Flux financiers illicites en provenance de l’Afrique : L’APLC en atelier sur la mise en œuvre des recommandations du Groupe de Haut Niveau UA

L’Agence nationale de prévention et de lutte contre la corruption (APLC), une structure spécialisée rattachée à la présidence de la République, a organisé un atelier sur la mise en œuvre des recommandations du Groupe de Haut Niveau UA sur les flux financiers illicites en provenance de l’Afrique et elle a procédé au lancement d’une étude sur les flux financiers illicites en provenance de la Rdc afin de les identifier, les poursuivre et les recouvrer.




Soirée de gala des jeunes et étudiants

Le 15 avril au soir a eu lieu une soirée de gala des jeunes et étudiants sur la place Kim Il Sung.

La soirée a commencé au son du chant « Chantons la Fête du Soleil ».

Les participants ont dansé avec allégresse, animés d’un sentiment de vénération sans borne envers les grands hommes sans pareils qui avaient érigé les jeunes coréens en continuateurs de la révolution Juche dignes de confiance et protagonistes d’un Etat puissant.

Ont éclaté des feux d’artifice au-dessus de la place alors que retentissaient des chants, notamment le chant « Marche des jeunes bâtisseurs du socialisme », etc.

La soirée de gala a montré la volonté révolutionnaire de la nouvelle génération d’avancer vigoureusement à la tête de la lutte pour réaliser brillamment sous la direction du grand Parti le vœu patriotique des grands hommes sans égaux d’édifier un Etat puissant.

 

Spectacle de célébration

 

Le 15 avril s’est joué en grande pompe à Pyongyang le spectacle des participants au 8e festival artistique du Peuple Printemps d’Avril.

Y ont assisté des responsables du Parti et du gouvernement, dont Choe Ryong Hae et Ri Pyong Chol, membres du Présidium du Bureau politique du Comité central du Parti du travail de Corée, des cadres du secteur concerné et des Pyongyangeois.

Ont été mis en scène des numéros variés, y compris des hymnes que les Coréens chantaient fièrement de siècle en siècle.

Les artistes ont loué grandement la gloire de la Corée à briller pour toujours et la grande chance de la nation coréenne.

Les spectacles ont donné également des chefs-d’œuvre musicaux de l’époque à la louange du respecté camarade Kim Jong Un qui conduit avec clairvoyance le socialisme à la coréenne, héritage patriotique le plus précieux du Président Kim Il Sung, vers de nouveaux changements et développement.

Le spectacle donné par les spécialistes et amateurs de prestidigitation a fait la joie de l’assistance.

Le spectacle de célébration a été vivement applaudi par les spectateurs.

 

Bal de gala des femmes

 

A l’occasion du 111e anniversaire de la naissance du Président Kim Il Sung a eu lieu le 15 avril sur la place de l’Arc de triomphe un bal de gala des permanentes et membres de l’Union des femmes.

Les femmes ont dansé avec allégresse, animées d’un sentiment de vénération sans borne envers les grands hommes qui avaient su inaugurer une nouvelle ère du mouvement des femmes coréennes et ériger celles-ci en les plus belles fleurs du pays et de l’époque.

Le bal de gala a montré clairement la volonté révolutionnaire des femmes coréennes de rester absolument fidèles à la direction du Comité central du Parti et de contribuer efficacement à la prospérité et au développement de la patrie qui vaut une grande famille socialiste.

 

Célébration de la Fête du Soleil en RPDC

 

Le peuple coréen a célébré de façon significative le 111e anniversaire de la naissance du Président Kim Il Sung.

Un grand nombre de gens ont visité le Palais du Soleil de Kumsusan, temple suprême du Juche, et se sont remémoré les inoubliables exploits du Président Kim Il Sung et du Dirigeant Kim Jong Il.

Les militaires et civils, y compris les jeunes et étudiants, ont déposé des corbeilles et bouquets de fleurs devant les statues et les portraits rayonnants du Président et du Dirigeant, érigés partout dans le pays, notamment la colline Mansu, et se sont inclinés respectueusement.

Lors de leur visite de la maison natale de Kim Il Sung à Mangyongdae, les gens du peuple se sont reportés avec émotion à la vie révolutionnaire de ce grand homme.

A l’occasion de la Fête du Soleil, tous les enfants et écoliers de crèches, écoles maternelles et primaires du pays ont reçu des présents marqués de l’affection.

Des cérémonies d’adhésion des enfants à l’Organisation des enfants de Corée ont eu lieu dans tous les provinces, villes et arrondissements du pays.

En faisant le tour de l’Exposition centrale de photos, de l’Exposition centrale des beaux-arts et d’autres, les visiteurs s’inspirent de nouveau des hauts faits accomplis du Président Kim Il Sung.

En outre, des spectacles variés se sont joués à la capitale et en province.

Remarquons également que ce jour-là, on a offert des services particuliers dans des restaurants du pays pour faire la joie du peuple.

Commencement du camping à des colonies de vacances

A l’occasion de la Fête du Soleil a commencé le 1er camping à des colonies de vacances du pays.

Le 15 avril a eu lieu la cérémonie de commencement du 1er camping des enfants à la colonie de vacances internationale de Songdowon.

Y ont pris part Chae Il Ryong, président du comité populaire de la province du Kangwon, Kim Myong Chol, secrétaire du comité du Parti de cette province, Kim Kyong Jun, vice-président du Comité central de l’Union de la jeunesse, le personnel enseignant et administratif de la colonie, ainsi que les vacanciers.

Les participants ont déposé des corbeilles de fleurs devant les statues du Président Kim Il Sung et du Dirigeant Kim Jong Il, érigées dans l’enceinte de la colonie, avant de s’incliner profondément.

Ce jour-là, le camping des élèves a commencé à des colonies de vacances de toutes les régions du pays, entre autres la colonie de vacances de Mangyongdae et celle de Yonphungho.

 




L’AFDC pas impliqué dans les déboires de l’ex-ministre Jean-Marie Kalumba 

Demis du Gouvernement au terme d’une motion de déchéance initiée à l’Assemblée nationale, l’ancien ministre de l’Economie nationale, Jean-Marie Kalumba Yuma, s’illustre depuis quelque temps par des fausses déclarations, outrageantes et diffamatoires sur les réseaux sociaux, à l’endroit de l’Autorité Morale de l’AFDC (Alliance des Forces Démocratiques du Congo), Parti dont il n’est plus membre, et contre quelques autorités établies, dans le but malsain de jeter l’opprobre et le discrédit sur le Parti cher à l’Honorable Modeste Bahati Lukwebo, et sur les Institutions du pays.

Dans un communiqué rendu public à cet effet, Gianni Mulumba Mukelenge, au nom de la Cellcom AFDC, constate que les contre-vérités distillées sur les réseaux sociaux par cet ancien membre de l’AFDC témoignent de l’incompétence et l’amateurisme de cet homme tombé de haut et qui cherche à attribuer son cuisant échec à d’autres.

« A l’instant de son Initiateur et Autorité morale, l’Alliance des Forces Démocratiques du Congo est un parti d’excellence et qui a toujours fonctionné sur des bases saines depuis sa création, et non sur base de la prédation », indique le même document, qui estime que c’est ce qui explique d’ailleurs les adhésions massives que continue à enregistrer l’AFDC devenue la première force politique, en dépit des coups bas, de la jalousie et des complots dont elle est de plus en plus l’objet de la part de certains adversaires politiques.

Ainsi, l’AFDC dément catégoriquement toute implication dans les déboires de M. Jean-Marie Kalumba, tout comme les faramineuses sommes d’argent qu’il prétend avoir déboursées.

« L’AFDC précise par ailleurs que son Autorité Morale qui est aussi Président élu du Bureau du Sénat n’a jamais tenu une réunion avec les opérateurs économiques, prérogative qui ne relève pas de sa compétence », indique le communiqué de presse.

M. Jean-Marie Kalumba ne doit donc pas se justifier par des allégations mensongères pour créer son propre parti politique. Il est libre de partir où il veut. L’Autorité Morale de l’AFDC s’attendait plutôt à un acte de gratitude de la part de M. Jean-Marie Kalumba tel qu’il l’avait déclaré devant sa Communauté réunie au Cercle ex. ONATRA.

Le Parti de la houe met en garde quiconque chercherait à salir l’honneur et la réputation de son Autorité Morale, au risque de s’exposer à des poursuites judiciaires.

L’AFDC réitère, une fois de plus, son soutien total au Président de la République et Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Initiateur de l’Union Sacrée et candidat de l’AFDC pour l’élection présidentielle prévue en décembre prochain.




Sondage Echos d’opinion : Les partis politiques signataires de la charte de l’Union sacrée qui sont plus visibles et travaillent pour la réélection du chef de l’Etat

Au lendemain de sa rupture d’avec le Front commun du Congo –FCC-, le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, avait décidé de mettre en place sa nouvelle plateforme politique. Ce, pour se donner des marges de manœuvres dans la mise en œuvre de sa vision coulée sous forme de programme d’action que le gouvernement dirigé par le Premier ministre Sama Lukonde est en train d’exécuter. Il sied de signaler qu’en France, il a existé lors de la première guerre mondiale, une Union sacrée, nom donné au mouvement de rapprochement politique qui a soudé les populations de toutes tendances politiques ou religieuses. Pendant la transition mobutienne, Etienne Tshisekedi de pieuse mémoire avait aussi dirigé une plateforme de l’Union sacrée de l’opposition radicale et alliés-USORAL.

L’actuelle Union sacrée comporte une Charte comprenant 76 articles regroupés en 9 chapitres précédés d’un préambule. Elle est le résultat d’un examen minutieux de plusieurs séances de travaux. Mais comme toute œuvre humaine, la Charte est perfectible, a dit Christophe Mboso, un des ténors de ladite plateforme.

La signature de cette charte par les membres de l’Union sacrée de la nation est intervenue le mercredi 5 avril à Kinshasa. Cette plateforme politique est appelée à soutenir la candidature de Félix Tshisekedi à la présidentielle de décembre 2023. La Charte signée par tous les membres, est un ensemble de principes et de règles à respecter et à faire respecter par tous.

Cependant, l’opinion nationale et internationale constate que l’Union sacrée de la nation risque d’être un conglomérat de leaders politiques venus à la recherche de postes, et non parce qu’ils sont capables d’apporter un soutien solide à Félix Tshisekedi. Nombre de ces partis membres ne disposent même pas des assises sociologiques sur le terrain. En d’autres termes, l’on se trouve, sans risque de se tromper, en face des menus fretins.

En effet, sur les 600 partis politiques enregistrés au ministère de l’Intérieur, 200 d’entre eux ont adhéré à l’Union sacrée. Que peuvent-ils apporter au chef de l’Etat en termes d’appui sur le terrain? Disposent-ils de moyens humains et matériels suffisants pour mobiliser l’électorat en faveur de leur candidat? Ce sont là des questions posées par les agents de l’Institut de sondage Echos d’opinion lors d’un sondage réalisé au lendemain de la signature de la Charte de cette plateforme politique.

Voici les résultats de ce sondage :

Alliance des Congolais progressistes, 86%

L’Alliance des Congolais Progressistes, parti politique créé par Gentiny Ngobila Mbaka damne de plus en plus  le pion à d’anciens grands partis politiques ayant vu le jour avant lui. Il s’agit des partis qui étaient jusque-là réputés pour leur caractère ancien et national. Dans toutes les provinces, l’ACP enregistre des adhésions massives. Sa machine ramasse de jour comme de nuit les Congolais pour le compte du parti du premier  citoyen de la ville de Kinshasa. Un peu partout, l’Alliance des Congolais Patriotes  malmène donc malicieusement ces anciens partis.  L’ACP ratisse large et vise d’avaler ces provinces aux prochaines élections. Les adversaires politiques qui minimisent ce pari pourraient être surpris le moment voulu. Connaissant à fond les populations congolaises, le président de l’ACP met en jeu son expérience pour bien attirer les adhérents.

2. L’UDPS : Augustin Kabuya, 83%

L’Union pour la démocratie et le progrès social –UDPS- est un vieux parti né en pleine dictature pour revendiquer l’ouverture démocratique dans notre pays. A ce jour, ce parti est encore auréolé de l’héritage de son président historique, Etienne Tshisekedi. Bien plus, la vision que s’est fixée son fils, Félix Tshisekedi dès son accession à la magistrature suprême plaçant le peuple au centre de toute action, fait que le parti jouit de la confiance de la population. L’Union pour la démocratie et le progrès social est dès lors considéré par les Congolais comme le plus à même de proposer des solutions aux problèmes qui se posent dans le pays. On lui reconnait aussi une forte capacité de mobilisation de masses et des militants due notamment à la ténacité, consistance, intransigeance et à l’inflexibilité de son leader qui est resté égal à lui-même tout au long de son long combat politique.

Le Mouvement de libération du Congo: 80%.

 

Le parti dirigé par l’ancien vice-président de la République, aujourd’hui vice-Premier ministre en charge de la Défense nationale et Anciens combattants, se positionne comme un parti qui a échappé à la disparition après le départ de la quasi-totalité de ses premiers cadres influents au lendemain de l’emprisonnement à la Haye de son leader. Grâce à la ténacité de sa secrétaire générale, Eve Bazaiba, le Mouvement de libération du Congo a pu résister à la tempête, et depuis le retour à Kinshasa de Jean-Pierre Bemba, il reprend du poil de la bête sur l’ensemble du pays.

APOCM : 72%

Le parti de l’Alliance des paysans et ouvriers de la classe moyenne pour un développement durable, dirigé par Abdon Ekila, est implanté dans certaines provinces où il mobilise ses cadres, militants et sympathisants pour la réélection de Félix Tshisekedi en décembre 2023. APOCM indique par ailleurs qu’elle poursuit ses actions visant à sensibiliser la communauté pour la collaboration avec les services de sécurité, mais aussi pour accompagner les autorités dans leurs actions visant à restaurer la paix dans la partie Est de notre pays.

La Convention pour la République et la Démocratie, 68%

La Convention pour la République et la Démocratie, parti de Christophe Mboso Nkodia, président de l’assemblée nationale, n’a jamais cessé de mobiliser ses membres pour faire réélire Félix Tshisekedi en décembre 2023. Son électorat est surtout basé dans les milieux originaires de la province dont est issu le speaker de la chambre basse du Parlement. C’est dans ces milieux que le parti organise régulièrement des rassemblements populaires pour les tenir en éveil, et ainsi éviter tout discours négatif qui ne pourrait que les distraire.

AFDC : 64 %

Dans une déclaration politique datée de lundi 26 juillet 2021, le regroupement politique Alliance des forces démocratiques du Congo et Alliés -AFDC-A- avait déjà désigné le chef de l’Etat Félix Tshisekedi, comme candidat de cette plateforme à la prochaine élection présidentielle. Cette décision avait été prise par la direction de l’AFDC-A, à l’issue de la réunion extraordinaire approuvée par toutes les têtes couronnées, à savoir les présidents des partis membres, les personnalités politiques, les députés nationaux, les sénateurs ainsi que les ministres. Le président du Sénat va apporter son électorat de l’Est à Fatshi comme dans d’autres coins du pays.

Le signal envoyé au chef de l’État est clair. L’Udps peut aujourd’hui compter sur la machine politique de l’AFDC-A de Modeste Bahati pour conserver le pouvoir jusqu’en 2028.

Union pour la Nation Congolaise: 63%

L’actuel vice-Premier ministre en charge de l’économie nationale, soutient fermement Félix Tshisekedi pour l’élection présidentielle du 23 décembre 2023. Lors de ses tournées dans la partie Est du pays où il vient de se rendre, pour la seconde fois, pour se faire enrôler et obtenir sa carte d’électeur, celui que ses sympathisants qualifient de « pacificateur jusqu’au bout », estime que la RDC a eu la chance d’avoir le leader de l’UDPS comme président de la République. Pour cela, il s’est dit déterminé à le soutenir afin qu’il parachève l’action salvatrice menée tout au long du quinquennat qui tire lentement mais sûrement à sa fin.

l’Alliance des Démocrates pour le Progrès, 48%

Le parti de l’Alliance des Démocrates pour le Progrès –ADP- de Christophe Lutundula a choisi, sans détours, de soutenir la candidature de Félix Tshisekedi à l’élection présidentielle de décembre prochain. Autorité morale d’une formation politique qui vient à peine de voir le jour, et qui n’est pas encore suffisamment implantée à travers le pays, le vice-Premier ministre en charge des Affaires étrangères estime qu’il ne peut se montrer ingrat à l’endroit du chef de l’Etat qui continue de lui faire confiance en le maintenant à ses fonctions.

CCU : 43%

Dans une déclaration politique, Lambert Mende et les partis politiques membres du regroupement de la Convention des Congolais unis –CCU- et alliés, ont annoncé officiellement leur adhésion à l’Union sacrée de la Nation.

La CCU et alliés affirment vouloir ainsi contribuer à mettre fin à la crise au Congo et rétablir la cohésion nationale pour permettre au pays et à ses institutions de prendre en charge les priorités du développement, et de faire face à l’instabilité et à l’insécurité à l’est de la RDC.

FIDEC : 40%

Au cours d’un point de presse, Marie-Louise Epoli, haut cadre du Front des indépendants pour la démocratie chrétienne –FIDEC-, a affirmé que le parti de Fifi Masuka soutient  la candidature de Félix Tshisekedi aux élections présidentielles de 2023. De même, Madame Epoli précise que le parti de la femme forte du Lualaba alignera des candidats aux élections législatives nationales et provinciales, ainsi qu’aux élections locales pour y rafler la majorité. « Notre candidat chez nous c’est Félix Tshisekedi. Nous le soutenons, nous voulons avoir la majorité dans les assemblées provinciales, à l’assemblée nationale, même au Sénat. », a dit Marie-Louise Epoli. Issue du démembrement du grand Katanga, la riche province de Lualaba demeure favorable au président Félix Tshisekedi.

BUREC : 36%

Le parti politique Bloc Uni pour la Renaissance et l’Emergence du Congo –BUREC- «a pris une grande résolution à savoir: le soutien de Felix Tshisekedi à la magistrature suprême en 2023». Ce parti de Julien Paluku Kahongya, ancien gouverneur du Nord-Kivu et actuel ministre de l’Industrie,  appelle donc ses militants à s’enrôler massivement pour participer aux élections de décembre prochain afin de donner la majorité écrasante au président de la République et permettre au BUREC de produire plus d’élus. Dans cette déclaration, le parti politique se dit par ailleurs être de coeur avec la population de l’Est de la RDC victime d’agression de la part des pays voisins dont le Rwanda.

Agir pour la République: 32%

Plus rien ne sera comme avant pour le philanthrope Maître Guy Loando Mboyo, initiateur de la Fondation Widal et ministre d’Etat en charge de l’Aménagement du territoire. Cette personnalité politique de la nouvelle génération s’est déjà distinguée par son inconditionnel engagement dans la recherche de l’amélioration des conditions de vie des Congolais aux côtés du chef de l’Etat Felix Tshisekedi Tshilombo pour qui il témoigne une fidélité sans faille. Loin d’un parti-mallette, ce dernier se veut être, dès sa naissance, un grand parti qui préfère l’action au discours, à l’image de son initiateur.

Adèle Kayinda: 30%

Le parti Alliance des démocrates chrétiens –ALDEC- dont la ministre d’État en charge du Portefeuille, Adèle Kayinda Mahina, est l’autorité morale, a affirmé que son candidat à la présidentielle de 2023 est l’actuel chef de l’État de la RDC, Félix Tshisekedi. « Nous, à ALDEC, nous disons ceci: 2023, c’est Fatshi béton ou rien”, a-t-elle déclaré avec les membres de son parti politique.

15. Congo Espoir : 29%

Le parti politique Congo Espoir du ministre José Mpanda Kabangu croit fermement en l’organisation des élections. Le parti exprime son souci majeur de voir les élections être organisées en 2023 pour que le Président de la République ait une majorité valable dans son deuxième mandat, en vue de bien diriger le pays.

16. Ligue pour l’émergence de la Démocratie : 25%

 

Les partis membres de cette famille politique s’activent déjà sur le terrain. C’est le cas de la Ligue pour l’émergence et la démocratie –LED- qui a lancé une vaste campagne nationale d’adhésion massive de nouveaux membres, sous le thème “Pour mon Congo et mon avenir, je prends mes responsabilités, j’adhère à la LED”.

“Un parti politique naît pour conquérir le pouvoir d’Etat et l’exercer dignement, conformément à sa ligne idéologique. La LED est résolument engagée à se faire une place de choix au pouvoir en 2023, pour le grand bonheur de tous les Congolais. Toutes les forces vives du parti sont mobilisées pour l’atteinte de cet objectif. Souscrivez sans hésitation à l’offre politique de la LED, car elle est la plus complète et la plus à même de vous permettre de participer activement à la reconstruction de notre cher et beau pays. La gouvernance qui sera en œuvre dès 2023, sera celle que nous aurons définie ensemble. C’est le moment donc d’embarquer. Votre adhésion massive consolidera la légitimité populaire de notre engagement et combat politique”, a indiqué Guy-Didier Kintambu.

17. Parti travailliste: 20%

 

Steve Mbikayi s’est déjà prononcé sur le dossier de soutien à la candidature de Félix Tshisekedi à la présidentielle de 2023. « Nous avons toujours été anticipatifs. Ceux qui nous ont traités de flatteurs hier nous ont rejoints. Fatshi est aussi leur candidat en 2023», a-t-il déclaré.

18. Le Congrès national congolais: 19%

 

Le Congrès national congolais se range en ordre de bataille pour faire triompher le chef de l’Etat Félix Tshisekedi à la présidentielle de 2023, pour un second mandat à la tête du pays. L’autorité morale de ce parti, Pius Muabilu, a donné ce mot d’ordre, lundi 17 mai, lors de l’investiture officielle des membres de son bureau politique venus de toutes les provinces du pays.  « Mettons-nous en ordre de bataille. C’est le seul mot d’ordre que je vous donne », a déclaré le patron du CNC. A en croire Pius Muabilu, Félix Tshisekedi mérite un second mandant, au regard de l’actuelle performance du chef de l’Etat et de son gouvernement en matière de mobilisation des recettes en RDC.

Selon lui, ces performances sont le fruit de l’amour du chef de l’Etat et de tous les membres du gouvernement envers le pays. Le pays se redresse peu à peu, nonobstant la situation sécuritaire volatile de l’Est du pays, reconnait Pius Muabilu.

19. Le parti lumumbiste unifié : 18%

Dans un communiqué daté du 10 décembre 2020, le Secrétaire permanent intérimaire et porte-parole du parti, Godefroid Mayobo, avait indiqué que cette formation politique avait pris fait et cause pour la candidature de Félix Tshisekedi en décembre 2023.

20. CODE : 15%

La Coalition des démocrates –CODE-, regroupement politique que chapeaute Jean-Lucien Bussa, vient de rallonger la liste de ses membres avec l’adhésion, le vendredi 09 septembre 2022, du Mouvement national congolais/Lumumba, parti politique que dirige François Lumumba (fils de Patrice Emery Lumumba).

La délégation du MNC/L était composée notamment de professeurs d’universités, hauts-cadres d’entreprises.

« Nous sommes réunis pour accueillir François Lumumba. Comme vous savez, 2023 approche à grand pas, c’est le moment de se préparer, pour qu’après les élections notre regroupement politique doit donner beaucoup de députés, on doit être un courant politique qui doit compter demain. Il est important d’atteindre les objectifs qui sont les nôtres. Pour agir, il faut interagir. On doit constituer un groupe fort qui porte la RDC. On doit avoir la capacité d’être la force qui donne les moyens au chef de l’État de conduire sa vision. Donner de la force à ce candidat président pour les échéances à venir », a déclaré Jean-Lucien Bussa.

Sondage Echos d’opinion

 




Le critère de père et de mère ne peut être un problème : Le vrai problème se situe dans l’agenda de celui qui en a fait son problème personnel

Le problème ne se situe nullement dans le critère d’éligibilité à la présidentielle en Rdc qui veut que le candidat soit de père et de mère d’origine congolais. Car, très très peu de compatriotes sont concernés par cette limitation tout à fait normale. Ceux d’entre eux qui ont des vraies ambitions politiques orientées vers l’intérêt national acceptent ce critère et s’engage à le défendre face à la nécessité de protéger la patrie confrontée à d’énormes défis géostratégiques et géopolitiques internationaux.

On le sait, cette proposition de loi soulève des vagues provoquées par un individu fortuné derrière lequel des intérêts impérialistes et lobbies maffieux agitent dangereusement l’opinion. En temps normal, rien ne se passerait. À l’époque du MPR Parti-Etat, le critère d’être de père et de mère était inscrit comme condition pour candidater à la présidence. D’autres pays sont sur cette ligne d’exigence et tout se passe normalement. À mon avis, l’histoire récente de notre patrie participe de l’intérêt d’insérer ce critère dans les conditions d’éligibilité à la magistrature suprême. La loi étant édictée de manière générale et impersonnelle, se sentir visés me paraît suspect.

Seulement voilà. Il y a un candidat qui avec ses millions de dollars pense que son ambition de devenir à tout prix président en Rdc ne doit rencontrer aucun obstacle. C’est en fait lui et son carnet d’adresse international le problème et non cette limitation qui est tout à fait compréhensible. Nous avons vu défiler des diplomates des pays impérialistes chez le président de l’assemblée nationale et celui du Sénat pour faire le plaidoyer de leurs intérêts maffieux. Pourquoi seulement en Rdc alors que cela est inimaginable ailleurs ????

Daniel Makila K, Nationaliste de Gauche, Fils de Lumumbiste




Face au désordre qui a élu domicile dans les centres de recherche scientifique: Gilbert Kabanda veut bouger les lignes dans son secteur 

Des grands bazars ont élu domicile dans le plus grand nombre des centres de Recherche Scientifique de la République Démocratique du Congo. C’est comme pour dire dans son esprit, on ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs. Jouant à la fois sur les 2 tableaux de la forme et du fond, le ministre de la recherche scientifique et innovation technologique, s’est livré à un exercice de véritable rappel à l’ordre dans tous ses échanges avec les différents animateurs des organismes de recherche scientifique.

Gilbert Kabanda Kurhenga fait un constat très amer sur le fonctionnement des centres de recherche scientifique au Congo. Il poursuivait ces échanges, la semaine passée, avec les hauts responsables des organismes de recherche scientifique.

Docteur Gilbert Kabanda n’est pas allé par le dos de la cuillère ; son diagnostic est sans complaisance. Et à ses yeux, un très grand nombre de ces structures, pour ne pas dire toutes, manque de cadre organique et sa marche bon en mal en, clopin-clopant, et par conséquent, la Recherche Scientifique est purement et simplement mise en mal en RDC, ça de un, dit une dépêche de la cellule de communication du ministère de la recherche scientifique qui nous est parvenue.

A la source de poursuivre que le nouveau Patron de la Recherche Scientifique a fait la même remarque générale sous l’angle d’interpellation.

“C’est comme dans son esprit, c’est blanc bonnet, bonnet blanc. L’on a mis la charrue avant le bœuf. Le Ministre Kabanda veut ainsi mettre un terme définitif à ce micmac. Et du coup de l’ordre, en d’autres termes, remettre des organismes de recherche scientifique sur les bons rails. Car effectivement, il y a péril en la demeure”, dit notre source.

 

Comme on le voit, le Ministre de la Recherche Scientifique et Innovation Technologique qui ne va pas par les 4 chemins, met le doigt dans la plaie là où ça fait vraiment mal. En termes clairs, il épingle en même temps, ce qu’il considère comme l’absence des compétences managériales qui mine la Recherche Scientifique dans la plupart des centres et son autre cheval de bataille, l’immoralité a pris le meilleur dans le gestion dans les affaires de l’Etat, dit la cellule de communication.

Le Ministre Kabanda à travers son plan d’action, sur fond de sa nouvelle politique de recherche scientifique en RDC, qu’il rendra public prochainement à l’instar de la nouvelle politique de défense qu’il a conçu et mettait déjà en œuvre, il entend également dans le secteur de la Recherche Scientifique, mener une lutte sans merci contre les antivaleurs. A ce sujet et à titre de rappel, le Ministre Kabanda n’a cessé de répéter à l’intention de tous ses interlocuteurs, ce qu’il sied de considérer ici au Congo comme le mal congolais qui tire le Congo vers le bas depuis 40 ans ou plus. Et de paraphraser justement les 3 anciens Chefs de l’Etat. Le Président Mobutu au plus fort de son règne avait dénoncé le mal zaïrois qui était celui des cadres zaïrois dans tous les secteurs de la vie nationale. De même à son tour son successeur, le Président Laurent Désiré Kabila n’avait hésité à qualifier urbi et orbi le pouvoir de l’AFDL de conglomérat d’aventuriers. Et comme si cela ne suffisait pas, à son tour aussi, le président Joseph Kabila déclara dans un 1er temps qu’il ne trouvait pas 15 personnes pour gérer le pays avec lui selon une gestion morale. Dans un 2e temps à la fin de son règne de 18 ans, le Président Joseph Kabila déplora le fait pour lui de n’avoir pas réussi à changer l’homme congolais. Un constat tout aussi amer que pour ses 2 prédécesseurs.

Voilà le tableau sombre peint par le nouveau Ministre de la Recherche Scientifique et Innovation Technologique qui n’entend dormir sur ses lauriers au Ministère de la Défense Nationale et fait le choix de faire bousculer les lignes également dans le secteur de la Recherche Scientifique. Car à ses propres dires, il n’y a pas de développement sans recherche scientifique et il n’y a pas non plus de recherche scientifique sans la morale.

Pour faire bouger les lignes et booster la Recherche Scientifique avec un nouvel état d’esprit pour tous.

Les différents responsables reçus par Gilbert Kabanda

Rappelons que la première délégation à prendre langue avec le Patron de la Recherche Scientifique était celle du Centre National de Télédétection. D’après son Directeur Général, le Professeur David Ndingu, ce jeune centre congolais a besoin d’un appui gouvernemental afin de jouer totalement son rôle. Ensuite est venu le tour de la délégation du Centre de Recherche en Eau et Environnement. Au regard de la position stratégique qu’occupe la Rdc au niveau tant continental que mondial, ce centre se veut être doté d’un laboratoire moderne permettant ainsi la fiabilité dans le traitement des données, rapporte la Directrice Générale, le Professeur Patience Ngelingoto.

Pour une première prise de contact avec le tout nouveau Ministre de la Recherche Scientifique et Innovation Technologique, il a été question pour la délégation du Centre d’Excellence Chimique Biologique et Nucléaire de présenter les différentes réalisations faites par ce centre. La Coordonnatrice Odette Kabena a aussi évoqué les missions leur assignées.

Pour le compte de l’Institut Géographique du Congo, le Professeur Erick Misilu a après du Docteur Gilbert plaidé pour la dotation des moyens conséquents.

Pour sa part, le Directeur Général du Centre de Recherche Interdisciplinaire Pédagogique de Matadi, le Professeur Jérôme Bugene a salué la célérité du Patron de la Recherche Scientifique à répondre à leurs doléances.

BM




Me Sona est formel : « Mwangachuchu n’a pas été libéré »

La Haute Cour Militaire a ordonné ce vendredi 14 avril 2023 à Kinshasa/Ndolo, la surséance de l’affaire opposant l’Auditeur général près la même Juridiction aux prévenus Edouard Mwangachuchu et Robert Mushamalirwa. Un arrêt avant dire droit est attendu sur la requête d’inconstitutionnalité soulevée par le prévenu.

La Haute Cour Militaire vient donc de surseoir, décidant la suspension momentanée de l’affaire. Elle a ordonné aux parties de saisir la Cour Constitutionnelle pour examiner, statuer et juger désormais ce dossier ou cette affaire qui oppose l’auditeur général militaire aux prévenus dont le député national Edouard Mwangachuchu.

En cette annonce, les réseaux sociaux sont entrés en ébullition. Une vidéo de Mwangachuchu tout souriant après que la Haute cours militaire ait décidé de la suspension, après qu’on ait soulevé l’exception dont l’effet est la suspension du procès en attendant l’arrêt de la Cour Constitutionnelle. D’aucuns disent qu’il s’agit là d’un processus menant à la libération du prévenu après des fortes pressions internationales sur la juridiction militaire, après la découverte de plusieurs passeports dont 4 diplomatiques prouvant, selon cette opinion, que les député congolais espionnait la RDC pour le compte du Rwanda et l’occident.

Elle soutien ce point de vue en donnant comme preuve les nombreuses visites des hauts responsables français, américains et britanniques particulièrement après le dépouillement du contenu du coffre-fort de Mwangachuchu.

Il sied de noter que “l’exception d’inconstitutionnalité soulevée par les avocats de l’honorable Mwangachuchu n’est pas synonyme de sa remise en liberté. Le député reste en détention. La Haute cour militaire attend seulement le jugement avant de dire droit qui sera rendu par la Cour Constitutionnelle. C’est-à-dire, la procédure pénale congolaise autorise aux parties au procès de vider tous les litiges liés à la forme avant d’examiner le fond du dossier”, explique un juriste.

Ce dernier, cite en guise d’illustration, le cas de l’affaire major Carine Lokeso dans le meurtre de Rossy Tshimanga dont l’exception d’inconstitutionnalité n’avait pas conduit à la libération de la prévenue, mais après suspension le procès, c’était poursuivie jusqu’au prononcé du jugement.

Les deux prévenus étaient restés en détention jusqu’à ce que la Cour Constitutionnelle ait vidé sa saisine sur l’exception d’inconstitutionnalité

Les réseaux sociaux se perdent en conjecture

L’on retiendra qu’à l’ouverture du coffre-fort retrouvé dans la propriété du prévenu Mwangachuchu, des documents, dont sept passeports, 4 passeports diplomatiques, y ont été trouvés.

Comme par coïncidence, plusieurs personnalités françaises à savoir des anciens Chefs d’Etat français, un ancien Premier-ministre etc… Ce qui fait n’a fait que faire monter des conjectures, Mwangachuchu est soupçonné, d’avoir participé à un mouvement insurrectionnel; d’entretenir des liens avec les terroristes tutsi rwandais du M23, d’incitation des militaires à commettre des actes contraires au devoir et à la discipline et de détention illégale de munitions de guerre. Lors de ses précédentes dépositions, Édouard Mwangachuchu a reconnu que les munitions trouvées dans ses résidences lui appartenaient et qu’il avait reçu l’autorisation de les détenir.

Dans cette affaire ‘Édouard Mwangachuchu’, étant donné que les réseaux sociaux, ont affirmé que la France serait activement en œuvre pour soutenir le Rwanda dans le pillage des richesses de la RDC sous le masque du M23, l’on s’y perd en conjectures.

Y étant présenté comme un très proche ami de Paul Kagame qui, avec l’argent acquis indûment dans l’exploitation illégale des mines d’or, du tungstène et du tantale (coltan) en République démocratique du Congo, Mwangachuchu détiendrait d’importants investissements immobiliers à Kigali (Rwanda). Il se dit aussi qu’il serait un des actionnaires le plus important de la compagnie aérienne Rwandair. Ce que dément l’intéressé. Il est aussi dit que le prévenu est membre de la diaspora rwandaise, donc un citoyen rwandais qui a infiltré depuis des nombreuses années en mission d’espionnage en République démocratique du Congo ! Toutefois, ‘Mwangachuchu persiste et signe qu’il est et resté congolais’.

Leçon académique du Me Olivier Daniel Sona Seke

Face à toutes ces politiques, Me Olivier Daniel Sona Seke, juriste et pratiquant du droit, en des termes très simples explique:

” Dans tout procès, nous avons ce qu’on appelle exceptions publiques. Lorsqu’on les soulève, les juges doivent les examiner. On ne verse pas dans le fond. Lorsque le juge est saisit dans une affaire, la première chose qu’il fait c’est d’examiner sur sa compétence. Est-il compétent territorialement? Est-il compétent matériellement? Est-il compétent personnellement? Ce sont les 3questions que se pose généralement le tribunal ou la Cour.

Lorsque maintenant on soulève une exception d’ordre public, surtout celle liée à la constitutionalité, cette exception publique une fois soulevée, automatiquement on doit sursoir et le juge constitutionnel est saisit et on transmet cette exception-là. Et lorsqu’elle est vidée à la Cour Constitutionnelle, on revient devant le juge qui a été saisit de l’affaire.

En réalité, mes exceptions ressemblent à plus ou moins à un toilettage préalable avant d’examiner le fond d’une affaire. On demande aux parties s’ils ont des préalables-là s’exprime parce qu’on appelle exceptions.

Une exception de la constitutionnalité est forcément suspensive d’une action et vidé par son juge naturel qu’est la Cour Constitutionnelle et sa décision est signifiée à l’instance qui a été saisit en premier et on continue la course.

Donc, il n’est pas dit que lorsqu’on soulève une exception d’inconstitutionnalité le prévenu ou les prévenus sont remis en liberté, il (ils) reste (restent) en détention jusqu’à ce que le juge constitutionnel ait rendu son arrêt”.

Pour le cas en discussion dans ce dossier, maître Sona est formelle : Mwangachuchu n’a pas été libéré !

Willy Makumi Motosia




Les Idées du Juché et le destin de l’homme

Avec l’apparition de l’Humanité, ont vu le jour, dans le monde, un grand nombre de courants d’idées concernant le destin de l’homme, qui avaient pourtant toutes leurs limites historiques. Or, les Idées du Juché ont apporté une solution originale et scientifique à la question du sort de l’homme.

① Quelle est l’essence de l’homme?

Autrefois, on considérait son destin comme fatal. Exploité et opprimé par la classe dominante, on pensait que c’était justement la vie de l’homme car on ne se connaissait pas soi-même. La question de savoir comment expliquer l’essence de l’homme a soulevé, au long de l’histoire, de vives controverses entre le progrès et la réaction dans le domaine de la philosophie. Les Idées du Juché ont établi pour la 1ère fois dans l’histoire que l’homme est un être social doué de sens de la liberté, de créativité et de conscience.

Le sens de la liberté est l’attribut de l’homme, être social, qui cherche à vivre et à évoluer, en toute indépendance, en maître du monde et de son destin.

La créativité est l’attribut de l’homme, être social, qui modifie le monde et modèle son destin consciemment et dans un but déterminé.

La conscience est l’attribut de l’homme vivant en société; elle détermine toutes les activités que l’homme mène pour connaître et modifier le monde de même que pour se connaître et se modifier lui-même.

La structure corporelle et les caractéristiques biologiques de l’homme de nos jours ne diffère pas de ceux d’il y a 5.000 ans, mais il y a une grande différence au niveau de son sens de la liberté, de sa créativité et de sa conscience. Une telle différence est le résultat des efforts communs que l’Humanité a soutenus, depuis longtemps, en formant la société.

② Qu’est-ce que l’homme peut faire?

Jadis, le niveau du sens de la liberté de l’homme ainsi que de sa créativité et de sa conscience ayant été bas, celui-ci recherchait le moyen de façonner son destin en comptant sur l’environnement naturel. A l’époque, on considérait que la grandeur du territoire, les conditions climatiques et le sol décident de la conscience de l’homme et du régime social. Pourtant, l’homme n’est pas un être qui vit en interagissant avec l’environnement. Il conçoit les conditions et l’environnement nécessaires et les réalise grâce à son action et à son rôle prépondérants, modelant ainsi son destin.

Les masses populaires qui avaient dû soumettre leur destin à l’environnement depuis longtemps se sont imposées, de nos jours, comme maîtres de l’histoire et de leur destin. Cette réalité montre que l’homme est le maître de son destin et du monde, qui fait en sorte que le milieu social lui serve plus favorablement et plus efficacement, au lieu de s’y soumettre fatalement.

Les Idées du Juché ont établi, pour la 1ère fois dans l’histoire, que l’homme est maître de son destin et qu’il a en soi la force de le façonner. Ce principe résume ce que l’homme doit faire pour son destin.

Le Généralissime KIM IL SUNG (1912-1994) est le créateur (1930) des Idées du Juché et le Généralissime KIM JONG IL (1942-2011), en synthétisant celles-ci, a publié (1982) l’immortelle ouvrage classique «Des Idées du Juché» (88 pages de 313KB -PDF- sur le site www.korean-books.com.kp/fr ) qui se compose de 5 chapitres:

1. L’élaboration des Idées du Juché

2. Les principes philosophiques des Idées du Juché

3. Les principes socio-historiques des Idées du Juché

4. Les principes directeurs des Idées du Juché

5. La portée historique des Idées du Juché

Pour rappel, les Idées du Juché;

sont l’idéologie directrice éternelle de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948 par KIM IL SUNG, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène de plus de 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire et future Puissance économique prometteuse, NDLR) sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC

dont le monument (la Tour du Juché, officiellement Monument aux Idées du Juché) de 170m le plus haut du monde en granite est érigé en 1982 à Pyongyang (Capitale de la RPDC), sur les berges du Fleuve Taedong-gang

dont l’étude peut se faire à travers l’Association des Hommes de Sciences Sociales de Corée (à Pyongyang) www.kass.org.kp ou l’Institut International des Idées du Juché (à Tokyo) www.juche.v.wol.ne.jp .




Retraites : Des violences policières arbitraires constatées à Rennes

Des violences policières arbitraires et disproportionnées ont été constatées, ce samedi à Rennes, en marge des manifestations contre la réforme des retraites, selon l’Agence Anadolu.

Dans les images partagées sur les réseaux sociaux, on peut notamment apercevoir des membres de la police battre un jeune homme à coups de matraques et de poing avant de le pousser au sol, puis de lui écraser les jambes avec les bottes, et de l’interpeller.

Toujours à Rennes, le même groupe de policiers est filmé alors qu’il traîne au sol un homme ayant visiblement perdu conscience, avant de lui lier les poignets.

Dans d’autres images diffusées sur les réseaux sociaux, des CRS sont filmés en train de traîner une manifestante au sol, sur plusieurs mètres, avant de l’interpeller. On peut également apercevoir des CRS mener des tirs directs de LBD sur les manifestants, au lieu de tirs en cloche, qui sont, eux, réglementaires.

Toujours à Rennes, dans une autre publication sur les réseaux sociaux, on aperçoit des CRS traîner au sol un vieil homme, qui a visiblement le visage en sang, ainsi que des CRS qui traînent au sol une jeune femme en la tenant par les cheveux.

Aucune de ces images n’a, pour l’heure, été relayée par les médias principaux (télévision, journaux) de l’Hexagone.

Pour rappel, des véhicules ont été incendiés, ce samedi, à Rennes, dans une manifestation sauvage contre la réforme des retraites, qui a été approuvée hier par le Conseil constitutionnel et promulguée dans la nuit par le Président français, Emmanuel Macron.

Dans les images partagées sur les réseaux sociaux, on peut observer les pompiers maîtriser rapidement l’incendie. BFMTV rapporte que d’autres véhicules ont également vu leurs vitres brisées et des commerces et banques ont été dégradés, alors que des petits groupes de casseurs, très organisés, ont poussé les forces de l’ordre à disperser les manifestants dans des rues voisines.

Par voie de communiqué partagé sur son compte Twitter, la préfecture d’Ille-et-Vilaine à “invité les participants à quitter spontanément le regroupement” à Rennes, rappelant qu’il s’agit d’un “rassemblement non autorisé”.

“Les forces de l’ordre vont devoir intervenir pour disperser”, a également précisé la préfecture.

La Ligue des droits de l’Homme (LDH), ainsi que nombreuses autres associations de défense des droits et libertés, ont dénoncé, au cours des semaines passées, les violences arbitraires et disproportionnées perpétrées par des membres des forces de l’ordre, lors des manifestations contre la réforme des retraites ainsi que les méga-bassines à Sainte-Soline (Deux-Sèvres).

La stratégie de maintien de l’ordre du ministère de l’Intérieur, dans le cadre de ces manifestations, avait également fait l’objet de vives critiques de la part de l’opposition et du Syndicat de la Magistrature.

azertag.az




La Marocaine Amina Selmane, représentante permanente de l’UMA auprès de l’UA, présente ses lettres de créance à Moussa Faki Mahamat

Amina Salmane, représentante permanente de l’Union du Maghreb arabe auprès de l’Union africaine, présente ses lettres de créances à Moussa Faki Mahamat, président de la commission de l’UA.

Le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a reçu jeudi la Marocaine Amina Selmane, qui lui présenté ses lettres de créance en tant que représentante permanente de l’Union du Maghreb arabe auprès de l’Union africaine.

La Marocaine Amina Selmane a présenté, ce jeudi 13 avril 2023, ses lettres de créance en tant que représentante permanente de l’Union du Maghreb arabe (UMA) auprès de l’Union africaine (UA) à Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’UA.

La nomination de cette ex-consule du Maroc à Vérone, en Italie, et directrice des affaires économiques de l’UMA, intervient «dans un contexte où les Communautés Economiques Régionales (CER) sont considérés par l’Union Africaine comme ses piliers essentiels dans la mise en œuvre de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, notamment en matière de développement économique et d’intégration», souligne un communiqué du secrétariat général de l’UMA.

fr.le360.ma