Niger: à Assamaka, une délégation se penche sur le sort de milliers de migrants expulsés d’Algérie

Trois ministres nigériens, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et des partenaires se sont rendus à Assamaka, une commune du nord-ouest du Niger qui accueille des milliers de migrants subsahariens refoulés par l’Algérie voisine. Reportage.
Plus de 4 000 migrants expulsés d’Algérie sont bloqués à Assamaka, au nord-ouest du Niger. En situation de vulnérabilité, ils sont essentiellement originaires d’Afrique subsaharienne, avec plus de 90% des ressortissants de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao).
Trois ministres nigériens, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et des partenaires se sont rendus à Assamaka. La mission tente de trouver des solutions à ces vagues de refoulés.
Depuis plusieurs années, l’Algérie – sans consulter son voisin nigérien – expulse régulièrement des subsahariens sans ménagement.
« À Assamaka, ce n’est pas bon »
Au centre de transit des migrants de la bourgade d’Assamaka, située à 15 kilomètres de la frontière algérienne, le thermomètre affiche 45° à l’ombre. Des milliers de migrants crient leur ras-le-bol : « On veut rentrer, on veut rentrer ! »
Assamaka vit une crise sans précédent. Des migrants de plus de dix nationalités africaines sont dans toutes les ruelles. « Je voudrais parler au gouvernement ivoirien. Nous ne sommes pas habitués à ce genre de conditions. Nous voulons rentrer chez nous », lance l’un d’entre eux. « À Assamaka ici, ce n’est pas bon », glisse un autre, venu de Sierra Leone. « On souffre, on souffre, on souffre, martèle un troisième. On nous fait croire que tout va bien alors que tout ne va pas bien ».
On compte 71% de migrants qui sont des Maliens et Guinéens. Sidi Camara nous parle de son trajet depuis la Guinée : « On est passé par Bamako, Tombouctou, Bordj [en Algérie, Ndlr] ».
C’est nuitamment que la police algérienne refoule les migrants. Le préfet d’Ingall Nafar Weyba n’apprécie pas la méthode : « Nous sommes déposés à 14 kilomètres de la ville d’Assamaka. Ce qu’on appelle nous le “point zéro”, c’est-à-dire à la frontière avec l’Algérie ». L’OIM et ses partenaires s’engagent à rapatrier chaque migrant dans son pays.
Rfi.fr




Les détournements des aides humanitaires dans les camps de Tindouf confirment la responsabilité de l’Algérie

Les révélations de détournements des aides humanitaires dans les camps de Tindouf du Programme Alimentaire Mondial (PAM) confirment la responsabilité de l’Algérie, pays hôte des camps, souligne le militant associatif norvégien Eric Cameron, président de l’ONG World Action for Refugees.
Cameron s’est dit outré et scandalisé en tant que citoyen norvégien par les informations rapportées par le PAM, dans un document officiel soumis au Conseil d’Administration de cet organisme onusien faisant état de nouvelles révélations de détournement des aides humanitaires dans les camps de Tindouf en Algérie, et qui confirment la responsabilité immuable et imprescriptible de ce pays hôte dans ce nouveau scandale.
Pour lui, il est temps pour la communauté internationale d’agir pour mettre fin à ces détournements institutionnalisés des aides humanitaires financées par l’argent des contribuables européens notamment.
Le Conseil de sécurité de l’ONU ne s’est pas trompé en adressant un appel clair et fort à l’endroit de l’Algérie pour l’exhorter à permettre l’enregistrement et le recensement des populations dans les camps de Tindouf et permettre aux organismes onusiens compétents, dont le PAM, de quantifier les besoins réels de cette population, dont le chiffre ne cesse d’être gonflé par le pays hôte en fonction des conjonctures, souligne le président de World Action for Refugees, en réaction à ces révélations.
Pour Cameron, les révélations du PAM confirment de manière claire et indiscutable, preuves à l’appui, la vente de produits alimentaires destinés normalement à la population de ces camps à des pays limitrophes de l’Algérie.
Il s’interroge à juste titre du mutisme incompréhensible des institutions européennes, notamment le Parlement européen, dont certains membres ayant un agenda politique mène une cabale contre le Maroc pour des prétendues violations des Droits de l’Homme.
Il est temps pour le Parlement européen de sortir de ce mutisme sur ces énièmes révélations initiées en 2015 par l’Office OLAF et de respecter ainsi ses propres décisions en la matière, préconise-t-il.
En outre, les pays européens, dont la fibre humaniste représente une ligne de conduite de leur politique étrangère, se doivent de dénoncer ces pratiques désormais établies au sein des camps de Tindouf, et d’agir pour demander la poursuite des responsables de ces détournements qui indubitablement impliquent des responsables officiels algériens.
Il en va du respect même que doivent ces pays à leurs contribuables, remarque Cameron, rappelant que le gouvernement algérien a imposé une taxe de 5% comme TVA aux aides humanitaires octroyées aux camps de Tindouf.
fr.hespress.com




Tension dans les camps de Tindouf : Des membres de la tribu Rguibat Labouihat protestent contre la violence du polisario

Une quarantaine de membres de la tribu Rguibat Labouihat aux camps de Tindouf ont organisé dans la matinée de ce samedi un sit-in devant le siège du prétendu “ministère de la défense” à Rabouni, en signe de protestation contre l’exercice de la violence par des éléments des services de sécurité du polisario contre leur cousin de tribu, Hanini Ould Barki Ould Said Ould Laabid, survenu dans la nuit du 27 avril à Rabouni.

Pour disperser ces protestataires, les éléments de garde ont tiré des coups de sommation à l’aide de leurs armes Kalachnikov, les acculant à s’éloigner de la porte principale dudit siège, mais demeurent toujours sur place.

www.medi1news.com

 




Camps de Tindouf: un chercheur serbe interpelle l’Algérie sur sa responsabilité dans le détournement des aides humanitaires

Le chercheur à l’Institut de politique et d’économie internationales de Belgrade, Mihajlo Vucic, a interpellé l’Algérie sur sa responsabilité dans le détournement systématique, par le “polisario”, des aides humanitaires destinées aux populations séquestrées dans les camps de Tindouf, à la lumière des conclusions du Rapport de l’évaluation de l’action du Programme alimentaire mondial (PAM) en Algérie 2019-2022.

“Les Etats qui ont la capacité d’influencer les politiques du ‘polisario’, en premier lieu l’Algérie, sont tenus en vertu du droit international, et pas seulement du point de vue moral, d’empêcher l’exploitation de la situation des populations séquestrées sur son territoire et l’utilisation de fonds humanitaires à des fins pécuniaires illicites”, a estimé le chercheur serbe, mettant en avant les points saillants du rapport publié par l’agence onusienne, basée à Rome.

De l’avis de Vucic, également professeur associé à la Faculté de diplomatie et de sécurité de l’Université de Belgrade, le rapport du PAM pourrait servir de “preuve supplémentaire” du détournement de l’aide humanitaire destinée à la population des camps de Tindouf, que “le Maroc n’a cessé de dénoncer depuis de nombreuses années auprès de la communauté internationale”.

En effet, les conditions de vie dans ces camps, où la population vit dans un certain flou juridique tout en étant privée de la protection de la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés, sont marquées par une malnutrition chronique, en particulier chez les femmes et les enfants, a-t-il fait remarquer, notant que le détournement des denrées alimentaires vers le marché noir et hors de portée de ceux qui en ont le plus besoin “rend cette situation unique encore plus alarmante”.

Pour le chercheur, le rapport du PAM a signalé l’impossibilité pour les agences onusiennes spécialisées d’accéder sans entraves aux camps, qualifiant le contrôle interne de la distribution des aides humanitaires effectué par le “polisario” de “biaisé par nature”.

“Le contrôle de la distribution de l’aide humanitaire accordé à ces milices par l’Algérie pourrait être caractérisé, selon les règles du Droit international humanitaire, comme une délégation illégale de l’autorité devant être exercée par l’État à un groupe séparatiste armé n’ayant aucun statut ni aucune responsabilité aux yeux du droit international”, a-t-il souligné, mettant en garde contre “les risques supplémentaires pour la sécurité” découlant des liens étroits du “polisario” avec les groupes terroristes opérant au Sahel.

Vucic a également rappelé que toutes les résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU, depuis 2011, appellent l’Algérie à autoriser le recensement des populations des camps de Tindouf, conformément au droit international humanitaire.

La nouvelle résolution 2654 du Conseil de Sécurité a (dans le paragraphe préambulaire n°23) “demandé à nouveau instamment” à l’Algérie que les populations des camps de Tindouf “soient dûment enregistrées et a souligné l’importance que toutes les mesures nécessaires soient prises à cette fin”, a poursuivi l’expert, notant que “la même demande a été adressée (dans le paragraphe opératif n°15) aux agences onusiennes d’observer les +meilleures pratiques+ de l’ONU dans l’acheminement des aides humanitaires aux populations des camps”.

S’agissant des flux financiers créés au profit des dirigeants du “polisario”, le chercheur a rappelé que l’Office anti-fraude de l’Union Européenne (OLAF) avait pointé, dans un rapport rendu public en 2015, un détournement méthodique depuis plus de quatre décennies de l’aide humanitaire accordée aux populations sahraouies séquestrées dans les camps de Tindouf sur le territoire algérien.

Ce rapport basé sur une enquête menée par l’OLAF a mis en exergue la responsabilité de l’Algérie, “complice actif du détournement de ces aides, qui commence habituellement dès l’arrivée des cargaisons au port algérien d’Oran”, a-t-il indiqué, notant que ces détournements ont été signalés par d’autres rapports d’inspection du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés, ainsi que d’autres organisations intergouvernementales et non-gouvernementales.

Et de préciser que dans son rapport de 2021, le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, avait attiré l’attention sur le détournement des fonds et des aides alimentaires destinées à la population séquestrée par le “polisario”. Pour sa part, le Parlement européen a adopté une résolution demandant à l’UE d’auditer l’utilisation de l’aide humanitaire européenne par le “polisario” depuis 2015.

Compte tenu de tous ces faits, l’expert en droit international a conclu que “toute aide apportée au ‘polisario’ par l’Algérie, qu’elle soit financière, militaire ou autre, ne ferait que perpétuer ces pratiques illicites qui sont à rebours des normes juridiques internationales reconnues par le Maroc et l’Algérie, ainsi que par d’autres membres des Nations unies”.

snrtnews.com

 




Audit externe du fichier électoral : La CASE condamne la tentative de la CENI de chercher à violer son propre calendrier

Dans une déclaration de suivi du processus électoral en Rdc, M. Simaro Ngongo Mbayo, Président de la Commission africaine pour la Supervision des élections (CASE), à partir des Etats-Unis d’Amérique, se pose la question de savoir : Denis Kadima, de quoi avez-vous peur et qu’avez-vous à cacher dans la constitution ténébreuse du fichier électoral ? La CASE note avec dégoût que le processus électoral congolais est délibérément pris en otage par un groupe d’individus qui ne travaillent que pour ternir l’image de la République Démocratique du Congo en vue d’un hold-up électoral en décembre 2023.

1. La Commission Africaine pour la Supervision des Élections (CASE) avec les organisations partenaires s’inquiètent de la conduite amphigourique du processus électoral par M. Denis Kadima Kazadi et appelle la classe politique congolaise à s’approprier la lutte pour un changement d’urgence de l’actuelle équipe de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI).
2. La CASE note avec dégoût que le processus électoral congolais est délibérément pris en otage par un groupe d’individus qui ne travaillant que pour ternir l’image de la République Démocratique du Congo en vue d’un hold-up électoral en décembre 2023.
3. Les débats frivoles autour de l’audit du fichier électoral ne sont qu’un complot de la CENI-Kadima destiné à s’esbigner du contrôle de sa gestion chaotique de l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs afin de se soustraire de tout audit professionnel et indépendant du fichier électoral.
4. Si l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), organisme formellement invité en République Démocratique du Congo par M. Denis Kadima lui-même n’inspire plus confiance, pourquoi chercher à se dérober du contrôle de qualité de cet outil central de la machine électorale congolaise suspectement équivoque, douteuse et louche alors qu’il existe bien plus d’institutions spécialisées en audit du fichier électoral en Afrique et dans le reste du monde.
5. La CENI-Kadima est venimeuse pour notre démocratie. En agitant tout son réseau des partis politiques et des structures de la société civile du pouvoir pour s’ériger coûte que coûte en barrière contre l’audit, l’équipe Kadima confirme les graves irrégularités dénoncées tout au long de l’opération de révision du fichier électoral. Car il est de notoriété publique que des personnalités de l’Union Sacrée de la Nation (majorité présidentielle) ont clandestinement reçus des kits d’enrôlement de la CENI pour gonfler les statistiques de leurs circonscriptions électorales d’attache en faveur du candidat du pouvoir pendant que plusieurs autres entités et provinces ont été sciemment pénalisées.
6. L’audit attendu devrait toucher à tous les aspects du fichier électoral: faire la revue de la chaîne d’inscription des électeurs ; procéder aux examens nécessaires du fichier électoral ; examiner l’adéquation technologique ; analyser l’adéquation des procédures et identification des ajustements à réaliser ; analyser l’adéquation des ressources humaines et identifier les gaps de compétence et des besoins supplémentaires ; examiner les anomalies constatées par les parties prenantes et proposer des mesures pour corriger les anomalies constatées. Toutes les grandes démocraties du monde se conforment à l’obligation d’auditer l’outil de gestion des élections pour plus de transparence, de crédibilité et de professionnalisme.
7. Après avoir réussi à endoctriner l’Inspection Générale des Finances (IGF), la Cour des Comptes et l’Assemblée nationale pour les détourner de toute idée de contrôle de sa gestion épileptique du processus électoral, Denis Kadima voudrait rééditer son exploit d’un passage en force de son fichier corrompu.
8. La CASE se demande pourquoi la CENI-Kadima persiste dans la négation. Même si cette CENI est irrégulière dans sa forme et dans le contenu de ses missions, elle pouvait s’amender en garantissant un audit externe réellement indépendant.
9. La CASE condamne la tentative de la CENI de chercher à violer son propre calendrier à sa ligne 35 qui prévoit l’audit externe du fichier électoral pour la période du 15 au 20 mai 2023.
10. La CASE avec les organisations partenaires regrettent que des structures supposément sérieuses de la Société Civile se laissent manipuler par la CENI dans ses égarements en prenant position en faveur d’une administration électorale polluée et dangereuse.




Dans un stade des Martyrs plein à craquer : Modeste Bahati appelle à l’unité du peuple congolais derrière Félix Tshisekedi   

Les militantes et militants de l’Alliance des Forces Démocratiques du Congo (AFDC) ont pris d’assaut le stade des Martyrs de la Pentecôte, à l’aube du samedi 28 avril 2023, pour participer à la sortie de l’Union Sacrée de la Nation. Grande cérémonie qui a connu la présence de plus de 500 partis politiques ayant accepté d’accompagner le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi dans sa vision du développement de la RDC.

L’AFDC, formation politique connue pour sa grande capacité de mobilisation, s’est distinguée par sa brillante participation à cette grande manifestation. Des milliers de militantes et militants du parti cher à Modeste Bahati sont venus de toutes les fédérations de Kinshasa et des provinces pour prendre part à cette grand-messe politique présidée par le présidium de l’Union Sacrée au grand complet. Chaque membre du présidium de l’USN a, au nom de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo adressé un mot à l’assistance.

Prenant la parole dans un stade des Martyrs plein à craquer, le président du Sénat et Autorité Morale de la première force politique de l’Union sacrée, Modeste Bahati a appelé à l’unité du peuple congolais derrière le Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi, afin de lui accorder un second mandat à l’issue des élections prévues en décembre 2023, pour qu’il achève sa vision du développement de la RDC et du bien- être des Congolais.

« Rien à dire de plus, parce que mes prédécesseurs ont dit tout ce qui était prévu pour vous entretenir. Merci beaucoup pour votre présence massive à l’intérieur et à l’extérieur du stade des Martyrs. Aujourd’hui, Kinshasa a bougé. L’union sacrée, c’est la vision du président de la République créée pour que le pays sorte des ténèbres, de l’esclavage, soit en paix, qu’on aille de l’avant et que l’on soit respecté en Afrique et dans le monde entier, de 1. De 2, notre pays est en guerre dans sa partie Est. Il faut que tous ceux qui sont forts puissent intégrer la réserve de l’armée afin de nous battre pour notre pays. De 3, nous allons aux élections pour accorder à Félix Tshisekedi un 2ème mandat lui donner la majorité et que le peuple commence à se retrouver », a indiqué Modeste Bahati, avant de remercier les Kinois ayant fait le déplacement.

Il sied de noter que la mobilisation réussie par l’Union Sacrée samedi dernier restera dans les annales. Car, dans le passé, le pays n’avait réussi une telle mobilisation au cours d’une manifestation politique organisée au stade des martyrs. Rempli à l’intérieur et à l’extérieur, cet imposant stade a refoulé du monde samedi dernier Certains Kinois venus aussi pour cette grande messe politique ont dû rebrousser chemin par manque de places.




La vérité sur le voyage périlleux pour une guerre nucléaire  (Commentaire de la KCNA -Korean Central News Agency ou Agence Centrale de Presse Coréene-)

La clique traîtresse de YOON Seok Yeol (1960- ; Président de la Corée du Sud, alliée fort fidèle aux USA depuis 1948 pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner le côté Nord -RPDC- comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR) vient de faire sa visite (24-30/04/2023) aux USA (les plus obsédés à lexpansion doutre-mer dès leur création, en tentant dagresser la Corée en 1866, et occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945, NDLR) pour tramer, avec son suzerain, une intrigue visant à anéantir notre Etat. Il sagit dun périple de provocation la plus hostile et la plus agressive, périple de guerre nucléaire périlleux contre notre République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de lEsprit Paektu-san de la Nation homogène fière de ses 5.000 ans et digne de sa culture brillante, Superpuissance politico-militaire, NDLR). Les USA et les fantoches de la Corée du Sud ont;

proposé les moyens destinés au rehaussement des capacités à mettre en uvre les «forces de dissuasion élargie» des USA pour sujet essentiel de leur «Sommet»

discuté sur le renforcement de leur complot contre notre RPDC

adopté et publié, a lissue dudit Sommet, la «Déclaration de Washington» et la «Déclaration Conjointe».

La «Déclaration de Washington» ayant pour contenu le relèvement des capacités susmentionnées à offrir par les USA est un produit typique de la politique dhostilités odieuses à légard de la RPDC. Rien quà voir les 2 articles principaux qui passent pour noyau de la Déclaration, il suffit de révéler, nettement, les ambitions sournoises des USA. La Déclaration stipule;

la mise sur pied dun «Nuclear Consultative Group (ou groupe consultatif nucléaire)» pour permettre aux fantoches sud-coréens de prendre part active aux négociations de l«emploi des armes nucléaires»

lextension du déploiement des avoirs stratégiques US y compris le sous-marin nucléaire stratégique dans la Péninsule coréenne et le renforcement des «forces de dissuasion élargie» à travers des exercices et simulations militaires conjoints.

Cela permet, à tout le monde, de connaître que la guerre nucléaire contre notre RPDC est un fait établi. Jusquà présent, les USA et la Corée du Sud ont tenu de nombreux pourparlers et conciliabules au cours desquels ont été rédigés les documents énumérant les expressions belliqueuses. Mais, jamais trouvable est le cas où ils ont;

désigné, au grand jour, notre RPDC comme leur cible dattaque nucléaire

précisé, ouvertement, le déploiement régulier et continuel des avoirs stratégiques nucléaires dans la Péninsule coréenne.

La «Déclaration Conjointe» aussi est identique à un plan de guerre nucléaire dangereux camouflé sous couvert de la sécurité, du fait de l’inclusion de;

le projet de coopération pour la cybersécurité stratégique USA-ROK (Republic of Korea; lappellation de la Corée du Sud qui tire son origine en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, donc sans aucun pouvoir ni autorité ressuscitée rien quen 1948 par les USA qui avaient divisé la Péninsule coréenne pour mieux régner, NDLR)

l«extension de la coopération tripartite» USA-ROK-Japon (le plus ambitieux de l’expansion d’outre-mer dès sa création, en tentant d’envahir la Corée la plus voisine en 1592-1598, et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de lONU du fait de ses crimes les plus graves contre lHumanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système desclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et lenlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR)

le partage en temps réel de linformation sur la RPDC

les exercices militaires réguliers visant à «maîtriser et riposter», plus efficacement, les «menaces nucléaires et de missiles» de la RPDC.

Par leurs 2 Déclarations, les USA et la Corée du Sud ont révélé, nettement, leurs tentatives dagression contre la RPDC. Jusquici, les USA;

ont envoyé de différents avoirs stratégiques et de pléthoriques effectifs dagression dans la Péninsule coréenne et aux alentours de la dernière

se sont livrés, avec leurs forces satellites, aux exercices militaires conjoints denvergure et à ceux de guerre contre la RPDC.

Malgré cela, ils ont stipulé, dans lesdites Déclarations quils;

déploient les bombardiers nucléaires stratégiques, le groupe de frappe de porte-avions nucléaire, voire même le sous-marin nucléaire stratégique dans les parages des Eaux territoriales de la RPDC

rendent public ce fait, en parlant de laugmentation de la «visibilité régulière» signifiant le déploiement régulier et continuel des avoirs stratégiques nucléaires.

Face à cette situation, nous ne pouvons pas rester les bras croisés. Ce qui est plus grave, cest que le Président US Joseph Robinette BIDEN (1942- ), lors dune conférence de presse à lissue du Sommet, a proféré des propos absurdes à légard de la RPDC comme la «fin du Pouvoir», en parlant de la «riposte immédiate, écrasante et décisive». Ces propos téméraires lancés sous les yeux du monde entier sont un acte brutal que seuls les USA pourraient perpétrer, Pays de Gangsters peu commun et Empire du Mal. Ainsi, ces derniers ont révélé eux-mêmes;

la fausseté du «dialogue» quils avaient tant réitéré en disant quils navaient «aucune intention hostile envers la RPDC»

leur impudence et leur sentiment inné ou générique dhostilités à légard de la RPDC.

La situation militaro-politique précaire dans la Péninsule coréenne, créée par;

les exercices de guerre effectués, sans cesse, dès le début de cette année 2023

le déploiement régulier et continuel de avoirs stratégiques US

a abordé une phase plus dangereuse à cause de ces «Déclarations» et «propos absurdes».

Comme les USA et la Corée du Sud le montrent par leurs expressions rhétoriques et leurs actes les plus hostiles, ils se cramponneront, à lavenir aussi, à des manuvres de guerre nucléaire contre la RPDC, sous prétexte de l«offre des forces de dissuasion élargie» et du «renforcement de lAlliance». Dans cette conjoncture, il est tout naturel que notre Etat se dote des forces de dissuasion militaire conforme aux circonstances de sécurité précaire daujourdhui et de demain. La récente visite de YOON Seok Yeol aux USA nous a permis de;

réaffirmer les ambitions hostiles des USA et de la Corée du Sud, inchangeables et devenus plus téméraires

nous persuader que nous ne devons jamais hésiter ni nous arrêter ne fût-ce quun moment pour nous renforcer et nous préparer davantage.

Nous avons du mal à mentionner la conduite scandaleuse de YOON Seok Yeol, lors de sa visite, qui;

a fait des bêtises pour subordonner, encore, léconomie de la Corée du Sud aux USA

sest ingéré, par imprudence, dans les Dossiers du Taiwan et de l’Ukraine liés aux intérêts essentiels des Pays voisins

a proféré des propos insensés daprès lesquels il nest pas de nécessité dexaminer le passé (1905-1945) du Japon

sest montré ardent dans les efforts pour létablissement de lAlliance militaire tripartite.

Cest lexpression de sa nature desclave dun acolyte cherchant à plaire à son suzerain. Ainsi, sest révélé, entièrement, le vrai visage dun traître de 1er ordre, fou de la confrontation intercoréenne. Il a lancé toutes sortes dabsurdités en disant; La volonté de lunion avec les USA est importante pour contenir la RPDC. On se confie, absolument, à la promesse de dissuasion élargie des USA. On répondra, catégoriquement, aux menaces du Nord (RPDC), en sappuyant à la puissante posture de défense conjointe.

Ses médisances odieuses ont provoqué une vive indignation de notre Peuple, de tous les membres de la Nation Coréenne (Nord, Sud et Diaspora). Sa conduite antinationale et servile envers les USA précipite la Corée du Sud vers une poudrière de la guerre nucléaire et une base de 1ère Ligne de ceux-ci, portant atteinte à la sécurité et aux intérêts de la Péninsule coréenne et de la Région.

Les tentatives dagression nucléaire dangereuses des USA et de leur clique fantoche qui se démènent, follement, pour étouffer la RPDC, en déniant lexistence de notre Etat, ne peuvent jamais être pardonnables et seront payées très cher.




Mobilisation à la sortie officielle de l’union sacrée : Test réussi pour Claude Nyamugabo et le FPCN  

Nouvelle formation politique, le Front pour un Congo nouveau et parti politique (FPCN) cher à l’honorable Claude Nyamugabo, a mobilisé ses nombreux militants et cadres pour la sortie officielle au stade des Martyrs de la pentecôte, de l’union sacrée de la nation, cette famille politique qui soutient la candidature du président de la République Félix Tshisekedi, aux élections de décembre 2023.

Votre média en ligne, lequotidienrdc.com, s’est approché du professeur Claude Nyamugabo, pour savoir ce qu’a été la mobilisation de ses membres. A l’en croire, le FPCN a mobilisé pour cette manifestation par décision prise par son bureau politique le 24 avril. « D’où mes cadres et militants du parti venu de tous les 4 districts de Kinshasa. Voir les drapeaux placés depuis la journée du vendredi 28. Dès 7h, le rayon 22 du stade était occupé par les militants du FPCN munis des drapeaux et vêtus en t-shirts du parti », dit-il, avant d’ajouter que malgré le soleil de plomb, très disciplinés, ils sont restés jusqu’à la fin de la manifestation.

A la question de savoir, comment jugez-vous cette sortie officielle, le ministre honoraire de l’Environnement et développement durable constate que c’est un test réussi pour l’union sacrée, car le stade des Martyrs a refoulé du monde, de même que ses environs.

Au sujet du message du présidium, il note des excellents messages des membres du présidium axés sur l’actualité relative à l’agression du pays, à la sensibilisation aux prochaines élections et à la réaffirmation du soutien à la candidature du président Félix Tshisekedi.

Au regard du fait que les messages du présidium ont été prononcés dans un stade quasiment vide, l’honorable Claude Nyamugabo souligne que suite au soleil de plomb, certains rayons du stade ont été dégarni à partir de 13h30. « Le présidium devrait comprendre ce message lors des prochaines manifestations. Il en va du respect à cette population venue très nombreuse. A corriger. Ce fut la première manifestation de la plate-forme…d’où la seule excuse », affirme-t-il.

Mais pour le président du FPCN, c’est fut un réussi. « Popularité du président de la République Fatshi prouvée. Félicitations aux présidents des partis politiques qui ont su mobilier. Cela augure un carton plein pour lui offrir sacrée à l’élection présidentielle du 20 décembre 2023. Cap vers les élections », martèle-t-il.




CLOTURE DELIVRANCE DES familles AVEC LE pasteur #François MUTOMBO VH,#CULTE DU DIMANCHE 30 AVRIL2023




Xi Jinping présente ses condoléances au président angolais après les pluies torrentielles catastrophiques

Le président chinois Xi Jinping a envoyé jeudi un message de condoléances à son homologue angolais Joao Lourenço à la suite des pluies diluviennes catastrophiques qui se sont abattues sur le pays.

Apprenant que les pluies désastreuses avaient causé de lourdes pertes humaines et matérielles à Luanda, la capitale angolaise, et dans d’autres endroits, M. Xi a exprimé ses profondes condoléances pour les victimes et a présenté ses sincères sympathies aux familles endeuillées, aux blessés et aux habitants des zones sinistrées, au nom du gouvernement et du peuple chinois.

Le président chinois s’est dit convaincu que l’Angola surmontera les difficultés et reconstruira sa patrie.