Kasaï : Aurélie Tshikenda plaide pour l’accélération de l’éducation numérique des femmes et des filles

Alors qu’elle a prononcé un mot au nom des femmes du Kasaï à l’occasion de la clôture des activités dédiées aux droits des femmes au stade Kanzala devant les autorités de la province parmi elles le gouverneur Dieudonné Pieme et le président de l’Assemblée provinciale, Me Aurélie Tshikenda a estimé que l’éducation numérique des femmes et filles est encore très faible et que le gouvernement devrait accélérer le processus pour permettre aux femmes du Kasaï d’être à la page avec l’évolution numérique.

Au nom des femmes, Aurélie Tshikenda a suggéré à l’Assemblée provinciale et le gouvernement provincial de pouvoir prendre une mesure spéciale et contraignante contre toutes les personnes qui pratiquent les mariages précoces qui, selon elle, sont des freins au développement de la femme et de l’éducation numérique.

Qu’un programme élargi d’éducation numérique égalitaire soit rendu disponible dans les différents coins de la province du Kasaï à l’instar des kiosques des ressources installés dans la ville de Tshikapa à l’ONG AWLN, ADEDEFO, AFEJUC0, maison de barreau, maison de la femme, incubateur de paix, a déclaré Mme Aurélie Tshikenda devant le autorités de la province.

Cette recommandation semble avoir eu sa place à l’organe délibérant ou un édit du genre serait déjà en chantier pour permettre aux femmes et filles d’être en phase avec une éducation numérique.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




A cause des amandes arbitraires, l’unique Agence de transport en commun à Tshikapa a fermé ses portes

Pour avoir reçu depuis son ouverture plusieurs cas de tracasseries routière des éléments de la police de circulation, les amandes arbitraires mais aussi pour avoir vu sans raison valable les rétentions des leurs petits véhicule (motos tricycles) outre d’autres Actes d’anti valeurs contre ses agents, l’unique agence de transport en commun “Tatem Transport viens de fermer ses portes sur ordre de leur PDG. Selon le responsable qui nous livre cette information, cette agence compte plus de 100 agents parmi eux les chauffeurs, les mécaniciens, les éléments de sécurité et l’administration qui sont payés régulièrement, alors que les agents de certains services de l’Etat les fond perdre le peu de recettes réalisées avec un coup trop bas pour aider la population.

Dernièrement, c’est la SONAS qui est entrée en jeu et détient 3 véhicules depuis plus de 15 jours sous prétexte fallacieux, regrette Emmanuel Kuango, avant d’ajouter que les 3 véhicules (motos tricycles c’est plus de 10% de leur charroi sur la ville de Tshikapa.

« Nous avions 26, il y a 20 en circulation, 4 entre les mains des services de l’Etat, ce qui représente 20% du charroi en activité », regrette M. Tatem.

24 heures seulement après cette décision, le transport difficile si pas trop cher dans plusieurs coins de la ville tels que de Katshiongo au centre-ville, de Kamalenga vers Port tit, de 3z à Kamalenga ou de Milambu pour 3z, le transport passe de 500 Fc à 1000 Fc.

Maison Tatem promet de reprendre si seulement l’État leur garantie la sécurité contre la prédation de agents et la restitution des véhicules retenus au Commissariat de la Police de circulation routière, et au bureau SONAS/Tshikapa centre et suite au manque à gagner, la maison Tatem Transport promet de revoir ses tarifs légèrement à la hausse pour avoir l’argent qui va lui permettre de bien prendre en charge ses 100 agents.

Il appelle le gouvernement provincial à mettre en place les mécanismes de suivi pour combattre les antivaleurs dans le secteur de transport en commun.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




CAN U17 : La FiFA oblige l’Algérie à autoriser un vol direct de Rabat vers Constantine

Cette fois, la FAF ne pourra pas sévir en toute impunité et n’en faire qu’à sa tête au mépris des règlements et autres cahiers des charges.

On se souvient du malheureux scénario du CHAN avec l’équipe du Maroc qui n’avait pas pu participer vu le refus des autorités algériennes d’autoriser le vol direct qui devait transporter les nôtres vers Constantine.

Cette fois, il s’agit de la CAN U17 et les algériens qui espéraient priver l’équipe du Maroc d’une participation ont été pris à leur propre piège.

 

En effet, cette compétition étant qualificative pour la Coupe du Monde elle tombe directement et de fait dans le giron des compétences de la FIFA et non plus de la CAF qui avait tergiversé concernant les éventuelles sanctions à prendre contre l’Algérie.

 

Et la FIFA a pris ses responsabilités et a sommé les voisins à autoriser un vol direct de Rabat vers Constantine. Fin de suspense donc pour ce feuilleton à l’heure où l’on craignait de vivre un remake du scénario du CHAN 2021 .

 

Par contre, il reste à souhaiter que la FRMF prendra toutes les dispositions nécessaires concernant la sécurité le l’équipe du Maroc U17 car de triste mémoire, les images des violentes agressions dont avait été l’objet il y a un an nos joueurs lors de la finale de la Coupe arabe font tout simplement froid au dos et laissent planer des inquiétudes certaines et légitimes .

Le camouflet infligé par la FiFA à l’Algérie va tellement faire mal au régime d’Alger que cela pourrait faire la place aux pires lâchetés et ignominies chez nos chers voisins.

Et sans grosse surprise , Alger a persisté dans sa désinvolture flagrante de régime très cavalier en osant répondre à la FIFA qu’aucun avion marocain ne serait le bienvenu en Algérie !

On est franchement trés loin d’être sortis de l’auberge !




CAN U17: les Lionceaux de lAtlas senvolent pour Constantine

Léquipe nationale U17, qui participe à la CAN de la catégorie, sest envolée ce vendredi pour Constantine. Les images.

 

La délégation marocaine, qui prendra part à la Coupe dAfrique des nations (CAN) des moins de 17 ans, en Algérie, sest envolée ce vendredi pour Constantine par vol direct, en partance de laéroport Rabat-Salé, a annoncé la Fédération royale marocaine de football (FRMF) sur son site officiel.

 

A la veille de ce déplacement, les joueurs de la sélection marocaine U17 ont été accueillis par le président de la FRMF, Fouzi Lekjaa, au complexe Mohammed VI de football, en présence du staff technique de léquipe A, notamment le sélectionneur national Walid Regragui.

 

A cette occasion, Lekjaa a rappelé aux joueurs que le public marocain attend deux quils honorent le football national lors de cette épreuve continentale, qualificative pour le Mondial U17.

 

De son côté, Regragui a mis en avant la valeur de la participation continentale et du port du maillot national, affirmant que ces joutes nécessitent de laltruisme et un esprit de groupe.

 

Lors de la CAN U17 (29 avril-19 mai) en Algérie, la sélection nationale évoluera dans le groupe B aux côtés des sélections du Nigeria, dAfrique du Sud et de la Zambie.




CAN U17: La sélection nationale s’envole par vol direct pour Constantine

Léquipe nationale U17, qui prend part à la Coupe dAfrique des nations (CAN) de la catégorie, prévue du 29 avril au 19 mai en Algérie, sest envolée ce vendredi pour Constantine.

 

Epilogue donc dun feuilleton qui menaçait dêtre un remake du CHAN, les Lionceaux se rendent finalement en Algérie par vol direct, en partance de laéroport Rabat-Salé, a annoncé la Fédération royale marocaine de football (FRMF) sur son site officiel.

 

Il na cependant pas été précisé sil sagit dun vol RAM ou si un compromis a été trouvé: Vol direct oui, mais RAM non.

Jeudi, des tractations intenses ont eu lie entre Gianni Infantino, président de la FIFA, Patrice Motsepe, président de la CAF, et Fouzi Lekjaa, président de la FRMF, pour que la sélection nationale des U17 puisse prendre part à cette compétition qualificative à la coupe du monde de la catégorie.

 

Pour rappel, à la veille de ce déplacement, les lionceaux de lAtlas ont rencontré Fouzi Lekjaa, au complexe Mohammed VI de football, en présence du staff technique de léquipe A, notamment le sélectionneur national Walid Regragui.

 

Le patron de la FRMF leur a rappelé, à loccasion, que le public marocain attend deux quils honorent le football national lors de cette épreuve continentale.

 

De son côté, Walid Regragui a mis en avant la valeur de la participation continentale et du port du maillot national, affirmant que ces joutes nécessitent de laltruisme et un esprit de groupe.

 

A noter que lors de la CAN U17, la sélection nationale évoluera dans le groupe B aux côtés des sélections du Nigeria, dAfrique du Sud et de la Zambie.




RPDC : Les nouvelles de la Capitale Pyongyang

Voici les actualités de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène fière de ses 5.000 ans et digne de sa culture brillante, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR).

① Formation des footballeurs de réserve

Le Pays se vante de l’Ecole de Football de la Ville de Pyongyang qui;

est fondée en 2017 avec localité à Pyongyang-Est

a des salles d’entraînement physique et d’élaboration de tactique, etc., ainsi que de meilleures conditions conformes au programme denseignement gratuit et obligatoire (de 12 ans, renforcé depuis 2012 sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR) du Pays, dont classes primaire et secondaire du 1er cycle et du second cycle, laboratoires

fait une analyse annuelle des capacités des membres de chaque cercle de football d’école primaire de toute la Ville pour sélectionner une vingtaine de garçons et de filles parmi eux.

Les sélectionné(e)s;

vivent en pension et rentrent chez eux pour leur week-end

suivent leurs cours normaux dans la matinée et ceux spécialisés (football) dans laprès-midi.

Le personnel enseignant prend soin des élèves, avec le sentiment dêtre leurs propres parents, pour quils considèrent lEcole comme leur toit paternel. Parmi les enseignants, figurent les anciens joueurs de la Sélection Nationale. KANG Chol Man, Chef de la section de pratique, dit: Améliorer, constamment, lenseignement élémentaire pour la formation des joueurs de réserve prometteurs en vue de les envoyer aux clubs sportifs importants du Pays, cest notre tâche.

Les compétences de haut niveau des enseignants et les meilleures conditions pédagogiques attirent lattention des élèves et des parents de ceux-ci. Une trentaine de diplômés de l’Ecole ont intégré les clubs sportifs renommés du Pays.

 

② Elimination des balles et explosifs

Dans le chantier de construction d’une nouvelle cité (4.100 logements en dehors de la construction des 10.000 logements – une partie des 50.000 pour 2021-2025 – et d’une grande ferme en serres les plus digitalisées du Pays, tous censés être finis dans lannée en cours à Pyongyang, NDLR) du Secteur Sopho à Pyongyang-Ouest, on vient de mettre à découvert toutes sortes de balles et explosifs révélant les crimes abominables perpétrés par les impérialistes US au cours de la Guerre (1950-1953 RPDC-USA) de Corée (Joson ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant», NDLR). Les membres de la Brigade de Déminage ont, heureusement, détecté et éliminé ces odieux objets menaçant la vie et la sécurité des habitants.

Depuis ce 25 février (inauguration desdits travaux de construction, NDLR), des balles et explosifs ont été décelés, à 8 reprises, dans ce chantier de construction. Ces preuves irréfutables des crimes contre lHumanité commis par les USA (les plus obsédés à l’expansion d’outre-mer dès leur création, en tentant dagresser la Corée en 1866, et occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945, NDLR), meneurs de lagression et du génocide, suscitent une vive indignation et une haine indicible des civils et des officiers et soldats de lArmée Populaire de Corée.

Ces débris de génocide et de destruction découverts non seulement dans ledit chantier mais partout dans le Pays (123.214km2) révèlent, nettement à la face du monde, les atrocités (600.000t de bombes soit 18 bombes sur 1km2, NDLR) des agresseurs US, ennemis jurés du Peuple de la RPDC.




AN: La députée Jeanine Kavira en appelle à la mise en place d’une mission d’enquête pour faire la lumière sur la perception illégale des frais à Lumi et les tueries à Mukundi

La population de Béni vit des moments d’angoisse, de tourments et d’abandon par les autorités compétentes.

Plusieurs événements tristes se sont accumulés sans que l’autorité n’y prête attention.
Par motion d’information au cours de la plénière du jeudi 27 avril, la députée nationale Jeanine Kavira Katasohire, élue de Béni, a fait un plaidoyer émouvant sur la situation qui prévaut actuellement à Beni.
Au nom de cette population meurtrie qui ne demande pas mieux que la paix, l’élue de Béni exige la mise en place urgente d’une commission d’enquête parlementaire pour faire toute la lumière sur toutes ces affaires malheureuses.
Dans les faits, l’élue de Béni raconte:
“Depuis plus de deux ans, le chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi, et son homologue ougandais avaient lancé les travaux de construction de la route Kasindi-Beni-Butemb.
Le marché avait été gagné par une société indienne. Seulement, en vue de l’exécution des travaux sur le chantier, la plupart des engins apportés sont non fonctionnels. De plus, la main-d’oeuvre locale recrutée pour les travaux est maltraitée avec une modique paie de 76$ le mois au titre de salaire, y compris le repas de midi.
Conséquence: la situation a un impact négatif sur l’évolution des travaux”, déplore-te
-elle en substance.

Entre-temps, ajoute-t-elle, sur la même route Kasindi-Beni-Butembo, le pont jeté sur la rivière Lumi a cédé depuis 4 mois. Un pont de fortune a été construit par le Fédération des commercabts entretemps à côté de celui qui a cédé. Seulement voilà, une maffia sans nom s’y exerce avec un droit de péage allant de 200 à 500$ par véhicule selon l’appréciation de la police de circulation routière, sans preuve de paiement.

La population de Beni-Butembo, meurtrie se sent abandonnée a son triste sort, mais aussi acculée par les autorités qui, au lieu de compatir à son malheur, lui inflige des péages route colossaux.

“Aujourd’hui, suite à cette situation, il s’installe un climat de méfiance entre la population et les autorités policières qui dirigent la zone sous état de siège”, indique par ailleurs l’élue de Beni.

D’autre part, enchaîne la députée nationale Jeanine Kavira, pour le seul mois de mars, cette ‘population a assisté à une tuerie a grande échelle de plus de 150 personnes dont enfants, femmes et hommes, plusieurs enlèvement vers des destinations inconnues, plusieurs biens brûlés, pillés et emportés, des maisons incendiées…, Bref, une situation calamiteuse. Les autorités se focalisent sur la maximisation des recettes, pendant que la population, sur laquelle ces recettes sont mobilisées, est cruellement massacrée et maltraitée.

Au chapitre de ces tueries, note également la députée nationale Jeanine Kavira, que le 8 mars2023 à Mukundi, pendant que les femmes célébraient leur journée, les assaillants les ont surprises et ont massacré 48 personnes. Pendant que les chrétiens commémoraient la résurrection du Christ, le 9 a ril 2023, la population de Oicha enterraient ses fils lâchement massacrés la veille.
Les rescapés de la tuerie de Mukundi dont la plupart sont des enfants de moins de 5 ans sont toujours internés à l’hôpital général de Kalunguta, sans aucune assistante.
La population, abandonnée, a besoin de paix et demande qu’une commission soit urgemment constituée pour faire toute la lumière sur les fonds collectés au niveau du pont Lumi, évaluer l’avancement des travaux de construction de la route Kasindi-Beni-Butembo ainsi qu’une assistante humanitaire en faveur des populations sinistrées.




Communication des résultats

Après avoir été soumis à l’examen du conseil d’administration du FMI et du CSF, les résultats de l’exercice d’alerte avancée sont présentés aux autorités à l’occasion des réunions de printemps et de l’Assemblée annuelle du FMI et de la Banque mondiale. Ces conclusions contribuent aussi aux réflexions sur les risques à faible probabilité dans le cadre des conseils stratégiques du FMI plus généralement.




Fondements analytiques

L’exercice s’appuie sur un ensemble de travaux analytiques, d’informations sur les marchés et d’avis d’experts. Il utilise notamment des renseignements propres aux différents pays et marchés recueillis à la faveur des activités de surveillance ordinaire, des travaux sur les crises, ainsi que d’entretiens avec des opérateurs du marché et des universitaires.




Collaboration avec le CSF

Le CSF représente les vues des autorités de contrôle financier et les banques centrales des pays membres, ce qui est complémentaire aux études et analyses multilatérales que conduit le FMI. Comme l’exercice d’alerte avancée vise à fournir une perspective intégrée des risques et des facteurs de vulnérabilité, il est le fruit d’une étroite coopération entre le FMI et le CSF. Le FMI tend à diriger les réflexions autour de l’économie, des enjeux macro financiers et du risque souverain. Le CSF, quant à lui, s’intéresse principalement aux questions de réglementation et de supervision du système financier.