AN : Albert David Mukeba adresse une question orale avec débat au ministre de la Santé sur la persistance du test PCR Covid-19 

Le service courrier de l’Assemblée nationale a enregistré, ce mercredi 26 avril 2023, une correspondance dont le contenu est une « question orale avec débat adressée au ministre de la Santé publique ».

L’honorable Albert David Mukeba, auteur de l’initiative de contrôle parlementaire, veut obtenir du ministre de la Santé sur l’usage et la destination des recettes générées ainsi que sur l’opportunité ou le maintien du test PCR pour tout voyageur au départ ou à destination de la RDC, alors que la Covid-19, considérée désormais comme une grippe ordinaire, a été sortie par l’OMS de la liste des problèmes de santé publique.

A l’issue de cet exercice, l’élu de Miabi, au Kasaï-Oriental, s’est exprimé en ces termes : « La Covid-19 a été déclarée par l’OMS comme une maladie similaire à la grippe ordinaire. Donc, ce n’est plus une question de santé publique internationale. On ne peut plus comprendre que cette maladie fasse l’objet de tant d’attention et tracasserie en RDC qui est un des rares pays au monde qui impose encore le test PCR rendant difficile le déplacement des personnes tant à l’intérieur du pays que pour les voyageurs en provenance de l’extérieur ou à destination de la RDC ; lesquelles sont obligées de payer le test PCR, alors que les mesures barrières ont été déjà levées ».

Voilà qui justifie cette initiative de contrôle parlementaire. C’est pour demander au ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention de répondre aux préoccupations de la représentation nationale. L’élu de Miabi a expliqué que sa démarche vise à obtenir des réponses claires et précises des préoccupations soulevées par la population à travers la représentation nationale. Il tient également à obtenir la suspension du test PCR dès lors qu’on a déjà suspendu les gestes-barrières.




Les Warriors savent unanimement qu’ils n’ont pas droit à l’erreur. Soutenons-les, que notre beau pays décolle ! [Par Jacques Kitengie, Éditorialiste et Patriote]

Ils sont bel et bien conscients d’innombrables difficultés auxquelles la communauté nationale est confrontée. L’accès à l’eau et à l’électricité, au logement décent, aux soins de santé de qualité, à l’éducation de base, au bien-être universel, à l’information.

Ils sont à bord du train conduit, avec maestria, par un digne fils de père et de mère, Tshisekedi fils alias béton. Les Warriors sont d’avis que le vent du changement radical de narratif rime avec l’obligation de leur action. Le Congo Kinshasa de Patrice Emery Lumumba doit inéluctablement, ici et maintenant, décoller, pourvu que tous les congolais saisissent la balle au bond. Question de regarder dans la même direction, d’autant plus que la notion des mutations se veut un processus impliquant l’adhésion tous azimuts.

Un nouveau Congo est possible avec les Warriors, et l’Union sacrée de la nation. Lueur d’espoir, soutien aux guerriers de la bonne cause tels que guidés par le fils du Sphinx. Fatshi ou doit-on en attendre un autre ? Une question qui mérite une réponse. Aujourd’hui et demain, il faut Fatshi pour le Grand Congo ; il faut un patriote actif, à la fois un nationaliste et un révolutionnaire. Tenez ! Le budget jadis de 4 milliards est estimé dorénavant à 16 milliards. La décrispation politique n’est plus un mythe. Les médias publics sont accessibles à toutes les sensibilités. La gratuité de l’enseignement est une réalité. Les routes sont en train d’être construites à Kinshasa, et en province. Il existe désormais une société de transport pour étudiants. Des réformes importantes et savantes sont mises en place, en vue du changement tant attendues.

Au ministère de l’urbanisme et habitat, par exemple, le Républicain Pius Muabilu Mbayu Mukala, s’est engagé à mettre fin à l’anarchie et/ou la récréation en ce concerne le patrimoine immobilier de l’Etat. Fini la récréation. Le Warrior a mis en place des établissements publics à même de corriger les erreurs du passé. L’agence congolaise de promotion immobilière a vu le jour, autant que le fonds national d’habitat et le Guichet unique de délivrance des permis de construire, pour ne pas citer la cellule chargée du pilotage des programmes de développement urbain, en étroite collaboration avec les partenaires traditionnels, notamment la banque mondiale.

Que des signaux qui plantent le décor du changement radical d’avec un passé sombre, du reste hérité des régimes politiques d’autrefois. Différents ministères exhibent le même pas de danse. À quelques encablures de la tenue des élections législatives couplées à la présidentielle, l’espoir est permis, la volonté d’offrir les meilleures conditions de vie au peuple congolais est manifeste et grandiloquente. Juste un soutien aux Warriors suffit. Que notre action l’emporte sur les stéréotypes d’une opinion prise en otage par la lâcheté et les étincelles du courant des puissances occultes. Allons-y, patriotes épris du sens de révolution et du devenir radieux.




Ce que je pense ! (3) de la proposition de loi Tshiani ou de père et de mère

En mai 2021, un compatriote et ancien candidat malheureux aux élections présidentielles de 2018, Noël Tshiani Muadimvita, dépose, à travers le député national Cerveau Nsingi Pululu, une proposition de loi réservant certaines fonctions importantes de l’Etat exclusivement à des citoyens congolais ayant comme père et mère des congolais. En d’autres termes, les candidats à ces fonctions stratégiques doivent être 100% congolais. Vous serez écarté de la compétition ou de la nomination si l’un de vos géniteurs est d’origine étrangère.

Ces fonctions publiques réservées aux congolais de père et de mère sont : la Présidence de la République, la Primature, la Présidence du Sénat et de l’Assemblée Nationale, de la Cour constitutionnelle et les grades des généraux au sein de l’armée.

Noël Tshiani Muadiamvita (en tshiluba Tshiani veut dire le premier et Muadiamvita le guerrier infatigable) l’auteur de cette proposition, justifie sa démarche par la volonté de protéger la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale de notre pays. En effet, cet ancien haut cadre de la Banque Mondiale considère que la loyauté vis-à-vis de l’Etat des congolais dont l’un des parents est étranger serait hypothétique et douteuse.

Cette proposition de loi a suscité et suscite encore, au sein de l’opinion publique un débat passionné et suscite des prises de positions tranchées. Comme acteur politique, il nous semble utile et responsable, d’apporter notre modeste contribution et un éclairage à ce débat public.

Les raisons qui nous poussent à ne pas soutenir cette proposition de loi de Noël Tshiani sont d’ordre juridique et politique.

I. La proposition de loi Tshiani viole la Constitution

La proposition de loi Tshiani réservant certaines fonctions à des congolais de père et de mère viole les articles 12 et 13 de notre Constitution actuelle.

A. L’égalité de tous devant la loi

L’article 12 de la Constitution du 18 février 2006, Constitution adoptée par referendum, dispose que « Tous les congolais sont égaux devant la loi et ont droit à une égale protection des lois ». Cet article qui parle de « tous les congolais » ne fait aucune distinction entre les congolais « de père et de mère » et les congolais « de père ou de mère ». Vouloir, par une loi, créer une distinction non prévue par la Constitution, c’est violer la Constitution. Il n’est pas nécessaire d’avoir un doctorat en droit ou être un juriste avéré pour comprendre que la proposition de loi Tshiani, créant des nouvelles catégories (des congolais à 100% et des congolais à 50%) viole l’égalité de tous les congolais devant la loi prévue par l’article 12 de la Constitution.

B. L’égalité d’accès aux fonctions publiques

Après avoir proclamé l’égalité de tous les congolais devant la loi en son article 12, notre Constitution actuelle préconise l’égalité d’accès de tous les congolais aux fonctions publiques. En effet, en son article 13, elle dispose ceci : « Aucun congolais ne peut en matière d’éducation et d’accès aux fonctions publiques (…) faire l’objet d’une mesure discriminatoire, qu’elle résulte de la loi ou d’un acte de l’exécutif, en raison de sa religion, de son origine familiale, de sa condition sociale, de sa résidence, de ses opinions ou de ses convictions politiques, de son appartenance à une race, à une ethnie, à une tribu, à une minorité culturelle ou linguistique ».

Il est établi que la proposition de loi Tshiani est discriminatoire en excluant de certaines fonctions publiques, en raison de leurs origines familiales, les congolais dont l’un des parents est étranger. En se référant au père ou à la mère d’un candidat à une fonction publique, on se réfère à son origine familiale pour le discriminer ; ce qui est strictement interdit par l’article 13 de notre Constitution. Donc la proposition de loi Tshiani, en créant cette discrimination, viole la Constitution.

En définitive, cette proposition de loi ne peut être recevable qu’à condition de modifier les articles 12 et 13 par une révision constitutionnelle. Et on connait la lourdeur de cette procédure.

II. La proposition de loi Tshiani a des fondements racistes et ne se justifie pas politiquement

A. La loyauté et la pureté de sang

Considérer que la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale de la RDC seraient mieux protégées par les congolais « de père et de mère » parce que ceux-ci seraient plus loyaux à la République que les « sangs mêlés » (congolais de père ou de mère) revient à dire que la loyauté d’une personne à la République est liée à la qualité de sang congolais qu’il aurait en lui. Les 100% congolais (c’est-à-dire de père et de mère) seraient plus loyaux et défendraient mieux les intérêts de la République Démocratique du Congo que les 50% (de père ou de mère).

Cette théorie qui lie le comportement ou la moralité d’une personne à son sang (les congolais 100% seront plus vertueux, plus patriotes que le 50%), à sa race, à son origine ethnique s’appelle le racisme. Elle est défendue par les groupes d’extrême-droite en Europe et aux Etats-Unis. En effet, ces extrémistes racistes considèrent que le caractère et le comportement d’une personne sont fonction de la couleur de sa peau. C’est ainsi que, pour eux, par exemple, le noir n’est pas très intelligent, il est d’une moralité douteuse et paresseux.

Cette théorie a déjà été mise en pratique par le régime Nazi d’Adolph Hitler. Et on connait ses conséquences; c’était l’holocauste. Puis-ce que le juif est prisonnier de son sang qui le rend mauvais, la solution finale est de le tuer. C’est la même justification utilisée pour le génocide rwandais.

Nous pensons que l’auteur de cette proposition de loi, vu sa formation académique, son parcours professionnel remarquable et son ouverture d’esprit, ne partage pas cette idéologie rétrograde.

B. L’absence de fondement historique

La thèse de Noël Tshiani selon laquelle les citoyens congolais de sang pur (100%) seraient plus loyaux et défendraient mieux et plus les intérêts de la RDC que les citoyens congolais de sang mélangé, devaient s’appuyer sur des exemples solides récoltés dans l’histoire de notre pays. Ce qui n’est pas le cas.

L’auteur de ce projet devrait par exemple nous prouver en quoi Léon Kengo wa Dondo (fils d’une congolaise et d’un belge), a, comme premier ministre, moins bien défendu les intérêts de la RDC que Faustin Birindwa, un 100% ?

En quoi Abdoulaye Yerodia Ndombasi (fils d’une congolaise et d’un sénégalais) a été moins patriote, moins nationaliste, que Bertrand Bisimwa, Président du M23, et 100% congolais ?

En quoi, dans l’armée, le général Kikunda Ombala (mère congolaise et père belge), le général Mulamba Pene Lowa (mère belge et père congolais), le général Michel Elesse (mère congolaise et père belge) et le Colonel Mamadou Ndala (mère congolaise et père sénégalais) ont été moins bons officiers et moins patriotes que les autres généraux de père et de mère ?

 

En conclusion, on voit bien que cette proposition de loi n’a pas de raison d’être par manque des fondements juridiques et politiques. La loyauté des autorités publiques ne sera garantie que par une éducation civique approfondie et l’assurance des sanctions, positives ou négatives, sans distinction aucune de la quantité de sang congolais qu’elles auraient dans les veines (100%, 50%, 25% …).

L’amour de la patrie est une question morale et non un problème biologique.

Vos observations, commentaires et critiques sont les bienvenus !

Thomas LUHAKA LOSENDJOLA

Président honoraire de l’Assemblée Nationale

Député National

Avocat à la Cour d’Appel de Kinshasa/Gombe




Le Japon dote la Rdc de 7 millions Usd pour l’amélioration du Centre National de Télédétection   

Monsieur Minamo Hiro, Ambassadeur du Japon en République démocratique du Congo a procédé, ce jeudi 27 avril 2023 à Kinshasa, à la signature de l’Echange de Notes avec M. Christophe Lutundula Apala, Vice-Premier Ministre en charge des Affaires Etrangères et Francophonie, en vue de la mise en œuvre du « Projet d’Amélioration du Centre National de Télédétection », accordé dans le cadre de la coopération économique japonaise visant à promouvoir le développement économique et social de la République démocratique du Congo.

Financé à hauteur de 7 millions de dollars américains, ce projet est une réponse au souhait émis par la Présidence de la République de doter le Ministère de la Recherche Scientifique d’une institution capable de cartographier et de faire le suivi des ressources terrestres de la République

Démocratique du Congo grâce à la télédétection par satellite.

Dans son adresse, M. Minami Hiro a souligné que la télédétection revêt une importance capitale pour le développement de la République démocratique du Congo au regard de ses ressources naturelles. La télédétection peut être utilisée dans la météorologie, la gestion des ressources agricoles et forestières, la cartographie, la gestion des catastrophes naturelles, etc, a-t-il indiqué.

Le diplomate japonais a également déclaré que l’amélioration du Centre National de Télédétection (CNT) permettra une étroite collaboration entre différents ministères sectoriels intéressés par l’observation de la terre et de ce qu’elle regorge ; ce qui permettra à la République démocratique du Congo de définir des stratégies concrètes de son développement sur base de données scientifiques réelles.

Pour clore, M. Minami a émis le souhait de voir le Projet d’amélioration du Centre National de Télédétection consolider davantage la coopération bilatérale entre le Japon et la République démocratique du Congo. Avant d’ajouter qu’en tant qu’institution stratégique, le Centre National de Télédétection, une fois revêtue de sa plus belle robe et d’équipements adéquats, permettra sans nul doute de créer de nouveaux emplois directs et indirects, et de faciliter au Gouvernement congolais la gestion et le contrôle de son sol et sous-sol.

Emmanuel Badibanga




Exception d’inconstitutionnalité : La Cour Constitutionnelle rejette le recours des avocats du prévenu Mwangachuchu

La Cour Constitutionnelle siégeant en matière d’inconstitutionnalité a rejeté ce jeudi 27 avril 2023 le mémoire unique sur l’exception d’inconstitutionnalité lui saisit par la défense du Prévenu Député national Edouard Mwangachuchu.

Selon notre source, la HCM n’a violé aucune disposition de la loi fondamentale en se déclarant compétente à connaitre les faits pour lesquels le prévenu Mwangachuchu est poursuivi, a dit le juge constitutionnel dans sa décision.

Ladite position étant donnée, l’instruction au fond de l’affaire déjà entamée par la Haute juridiction militaire va se poursuivre en procédure de flagrance certainement la semaine prochaine.

Pour rappel, le Député national Edouard Mwangachuchu et son co-prévenu, le Commissaire Principal Robert Mushamalirwa, l’un des gardiens de sa société minière, sont poursuivis pour association des malfaiteurs, détention illégale d’armes et munitions de guerre et incitation des militaires à commettre des actes contraires au devoir ou à la discipline.




Patrick Muyaya échange avec le pasteur Pierre Kyungu wa Ilunga, Représentant légal de la mission évangélique Les Moissonneurs du Seigneur 

M. Patrick Muyaya, ministre de la Communication et Médias, a reçu en audience le pasteur Pierre Kyungu wa Ilunga, Représentant légal de la mission évangélique Les Moissonneurs du Seigneur, une église basée à Lubumbashi dans le Haut Katanga.

Défenseur des médias, le ministre Muyaya a accordé une attention soutenue aux doléances de cet homme de Dieu dont l’église a une chaîne de télévision et une station de radio dénommées EMS TV.

Pasteur Pierre a présenté au ministre la situation qui prévaut dans son media. En effet, la chaîne de l’église Les Moissonneurs du Seigneur émet à Lubumbashi et souhaite arroser tout le Grand Katanga. Pour ce faire, il faut remplir certaines conditions. Il est donc venu à la source pour connaître les conditions à remplir.

“Nous sommes venu voir le ministre de la Communication et Médias pour échanger puisqu’il est celui qui s’occupe des médias en République Démocratique du Congo. Nous lui avons demandé de nous aider sur le plan technique, sur comment stabiliser notre chaîne et ce qu’il faut faire. Nous en avons profité aussi pour demander quelques conseils toujours concernant notre média. Nous avons été bien reçu et nous sommes sortis satisfaits par les points de vue du ministre”, a expliqué le pasteur Pierre Kyungu.

Le pasteur Kyungu était accompagné de deux autres hommes de Dieu, le pasteur Bienvenu Matenda et le Pasteur Buanerge Kaseke de Kinshasa.

Les trois invités du ministre ont saisi cette opportunité pour lui présenter leurs civilités. Ils ont également échangé sur le changement du narratif, la loi Muyaya et tout ce qui tourne autour du secteur de médias d’une manière générale.

Ils sont revenus sur la manière dont les chrétiens doivent servir à la fois la nation et l’église. Avec l’élargissement de ce média sur tout le Grand Katanga, un nombre important des chrétiens pourront suivre la prédication Dieu parle à travers le média EMSTV.




Félix Tshisekedi rend un dernier hommage à Albert Ndele Bamu en le décorant à titre posthume

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a décoré et rendu un hommage posthume à Albert Ndele Bamu à l’esplanade de l’hôpital du Cinquantenaire ce jeudi 27 avril 2023 à Kinshasa.

Décédé à Bruxelles, en Belgique, à l’âge de 93 ans le 1er Avril 2023, le Premier Gouverneur de la Banque Centrale du Congo, alors Banque Nationale du Congo de 1961 à 1970, a été élevé à titre posthume au rang de Grand officier dans l’ordre des héros nationaux ‘Kabila-Lumumba’ par le Chef de l’État, le Président de la République, lui-même Grand Chancelier des ordres nationaux. Albert Ndele était parmi les premiers universitaires congolais qui ont terminé en sciences économiques en 1958, il a aussi été membre du collège des commissaires Généraux en 1960 avec Étienne Tshisekedi, Lihau Marcel et les autres.

Il fut plusieurs fois ministre et une grande figure de la communauté Né-Kongo.

Après cette décoration à titre posthume, la dépouille de l’illustre disparu a été amenée à la cathédrale Notre-Dame de Kinshasa-Lingwala pour une messe de suffrage, avant le départ pour sa ville natale de Boma au Kongo-Central au Bas-Fleuve, où il sera inhumé sur la terre de ses ancêtres.




Volley-ball: L’Euvokin publie le calendrier de la 3è journée Dames et Messieurs

Le secrétariat exécutif de l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa a dévoilé le calendrier de la 3è journée du championnat.

Samedi 29/04/2023

10h00 : Olympic vs Police (M) :

11h00 : Force Terrestre vs Inter (M) :

12h00 : Ouragan vs New La Loi (D)

Dimanche 30/04/2023

09h00 : Bythiam vs Espoir (M) :

10h00 : Green Team vs Madaka (M) :

11h00 : La Gracia vs DCMP (D) :

12h00 : La Loi vs Canon (D)

Antoine Bolia




Judo: Le Directeur sportif de l’UAJ séjourne à Kinshasa pour une formation de bénévoles et officielles techniques

Il nous revient de la Coordination Nationale des Activités de Judo en RDC que le Directeur sportif de l’Union Africaine de Judo séjourne à Kinshasa.

Quant à la raison de sa présence dans la capitale, son séjour de 6 jours est dicté par la formation qu’il assure. Deux jours sont consacrés pour les bénévoles et 4 seront consacrés pour les officiels techniques.
En ce qui concerne la formation des bénévoles, elle a commencé le mercredi 27 avril et elle se clôture ce jeudi 28 avril 2023. Un détail important à signaler concernant les bénévoles, le critère âge est pris en compte. Par ailleurs, ils ne sont pas tenus d’être forcément judokas car ces derniers vont travailler dans 14 départements différents (informatique, santé, protocole, communication…).
Antoine Bolia




Football: La 28è Journée série A se joue ce jeudi 27 avril 

Le Secrétariat de l’Entente Provinciale de Football de Kinshasa a dévoilé le calendrier de la 28è journée du championnat pour la série A.

Au Complexe sportif Ujana

9h00 : Canon de Ndjili vs Ceforbel :

11h00 : ICK vs Monzo :

13h00 : Kito Sport vs AF St Christian :

15h00 : AJ Vainqueurs vs AC Ujana :

Terrain de Lemba

Fonak : Repos

11h00 : Piwi vs AC Kratos :

13h00 : Les AS vs FC Robi :

15h00 : AC Lega vs RC Bumbu :

Par ailleurs, il est rappelé aux dirigeants des clubs qui voudront filmer ou avoir les séquences vidéos de leurs matchs respectifs, de se mettre en ordre avec la Trésorerie de l’Epfkin qui est ouverte 24/24 heure au siège social de l’entité au Stade des martyrs de la pentecôte.

Ci-après la liste des clubs qui se sont déjà acquittés :

1. Athletic Club Kratos

2. OCD

3. AF St Christian

4. Football Club Robi

5. Football Club Fonak

6. AC Monzo

7. Ceforbel

8. St Etienne

9. Les Elites

10. TP Les Croyants

Il est prié aux secrétaires des clubs ou caméramen de ceux-ci de se prémunir de reçu de payement lors du match du club attendu.

Antoine Bolia