Beach Volley: L’entente de Kinshasa projette un tournoi d’un jour le 1er mai à l’Institut de la Gombe 2

Il nous revient que l’Entente de beach-volley de Kinshasa ‘’Ebvkin’’ et la structure ‘’Bomoko volley-ball’’ projettent organiser le tournoi de beach volley réunissant les athlètes dames et messieurs seniors de la capitale, le 01/05/2023 prochain.

En attendant la publication de composition des différentes paires, retenez que ce tournoi se déroulera dans l’enceinte de l’Institut de la Gombe 2. Heure : Dès 8h00 à 17h00.

N.B : les organisateurs de cette manifestation mettent à profit chacune de paire classée première dans les deux versions, une cagnotte (enveloppe) dont le montant n’a pas été révélé.

Antoine Bolia




Volley-ball: 3ème journée de l’entente de Kananga, VC Kasai Espoir écrase VC Jamst 3 sets 0

A l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kananga ‘’Eukana’’, on a joué la 3è journée le week-end.

A cette occasion, l’équipe de VC Jamst n’a pas fait le poids face à VC Kasai Espoir 0-3 (14-25, 15-25, 21-25).

Antoine Bolia




Page d’histoire: Taekwondo, Le 24 avril 2002, Me Senda remportait la 1ère médaille de la RDC en compétition internationale

La date de 24 avril 2002 restera gravée à jamais dans l’histoire du taekwondo WT de la République Démocratique du Congo.

En effet, ce jour là, un taekwondo in de la RDC, Me Michel Senda, pour ne pas le citer, remportait la toute première médaille internationale de ce pays. C’était à Nairobi, au Kenya où ce dernier participait au championnat d’Afrique de taekwondo militaire.

C’était sous l’encadrement technique de Me Jean Claude Batusuanako alias Me Mukumbusu, que Me Michel Senda procura la joie à toute une nation en remporta cette médaille historique pour le taekwondo WT de la RDC. A dire vrai, ce haut fait sportif à l’actif de Me Michel Senda devait être raconté à la nouvelle génération de taekwondo in de la RDC. C’est comme cela qu’on pérennise l’histoire. L’histoire de taekwondo WT de la RDC ne sera écrite et racontée que par les congolais eux-mêmes. Pour tout dire, Me Michel Senda mérite la reconnaissance de toute la nation en général, et de la Fécot en particulier.

Antoine Bolia

 




Taekwondo: En prévision du test de passage de grades, La Direction Technique Nationale organise un recyclage

Me Adelard Mukisi, Directeur Technique National de la Fédération Congolaise de Taekwondo ‘’Fécot’’ fait passer un communiqué important qui concerne tous les taekwondo ins de la RDC.

Ce communiqué stipule ce qui suit :

La Fécot organise un recyclage de passage de ceinture noire 1er, 2ème et 3ème Dan du 1er au 18 mai 2023 sous la supervision de la direction technique nationale.

Programme du recyclage

Chaque Lundi : De 17h00 à 19h30

Chaque Mercredi : De 17h00 à 19h30

Chaque Vendredi : De 17h00 à 19h30

Lieu : Dojang fédéral

A cet effet, la Fécot invite toutes les ententes et ligue à faire large diffusion.

Antoine Bolia




Cyclisme: La délégation de la Fécocy participe ce mardi au Congrès de la CAC à Nairobi au Kenya

La Confédération Africaine de Cyclisme ‘’CAC’’ tient son congrès ce mardi 25 avril 2023 à Nairobi, au Kenya. La République Démocratique du Congo y est bien présente.

En effet, la délégation de la Fédération Congolaise de Cyclisme est composée du 1er Vice-président Rachidi Kongholo et du Secrétaire Général Jean Claude Kongolo Muamba.

La délégation de la Fécocy amène avec elle les statuts et Règlement d’ordre Intérieur de la Fécocy pour la conformité avec les statuts de l’Union Cycliste Internationale ‘’UCI’’ et ‘’CAC’’. L’instance africaine vérifiera si ces statuts sont conformes et le cas échéant, priera la Fécocy à les modifier.

Le lundi 24/04/2023, les deux représentants de la Fécocy ont pris part au séminaire sur la plate-forme de l’UCI. Et ce mardi 25/04/2023, ils prendront part active au Congrès de la CAC à Nairobi, Kenya.

De Nairobi, le SG de la Fécocy nous a transmis la liste des interdictions relatives au code mondial antidopage. Par ailleurs, il nous annonce la bonne nouvelle. Le président de l’Union Cycliste internationale viendra personnellement à Kinshasa pour assister aux 9èmes jeux de la Francophonie.

Antoine Bolia




CENI : Denis Kadima échange avec une délégation de l’OIF

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis KADIMA KAZADI, s’est entretenu avec une délégation de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), conduite par son représentant pour l’Afrique centrale, Alphonse WAGUENA.

Cette délégation a pris langue avec la plus haute hiérarchie de la CENI dans le cadre d’une mission exploratoire en RDC. Objectif : échanger avec les parties prenantes au processus électoral en vue de circonscrire son champ d’intervention dans le processus en cours.

Le Président de la CENI était accompagné, au cours de ces échanges, du Rapporteur, Mme Patricia NSEYA MULELA, et du Secrétaire Exécutif National, Thotho MABIKU TOTOKANI.

A l’issue des entretiens, Alphonse WAGUENA, en sa qualité de porte-parole, en a fait la restitution.

“Nous sommes une mission exploratoire qui a été dépêchée par l’OIF en réponse à la sollicitation de la CENI et en concertation avec les autorités congolaises, conformément aux dispositions de la déclaration de Bamako”, a-t-il indiqué.

Avant de poursuivre : “Le but de notre mission consiste à échanger avec les parties prenantes au plan national, les partenaires internationaux impliqués dans le processus en cours et au-delà, pouvoir identifier les partenaires et les domaines dans lesquels nous pouvons éventuellement accompagner ce processus en RDC”.

En rappel, une mission d’audit du fichier électoral a été dépêchée par l’OIF à la CENI du 6 au 25 mai 2018, en vue de procéder à l’analyse qualitative et quantitative des données du fichier électoral en vue d’identifier ses forces et faiblesses et, le cas échéant, formuler des recommandations à la CENI afin de renforcer la confiance des acteurs dans ce processus.




A l’initiative du PNUD: Denis Kadima fait un état des lieux des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs en RDC 2022-2023

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis KADIMA KAZADI, a dressé un état de lieux des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs en RDC 2022-2023 aux chefs de missions diplomatiques et représentants des organismes, partenaires de la Centrale électorale.

L’initiative du Programme des Nations-Unis pour le développement (PNUD), par le biais de son Représentant-résident, Damien MAMA, a donné l’opportunité au numéro un de la CENI de briefer les participants en leur fournissant une somme de détails sur ce processus qui s’est clôturé dans les aires opérationnelles 1 et 2 incluant trois pays étrangers où vivent les Congolais (Afrique du Sud, Belgique et France).

La troisième et dernière (avec le Canada et les Etats-Unis d’Amérique) étant en cours d’achèvement, celle-ci englobe notamment la partie orientale du pays en proie à une situation déplorable dominée par un climat d’insécurité imposé par la présence des groupes armés dont le M23 soutenu par le Rwanda. Une situation particulière, comme l’a rappelé, Denis KADIMA KAZADI, qui n’a pas permis, comme souhaité, le déploiement aussi bien du personnel que de la logistique requise.

Dans son exposé, le Président de la CENI a situé le contexte et les principes de cette réforme du fichier électoral (RFE) 2022-2023, son opérationnalisation, en fournissant les statistiques au 17 avril 2023, faisant part à l’assistance des activités courantes et de prochaines étapes.

« Dans tous les processus précédents, la RFE s’est généralement étendue sur des périodes dépassant largement une année ou plus de 12 mois. La CENI a initialement prévu, pour le présent processus, 30 jours pour chaque aire opérationnelle comme une stratégie de mobilisation de l’électorat. Toutes les prolongations étaient tacitement planifiées et prévues dans le calendrier électoral », a indiqué Denis KADIMA KAZADI qui a souligné qu’il n’y a aucun impact négatif sur les prévisions calendaires. Soutenant qu’aucun glissement n’est envisageable, le tout est de s’en tenir aux exigences du délai constitutionnel.

Le Président de la CENI a mis en avant la performance réalisée en 4 mois d’enregistrement des électeurs, ce qui, à ses yeux, est une prouesse à saluer.

« L’enrôlement s’est effectué sans phase pilote avec Kinshasa dès son lancement. Ce qui aurait permis à ceux commis à la tâche de se familiariser avec le matériel venu de la Corée du Sud dont les préposés ont découvert le maniement sur place avec quelques carences constatées. Ainsi, les imperfections du départ ont été corrigées au fur et à mesure qu’on avançait dans le temps. Ce qui a occasionné des améliorations progressives de l’offre », a-t-il relevé.

« Les 22 227 centres d’inscription prévus ont pu enregistrer 46 857 697 personnes au 17 avril 2023, (soit 95,09%) reparties en 23 696 424 femmes (50,57%) et 23 161 273 hommes (49,43%) sur les 49 273 109 attendues. Et la France au nombre des pays concernés par cette phase pilote arrive en tête avec 5 787 enrôlés (3 474 hommes et 2 310 femmes) », a révélé le Président de la CENI.

Denis KADIMA KAZADI avait de bonnes raisons de s’en réjouir soulignant que la CENI a réalisé un record dans les statistiques en un laps de temps, dans le respect scrupuleux de la mise à exécution, à ce jour, de son calendrier. Ce qui, contredit les prédictions suggérant un glissement et rassure toutes les parties prenantes de sa détermination d’organiser les échéances électorales de 2023 dans les délais impartis.

Au cours de la partie interactive, le numéro un de la Centrale électorale a davantage éclairé l’assistance en fournissant des éléments de réponse aux questions soulevées.

Mettant en avant l’activité à laquelle se consacre la CENI actuellement. Celle-ci consiste au nettoyage du fichier électoral, non sans avoir annoncé l’organisation, à son siège, pour consolider la confiance avec les parties prenantes au processus électoral, des journées portes ouvertes qui débutent dès ce mardi 25 avril jusqu’au 4 mai 2023.

De son côté, le Représentant-résident du PNUD s’est félicité des avancées constatées en réaffirmant la ferme volonté de son institution à accompagner sans discontinuer la CENI dans sa marche en avant vers l’organisation des prochains scrutins. Remerciant les différents chefs de mission diplomatique d’avoir fait preuve d’attachement à ce processus qui renforce davantage la confiance de tous pour des consultations crédibles, transparentes et inclusives.




OCC : Christelle Muabilu n’utilise pas Facebook et n’a pas un assistant dénommé Mayunga Vancke

Des personnes visiblement mal intentionnées, ont créé un faux compte sur FACEBOOK en usurpant l´identité de Mme Christelle Muabilu, DGA de l’OCC.

A en croire un communiqué parvenu à notre rédaction, ces personnes s’appliquent depuis peu à arnaquer des agents de l’OCC particulièrement, en leur promettant contre une somme d’argent des avancées en fonction et en grade.

Cette opération mafieuse transite via un dénommé MAYUNGA VANCKE, utilisateur du numéro de téléphone 0810587354, qui se présente précisément comme Assistant de Mme DGA Christelle Muabilu.

Les services rattachés auprès de Mme Christelle MUABILU préviennent que cette dernière n’utilise pas le réseau social Facebook et qu’elle n’a pas auprès d’elle un assistant portant le nom du criminel susmentionné.

Mme Christelle MUABILU se réserve ainsi le droit d’engager une action judiciaire contre les usurpateurs de son identité et de son profil sur tout réseau social, tout en invitant à la vigilance les victimes potentielles des actions criminelles engagées sous couvert de son nom sur les réseaux sociaux.




Le budget de 16 milliards est réaliste: Le Gouvernement n’a pas menti

De retour aux Assemblées de printemps entre la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI), Nicolas Kazadi, ministre des Finances a été l’invité du Briefing Presse organisé par son collègue de la Communication et Médias, Patrick Muyaya. Ces deux ‘’Warriors’’ ont été dépêchés au front pour stopper net la rumeur selon laquelle, le FMI aurait obligé à la Rdc de réduire son budget pour l’exercice 2023 de 16 à 3 milliards de dollars Us. L’exercice devant la presse a aussi consisté à rassurer la population qui se posait pas mal de questions et qui craignait à ce que le Gouvernement ne soit à même d’atteindre ses assignations et, au finish, d’honorer ses engagements. 

A la question : Comment atteindre les assignations de 16 milliards de dollars Us dans un contexte où les cours de certaines matières premières ont baissé ? Au sujet des dépenses en urgence qui doivent être régularisées au niveau du budget, est-ce que vous vous servez de votre plan de trésorerie ?

Pour ce qui est des dépenses d’urgence, explique Nicolas Kazadi, la norme, ce n’est pas de dépasser 10%. « Nous avons été de 7 à 8% en 2021 ; nous sommes montés à 11 à 12% en 2022, dans un contexte particulier de résurgence du M23. On a des circonstances atténuantes et nous ne sommes pas très éloignés. Pour cette année, nous voulons revenir en dessous de 10% », dit-il, avant de rassurer que nous travaillons ensemble pour rendre notre collaboration beaucoup plus fluide et que la prévisibilité de ces dépenses soit meilleure.

A l’en croire, tout ceci est fait dans le cadre du plan de trésorerie. Chaque jour, nous regardons et nous parlons de la Banque centrale sur ce que nous devons faire. La Coordination entre les Finances, le Budget et la BCC n’a jamais été bonne comme maintenant.

Pour le budget lui-même, le ministre des Finances constate malheureusement que le mensonge passe beaucoup plus vite que la vérité. « Il y a certaines personnes qui sont supposées être qualifiées mais qui font des déclarations étonnantes. Un budget, il y a les recettes propres (trésor, budget annexe), les recettes extérieures (appuis budgétaires et les appuis aux projets). C’est tout cela qui constitue le budget », dit-il.

Si on ne s’arrête qu’aux recettes propres, alors que les recettes elles-mêmes ont un caractère cyclique, c’est-à-dire, soit on n’a rien compris, soit l’on veut volontairement induire les autres en erreur. C’est comme l’autre-là qui a tenté de raconter que le FMI a voulu réduire le budget de 16 milliards de dollars Us à 3 milliards ! C’est tout ça qui fait perdre la crédibilité à certaines personnes et qui nuit à l’image du pays.

En 2022, rappelle-t-il, on a fait en recettes propres 18.000 milliards, c’est-à-dire 9 milliards de dollars et auxquels se sont ajoutées les recettes extérieures pour arriver à 11 milliards. En 2023, on a prévu de faire en recettes propres 22.400.000.000 auxquels vont s’ajouter les autres catégories de recettes pour faire 16 milliards.

Pourquoi on passerait de 11 à 16 milliards en recettes propres ? Parce que nous avons des appuis budgétaires. L’année dernière, on a eu 250 millions. Cette année, on attend 500 millions. En plus, nous avons mobilisé tellement d’argent (8 milliards de la Banque mondiale) qu’il faut dépenser. L’objectif est de dépenser 2 à 3 milliards pendant cette année. On n’a pas menti, on n’a jamais menti, tout est comme prévu à la seule différence qu’au premier trimestre, on a connu une seule difficulté de trésorerie exceptionnelle qui a fait qu’on ait eu ce qu’on a traversé comme situation sur les salaires.

Mais qu’est-ce qui s’est passé ?

Pour répondre à cette question, le ministre souligne qu’en janvier, on a fait 105% du taux d’exécution, on a dépassé les assignations et payé les salaires dans le mois. Février, on a fait 99% du taux d’exécution en respect du budget ; en mars, 98% du taux d’exécution et la moyenne pour le premier trimestre, ça nous a amené à 84%.

« Je pense que c’est des résultats honorables. Comparer au premier trimestre de l’année passée, pour ce premier trimestre, on attendait 216 milliards de plus, mais on a eu 16 milliards de plus, c’est-à-dire on reste en augmentation par rapport à l’année passée. Il nous a manqué 200 milliards pour atteindre notre cible. Et ce, parce que la DGRAD n’a pas été performante à cause des problèmes avec les pétroliers producteurs, le secteur minier, notamment TFM qui n’a pas payé, les télécoms. On espère que ces recettes qu’on n’a pas eues vont glisser », indique Nicolas Kazadi.

Dans l’exécution, ajoute-t-il, en janvier, il n’y a pas eu de problèmes. En février, nous avons eu des dépenses exceptionnelles par rapport à la situation sécuritaire et à la CENI ? Ces éléments ont été tels que les bons de Trésor sont des financements normaux qu’on actionne. Comme le cycle des recettes n’est pas constant, il faut suppléer. C’est ce qui a fait que la paie a glissé un peu de février à mars. C’est normal, parce qu’on a eu un choc du aux dépenses sécuritaires, aux dépenses humanitaires et des élections, qui ont perturbé la trésorerie. En termes de performance, nous sommes dans le bon et le budget reste réaliste, martèle Nicolas Kazadi.

Emprunter pour payer les salaires

Le ministre des Finances explique que si on pouvait emprunter pour payer les salaires, ça s’appelle un financement de trésorerie. « Je vous ai expliqué que pour février, on a eu l’opération des bons du Trésor normal, mais qui est allée dans le financement urgent lié à la sécurité. Quand c’est des obligations du Trésor, elles sont faites pour investir. Ce que les gens doivent savoir, comparer à 2018, les dépenses rémunérations et fonctionnement contraignantes ont été multipliés par 3, soit une augmentation de 195%. Ça veut dire que nous continuons, en même temps que les recettes s’accroissent, nous voulons retourner cela aux Congolais en termes de rémunérations et fonctionnement contraignant. C’est ce qui fait que la pression reste la même, même si les recettes augmentent.

Jean-Marie Nkambua




Foot-Rdc: Un comité de normalisation à la tête de la Fecofa ( Officiel)

La FIFA a achevé de greffer à l’institution dirigeante du football en RDC, un comité de normalisation en charge du respect des nouveaux statuts de la FECOFA.

 

« Le Bureau du Conseil de la FIFA a décidé de nommer un comité de normalisation pour la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA), conformément à l’article 8, alinéa 2 des Statuts de la FIFA », a indiqué l’instance dirigeante du football mondial, lundi 24 avril 2023.

 

Quatre directives pour le Comité de normalisation

Nommé pour un mandat de sept mois, soit jusqu’au 30 novembre 2023, ledit comité devra, outre la gestion des « affaires courantes de la FECOFA », laquelle constitue son premier objectif spécifique après la destitution du président Donatien Tshimanga, veiller au bon déroulement des élections à la fédération. Plus précisément, il devra en deuxième lieu de « veiller à ce que les membres des comités électoraux soient élus par le congrès de la FECOFA en accord avec les nouveaux statuts et le nouveau code électoral de la fédération approuvés le 15 septembre 2022 ».

 

 

Troisièmement, le comité aura pour tâche de « veiller à ce que l’élection des membres et des affiliés (ligues, districts, etc.) de la FECOFA ait lieu en temps utile ». Et en dernier point, « veiller à ce que l’élection d’un nouveau comité exécutif de la FECOFA soit organisée en accord avec le nouveau cadre statutaire de la fédération ».

 

La FIFA veille au grain

Selon les précisions apportées par la FIFA, le comité de normalisation sera composé « d’un nombre opportun de membres, désignés conjointement par la FIFA et la CAF ». « Tous ces membres feront l’objet d’un contrôle d’éligibilité mené par la Commission de Contrôle de la FIFA, conformément au Règlement de Gouvernance de la FIFA, ajoute l’autorité. Aucun d’entre eux ne sera éligible pour les postes à pourvoir lors des élections de la FECOFA, quelles que soient les circonstances. »

 

Cette décision devrait faire l’objet d’une communication de la part du Secrétaire Général de la CAF, Mosengo-Omba, assisté par une délégation de la FIFA, lors d’une conférence de presse CAF/FIFA, à Kinshasa ce mardi 25 avril 2023. À moins que celui-ci ne saisisse l’opportunité pour faire une annonce sur l’organisation du CHAN 2024, dans l’organisation est pressentie pour la RDC et le Congo Brazzaville…