Le budget de 16 milliards est réaliste: Le Gouvernement n’a pas menti

De retour aux Assemblées de printemps entre la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI), Nicolas Kazadi, ministre des Finances a été l’invité du Briefing Presse organisé par son collègue de la Communication et Médias, Patrick Muyaya. Ces deux ‘’Warriors’’ ont été dépêchés au front pour stopper net la rumeur selon laquelle, le FMI aurait obligé à la Rdc de réduire son budget pour l’exercice 2023 de 16 à 3 milliards de dollars Us. L’exercice devant la presse a aussi consisté à rassurer la population qui se posait pas mal de questions et qui craignait à ce que le Gouvernement ne soit à même d’atteindre ses assignations et, au finish, d’honorer ses engagements. 

A la question : Comment atteindre les assignations de 16 milliards de dollars Us dans un contexte où les cours de certaines matières premières ont baissé ? Au sujet des dépenses en urgence qui doivent être régularisées au niveau du budget, est-ce que vous vous servez de votre plan de trésorerie ?

Pour ce qui est des dépenses d’urgence, explique Nicolas Kazadi, la norme, ce n’est pas de dépasser 10%. « Nous avons été de 7 à 8% en 2021 ; nous sommes montés à 11 à 12% en 2022, dans un contexte particulier de résurgence du M23. On a des circonstances atténuantes et nous ne sommes pas très éloignés. Pour cette année, nous voulons revenir en dessous de 10% », dit-il, avant de rassurer que nous travaillons ensemble pour rendre notre collaboration beaucoup plus fluide et que la prévisibilité de ces dépenses soit meilleure.

A l’en croire, tout ceci est fait dans le cadre du plan de trésorerie. Chaque jour, nous regardons et nous parlons de la Banque centrale sur ce que nous devons faire. La Coordination entre les Finances, le Budget et la BCC n’a jamais été bonne comme maintenant.

Pour le budget lui-même, le ministre des Finances constate malheureusement que le mensonge passe beaucoup plus vite que la vérité. « Il y a certaines personnes qui sont supposées être qualifiées mais qui font des déclarations étonnantes. Un budget, il y a les recettes propres (trésor, budget annexe), les recettes extérieures (appuis budgétaires et les appuis aux projets). C’est tout cela qui constitue le budget », dit-il.

Si on ne s’arrête qu’aux recettes propres, alors que les recettes elles-mêmes ont un caractère cyclique, c’est-à-dire, soit on n’a rien compris, soit l’on veut volontairement induire les autres en erreur. C’est comme l’autre-là qui a tenté de raconter que le FMI a voulu réduire le budget de 16 milliards de dollars Us à 3 milliards ! C’est tout ça qui fait perdre la crédibilité à certaines personnes et qui nuit à l’image du pays.

En 2022, rappelle-t-il, on a fait en recettes propres 18.000 milliards, c’est-à-dire 9 milliards de dollars et auxquels se sont ajoutées les recettes extérieures pour arriver à 11 milliards. En 2023, on a prévu de faire en recettes propres 22.400.000.000 auxquels vont s’ajouter les autres catégories de recettes pour faire 16 milliards.

Pourquoi on passerait de 11 à 16 milliards en recettes propres ? Parce que nous avons des appuis budgétaires. L’année dernière, on a eu 250 millions. Cette année, on attend 500 millions. En plus, nous avons mobilisé tellement d’argent (8 milliards de la Banque mondiale) qu’il faut dépenser. L’objectif est de dépenser 2 à 3 milliards pendant cette année. On n’a pas menti, on n’a jamais menti, tout est comme prévu à la seule différence qu’au premier trimestre, on a connu une seule difficulté de trésorerie exceptionnelle qui a fait qu’on ait eu ce qu’on a traversé comme situation sur les salaires.

Mais qu’est-ce qui s’est passé ?

Pour répondre à cette question, le ministre souligne qu’en janvier, on a fait 105% du taux d’exécution, on a dépassé les assignations et payé les salaires dans le mois. Février, on a fait 99% du taux d’exécution en respect du budget ; en mars, 98% du taux d’exécution et la moyenne pour le premier trimestre, ça nous a amené à 84%.

« Je pense que c’est des résultats honorables. Comparer au premier trimestre de l’année passée, pour ce premier trimestre, on attendait 216 milliards de plus, mais on a eu 16 milliards de plus, c’est-à-dire on reste en augmentation par rapport à l’année passée. Il nous a manqué 200 milliards pour atteindre notre cible. Et ce, parce que la DGRAD n’a pas été performante à cause des problèmes avec les pétroliers producteurs, le secteur minier, notamment TFM qui n’a pas payé, les télécoms. On espère que ces recettes qu’on n’a pas eues vont glisser », indique Nicolas Kazadi.

Dans l’exécution, ajoute-t-il, en janvier, il n’y a pas eu de problèmes. En février, nous avons eu des dépenses exceptionnelles par rapport à la situation sécuritaire et à la CENI ? Ces éléments ont été tels que les bons de Trésor sont des financements normaux qu’on actionne. Comme le cycle des recettes n’est pas constant, il faut suppléer. C’est ce qui a fait que la paie a glissé un peu de février à mars. C’est normal, parce qu’on a eu un choc du aux dépenses sécuritaires, aux dépenses humanitaires et des élections, qui ont perturbé la trésorerie. En termes de performance, nous sommes dans le bon et le budget reste réaliste, martèle Nicolas Kazadi.

Emprunter pour payer les salaires

Le ministre des Finances explique que si on pouvait emprunter pour payer les salaires, ça s’appelle un financement de trésorerie. « Je vous ai expliqué que pour février, on a eu l’opération des bons du Trésor normal, mais qui est allée dans le financement urgent lié à la sécurité. Quand c’est des obligations du Trésor, elles sont faites pour investir. Ce que les gens doivent savoir, comparer à 2018, les dépenses rémunérations et fonctionnement contraignantes ont été multipliés par 3, soit une augmentation de 195%. Ça veut dire que nous continuons, en même temps que les recettes s’accroissent, nous voulons retourner cela aux Congolais en termes de rémunérations et fonctionnement contraignant. C’est ce qui fait que la pression reste la même, même si les recettes augmentent.

Jean-Marie Nkambua




Foot-Rdc: Un comité de normalisation à la tête de la Fecofa ( Officiel)

La FIFA a achevé de greffer à l’institution dirigeante du football en RDC, un comité de normalisation en charge du respect des nouveaux statuts de la FECOFA.

 

« Le Bureau du Conseil de la FIFA a décidé de nommer un comité de normalisation pour la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA), conformément à l’article 8, alinéa 2 des Statuts de la FIFA », a indiqué l’instance dirigeante du football mondial, lundi 24 avril 2023.

 

Quatre directives pour le Comité de normalisation

Nommé pour un mandat de sept mois, soit jusqu’au 30 novembre 2023, ledit comité devra, outre la gestion des « affaires courantes de la FECOFA », laquelle constitue son premier objectif spécifique après la destitution du président Donatien Tshimanga, veiller au bon déroulement des élections à la fédération. Plus précisément, il devra en deuxième lieu de « veiller à ce que les membres des comités électoraux soient élus par le congrès de la FECOFA en accord avec les nouveaux statuts et le nouveau code électoral de la fédération approuvés le 15 septembre 2022 ».

 

 

Troisièmement, le comité aura pour tâche de « veiller à ce que l’élection des membres et des affiliés (ligues, districts, etc.) de la FECOFA ait lieu en temps utile ». Et en dernier point, « veiller à ce que l’élection d’un nouveau comité exécutif de la FECOFA soit organisée en accord avec le nouveau cadre statutaire de la fédération ».

 

La FIFA veille au grain

Selon les précisions apportées par la FIFA, le comité de normalisation sera composé « d’un nombre opportun de membres, désignés conjointement par la FIFA et la CAF ». « Tous ces membres feront l’objet d’un contrôle d’éligibilité mené par la Commission de Contrôle de la FIFA, conformément au Règlement de Gouvernance de la FIFA, ajoute l’autorité. Aucun d’entre eux ne sera éligible pour les postes à pourvoir lors des élections de la FECOFA, quelles que soient les circonstances. »

 

Cette décision devrait faire l’objet d’une communication de la part du Secrétaire Général de la CAF, Mosengo-Omba, assisté par une délégation de la FIFA, lors d’une conférence de presse CAF/FIFA, à Kinshasa ce mardi 25 avril 2023. À moins que celui-ci ne saisisse l’opportunité pour faire une annonce sur l’organisation du CHAN 2024, dans l’organisation est pressentie pour la RDC et le Congo Brazzaville…




De 1923 à 2023: La ville de Kinshasa a 100 ans

La ville de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, totalise cette année 100 ans d’existence. Un centenaire, qui doit être commémoré avec faste, a estimé le collectionneur- réalisateur philatélique et numismatique congolais Justin Lukongo Selemani, qui s’était exprimé le vendredi dernier lors d’un entretien avec la presse.

A l’en croire, la ville de Kinshasa a été décrétée par le Roi Albert 1er de la Belgique en 1923. «  Donc, de 1923 à 2023 nous fêterons le centenaire de la ville de Kinshasa. C’est un grand évènement, qui mérite toute l’attention de Kinois et kinoise. Nous voulons donner de la couleur à cet évènement qui va surtout retracer l’historique de cette mégapole, parce qu’il est important de connaitre d’où nous venons, ou sommes-nous et où nous allons », a indiqué Justin Lukongo Selemani.

D’après lui, l’histoire de la ville de Kinshasa a commencé à partir de 1877 et coïncide pratiquement avec l’arrivée dans cette contrée inexplorée jusqu’alors de l’explorateur anglais Henry Mortow Stanley. A l’époque, la région comprenait plusieurs villages habités par quelques ethnies dont la plus importante est celle des pécheurs Nshasa.

Devoir de mémoire

« A la suite d’un pacte conclu avec le chef Ngaliema de Bateke, Stanley va quelques temps après installer son équipe sur la colline qui surplombe la baie de Ngaliema et tomber le 23 aout 1881 lors de son deuxième voyage, une station à partir de laquelle il va lancer ses incursions à l’intérieur du pays nouvellement conquis  et cette partie sera confiée au commandant Charles-Marie Braconnier Louis Volcke», a tenté de retracer le collectionneur- réalisateur philatélique et numismatique Justin Lukongo.

Et c’est cette station qui sera dédiée par Stanley au roi Léopold II, qui l’appellera par la suite : «  Léopold ville » alors que les autochtones continueront à l’appeler par le nom ancestral N’shasa. Curieusement, souligne Justin Lukongo, les habitants de Léopoldville s’appelaient depuis toujours les Kinois pas différents d’aujourd’hui.

En 1889, poursuit-t-il, la ville naissante de Léopoldville s’étendit vite sur 445 habitants pour 500 habitants  et vers 1919 elle comptait déjà 14000 habitants qui occupaient une surface de 650 habitants soit une densité de 21 habitants par Km2.

En 1889, le roi Léopold II va léguer par testament le Congo à la Belgique. Ce legs fut reconnu par la charte coloniale du 18 octobre 1908 par laquelle la Belgique fait du Congo sa colonie.

Dès lors, Léopoldville devient un territoire et le chef-lieu du district du moyen Congo, l’un des 12 districts de cette région. Et plusieurs personnalités administratives ont dirigé cette station, qui deviendra par la suite une agglomération, à l’occurrence Georges Moulaert, qui sera surnommé Bula Matari Tala-Tala.

En 1923 avec la nouvelle restriction territoriale, Léopoldville acquiert le statut de la capitale du Congo Belge mais aussi chef-lieu de la province de la province Léopoldville et du district urbain de Léopoldville.

Cependant, il fallait attendre jusque le 25 juin 1941 pour que l’ordonnance conférant à Léopoldville le statut de la ville soit publiée. Cette nouvelle ville s’étend sur 5000 hectares de superficie avec une population de 53000 habitants. Elle sera dirigée par un commissaire de district assisté d’un comité urbain. Et le décret du 26 mars 1957, il sera conféré à la ville de Léopoldville la personnalité civile.

« La ville de Kinshasa est une capitale intermédiaire d’après les dispositions statutaires transitoires prévues aux différentes recommandations et textes légaux. L’arrêté royal du 1er juillet 1923. La ville étant avant tout un district urbain, à cette époque Léopoldville était confiné à Kintambo de la Gombe actuellement développé autour de la baie de Ngaliema qui fût le marché du sel de l’Afrique centrale », a rappelé Justin Lukongo Selemani, qui affirme disposer des documents de valeur sur le pays.

Cette riche documentation pourrait être mise à la disposition des générations actuelles mais aussi des étrangers, à l’occasion de ce centenaire au cours d’une exposition qui pourrait être organisée au niveau de la ville et par la ville Kinshasa.

Prince Yassa/Cp

 

 

 

 




Que penser de la tournée de Kagame en Afrique de l’Ouest ?

Le dictateur de Kigali a entrepris en ce milieu du mois d’Avril une tournée en Afrique de l’Ouest. Paul Kagamé a séjourné au Togo, en Guinée-Bissau et en Guinée-Conakry.
Le devoir de vigilance
L’observateur Congolais soucieux des morts et d’importants dégâts que commettent les hommes du sanguinaire de Kigali ne peut suivre ce périple comme une quelconque tournée présidentielle. Il importe de l’analyser scrupuleusement. En effet, de nombreux signes indiquent que ce circuit a été organisé et préparé, avec beaucoup de soin, selon les règles de la communication en situation de conflit. C’est donc un acte de guerre, qui doit trouver une réponse dans le même registre.
Un plan préparé au niveau international
Rappelons d’abord le contexte général ; Paul Kagamé a investi pendant des longues années énormément de moyens financiers et humains pour, d’abord installer les Occidentaux dans un profond complexe de culpabilité suite au génocide de 1994, ensuite, il a plongé les anciens colonisateurs dans l’admiration de sa propre personne en diffusant de lui une image usurpée de « dirigent-organisateur-manager » d’une gouvernance et d’un développement efficace, et enfin il s’est, non sans habilité, mué en fournisseur de militaires disciplinés capables de réinstaurer la paix dans une Afrique où les conflits ne manquent pas ( Centrafrique, Mozambique, ect).
Kagamé s’est par la suite attaché à pénétrer les organisations internationales susceptibles de l’aider à travailler encore plus à l’amélioration de son image en Occident. Le Commonwealth a été le premier à ouvrir ses portes à l’Etat totalitaire et terroriste fondé par Paul Kagamé. La Francophonie de Macron n’a pas hésité, à son tour, à confier à ce pays – qui a éliminé l’enseignement du français comme langue officielle au profit de l’anglais – le Secrétariat Général de l’organe en charge de diffuser les valeurs de la culture française.
Malgré son rôle, pourtant parfaitement documenté maintenant, dans le double génocide rwandais et sa responsabilité dans l’holocauste congolais, il a pu et su attirer dans son sillage politique des personnalités telles que Jimmy Carter, Suzan Rice et le Britanique Tony Blair. Souvenons-nous que Sarkozy est venu jusqu’à Kinshasa défendre le projet kagamiste du partage des richesses de la RDC devant les parlementaires congolais médusés.
Le moment d’agir sur le plan africain
Le périple ouest-africain actuel trouve sa place dans cette démarche diplomatique de longue haleine, qui a pour objectif de remettre en cause les conclusions de la Conférence de Berlin et celles de la Convention de Bruxelles du 11 août 1910 pour ainsi élargir le territoire du pays des mille collines, au détriment de la RD Congo. La présente démarche répond plus précisément au souci de Paul Kagamé de légitimer son expansionnisme et son agression contre la RDC à partir des pays du continent noir. Pendant que ses soldats occupent encore des pans de notre pays, ses propos, remettant en cause l’intégrité territoriale de la RDC, ont été calibrés pour atteindre l’objectif ici indiqué. Nous ne devrions pas nous étonner si demain ou après-demain, certains pays du continent, ignorant la résolution adoptée le 21 juillet 1964 au Caire en Egypte lors de la conférence de l’UA à propos de l’intangibilité des frontières héritées de la colonisation, se positionnent contre nous sur la scène internationale ou votent contre nous aux Nations Unies.
Ce n’est pas un hasard si c’est au Benin que Kagamé a sorti son mensonge éhonté sur les territoires supposément enlevés à son pays au bénéfice du nôtre. Evoquer le sujet des territoires prétendument soustraits des terres morcelées, par le phénomène colonial, dans le contexte de l’Afrique de l’Ouest apparait comme un argument séducteur, mais relève d’une virtuosité négative scandaleusement diabolique, qu’il faut combattre.
Beaucoup ont probablement visionné, sur les réseaux sociaux, la vidéo d’un Ministre ouest-africain encensant obséquieusement l’homme de Kigali ; tous les lobbyistes savent à quel prix s’achètent ce genre de déclaration de bas étage et ce qu’il faut faire pour assurer une large diffusion à cette propagande bon marché. Ne nous laissons donc pas impressionner ; combattons !
Une autre scène, largement diffusée, d’une troupe guinéenne mimant une dance guerrière du Rwanda ne saurait pas nous inquiéter davantage. Toutes ces actions diplomatico-médiatiques participent de la guerre psychologique que nous livre injustement le Rwanda, restons lucides ; combattons !
Dans la stratégie nouvelle d’africanisation de son projet de balkanisation de la RDC, les présidents Patrice Talon du Benin et Mamadi Doumbuya de la Guinée semblent constituer des pièces importantes. De ce point de vue, les attitudes et agissements de nos voisins directs, les présidents Denis Sasou-Ngueso de la République du Congo, Faustin-Archange Touadéra de la République Centrafricaine et Joao Lourenço de l’Angola mériteraient un suivi particulièrement attentif.
Lorsque le premier mensonge tient plus !
Dans son arrogance le Roi de Kigali s’évertue depuis longtemps à convaincre le monde que le conflit à l’Est de notre pays serait une question interne à la RDC, que les autorités de Kinshasa ne parvenaient pas, selon lui, à résoudre. Voilà qu’aujourd’hui, toute honte bue, le prétentieux sort du chapeau une cause de guerre parfaitement rwandaise, d’ailleurs déjà usitée dès 1996 par son prédécesseur, Pasteur Bizimungu : la prétendue subtilisation coloniale des terres de ses ancêtres en faveur de la RDC. (Sic).
Défendons notre pays ! Dans cette guerre la division des Congolais serait une aubaine pour le Rwanda et ses commanditaires. Ensemble, ayons la sagesse et le courage de décréter une trêve politique interne, malgré nos contradictions. Congolais, ensemble évitons les sujets susceptibles de favoriser les affrontements internes stériles ; dans cette circonstance historique particulière l’oubli devient une vertu ! Quelles que soient nos obédiences politiques ou philosophiques, unissons-nous franchement derrière le Gouvernement de la République afin de sauver notre Nation.

Jean Pierre Kambila Kankwende
Patriote, Militant lumumbiste, Souverainiste.




Evénements au Soudan: sur instructions royales, un pont aérien pour rapatrier les ressortissants marocains

Suite aux événements récents qu’a connus la République du Soudan et à la détérioration de la situation sécuritaire dans ce pays frère, le roi Mohammed VI a donné ses hautes instructions pour assurer le retour des ressortissants marocains vivant dans ce pays.

Conformément aux hautes instructions royales, les services de l’ambassade du Maroc au Soudan ont, dans une première phase, organisé une caravane terrestre à partir de Khartoum à destination de la ville de Port-Soudan, qui a bénéficié à plus de 200 ressortissants marocains établis au Soudan ou dont la présence dans ce pays a coïncidé avec cette conjoncture intérieure difficile. Cette caravane terrestre est arrivée ce lundi soir en toute sécurité dans la ville de Port-Soudan.

Le Roi a également donné ses hautes instructions pour l’organisation d’un pont aérien en coordination avec Royal Air Maroc pour assurer le rapatriement des ressortissants marocains et de leurs familles dans les meilleures conditions.

fr.le360.ma




Sahara: le Conseil de sécurité remue le couteau dans la plaie de l’Algérie et du Polisario

C’est finalement le Polisario qui vient de réagir, au nom de l’Algérie, aux dernières discussions à huis clos du Conseil de sécurité. Les séparatistes rejettent tout, en bloc. Cet article est une revue de presse du quotidien Al Ahdath Al Maghrebia.

Après un long silence, l’Algérie a enfin réagi à la récente réunion à huis clos du Conseil de sécurité sur le Sahara, par l’entremise du Front Polisario, chargé d’exprimer la position algérienne.

Une position qui consiste en un rejet total de l’ensemble des points qui ont été discutés au cours de cette réunion. A New York, le Conseil de sécurité de l’ONU a en effet tenu des consultations à huis clos sur la question du Sahara marocain, rappelle le quotidien Al Ahdath Al Maghrebia ce lundi 24 avril. Il s’agit de consultations régulières, prévues par la résolution 2654 du Conseil, adoptée le 27 octobre dernier.

Le Polisario rejette donc de manière implicite l’ensemble des conclusions de cette réunion, affirmant ainsi qu’il ne va pas accepter «le fait accompli», et continuera donc à user de tous les moyens pour défendre ses thèses, en invoquant la responsabilité du Conseil de sécurité et de l’ONU dans la résolution de ce conflit.

Un communiqué diffusé par les séparatistes réaffirme leur pleine collaboration avec les Nations Unies et l’Union africaine pour trouver une solution politique à ce conflit, mais tout en continuant dans le même temps à se soustraire à l’accord de cessez-le-feu, et depuis novembre 2020.

Une réaction, estiment des analystes cités par le quotidien, qui vient confirmer la situation de perte de boussole dans laquelle s’enlise le régime algérien et ses protégés du Polisario.

Les membres du Conseil de sécurité avaient été briefés mercredi dernier par Staffan de Mistura, Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara, ainsi que par le Représentant spécial du Secrétaire général et chef de la Minurso, Alexander Ivanko.

Des briefs qui ne changent en rien la teneur des précédentes résolutions du Conseil de sécurité, et plus encore, poursuit le quotidien, l’initiative marocaine d’autonomie a été largement appréciée.

 

Celle-ci est soutenue par un grand nombre de membres du Conseil, qui considèrent qu’elle est la solution sérieuse, crédible et pragmatique, à même de mettre définitivement fin au différend régional sur le Sahara marocain.

D’ailleurs, souligne Al Ahdath Al Maghrebia, la résolution 2654 et toutes celles qui l’ont précédées depuis 2007 consacrent la prééminence de l’initiative marocaine d’autonomie.

De même, les membres du Conseil de sécurité réaffirment unanimement leur soutien au processus politique exclusivement onusien qui vise à parvenir à une solution politique, réaliste, pragmatique, durable et de compromis à la question du Sahara marocain.

Tous ont une nouvelle fois apporté leur appui aux efforts de l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour relancer le processus politique onusien, consacré dans toutes les résolutions du Conseil de sécurité depuis 2007.

La reprise des tables rondes, avec la participation notamment du Maroc, l’Algérie et la Mauritanie, a été à cet égard mise en relief. Un processus réaffirmé par la résolution 2654, ainsi que par toutes celles qui la précèdent depuis 2018, comme unique cadre pour la tenue du processus politique.

Les membres du Conseil ont également exprimé leur appréciation de l’organisation par l’Envoyé personnel, à la fin du mois de mars dernier, de consultations bilatérales informelles, notamment avec le Maroc, l’Algérie et la Mauritanie.

De ce fait, ils ont confirmé le statut de l’Algérie en tant que partie principale à ce différend régional qu’elle a créé et qu’elle maintient depuis un demi-siècle, au mépris des intérêts et du destin commun des peuples des cinq Etats membres de l’Union du Maghreb, souligne Al Ahdath Al Maghrebia.

Le rôle de l’Algérie, indique le quotidien, a été consacré dans toutes les résolutions du Conseil de sécurité depuis 2018, y compris la résolution 2654, qui demande à Alger de rester engagé dans le processus des tables rondes, dans un esprit de réalisme et de compromis, en vue de le faire aboutir.

Par Amyne Asmlal




Insécurité aux camps de Tindouf : La milice de Front Polisario veut détourner l’attention de la population

Une station-service a été exposée aux premières heures de l’aube hier, dimanche, à un incendie massif qui a dévasté la plupart des installations de la station, et il a été question d’un vol suivi de l’incendie de la station pour camoufler et cacher les traces du vol, d’autant plus que la porte arrière a été retrouvée brisée, et qu’il a été question du vol de la gare, suivi de l’incendie du combustible.

Que la première ou la deuxième version soit avérée, dans les deux cas, la station a été cambriolée et incendiée par un malfaiteur, d’autant plus que les caméras et le boîtier d’enregistrement de la caméra n’ont pas été retrouvés, ce qui signifie que celui qui a mis le feu a eu peur que la boîte ne brûlerait pas et sa matière serait exposée.

La milice de Front Polisario a tenté de faire circuler l’histoire selon laquelle l’accident n’était qu’une panne électrique, et a demandé aux propriétaires de la station de confirmer la même histoire, craignant l’anxiété croissante des habitants séquestrés, et leur peur du chaos sécuritaire qui les perturbe, et les expose au pillage et au vol quotidien.

 




Congo-Brazzaville: Le centre d’excellence pour les énergies renouvelables ouvre officiellement ses portes à Oyo

Un centre d’excellence dédié à la recherche sur les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique a ouvert officiellement ses portes, ce 23 avril 2023 à Oyo. L’inauguration a été marquée par la coupure du ruban symbolique et le dévoilement de la plaque inaugurale par le chef de l’Etat congolais Denis Sassou N’Guesso, en présence de son homologue bissau-guinéen, Umrao Sissoco Embalo, en visite de travail dans cette localité.

A quelques encablures de l’hôpital Edith Lucie Bongo Ondimba, à Oyo, est érigé un centre d’excellence dédié aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique. Ce centre a été inauguré par le chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso lors d’une cérémonie rehaussée par la présence de monsieur Umaro Sissoco Embaló, président de la Guinée Bissau et du président directeur général le PDG du groupe ENI, Claudio Descalzi.

 

Placé sous la tutelle du ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, ce centre a pour mission principale de promouvoir et d’entreprendre des projets et des recherches appliquées en relation avec les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique. Il a pour ambition de contribuer à la création d’un marché de l’énergie durable, intégré et inclusif, tout en soutenant les chercheurs locaux et internationaux, ainsi que le renforcement des capacités institutionnelles au Congo et dans la région.

 

L’inauguration de ce centre est la preuve indéniable du partenariat entre le Congo et Eni Congo. Selon  le PDG du groupe ENI,  le but de ce centre est de favoriser l’accès à l’énergie soutenable à tous. Il s’agira, a-t-il dit, de transformer l’énergie traditionnelle en énergie renouvelable avec une approche eau-énergie-alimentation. Les études seront axées, entre autres,  sur l’énergie solaire et les biocarburants, a-t-il poursuivi.

 

L’organisation des Nations unies pour le développement industriel (Onudi), elle aussi engagée dans la réalisation de ce projet a exprimé son ambition au cours de la cérémonie. Selon son représentant pour l’Afrique centrale, Raymond Tavares, son organisation a pour ambition de soutenir le développement industriel et inclusif des pays. Elle accompagne donc, le Congo dans la réalisation des objectifs durables, a-t-il déclaré. Pour lui, « la mise en œuvre et l’opérationnalisation du centre d’excellence d’Oyo est un travail commun du gouvernement congolais, du groupe ENI, du système des Nations unis, à travers l’ONUDI et de tous les partenaires en voie de nous rejoindre ».

Emmanuelle née Delphine Adouki, la ministre en charge de la recherche scientifique et de l’innovation technologique a fait savoir à l’auditoire que le centre d’excellence d’Oyo pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique a une vocation nationale, sous régionale et internationale. Ses activités, a-t-elle ajouté, s’articulent autour du développement des ressources énergétiques, de l’efficacité énergétique dans l’industrie et le bâtiment ainsi que du développement de l’entreprenariat et du secteur privé technologique.

 

Selon un expert, les «  énergies renouvelables » proviennent des sources naturelles qui se renouvellent à un rythme supérieur à celui de leur consommation. Selon lui, la lumière, le soleil et le vent, par exemple,  constituent de telles sources qui se renouvellent constamment. « Les sources d’énergie renouvelables sont abondantes et sont présentes partout autour de nous », a-t-il expliqué.

 

Bâti sur 10 000 mètres carrés, ce centre contribuera indéniablement au rayonnement du secteur de la recherche scientifique et de l’innovation technologique du Congo, a déclaré la ministre de tutelle. Le centre est composé de deux compartiments. Le premier consacré à  la recherche et le second est constitué de logements des chercheurs.

 

Par Roch Bouka/Correspondant du Journal L’Avenir au Congo




RPDC-Diaspora : Pour défendre le droit à lenseignement national

Aujourd’hui le 24 avril, les Autorités de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène fière de ses 5.000 ans et digne de sa culture brillante, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR) viennent d’élever leur voix consacrées au 17ème anniversaire de la Lutte Patriotique pour lEnseignement du 24-Avril à travers;

le Communiqué de presse du porte-parole du Comité de l’Education de la RPDC

le Communiqué de presse du porte-parole de l’Association des Juristes Démocratiques de la RPDC

le Mémorandum du Comité de l’Assistance vis-à-vis de la Diaspora de la RPDC

le Commentaire de la KCNA (Korean Central News Agency ou Agence Centrale de Presse Coréene)

les articles des médias majeurs en ligne et sur papier du Pays

dont lidée clé se lit ci-dessous;

Voici 75 ans (24/04/1948 juste 4 mois et demi avant la création de la RPDC, NDLR), les Coréens résidant au Japon se sont dressés, comme un seul homme, pour défendre leur droit à lenseignement national, en déjouant la répression des réactionnaires de;

USA (les plus obsédés à l’expansion d’outre-mer dès leur création, en tentant d’agresser la Corée en 1866, et occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945, NDLR)

Japon (le plus ambitieux de l’expansion d’outre-mer dès sa création, en tentant dagresser la Corée la plus voisine en 1592-1598, et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de lONU du fait de ses crimes les plus graves contre lHumanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système desclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et lenlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR)

qui se démenaient pour annihiler lenseignement national démocratique des Coréens au Japon. Il sagit de la Lutte Patriotique pour lEnseignement du 24-Avril digne dêtre mentionnée dans les annales du Mouvement des Coréens au Japon.

Après la Libération (1945) de la Corée (Joson ou Pays du «Matin Calme»; surnom largement utilisé en raison de ses paysages paisibles ou pittoresques, NDLR) et sous le leadership du Généralissime KIM IL SUNG (1912-1994), le Peuple de la RPDC remportait de grandes réalisations dans sa lutte pour édifier (1948) une Corée nouvelle. Forts de ce succès, les Coréens résidant au Japon ont commencé à dispenser leur enseignement national avec la langue coréenne (le parler et l’écriture) en fondant des écoles et rédigeant des manuels scolaires malgré de pires conditions à létranger, ce qui relevait de leur droit national inviolable. Mais, les impérialistes US et les réactionnaires japonais ont décrété, en janvier 1948, la «fermeture des écoles coréennes». Indignés de cette injustice, les Coréens au Japon ont;

organisé un Comité chargé des mesures pour lenseignement des Coréens

lancé leur lutte énergique en demandant aux troupes US doccupation (depuis 1945) du Japon et au Gouvernement japonais dassurer lindépendance de lenseignement pour leurs enfants.

Effrayés, les USA ont proclamé, le 24 avril, l«état dalerte» et mobilisé leurs troupes doccupation et les policiers armés japonais à réprimer, sans merci, les Coréens qui se sont dressés pour défendre lenseignement national démocratique. Les réactionnaires US et japonais;

ont arrêté et emprisonné plus de 3.000 manifestants coréens partout dans lArchipel japonais et en ont blessé des centaines

nont pas même hésité à tirer un coup de feu sur un élève coréen.

Les dommages matériels que les Coréens avaient subis à cause de cette répression sélevaient à plus de 480 millions de ¥ (JPY ou yen japonais depuis 1871; 1EUR=145,07JPY -02/03/2023-, NDLR) d’alors. Les Coréens au Japon, animés du soutien enthousiaste de la population de leur Patrie (RPDC) et des Peuples progressistes du monde, notamment celui japonais, ont mené leurs actions inflexibles, défendant, ainsi, leur droit sacré à lenseignement national. La lutte à laquelle avaient pris part plus de 1,1 million de Coréens au Japon a assené un rude coup aux ennemis et montré que sils sunissaient, en un seul bloc avec opiniâtreté, pour combattre ceux-ci, ils pourraient en sortir vainqueurs, en dépit de toute répression des ennemis.

Même aujourdhui, les réactionnaires japonais, dans leur intention sournoise quils pourraient supprimer lAssociation Générale des Coréens Résidant au Japon (AGCRJ créée à Tokyo en 1955 juste 2 ans après la Guerre de Corée 1950-1953 RPDC-USA, NDLR) sils réussissaient à annihiler l’enseignement national de la dernière, sacharnent à se livrer à toutes sortes de manuvres de discrimination à légard des écoles coréennes. Les Autorités japonaises ont;

exclu, en avril 2010, les écoles coréennes de la liste des bénéficiaires du système daide globale aux lycées, sous prétexte extravagant que lenseignement dispensé aux écoles coréennes ne saccorde pas au contenu académique des leurs

omis, sans sen contenter, les enfants des classes maternelles d’écoles coréennes de la liste des bénéficiaires du système daide globale à lenseignement et à lentretien des enfants à partir de 2019

exclu les élèves et enfants des classes maternelles d’écoles coréennes, même dans les mesures de prévention contre le COVID-19 prises en 2020.

Cest la preuve évidente des manuvres des Autorités japonaises pour supprimer lenseignement national des Coréens au Japon. Leurs tentatives téméraires de détruire les bases de lenseignement national de lAGCRJ, ne peuvent être tolérée à jamais.

Aujourdhui, l’AGCRJ et les Coréens au Japon, sous le mot dordre «Luttons, vigoureusement, pour défendre notre droit à lenseignement national, legs obtenu au prix de sang de nos aînés!», sattachent, énergiquement, à mettre fin à la discrimination des Autorités japonaises à lencontre des écoles coréennes.




Julien Paluku remet aux mandataires du FPI, de l’AZES, de la DGCDI et du CCB les copies du décret du Premier ministre qui leur accorde les droits et les avantages

La consolidation de la gestion axée sur le résultat au niveau du Fonds de Promotion de l’industrie (FPI), de l’Agence des Zones Économiques Spéciales (AZES), de la Direction Générale des Corridors de Développement Industriel (DGCDI) et du Conseil Congolais de la Batterie (CCB) était au centre de la réunion technique ce lundi à Kinshasa entre le ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya et les Présidents des Conseils d’Administration et les Directeurs Généraux ainsi que les Directeurs Généraux Adjoints de ces établissements publics sous tutelle du ministère de l’industrie.

Le ministre a insisté sur l’efficacité et l’efficience, mais aussi la collaboration franche entre ces mandataires publics.

A cette occasion, Julien Paluku Kahongya remis à ces animateurs le Décret du Premier Ministre du 12 avril 2023 portant statut des mandataires publics dans les établissements publics en République Démocratique du Congo; décret qui accorde des droits et avantages sociaux.

Au nom de l’équipe, la Présidente du Conseil d’Administration du Fonds de Promotion de l’industrie (FPI), Vicky Katumwa Mukalay a indiqué que ce décret du Premier va booster un travail de qualité chez les mandataires publics

« C’est la toute première fois que le ministre réunit toutes les structures de son ressort. Il s’est agi d’abord de nous présenter officiellement le décret portant fonctionnement des établissements publics ainsi que des entreprises publiques, qui modifie le décret de 2013 par rapport aux avantages des mandataires publics passifs et non actifs », explique-t-elle, avant de rassurer qu’il y a les bruits qui couraient par-ci par-là et qui ont fini par ce décret.

Aussi, ajoute-t-elle, il nous a invités à la bonne collaboration, au bon climat de travail entre les différents organes qui constituent les différentes structures de son ressort. Il nous a aussi invités comme d’habitude à produire des résultats. Nous devons avoir des résultats qui vont permettre au chef de l’Etat d’avoir des éléments de langage pour la campagne à venir. Voilà grosso modo les quelques points que nous avons débattu, tout en le félicitant pour sa reconduction.

Vicky Katumwa Mukalay a terminé par dire que la valeur ajoutée, c’est le bon fonctionnement de nos structures pour qu’il n’y ait pas de difficultés à percevoir nos indemnités mensuelles, c’est aussi, dorénavant, les sources mises à notre disposition, il ne faut pas qu’on puisse les dilapider. Il faudrait travailler plus et gagner plus.

JMNK