienne dénonce le fait que l’Algérie cède le contrôle des camps aux milices du polisario, qui est un « groupe armé séparatiste étroitement lié aux groupes terroristes opérant au Sahel ».

Pour sa part, le quotidien Prensa21 souligne que le détournement lucratif de l’aide humanitaire au profit des dirigeants du polisario, leur a permettent de « maintenir un train de vie luxueux, aux frais du contribuable européen et aux dépens des femmes et des enfants des camps de Tindouf, qui souffrent d’anémie chronique ».

Le journal rappel que l’Office européen de lutte antifraude (OLAF) avait pointé du doigt, dans un rapport publié en 2015, un « détournement méthodique, sur plus de quatre décennies, de l’aide humanitaire accordée aux Sahraouis, retenus en otage dans les camps de Tindouf, sur le territoire algérien ».

Le rapport de l’OLAF a mis en évidence « la responsabilité de l’Algérie, complice active du détournement de cette aide, qui commence généralement dès l’arrivée des cargaisons au port algérien d’Oran ».

De même, le Parlement européen avait noté que “l’Algérie a prélevé une taxe de 5 % sur cette aide et a refusé les demandes de recensement” de cette population présentées par le HCR.

En 2021, rappelle la même source, le rapport du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, avait attiré l’attention sur le détournement des fonds et de l’aide alimentaire destinés à la population prise en otage par le polisario.

Par ailleurs, toutes les résolutions du Conseil de sécurité depuis 2011 ont demandé à l’Algérie d’autoriser le recensement de la population des camps de Tindouf, conformément au droit international humanitaire.

La même demande a été adressée aux agences de l’ONU pour qu’elles respectent les “meilleures pratiques” de l’ONU dans l’acheminement de l’aide humanitaire aux populations des camps.

Prensa21 déplore que « l’Algérie a constamment défié les demandes fermes et sans appel du Conseil de sécurité, se cachant derrière des prétextes fallacieux infondés », ajoutant que ce pays a « la responsabilité morale et juridique de cesser d’exploiter la situation des populations séquestrées sur son territoire et de s’en servir comme monnaie d’échange, tout en dépensant des sommes colossales pour maintenir le train de vie luxueux d’une poignée de dirigeants du polisario et en leur fournissant des équipements militaires de pointe ».

Mapexpress.ma




A Kinshasa: Sama lukonde lance la première réunion du Cadre national de concertation des parties prenantes du secteur minier

Les présentes assises tirent leur origine de la volonté du Président de la République Félix Tshisekedi Tshilombo, tant de fois exprimée d’assainir le secteur minier en particulier, et le secteur extractif en général afin de promouvoir, à travers des principes consciencieux, édictés, une culture de transparence et de redevabilité tout en veillant à garantir la récupération et la restitution au patrimoine commun des ressources et de leur fruit qui font l’objet des litiges avec les étrangers. 

Ce jeudi 20 avril 2022 au salon rouge de l’hôtel Fleuve Congo, le Premier Ministre, Jean-Michel Sama lukonde, a pris part à la première réunion du Cadre national de concertation des parties prenantes du secteur minier. Ici, le Chef du Gouvernement a présidé, au nom du Président de la République, cette cérémonie qui a sanctionné l’ouverture officielle de ce Forum qui a pour but de réfléchir sur la modernisation de l’exploitation minière artisanale en RDC.

Ce Forum réunit plus de 150 participants qui vont discuter des défis de la modernisation de l’exploitation minière artisanale en RDC. Le Conseil présidentiel de veille stratégique (CPVS), qui assure la coordination de ce cadre, a expliqué que cette rencontre entend instaurer un dialogue permanent et entre acteurs impliqués dans la gestion des secteurs extractifs, pétrolier et minier.

A travers le pilier 5 de son Programme d’action 2021-2023, le Gouvernement avait pris l’engagement d’améliorer la gouvernance des ressources naturelles pour réaliser le bien-être des populations.

” Je suis honoré de présider à l’ouverture ce jour de la première réunion du Cadre national de concertation des parties prenantes du secteur minier. Et je vous remercie d’avoir répondu positivement à cette invitation. Les présentes assises tirent alors l’origine de la volonté de son excellence Monsieur le Président de la République Félix Tshisekedi Tshilombo, que je représente ici. Volonté tant de fois exprimée d’assainir le secteur minier en particulier, et le secteur extractif en général afin de promouvoir, à travers des principes consciencieux, édictés, une culture de transparence et de redevabilité tout en veillant à garantir la récupération et la restitution au patrimoine commun des ressources et de leur fruit qui font l’objet des litiges avec les étrangers. Cette vision comme cela a été rappelé ici, par le pilier 5 du programme d’action du gouvernement 2021-2023, consacre spécialement l’amélioration de la gouvernance dans la gestion des ressources naturelles, les entreprises publiques du secteur de portefeuille et des finances de l’État, nécessite un suivi assidu et concerté… Le Président de la République, a tenu à ce qu’un cadre idoine d’échange puisse voir le jour, sous la coordination du conseil présidentiel de veille stratégique, service spécialisé au sein de la présidence de la République, ” a dit en substance le Chef du Gouvernement, Jean-Michel Sama lukonde.

Dans son allocution, le Premier Ministre a fait allusion à la situation sécuritaire qui persiste dans la partie orientale de notre territoire national où le pays est victime d’une guerre d’agression nous infligée par le Rwanda sous couvert du M23 notamment par convoitise de nos ressources.

” Comme vous le savez, les ressources minérales dont regorgent notre sous-sol, en particulier le cobalt, le coltan, le germanium, le cuivre, le lithium, le manganèse, le nickel ou encore le graphite, pour ne citer que ceux-ci, font l’objet d’une très forte demande et de convoitise en raison de leur centralité dans la transition énergétique et numérique dans laquelle l’humanité tout entière est embarquée aujourd’hui”, a-t-il ajouté.

Mettre l’accent sur la transparence des chaînes d’approvisionnement de ces métaux

Par ailleurs, le Premier Ministre a insisté sur la nécessité de veiller au contrôle et à la transparence des chaînes d’approvisionnement de ces métaux à travers le pays.

” Bien que cela puisse constituer un motif de fierté, la position de leader mondial dans la production de ces métaux doit impérativement nous interpeller dans la nécessité de renforcer le contrôle et la transparence sur toute l’étendue des chaînes d’approvisionnement des dites ressources au moyen non seulement du code minier et du règlement minier en vigueur, mais aussi par l’observance et la mise en œuvre du devoir de diligence imposé par le guide de l’Organisation du Commerce et de développement économique, OCDE, en sigle. Je veux rappeler ici que, c’est uniquement par la rigueur de la cohésion, résultat de la conjugaison de nos efforts, que nous parviendrons à réaliser cet objectif d’assainir notre secteur extractif dans son ensemble. C’est pourquoi, sous l’impulsion du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Gouvernement a pris sans aucune réserve la mise en place de ce cadre national de concertation. Pour autant qu’il permette de fédérer les contributions, les meilleures de tout un chacun, en vue d’atteindre les objectifs de transparence assignés à cette noble initiative, ” a-t-il conclu.

Il sied de noter que cette cérémonie a connu la participation de la ministre des Mines, Antoinette N’Samba Kalambayi qui, dans son allocution, a soulevé les différents défis à relever dans l’exploitation minière artisanale en RDC. On retient aussi la participation du Coordonnateur du Conseil présidentiel de veille stratégique, des principaux opérateurs miniers de la RDC, des services publics et spécialisés de l’État, des entités territoriales décentralisées (ETD), des organisations de la Société civile ainsi que des partenaires techniques et financiers du Gouvernement.




Reçue par Mbusa Nyamwisi: Bintou Keita condamne les propos de Kagame qui viole le principe sacro-saint de l’intangibilité des frontières héritées de la colonisation

La représentante spéciale du Secrétaire général des Nations-Unies, Bintou Keita a été reçue, mercredi 19 avril 2023, en début de la soirée, par le ministère de l’Intégration régionale pour un tête-à-tête avec le minÉtat Antipas Mbusa Nyamwisi.

Après les traditionnelles civilités, Bintou Keita a fait part de l’intention de la MONUSCO d’accompagner le minÉtat dans ses nouvelles missions notamment celle porter la politique de la RDC au sein des organisations régionales. Autres sujets au cœur de leur entretien, le P-DDRCS, Programme de désarmement, démobilisation, et relèvement communautaire et stabilisation, le prochain sommet de chefs d’État à Bujumbura, au Burundi ou encore la Feuille de route de Luanda et celle de Nairobi. Antipas Mbusa et Bintou Keita ont exploré différentes pistes susceptibles d’aboutir à une paix durable dans l’Est de la RDC. La cheffe de la MONUSCO se dit convaincue que le volet diplomatique peut aider à éteindre le feu dans la partie orientale du pays.

Au regard de la complexité de la question sécuritaire à l’Est et la volonté du chef de l’État de pacifier cette partie du pays ainsi que le dynamisme et l’intérêt que certains pays africains accordent dans la crise de l’est, le minÉtat de l’Intégration régionale a fermement condamné la dernière sortie médiatique de Paul Kagame qui, selon lui, est de nature à violer le principe sacro-saint de l’Union africaine portant sur l’intangibilité des frontières héritées de la colonisation. Mbusa Nyamwisi a notamment rassuré la représentante d’Antonio Guterres que le P-DDRCS prendra une vitesse de croisière à court terme, grâce à la sensibilisation des groupes armés. Nul doute, les redditions en grand nombre seront constatées dans les rangs des forces négatives.




A l’issue du face-à-face André Mbata – Zhu Jing: Bientôt la création des groupes d’amitié entre les parlements chinois et congolais

Ce matin du jeudi 20 avril 2023, l’ambassadeur de Chine en poste en République démocratique du Congo a été reçu en audience par le vice-président de l’Assemblée nationale, André Mbata Betukumesu, en charge de la diplomatie parlementaire.

Au menu de cette audience, le diplomate chinois est allé entretenir le professeur André Mbata des questions liées à la diplomatie parlementaire, des relations entre les parlements chinois et congolais, avec à la clé la clé la création des groupes d’amitié entre les deux parlements. Ils ont aussi évoqué d’organiser des visites croisées de haut niveau entre la Chine et la RDC.

“Nous voulons travailler ensemble afin de reprendre rapidement les échanges entre les parlements chinois et congolais et aussi insister sur l’importance des échanges entre les parlementaires de deux pays puisque la coopération et l’amitié entre les deux pays s’appuie sur le soutien de nos deux peuples. Et les parlementaires et les gouvernements ont un rôle très important à jouer. C’est ainsi que nous comptons sur eux dans le fonctionnement du partenariat sino-congolais”, a dit le diplomate chinois au sortir de l’audience.

La Chine se présente comme un partenaire viable du gouvernement congolais. Récemment, le diplomate chinois a annoncé la mise à disposition d’une enveloppe substantielle en faveur du secteur congolais de la défense et sécurité. De plus, la Chine s’est déjà prononcée pour le respect de la souveraineté et de l’intangibilité de ses frontières, elle s’oppose contre toute agression extérieure et s’interdit toute ingérence dans les affaires internes d’un pays ami.

” Avec la RDC, nous avons beaucoup travaillé pour défendre les intérêts légitimes de nos amis congolais et nous allons continuer à le faire”, a-t-il ajouté par ailleurs.

De son côté, le professeur André Mbata a réitéré sa volonté de voir que l’amitié sino-congolaise s’appuie sur le soutien réciproque mutuellement accordé entre Etats, notamment sur de questions fondamentaux qui touchent aux intérêts de chaque Etat.




Le chantage du ‘scandal sexual’ rwandais ‘Don’t visit Rwanda girls !’

La situation de l’insécurité dans l’Est et les atrocités inhumaines ainsi que les dégâts économiques qui s’y opèrent, dont les violences faites à la femme et à la jeune fille, ont été la préoccupation majeure de la nation congolaise. L’opinion tant nationale qu’internationale se souviendra par exemple de la grande marche organisée le 3 avril 2021 à Tshangu, dans la partie est de la capitale Kinshasa, avec un grand meeting et un moment d’intenses prières pour la nation au terrain Sainte Thérèse de N’Djili par des femmes de l’Ouest de la Rdc pour dénoncer, l’usage du viol massif comme arme de guerre par les groupes armés soutenus par le Rwanda. L’on se souviendra du message de l’initiatrice de la marche, Marie Josée Ifoku fait ce jour et repris le 24 avril 2021, au bâtiment administratif du gouvernement, ex-Tembe na Tembe (à côté du Palais du peuple), où l’unique femme candidate présidente de la République 2018 vociférait, rouge de colère : « le sexe de la femme n’est pas un champ de bataille ! ». Si au Congo ‘le sexe de la femme n’est pas un champ de bataille’, au Rwanda le sexe de la femme serait une ‘arme redoutable de chantage’. « Please, don’t visit Rwanda girls ! » 

« Le Chantage Du Scandal Sexual » Rwandais serait devenu un moyen puissant de paralyser la Communauté Internationale et particulièrement la Belgique, à en croire Mme Illiminée Kalinganire, une femme rescapée du génocide des tutsis rwandais, qui l’avait révélé publiquement, sur la radio Tv Ikamba. Une fille tutsie qui se prostitue pour défendre les intérêts du pouvoir en place au Rwanda on dit qu’elle est héroïne ! Cette façon d’appeler les filles victimes consentantes du FPR, héroïnes est une arme de destruction massive du FPR, car cela incite et excite les femmes et les filles rwandaises à se donner corps et âme, ce sont les hirondelles rwandaises du livre ‘’ Crimes organisés en Afrique centrale » de Honoré Ngbanda Zambo Ko Atundu.

« Il n’existe pas d’égale arme, il faut que nous soyons d’accord sur ce point ci précis. Je dis bien qu’il n’existe pas d’égale arme car aucun homme aussi puissant ou intègre qui puisse être sur cette terre ne peut en aucun cas échapper/résister aux tentations d’une belle fille ; et la maîtrise de ce secret fait de Paul Kagame le maître du monde ! Au Rwanda, chaque ‘very important person VIP’, selon son importance, en visite de travail ou en tourisme, on lui cherche une belle fille … et une fois au lit, les caméras cachés partout prennent les photos. Après vient le chantage !», affirme Illiminée Kalinganire.

Selon ces révélations, depuis l’an 2003, un puissant homme d’Etat belge croupirait sous « un chantage d’un scandale sexuel » rwandais. Ce “chantage du scandale sexuel” rwandais pèserait donc très lourd sur ses épaules, celles de ses enfants et surtout sur de son pays au point que même devant la monstruosité de la barbarie de l’armée rwandaise au Congo, la Communauté internationale n’ose condamner le Rwanda!

Cette femme conseille donc aux politiques congolais : « Méfiez-vous de femmes et filles tutsies du Rwanda ! » tout en lançant l’invitation qui suit : « Regardes bien le vidéo suivant qui fait la publicité de ces filles tutsies rwandaises », en donnant son lien. « Les filles tutsies du Rwanda dont tu viens de voir quelques photos sont des armes de destruction massive », affirme Mme Illiminée Kalinganire avant d’ajouter : «… les phénomènes sexuels rwandais terrifiants que je connais personnellement très bien …, des évènements malheureux auxquels j’ai assistés personnellement, tous ont pour principale finalité de faire à ce que le pouvoir en place à Kigali puisse bénéficier et jouir de toutes les faveurs de la communauté internationale efficacement. Le FPR utilise et use vraiment les femmes et les filles. Même si tu es l’épouse d’un Colonel ou d’un ministre…, le FPR t’utilise et t’use pour arriver à ses fins. Tu deviens le sacrifice du FPR, car on t’entraîne jusqu’à ce que tu travailles/tu te comportes comme un soldat. Un militaire tué au champ de bataille, on dit qu’il est héros.

« Toutes les femmes de chambre, toute prostituée, … et les hôtesses de l’air sont des espionnes bien formées au Rwanda de Paul Kagame», affirment tous les intervenants dans l’émission en question. Si tu es un homme politique, un homme marié, un religieux … pense sérieusement à ton intégrité morale avant d’embrasser une « hirondelle rwandaise ». Car les filles tutsies du Rwanda sont astreintes à une formation quasi-militaire avant de les confier les postes clés concernant « la sécurité nationale »/espionnage ; postes clés qui sont au sein de l’ONU et ses agences, dans les ambassades, le tourisme et l’hôtellerie rwandaise, la télécommunication, … et l’aviation civile. La plus importante de ces formations concerne l’apprentissage de comment séduire les hommes politiques et riches de haut niveau, … et une fois au lit, pratiquer avec eux le sexe qui déshonore l’humanité, par exemple le « Felching ». Ce qui est très grave dans ce Rwanda de Paul Kagame est que ces « scènes de bestialité » sont photographiées par les caméras cachés dans les chambres d’hôtels pour servir par après comme des instruments de chantage à l’encontre de ces hommes d’Etat et ou d’affaires. Comme l’ont affirmé plusieurs intervenants dans cette émission, beaucoup de dirigeants de ce monde seraient tombés dans ce piège de commandos de charme rwandais.

Ainsi donc, « le chantage du scandale sexuel » rwandais fait trembler l’Occident!

Willy Makumi Motosia




Chez Sama Lukonde, META manifeste sa volonté de contribuer à la transformation numérique de la Rdc

Le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge a reçu mercredi, 19 avril 2023, une délégation de Meta, connue précédemment sous l’appellation de Facebook, conduite par sa Directrice des Politiques publiques pour l’Afrique, Mme Balkissa Ide Sido avec à ses côtés Thys Kazad, Responsable des politiques publiques en Afrique Francophone. Cette délégation séjourne à Kinshasa dans le cadre d’une série de formations sur la sécurité en ligne en période électorale dédiées aux acteurs publics, privés et de la société civile. C’était en présence du Conseiller principal du Premier Ministre en charge des PTNTIC, Tony Munongo.

Auprès du Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde, Meta est venu exprimer sa volonté de contribuer à la transformation numérique de la République démocratique du Congo, à travers le renforcement des capacités et les investissements pour améliorer la connectivité Internet et le développement du métavers.

Au cours des échanges avec le chef du gouvernement de la République démocratique du Congo, la délégation de Meta a souligné son rôle important dans la sécurisation des plateformes numériques en période électorale.

” Nous nous attachons à sécuriser nos plateformes pendant ces périodes décisives et sommes ravis d’apporter notre contribution responsable par le dialogue constructif que nous menons en amont ici en RDC, avec les différents acteurs clés de ce processus, dont la CENI, les autorités gouvernementales et les organisations de la société civile”, a laissé entendre Balkissa Ide Sido, Directrice des Affaires publiques pour l’Afrique Subsaharienne

Signalons par ailleurs que Meta travaille ensemble avec les différents acteurs de la République démocratique du Congo depuis plusieurs années pour améliorer la qualité d’accès à internet et assurer une utilisation sûre et responsable de ses plateformes numériques, conformément à la mission de Meta, mission qui consiste à donner à chaque personne le pouvoir de construire une communauté et de rapprocher le monde.




Dans une déclaration : La CASE interpelle la CENI, la Cour des Comptes et l’Inspection générale des finances sur les garanties de financement et de bonne gestion du processus électoral

Dans une déclaration faite à partir des Etats-Unis d’Amérique, M. Simaro Ngongo Mbayo, président la Commission Africaine pour la Supervision des Élections (CASE) ne s’explique pas l’indifférence de la Cour des Comptes et de l’Inspection Générale des Finances (IGF) régulièrement saisies des déséquilibres de gestion des finances électorales par l’actuelle administration électorale dirigée par M. Denis Kadima Kazadi. À cette allure, prévient-il, le processus électoral congolais est en voie de faire face à trois obstacles : une mauvaise gouvernance électorale ; le rejet de l’administration électorale et du président de la CENI, M. Denis Kadima Kazadi ; l’impossible financement global des élections.

1. La Commission Africaine pour la Supervision des Élections (CASE) interpelle les Membres du Bureau et l’ensemble de la Plénière de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) sur la nécessité de fixer le Peuple Congolais au sujet du Plan de financement des élections programmées cette année 2023 en République Démocratique du Congo.

2. La CASE s’inquiète du silence injustifié de M. Denis Kadima Kazadi, président de la CENI face aux impaiements d’arriérés de salaires des agents électoraux, du personnel opérationnel déployé dans le cadre de la révision du fichier électoral et même de l’équipe de l’ancienne administration électorale dont les fonds auraient pourtant déjà été versés à la CENI.

3. La CASE ne s’explique pas l’indifférence de la Cour des Comptes et de l’Inspection Générale des Finances (IGF) régulièrement saisies des déséquilibres de gestion des finances électorales par l’actuelle administration électorale dirigée par M. Denis Kadima Kazadi.

L’Observatoire de la Dépense Publique (ODEP) avait déclaré avoir recueillis auprès du gouvernement des informations selon lesquelles la CENI avait sollicité un décaissement de 642 millions de dollars pour entamer les activités électorales en 2022, alors que les crédits prévus dans la loi des finances étaient de 250 millions. Soit 392 millions de plus qui ont été intégrés à la loi des finances 2022 par une procédure irrégulière ; en dehors d’un collectif budgétaire. Ce qui avait consacré la violation de la loi des finances 2022. D’après l’ODEP, en 2018, 52%, du budget des opérations électorales couvraient l’acquisition des matériels et la quincaillerie électorale qui existait déjà (rapport du processus électoral 2012 à 2019).

4. La CASE soutient totalement les recommandations de l’ODEP formulées en mars dernier en ce que la procédure de mise à disposition des fonds à la CENI favorise le manque de transparence préjudiciable à la crédibilité même du processus électoral. Notre préoccupation est d’autant plus grande que la gestion opaque des finances électorales affecte dangereusement la qualité des élections.

5. La CASE invite le Bureau et la Plénière de la CENI à sortir de leur enfermement silencieux et à rendre compte au Peuple de la réalité financière de l’institution. Car, en cas de carence avérée des ressources financières, les élections seront inexorablement hypothétiques cette année.

6. À cette allure, le processus électoral congolais est en voie de faire face à trois obstacles : une mauvaise gouvernance électorale ; le rejet de l’administration électorale et du président de la CENI, Monsieur Denis Kadima Kazadi ; l’impossible financement global des élections.




Propos de Kagamé : silence éloquent de l’UA, l’ONU… (Par José NAWEJ)

Un silence aussi assourdissant qu’éloquent. Difficile de faire l’économie de ce double oxymore à la suite de cette espèce de « motus et bouche cousue » observée depuis les propos « blasphématoires » du Président rwandais.

« Blasphème » contre les chartes respectives de l’ONU et de l’Union africaine. Ce bréviaire de ces deux organisations où est coulé dans le marbre le sacro-saint principe de l’intangibilité des frontières héritée de la colonisation.

Or, c’est ce dogme que le « nouveau Bismarck » des grands lacs veut remettre en cause en faisant part de ses prétentions territoriales sur une partie du Kivu ! Simple ironie d’agenda ou démarche préméditée ? C’est hors du Rwanda que l’homme fort de Kigali se rend coupable -en parole- de ce « crime de lèse-intégrité territoriale ».

La gravité des propos de Paul Kagamé contraste, cependant, avec le silence de mort dans les différents cénacles de la communauté internationale. Comment comprendre qu’aucune organisation sous régionale, régionale, internationale, aucun pays n’ait daigné sinon condamner à tout le moins exprimer sa préoccupation par rapport à ces velléités de révisionnisme voire de négationnisme du fondement de la souveraineté et de l’intégrité des pays du vaste monde ? Se mettre à redéfinir les frontières actées à l’accession de l’indépendance serait, en effet, la meilleure manière de déstabiliser l’Afrique avec, effet domino oblige, le risque des guerres à la pelle.

Pas la peine d’être géopoliticien pour le savoir. Pas même besoin d’un CQFD (Ce qu’il fallait démontrer) pour l’établir.

A partir de cette vérité d’évidence, on ne peut se poser moult questions sur à la fois les ressorts de la déclaration iconoclaste de Kagamé et de l’absence de réaction à ce « sacrilège ».

S’agirait-il d’un ballon d’essai étant donné que le Président rwandais est quelque part originellement en « mission commandée » en terre congolaise depuis le milieu des années 90 ? L’historique « on m’a poignardé dans le dos » lâché par le Maréchal Mobutu ou encore « le complot est vaste » dénoncé par la suite par 2Mzee Laurent-Désiré Kabila. Bref, cet arrière-fond de balkanisation sur laquelle travaillent des officines sous couvert de la très longue agression assortie de rébellions business.

Le « dérapage » apparemment contrôlé du chef de l’Etat rwandais ne procéderait-il pas d’une posture à l’effet de contribuer à l’entretien du statu quo ? Lequel permet à toutes les parties prenantes- y compris les nouveaux venus de l’EAC – ou intervenants visibles et invisibles de continuer à profiter de richesses du sol et du sous-sol de l’Est congolais. Ce, au nom du paradigme bien connu selon lequel « la guerre est plus rentable que la paix ». Le fameux « no war, no job ». Tout ceci pourrait expliquer cela.




Iran : La diplomatie des drones pour déstabiliser l’Afrique du Nord et le Sahel 

Il est indéniable que les drones iraniens fournis au polisario par l’Algérie constituent une menace réelle à l’encontre du Royaume. Le Maroc n’est pas le seul pays à avoir alerté contre les conséquences des liens militaires entre l’Algérie et l’Iran pour l’Afrique du Nord et le Sahel. Aujourd’hui des voix s’élèvent un peu partout dans le monde pour dénoncer, condamner et alerter sérieusement contre cette coopération qui favorise la déstabilisation de cette région stratégique du monde.

Après l’expert américain en Affaires stratégiques, Llewellyn King, qui avait mis en garde contre les manœuvres du régime iranien -avec la complicité et le financement de l’Algérie- fournit des drones à la milice du polisario, c’est l’analyste géopolitique Alexander Grinberg qui explique la dangerosité des liens militaires entre l’Algérie et l’Iran.

« Les drones iraniens sont désormais déployés en Afrique du Nord et constituent une menace directe pour le Maroc« , a-t-il affirmé. Basé à l’Université de Tel Aviv, ce doctorant est un expert de l’Iran et parle couramment l’arabe, le farsi, le français, l’anglais, l’espagnol, le russe et l’hébreu, il a indiqué que, “l’exportation de drones par le régime iranien vers de mauvais acteurs déstabilise désormais non seulement la région mais, comme l’a clairement montré la guerre de Poutine en Ukraine, le monde entier”.

 

En effet, les missiles et principalement les drones font partie intégrante de la politique “des conflits et du chaos” depuis 2017, qu’a adoptée la République islamique des Ayatollahs afin de soutenir tout mandataire du terrorisme à travers le monde.

Le régime iranien a misé sur les drones comme atout militaire stratégique, car de prime ils reviennent à beaucoup moins chers que les avions de combat conventionnels, tandis que leur capacité à mener des attaques derrière les lignes ennemies les rend à la pointe et hautement souhaitables pour quiconque les utilise. Ainsi, l’exportation de ces drones vers ses alliés terroristes fait partie intégrante de la stratégie de production de drones iraniens depuis le premier jour. La diplomatie des drones iraniens renforce la quête du régime pour étendre sa base de pouvoir et dans sa région et au-delà comme en Syrie, au Liban, au Yémen… et actuellement en Algérie pour le polisario.

L’Iran a fourni des drones au groupes terroristes qui lui sont fidèles à travers le Moyen-Orient, notamment le Hezbollah au Liban, les Houthis au Yémen, le Jihad islamique palestinien et le Hamas à Gaza, et les milices pro-iraniennes en Syrie et en Irak. Autre fait, les drones iraniens sont également assemblés au Venezuela et portent le nom de Antonio José de Sucre-100 (ANSU-100) en lieu et place des Mohajer-2 iraniens. Le président vénézuélien Maduro lors de sa dernière visite à Alger avait fait la promesse de fourniture de drones iraniens au polisario, en Algérie, ce qui a suscité des inquiétudes quant à la stabilité en Afrique du Nord.

La Russie, n’a pas été en reste, l’Iran ne pouvait laisser échapper l’opportunité du conflit ukrainien. En effet, pour la première fois, la Russie a eu besoin d’une assistance en matière d’armement, pour avoir délaissé la production de drones en termes de quantité et de qualité. Ce sont ces liens qui ont attiré l’attention internationale sur la dangereuse « diplomatie des drones » des ayatollahs.

Du coup, les pays destinataires d’armes russes comme l’Algérie, s’intéressent de plus en plus aux drones iraniens et force est de constater que l’Iran est en train de devenir une « superpuissance des drones ». Le haut conseiller militaire du guide suprême de l’Iran, Rahim Safavi, a annoncé que plus de 20 pays étaient intéressés par l’achat de drones iraniens. “Après la Russie, l’Algérie arrive en tête de liste des clients” indique Alex Grinberg qui publie son article et analyse dans le magazine “Fathom”.

L’Algérie, poursuit l’analyste “est connue pour ses violations des droits de l’homme, y compris les restrictions à la liberté d’expression et de religion d’autres minorités, et sa population souffre de difficultés socio-économiques abyssales”. Tasneem, un média iranien affilié au Corps des Gardiens de la Révolution Islamique (CGRI), a indiqué que l’Algérie avait l’intention d’établir un centre de recherche et de développement de drones dans la ville de Sidi Abdellah, dans le nord de l’Algérie.

Le média iranien a explicitement évoqué les inquiétudes du Maroc et d’Israël sur la coopération entre l’Iran et l’Algérie dans le domaine des drones. “La fourniture par l’Iran à la fois de munitions et de drones d’attaque à l’Algérie intensifiera les liens entre les deux régimes autoritaires. Par exemple, le pilotage de drones nécessite une longue formation sur place, et l’Iran est susceptible d’envoyer des instructeurs arabophones du Hezbollah à cette fin. Dans les deux cas, cet axe de plus en plus audacieux est une mauvaise nouvelle pour les intérêts occidentaux dans la région”.

Le polisario, chérubin algérien par excellence et allié iranien dans la région, “s’oppose fermement aux liens croissants entre son grand rival, le Maroc et Israël, et n’hésitera pas à utiliser des drones iraniens à l’encontre du Royaume” a-t-il encore indiqué. “Cela peut menacer la stabilité et la sécurité en Afrique du Nord, posant potentiellement une menace aiguë pour les intérêts occidentaux dans la région”. Ce n’est là, ni plus ni moins que la stratégie du régime des ayatollahs pour gagner en influence et déstabiliser la région.

Aussi conclut l’analyste géopolitique, “livrer des armes de l’Iran au polisario par la médiation incontestable de l’Algérie, c’est aussi accroître la présence du Hezbollah en Afrique du Nord. L’Algérie pourrait encourager le polisario à attaquer le Maroc plus violemment maintenant qu’il dispose de drones iraniens. Cela conduira à son tour à une réponse marocaine plus dure”.

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RPDC : Les quadruplés bénis

La République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948 par le Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène de 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR) considère la naissance des triplés et quadruplés comme un signe de grande prospérité et un heureux événement du Pays, et les élève aux frais de lEtat. Dans la Maternité de Pyongyang (ou Palais des Bébés le plus grand du Pays, inauguré en 1980 avec la superficie bâtie de 60.000m2 et la capacité de plus de 1.500 lits, NDLR) sont nés les triplés et quadruplés à 536 reprises, dont 7 quadruplés. Parmi eux, figurent les 7èmes quadruplés nés en décembre 2012, fille aînée JONG Uh Yong et 3 garçons JONG Ju Yong, JONG Kang Yong et JONG Kuk Yong habitant dans lArrondissement Ranam de la Ville Chongjin, Province Hamkyong-Nord.

Quand KIM Hyang Hwa était enceinte de 3 mois, elle a été diagnostiquée comme gestation de plusieurs ftus et hospitalisée dans la Maternité de Pyongyang. (Son mari JONG Tok Chan était élève de lEcole Spécialisée de Médecine de Kyongsong de la même Province.)

Le personnel de la Maternité a pris ses mesures nécessaires pour elle, y compris la fourniture de médicaments et de toniques. Les quadrijumeaux en bonne santé ont quitté la Maternité.

Le Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC créé par KIM IL SUNG en 1945, NDLR) et Président des Affaires dEtat de la RPDC a fait cadeau des bagues en or à la mère et à la fille et, des couteaux à manche dargent au père et aux fils. LEtat a offert un logement moderne à la famille JONG.

Les jumeaux JONG sont en 5ème année de lécole primaire, via la crèche et la maternelle. Ils donnent libre cours à leur talent au milieu de lattention profonde des enseignants et des villageois. JONG Uh Yong, JONG Ju Yong et JONG Kuk Yong sont membres du cercle de danse gymnastique de leur école, et JONG Kang Yong aime la littérature.

Pour rappel;

a eu lieu, ce 1er avril partout dans le Pays, les cérémonies de rentrée scolaire (année académique 2023-2024) attirant lattention des parents d’élèves et des autres travailleurs; les écoles étaient bondées du personnel enseignant et administratif, des écoliers et de leurs parents; le hissage des drapeaux nationaux était précédé desdites cérémonies; les cadres du PTC, des organes du Pouvoir populaire et des organismes concernés ainsi que les élèves ont félicité les nouveaux entrants en leur offrant des gerbes ou bouquets de fleurs; après les cérémonies, suivirent les 1ers cours

le Peuple de la RPDC a accès libre et gratuit, depuis les années 1950 (pendant ou après lâpre Guerre de Corée 1950-1953 RPDC-USA finie par la signature de l’Accord d’Armistice, NDLR), aux soins médicaux de toute sorte, à l’enseignement obligatoire de 12 ans du préscolaire au secondaire (universitaire toujours gratuit mais non obligatoire, NDLR) et au logement (construction annuelle de plus de 10.000, NDLR) de dimension variée et ces privilèges ciblant toute couche sociale sont, bel et bien, garantis juridiquement et approfondis par le Généralissime KIM JONG IL 1942-2011 pour atteindre son point culminant à l’Epoque KIM JONG UN.