Xi Jinping présidera le Sommet Chine-Asie centrale

Le Sommet Chine-Asie centrale se tiendra les 18 et 19 mai à Xi’an, dans la province chinoise du Shaanxi. Le président chinois, Xi Jinping, présidera le sommet, a annoncé lundi la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Hua Chunying.

A l’invitation de la Chine, le président du Kazakhstan, Kassym-Jomart Tokaïev, le président du Kirghizistan, Sadyr Japarov, le président du Tadjikistan, Emomali Rahmon, le président du Turkménistan, Serdar Berdymoukhamedov, et le président de l’Ouzbékistan, Chavkat Mirzioïev, assisteront au sommet, a indiqué Mme Hua.




Selon un rapport de l’OMS : une femme enceinte ou un nouveau-né meurt toutes les 7 secondes

Les progrès mondiaux dans la réduction des décès prématurés de femmes enceintes, de mères et de bébés stagnent depuis huit ans en raison de la diminution des investissements dans la santé maternelle et néonatale, a déclaré mardi l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un nouveau rapport.

Le rapport, intitulé “Améliorer la santé et la survie de la mère et du nouveau-né et réduire la mortinaissance”, montre que les progrès dans l’amélioration de la survie stagnent depuis 2015, avec environ 290.000 décès maternels chaque année, 1,9 million de mortinaissances et 2,3 millions de décès de nouveau-nés.

Plus de 4,5 millions de femmes et de bébés meurent chaque année pendant la grossesse, l’accouchement ou les premières semaines après la naissance, ce qui équivaut à un décès toutes les sept secondes, principalement de causes évitables ou traitables si des soins appropriés étaient disponibles, a expliqué l’agence onusienne basée à Genève.

La pandémie de COVID-19, la montée de la pauvreté et l’aggravation des crises humanitaires ont intensifié les pressions sur des systèmes de santé surchargés, a ajouté l’OMS.

Selon une enquête de l’OMS, environ 25% des pays signalent encore des perturbations continues des soins et services vitaux pendant la grossesse et postnatals pour les enfants malades.

“Des investissements plus nombreux et plus intelligents dans les soins de santé primaires sont désormais nécessaires pour que chaque femme et chaque bébé, où qu’ils vivent, aient les meilleures chances de santé et de survie”, a déclaré le Anshu Banerjee, directeur de la santé maternelle, néonatale, infantile et adolescente et du vieillissement à l’OMS, cité dans un communiqué de l’ONU.




Antonio Guterres reçoit le prix européen Carlos V

Le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), Antonio Guterres, a reçu le prix européen Carlos V des mains du roi Felipe VI d’Espagne, lors d’une cérémonie organisée mardi au monastère de Yuste, dans la ville de Caceres, dans l’ouest de l’Espagne.

Ce prix est décerné à ceux qui “ont contribué à la compréhension et à l’appréciation générales des valeurs culturelles, scientifiques et historiques de l’Europe, ainsi qu’au processus d’unification de la communauté européenne”.

Dans son discours de remerciements, M. Guterres a lancé un appel à la paix, estimant qu’il fallait utiliser des “arsenaux diplomatiques” plutôt que des balles pour mettre fin aux conflits dans le monde.

“La paix ne doit jamais être sous-estimée ou considérée comme acquise. Nous devons y travailler chaque jour, sans relâche. Dans un monde qui se déchire, nous devons guérir les divisions, prévenir les escalades, écouter les griefs. Plutôt que des balles, nous avons besoin d’arsenaux diplomatiques”, a-t-il déclaré.

 




Le pape François offre une partie de la croix originale du Christ pour le couronnement du nouveau roi d’Angleterre

C’est son Éminence le cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d’État, qui a représenté le pape François au couronnement de Sa Majesté le Roi Charles III à l’Abbaye de Westminster le samedi 6 mai 2023.

Pour ce couronnement, le pape François a offert des reliques de la croix originale de Jésus-Christ au fils de la défunte Élisabeth II. On a appris que les deux éclats provenant de la croix ont été donnés en cadeau pour le couronnement et ont été inclus dans la croix de Galles qui a dirigé la procession du couronnement du roi Charles III à l’abbaye de Westminster samedi dernier. La croix de procession est en argent et est l’œuvre de l’artiste Michael Lloyd.

Ainsi, bien que le couronnement suive un cérémonial anglican, pour la première fois depuis de nombreux siècles, il y avait un élément catholique. L’archevêque de Canterbury Justin Welby a présidé la cérémonie de couronnement, avec le moment marquant de l’onction avec l’huile sacrée qui, comme l’a déjà rapporté ZENIT, provient du Saint-Sépulcre de Jérusalem.

Rome est la ville où sont conservées le plus de reliques liées à la vie du Christ. Cela pour deux raisons : la première au pèlerinage de sainte Hélène, mère de l’empereur Constantin, qui a apporté à Rome de nombreuses reliques trouvées. La deuxième raison est l’appropriation d’autres reliques trouvées dans d’autres villes pendant la période des croisades. Actuellement, l’ensemble de reliques les plus importantes sur la Passion du Christ se trouve dans la basilique Sainte-Croix-de-Jérusalem dans la ville de Rome.




Coptes et catholiques : une visite du patriarche Tawadros II au Vatican

Les 10 et 11 mai 2023, le pape François et le patriarche Tawadros II, patriarche d’Alexandrie et chef de l’Église copte orthodoxe, célébreront ensemble le cinquantième anniversaire de la rencontre historique de leurs prédécesseurs, le saint pape Paul VI et le patriarche Chenouda III, survenu en mai 1973, indique un communiqué du Saint-Siège daté du 8 mai.

À cette occasion, le patriarche Tawadros participera à l’audience générale du mercredi 10 mai.

Le jeudi 11 mai, il aura un entretien privé avec le pape François, avec qui il aura également « un moment de prière ». Le patriarche se rendra ensuite au Dicastère pour la promotion de l’unité des chrétiens.

Le chef de l’Église copte orthodoxe rencontrera aussi les fidèles de la communauté copte résidant à Rome, pour lesquels il célébrera une liturgie eucharistique le dimanche 14 mai à la basilique papale Saint-Jean-de-Latran.

Rappelons que la Journée de l’amitié entre Coptes et catholiques est célébrée chaque année le 10 mai : c’est le patriarche Tawadros qui a proposé de célébrer cette « Journée de l’amour fraternel » lors de sa première rencontre avec le pape François le 10 mai 2013, quarante ans après la rencontre de Paul VI et Chenouda III.

Le 28 avril 2017 au Caire, en Égypte, le pape François et le patriarche Tawadros II ont signé une déclaration commune dans laquelle ils ont exprimé leur volonté d’ « intensifier (leurs) efforts communs afin de persévérer dans la recherche d’une unité visible dans la diversité, sous la conduite de l’Esprit Saint » : « Approfondissons nos racines communes dans la foi apostolique en priant ensemble et en recherchant les traductions communes de la Prière du Seigneur et une date commune pour la célébration de Pâques », ont-ils écrit.

Dans un entretien accordé à Vatican News le 22 avril dernier, le père Hyacinthe Destivelle, official du dicastère pour la promotion de l’unité des chrétiens, évoque la « fameuse visite » du patriarche copte Chenouda III à Rome en 1973 : il s’agissait de « la première rencontre » « entre un patriarche de l’Église copte et un évêque de Rome depuis la rupture de 451, c’est-à-dire la rupture du concile de Chalcédoine », après lequel les deux « Églises sont restées pratiquement sans contact pendant 1 500 ans ».

Destivelle souligne que la visite du patriarche Tawadros est « une visite très importante puisque nous célébrons les cinquante ans de la première rencontre entre un patriarche d’Alexandrie, donc un patriarche de l’Église orthodoxe copte, et un évêque de Rome ». Cette visite « va certainement marquer une étape importante sur ce chemin commun que nous avons entamé avec l’Église copte depuis le Concile Vatican II ».

Le patriarche Tawadros, ajoute-t-il, « vient aussi rendre visite à ses fidèles, et il y a un très grand nombre de fidèles orthodoxes en Italie ; ils sont environ de 100 000 ». Il a été décidé, explique l’official, « de prêter la cathédrale Saint-Jean-de-Latran pour accueillir une célébration et les fidèles coptes orthodoxes ». « Ce n’est pas commun, poursuit-il, mais ce n’est pas nouveau qu’un patriarche célèbre dans une basilique papale, puisque le même patriarche Tawadros avait célébré en 2018 dans la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs. Et puis, il y a une tradition très ancienne, lorsque les patriarches d’Orient venaient à Rome, on leur attribuait des basiliques pour qu’ils puissent célébrer. ».




COMECE : « le besoin d’unité et de paix », « plus urgent que jamais »

En cette Journée de l’Europe, le 9 mai 2023, le président de la Commission des épiscopats de l’Union européenne (Comece), Mgr Mariano Crociata, rappelle que « le besoin d’unité et de paix » « est devenu plus urgent et plus cruel que jamais ».

Dans une déclaration publiée ce mardi en anglais et en italien, Mgr Crociata souligne que – « soixante-treize ans après la Déclaration de Robert Schuman » – ce « besoin » « a été rappelé avec autorité par le pape François » dans son discours devant les participants de l’Assemblée plénière de la COMECE le 23 mars dernier.

Les évêques de l’UE, affirme Mgr Crociata, « considèrent qu’il est de leur devoir d’encourager et de collaborer à tout effort visant à rechercher l’unité en promouvant les nombreux intérêts idéaux et matériels qui unissent les peuples de l’Union ».

Les évêques demandent que « tous les efforts soient faits pour surmonter les conflits, afin de parvenir à une paix juste ». « Ce sont des préalables indispensables pour rendre possible la croissance de chacun au sein de l’Union européenne et au-delà de ses frontières. »

Mgr Crociata rappelle que la Journée de l’Europe de cette année est célébrée « dans le contexte tragique d’une guerre sur le sol européen qui inflige aux Ukrainiens d’horribles souffrances physiques, matérielles et spirituelles ». Les conséquences économiques de cette guerre « aggravent » « les conditions sociales des populations, avec des effets encore plus dévastateurs sur les couches les plus faibles de la société ».

Le président souligne que « les circonstances qui sont à l’origine de l’Union » européenne, « née au lendemain d’une guerre mondiale qui avait produit d’immenses destructions et d’innombrables morts, apparaissent d’une actualité inquiétante et nous invitent à retrouver les raisons et la volonté de poursuivre l’unité et la paix européennes avec une détermination renouvelée ».

La COMECE, qui est « la voix des Conférences épiscopales de l’Union européenne », « souhaite être l’interprète de cet engagement ». La Commission « entend y contribuer en formant des consciences … responsables de l’époque dans laquelle nous vivons ».




Caritas Internationalis : « Construire de nouveaux chemins de fraternité »

Du 11 au 16 mai 2023, la 22e Assemblée générale de Caritas Internationalis se tiendra à Rome, en Italie, en présence d’environ 400 délégués représentant les 162 organisations Caritas opérant dans 200 pays et territoires à travers le monde, indique un communiqué de Caritas. Lors du rassemblement, les dirigeants de Caritas pour les quatre prochaines années seront élus.

« Construire de nouveaux chemins de fraternité », tel est le thème de l’Assemblée inspirée de la lettre encyclique Fratelli Tutti (2020) du pape François. Elle sera ouverte par une audience privée avec le pape le 11 mai. À l’Assemblée participeront : Mgr Paul Richard Gallagher, secrétaire pour les relations avec les États et les organisations internationales du Saint-Siège, le cardinal Mario Grech, secrétaire général du Synode des évêques, et Sr. Alessandra Smerilli, secrétaire du Dicastère pour la promotion du développement humain intégral.

Pendant les jours de l’événement, lit-on dans le communiqué, les délégués « réfléchiront à la manière dont les organisations Caritas peuvent mieux travailler ensemble au nom des plus pauvres et des plus vulnérables dans un monde de plus en plus touché par de multiples crises : de la guerre en Ukraine à la pandémie de COVID-19, des conséquences du changement climatique à l’insécurité alimentaire endémique ».

Le 12 mai, il y aura une réflexion sur « Les défis mondiaux et le rôle de Caritas », avec les interventions de Mgr Gallagher, l’ambassadeur Gabriel Ferrero y de Loma-Osorio, président du comité des Nations Unies sur la sécurité alimentaire mondiale, et les représentants de Caritas du Ghana, du Myanmar et d’Irlande.

Les jours suivants auront lieu « d’autres sessions thématiques qui porteront sur trois sujets clés pour la Confédération : la synodalité, la régionalisation et la coopération fraternelle ».




Au Botswana : Tshisekedi fustige une cohabitation suspecte observée entre le contingent de l’EAC et les terroristes du M23

24 heures après l’annonce du déploiement de la force militaire de la Sadc dans l’Est de la République démocratique du Congo, le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo s’est expliqué publiquement pour la toute première fois sur la motivation de cette décision unanime de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) et surtout le sort à réserver à la force régionale de la communauté de l’Afrique de l’Est.

Répondant à la presse de son pays au cours de la conférence de presse conjointe avec son homologue du Botswana Mokgweetsi Masisi, le chef de l’Etat Félix Tshisekedi a clairement démontré que la force de l’EAC passe ses dernières semaines en RDC.

Selon le président Tshisekedi, à l’issue du premier mandat de l’EACRF en mars dernier, le gouvernement de la RDC n’avait pas renouvelé le mandat des 6 mois comme souhaité par le Secrétaire général de l’EAC ; mais il a accordé un mandat de 3 mois à l’issue duquel une évaluation sérieuse devrait orienter le sort de cette force régionale.

Le président Félix Tshisekedi a révélé que manifestement, il y des problèmes de fonctionnement avec cette force régionale. “La première raison qui nous pousse à nous poser des questions est la mission assignée à cette force qui n’est pas remplie.

“Aujourd’hui dans certaines localités, il y a une cohabitation observée entre le contingent de l’EAC RF et les terroristes du M23, ce qui n’était pas prévu dans le programme”, a dit le président Tshisekedi qui a aussi évoqué des déclarations des officiels militaires de l’EACRF qui, aussitôt arrivés en RDC ont clairement dits qu’ils ne venaient pas combattre les M23.

À côté de cela, il y a le commandant de l’EACRF qui a démissionné de manière spectaculaire et à la surprise de tous évoquant des menaces auxquels il ne nous a jamais fait part, a ajouté le président.

Pourquoi ne nous a-t-il pas fait part de ces menaces, s’est interrogé le président Tshisekedi qui s’est dit également surpris de la précipitation avec laquelle le Kenya a désigné le successeur du Général démissionnaire sans consultation comme si cette force n’appartenait qu’au Kenya, s’est encore indigné le président Tshisekedi.

” Manifestement, il y a un problème dont nous avons besoin de parler pour clarifier la situation et comme le mandat s’achève au mois de juin, si à cette date nous constatons que le mandat n’est pas rempli, nous allons décider de raccompagner ce contingent venu à la rescousse de la RDC avec honneur et les remercier pour avoir essayé d’apporter leur part à la solution de la paix en RDC”, a dit en substance le président Félix Tshisekedi.

Le Chef de l’Etat s’est félicité de la solidarité manifestée par les pays de la SADC à travers la décision unanime de déployer sa force qui a déjà fait ses preuves en terre congolaise. Tout en concluant que la mission de l’EAC pose problème, le président Tshisekedi a dit attendre la tenue de la réunion quadripartite de l’UA.

Interrogé également sur la tenue des élections en 2023 du fait de la situation sécuritaire préoccupante à l’Est, le président de la République a rassuré que le processus électoral est irréversible et il n’a pas l’intention de priver ses compatriotes de l’Est de leur droit civique.




l’initiative de l’Association Cynyabuguma : Modeste Bahati et d’autres fils du Sud-Kivu recommandent à Dieu les âmes des compatriotes décédés dans ce drame de Kalehe

Le drame survenu à Kalehe, un des territoires du Sud-Kivu, et qui a coûté la vie à plus de 400 personnes suite aux inondations et glissements de terrains causés par des pluies diluviennes, a donné lieu à un grand élan de solidarité des fils et filles de cette province.

C’est dans ce cadre qu’une messe a été dite, le lundi 8 mai, en la cathédrale Notre-Dame du Congo, à Kinshasa/Lingwala, à l’initiative de l’Association Cynyabuguma, pour recommander à Dieu l’âme de nos compatriotes décédés dans cette tragédie.

Le Président du Sénat, Modeste Bahati Lukwebo, des députés et sénateurs, le Premier ministre Jean Michel Sama Lukonde, le Vice- Premier ministre de l’Economie Vital Kamerhe, d’autres membres du Gouvernement ainsi que plusieurs notabilités de la communauté Bashi Bahavu ont pris part à cette messe. Une occasion pour tous ces compatriotes de compatir avec les familles des disparus ainsi qu’avec les nombreux sinistrés qui ont tout perdu suite à cette catastrophe naturelle.

L’honorable Modeste Bahati, grand notable, élu du Sud-Kivu et membre de la communauté affectée par cette tragédie, a pris la parole pour remercier le Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui, aussitôt informé de cette catastrophe, a instruit le chef du Gouvernement pour la prise en charge des obsèques de ceux qui ont perdu la vie et l’assistance humanitaire aux nombreux sinistrés qui ont tout perdu

« Cette messe, c’est en mémoire des défunts, mais également une prière de compassion pour toutes les familles éplorées. Nous nous trouvons ici, parce que nous avons apprécié le geste du président de la République, qui a voulu dédier cette journée du 08 mai 2023 en mémoire de nos frères et sœurs qui nous ont quittés et nous, sur invitation de la communauté Bashi Bahavu Cynyabuguma Asbl, nous avons tenu à répondre à l’invitation qui nous a été adressée de manière à communier avec nos frères et sœurs qui sont éprouvés », indique le président du Sénat.

Signalons que les offrandes récoltées au cours de cette messe dite par l’abbé Pierre Bangendabanga de l’archidiocèse de Bukavu, seront affectées à l’assistance des familles des victimes et des sinistrés.




Situation politique, échéances électorales, actualités de Kabinda, … : Fructueux échanges entre Dieudonné Nkishi et Jeff Kiovue à Kinshasa

M. Dieudonné Nkishi Kazadi et Me Jeff Kiovue Lubo, tous natifs de la province de Lomami ont échangé ce lundi 08 mai 2023, à Kinshasa. Au menu de leurs échanges, plusieurs questions ont été abordées. Il s’agit notamment de la situation politique, des échéances électorales, la situation sociopolitique de la Lomami, les activités scientifiques et les œuvres d’esprit.

De la situation politique, le récit fait par Valentin Konyi, chargé de communication et médias de la Fondation indique que les deux partenaires ont salué la sortie officielle de l’Union sacrée qu’ils veulent voir s’enraciner sur toute l’étendue de la République afin d’accorder au Président Tshisekedi un second Mandat.

Au sujet des échéances électorales, les deux partenaires ont salué la fin des opérations électorales et souhaitent vivement que le nettoyage du fichier électoral s’accélère de manière à permettre rapidement l’adoption et le vote de la loi sur la répartition des sièges. Ils ont échangé également sur les ambitions électorales respectives de chacun d’entre eux.

Concernant la situation sociopolitique de la Lomami, les deux partenaires, tout en saluant la volonté et les efforts du gouvernement provincial, partagent en même temps le désir commun des populations lomamiennes de vivre réellement les effets du découpage provincial. Les deux partenaires réitèrent par la même occasion leur commune volonté d’œuvrer en tout temps et en toute circonstance afin d’apporter leur modeste pierre à l’édifice Lomami.

A propos des activités scientifiques, les deux partenaires se sont félicités des avancées de chacun d’entre eux dans le domaine scientifique, respectivement pour la Thèse de doctorat en Droit pénal et Criminologie pour l’un et pour le Mémoire d’études Supérieures en Sciences Politiques pour l’autre, tous étant Chef de Travaux.

Selon la même source, après avoir mis sur la place publique et scientifique, leur ouvrage commun intitulé “Sur les Traces de nos Élus, voyage au cœur d’une législature controversée”, ils s’apprêtent à publier un autre ouvrage intitulé, “la Constitution de la RDC, problèmes, sources de crises politiques et Pistes de Solutions.

Il convient de signaler que c’est en toute convivialité que les deux partenaires se sont séparés par une photo de famille.