Après la remise et reprise avec Didier Mazenga: Christophe Lutundula nouveau président du Comité de pilotage des IXes Jeux de la Francophonie  

La salle de réunion du ministère des affaires étrangères a servi de cadre ce vendredi 31 mars à la cérémonie de remise et reprise entre le Ministre de l’intégration régionale sortant et le Ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération Internationale et de la Francophonie entrant.

Avec la publication de la nouvelle équipe gouvernementale et les réaménagements faits, la francophonie est désormais rattachée au Ministère des Affaires étrangères, ce qui justifie cette cérémonie entre Didier Mazenga jadis Ministre de l’intégration régionale et francophonie avec Christophe Lutundula Apala le désormais Ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération Internationale et de la Francophonie.

Le Ministre Mazenga a félicité son successeur à la francophonie, tout en lui souhaitant un fructueux mandat. Évoquant les Jeux de la Francophonie, il a parlé de l’état actuel des préparatifs en attirant l’attention de son successeur sur les défis actuels notamment les travaux de construction des infrastructures.

« En tant que Ministre en charge de la francophonie, vous êtes désormais le président du Comité de Pilotage qui regroupe tous les ministères sectoriels.

Les préparatifs évoluent normalement et nous avons déjà enregistré plus de 5000 participants. Les défis sont énormes avec notamment les infrastructures » a souligné le Ministre Mazenga. Il a aussi rappelé la nécessité de tout mettre en œuvre pour réussir ces Jeux, pour matérialiser le vœu du Président de la République et redorer l’image du pays.

Pour sa part, M. Christophe Lutundula a promis de tout mettre en œuvre pour réussir ce pari tout en appelant les parties impliquées à prendre conscience de ce défi en tant que plus grand pays francophone.

Le Directeur national des IXes Jeux de la Francophonie M. Isidore Kwandja a pris part à cette cérémonie accompagné de ses adjoints.




Chérubin Okende : « L’annonce de la candidature de Katumbi crée des cauchemars » 

Proposition de la dite Tshani, le parti Ensemble pour la République de Moïse Katumbi qui se dit visé par cette initiative a donné de la voix. Son porte-parole, le ministre honoraire Chérubin Okende, s’adressant à la jeunesse du parti lors d’un atelier de formation, a affirmé que cette proposition de loi, au-delà d’être un plagiat de la loi ivoirienne sur l’ivoirité est une loi raciste et discriminatoire qui peut diviser le pays. Si l’Assemblée nationale persiste et adopte cette proposition, le peuple devra se mobiliser, conformément à l’article 64 de la constitution, pour barrer la route à cette forfaiture, a dit Chérubin Okende

 

« Cette initiative est discriminatoire, ségrégationniste et raciste. Je me rappelle en son temps lorsque Léon Kengo wa Dondo devait s’exprimer …, est-ce que le péché devra être le métis de couleur blanche ? Il y a aussi les métis de couleur noire ! », fait observer Chérubin Okende.

Et d’insister que cette loi viole les dispositions de la constitution, de même que certaines conventions internationales. Pourquoi on cherche à écarter Moïse Katumbi ? Seront-elles encore des élections inclusives ? La vérité est qu’ils ont encore peur du leadership de Moise Katumbi. Ils ont annoncé que le pouvoir actuel avait un bilan, une vision, la capacité de convaincre le peuple, …

« Au-delà de la planification de la fraude électorale, vous voyez comment le processus est chaotique ! L’annonce de la candidature de Katumbi crée des cauchemars. Vous devez dire au peuple que c’est à cause de ce cauchemar qu’ils multiplient les raisons », dit-il.

Chérubin Okende n’a pas manqué d’évoquer l’article 219 de la constitution qui interdit la révision constitutionnelle pendant le temps de siège. La réception de la proposition de loi pendant le temps de siège montre les enjeux. Pendant que les mêmes conditions qui ont prévalu à l’institution de l’état de siège, on risque de faire semblant et dire qu’on a levé l’état de siège. La tentative est de modifier la constitution pour adapter les dispositions de la constitution à leur forfaiture. « Les Congolais doivent ouvrir l’œil », martèle Chérubin Okende.




J’assume ! (Tribune de l’Ambassadeur André-Alain Atundu Liongo, président national de CDR)

Dans une de mes dernières tribunes, j’affirmais qu’organiser les élections à n’importe quel prix dans les circonstances actuelles reviendrait à avaliser la balkanisation en cours au Kivu et en progression dans le reste du Pays.

En conséquence, l’intérêt supérieur de la Nation exige de suspendre le processus électoral pendant un certain temps en vue de permettre aux Autorités nationales de consacrer autant que possible les ressources financières de la République pour bouter les agresseurs en dehors du Pays et rétablir une paix durable par la force des Armes, gage de tout dialogue national crédible et constructif.

 

Il se trouve certainement des voix pour compter sur les élections pour rétablir la cohésion nationale face aux agresseurs.

Illusion dangereuse et fatale car seules les élections ne pourront aboutir à ce résultat que tout congolais espère.

 

Autant qui veut la paix prépare la guerre, autant qui veut rétablir l’intégrité territoriale menacée par les convoitises insatiables des Etats voisins et consorts doit compter d’abord sur la force dissuasive de sa propre armée renforcée éventuellement par l’appui des forces armées des Etats amis dans le cadre d’une coopération bilatérale.

Car, le propre de toute organisation comprenant deux Etats membres qui se battent est de favoriser plutôt le dialogue et l’issue diplomatique.

 

J’assume donc en toute connaissance de cause la proposition de privilégier la conquête de l’intégrité territoriale pour une paix crédible et durable avant les élections.

Si la Corée du Nord n’envahit pas la Corée du Sud c’est en raison de la capacité de riposte et de destruction des troupes Sud coréennes.

De même si la Chine n’envahit pas Taiwan, c’est probablement pour les mêmes raisons.

Si l’Algérie ne pousse pas jusqu’à attaquer le Maroc pour la cause du Sahara qu’elle soutient c’est aussi pour les mêmes raisons.

 

Donc, pour espérer établir une paix durable et crédible à nos frontières, la République Démocratique du Congo doit assumer toutes les conséquences de cette thèse. Sinon la paix conclue dans des conditions de faiblesse ne serait qu’une période précaire que les agresseurs pourraient briser à leur guise et à tout moment.

 

Il est donc temps que le Président TSHISEKEDI revête son uniforme de Commandant Suprême et que la toge cède la place aux armes pour ne pas devoir se présenter aux tables des négociations comme à Canossa.

 

J’assume !!

 

Fait à Kinshasa, le 31/03/2023

 

 

 

 

 

 

 

 




Dans une tribune intitulée : « J’assume » :  Atundu privilégie la conquête de l’intégrité territoriale pour une paix crédible et durable avant les élections

A plus de 70 ans, André-Alain Atundu qui vient d’adhérer à l’union sacrée, parce que la nation congolaise est menacée de disparition, n’est pas du genre à se dédire. Le PCA honoraire de la Snel SA a, dans une de ses dernières tribunes, affirmé qu’organiser les élections à n’importe quel prix dans les circonstances actuelles reviendrait à avaliser la balkanisation en cours au Kivu et en progression dans le reste du pays. Dans la présente tribune, la position du président national de CDR n’a pas évolué d’un centimètre. Il assume donc en toute connaissance de cause la proposition de privilégier la conquête de l’intégrité territoriale pour une paix crédible et durable avant les élections. A l’en croire, autant qui veut la paix prépare la guerre, autant qui veut rétablir l’intégrité territoriale menacée par les convoitises insatiables des Etats voisins et consorts doit compter d’abord sur la force dissuasive de sa propre armée renforcée éventuellement par l’appui des forces armées des Etats amis dans le cadre d’une coopération bilatérale.

J’assume !

Dans une de mes dernières tribunes, j’affirmais qu’organiser les élections à n’importe quel prix dans les circonstances actuelles reviendrait à avaliser la balkanisation en cours au Kivu et en progression dans le reste du Pays.

 

En conséquence, l’intérêt supérieur de la Nation exige de suspendre le processus électoral pendant un certain temps en vue de permettre aux Autorités nationales de consacrer autant que possible les ressources financières de la République pour bouter les agresseurs en dehors du Pays et rétablir une paix durable par la force des Armes, gage de tout dialogue national crédible et constructif.

 

Il se trouve certainement des voix pour compter sur les élections pour rétablir la cohésion nationale face aux agresseurs.

Illusion dangereuse et fatale car seules les élections ne pourront aboutir à ce résultat que tout congolais espère.

 

Autant qui veut la paix prépare la guerre, autant qui veut rétablir l’intégrité territoriale menacée par les convoitises insatiables des Etats voisins et consorts doit compter d’abord sur la force dissuasive de sa propre armée renforcée éventuellement par l’appui des forces armées des Etats amis dans le cadre d’une coopération bilatérale.

Car, le propre de toute organisation comprenant deux Etats membres qui se battent est de favoriser plutôt le dialogue et l’issue diplomatique.

 

J’assume donc en toute connaissance de cause la proposition de privilégier la conquête de l’intégrité territoriale pour une paix crédible et durable avant les élections.

Si la Corée du Nord n’envahit pas la Corée du Sud c’est en raison de la capacité de riposte et de destruction des troupes Sud coréennes.

De même si la Chine n’envahit pas Taiwan, c’est probablement pour les mêmes raisons.

Si l’Algérie ne pousse pas jusqu’à attaquer le Maroc pour la cause du Sahara qu’elle soutient c’est aussi pour les mêmes raisons.

 

Donc, pour espérer établir une paix durable et crédible à nos frontières, la République Démocratique du Congo doit assumer toutes les conséquences de cette thèse. Sinon la paix conclue dans des conditions de faiblesse ne serait qu’une période précaire que les agresseurs pourraient briser à leur guise et à tout moment.

 

Il est donc temps que le Président TSHISEKEDI revête son uniforme de Commandant Suprême et que la toge cède la place aux armes pour ne pas devoir se présenter aux tables des négociations comme à Canossa.

 

J’assume !!

 

         Fait à Kinshasa, le 31/03/2023

  Ambassadeur André-Alain ATUNDU LIONGO

              Président National de CDR

 

 

 




CAN 2023 : Voici les dates de la phase finale ! (Officiel)

A un peu moins d’un an du coup d’envoi de la compétition, la Confédération africaine de football (CAF) a dévoilé les dates de la CAN 2023, qui se disputera début 2024 en Côte d’Ivoire.

Quelques jours après le déroulement des 3e et 4e journées des éliminatoires et après plusieurs visites d’inspection au pays des Eléphants, la CAF a fait savoir que la 34e édition de la compétition phare en Afrique aura lieu du 13 janvier au 11 février 2024. L’instance a précisé que le stade Alassane Ouattara d’Ebimpe à Abidjan (60 000 places) accueillera le match d’ouverture.

Six stades utilisés

Le tournoi se déroulera également dans les stades de Bouaké (centre, 40 000 places), Yamoussoukro (centre, 20 000 places), San Pedro (sud-ouest, 20 000 places), Korhogo (nord, 20 000 places) et l’historique Stade Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan (33 000 places). Au total 24 sélections participeront à cette édition, dont 7 qualifiés sont déjà connus : la Côte d’Ivoire (pays-hôte), le Sénégal (tenant du titre), le Maroc, l’Algérie, l’Afrique du Sud, le Burkina Faso et la Tunisie.

Pour rappel, la CAN devait initialement se dérouler en juin/juillet 2023 mais la CAF a décidé en juillet 2022 de la reporter à début 2024 afin qu’elle ne coïncide pas avec la saison des pluies en Côte d’Ivoire. « Sur la base des premières estimations, la CAF prévoit des audiences télévisées et des fréquentations de stade record pour la CAN TotalEnergies 2023 », a indiqué l’instance panafricaine en se réjouissant d’un «intérêt sans précédent [qui] se dessine de la part des détenteurs de licences de droits médias mondiaux».




Elim Can 2023 : La Fédération Mauritanienne essaie de calmer le jeu!

Suite au match nul contre la RD Congo (1-1) mardi dans les éliminatoires de la CAN 2023, la Mauritanie a été prise pour cible.
En effet, de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer l’arbitrage du Tunisien Selmi Sadok, jugé défavorable aux Congolais, avec notamment l’expulsion controversée de Cédric Bakambu au retour des vestiaires alors que les Léopards auraient pu bénéficier d’un coup-franc dans la surface adverse. Au-delà des coups de gueule des joueurs de la RDC, le consultant de Canal+ Afrique, Guy Demel, est allé encore plus loin en sous-entendant jeudi que l’arbitre a peut-être été corrompu. « Quand je vois un joueur prendre un tacle devant l’arbitre de touche, et ce dernier qui regarde et attend que l’arbitre central siffle avant de lever son drapeau, je suis désolé, pour moi, il y’a suspicion. Pour moi, ce n’est pas qu’un manque de compétence », a dénoncé l’ancien international ivoirien.
La Mauritanie menace de saisir la justice
Ces « propos choquants et diffamatoires » et ces « insinuations à peine voilées, d’une extrême gravité » ont représenté la goutte de trop pour la Fédération mauritanienne de football (FFRIM) qui a riposté ce vendredi à travers un long communiqué qui défend son intégrité et s’en prend principalement à Canal+ Afrique. « Cet extrait (de Guy Demel, ndlr), largement relayé sur les réseaux sociaux, vient s’ajouter à d’autres allégations proférées de manière allusive au cours de l’émission et qui soutiendraient que la Mauritanie aurait pu exercer, à travers des ‘hauts placés’, une pression sur les arbitres de la partie. Avec ces mots, les consultants de l’émission ‘Les Grandes Bouches’ associent le nom de la Mauritanie à des actes d’une extrême gravité et mettent en cause l’intégrité de ses représentants, sans aucun élément de preuve », s’indigent les Mourabitounes.
« Ces insinuations, dénuées de tout fondement, portent atteinte à l’honneur et à la renommée de la Mauritanie, de manière générale, et de sa Fédération, en particulier, dont les missions intègrent, entre autres, la sauvegarde des valeurs du sport. Face à cette attaque à la fois grave, injustifiée et injuste des consultants de l’émission ‘Les Grandes Bouches’, la FFRIM se réserve le droit de porter l’affaire, dans les prochains jours, devant les juridictions compétentes » met en garde l’instance. « D’un autre côté, la FFRIM exprime ses profonds regrets et sa vive indignation face à la partialité des commentateurs de la chaîne Canal+ Sport Afrique, manifestée tout au long des deux rencontres face à la RD Congo, surtout, les propos insultants proférés à l’encontre des joueurs mauritaniens lors du match retour disputé le 28 mars à Nouakchott, les qualifiant de ‘malades’, alors qu’ils tentaient de séparer un joueur congolais de l’arbitre, une action loin d’être anodine dans le football. »
L’arbitrage du match aller pointé du doigt
Les Mauritaniens estiment par ailleurs que l’arbitrage n’avait pas non plus été irréprochable, dans l’autre sens, quatre jours plus tôt au match aller (défaite 3-1). « La FFRIM rappelle que, lors du match aller, disputé le 24 mars à Lubumbashi, de nombreuses décisions arbitrales, dont l’exclusion exagérée et abusive d’un joueur mauritanien, ont grandement affecté la performance des Mourabitounes. Sur cette action, qui, au préalable n’avait même pas été sanctionnée par une faute, l’arbitre a brandi le carton rouge, à la suite des pressions exercées par les joueurs, le staff et le public adverses. Des faits regrettables, mais qui n’ont jamais empêché la FFRIM de prôner le fair-play et le recul nécessaire, sans porter aucune accusation ou insinuation envers qui que ce soit » ont conclu des Mauritaniens révoltés et bien déterminés à laver leur honneur dans ce contexte tendu.




Des missions diplomatiques visitent Lushui Nujiang, comté de Malio de la province du Yunnan 

1.-Du 20 au 21 mars 2023, grâce au genre et à l’invitation généreuse du Bureau de service de Beijing pour des missions diplomatiques (BDS), sous la direction de H.E Ambassadeur Li Li, DG de BDS, nous avons pu visiter Lushui Nujiang, comté de Malio de la province du Yunnan. La très petite minute nous sommes arrivés, nous avons senti l’atmosphère amicale et heureuse du peuple local, nous avons été chaleureusement reçus par le gouvernement du Yunnan, la pêche autonome de Wenshan Zhuang et Miao et le comté de MaliPo. Nous aimerions exprimer notre sincère gratitude à BDS et à l’organisation des gouvernements connexes et à leur personnel pour leur gentillesse, l’hospitalité sincère offerte pour notre confort.

2.- Pendant le temps à Malipo, nous avons été une fois de plus impressionnés par l’état de l’art en technologie, tout en visitant le port de bordure moderne, la mool de l’Ethnique, le parc de démonstration de la réactivité rurale et la limite si le village de démonstration moderne. Nous avons découvert et avons témoigné ce que le gouvernement local et les gens /cIl y a des efforts inégalés pour élaborer des industries caractéristiques, amélioration des moyens de subsistance des personnes et renforcer l’éducation et la formation en fonction des conditions locales. Nous aimerions exprimer nos félicitations pour les grandes réalisations réussies de consolider les résultats de la réduction de la pauvreté, de promouvoir la revitalisation rurale et de construire une vie moderne et un travail favorable. Vous avez également réussi dans le défi pour garder la belle campagne naturelle, de la manière la plus durable.

3.- Nous sommes heureux d’apprendre que le comté de MaliPo est le point de contact désigné du Ministère des affaires étrangères de la Chine dans la réduction de la pauvreté. Plus de 30 ans, les grands changements ont eu lieu dans son développement de l’économie et de la société. Nous apprécions très bien les efforts déployés par le Ministère des affaires étrangères de la Chine pour soutenir l’élimination de la pauvreté à Malipo et d’autres lieux pour un long temps. Nous apprécions fortement le gouvernement central chinois sur ses efforts créatifs pour établir des relations d’assistance désignées ainsi que l’attribution du personnel à travailler dans les zones défavorisées les plus éloignées et sur ses mécanismes de politique de réduction de la pauvreté pionnière et des réalisations remarquables. Nous croyons que c’est une voie de réduction de la pauvreté avec des caractéristiques chinoises. Le gouvernement chinois a non seulement conduit le peuple chinois à prendre des mesures solides sur la voie de la création d’une vie meilleure et de réaliser une prospérité commune et créé un modèle chinois de gouvernance de la pauvreté, mais aussi une importance importante pour promouvoir l’éradication de la pauvreté et le développement commun dans d’autres pays et régions du monde. Le succès de la Chine dans la mesure du premier but comme objectif principal de ses priorités de développement, et s’assurer qu’il ne reste plus, est une réussite remarquable, tous les citoyens chinois devraient être fiers. C’est la grande contribution de la Chine à la cause de la réduction de la pauvreté du monde.

4.- Nous sommes impatients de renforcer davantage la coopération avec le BDS et le gouvernement à tous les niveaux de la province du Yunnan dans la revitalisation rurale et le développement de beaux villages, partager les expériences réussies en profondeur et promouvoir conjointement la coopération internationale de réduction de la pauvreté pour un plus grand succès.

En tant qu’ambassadeurs, nous croyons fermement que, par ces efforts, l’éradication de la pauvreté apportera une prospérité mondiale et la paix bénéficiant davantage de l’humanité et de nos efforts pour un développement plus durable pour tous.

Nous exprimons notre spécial merci à H.E Ambassadeur Li Li, avec son équipe, avec succès nous conduit tout au long de cette visite.




Luttes: A propos du bicéphalisme qu’un groupe a voulu créer au sein de la Fécolutta, La Fédération internationale recadre les choses : ‘’Le Président Eric Kinzambi reste à sa place jusqu’à la fin du mandat en cours 

Le bicéphalisme ou le dédoublement des fédérations sportives nationale qui avait longtemps gangrené le mouvement sportif congolais dans un passé pas très lointain, et que d’aucuns croyaient extirper à jamais, a la peau dure en RDC.

Comment douter de cette affirmation lorsque sur le terrain, tout indique que le bicéphalisme a voulu renaître au sein de la Fédération Congolaise des Luttes Associées ‘’Fécolutta’’. Un groupe de gens au sein de la cherche à se rebeller pour créer une Fécolutta bis. Une assemblée était même convoquée.

Mise au parfum de ce projet, la fédération internationale a réagi de façon on ne peut plus claire à cette situation. Elle le dit clairement dans sa correspondance adressée en date du 31 mars 2023 à M. Amos Mbayo Kitenge et Alain Badiashile Kayatshi, respectivement Président et Secrétaire Général du Comité Olympique Congolais, M. Carlos Roy, Secrétaire Général de la fédération internationale précise dans deux paragraphes ce qui suit :

‘’Pour l’UWW, les correspondants officiels reconnus sont : M. Eric Kinzambi, Président et M. Pitshou Bakambo, Secrétaire Général.

Afin d’assurer la stabilité de la fédération, l’UWW n’acceptera pas que la fédération soit dirigée par deux comités exécutifs/directoires différents. Nous recommandons donc aux uns et aux autres d’attendre la fin du mandat en cours pour postuler’’.

Néanmoins, pour couper court à tous les racontars, nous reprenons in extenso le contenu de ladite correspondance :

Monsieur le Président, Monsieur le Secrétaire Général,

Nous avons été informés de la tenue d’une assemblée non statutaire de la Fécolutta ce 30 mars 2023, et cela malgré nos observations contenues dans notre courrier du 23 mars 2023 à votre attention.

Pour l’UWW, les correspondants officiels reconnus sont : M. Eric Kinzambi, Président et M. Pitshou Bakambo, Secrétaire Général.

Afin d’assurer la stabilité de la fédération, l’UWW n’acceptera pas que la fédération soit dirigée par deux comités exécutifs/directoires différents. Nous recommandons donc aux uns et aux autres d’attendre la fin du mandat en cours pour postuler.

En vous remerciant pour votre attention, veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations respectueuses. Fin de citation.

Les lecteurs de notre organe s’en souviendront avoir lu dans nos colonnes la réaction de M. Eric Kinzambi a propos à propos des bruits qui circulaient dans les réseaux sociaux soit disant que c’est le SG aux sports convoque une assemblée générale de clarification. Le

Président Erick Kinzambi avait réagi en ces termes : ‘’Je me gêne pour placer un mot. Pour convoquer une assemblée d’une fédération, il y a des normes, il y a une procédure. Moi je n’ai rien reçu en termes de correspondance. J’apprends. Si elle a suivi la procédure, ça va. Mais si elle n’a pas suivi la procédure, je regrette que ça soit du secrétariat général aux sports et loisirs qui est censé protéger les textes légaux puisse se jeter dans cette histoire. En tout cas c’est un non-événement pour moi’’. D’aucuns peuvent remarquer qu’effectivement le Président Eric avait raison. C’est réellement un non-événement. La fédération internationale lui donne raison.

Antoine Bolia




Éliminatoires de la CAN 2023 : Le résumé des 3e et 4e journées

La phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies, Côte d’Ivoire 2023 se dessine.

À l’issue des 3e et 4e journées, sept nations seront au rendez-vous. Il s’agit du Sénégal, tenant du titre, la Tunisie, l’Afrique du Sud, le Maroc, le Burkina Faso ainsi que la Côte d’Ivoire qualifiée d’office en tant que pays hôte de la compétition.

Groupe A

Le Nigeria, leader (9pts), a battu la Guinée Bissau 1-0 dans le match retour et reste au sommet, tandis que la Guinée Bissau occupe la deuxième place (7pts).

La Sierra Leone est troisième (5) après avoir battu Sao Tomé-et-Principe 2-0 et reste en lice pour une place dans le tournoi final. Contrairement à Sao Tomé, dernier avec un point qui est d’ores-et-déjà éliminé.

Groupe B

En bonne posture avant ces deux journées, le Burkina Faso a déjà assuré sa place dans le tournoi final car un point pris suite au match nul (1-1) face au Togo.

Les Togolais sont derniers avec deux points, mais peuvent encore se qualifier, tout comme le Cap-Vert, deuxième, qui a fait match nul avec le Lesotho, troisième.

Groupe C

La belle perf’ de ces matchs nous vient de Namibie. Les Brave Warriors ont battu le Cameroun 2-1 et prennent la tête de ce groupe. Une défaite qui n’éteint pas les espoirs de qualification des Lions Indomptables.

Le Burundi est troisième de cette avec un point affrontera le Cameroun et la Namibie en juin, en cas de victoires ces deux matches, les Hirondelles verront la Côte d’Ivoire.

Groupe D

L’Égypte et la Guinée ont remporté leurs deux matches lors de la dernière journée et sont en tête du groupe avec neuf points. Les deux équipes se qualifieront si elles font match nul lors de leur rencontre en juin.

Le Malawi (troisième) et l’Éthiopie (quatrième) sont tous deux à trois points après deux défaites consécutives et leur destin n’est plus entre leurs mains.

Groupe E

Le Ghana, la République centrafricaine et l’Angola restent en course pour les deux places qualificatives. Le Ghana, leader du groupe, compte huit points et devance la République centrafricaine. La RCA a remporté deux matches consécutifs contre Madagascar, éliminé de la course à la CAN.

Groupe G

Le Mali a perdu 1-0 contre la Gambie à l’extérieur mais reste en tête du groupe avec neuf points.

Le Congo Brazzaville s’est vengé de sa défaite surprise contre le Sud-Soudan en le battant à domicile à Dar es Salaam, ce qui place les Diables Rouges en deuxième position avec six points, comme la Gambie, mais avec une meilleure différence de buts.

Le Sud-Soudan est dernier avec trois points.

Groupe H

La Côte d’Ivoire, pays hôte, est déjà qualifiée, mais elle est restée invaincue dans ce groupe après avoir battu les Comores 2-0. La lutte pour la seule place qualificative pour le tournoi se joue désormais entre la Zambie (9pts) et les Comores (3pts).

La Zambie, qui a battu les Comores à domicile et à l’extérieur, n’a besoin que d’un point en juin pour confirmer sa participation au tournoi.

Groupe I

Toutes les équipes sont encore en course pour la qualification. Le Gabon est en tête du groupe avec sept points soit une longueur d’avance sur le Soudan qui s’est relancé en battant les Panthères 1-0 à Omdurman.

La Mauritanie est troisième avec cinq points après son match nul à domicile contre la RD Congo. Vainqueurs à Lubumbashi contre les Mourabitounes, les Léopards se sont relancés dans la course à la qualification.

Groupe J

Vainqueure de sa double confrontation contre la Libyen la Tunisie est qualifiée. Elle compte 10 points, soit une longueur d’avance sur la Guinée équatoriale, qui a éliminé le Botswana à l’issue d’un match aller-retour.

Les Équato-guinéens n’ont besoin que d’un point lors de leurs deux prochains matches pour se qualifier. La Libye, qui compte trois points

Groupe K

Le Maroc était déjà qualifié avant même cette fenêtre de qualification puisqu’il comptait six points.

 

L’Afrique du Sud a décroché son billet grâce à une victoire nerveuse 2-1 sur le Liberia à Monrovia.

Groupe L

Le Sénégal, champion en titre, a balayé le Mozambique à domicile et à l’extérieur pour atteindre 12 points et confirmer sa qualification. La lutte pour l’unique place restante est désormais entre le Mozambique (4pts), le Rwanda (3pts) et le Bénin (2pts).

Le Rwanda et le Bénin se sont quittés sur un match nul 1-1.




Un quart à gagner en Ligue des Champions de la CAF 

La dernière journée des phases de groupes de la Ligue des champions de la CAF TotalEnergies se jouera ce week-end, alors qu’il ne reste plus qu’une place qualificative pour les quarts de finale.

Le reste des matchs sera une bataille pour savoir qui sera le meilleur du groupe et qui finira le mieux.

Voici un résumé de ce à quoi vous pouvez vous attendre lors de la 6e journée.

Le groupe B est l’endroit où toute l’attention sera attirée alors que le Soudanais Al Hilal et le champion du record Al Ahly d’Egypte se battent pour la seule place de qualification pour rejoindre Mamelodi Sundowns dans les huit derniers.

Les deux parties s’affronteront au Caire dans ce qui devrait être un match nul. Hilal a eu une chance de se qualifier lors de la dernière journée de match avec une pénalité de dernière minute contre Sundowns, mais ils ont eu l’occasion manquée et la pression sera sur eux dans un terrain de chasse difficile au Caire.

Hilal qui est deuxième avec 10 points n’a besoin que d’un point contre Ahly qui a trois de retard pour se qualifier. Après avoir perdu 1-0 à Omdurman, Ahly cherchera à se venger et à gagner une place dans les huit derniers.

Pendant ce temps, Sundowns qui est à 10 points sera à domicile contre Cotonsport sans victoire du Cameroun en quête de victoire pour terminer en tête du groupe.

Groupe A

Ce groupe est déjà décidé avec la JS Kabylie et les champions en titre Wydad Athletic Club déjà qualifiés. Les deux sont sur 10 points mais les Algériens sont en tête grâce à un meilleur total de buts.

Ils s’affronteront à Casablanca, dans ce qui sera certainement un derby nord-africain alléchant, avec le vainqueur terminant en tête du groupe. Un tirage au sort sera favorable à la Kabylie pour terminer en tête.

Petro de Luanda, troisième, accueille l’AS Vita Club de la RD Congo dans une autre bataille de positionnement. Les deux équipes sont à quatre points avec Petro ayant un meilleur total de buts.

Groupe C

Le groupe est déjà déterminé avec Raja Club Athletic et Simba SC de Tanzanie qualifiés. Le Raja est assuré de la première place avec 13 points, quatre de plus que Simba qu’il affronte à Casablanca.

Les Guinéens Horoya, troisièmes avec quatre points, accueillent le Vipers SC à Conakry à la recherche d’une victoire ou d’un match nul pour consolider leur place. Les Vipers cherchent quant à eux à signer sur un sommet, avec une victoire.

Groupe D

L’Espérance de Tunis et le CR Belouizdad se sont qualifiés pour les quarts de finale, et ils s’affronteront à Radès pour déterminer qui sera le meilleur et qui terminera deuxième. L’Espérance est actuellement en tête avec 10 points, un devant les Algériens.

Le Soudanais Al Merreikh (5), troisième, sera absent face à l’Egyptien Zamalek (4), à la recherche d’un match nul ou d’une victoire pour terminer devant les Chevaliers Blancs.