Inauguration du laboratoire P2/P3 Rodolphe Mérieux à Goma: Roger Kamba assure le développement du réseau des laboratoires sur l’étendue du territoire national

Le Dr Roger Kamba, ministre national de la Santé publique, Hygiène et Prévention, a inauguré un nouveau laboratoire régional de santé publique de l’Institut National de Recherche Biomédicale (INRB), jeudi à Goma, au Nord-Kivu, dans l’Est de la RDC. Ce laboratoire vient répondre au besoin essentiel de la population qui est le diagnostic avec un bon résultat, a dit le ministre, avant d’assurer de la disponibilité du gouvernement à soutenir le développement du réseau des laboratoires en cours d’installation sur toute l’étendue du territoire national.

« Au nom du Chef de l’Etat, je suis à Goma pour démontrer l’implication du gouvernement central au niveau de ce besoin essentiel de la population qu’est le diagnostic avec un bon résultat de laboratoire », a déclaré le ministre de la Santé publique.

Le Dr Kamba a assuré de la disponibilité du gouvernement à soutenir le développement du réseau des laboratoires en cours d’installation sur toute l’étendue du territoire national par l’Institut National des Recherches Biomédicales (INRB) sous la houlette du Pr Jean-Jacques Muyembe.

Le laboratoire P2/P3 Rodolphe Mérieux de l’INRB/Goma est un projet né de la collaboration entre l’INRB et la Fondation Mérieux. Il a été initié lors de la 10ème épidémie d’Ebola en RDC qui avait sévi dans l’Est du pays entre 2018 et 2020. Pendant cette période, la Fondation Mérieux avait mis gracieusement à la disposition des chercheurs de l’INRB ses laboratoires, constitués alors d’un laboratoire conteneur P2/P3 et d’une chambre froide.

L’INRB a récemment été renforcé avec un autre laboratoire de bactériologie pour la surveillance du choléra et des méningites ainsi que des équipements pour la biologie clinique.

A travers ce laboratoire, l’USAID, la Fondation Mérieux et la Mérieux Foundation USA ont collaboré avec l’INRB pour donner à la République démocratique du Congo des capacités de diagnostic décentralisées pour le contrôle et la surveillance des maladies infectieuses comportant un risque épidémique.

Profitant de sa présence à Goma, le ministre de la Santé publique a aussi rendu une visite de courtoise le même jeudi au gouverneur de la province du Nord-Kivu, le lieutenant-général Constant Ndima Kongba. Les deux hôtes ont abordé le sujet relatif à la Couverture Santé Universelle. Le ministre Roger Kamba a assuré de la détermination du gouvernement à mettre en place rapidement ce programme qui renferme de nombreux avantages dont la prise en charge « sans ruine financière » des personnes nécessiteuses.

« On va commencer avec nos mamans qui accouchent dans des conditions difficiles comme celles qui sont dans les camps avec des bébés qui meurent », a affirmé le ministre de la Santé pour qui la finalité est de sortir la RDC de la liste des pays ayant le taux de mortalité infantile le plus élevé d’Afrique.

Mamie Ngondo




Kinshasa : Mme Véronique Kashala lance la 2e édition Miss indépendance Rdc 2023

C’est dans le souci de promouvoir l’autonomie et l’indépendance de la femme congolaise, que Mme véronique Kashala, présidente de la Fondation « Umue » a lancé ce dimanche à Kinshasa, la 2ème édition Miss indépendance Rdc 2023. C’était dans un restaurant de la commune de la Gombe, en présence de M. Germain Mpundu, membre du jury ; Carine Rusoke, gagnante de la première édition et de Mme Rachel Kadimashi, membre du jury.

Ce concours pour la sélection de la prochaine reine de beauté qui va remplacer l’Iturienne Carine Rusoke, qui a commencé aujourd’hui, concerne toutes les jeunes filles de nationalité congolaise des 26 provinces du pays. Elles doivent avoir l’âge qui varie entre 18 à 27 ans, mesurer 1m 65, peser près de 55 kilos, être de bonne moralité, de bonne vie et mœurs. En plus, toute candidature doit faire une vidéo d’une minute et l’envoyer via le numéro +243 900 200 202. Pour ce faire, elle doit s’habiller T-shirt blanc et pantalon noir, ce qui va faciliter le casting visuel.

Lors d’une série de questions-réponses, Mme Véronique Kashala a insisté sur le fait que l’objectif de ce concours qui est à sa 2ème édition n’a pas du tout changé. Il s’agit de l’autonomisation et de l’indépendance de la femme congolaise. Même si elle ne pense pas avoir rencontré un tel objectif en une année ! Elle a été relayée par Carine Rusoke qui en a donné les conditions que devra remplir la prochaine Miss.

Quelle particularité pour cette édition et quelles leçons tirer ? Mme Véronique Kashala répond que 2023 est une année très chaude, avec en toile de fond le processus électoral qui va conduire à renouveler le bail du président de la République, des députés et sénateurs. Sans sortir des objectifs de l’Asbl « Umue », a indiqué que nous sensibilisons les femmes à s’enrôler, pour celles qui ne l’ont pas encore fait. Elle a quand même lâché qu’il y aura des surprises. Nous aurons les télé-réalités… », dit-elle.

Elle a avoué avoir retenu beaucoup de leçons et dit avoir passé beaucoup de moments de souvenir. « Nous avons encore beaucoup de travail à faire », dit-elle, avant d’avoir des mots justes pour encourager la femme à ne pas abandonner et à être autonome.

Mais, quelles sont les valeurs morales à incarner par les candidates? A cette question, Mme Véronique Kashala explique qu’on est en train de parler de la femme, la maman, la sœur, … qui a beaucoup de rôles à jouer dans la société. « Nous mettons un accent particulier sur l’autonomisation, l’implication de la femme au développement de la Rdc », dit-elle, avant de reconnaître que toutes les filles de l’édition antérieure étaient belles, mais Carine Rusoke avait présenté un bon projet. Et de témoigner que lors de leur déplacement en Ituri, ils ont eu l’occasion d’admirer et d’apprécier ce que Carine a fait. Elle encadre les filles mères, les femmes, etc. on a vu ce qu’elle fait. Nous demandons à chacun de contribuer au développement de la Rdc. Chaque personne doit contribuer et c’est ça notre objectif.

Elle en a profité pour préciser qu’une fille non résidente dans telle province, peut toujours présenter sa candidature là où elle se trouve. Et s’il est exigé des vidéos, c’est pour parer à plusieurs difficiltés, notamment le transport, etc.

Les membres du jury témoignent

Premier à témoigner, c’est M. Germain Mpundu, membre du Gury. Il a commencé par dire que Maman Véronique Kashala est dans un parcours de succès. Elle s’est lancée dans le développement de la jeune fille congolaise. C’est un privilège d’être choisi. « Nous avons des critères et à chaque passage des filles, nous cochons et il y a un pourcentage qui est déduit. Sur 26, nous procédons par élimination », explique-t-il, avant de préciser qu’au-delà de la beauté, nous visons le savoir-vivre et le savoir-faire.

Voir une fille encadrer d’autres qui tombent précisément grosses, cela nous a poussés à lui donner la couronne. Le jury, c’est le lieu où nous sublimons la moralité. Et ce, parce que « Muasi Tala tala ya Congo », c’est le miroir de tout le Congo. « Nous voulons des filles qui représentent parfaitement notre pays », soutien-t-il.

Pour sa part, Mme Rachel Kadimashi a aussi donné son expérience, en reconnaissant que c’était une expérience formidable. « Nous ne nous sommes pas seulement basés sur la beauté, mais la tête. La Miss 2023 s’est démarquée parce que son projet était magnifique. Ce n’était pas facile de sélectionner un meilleur projet », note-t-elle.

C’est dans ce contexte que Carine Rusoke, elle qui va abandonner la couronne dans deux ou trois mois, de souhaiter à ce que celle qui va la remplacer fasse mieux qu’elle. Je suis un peu jalouse, parce que c’est elle qui sera désormais sur les objectifs des caméras et appareils de photo. Mais elle a insisté pour dire sa remplaçante devrai mieux faire.

Pas question de se sous-estimer

Comment faire pour les filles qui sont dans des milieux reculés ? Quid de filles-mères. Face à ces préoccupations, Mme Véronique Kashala a rappelé que l’Asbl Umue a pour objectif de sortir celles qui sont dans le noir vers la lumière. « C’est pour cela que nous demandons aux filles d’envoyer les vidéos. Il y a des filles qui ont utilisé les téléphones de leurs frères pour nous envoyer les vidéos, tout en mettant leurs numéros de contact. On se bat pour voir celles qui sont là-bas », calme-t-elle.

Pourquoi se sous-estimer ?, s’est-t-elle demandé, avant d’insister : que personne ne vous dise que vous êtes incapable de faire quelque chose. « Nous avons demandé les cheveux naturels, parce que dans la capitale, une fille peut s’acheter les mèches. Mais celles qui sont au village n’en ont pas. Personne ne peut se sous-estimer », martèle-t-elle, avant de dire qu’elle est la parfaite expression du courage.

Elle n’a pas manqué de dire que la jeune fille mère doit être fière d’être mère. Malheureusement dans les critères, précise-t-elle, nous avons trouvé bon qu’il n’y ait pas de filles mères. « Nous voulons avoir des « Moseka ». Mais elles peuvent toujours se joindre à nous, car il y a beaucoup de choses à faire », informe-t-elle.

Jean-Marie Nkambua




Kagame, une provocation de trop

Depuis que la Rdc a commencé la déconstruction des thèses mensongères de Kagame reposant sur les FDRL pour justifier l’agression du grand Congo, le Rwanda se voit obligé d’abandonner un sujet qui ne trouve plus preneur et dont le discours ne passe plus. Contre toute attente, il se permet de réclamer certains territoires congolais. Dans son ivresse et ses velléités expansionnistes, Kagame voudrait dire à la communauté internationale, qu’au-delà de la feuille de route de Luanda (Angola), il n’est pas prêt à abandonner les territoires conquis qu’il juge appartenir à son pays. Aux autorités congolaises de bien analyser cette énième provocation, et de lui réserver une réponse appropriée.

Le discours du président de la République, Félix Tshisekedi devant le président de la Confédération Helvétique, aura été cette goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Félix Tshisekedi est convaincu que son pays est victime de l’agression de la part de son minuscule voisin. A l’en croire, le M23 a été manipulé par le Rwanda dans le but de déstabiliser la région pour des intérêts qui n’ont rien à avoir avec l’insécurité du Rwanda. Parce que ce prétexte du soutien de la Rdc aux FDLR est fallacieux. « Les FDLR est une force résiduelle aujourd’hui qui est un danger que pour la Rdc, parce qu’ils sont devenus des coupeurs de routes qui n’ont plus de revendications politiques contre le Rwanda. C’est plutôt pour des intérêts autres que le Rwanda nous a fait cette guerre », martèle-t-il.

A travers cette prise de parole, Tshisekedi à lui seul a vidé tout l’argumentaire de Kagame, qu’il se voit obligé de chercher autre chose pour toujours se rendre crédible au niveau de la communauté internationale. Depuis des années, le Rwanda vit des mensonges et de la victimisation. C’est ce contexte de mensonge qui lui a attiré beaucoup de faveurs au niveau de la communauté internationale. Maintenant que la Rdc commence à déconstruire ces thèses surannées, le Rwanda est obligé de chercher une autre recette, pour justifier sa présence en Rdc.

Si cette sortie hasardeuse de Kagame doit interpeller les autorités congolaises, celles-ci doivent désormais comprendre le langage de Kagame. A l’en croire, ses militaires ne vont pas quitter l’Est du pays via les négociations. Ce n’est que par la guerre ou la force que la Rdc délogera les rwandais et se faire ainsi respecter.

A partir de ce moment, il est facile de comprendre les velléités expansionnistes de Kagame au moment où il est annoncé un retrait de ses troupes, puis leur cantonnement. Et il se dit, si et seulement si ses troupes quittaient la Rdc, comment vont-elles encore y retourner, maintenant que la Rdc s’y prépare en conséquence ? Il veut tout simplement envoyer un message à la Communauté des pays de l’Afrique de l’Est en leur disant qu’il n’était pas prêt à retirer ses troupes de la Rdc au risque de perdre le contrôle qu’il exerce sur certains territoires.

Et pourtant, le professeur Tshibangu Kalala n’a cessé de dire que le Rwanda n’avait aucune revendication de ce genre et s’il ose porter un tel litige au niveau de la justice internationale, il sera battu à plate couture, faute d’arguments. Voilà qui laisse certaines personnes dire que le Rwanda sera toujours un caillou dans le soulier de la Rdc, aussi longtemps qu’il n’a pas été chassé et battu militairement.

C’est dans ce contexte que le porte-parole du Gouvernement, le ministre Patrick Muyaya a indiqué via son compte tweeter que Kagame transgresse l’histoire. « Ses propos constituent une nouvelle provocation. Ce qu’il ne dit pas, ce qu’il est la cause de l’insécurité à l’Est. Créateur du RCD, CNDP, M23. Ce qu’il ne doit jamais oublier, ce que nous défendrons chaque centimètre de notre territoire », insiste-t-il.

Jean-Marie Nkambua




Nord et Sud-Kivu : Patrick Muyaya accompagne le président de la Confédération helvétique  

M. Patrick Muyaya, porte-parole du gouvernement congolais a séjourné à Goma et à Bukavu. Il accompagnait ainsi le Président suisse qui, après Kinshasa, a tenu à apporter son soutien aux victimes des atrocités de la guerre causée par le M23 et le RDF dans la partie Est de la RDC.

Arrivée le vendredi 14 avril 2023 à Goma dans le Nord-Kivu, la délégation conduite par le ministre Muyaya a d’abord visité le camp des déplacés interne de Bushagara. Ici, le Président suisse a échangé avec quelques déplacés, question de leur apporter le soutien du peuple suisse.

Juste après, la délégation s’est rendue à Bukavu au Sud-Kivu où le Président suisse a échangé avec le gouverneur du Sud-Kivu, Théo Ngwabidje Kasi.

Ensuite, Alain Berset, Président de la confédération Suisse a visité ce samedi l’hôpital de Panzi du Dr Denis Mukwege. Cette visite témoigne de l’engagement de la Suisse pour la paix et la justice en République Démocratique du Congo et la restauration de la dignité des congolaises et congolais.

Après une visite guidée dans les différents services qu’organise cet hôpital, Alain Berset a fait une brève adresse au personnel soignant et aux femmes survivantes des violences sexuelles prises en charge par l’hôpital du Prix Nobel de la Paix 2018, Denis Mukwege.

Le Président Suisse a salué le courage et la bravoure de ces femmes, qui, au-delà des traumatismes qu’elles subissent, ne s’abstiennent pas à dénoncer les abus dont elles sont victimes.

” L’impression est forte de vous voir toutes là. C’est vraiment un grand plaisir et un bonheur de vous rencontrer. Nous connaissons et soutenons le travail du Dr Mukwege. Nous connaissons son travail extrêmement important pour les violences dont vous avez subies. Vous êtes les personnes les plus importantes. Le plus important ce n’est pas seulement d’avoir l’hôpital, mais le plus important c’est que vous ayez le courage de parler de ce qui vous est arrivé. Je crois que le message que vous avez passé va à tous, à la Suisse, au gouvernement central et provincial. Nous avons des responsabilités à prendre pour améliorer la situation et faire en sorte que tout ce qui vous est arrivé devienne impossible”, a soutenu Alain Berset.

L’hôpital de Panzi n’est pas le seul site visité par la délégation. Quelques infrastructures financées par la Suisse étaient également visitées, question de palper du doigt le travail fait en RDC grâce au financement de son pays.

Surplace à Bukavu, Alain Berset, Président de la confédération Suisse a tenu un point de presse en présence du ministre de la Communication et médias Patrick Muyaya, celui des Droits humains Albert Puela et du Prix Nobel de la paix Denis Mukwege.

Pour rappel, Alain Berset, Président de la confédération Suisse séjourne en RDC depuis le mercredi 12 avril 2023. Son séjour en RDC s’inscrit dans le cadre d’une visite humanitaire qui l’a conduit dans l’Est de la RDC notamment à Goma (Nord-Kivu) et à Bukavu (Sud Kivu). À son arrivée à l’aéroport international de Ndjili, le Président de la confédération helvétique a été accueilli, au nom du Chef de l’État, par le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge.




Judo: Première journée chaude du challenge Me Kiwa qu’organise la Conaju au Studio Maman Angebi

Démarrage effectif samedi 15 avril 2023 du Challenge Me Kiwa qu’organise la Coordination Nationale des Activités du Judo en RDC au studio Mama Angebi de la RTNC.

Un total de 238 judokas dames et messieurs prennent part à cette compétition. Cette journée inaugurale était chaude. Les athlètes de catégories ci-après -60 kg, -66 kg et -73 kg chez les messieurs. Et chez les dames, -48 kg, -52 kg et -57 kg. La compétition va se poursuivre ce dimanche 16 avril 2023 sur le même lieu.

Parmi les objectifs poursuivis par la CONAJU en organisant ce Challenge, c’est entre autres de permettre aux judokas congolais d’être compétitifs, mettre à jour l’équipe nationale et celle qui défendra les couleurs de la RDC aux 9èmes jeux de la Francophonie. Par consequent, ceux des athlètes qui vont se distinguer, ils rejoindront les rangs de l’équipe nationale.

Antoine Bolia




Volley-ball: Bythiam bat Inter 3-2 à l’ouverture de la saison 2022-2023 de l’Euvokin 

Conformément à ce que la réunion extraordinaire du vendredi 7 avril dernier avait arrêté, le comité exécutif de l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa, maintient la date de ce samedi 15 avril 2023 pour le démarrage du championnat.

Ci-dessous le calendrier des rencontres :

1ère journée Dames et Messieurs

Samedi 15/04/2023

1.Bythiam vs Inter : 3-2(23-25, 25-9, 23-25, 25-9, 17-15)

2. Force Terrestre vs Free Boys : 3-1(25-22, 24-26, 17-25, 25-23)

3. La Gracia vs New La Loi : 3-0(25-12, 25-16, 25-7)

Match d’ouverture

Dimanche 16/04/2023

09h00 : Espoir vs Olympic :

10h00 : Police vs Madaka :

11h00 : La Loi vs Ouragan :

12h00 : Canon vs DCMP :

Antoine Bolia




Badminton: Joué du 13 au 15 avril 2023 au Lycée Ntinu Wene, Les champions de l’Open de la Ligue de Badminton de Kinshasa sont connus 

Après trois journées de compétition (Jeudi 13, Vendredi 14 et samedi 15 avril 2023) au Lycée Ntinu Wene sur 13è Rue de résidentiel commune de Limete, l’Open de la Ligue de Badminton de Kinshasa qu’a organisé la ligue de badminton de Kinshasa que préside M. Jules Mindo Kabengele, a livré tous ses secrets.

En effet, les champions de différentes catégories sont désormais connus à l’issue de différentes finales jouées à la troisième et dernière journée samedi 15/04/2023.

Les finales ont lieu ce samedi 15 avril 2023

Double Mixte

1.Kande Elohim + Kaboku M.F vs Balu Robert + Engundu : 21-17, 21-17

Double messieurs

2.Mbambu Dieu +Balu Rob vs Lavi Grâce + Wayi Rod : 21-10, 21-12

Simple Dame

3.Kaboku M.F vs Engundu Cinthia : 16-21, 21-17, 15-21

Simple Messieurs

4.Mbambu Dieu vs Landes Elohim : 21-18, 21-10.

Ci-après le rappel du bilan de la 2è journée :

1. Lavi vs Kasongo : 17-21, 17-21

2. Mbamba vs Kasongo : 21-8, 21-14

¼ de finale

1. Mbambu vs Wayi : 21-11, 21-17

2. En Double messieurs

Laba + Kabengele vs Tshitenge + Lukusa : 14-21, 10-21

3. Tshitenge + Lukusa vs Yosashi + Kamanga : 21-8, 21-11

4. Mbambu +Balu vs Elohim +Manuana : 21-8, 21-13

5. Kalala + Rifus vs Bosenge +Els : 21-7, 21-3

½ finale Double messieurs

1. Mbambu +Balu vs Kalala +Rufis : 21-10, 21-17

2. Tshitenge +Lukusa vs Lavi +Wayi : 21-13, 18-21, 15-21

Antoine Bolia




En instaurant une diplomatie sportive agissante: Kabulo Muana Kabulo rencontre Denis Tshilumba, consul de la RDC à Montenegro et finaliser un projet de protocole d’accord

Avec l’avénement de François Claude Kabulo Muana Kabulo comme ministre des sports et Loisirs, un vent nouveau souffle pour le sport congolais.

En effet, bien rodé en matière des sports, le ministre Kabulo a opté et privilégie la diplomatie sportive. C’est notamment avec l’Egypte d’où il revient d’ailleurs, le Maroc, le Cuba qui est une grande nation sportive reconnue sur le plan international et enfin, le Montenegro, issue de l’ancienne fédération de Yougoslavie.

En ce qui concerne le Montenegro, pour ceux qui l’ignorent, faisait partie de la Yougoslavie, pays cher au très regretté Blagoje Vidinic, entraineur de l’équipe nationale de football de la RDC, ex Zaïre qu’il avait conduit au sacre de la CAN Egypte 1974 et au mondial Allemagne 1974. La Yougoslavie n’existe plus dans la configuration ancienne. Elle a éclaté en plusieurs pays : Serbie, Croatie, Montenegro, Slovénie, Bosnie Hersegovine, Macedoine et Kosovo.

Denis Tshilumba, un compatriote congolais très dynamique et dévoué à la cause nationale, est Consul de la RDC à Montenegro. Il séjourne présentement à Kinshasa où il va certainement rencontrer mercredi prochain, François Claude Kabulo Muana Kabulo, ministre des sports et Loisirs. C’est pour finaliser un projet de protocole d’accord pour des matchs amicaux et formation des coachs pour l’équipe nationale de football et celle de basket-ball Durant une période de 10 jours. Et noter bien avec prise en charge totale de Montenegro.

Pour la petite histoire, la Febaco (basket-ball) et la Fecofa (football) avaient déjà agrée (donné un avis favorable) ce projet. Cependant, suite à la guerre Ukrainienne, ce projet a pris du retard. En bon patriote et soucieux du bien-être du sport congolais, Denis Tshilumba est revenu à Kinshasa cette fois-ci pour déterrer ce projet, rencontrer le ministre Kabulo avec qui il compte le finaliser.

Antoine Bolia




LA DELIVRANCE DES FAMILLES AVEC LE PASTEUR François MUTOMBO VH, CULTE DU DIMANCHE 16 AVRIL 2023




Projet des batteries électriques: Julien Paluku et Nicolas Kazadi sollicitent l’accompagnement de l’Agence américaine de financement du développement international

Après avoir été reçus au Département d’Etat Américain, le ministre congolais de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya et son collègue des Finances, Nicolas Kazadi ont rencontré l’équipe de l’Agence Américaine de Financement du Développement International (DFC) coiffée par son Directeur Exécutif, Scott Nathan.

Cette agence financière américaine a au cours de cette rencontre stratégique annoncé qu’elle va appuyer l’accélération de la matérialisation du projet panafricain de l’installation d’une première usine de fabrication des précurseurs des batteries électriques dans la province du Haut-Katanga.

Un motif de satisfaction pour la délégation du Gouvernement congolais qui a invité la DFC d’appuyer également la mise en place des Zones Économiques Spéciales dans les 6 espaces industriels que compte le pays.

« Nous avons également rencontré la DFC, qui est ce programme qui accompagne les vastes projets à travers le monde. En présentant le projet des batteries électriques et le plan directeur d’industrialisation, nous avons sollicité le DFC pour que nous soyons accompagnés comme c’est devenu une actualité mondiale. Au-delà de ces questions dans le cheminement de cette chaine de valeur, nous avons partagé l’expérience de la Rdc dans la création de cette école qui est ouverte à l’Université de Lubumbashi, à savoir : le Centre africain d’excellence qui va devoir former les Congolais, transférer la technologie, de manière à obtenir qu’une fois que le projet aura atteint sa vitesse de croisière, que nous nous assurions que les Congolais et les Africains vont tenir en mains ce projet », explique Julien Paluku.

Et d’ajouter que nous avons mis en place une équipe qui va assurer le suivi de toutes les conversations que nous avons eus pour qu’il y ait un lien entre les Etats-Unis et la Rdc et qu’une feuille de route soit établie de manière à savoir au jour J+45, qu’est-ce qui sera fait pour que les Etats-Unis et nous nous suivions au pas à pas la création de la chaine de valeur des batteries électriques, projet phare du président de la République, Félix Tshisekedi.

Signalons que Denis Lecouturier, Kakule Vuko et Jean-Marie Kanda, respectivement Directeur général, Directeur général adjoint et Administrateur au Conseil Congolais de la Batterie (CCB) ont pris part à cette réunion.