Dossier brûlant: Le financement de la préparation des athlètes congolais aux 9è Jeux de la francophonie se fait toujours attendre  

Pour prétendre glaner des médailles dans une compétition d’envergure telle que les 9èmes jeux de la francophonie que va abriter la RDC du 28 juillet au 6 août 2023, il faut une préparation minutieuse. Ce qui est étonnant, en RDC les 8 disciplines qui seront alignées ont du mal pour financer la préparation de leurs athlètes à moins de 3 mois de ces jeux.

Une chose est cependant vraie, l’Etat congolais ne finance que très rarement les préparations de ses représentants en compétitions internationales. Certaines fédérations l’ayant compris, ont déjà commencé à préfinancer leur préparation.

Quid de disciplines qui prendront part aux 9è Jeux de la francophonie

1. Athlétisme

2. Basket-ball

3. Cyclisme

4. Football

5. Handisport

6. Judo

7. Lutte

8. Tennis de Table

Quand le Comité Olympique Congolais se jette dans la marre

Conscient des enjeux, la fédération des fédérations qu’est le Comité Olympique Congolais se penche sur ce problème de financement de la préparation de ces 8 fédérations sportives précitées. A cet effet, le COC a eu à échanger avec ces fédérations. Une rencontre avec le ministre des sports François Claude Kabulo Muana Kabulo est envisagée pour une meilleure participation du team RDC à ces Jeux, avait déclaré Christian Matata, vice-Président du COC à l’issue de leur réunion avec les fédérations sportives.

Christian Matata, 2è V/P du COC dévoile le contenu de la réunion avec les fédérations sportives

Christian Matata : ‘’Nous étions en réunion avec les différentes fédérations beaucoup plus les disciplines olympiques, aussi les disciplines qui vont participer aux jeux de la francophonie et nous venons de nous entretenir avec les responsables de ces disciplines pour voir qu’est-ce que le COC doit faire pour qu’il y ait une bonne préparation pour les jeux de la francophonie puisqu’il nous reste que deux mois. Il était important au niveau du comité olympique que nous puissions d’abord évaluer ce qui a été fait avant, ce qui peut être fait maintenant pour que la participation de la RDC à ces jeux soit beaucoup plus efficiente par rapport aux médailles que nous allons remporter. Concernant les jeux de la francophonie, il ne nous reste que deux mois et les disciplines qui doivent participer continue toujours à se poser la question à quand le financement de la préparation ? Ce qui est un peu anormal, à deux mois, ces disciplines n’ont pas encore entamé la préparation alors que c’est la RDC qui organise ces jeux. Et qu’il est important que nous puissions participer efficacement et remporter des médailles. Donc, au niveau du COC, c’est question de voir qu’est-ce que nous devons faire à ce stade. Et là, nous venons d’enclencher le mode extrême urgence. Nous allons rapidement rencontrer le ministre de tutelle, celui des sports pour voir qu’est-ce que le COC peut faire pour que nous puissions apporter notre expertise, commencer déjà à préparer ces athlètes pour que la participation de la RDC ne soit pas seulement de la figuration’’.

Antoine Bolia




Le Maroc présente son expertise en Zambie

Cette présence très attendue en Zambie est aussi l’occasion pour African Global Health de communiquer sur le programme du Maroc pour les politiques de santé publique continentale africaine et sur la souveraineté en santé dans le continent.

Après le succès international de la première conférence africaine sur la réduction des risques en Afrique, organisée à Marrakech en novembre 2022, après la grande conférence de Casablanca qui a vu la participation d’une délégation africaine importante jetant les jalons d’une coopération afro-africaine en termes de santé publique et de protection sociale, après la participation au forum mondial qui s’est déroulé à New York, au siège des Nations Unies, en mars 2023, sur les questions liées à l’eau, à sa gestion et ses répercussions sur la santé humaine, African Global Health (AGH) part à la conquête de l’Afrique avec trois grands rendez-vous qui marquent son implication dans toutes les problématiques touchant la gestion de la santé et les différentes approches pour une meilleur protection sociale en Afrique, avec la mise en valeur de l’expertise marocaine dans ces deux domaines si stratégiques et si prioritaires aujourd’hui, dans un monde qui doit faire face à des crises sanitaires à répétition et à des défis majeurs pour protéger les populations.

En effet, en partenariat avec le ministère de la santé et de la protection sociale, soucieux de mettre sur pied une collaboration effective et efficiente avec tous les partenaires africains, African Global Health, présidée par Docteur Imane Kendili, s’est rendu avec une délégation marocaine en Zambie, à Lusaka, les 27 et 28 avril 2023, pour participer aux travaux du Midland Hospitals Health week, en appui des travaux de Medland Hospital, le premier hôpital privé de Zambie qui offre des services médicaux spécialisés et complets au niveau international avec une pléiade de grands médecins, chirurgiens et chercheurs reconnus par leurs pairs aux quatre coins du globe. AGH et ses équipes offrent une série de workshops sur place avec une forte communication autour de la deuxième conférence africaine sur la réduction des risques qui aura lieu en septembre 2023 à Marrakech sous le thème «La sécurité alimentaire et de la gestion des ressources hydriques en Afrique». Un thème d’actualité au cœur des préoccupations de la politique clairvoyante de SM le Roi Mohammed VI, qui a fait de la santé et de la protection sociale un cheval de bataille du Royaume en Afrique pour le bien-être des Africains. Cette présence très attendue en Zambie est aussi l’occasion pour African Global Health de communiquer sur le programme du Maroc pour les politiques de santé publique continentale africaine et sur la souveraineté en santé dans le continent. Une démarche qui s’inscrit dans l’ADN de AGH comme l’explique sa présidente, Docteur Imane Kendili: «Il est aujourd’hui clair que la santé implique la responsabilité dans son sens le plus large, comme il est évident que la santé connote la solidarité entre tous les pays africains pour une vision convergente en termes de protection humaine dans le continent. Aujourd’hui plus que jamais, dans un climat mondial de plus en plus fragilisé par tant de crises, la santé s’érige sur les bases mobiles d’une communauté humaine partageant les mêmes priorités et réagissant aux mêmes urgences. Dans ce sens, la pandémie a montré les limites des systèmes de santé de par le monde et a mis en exergue des atouts communautaires solidaires inhérents à la culture et au déterminisme africain. La santé ne peut être l’adage des experts et la roue des politiques uniquement. Une implication commune et solidaire est nécessaire entre décideurs, politiques, industriels, experts, chercheurs, intellectuels… dans un même élan de promotion effective et de levier de changement pour une santé africaine plus efficiente qui s’inscrit dans une vision à long terme, avec logique, avec raison, avec détermination».

C’est partant de cette vision que African Global Health va sillonner d’autres pays africains, après le Rwanda en janvier 2023 où la délégation marocaine a démontré par les faits toutes les avancées marocaines en termes de gestion des pandémies, des crises sanitaires et surtout sa volonté de mettre sur pied des programmes de collaboration avec ses partenaires africains du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest du continent. Une collaboration dont les jalons ont été actés à Marrakech, en novembre 2022, avec la déclaration de Marrakech et le lancement d’une charte panafricaine de santé publique, avec le Maroc comme figure de proue de cette vision stratégique et continentale, à un moment de l’histoire où le monde se polarise et où les Africains doivent prendre leur destin en main, ensemble, pour bâtir un véritable marché riche en potentiels et en compétences, à tous les niveaux et dans tous les domaines. «Cette coopération internationale, qui part de l’Afrique, rassemble des expertises africaines et internationales afin de réfléchir les aspects de la santé dans des concepts élargis de politiques de santé publique, mais aussi pour ériger les piliers de la santé au futur. Le tout basé sur une réflexion commune des expertises médicales les plus innovantes, avec l’apport des experts en politique, des décideurs avérés dans les domaines économiques les plus performants, avec des spécialistes de la protection sociale et ce, afin de repenser la santé dans ses aspects organiques et psychologiques mais aussi économique, social, environnemental… Le tout, en travaillant conjointement pour la mise sur orbite d’une santé africaine commune mettant à contribution également la culture, l’éducation et l’enseignement », précise la présidente de AGH.

https://aujourdhui.ma

 




Le Roi Mohammed VI déclare le nouvel An Amazigh jour férié payé

Un communiqué du cabinet royal a annoncé, mercredi soir, que le Roi Mohammed VI a décidé d’instaurer le nouvel An Amazigh en tant que jour férié au Maroc.

Le Roi a ordonné que ce jour férié soit compté comme jour payé comme le 1er Mouharram de l’année de l’Hégire ou le jour de l’An du calendrier grégorien.

Cette initiative royale vient consacrer la haute sollicitude dont le Roi, ne cesse d’entourer l’Amazighe en tant que composante essentielle de l’identité marocaine authentique riche par la pluralité de ses affluents et patrimoine commun à tous les Marocains sans exception, a indiqué le communiqué du cabinet royal.

« Elle s’inscrit également dans le cadre de la consécration constitutionnelle de l’Amazighe en tant que langue officielle du pays, aux côtés de la langue arabe », a conclu la même source.




Le Sénat vote six lois de ratification et la prorogation de l’état de siège   

Le Sénat a tenu, le mardi 02 mai 2023 sous la direction du Président Modeste Bahati Lukwebo, une plénière marathon à laquelle ont pris part six membres du gouvernement. Ces derniers étaient venus présenter les lois de ratification déjà votées en mode d’urgence par le Gouvernement, grâce à la loi d’habilitation votée au mois de décembre et qui permettait au gouvernement de légiférer pendant que le parlement était en vacances…

Il s’agit des ministres de la Santé, des Postes téléphone et télécommunications, du Plan (venu représenter sa collègue de l’Environnement empêchée), des Médias et de la Communication, du Numérique, et de la Justice et Garde des Sceaux.

Ces membres du Gouvernement ont, chacun, défendu et obtenu de la plénière la ratification à l’unanimité de toutes ces lois présentées.

Il s’agit notamment de la loi du 3 mars 2023 modifiant et complétant la loi du 9 juillet 2011 portant Principes fondamentaux relatifs à la protection de l’environnement, la loi du 3 mars portant Code du numérique , la loi du 3 mars 2023 modifiant et complétant la loi du 13 décembre 2018 fixant les principes fondamentaux relatifs à l’organisation de la santé publique, et la loi portant prorogation de l’état de siège sur une partie du territoire national, pour ne citer que ces textes.

« Pour le projet de loi portant prorogation de l’état de siège sur une partie du territoire de la Rdc, sur 109 membres qui composent le Sénat, 87 membres ont pris part au vote, 80 membres ont voté oui, 5 ont voté non, 2 membres se sont abstenus. En conséquence, le Sénat vote ce projet de loi et va le transmettre au président de la République pour promulgation », indique Modeste Bahati, qui ajoute que pour les 6 projets de loi en exécution de la loi d’habilitation du Gouvernement de décembre 2022, sur 109 membres qui composent le Sénat, 87 membres ont pris part au vote, 80 ont voté oui, 4 membres ont voté non, 4 membres ont voté par abstention. En conséquence, le Sénat vote les 6 projets de loi ».

Signalons que ces lois portent en elles différentes innovations. En ce qui concerne la loi sur l’environnement, par exemple, elle institue une taxe carbone qui sera payée par les pollueurs et met en place un marché du crédit carbone… Quant au Code numérique adopté, il permettra de mettre fin aux abus dans les réseaux sociaux, tandis que la loi sur la santé publique va réorganiser la gestion des épidémies en Rdc.

JMNK




Facilitateur de la CEEAC pour la réconciliation politique au Tchad, Tshisekedi reçoit Masra, un opposant Tchadien

Les questions relatives à la réconciliation entre le pouvoir et l’opposition au Tchad ont été examinées au cours de l’audience que le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a accordée, ce mardi 2 mai à la Cité de l’Union africaine, à M. Succès Masra, Président du parti d’opposition tchadien “Le Réformateur.”
Le Chef de l’État est le facilitateur désigné par ses pairs de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) dans la crise tchadienne. L’homme politique tchadien a déclaré, au sortir de l’audience, qu’il a échangé avec le Président Tshisekedi sur des questions en rapport avec la réconciliation des Tchadiens pour un “retour à une véritable démocratie” à la fin de la transition au Tchad avec un gouvernement choisi par le peuple Tchadien.
Il a indiqué avoir présenté au Chef de l’État, au nom d’une vaste majorité des tchadiens, des propositions devant conduire à la réconciliation nationale dans son pays. ” La Rdc, à travers son Président, vient ainsi au chevet du Tchad”, a martelé M. Masra”.
Auparavant, Didier Mazenga, ministre congolais du tourisme et envoyé spécial de la CEEAC pour la crise tchadienne, a indiqué qu’il était question pour le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo de recevoir l’homme politique tchadien dans le cadre de sa mission de facilitateur dans la crise politique dans ce pays de l’Afrique centrale : à savoir échanger avec toutes les parties prenantes dans cette crise, ceux qui ont participé au dialogue national ainsi que ceux qui n’y ont pas participé, et ce en vue de la réconciliation nationale.
Un représentant du Secrétaire général de l’ONU et le Président de la Commission de la CEEAC ont assisté à cette audience.




UPN: F. Tshisekedi inaugure la 1ère phase des ouvrages construits et réhabilités

Une effervescence particulière a caractérisé l’inauguration par le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi, ce mercredi 3 mai 2023, de nouveaux bâtiments construits sur le site de l’Université pédagogique nationale (UPN). Il s’est agi principalement des nouveaux homes pour les étudiants/garçons qui vont ainsi améliorer leurs conditions de vie sur ce campus universitaire.

La manifestation a été rythmée par une série de prises de parole avant la visite proprement dite de ces ouvrages par le Chef de l’État accompagné par plusieurs personnalités du monde politique et académique.

Pour la Rectrice de l’UPN, Anastasie Masanga, qui a pris la parole en premier, ces ouvrages traduisent la volonté, mais aussi, l’humanisme du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, qui a ainsi honoré sa promesse faite, le 6 décembre 2020, à une délégation de professeurs de l’UPN reçus en audience à la Cité de l’Union Africaine.

“Chose promise, chose faite”, a-t-elle déclaré tout en louant la qualité de l’ouvrage effectuée par l’entreprise Africa solution ainsi que la transformation à pas de géant que subit, depuis lors, cet alma mater au grand enchantement de la communauté estudiantine.

Intervenant au nom de ses pairs, le délégué des étudiants a, quant à lui, exprimé toute la gratitude de la communauté estudiantine envers le Chef de l’État dont l’acte ainsi posé restera gravé dans les annales de l’UPN.

Le ministre de l’ESU, Mohindo Nzangi, a, pour sa part, indiqué que les nouveaux bâtiments s’intègrent dans un vaste programme de construction et de réhabilitation des établissements d’enseignement supérieur et universitaire. Il a aussi souligné que cela confirme la vision du Chef de l’État qui œuvre pour la modernisation des établissements d’enseignement supérieur pour les rendre compétitifs et en conformité avec les standards internationaux.

Quant aux professeurs, le ministre les a rassurés sur la prise en compte par le Chef de l’État de leurs revendications et de la mise en œuvre de solutions idoines pour répondre rapidement à leurs besoins.

S’agissant des infrastructures inaugurées ce jour, il s’agit concrètement de deux homes pour garçons, l’un à six étages avec rez-de chaussée et doté de 70 chambres et l’autre de 3 étages disposant de 50 chambres.

Quant au home des filles, il est en cours de rénovation. Ce qui, à terme, pourra décongestionner ce campus universitaire qui accueille près de 20.000 étudiants.

 




Pour être du bon côté de l’histoire: Me Olivier Daniel Sona Seke conseille la constance et la fidélité à l’instar d’E. Tshisekedi

La sortie officielle de l’Union sacrée de la Nation le samedi 29 avril 2023, a été l’un des sujets majeurs de l’émission « Maloba na base » (Parole aux auditeurs) de ce mercredi 03 mai 2023, sur la radio Rtga. Le thème était du jour était : « comment tirer le meilleur parti du ‘FCC’ pour que ‘l’union Sacrée de la nation’ soit du bon côté de l’histoire » en lingala «Makambu nini ya malamu ezalaki na FCC oyo ekoki kosala que union sacrée etambola malamu ». Pour l’invité du jour, Me Olivier Daniel Sona Seke, pour être du bon côté de l’histoire, à l’instar d’Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, il faut cultiver la constance et la fidélité. « Du fait que l’USN est constituée en majorité des transhumants du FCC, ceux qui ont trahit le long combat d’Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, caractérisé par la constance et la fidélité, il est irréaliste d’espérer que l’USN puisse tirer du bon de l’expérience FCC », selon Me Sona.

Au-delà de la forte mobilisation pour cette sortie, L’Avenir s’était intéressé aux messages donnés par les leaders de l’Union sacrée de la nation, citant un communiqué de Christophe Mboso, le journal avait écrit : « Merci d’avoir dit oui à l’Union Sacrée de la Nation et à ses idéaux. Merci d’avoir dit oui au devoir patriotique et démocratique de participer au processus électoral déjà entamer par l’enrôlement et, qui va aboutir le 20 décembre 2023. Merci d’avoir dit non avec force à la balkanisation de la Rdc que vous vous êtes engagés à défendre jusqu’au sacrifice suprême ».

L’Union sacrée, est la vision du président Félix Tshisekedi, « créée pour que le pays sorte des ténèbres, de l’esclavage, soit en paix, qu’on aille de l’avant et que l’on soit respecté en Afrique et dans le monde », renchérit Modeste Bahati cité encore par le journal.

L’initiative de l’Union sacrée était donc motivée par la volonté de l’émergence du pays.

Par le thème choisi, l’émission de ce mercredi 3 mai 2023, ambitionnait de marteler, pour les auditeurs de la Radio Rtga, la prise de conscience de son unité et la volonté de vivre ensemble, deux valeurs essentielles pour une nation leitmotiv de l’émergence.

Toutefois, tout en reconnaissant au FCC des avancées nobles comme l’alternance pacifique du pouvoir entre Joseph Kabila et Félix Antoine Tshisekedi, certaines réalisations à l’instar du pont Loange et autre code minier, « le bilan global, secteur par secteur est largement négatif au point d’annihiler tout l’actif du FCC. Parler de tirer le meilleur parti du ‘FCC’, devient ambiguë », déplore Me Olivier Daniel Sona Seke.

 

La nation étant par définition « Une communauté politique établie sur un territoire, et personnifié par une autorité souveraine (Etat, pays), elle incarne un principe spirituel, qui pour être du bon côté de l’histoire doit être bâtit sur la constance et la fidélité comme l’insiste l’Avocat.

Le but de la nation est de maintenir la paix intérieure et la sécurité internationale. En cette fin, il faut donc prendre des mesures collectives efficaces en vue de prévenir et d’écarter les menaces à la paix et de réprimer tout acte d’agression ou de rupture de la paix, et de réaliser par des moyens pacifiques, conformément aux principes de la justice et du droit…

La nation étant formée d’un peuple ou d’une culture distincte qui, numériquement, constitue une population distincte ou un Etat indépendant (non pas à l’instar de l’Etat indépendant du Congo) mais une nation qui a une âme, un idéal.

« Et l’âme du combat d’Etienne Tshisekedi, était la Constance, et l’Union sacrée étant du réchauffé de ce leader, devait reposer sur la constance, mais le fait qu’elle soit constituée à majorité des anciens du FCC, ne présage rien de rassurant », estime Me Sona.

Willy Makumi Motosia

 




En séjour de travail au Canada: Crispin Mbadu obtient de nouveaux engagements pour la Rdc

Au Canada depuis le mercredi 26 avril 2023, le vice-ministre des Affaires Étrangères et Francophonie Crispin Mbadu a rencontré les autorités canadiennes et autres mouvements corporatifs, les investisseurs, les représentants des étudiants congolais, le président de la communauté congolaise au Canada.

Au menu de ces échanges, indique notre source, des questions de coopération bilatérale entre la RDC et le Canada, de la situation sécuritaire dans l’Est de la Rdc.

Ce séjour de travail du vice-ministre Crispin Mbadu s’est achevé sur une note positive: les autorités canadiennes ont émis le vœu de se rendre en RDC, de manière à sceller le renouveau dans les relations entre les deux pays. Elles ont également pris l’engagement d’appuyer les efforts pour le développement et la stabilité de la RDC.

Sur place, le vice-ministre, Crispin Mbadu a salué les performances du personnel de RDC au Canada. Arrivé au Canada, par Montréal le mercredi 26 avril 2023, SEM Crispin Mbadu a été accueilli au pied de l’avion par l’ambassadeur de la RDC au Canada, M. Joska Kabongo Ngoy.




Fatshi salue des progrès considérables

Le président de la République Félix Tshisekedi s’est dit heureux de constater, une année après les États Généraux de la Communication et des Médias, que des progrès considérables ont été accomplis notamment à travers la promulgation de l’Ordonnance-Loi N°23/009 du 13 mars 2023 fixant les modalités de l’exercice de la liberté de la presse, la liberté d’information et d’émission par la radio et la télévision, la presse écrite ou tout autre moyen de communication en République Démocratique du Congo. Malgré toutes ces avancées, il reconnait que les défis à relever restent de taille.

C’est sous le thème : « La liberté d’expression à l’épreuve de la situation sécuritaire en République Démocratique du Congo. Nouvelle loi sur la Presse pour une nouvelle dynamique », que la 30ème Journée Mondiale de la Liberté de la Presse a été célébrée en Rdc, en présence du président de la République, Félix Tshisekedi, du Premier ministre et des membres du Gouvernement, sans oublier de toutes les corporations de la presse.

Dans son discours, le président de la République a manifesté toute sa solidarité aux journalistes et professionnels des médias qui payent, comme beaucoup de nos compatriotes dans la partie Est de notre pays, le prix de la barbarie de l’agression rwandaise.

« En effet, plusieurs médias dans les zones sous occupation ont été réduits au silence. Des membres de votre grande corporation ont été harcelés, torturés et des matériels ont été saccagés. Laissez-moi vous dire que ces crimes ne demeureront impunis », dit-il.

En mémoire de ces victimes et de toutes celles et ceux tombées sous la folie meurtrière de nos agresseurs, je vous prie d’observer un moment de recueillement.

Plus d’une année après notre dernière rencontre, je me réjouis de vous retrouver dans cette salle où nous avions pris rendez-vous, en janvier 2022, à l’occasion de l’ouverture des États Généraux de la Communication et des Médias, pour engager des réformes dans le paysage médiatique en vue d’assurer à la fois la promotion de l’exercice de la liberté de la presse, la sécurité des journalistes ainsi que la réorganisation de notre paysage médiatique.

27 ans après la dernière modification, cette nouvelle Loi charnière qui régit notre Presse, vient poser les fondamentaux du retour à la norme de la pratique professionnelle et de la nécessité d’adaptation technologique qu’impose la révolution numérique. Son application, sans nul doute, rendra opérationnelle la mise en œuvre de la plupart des résolutions convenues lors des assises fondatrices de janvier 2022.

« Le processus de modernisation des médias publics étant en cours, j’encourage le Gouvernement à redoubler d’efforts pour le mener à son terme. Le train de l’assainissement du paysage médiatique, quant à lui, va prendre sa vitesse de croisière grâce aux nouvelles dispositions légales en vigueur », indique-t-il, avant de charger le Gouvernement, à travers le Premier Ministre et le Ministre de la Communication et Médias à y veiller pour que nous puissions disposer d’une base de données consolidée à partir de laquelle, le Gouvernement devra planifier la concrétisation de l’aide à la presse telle que stipulée dans la nouvelle Loi.

Des défis à relever

Malgré toutes ces avancées, le chef de l’Etat reconnait que les défis à relever restent de taille. Ils exigent, entre autres :

Du Gouvernement : la finalisation des Avant-Projets du Décret portant Statuts des journalistes de la République Démocratique du Congo et du Projet de Loi régissant les médias ; Du Parlement : de parachever et d’adopter, dans les meilleurs délais, la Loi sur l’Accès à l’information publique ; Des parties prenantes : l’application stricte des textes légaux et réglementaires afin de favoriser l’émergence d’une presse que nous voulons, d’une part, libre et plurielle sur le plan déontologique et professionnel ; et d’autre part, indépendante et viable économiquement.

A l’approche des élections générales, une période au cours de laquelle il y a de fortes sollicitations des médias et par l’organisation de débats sur les plateaux télévisés ou sur toute autre plateforme médiatique, ceci revêt le risque parfois de concourir à la dissémination, dans la sphère publique, non plus de visions ou d’idéaux censés prôner le vivre-ensemble, mais plutôt de propos discourtois, discriminatoires voire d’invectives aux relents tribalistes et séparatistes, en méconnaissance des lois en vigueur dans notre pays.

C’est ainsi qu’il a rappelé la responsabilité des journalistes d’encadrer ces échanges et dans les dispositions qu’il vous convient de prendre pour éviter ces dérapages ; mais aussi, vous exhorter à utiliser vos plateaux et vos différents médias pour favoriser un débat politique sain, lequel permettra à la fois à vos invités ainsi qu’à vos téléspectateurs, auditeurs et lecteurs d’être édifiés sur la nature des offres politiques leurs proposées sous forme de programmes et propositions par les candidats.

Il a de nouveau rappelé l’importance du rôle des journalistes au sein de la société. « Il vous appartient donc d’agir avec diligence pour renforcer votre instance d’autorégulation en vue de vous assurer que ceux qui exercent le métier le fassent toujours avec professionnalisme », martèle-t-il, avant d’attirer l’attention des journalistes sur la prolifération des informations erronées et non vérifiées autrement appelées « fakenews » ou encore « infox », source de nombreux maux dans nos sociétés contemporaines. Ceci constitue, pour nous, un défi commun à relever et je vous invite à jouer votre rôle de paravent et d’antidote contre ces fléaux qui menacent notre société à l’heure du numérique.

Félix Tshisekedi a rappelé, une fois de plus, que l’exercice de la liberté de la presse vous confère des droits auxquels sont toutefois assortis, des devoirs. Cette liberté doit s’exercer dans les limites des prescrits des Lois, du respect de la vie privée et de bonnes mœurs ainsi que des impératifs liés à la sécurité du pays.

Il a terminé par exhorter la presse à continuer à faire preuve de plus de professionnalisme et de responsabilité dans la manière d’exercer cette liberté de la presse à travers vos différentes productions et prestations pour nous accompagner dans le travail de refondation en cours de notre cher et beau pays, la République Démocratique du Congo.




RPDC : Le rassemblement de prestation de serment et lautodafé

A eu lieu, ce 2 mai dans l’enceinte du Musée de Sinchon (l’un des musées des atrocités des USA dans la Guerre de Corée 1950-1953 RPDC-USA sis dans la Province Hwanghae-Sud et créé en 1958 pour révéler le génocide d’un quart -35.000- des habitants d’un seul arrondissement, perpétré par une compagnie de lArmée US pendant 52j – 17/10-07/12/1950 -, NDLR),

le rassemblement de prestation de serment des jeunes et étudiants pour se venger et châtier, sans merci, les USA (les plus obsédés à l’expansion d’outre-mer dès leur création, en tentant dagresser la Corée en 1866, et occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945, NDLR), Pays de gangsters peu commun et Empire du mal, ayant révélé, ouvertement, les tentatives dune guerre nucléaire contre la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène fière de ses 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire, NDLR) et la clique fantoche YOON Seok Yeol (1960- ; No 1 de la Corée du Sud, alliée fort fidèle aux USA depuis 1948 pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner le côté Nord -RPDC- comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR), folle de la confrontation intercoréenne. Y ont pris part;

MUN Chol, Président du Comité Central de lUnion de la Jeunesse Patriotique Socialiste (UJPS créée en 1946, NDLR)
PAK Thae Sop, Secrétaire du comité provincial du Parti du Travail de Corée (créé en 1945 et au pouvoir dès lors, NDLR)
les cadres du secteur concerné
les permanents de l’UJPS
les représentants des 5 millions de jeunes et étudiants du Pays (123.214km2).
La réunion a écouté les interventions. Les orateurs ont;
qualifié la visite (24-30/04/2023) de la clique traîtresse de YOON Seok Yeol aux USA dun périple on ne peut plus hostile, agressif et humiliant, périple de guerre nucléaire, et les «Déclaration de Washington» et «Déclaration Conjointe» forgés par le maître US et son acolyte hors classe dun produit des ambitions noires de nature criminelle de ceux pénétrés dun sentiment dhostilités à l’égard de la RPDC jusquà la moelle des os
condamné et rejeté lesdits documents, avec véhémence, au nom de la jeunesse de la RPDC
épanché leur volonté danéantir, sans merci, les ennemis se démenant pour priver de la vie, du bonheur et de lavenir de la RPDC.
Les participants à la réunion ont;
effectué lautodafé au cours duquel ils ont brûlé, en effigie, les provocateurs de guerre avec le sentiment décraser les ennemis abominables
clamé des slogans vengeurs, animés de la conception claire des ennemis principaux et dune ferme volonté den finir, à coup sûr, avec les agresseurs et les fanatiques de guerre.