La Chambre de commerce, d’industrie et de services de Rabat-Salé et Kénitra signe une convention de partenariat avec la CCI de Kinshasa

La Chambre de commerce, d’industrie et de services (CCIS) de Rabat-Salé et Kénitra a signé, mardi à Rabat, une convention de partenariat avec la CCI de Kinshasa (RDC), en vertu de laquelle les deux Chambres consulaires expriment leur volonté commune d’asseoir un partenariat économique, dédié au rapprochement des milieux d’affaires RD-congolais et marocains.

Selon le site internet leconomiste.com qui donne cette information, cet accord vise aussi faire découvrir les potentialités économiques des deux pays, et mettre en valeur les atouts et opportunités d’affaires au Maroc et en RDC. Cette convention s’inscrit dans le cadre des efforts déployés pour le rapprochement des opérateurs économiques marocains et congolais.

La signature de cette convention a connu la présence de Hassan Sakhi, président de la CCIS de Rabat-Salé-Kénitra, M. Mangaya, Ambassadeur de la RDC au Maroc et Jean-Robert Isifua, président de la CCIS de la RDC. Elle a été également marquée par la participation en visio-conférence de M. Rachid Agassim, Ambassadeur du Maroc à Kinshassa.




Paiement d’impôts à Tshikapa : Émile Prince Longi accorde une mesure de grâce avant un recouvrement forcé

Alors que l’échéance légale prévue pour le payement de l’impôt foncier et l’impôt sur le revenu locatif étant largement dépassée, le chef de centre urbain de la Direction générale des recettes du Kasaï ” Dgrkas” décide d’accorder à tous les propriétaires des terrains (parcelles) bâtis et non bâtis de venir eux-mêmes s’acquitter de leurs devoirs devant l’Etat.

Selon Me Émile Prince Longi, il est prévu un déploiement sur l’ensemble de la ville de Tshikapa des agents de cette régie financière pour une campagne” Aucune parcelle sans impôts » la quelle opération consiste à identifier et recenser tous les propriétaires des terrains pour un paiement légalement reconnus par les lois du pays

Le chef de centre qui a pour la troisième fois rappelé les contribuables, promet de ne plus recevoir n’importe quelle excuse ni pardon lors de cette campagne qui va permettre à la province de maximiser les recettes

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




Tripaix/Gombe : Alain Katende poursuivi pour diffamation, faux en écriture et tentative d’escroquerie

L’affaire opposant Mme Yvonne Kusuamina, « gérante statutaire » de l’entreprise Pay Network, à l’actionnaire minoritaire, Alain Katende a été finalement portée devant le Tribunal de paix de Kinshasa/Gombe qui a entamé l’instruction du dossier à son audience publique du lundi 24 avril 2023. Le Tribunal se déclarant régulièrement saisi, la prochaine audience a été renvoyée au 8 mai 2023 où comparaitront comme témoins la TMB (Trust Merchant Bank), la Police scientifique et technique ainsi que M. Onassis Mutombo, journaliste au média en ligne Apic-tv.net
C’est finalement devant le Tribunal de paix de Kinshasa/Gombe que M. Alain Katende, actionnaire minoritaire de la société Pay Network devra se défendre des griefs portés contre lui par Mme Yvonne Kusuamina, « gérante-statutaire » de cette entreprise qui l’accuse de faux et usage de faux ainsi que d’altération de la vérité aux fins de nuire. La première audience de ce procès, dit de vérité, s’est ouvert, le lundi 24 avril 2023, au Tripaix Gombe.
En ayant recours à la justice, indique notre source, Mme Yvonne Kusuamina attend, selon ses avocats, non seulement corriger les contrevérités distillées dans la presse par M. Alain Katende, mais aussi rétablir son honneur de femme entrepreneure et mandataire public.
Le lundi, malgré les intentions, du reste déjouées, de ses avocats de ne pas se présenter devant le Tribunal, M. Alain Katende, actionnaire minoritaire de Pay Network était finalement sur le banc des accusés pour « faux et usage de faux, diffamation et imputations dommageables », selon l’acte d’accusation rendu par le Tribunal qu’Econews a pu consulter une copie.

Du déroulement de l’audience

Dès l’entame de l’instruction de l’affaire, selon des images diffusées par la chaîne thématique Justicia TV, l’avocat-conseil de M. Alain Katende a, dans un premier temps, dit que son client n’était pas sur place pour fonder sa demande de remise. Devant l’intransigeance du Tribunal, un appel téléphonique de son conseil a donc suffi pour que M. Alain Katende se présente devant la barre.

Intervenant pour le compte de Mme Yvonne Kusuamina, Me Kitenge, l’un des membres de son collectif, a insisté sur le fait que la citation directe est claire et contient tous les moyens de droit. Aussi, le rapport de la Police scientifique est, selon lui, celui de Katende, tout comme la requête adressée à ladite police. « Ce sont donc des pièces qu’il connait, point n’est besoin d’une remise », a fait part au Tribunal Me Kitenge.
Devant de telles évidences, les juges ont adhéré à la demande de la partie civile. Avant que la défense ne fasse une volte-face en récusant les juges. Ainsi, pendant qu’Alain Katende relatait les faits, sa défense rédigeait, séance tenante, une lettre de récusation des juges.
Cette démarche n’a pas ébranlé la volonté du Tribunal de poursuivre l’instruction de l’affaire. Aussi, le Ministère public a-t-il insisté sur la production des Statuts de la société. Ce qui a été fait.
A la grande surprise, M. Alain Katende a dit ne pas les reconnaître, posant le préalable de prendre connaissance des pièces du dossier sous prétexte, a-t-il soutenu, de ne pas avoir le temps d’examiner les nombreuses pages des Statuts et les comprendre en si peu de temps. Les juges ont à nouveau rejeté sa demande, en décidant de poursuivre l’instruction de l’affaire.
Quoi qu’il en soit, M. Alain Katende a reposé sa requête de récusation des juges. Une demande qui n’a pas trouvé satisfaction. Le Juge-président a rejeté la récusation de Katende, démontrant qu’elle n’a pas été rédigée comme l’exige la loi.
Seul argument développé par la défense pour justifier la récusation : « Notre client aurait souhaité être jugé par une chambre autre que la vôtre, d’où notre récusation ». Légaliste jusqu’au bout, le juge-président a cabré sur sa position, démontrant, avec des arguments de droit, que les avocats de la défense n’ont pas respecté la procédure.
« Il s’agit de la chambre du président et ils devraient savoir qu’elle ne se récuse pas n’importe comment. Il va falloir qu’ils soumettent leurs moyens et les juges comparaîtront avant de se décider. L’audience va donc se poursuivre », a rapporté à Econews un praticien du droit, présent dans la salle.
Demande de récusation rejetée, Me Kitenge, plaidant pour le compte de Mme Kusuamina, est revenu avec ses moyens de défense.
Au regard des griefs de « faux et usage de faux » retenus contre lui, M. Alain Katende a curieusement rejeté la faute sur les banques, prétendant ne pas avoir eu des nouvelles de la société depuis deux ans, qu’il n’y a plus ses bureaux, que les banques lui ont transmis un PV et que, ne le reconnaissant pas, il l’a simplement fait analyser auprès de la Police technique et scientifique.
Après cette phase, le tribunal a analysé la dernière prétention sur l’escroquerie au jugement, avant d’aborder la diffamation en corréité avec M. Onassis Mutombo, journaliste du média en ligne Apic-tv.net.
Séance tenante, les articles de presse ont été passés au peigne fin, M. Alain Katende se défendant ne pas en être l’initiateur.
L’étau se resserre sur la partie citante
Mise en cause par M. Alain Katende, le Tribunal a cité à témoin la Trust Merchant Bank (TMB) puisque celle-ci, selon la partie citante, aurait transmis une copie du PV de 2019 à Katende. Le Tribunal en fait de même avec la Police scientifique et technique, appelée à comparaitre à la prochaine audience.
Visiblement dos au mur, M. Alain Katende et son conseil ont demandé trois semaines pour affiner leurs arguments de défense. Le Tribunal l’a finalement ramené à deux semaines, renvoyant la prochaine audience au 8 mai 2023 pour permettre aux témoins, spécialement la TMB et la Police scientifique, de comparaître ainsi que le journaliste Onassis Mutombo de se présenter.




Après la visite du Centre National de Traitement : Les missions d’observation électorale d’accord avec la CENI 

Le Premier Vice-président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Bienvenu Ilanga a présidé ce mercredi 26 avril 2023 la deuxième journée des portes ouvertes organisées en faveur des parties prenantes au processus électoral.

Dans son mot de bienvenue, Joséphine Ngalula, Membre de la plénière, a, au nom du Président Denis Kadima et de la plénière, félicité et remercié les missions d’observation électorale pour le rôle qu’elles jouent dans le processus électoral, tout en les invitant à comprendre le but pour lequel ces activités sont organisées, afin de dissiper tous les malentendus et bannir la désinformation.

C’est ainsi qu’après les professionnels des médias au premier jour, les missions d’observations électorales ont été invitées à ces échanges et démonstration de la manière dont la CENI nettoie le fichier électoral.

Dans son intervention, Bienvenu Ilanga a circonscrit le cadre de ces journées Portes ouvertes, tout en invitant les participants à poser toutes les questions possibles en vue d’avoir la bonne information à rapporter à la population.

Par ailleurs, Thoto Mabiku, Secrétaire Exécutif National (SEN) de la CENI a, pour sa part, indiqué que c’est notamment suite aux observations faites par les missions d’observation que ce travail d’adjudication se fait, tout en respectant scrupuleusement les droits des électeurs. “Transparence, inclusion et impartialité vont continuer à accompagner ce processus électoral”, a martelé le SEN.

S’en est suivi le jeu des questions et réponses entre la CENI et l’assistance sur les zones d’ombre. Et la CENI y a fourni toutes les précisions possibles.

Après tous les discours et projection de la vidéo qui illustre le modus operendi de l’adjudication, les délégués des missions d’observation ont visité le Centre National de Traitement (CNT), afin de se rendre compte du travail qui se fait pour la consolidation du fichier électoral notamment la détection des doublons ou enrôlement multiples, le cas des mineurs enrôlés et les photos des photos pour un fichier électoral crédible et fiable.

Au sortir de la visite guidée, plusieurs délégués ont exprimé leur satisfaction sur le travail que la CENI fait pendant cette période de traitement des données des électeurs.




25ème lettre sociale congolaise : Le Vice-Premier ministre en charge de la Fonction Publique a-t-il mis effectivement fin aux prestations des Inspecteurs et Contrôleurs du Travail retraités ?

« C’est une règle générale : l’homme qui réussit le mieux dans la vie est celui qui détient la meilleure information ». Benjamin Disraeli.

Chères lectrices, chers lecteurs;

1. La présente lettre sociale analyse la qualité des actes administratifs d’une des catégories des agents de carrière des services publics de l’Etat mis à la retraite. Il s’agit de la catégorie des agents qui oeuvrent au sein de l’Inspection du Travail.

2. Les prestations des inspecteurs et contrôleurs du travail revêtent une importance capitale non seulement pour le ministère du travail, mais aussi pour les cours et tribunaux. Dès lors, la problématique de cette lettre sociale congolaise est : quelle est la valeur administrative des actes des inspecteurs et contrôleurs du travail retraités ?

3. En effet, par ses ordonnances de septembre et décembre 2022, le Président de la République démocratique du Congo a, d’un côté, mis à la retraite certains agents de carrière des services publics de l’Etat revêtus des grades de commandement et, de l’autre, admis ces agents à l’honorariat et à l’éméritat.

4. De même, par ses décrets de septembre et décembre 2022, le Premier Ministre de la République démocratique du Congo a, d’une part, mis certains agents de carrière des services publics de l’Etat revêtus des grades de collaboration et d’exécution à la retraite et, d’autre part, promu ces agents retraités à titre honorifique au grade immédiatement supérieur à celui de l’admission à la retraite.

5. Outre ces ordonnances et décrets de mise à la retraite, il y a aussi les listes des candidats éligibles à la retraite pour la 3ème vague.

6. Qu’à cela ne tienne, chacune des ordonnances de mise à la retraite termine par cette formule déontique : « Le Vice Premier Ministre, Ministre de la Fonction Publique, Modernisation de l’Administration Publique et Innovation du Service public est chargé de l’exécution de la présente ordonnance qui sort ses effets à la date de sa signature ».

7. De même, chacun des décrets de mise à la retraite termine par la même formule déontique : « Le Vice Premier Ministre, Ministre de la Fonction Publique, Modernisation de l’Administration Publique et Innovation du Service public est chargé de l’exécution du présent décret qui sort ses effets à la date de sa signature ».

8. La première étape du processus d’exécution de ces ordonnances et décrets était la notification des intéressés. Ainsi donc, à dater de la notification des intéressés, ces derniers étaient censés arrêter toute activité relevant de la compétence des seuls agents actifs de carrière des services de l’Etat.

9. Hélas, ces agents passifs, voire retraités, ont continué d’opérer comme par le passé. Le Vice Premier Ministre en charge de la Fonction Publique a stigmatisé cet état de choses par sa Note circulaire n°011/CAB/FP-MA-ISP/JPL/CKK/2023 du 12 avril 2023 où il a écrit : « S’agissant des Agents retraités par les ordonnances et décrets de septembre et décembre 2022, il me revient que , nonobstant la remise de leurs notifications en bonne et due forme, plusieurs services continuent d’autoriser ou permettent à certains agents de continuer de prester comme si la position d’activité de service continuait de faire foi au-delà de la mise à la retraite ».

10. Peut-on alors considérer cet extrait de la communication écrite du gestionnaire du capital humain de l’Etat congolais comme une dénonciation alors que c’était lui qui était chargé de l’exécution de ces ordonnances et décrets de mise à la retraite ? L’auteur de cette note circulaire semble incriminer plus les services utilisateurs de ces agents retraités que les responsables de ces services. Pourtant, les structures ne valent que ce que valent leurs animateurs.

11. Au-delà de l’incrimination des services utilisateurs des agents retraités par le Vice Premier Ministre en charge de la Fonction Publique, il importe de noter que cette dénonciation est à la fois une démonstration et une preuve irréfutable du travail en perruque qu’ont abattu ces agents retraités pendant des décennies. Voilà pourquoi ils jouent à la procrastination pour laisser les postes de l’administration publique aux agents actifs.

12. Sans faire la promotion du « ôtes toi que je m’y mette », la mise à la retraite d’un agent rend son poste vacant. Si le potentiel remplaçant n’occupe pas ce poste vacant à cause de la procrastination d’un agent retraité, le service ou l’établissement va en pâtir. Le jeu de la procrastination devient alors un crime administratif qui a des répercussions néfastes sur le fonctionnement du service ou de l’établissement d’une part et d’autre part sur la vie et la santé des personnes concernées par les domaines où l’Etat intervient via ses agents. Ces répercussions néfastes sur les personnes s’observent notamment à l’Inspection du Travail, dans les formations médicales et hospitalières…

13. L’inspection du Travail m’intéresse sur le rôle de cette dernière tel qu’énoncé à la Convention n°81 de l’OIT sur l’Inspection du Travail. Cette convention dispose en son article 2 : « Le système d’inspection du Travail dans les établissements industriels s’appliquera à tous les établissements pour lesquels les inspecteurs du travail sont chargés d’assurer l’application des dispositions légales relatives aux conditions de travail et à la protection des travailleurs dans l’exercice de leur profession(…) ».

14. La République démocratique du Congo, en sa qualité de membre de l’OIT, a fait de l’assurance de l’application des dispositions légales et la protection des travailleurs un des éléments de la mission de l’inspection du travail. La loi n°015/2002 du 16 octobre 2002 portant code du travail, telle que modifiée et complétée par la loi n°16/010 du 15 juillet 2016 dispose en son article 187 : « l’Inspection du Travail a pour mission de : 1) assurer l’application des dispositions légales relatives aux conditions de travail et à la protection des travailleurs dans l’exercice de leur profession(…) ».

15. Assurer l’application des dispositions légales relatives aux conditions de travail et à la protection des travailleurs fait l’objet de l’existence de toute une direction prévue à l’Inspection du Travail par le décret n°12/002 du 19 janvier 2012 portant création et organisation d’un service public dénommé Inspection Générale du Travail, « IGT » en sigle. Ce décret stipule en son article 9 : « L’Inspection comprend une direction par Province ainsi que sept(7) directions de l’administration Centrale.

16. La première de ces sept directions est la Direction de contrôle de la main d’oeuvre. Il s’agit là d’une Direction qui s’occupe du contrôle des lois sociales. Car, la main d’oeuvre et l’emploi constituent le travail.

17. C’est à ce titre que les prestations des Inspecteurs du travail ont une portée qui va au-delà du Ministère du Travail où l’inspection du Travail est l’organe technique en matière de contrôle des lois sociales. Les actes posés par les inspecteurs du travail ont une valeur administrative qui sert de preuve et de protection des droits des employeurs et employés tant au niveau des administrations que celui des cours et tribunaux.

18. Pareilles activités ne peuvent être réalisées que par les Inspecteurs revêtus de la qualité des fonctionnaires publics comme le précise l’article 6 de la convention n°81 de l’OIT ci-haut citée. En République démocratique du Congo, les Inspecteurs du Travail sont régis par la loi n°16/016 du 15 juillet 2016 portant statut des agents de carrière des services publics de l’Etat. C’est sur base cette loi qu’un grand nombre des Inspecteurs du Travail a été mis à la retraite.

19. Devenus passifs dans la mesure où ils sont déjà retraités, ces inspecteurs ne peuvent plus continuer d’opérer comme par le passé, car, leurs actes sont sans valeur administrative et préjudiciables aux droits des travailleurs et des employeurs. Je pense que la formule déontique « Il y a ordre et urgence » utilisée par le Vice Premier Ministre en charge de la Fonction Publique à la fin de sa Note circulaire n°011/CAB/FP-MA-ISP/JPL/CKK/2023 sus évoquée du 12 avril 2023 sera d’application aussi à l’Inspection du Travail afin que les Inspecteurs du Travail retraités ne s’arrogent plus la qualité d’Inspecteur du Travail.

20. Cependant, la difficulté que pouvait rencontrer cette note circulaire au niveau de l’Inspection du Travail, pour son application, serait la mise à la retraite de l’Inspecteur Général du Travail qui était censée faire appliquer cette note. Car, le décret n°12/002 ci-haut cité stipule en son article 7 : « L’inspection est dirigée par un inspecteur Général assisté d’un ou de deux Inspecteurs Généraux adjoints (….). L’état actuel de mes connaissances sur l’Inspection congolaise du travail renseigne, âpres analyse bibliologique des ordonnances et décrets relatifs à la mise à la retraite de certains agent de carrière des services publics de l’Etat et des listes agents éligibles à la retraite, que l’Inspecteur Général est déjà retraitée et l’un de ses deux adjoints est éligible à la retraite pour la 3ème vague.

21. Il demeure ainsi fondé de préciser que le même décret n°12/002 ci-haut cité stipule en son article 19 « (…) En cas d’absence ou d’empêchement, l’intérim de l’Inspecteur Général est assuré par l’Inspecteur Général Adjoint. En cas d’indisponibilité de ces derniers, le Ministre ayant l’Emploi, le Travail et la Prévoyance sociale dans ses attributions désigne un Inspecteur du Travail parmi les Directeurs pour assurer cet intérim ».

22. Toutes choses restant égales par ailleurs, la mise à la retraite de l’Inspecteur Général et l’alignement de l’un de deux Inspecteurs Généraux adjoints du Travail sur la liste des agents éligibles à la retraite place le Ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale dans le contexte d’application de l’article 19 de ce décret et ce, sans attendre les candidats issus de son appel à candidature aux postes d’Inspecteurs, Contrôleurs et des Agents administratifs de l’Inspection Générale du Travail du 03 mars 2023.

23. J’ai fait ma part. Si vous êtes intéressés par cette lettre sociale congolaise, rejoignez la coupe pleine au numéro + 243 994 994 872 pour appel normal, whatsApp ou twiter et à l’e-mail jsphngandu@gmail.com pour la suite.

Fait à Kinshasa, le 24 avril 2023

Jean Joseph NGANDU NKONGOLO

Anthropobibliologue, Expert en Anthropobibliologie du Travail, Formateur Psycho SocioProfessionnel et Chercheur à l’Observatoire Congolais du Travail.




Tribune libre: Udps/Tshisekedi : « Tosa obika » à géométrie variable

« Un parti politique, dit Paul Kapita Shabangi, l’un des Treize Fondateurs Historiques de l’UDPS encore en vie, est une université de la vie. Université de la vie parce que le Parti Politique initie aux valeurs universelles de la vie et sens de l’exercice du pouvoir politique, en ce que la politique est l’activité suprême de toute société organisée, tant il est vrai que la vie et le devenir de tout un peuple en dépendent ».

De ce point de vue, un Parti Politique est un lieu où doivent se développer les vertus de camaraderie, de tolérance, de respect de l’autre, du sens du bien commun, du dialogue, des choses et de l’ordre établi pour éviter l’anarchie et l’arbitraire, de l’abnégation pour promouvoir l’intérêt général et le sens de l’engagement pour combattre toute apologie de la haine, de la division, de l’exclusion, de la stigmatisation, de la corruption, etc.

Curieusement, les Combattants de l’UDPS en général et de l’UDPS/TSHISEKEDI en particulier, après avoir consacré autant d’années de leur combat politique à dénoncer et à combattre les anti-valeurs érigées en mode de gestion par les régimes précédent, ceux de l’UDPS/TSHISEKEDI, ironie du sort, s’érigent en chantres de l’apologie de tout ce qu’ils avaient dénoncé et condamné pendant leur lutte : haine, division, exclusion, stigmatisation, corruption. Pire encore, nouveaux adeptes de la féodalité et de la nouvelle chosification des combattants, ils viennent d’inventer la doctrine de «TOSA OBIKA ».

Cette nouvelle doctrine qui jette l’opprobre sur la grande famille de l’UDPS est une invention propre à l’actuel Secrétaire Général Augustin Kabuya Tshilumba qui en est, en même temps, le gourou incontesté. N’ayant pas vécu à l’époque médiévale, néanmoins, le Gourou du « TOSA OBIKA » en a copié les méthodes et adopté l’attitude de Seigneur féodal vassalisant ainsi les membres du Parti.

En véritable Seigneur féodal, le gourou de la nouvelle secte « TOSA OBIKA » a, au cours d’une récente réunion politique aux allures rocambolesques, rassemblé tous ses adeptes, en commençant par les ministres, les députés tant nationaux que provinciaux en passant par les mandataires publics, les bourgmestres et les administrateurs de territoire présents à Kinshasa, et, nostalgique des méthodes dictatoriales, caporalistes et paternalistes du MPR, ex-Parti-Etat, il a, dans une rhétorique truffée de félonie et des faux aveux, rappelé à son auditoire l’obligation qu’ils avaient à rester fidèles et reconnaissants à sa magnanimité qui leur a procuré gîtes et couverts assurant précairement leur survie.

A cette occasion, il a demandé à ses adeptes dociles et aveugles d’être ses farouches défenseurs dans l’opinion à la suite de la réprobation générale contre ses actes inadmissibles commis dans l’exercice de ses fonctions et dont il est, semble-t-il, victime au motif qu’il aurait vendu des postes à des non-combattants de l’UDPS/TSHISEKEDI.

Paradoxalement, l’homme du « TOSA OBIKA » ne prêche pas par l’exemple – et le bon – en ce qui concerne la réconciliation et la réunification de toutes les tendances et sensibilités de l’UDPS. Déjà en 2020, le tristement célèbre tandem Kabund-Kabuya avait saboté purement et simplement les instructions données à Feu Jean Mutombo Tshimungu par la Haute Autorité Politique de Référence du Parti quant à ce.

Dernièrement au cours de la séance de travail de l’Hôtel Kampo entre la tendance UDPS/TSHISEKEDI et le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI, le tout-puissant Secrétaire Général Augustin Kabuya Tshilumba avait catégoriquement rejeté toute idée de réconciliation et de réunification malgré le mot d’ordre maintes fois répété par le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo de tenir le Conclave de l’unité, de la réconciliation et de la refondation de l’UDPS dans les différentes audiences accordées aux anciens de l’UDPS Originelle, toutes catégories confondues.

Par rapport à cette rébellion qui ne dit pas son nom, les observateurs s’interrogent sur la validité et la valeur de sa nouvelle doctrine de « TOSA OBIKA » actuellement à la mode à l’UDPS/TSHISEKEDI. N’est-elle pas à géométrie variable ? Car, cette doctrine avilissante et humiliante contraire à la social-démocratie doit, au moins, être « observée » scrupuleusement par tous les cadres inférieurs au moment où lui-même, son géniteur, refuse de se l’appliquer quand il s’agit des ordres venant de la Haute Autorité Politique de Référence du Parti.

Par contre, les cadres de l’UDPS/TSHISEKEDI s’étonnent d’apprendre que leur Secrétaire Général prêche la cohésion, la tolérance, l’amour mutuel et la solidarité à l’Union Sacrée de la Nation où il siège à son Praesidium. Or, il est considéré, à juste titre, comme le champion de la division, de la stigmatisation des Balubas qui le combattraient, de la haine et de l’exclusion, des vices contraires aux vertus de tolérance, de dialogue et de cohésion prônées au sein de la grande famille de l’UDPS depuis sa création le 15 Février 1982.

Cette fois-ci, on se demande si le gourou de « TOSA OBIKA » va s’entêter pour torpiller, de nouveau, la mission de réconciliation et de réunification confiée aux Quatre Fondateurs Historiques encore en vie par la Haute Autorité Politique de Référence du Parti. That is the question.

Fait à Kinshasa, le 26 Avril 2023

Felly FWAMBA MUBALAMATE

Coordonnateur National du Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI

Secrétaire National honoraire chargé de la Communication, des Infos et des Médias de l’UDPS/TSHISEKEDI




En présence de la Première Dame Denise Nyakeru: Tony Mwaba procède à la remise officielle des diplômes d’État de l’édition 2015

Ça y est ! Les diplômes d’État de l’édition 2015 sont déjà disponibles au profit des récipiendaires. Ce mercredi 26 avril 2023, le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique a fait le déplacement du Complexe Scolaire La Grâce dans la commune de Kinseso pour la remise officielle des diplômes d’État de l’édition 2015 et la remise des actes juridiques de l’école maternelle, primaire et de l’Institut La Grâce, en présence de la Première Dame de la République, Denise Nyankeru Tshisekedi.

La Grâce, une école réhabilitée grâce à l’implication personnelle de Madame Denise Nyakeru, épouse du Chef de l’État. Une cérémonie riche en couleur au bonheur des centaines de milliers de jeunes et élèves. C’est aux alentours de 10h30 que les hostilités sont lancées.

Premier à prendre la parole, indique une dépêche parvenue à notre rédaction, l’élève Manu Kayisa a, dans son bref mot de circonstance, remercié la Première Dame et lui a souhaité la bienvenue.

Pour sa part, le Directeur de l’EP la Grâce qui s’est réservé de long discours, a fait savoir que la Première Dame, outre le financement de la réhabilitation de ce complexe, elle s’est fait le devoir de suivre l’évolution des travaux jusqu’à sa remise en service. Un motif de remerciement pour le personnel de l’école maternelle, primaire et secondaire la Grâce.

Le Président de l’ANAPECO, M.Diatezua a également remercié la Première Dame tout en lui promettant le soutien des parents d’élèves de toute la République dans sa mission.

Grâce à la gratuité de l’enseignement primaire publique, plus de 5 millions d’enfants ont retrouvé le chemin de l’école. Et pour cela, les parents d’élèves et étudiants de la RDC lui rendront l’ascenseur au moment venu.

S’en est suivi le discours du Ministre de l’EPST, le Professeur Tony Mwaba Kazadi qui d’entrée de jeux, a rendu un vivant hommage à la Première Dame qui s’est donnée corps et âme pour réaliser cette œuvre qui permet désormais à 834 élèves de ce complexe d’étudier dans des bonnes conditions comme en est le cas des nombreuses écoles du centre-ville. Une école construite selon les normes dans une commune urbano-rurale.

Il a également remercié le Chef de l’État, le Président Félix Tshisekedi pour sa détermination à offrir aux enfants congolais un cadre propice pour leur apprentissage.

Par la même occasion, le Ministre Tony Mwaba Kazadi a annoncé la mécanisation et la paie des enseignants de ce complexe et l’octroi des frais de fonctionnement, question de permettre aux enseignants d’être à l’abri des multiples besoins qui pourraient ralentir l’essor dans cette contrée.

Il a cependant demandé aux gestionnaires de ce complexe d’imprimer une gestion orthodoxe et harmonieuse pour permettre à ce que les générations futures de cette commune d’étudier dans des bonnes conditions que leurs ainés.

Occasion faisant le larron, le ministre Tony Mwaba Kazadi a annoncé la disponibilité de plus de 368 mille diplômes d’État au bénéfice des enfants qui ont attendu 8 ans pour s’en procurer. Ce, grâce à l’implication personnelle du Chef de l’État.

Un échantillon de 4 récipiendaires reçoivent les diplômes

Moment tant attendu, la remise des diplômes d’État. Aux mains du Ministre Tony Mwaba, un échantillon de 4 récipiendaires concernés représentants tous les élèves de la RDC ont reçu les leurs.

Faisant d’une pierre deux coups, le Professeur Tony Mwaba, Ministre de tutelle a remis les actes juridiques de l’école à la Première Dame qui à son tour les a remis au Directeur de l’EP la Grâce. Un acte sanctionnant ainsi la fin de la cérémonie.

Se livrant à la presse, le préfet de l’Institut La Grâce a remercié le Président de la République, son épouse et le Ministre de l’EPST pour s’être impliqués, d’une part pour la réhabilitation et d’une autre pour la mécanisation des enseignants de ce complexe.

“Les mots même me manquent pour exprimer ces sentiments. Mais, ça ne peut rien d’autre être que les sentiments de joie et d’allégresse. Nous remercions d’abord le Président de la République, Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo pour s’être impliqué dans la situation de notre école et aussi son épouse, la Première Dame qui est venue inaugurer cette école, et c’est elle aussi qui revient pour que nous recevions officiellement l’arrêté ainsi que la Mécanisation. Nous ne pouvons pas non plus oublier le Ministre de l’EPST, Monsieur Tony Mwaba Kazadi. Que Dieu les bénisse tous”, a-t-il dit.

Il sied de signaler que plusieurs autorités politico-administratives étaient présentes à cette cérémonie notamment le Ministre provincial de l’EPST, Charles Mbuta Mutu et le Secrétaire général de l’UDPS, Augustin Kabuya.

JMNK




Le 22 avril courant à la Communauté musulmane Ahmadiyya/Grand Bandundu : La fête d’Aïd-ul Fitr marquant la fin du Ramadan célébrée dans la solidarité

La fête d’Aïd-ul-fitr qui marque la fin du Ramadan a vécu. A propos, la   Conformément aux enseignements du livre saint des musulmans, le Coran, et du prophète Muhammad, la communauté musulmane Ahmadiyya en RDC (Comaco) a organisé plusieurs programmes humanitaires dans tous les coins du pays, montrant ainsi l’esprit philanthropique de cette communauté religieuse tel que recommandé par son fondateur Hazrat Mirza Ghulam Ahmad, dans un de ses couplets écrits en langue persane : « Mon désir, mon souhait et mon objectif sont au service de l’humanité. C’est mon travail, ma foi, mon inspiration et mon chemin ».

Le missionnaire du Comaco/grand Bandundu, Farid Ahmed Bhatti, a confié à la presse que sa mission a distribué des produits alimentaires (huile végétale, foufou, maïs, riz, spaghetti, savon en poudre, savon de toilette, thé, sucre, boîte de tomate, biscuits dans le territoire de Mushi, Nioki, Kwamouth, Bandundu-ville et Gemena (Sud Ubangi). Il a estimé à 6 milles le nombre des bénéficiaires de ces programmes. Ces programmes, a noté le missionnaire du Comaco/Grand Bandundu, ont été organisés par la Communauté musulmane Ahmadiyya et son ONG « Humanity First ».

Parmi les bénéficiaires de ces programmes figurent des nécessiteux, des orphelins, des vieillards et des handicapés, sans distinction de race ou de religion ainsi que les réfugiés du conflit de Kwamouth et les prisonniers de la Prison Cinquantenaire de Bandundu. En plus, la Comaco/Grand Bandundu a également aidé financièrement des centaines de personnes (étudiantes, malades et nécessiteuses).

Cette journée est célébrée pour rendre grâce à Allah pour les bénédictions accordées à tous les fidèles au cours du Ramadan. Pendant cette fête d’Aïd-ul-fitr, à l’accoutumée, les musulmans ont assisté au service de prière de la congrégation de l’Aïd qui a lieu le matin. Ils ont porté de nouveaux vêtements, cuisiné des plats délicieux et invité amis et voisins à cette célébration.

Il est également noté que le jeûne, qui est le troisième pilier de l’Islam, n’est pas à considérer pendant le Ramadan comme un fardeau inutile. « Il inspire la sympathie pour les affamés et les nécessiteux, et encourage les musulmans à faire un don généreux aux pauvres ». C’est dans ce contexte que la Communauté musulmane Ahmadiyya du grand Bandundu a visité la prison du cinquantenaire de cette partie de la RDC et remis des vivres aux 450 pensionnaires de la prison.

Très ému, le directeur de cette maison pénitentiaire, Danny Kilanga Muyumba, a remercié la Comaco et salué ce geste de solidarité.

Payne




RPDC-FR; Déterminées contre l’hégémonie, l’arbitraire et les menaces des forces hostiles communes

Voici les 2 documents (25/04/2023) émanant du Ministère des Affaires Etrangères (AE) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène fière de ses 5.000 ans et digne de sa culture brillante, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR).

① DEVELOPPER LES LIENS D’AMITIE TRADITIONNELLE (communiqué de presse du Vice-Ministre IM Chon Il)

Aujourd’hui, nous célébrons l’occasion significative qui s’avère le 4ème anniversaire de;

la visite à Vladivostok (ou «dominant l’Est/Orient»; fenêtre sur l’Extrême-Orient, point de départ ou terminus du Transsibérien et importante ville portuaire du Pacifique, en Russie, qui surplombe la baie de la Corne d’Or située à proximité des frontières avec la Chine et la RPDC, NDLR) effectuée par le Camarade KIM JONG UN, Président des Affaires d’État de la RPDC

la rencontre du Camarade KIM JONG UN avec S.E.M. Vladimir Vladimirovitch POUTINE (1952- ), Président de la Fédération de Russie (FR).

La visite (24-26/04/2019) en FR et le Sommet RPDC-FR historiques du Camarade KIM JONG UN ont donné un élan important pour;

consolider davantage et développer, progressivement, les relations d’amitié de longue date entre les 2 Pays

renforcer les liens d’amitié traditionnelle RPDC-FR.

Au cours dudit Sommet, de précieux accords ont été conclus sur;

la promotion des visites de haut rang

le développement de la coopération dans tous les domaines

le renforcement de la communication stratégique et de la collaboration tactique sur le chemin pour assurer la paix et la sécurité mondiales.

Le Sommet historique à Vladivostok a ouvert un nouvel apogée dans les relations RPDC-FR;

Rien quen 2019, le Ministre du Développement de l’Extrême-Orient et de lArctique, le Vice-Ministre de la Défense Nationale et les délégations du Ministère des AE et des principaux médias de la FR ont visité notre Pays et, de notre côté, le Président de lAssemblée Populaire Suprême, le Vice-1er Ministre et le 1er Vice-Ministre des AE de la RPDC se sont rendus en FR; de cette manière, les 2 Pays ont activé les échanges de délégations de haut rang, favorisant, davantage, le développement des relations bilatérales.

A partir de 2020, la Crise sanitaire mondiale a fait naître les conditions défavorables contraignant les contacts et échanges mutuels; cependant, la collaboration stratégique et tactique entre les 2 Pays s’est, encore, resserrée et a été portée à un niveau supérieur sur base de laccord conclu lors du Sommet RPDC-FR.

Aujourd’hui, les 2 Pays RPDC-FR, héritiers des traditions historiques de lutte au coude à coude contre les ennemis communs, renforcent leur soutien mutuel et solidarité dans la lutte pour écraser, résolument, les dangers de guerre et les menaces militaires de lextérieur, sauvegarder la sécurité, la dignité et la paix de chaque Pays et réaliser la justice internationale.

C’est la position invariable du Gouvernement de notre RPDC d’élever et de développer les relations d’amitié RPDC-FR de longue date et traditionnelles, du point de vue stratégique et comme l’époque l’exige. Les relations RPDC-FR;

ont résisté aux tourbillons de l’histoire et se sont cimentées sans aucun changement mais avec continuité

continueront à braver tous les défis et obstacles sur leur chemin et à poursuivre, avec force, la nature intrinsèque de lamitié et de la coopération sous lattention particulière des Dirigeants des 2 Pays.

Nous souhaitons que le Gouvernement et le Peuple de la FR remportent des succès dans la sauvegarde de la sécurité et des intérêts légitimes ou légaux de leur Pays et dans la réalisation de l’objectif de construire un État puissant et prospère, luttant, résolument, contre l’hégémonie, l’arbitraire et les menaces militaires des forces hostiles.

② L’ANTI-US EN HAUSSE CONTINUELLE A L’ECHELLE MONDIALE (commentaire du www.mfa.gov.kp )

Il y a quelques jours, la RIA Novosti (lune des plus importantes agences de presse de la Russie avec la TASS et lInterfax depuis 1991, NDLR) a cité un commentaire du Global Times (tabloïd quotidien depuis 1993 dont léditeur est le Quotidien du Peuple, journal/organe du Parti Communiste Chinois, NDLR) qui affirmait que les tentatives des USA (les plus obsédés à lexpansion doutre-mer dès leur création, en tentant dagresser la Corée en 1866, et occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945, NDLR) de dominer le monde seraient vouées à léchec, pour continuer à son tour comme suivant;

La voix continue de sélever pour appeler à un nouvel ordre mondial, que les USA le veuillent ou non. Dans ce contexte, le mouvement anti-$US est à la hausse et de nombreux Pays accordent leur grande attention à la coopération multilatérale interrégionale.

Les BRICS (groupe de 5 Pays créé en 2009 pour les sommets annuels; Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud, NDLR) gagnent en popularité et les organisations de coopération internationale telles que lOrganisation de Coopération de Shanghai (OCS à caractère politico-économique de 9 Pays et sélargissant de 2001 en 2021; Chine, Russie, Kazakhstan, Kirghizistan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Inde, Pakistan et Iran, NDLR) ont un grand attrait, tandis que sont en déclin les influences des soi-disant Pays du G7 (Groupe des Sept; groupe de discussion et de partenariat économiques des 7 Pays réputés en 1975 pour être les plus grandes Puissances avancées du monde qui détiennent la richesse nette mondiale non négligeable -environ 45% jusqu’à lavènement de la pandémie actuelle- : Allemagne, Italie et

France; participante dans la Guerre de Corée 1950-1953 RPDC-USA en tant que lun des 15+ Pays satellites des USA, avec ses 3.794 militaires -19/07/1950-

Canada; 27.000 -28/07/1950-

Grande-Bretagne; 56.000 -01/07/1950-

Japon; 8.000 survivants de lArmée Impériale du Japon -le plus ambitieux de lexpansion doutre-mer dès sa création, en tentant denvahir la Corée la plus voisine en 1592-1598, et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de lONU du fait de ses crimes les plus graves contre lHumanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système desclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et lenlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc.-

USA; 2.000.000 dont 1.789.000 états-uniens, NDLR)

Une telle tendance de lEpoque ne peut être inversée par aucune pression ou coercition des USA qui;

tentent de se décrire comme un «titan gentil» tout en poussant leurs Alliés aux guerres de l’économie et de la presse contre la Chine et la Russie (mais, aucun ne confie aux USA.)

augmentent les sanctions et pressions contre la Russie au sujet de lopération militaire spéciale de la Russie (mais, cela a plutôt stimulé de nombreux Pays à sopposer aux influences de lOccident tout en se convertissant aux systèmes de règlement des échanges basés sur leurs monnaies nationales, en développant la coopération régionale et en maintenant la vision dun monde multipolaire.).




DG de l’ARSP: DG Miguel Kashal, des réalisations qui font des jaloux

Attaqué, mieux vilipendé inutilement dans la presse, M. Miguel Kashal Katemb, Directeur général de l’Autorité de Régulation de la Sous-traitance dans le Secteur Privé (ARSP), s’est pourtant distingué dans son secteur, 100 jours après sa nomination. Apurement des dettes antérieures, acquisition des matériels roulants et informatiques, formation du personnel, marketing de l’ARSP auprès de grandes sociétés dans tous les secteurs des activités économiques du pays, bonne collaboration avec les institutions de la République et les structures fédératrices des entrepreneurs, accroissement des recettes, sont autant d’actions entreprises par l’actuel ménagement de cet établissement public ayant pour objectif de développer une classe moyenne congolaise. 

En très peu de temps après sa prise des fonctions comme Directeur général de l’Autorité de Régulation de la Sous-traitance dans le Secteur Privé “ARSP”, Miguel Kashal Katemb a marqué les esprits et se positionne, à tout point de vue, comme un bon gestionnaire, celui qui a bien compris la vision ayant conduit à la création en 2017 de cet établissement public, à savoir, le développement d’une vraie classe moyenne en RDC.

 

 

Avec l’équipe qui l’accompagne, Kashal Katemb traduit parfaitement en actes cette principale mission confiée à l’ARSP.

 

 

Le mode d’organisation, de fonctionnement, et de gestion qu’il y a imprimé est, pour les observateurs neutres, du genre à couper l’herbe sous le pied de tous ses détracteurs.

 

 

Il a renforcé la collaboration de l’ARSP avec ses partenaires que sont les institutions (Gouvernement) et les structures fédératrices des entrepreneurs (FEC , Chambre des Mines , Club des Sous-traitants, FENAPEC , COPEMECO et autres).

 

 

Le patron de l’ARSP a entrepris la vulgarisation de la Loi sur la sous-traitance et ses mesures d’application, accroissant ainsi la visibilité de l’entreprise à travers sa participation à tous les évènements phares ainsi que l’affichage des missions de la structure sur les panneaux publicitaires. Cela, en même temps que la formation des Officiers de Police Judiciaire devant assurer le contrôle.

 

 

Bien plus, il a fait accélérer le recouvrement de la redevance légale due à l’ARSP. Ce qui lui a permis, grâce à une gestion rationnelle des fonds ainsi collectés, d’acquérir un Charroi automobile fort de 7 jeeps de marque GXR et 6 jeeps Land cruiser tout terrain. Une centaine d’ordinateurs, des caméras et d’autres compléments électroniques ont également été acquis pour faciliter le travail des agents.

 

 

Des actions qui contribuent grandement au rayonnement de son action au point de susciter l’ire de tous ceux qui avaient échoué là où Kashal est en train de réussir brillamment.

 

 

Il est important de rappeler que ceux-ci ne ratent aucune occasion pour fomenter toutes sortes d’affabulations et tenter désespérément de jeter un discrédit sur une action pourtant saluée par la majorité des partenaires et même par le président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, qui a récemment reçu le rapport succinct des activités de l’ARSP, tout content, qu’il a marqué son approbation pour le lancement d’une mission de contrôle dans les sociétés principales.

 

 

Une mission qui a révélé l’existence, sur le terrain, des sociétés prête-nom et autres stratégies de fraude détectées. C’est justement ces révélations qui ont conduit le directeur général à suspendre momentanément la délivrance des attestations d’enregistrement jusqu’à nouvel ordre.

 

 

Une certaine opinion pense que c’est la crainte d’autres probables révélations qui pourront découler d’une autre grande mission de contrôle en vue dans les entreprises déjà enregistrées, qui pousse, dans un élan de fuite en avant, les détracteurs à obtenir la tête de Miguel Kashal et essayer de l’empêcher d’ouvrir la boîte à Pandore.

 

 

Sinon, les mérites de gestion de l’ARSP par Kashal sont reconnus et vantés par plusieurs opérateurs économiques de renom, notamment le Patron d’IVANOE MINES, Robert Friendland, et Georges Arthur Forrest, patron du Groupe Entreprise Générale Malta Forrest.

 

 

A savoir que la mission de l’ARSP est la régulation de toutes les activités de la sous-traitance dans le secteur privé avec en toile de fond le contrôle dans les entreprises. Il lui est également reconnu le droit de recouvrement d’une

 

redevance de 1,2% sur le chiffre d’affaires des entreprises.

 

 

Avec le travail de visibilité de l’ARSP doublé de celui de la vulgarisation des activités, plusieurs opérateurs économiques jadis réticents au contrôle et au paiement de cette redevance, ont commencé à honorer leurs obligations légales. Il s’en suit que les caisses de l’entreprise sont renflouées. Mieux, les entrées financières ont doublé à date. De quoi permettre à l’ARSP de réaliser ses ambitions comme le recrutement du personnel pour certaines directions et l’acquisition des moyens de locomotion ainsi que d’autres outils de travail, à la grande satisfaction des agents qui sont payés à temps et ne connaissent aucun arriéré de salaires.

 

 

A tout prendre, la gestion de l’actuel DG de l’ARSP montre des signaux forts susceptibles de faire de l’ARSP le créateur des millionnaires congolais. Étant donné que tout est fait pour permettre aux PME congolaises de bénéficier des gains de la mise en œuvre de loi sur la sous-traitance en RDC.