Grâce au comité Blaise Zainda : Journaliste en Action en retrouvailles sous le signe de la cohésion

Jour tant attendu, le 1er mai 2023 restera dans les annales, parce qu’il aura permis au président Blaise Zainda alias « Ni bia nguvu » et son équipe, de réunir les chevaliers de la plume et du micro regroupés au sein de l’Asbl Journalistes en Action (JA).

Cadre bien choisi, tous en uniforme et en tenue décontractée, Journaliste en Action s’est retrouvé pour affermir ses liens et entrevoir l’avenir sous de belles perspectives. L’occasion faisant le larron, des nouvelles adhésions étaient au rendez-vous, question de renforcer cette grande famille des professionnelles qui s’est distinguée par sa résilience.

Après la présentation des membres du comité et de JA, la parole a été donnée à Blaise Zainda qui dit avoir hésité entre un discours populiste à la manière des hommes politiques, un discours cérébral à la manière des scientifiques ou un discours téléonomique à la manière des pasteurs. Finalement, dit-il, il a choisi ce ton convivial et familial.

« En effet, ici on est en famille. Une grande famille plurielle, une famille professionnelle certes mais surtout une famille nucléaire. Journaliste en action est notre œuvre commune : notre famille. Depuis les pionniers dont certains sont encore heureusement parmi nous jusqu’à la dernière génération de ceux qui vont nous rejoindre aujourd’hui, notre organisation a connu les hauts et les bas. Des moments de joie, d’intense communion, mais également des moments de peine et de tristesse », explique-t-il.

A l’occasion, une minute de silence a été observée en mémoire de tous les membres de JA qui ont quitté la terre des hommes. C’est avec émotion et reconnaissance qu’il a cité les noms de Désiré Baere, Alpha Mukadi, Esther Abedi, Olga Ngiana, Nadine Laini, Pepito Tuka Lino…

Des défis

Dans son discours, le président JA Blaise Zainda a reconnu que son Asbl a d’énormes défis à relever. « Le premier étant de retrouver notre cohésion. Et en voici l’occasion. Que nos différences ne nous divisent plus. Au contraire, qu’elles constituent notre force. Car, disons-le-nous, JA est certainement la plus grande association des journalistes actifs dans cette ville de Kinshasa de par la qualité de ses membres. Regardez autour de vous : tout le monde est professionnel ici. Il n’y a et il n’y aura jamais des moutons noirs ici », dit-il.

Un autre défi et non le moindre, indique le président de JA, est celui de nous distinguer des autres. Pour ce faire, montrons et affirmons notre identité par la participation à nos activités. Mon comité, votre comité insiste-t-il, entend réactiver toutes les activités encore en berne pour que nous reprenions notre place de leader sur la scène des organisations professionnelles des médias. Ceci requiert la participation de chacune et chacun d’entre nous. C’est le sens de notre engagement à la cause de notre association.

L’heure n’est pas au discours démagogique, souligne Blaise Zainda et c’est pourquoi il a rendu hommage à tous ceux et celles qui, présents ou absents, ont contribué et contribuent encore à la survie de notre association.

Un toast a été levé à l’honneur de Paulette Kimuntu, Joel Cadet, Jean Jeff Mwanza, Désiré Baere, Jean Jeef Caleb dit Obiang, Saleh Mwanamilongo, Bumba Elysée, Joe Bangato, Michel Issako, Mimie Engumba, Virginie Lofembe, j’en passe et des meilleurs….

Blaise Zainda a terminé par dire que nous avons des obligations vis-à-vis de vous. C’est ainsi qu’il a porté à la connaissance de l’assistance que JA dispose désormais d’une adresse. En effet, J.A est localisable sur l’avenue Colonel Ebeya numéro 195, immeuble Sadisa (appartenant à la famille Kisombe) voisin à l’hôtel Selton, dans la commune de la Gombe.




La grosse bourde de l’union sacrée

La faute du troupeau vient du berger, dit un proverbe arabe. La thèse de faire croire que les fautes de l’union sacrée sont le fait de leur présidium est une grave appréciation qui ne ferait que précipiter leur chute. Et je dis tant mieux. Ils ont un berger qui doit tout valider avant la marche des troupeaux.

Qui donne du zèle à ces amis qui sont du bon côté de la table ? Ont-ils naïvement cru que le peuple pouvait les suivre comme des moutons de panurge ?

Ils ont volé le peuple avec leur histoire de RAM. Ils piétinent sur l’honneur et l’intégrité de tout un pays avec leur histoire de machin truc bidule CEAC. Les prix des produits de première nécessité galopent de façon effroyable. Le dollar ne fait que grimper. Les routes sont en état de déliquescence avancée. Il n’y a pas d’eau potable. Le délestage a atteint même des coins insoupçonnés. Le tribalisme bat un record jamais atteint depuis 1960. Les détournements et des cas de corruption se font à ciel ouvert. Le pays est occupé. L’insécurité a atteint toute la République. Les armées étrangères sont de nouveau invitées sur notre territoire. La cohésion nationale prend un coup. Le Programme alimentaire mondial parle de plus d’un tiers de la population qui vit dans la famine. Les fonctionnaires de l’Etat et les militaires sont impayés… Et avec un tel tableau, ils organisent une activité, en espérant obtenir l’adhésion de la population. Qui ment à qui dans cette famille qui mange bien du bon côté de la table ?

1. Tous les médias internationaux ont commenté négativement cette sortie à peine officielle des amis qui sont du bon côté de la table

2. Les réseaux sociaux parlent désormais des autres provinces qui réclament leur part du RAM. La vraie faute est celle qu’on ne corrige pas, disait Condicius. Etali bango. De l’autre côté de la table, le peuple affamé et opprimé qui souffre dans son corps et dans son âme célèbre sa victoire. Il voit déjà sa délivrance dans la pénombre de la chute des amis qui sont du bon côté de la table.

L’archange Papy Tamba,

Le Papy le plus célèbre de la RDC




En Afrique du Sud : Kamerhe, Paluku, Bussa et Birihanze s’imprégnent de la situation de la hausse des prix de farine de maïs dans l’espace Grand Katanga et Grand Kasaï

Arrivée ce lundi à Johannesburg en Afrique du Sud de la délégation gouvernementale de la République Démocratique du Congo constituée du Vice-Premier ministre, ministre de l’Economie nationale, Vital Kamerhe ; du ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya ; du ministre du Commerce Extérieur, Jean-Lucien Bussa et celui des Petites et Moyennes Entreprises (PME), Désiré Birihanze.

Selon notre source, l’objectif de cette mission est de s’imprégner de la situation de la hausse des prix de farine de maïs dans l’espace Grand Katanga et Grand Kasaï.

Plusieurs rencontres avec les officiels Sud-africains sont au rendez-vous, mais aussi avec les producteurs et industriels œuvrant dans ce secteur.

Signalons que cette délégation est coiffée par le Vice-Premier ministre, ministre de l’Economie nationale, Vital Kamerhe

 




CSC/OCC : Une journée du 1er mai placée sous le signe de réjouissances

A l’Office Congolais de Contrôle (OCC), mieux à la Confédération syndicale du Congo (CSC), la Journée internationale du Travail, célébrée le 1er mai 2023 sous le thème : « Promouvoir l’emploi décent dans un monde en mutation », a été placée sous le signe de réjouissances, mais en ayant comme focus les élections syndicales qui pointent à l’horizon.

C’est la salle Carrefour des jeunes dans la commune de Kalamu qui a servi de cadre à ces réjouissances initiées par la Confédération syndicale du Congo (CSC), que dirige le président Jovens Mbende Mabwaka, en présence des membres du comité de gestion, notamment le PCA Fortunat Ndambo Mandjuandju, le DG Dr Etienne Tshimanga et Mme le DGA Christelle Muabilu.

Les membres du comité de gestion venus pour souhaiter une bonne fête de travail aux agents et cadres de la Confédération syndicale du Congo, les ont tour à tour appelés à donner le meilleur d’eux-mêmes pour le bonheur et le succès de leur entreprise.

Disons que bien avant l’arrivée et les discours des membres du comité de gestion, le président Jovens Mbende Mabwaka a eu les mots justes pour mobiliser les agents et cadres, en leur demandant de se préparer pour affronter les échéances à venir.

« C’est la journée internationale du travail. Les travailleurs fêtent cette journée et à l’Office congolais de contrôle, la Confédération syndicale du Congo, un syndicat majoritaire qui œuvre pour l’intérêt des travailleurs, ne pouvait pas rester indifférent. C’est comme ça que nous nous sommes réunis ici pour les réjouissances qui sont axées sur l’organisation des élections déjà annoncées à l’Office Congolais de Contrôle que nous voulons libres, transparentes et démocratiques », explique-t-il à la presse.

Il a dit avoir profité de l’occasion pour dénoncer les tendances d’un syndicat jaune qui voudrait s’accaparer du bureau de la CSC. Il pense que le Directeur général va changer ce bureau pour qu’il y ait transparence dans le travail qui sera abattu. Pour aujourd’hui, précise-t-il, ce sont les réjouissances.

Et de poursuivre que la CSC s’est battue en faveur des travailleurs et elle continue à se battre. « Nous sommes fiers, parce que grâce à la CSC, le décret Muzito qui avait fait très mal aux finances de l’OCC a été annulé. Nous attendons que l’employeur puisse l’appliquer et ça va donner un peu plus de moyens qui serviront à l’Office pour que les travailleurs puissent obtenir une nouvelle augmentation salariale. C’est ainsi qu’aujourd’hui, nous nous sommes mis ensemble, nous mangeons et nous buvons, nous fêtons, mais tout en projetant notre avenir sur les élections syndicales que nous devons coûte que coûte gagner », pense-t-il.

Il justifie cette détermination par le fait que la dernière fois, leurs adversaires avaient utilisé des méthodes non loyales pour l’emporter. « Nos amis ont eu l’arbitre, le VAR, les juges de touche, l’employeur, ont dépensé les moyens, et même l’inspecteur du travail a été acheté. C’est ainsi qu’ils nous sont battus en utilisant la fraude massive. Nous ne pouvons plus accepter cela, surtout avec l’avènement de l’état de droit prôné par le président de la République », dit-il.

Par rapport aux élections qui pointent à l’horizon, le président de la CSC, Jovens Mbende Mabwaka, a demandé à tous les travailleurs de l’OCC de voter la confédération syndicale du Congo, parce qu’avec elle, les droits du travailleur sont garantis. « Il ne faudra pas qu’ils commettent l’erreur de l’autre fois, en cédant aux intimidations et des promesses fallacieuses. Qu’ils aient le droit de voter librement et nous leur demandons de voter la CSC, parce qu’avec la CSC, il y a toujours de bonnes choses : l’augmentation salariale, les grades qui sont accordés et la défense des intérêts des travailleurs. Pour défendre les intérêts des travailleurs, la CSC est sans état d’âme », martèle-t-il.